Quand est-ce que tu as commencé le rp ? Raconte nous tout! › J'ai découvert l'univers des rpg en 2009 sur une autre plateforme que celle-ci, ça va bientôt faire dix ans que je suis incapable de décrocher parce que j'aime lire, parce que j'aime écrire et parce que j'aime créer avec quelqu'un d'autre. En dix ans j'ai évidemment fait des rencontres bouleversantes, j'ai adoré ça, j'ai aussi beaucoup souffert, mais j'ai mis mes tripes dans chacun de mes jeux et j'ai aucun regret quand j'en parle.
Sur quel type de rpg ? › J'ai commencé sur la plateforme skyblog, il y a une grosse communauté là-bas, j'y suis resté quatre ou cinq ans où j'ai seulement joué dans un contexte réel. Mais j'avais besoin de plus, alors j'ai jeté un coup d’œil aux forums. Je me suis davantage épanouie par-là parce qu'il y avait tout ce que j'aimais, j'ai avidement satisfait mon amour pour la littérature et l'imaginaire avec des forums historiques, fantastiques, futuristes. Je m'arrête là mais la liste continue.
Des exemples d'avatars que tu as déjà joué? balance ! › Rami Malek, Maximilian Irons, Hayden Christensen, Wentworth Miller, Daniel Sharman, Matthew Daddario, Austin Butler.
C'est un casting exclusivement masculin parce que je suis incapable de jouer une femme, à une exception, Erika Linder. Mais je suis globalement plus à l'aise quand j'interprète un homme.
Tes univers rpgiques de prédilection › Le post-apocalyptique, parce que j'ai besoin d'être prise aux tripes, d'être maintenue en haleine dans un jeu éreintant et j'adore jouer dans des contextes dramatiques, alors ça s'y prête parfaitement. Mais j'en ai déjà parlé ci-dessus, je touche à tout. J'aime surtout les jeux passionnants et les joueurs passionnés.
Le nombre de mots moyen que tu fais dans un rp › De 600 jusqu'à 1000, la fourchette est large, je m'en excuse. Mais plus grossièrement, j'écris relativement beaucoup, toujours.
Comment as-tu connu LTDR ? › J'ai vagabondé de forum en forum.
Pourquoi être venu(e) sur le forum ? › Parce qu'il a définitivement tout ce que je recherche en plus d'être beau. Je ne pouvais pas m'en aller sans m'inscrire.