Mon contexte
Tous les cent ans a lieu une éclipse lunaire qui condamne aléatoirement douze habitants de la ville d'Ålesund kommune (cliquer ici) en Norvège à être hantés par l'esprit d'un animal. Ainsi, si Sofia se réveil au petit matin au lendemain de l'éclipse dans les bras de son papa sous l'apparence d'un petit lapin, c'est qu'elle est sous l'emprise de cette fameuse malédiction. On ne sait pas grand chose de l'existence de cette malédiction, généralement, les "maudits" et la famille proche de ces "maudits" cachent la malédiction au reste du monde. Que ce soit pour la crainte du jugement des autres, pour les protéger, par jalousie ou autre chose, les maudits et leurs proches doivent à tout prix garder secret l'animal qui est en eux. Un maudit sait en reconnaître un autre quand il le croise au détour d'une ruelle, un lien indéfinissable uni ces douze animaux : le rat, le bœuf, le tigre, le lapin, le serpent, le cheval, la chèvre, le singe, le coq, le chien, le cochon et l'oiseau (remplace le dragon).
Concernant la malédiction, voilà comment l'esprit animal de ces individus se déclenche, et donc, dans quels cas les maudits se transforment : au contact du sexe opposé (un câlin, un baiser), fatigue intense/maladie, dépression/déprime/profond mal-être, environnement (par exemple, le serpent est bien plus fragile en hiver, supportant mal le froid). Sous la forme animal, ils peuvent communiquer (oui oui, comme babe le cochon !) et utiliser toutes les caractéristiques de leur transformation (par exemple, voler pour l'oiseau)
Petite précision, lorsque l'individu se transforme, il se retrouve nu comme un ver. Il a donc plutôt intérêt à cacher ses vêtements et espérer ne pas reprendre sa forme humaine devant tout le monde.
Niveau contexte actuel, il se place trois ans après l’Eclipse. Les maudits se sont familiarisés avec leur esprit animal et ont certainement rencontrés d'autres personnes hantés par l'esprit d'un animal. Vous pourrez discuter de vos liens entre maudits ou prévoir d'en rencontrer de nouveaux en rp, franchement, il y a de quoi faire.