I'm always right by your side like a weapon [Leonnor]
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Leonnor
Lun 24 Mai - 23:27
Aleksy Kasparov
J'ai bientôt 44 ans ans et je vis en Californie, USA. Dans la vie, je suis Mécano et je m'en sors pas ouf. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et solitaire et je le vis c'est déjà pas si mal.
43 ans - Mécano dans la restauration de vieilles bagnoles pour les riches. - Grogne plus qu'il ne parle - Cogne plus qu'il ne cogite - Ancien vétéran avec un PTSD non suivi - Classe basse/moyenne de la population.
"Et bien si c'est toi qui dit ça je vais te croire. Ou alors je vais peut être revérifier les prix du magasin où on est. C'est pas un IKEA de riches hein ? Parce que bon une gente de ton daron c'est genre mon salaire annuel hein. " Il se permet un peu plus de choses même si l'argent est probablement leur plus grande différence. Il sent qu'il peut se permettre de faire des boutades avec elle sur plus de sujet. Même si elle continue de le vouvoyer ce qui lui donne l'impression d'être très vieux. Ou en tous cas d'accentuer leur différence d'âge et pour une raison qu'il ne comprend pas ça le frustre. Enfin l'idée de se rappeler ce point précisément le met mal à l'aise. Alors, il essaie d'esquiver ce sujet. Il l'a rajouté dans sa petite pile de sujets à éviter. Dedans, on trouve la guerre, sa relation avec son papa, encore un peu la guerre, et la nature de ce qu'il pense de Sixtine. Bien d'autres sujets sont sans doute là aussi mais ils sont tellement tassés les uns sur les autres qu'il est difficile de les différencier.
"Qu'est-ce qu'on va faire de mes jolies assiettes du coup ? Je veux dire, tu les veux pas pour ta chambre tu es sûre ?" Il la regarde avec un petit sourire en coin qui est littéralement presque l'équivalent d'un sourire complet chez lui. Il aime bien voir ses réactions et la taquiner. C'est toujours marrant. On ne sait jamais à quoi s'attendre et son visage est si expressif. Par rapport à lui qui est un peu éteint et donc l'expression de repos est un mélange en sourcils froncés et sourire à l'envers.
Comme toujours, pas décontenancé bien longtemps la petite choupette était déjà partie pour revenir avec une nouvelle idée. Il regarde le tableau en souriant et c'est sans même le réaliser que les mots lui viennent naturellement. " Comme ça je pourrais penser à notre première sortie, c'est ça ?" Il n'avait pas besoin de décoration pour penser régulièrement à Sixtine avec tous les messages qu'ils s'envoyaient. " Je pense qu'on peut lui faire une place. On pourrait prendre d'autres affiches de films cultes que j'aime bien, non ? Ça serait sympa. " Il s'arrête un moment, en souriant à demi. " Je crois que tu commences à déteindre sur moi Six. Et arrête de me vouvoyer je ne suis pas si vieux quand même. Ou alors je te fais encore peur ?" dit-il en prenant une fausse voix qui fait peur avant de lui chatouiller un peu la taille rapidement.
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HATAKE
Mar 25 Mai - 18:25
Sixtine Hawkins
J'ai bientôt 21 ans ans et je vis en Californie, USA. Dans la vie, je suis étudiante et gosse de riche et je m'en sors trop facilement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis en couple avec un con et je le vis plutôt mal.
- douce, attentionnée et positive, des allures d’ange quand elle sourit - gosse de riche flottant au-dessus de la populace, ignorante plutôt que hautaine - cendrillon en pantoufles de verre qui ne s’est jamais trop posée de question sur son environnement - ancienne capitaine des cheerleader librée de l’ancien capitaine de l’équipe de football, du cliché de teenserie - étudiante au beverly hills design institute - prend des cours de full contact en scred et n’a absolument aucune confiance en elle
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Dove Cameron
Elle lui aurait bien proposé un atelier de lancer d’assiette contre le mur, Six, mais elle n’a pas encore assez la confiance pour. Et puis sait-on jamais, il y tient peut-être à ses assiettes, non ? (Non. Sûrement pas. Elle espère que non. Sinon ils vont connaître leur première dispute, haha. Non, pour ça non plus elle n’a pas encore la confiance.) Tout juste à l’aise pour évoquer avec le sourire cette soirée où elle avait vécu l’un des plus gros passages à vide de sa petite existence. Toujours pas tout pigé à ce qui s’était passé dans son système nerveux, mais ça faisait partie des trucs qu’elle avait accepté. (Et surtout arrêté d’y réfléchir.)
_ Ca c’est une bonne idée !! Oooh en plus va falloir chiner pour les trouver, j'adore ça !
Elle s’emballe la petite, elle s’emballe. Mais oui, Sixtine adore farfouiller dans les friperies, chez les antiquaires ou aux puces. C’est là qu’elle puise la majeure partie de son inspiration pour ses études. Mais surtout, ça lui fait plaisir qu’Aleksy investisse vraiment une part de lui dans la décoration de sa maison. Que ça fasse vraiment son chez lui, et pas chez la vieille tante un peu folle avec sa demi-douzaine de chats. Elle ouvre le bec pour protester, ou s’excuser, enfin un mélange des deux, à la remarque de Kasparov. Oui certes elle aurait pû laisser tomber les formalités depuis un moment avec lui, mais elle se sentait juste mieux comme ça. Pour l’instant. De garder une sorte de barrière virtuelle, alors que toutes les autres sautaient petit à petit. Tant qu’il ne restait plus grand-chose pour justifier ce fameux vouvoiement en fait. Alors oui, Sixtine allait accepter. Mais il y a contact. Un shoot d’adré qui décolle d’entre ses reins pour faire dresser le duvet sur sa nuque. Les muscles qui se contractent prêts à … A elle sait pas trop quoi en fait. Si, il fait toujours peur. Si c’est bien de la peur. Supposition fortement remise en doute. Qu’elle ait eu la trouille, ce fameux soir au drive-in, elle veut bien le croire. Mais là ? En pleine journée au milieu d’un ikea et après des kilomètres de messages échangés ? Elle est moins certaine.
Y a masse de trucs qui se percutent et qui ricochent partout dans le cerveau de la gamine en à peine deux secondes. Le temps du sursaut, de la chair de poule, des yeux qui s'agrandissent entre deux battement de cils et un pas de côté pour échapper aux doigts d’Aleksy. Et encore deux autres secondes où elle l’observe avec des yeux, le temps que son cerveau termine de traiter l’info (et de l’enterrer) avant qu’un air indigné ne se peigne sur son visage.
_ Non mais c’est quoi cette attaque en traître monsieur Kasparov ?! Elle pouffe, le plat de la main venant appuyer là où la sensation de son contact persiste. _ C’est on ne peut plus déloyal ! Encore un peu de cinoch de la part de la poupée. Se remettre de ses émotions, retrouver un pouls normal, tout ça … Et puis se venger un peu en tendant une main pour lui pincer doucement le haut du bras.
_ Mais si vous voulez jouer à des jeux de gamins, j’suis super forte aussi. Enfin si tu veux. Si tu veux jouer à des jeux de gamins. Elle se corrige et répète avec attention la phrase, comme une écolière qui apprend sa leçon. Ne plus vouvoyer Aleksy. Elle note. _ Mais j’crois bien que j’ai plus peur. Dommage pour toi, j’vais devenir super casse-pieds du coup.
Elle fait mine de s’éloigner, le menton en l’air. Même si y a rien de plus faux que c’qu’elle vient de dire. Elle n’arrive pas à être casse-pieds plus de dix-sept secondes montre en main, Six. Et quelque part, si, elle a toujours la trouille.
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Leonnor
Mar 25 Mai - 19:02
Aleksy Kasparov
J'ai bientôt 44 ans ans et je vis en Californie, USA. Dans la vie, je suis Mécano et je m'en sors pas ouf. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et solitaire et je le vis c'est déjà pas si mal.
43 ans - Mécano dans la restauration de vieilles bagnoles pour les riches. - Grogne plus qu'il ne parle - Cogne plus qu'il ne cogite - Ancien vétéran avec un PTSD non suivi - Classe basse/moyenne de la population.
Le pauvre homme n'est pas conscient qu'il a déchainé par sa proposition les instincts de chineuse de la jeune fille. Encore presque innocent et ne réalisant pas forcément que ça voulait dire une autre excursion de ce type-là. Ce qui n'était pas forcément ce qu'il avait prévu. Même s'il devait admettre qu'il ne s'ennuyait pas autant qu'il l'aurait cru en écumant des magasins de déco. La maison dans laquelle il habitait, il ne l'avait tout simplement pas touché depuis la morte de la mamie avant lui. D'ailleurs, les assiettes ne le dérangeaient pas parce qu'il ne 'en souciait juste pas. Cette maison n'était pas vraiment la sienne, c'était un endroit où dormir comme un campement de fortune. Quatre murs et un toit et c'était tout. Pourquoi aurait-il eu besoin d'avoir plus de toute façon ? Est-ce qu'il méritait seulement d'avoir un foyer après les horreurs qu'il avait vues et celles qu'il avait faites ? Kasparov n'en était certainement pas convaincu. Il rit un peu innocemment comme un gosse à sa bêtise, à avoir réussi à l'embêter. Même si sur le moment, il ne sait pas pourquoi mais il a cru qu'elle allait s'énerver ou se vexer mais rien de tel n'est arrivé.
Au contraire, elle rit et elle rentre un peu dans le jeu. Il a remarqué qu'elle avait eu l'air perturbé mais il met ça sur le compte de la surprise. Il suppose bien que ça ne doit pas trop sembler comme lui de prime abord. Même lui, il a du mal à se rappeler quand il a été taquin et joueur aussi librement. Ça lui fait du bien un moment. Ce qui se passe juste après le surprend. Il la voit tendre sa main vers lui dans un geste rapide qu'il n'a pas prévu. A ce moment, c'est le soldat qui reprend le dessus. Il attrape son avant bras au vol et le maintient. Il ne réalise pas tout de suite qu'il met de la pression sur son avant bras. Après avoir compris ce qu'il vient de faire, ses yeux s'adoucissent et on peut y lire de la peur et de la honte là où on lisait de la colère et de la violence. Il retire sa main prestement et baisse les yeux.
" Désolé... Réflexe." et il grommelle, horrifié et humilié par lui-même. Pendant un instant, il s'était senti en danger et son corps avait réagi pour lui. Sauf qu'il était foutrement incapable de trouver comment formuler l'explication. Comment la regarder dans les yeux et lui expliquer à ses yeux d'enfants ce que c'était que l'horreur de la guerre et des cris. Que la peur de mourir et la rage de survivre. L'envie d'abandonner et la hargne de continuer. Un combat interminable contre tout le monde et contre soi.
" Bon. On devrait s'arrêter pour aujourd'hui, ramenons les autres meubles aussi." Il avait envie de la proposer de la ramener chez elle. Parce qu'il comprenait que maintenant, elle ne voudrait plus lui parler ou passer du temps avec lui. Du coin d'œil, il voyait déjà les traces de ses grosses paluches s'ancrer dans sa peau d'ivoire. C'était manifestement autant un foutu con que l'autre connard. Ils attrapèrent plusieurs meubles et tout ce qui s'ensuivait. Ils se dirigeaient vers la caisse quand il se tourna vers lui.
" Si tu veux juste rentrer chez toi maintenant, tu peux. Je comprendrais." Il n'est plus l'homme de 43 ans aride et froid qui fait peur. Il ressemble plus à un gamin qui a fait une grosse connerie. On lit la tristesse et le regret dans son regard même s'il n'est pas capable de les verbaliser. S'il savait encore comment, peut être qu'il pleurerait de honte.
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HATAKE
Mar 25 Mai - 19:38
Sixtine Hawkins
J'ai bientôt 21 ans ans et je vis en Californie, USA. Dans la vie, je suis étudiante et gosse de riche et je m'en sors trop facilement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis en couple avec un con et je le vis plutôt mal.
- douce, attentionnée et positive, des allures d’ange quand elle sourit - gosse de riche flottant au-dessus de la populace, ignorante plutôt que hautaine - cendrillon en pantoufles de verre qui ne s’est jamais trop posée de question sur son environnement - ancienne capitaine des cheerleader librée de l’ancien capitaine de l’équipe de football, du cliché de teenserie - étudiante au beverly hills design institute - prend des cours de full contact en scred et n’a absolument aucune confiance en elle
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Ça fait mal. La sensation est claire bien avant la situation. Les pupilles figées sur Aleksy, Sixtine ne comprend ce qu’il se passe que quand la douleur dans son bras n’attire son regard vers la main de l’homme verrouillée autour de ses os d’oisillon. Ça fait vraiment mal. Elle doit presque le formuler clairement dans son esprit pour se faire réagir. Abasourdie par la situation. Si elle comprend maintenant ce qu’il se passe, elle ne comprend toujours pas pourquoi ça se passe. Pourquoi les yeux d’Aleksy étaient aussi … loin, et aussi tellement présent, la seconde d’avant. Terrifiants. Elle pince les lèvres au lieu d’ouvrir la bouche pour lui dire de la lâche, la gamine. Attention qui revient sur Aleksy dont le regard a à nouveau viré complétement. A lui arracher un bout de cœur même si elle comprend de moins en moins ce qui est en train de se passer. Réflexe ? Elle ne réagit pas, Six. Battement bêtement des cils, le cerveau à l’arrêt. Dans un truc qui doit ressembler à ce qu’on appelle l’état de choc. Elle ne peut qu’hocher la tête à sa proposition, si c’en est une, de laisser tomber la séance shopping pour l’heure et de sortir de là. Sortir de là. C’est presque devenu une foutue urgence. Juste, briser l’immobilisme dans lequel elle est en train de se fondre de plus en plus, pas loin de se transformer en statue de sel.
Alors elle le suit, Six, réflexe aussi, dans le mouvement, de refermer ses doigts là où ceux d’Aleksy venaient d’apposer une marque. Bien plus grande que sa menotte blanche. Quasi hypnotisée par ce contraste, elle manque de lui rentrer dedans en arrivant près des caisses. Les sens trop aux aguets pour manquer l’information d’un nouveau rapprochement physique entre eux. Alors elle s’arrête un peu abruptement et relève les yeux vers lui. Les baissent à nouveau. Trop petite pour supporter autant de regrets, Sixtine. Rentrer ? Elle sait pas. Elle secoue la tête pour l’instant, un regard vers les caisses, vers les gens autour, pas si nombreux mais qui paraissent soudain oppressants.
_ J’veux juste sortir …
Qu’elle parvient finalement à articuler en causant plus à la dalle de béton qu’à Aleksy. Juste. Sortir. Elle l’aide machinalement au passage en caisse. Évitant soigneusement son regard, et essayant surtout de remettre en marche les engrenages dans son cerveau qui a freeze. Comme la fois où Chuck l’avait frappée. Elle ne peut pas ignorer l’analogie. Ni la grande différence entre les deux situations. Cette fois, elle n’a pas envie d'enterrer tout ça sous un tapis et une montagne de fond de teint. Et de passer à autre chose. L’air et le ciel terminent de faire éclater la bulle qui enlisait son corps et son esprit. Une grande inspiration et elle revit presque, Sixtine. Elle s’arrête, le nez tourné vers le soleil, remettant d’aplomb le fil de ses pensées avant de se tourner vers Aleksy.
_ J’veux savoir pourquoi tu as fait ça … après je déciderai de si je rentre chez moi ou pas.
Les mains jointes devant elle, comme la première fois qu’elle était venue le voir au garage. Avec un peu plus de courage cette fois-ci. Assez pour exiger ça de lui, même si son visage affiche beaucoup moins de détermination qu’elle ne le voudrait.
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Leonnor
Mar 25 Mai - 20:11
Aleksy Kasparov
J'ai bientôt 44 ans ans et je vis en Californie, USA. Dans la vie, je suis Mécano et je m'en sors pas ouf. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et solitaire et je le vis c'est déjà pas si mal.
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La situation lui complètement et totalement échappé. Il essaie de rassembler son courage pour lui demander de rester avec lui qu'il peut tout expliquer. Mais en vérité, il ne peut pas expliquer grand-chose. C'est toujours un sujet compliqué les émotions pour lui. C'est un truc un peu étrange et dérangeant et c'est surtout là pour l'empêcher de dormir. Combien de nuits complètes a-t-il passé depuis qu'il est rentré au pays ? Si peu qu'il peut sans doute les compter sur les doigts de la nuit. Il se rappelle la tristesse, les coups de feu et les cauchemars qui le hantent depuis. Impossible de se rendormir la nuit après les horreurs du sommeil. Souvent il est réveillé à des heures indues. On pourrait croire qu'il se couche tard mais en vérité ou il n'arrive pas à dormir ou il est réveillé trop tôt. Le sommeil est devenu pour lui une maitresse bien capricieuse. Il suffit qu'il ferme les yeux un instant et elle est partie.
Elle a bien changé la petite depuis qu'il la connait. Il voit ça comme un bon signe le fait qu'elle veuille au moins savoir, au moins comprendre car il ne savait pas comment expliquer ça. Il se sent con en plein millieu d'un parking face à ce petit bout de femmes qui a beau être plus petite que lui a l'ascendant psychologique sur sa vieille carcasse élimée et fatiguée. Il se gratte la nuque pour se réconforter alors qu'il tourne la tête ne pouvant pas la regarder pendant qu'il parle. C'est trop compliqué ce qu'il a dire et il doit se concentrer sur lui-même. Il baisse les yeux et ces derniers se perdent dans les abysses. Comment commencer. Le silence l'oppresse lui qui d'ordinaire est plutôt familier du calme voire appréciateur. Après moultes hésitations, il se lance.
" J'ai eu..j'ai rha c'est stupide putain." s'engueule-t-il tout seul en essayant de réorganiser le peu de sens commun qui lui reste présentement. Il recommence à marmonner." Il y a quelque chose que tu ne sais pas sur moi. Je suis revenue de déploiement l'année dernière….j'imagine qu'on peut dire que j'ai cru que tu me voulais du mal. Mon corps a réagi avant moi. Ça … je sais pas ça m'a évoqué un truc du genre. J'sais que c'est à chier ce que je dis et en plus c'est pas très clair. Mais voilà, en fin de compte j'fais sans doute partie aussi des connards. Autant que tu le saches dès maintenant si…" si quoi ? Hein si quoi Aleksy ? Son cerveau avait failli une information du type je -savais-pas-que-je-le-pensais-avant-de-l'avoir-dit-oh-boy et heureusement pour lui il était parven u à ne pas finir cette phrase en priant très très fort pour que Sixtine n'en demande jamais la fin. Car il ne serait jamais capable de la donner ou de la dire. C'était juste trop pour le moment.
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Mar 25 Mai - 21:19
Sixtine Hawkins
J'ai bientôt 21 ans ans et je vis en Californie, USA. Dans la vie, je suis étudiante et gosse de riche et je m'en sors trop facilement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis en couple avec un con et je le vis plutôt mal.
- douce, attentionnée et positive, des allures d’ange quand elle sourit - gosse de riche flottant au-dessus de la populace, ignorante plutôt que hautaine - cendrillon en pantoufles de verre qui ne s’est jamais trop posée de question sur son environnement - ancienne capitaine des cheerleader librée de l’ancien capitaine de l’équipe de football, du cliché de teenserie - étudiante au beverly hills design institute - prend des cours de full contact en scred et n’a absolument aucune confiance en elle
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Même si elle a l’air un peu nunuche, et qu'elle doit surement l’air parfois, Sixtine n’est pas du genre à s’insurger en criant “on tape pas les filles !”. Elle a connu de sacrées pétasses qui auraient bien mérité une mandale. Si elle a fini par blacklister Chuck c’est parce qu’au final, il n’a pas trouvé de meilleure raison à son geste que “t’étais pas d’accord avec moi”. La blague. Comme si elle comptait lui dire amen everyday and forever. Alors même si elle a encore une marque sur la peau, elle offre à Aleksy le bénéfice du doute. Une chance d’avoir une excuse, ou au moins une explication. Et de toute façon, elle ne comprend tellement pas le pourquoi des événements qu’il lui faut une explication. C’est simplement nécessaire. Alors elle attend. Elle voit le mal-être se prendre dans tous ses gestes puis dans les inflexions de sa voix.
Et puis la lumière se fait tout doucement. Le temps des explications, et que princesse Hawkins mette un sens sur le mot "déploiement" qui ne fait clairement pas partie de son vocabulaire courant. Les lèvres qui s’entre-ouvrent de stupeur quand elle comprend enfin, et prend la mesure de tout ce que pouvaient cacher les froncements de sourcils d’Aleksy. T’es qu’une idiote, ma pauvre petite. Elle ferme les yeux, ses mains qui passent lentement sur son visage le temps d’absorber tout ça. Tout ce que son cerveau commence à imager, peut-être pour le pire. Sans doute bien en dessous de la réalité. Parce que la vérité c’est que ...
_ J’ai dû voir à peine deux films sur la guerre, je supporte pas ça…
Comme si ça avait un foutu rapport espèce d’idiote !!! Elle se mord la lèvre inférieure. Elle a sûrement foiré ce qu’elle voulait dire. Mais trois acteurs qui font genre de tirer dessus, elle est déjà en pls, et en larmes sur son canapé, alors tout ça … pour de vrai. Elle secoue la tête, autant pour chasser ses images débiles de cinéma que pour dénigrer ce qu’elle vient de dire. Et puis elle fait un pas. Vers Aleksy. Un autre, en cherchant son regard, un peu. En tout cas en cherchant son attention, comme pour l’apprivoiser. Passer sans difficulté ses mains sur ses épaules voûtées et l’attirer contre elle. Juste lui montrer qu’elle est là et qu’elle ne part pas. Même s’il y a toujours cette sensation qui coule le long de sa colonne vertébrale, elle s’en fout. Elle la repousse. C’est pas elle qui compte pour l’instant, et encore moins ses frayeurs de gamine.
_ J’te ferai jamais de mal.
Oups. C’est sorti tout seul. Même pas en mesure d’analyser l’utilisation du ‘jamais” la gamine. Déjà écarlate qu’un truc pareil lui ait échappé. Bien contente qu’il ne puisse pas la voir, même s’il doit sentir la chaleur qui irradie de ses oreilles … Erm. La gêne, et une puis un rire nerveux qui perce doucement.
_ Eh bah si on m’avait dit qu’un jour c’est moi qui te ferais peur...
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Leonnor
Jeu 27 Mai - 20:00
Aleksy Kasparov
J'ai bientôt 44 ans ans et je vis en Californie, USA. Dans la vie, je suis Mécano et je m'en sors pas ouf. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et solitaire et je le vis c'est déjà pas si mal.
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Il aurait sans doute ri de sa candeur et de sa douceur s'il n'avait pas été aussi mal à l'aise. Il n'avait jamais parlé de tout ça à personne. Il ne connaissait pas vraiment quelqu'un qui soit revenu de la guerre de toute façon. En général, on ne gardait pas contact avec les frères d'armes contrairement à la croyance. Car revoir ces gens dans le cadre civil ça donnait trop de réalité à quelque chose qu'on aurait largement préféré oublié. Alors dire tout ça à Sixtine qui vivait dans une petite cage dorée c'était quelque chose de particulièrement nouveau et déstabilisant. Le contact le surprend mais il se laisse faire un peu amorphe au début comme une poupée de chiffon. Ses bras restent le long de son corps un moment qui semble une éternité comme en suspension. Et puis finalement, il passe ses bras le long de son corps. D'abord timidement, elle est si petit et si fragile. Il coince son nez dans son cou respirant son odeur pour la première fois véritablement. Une odeur douce et fraiche. Il l'enlace presque aussi fort qu'il lui a serré le bras.
Aleksy commence à comprendre qu'il apprécie Sixtine peut être un trop, un peu trop fort et un peu trop vite. Il soupire intensément, il était déjà sans doute au courant mais la révélation loin de lui faire plaisir le fait cacher cette révélation un peu plus loin en lui. Non c'est juste que c'est un moment un peu étrange et c'est tout. Ça reste une gamine et en plus ils viennent pas du même milieu. Jamais elle s'intéresserait à un gars paumé et fracturé comme il pouvait l'être. Jamais alors autant mettre ça de côté et profiter de ce qu'elle est prête à lui offrir. Il sent au fond de lui des émotions qu'il avait oublié et pendant un moment, il aurait pu aller à se laisser pleurer. Sauf qu'il ne sait plus pleurer, il a oublié depuis la guerre. Mais il ressent de l'émotion, un trop plein de tout de fatigue de lassitude, de bien être aussi et de peur.
" C'est que, tu fais peur quand même faut pas croire." rit-il encore dans son cou ne parvenant pas à se convaincre de la lâcher tout de suite car ça sera une seule et unique fois. La scène doit paraître étrange de l'extérieur. Deux individus de taille, de corpulence et d'âge différents qui ont un moment sur le parking d'IKEA. Sans la lâcher de suite, il finit par lui lancer en se redressant un peu. " On devrait peut être rentrer du coup non ? Enfin si tu veux encore bien évidemment".
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HATAKE
Jeu 27 Mai - 21:21
Sixtine Hawkins
J'ai bientôt 21 ans ans et je vis en Californie, USA. Dans la vie, je suis étudiante et gosse de riche et je m'en sors trop facilement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis en couple avec un con et je le vis plutôt mal.
- douce, attentionnée et positive, des allures d’ange quand elle sourit - gosse de riche flottant au-dessus de la populace, ignorante plutôt que hautaine - cendrillon en pantoufles de verre qui ne s’est jamais trop posée de question sur son environnement - ancienne capitaine des cheerleader librée de l’ancien capitaine de l’équipe de football, du cliché de teenserie - étudiante au beverly hills design institute - prend des cours de full contact en scred et n’a absolument aucune confiance en elle
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Elle en tremblerait presque. De ce contact qui dure et s’intensifie. La pression des bras de cet homme qui la rassure plus qu’elle ne l’inquiète. Creusant la courbe de son dos à mesure qu’elle se fond contre lui. Les dents qui claquent une fois quand même, lorsque le souffle chaud d’Aleksy vient balayer la peau trop fine de son cou. Respire, Six, respire. Fais de l’humour parce que sinon, l’un de vous deux risque de s'effondrer ou de pleurer sur ce fichu parking, et ce serait assez peu agréable comme situation. Alors elle raconte des bêtises, campée sur ses deux pieds, le plus droite possible, l’impression de soutenir un géant du bout des bras et du peu qu’elle a à offrir. Il rit, un peu, elle rit encore. Soulagée d’entendre autre chose que la peine dans le timbre de sa voix. Chatouillée aussi par les brises qu’il agite contre sa gorge.
_ Je suis terrifiante alors ? Je note.
Dans son ensemble à tournesol. C’est vachement menaçant les blondinettes à fleurs. Elle secoue doucement la tête et lui laisse encore le temps dont il a besoin. Parce que même si c’est elle qui a une marque rouge sur l’avant-bras, Sixtine sait parfaitement que ce n’est pas elle qui est meurtrie. La citation vient d’une série franchement pourrie : “est-ce que tu as mal, ou est-ce que tu es blessé ?”; mais elle l’avait marquée. Suffisamment pour qu’elle y ait repensé plus d’une fois, et qu’elle lui revienne en tête à cet instant. Et dans ce cas-ci, elle n’avait pas vraiment besoin de poser la question à Aleksy pour connaître la réponse.
_ Oui ... J’ai toujours rêvé de me planquer dans un ikea jusqu’à la fermeture pour y passer la nuit … mais en vrai j’ai trop la trouille pour tenter l’expérience. Alors rentrer c’est mieux.
Elle raconte encore des bêtises, Six. Même si c’est la stricte vérité. Et que la vraie bêtise est que si elle a peur, ce n’est pas de se faire choper par un quelconque gardien et risquer des démêlés avec la justice, non. C’est qu’elle avait les chocottes juste parce qu’elle avait vu beaucoup trop de films d’horreur. Et si le gardien avait une existence nettement plus plausible que les mauvais esprits, elle avait nettement plus peur des mauvais esprits. bref. La gamine sourit de toutes ses dents en attendant les quelques secondes encore nécessaires à Aleksy pour qu’il puisse tenir droit seul. Et puis elle pousse de toutes ses forces de mouche sur le chariot pour le faire avancer, tâche un peu ardue jusqu’à ce qu’il ait pris un peu d’élan.
_ T’as vu j’arrive à pousser des meubles à moi toute seule. Une vraie terreur.
Qu’elle commente en secouant encore la tête. Elle n’a toujours pas compris pourquoi il lui a dit qu’elle faisait peur, Six. Elle veut lui poser la question, mais elle la garde pour plus tard. Ce n’est sans doute pas le bon moment. Pour l’instant elle préfère l’aider à charger la camionnette et à retrouver ses semblants de sourires.
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Leonnor
Ven 4 Juin - 22:08
Aleksy Kasparov
J'ai bientôt 44 ans ans et je vis en Californie, USA. Dans la vie, je suis Mécano et je m'en sors pas ouf. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et solitaire et je le vis c'est déjà pas si mal.
43 ans - Mécano dans la restauration de vieilles bagnoles pour les riches. - Grogne plus qu'il ne parle - Cogne plus qu'il ne cogite - Ancien vétéran avec un PTSD non suivi - Classe basse/moyenne de la population.
Et aussi vite que le trouble s'était installé, c'était comme s'il s'était diffusé. Elle avait ce don de rendre les choses plus chaleureuses et peut être plus simples. D'un côté, il était heureux que la crise n'ait pas duré. Il n'aurait pas voulu que la jeune femme découvre sa face sombre trop vite. Déjà qu'il n'avait pas véritablement l'impression d'avoir un côté reluisant. Il se demandait sincèrement ce que Sixtine lui trouvait. Il la laisse parler pour diffuser la tension et il se contente de lui offrir un sourire en retour. Parce qu'elle a ce don de toujours le faire rire.
"Terrifiante, je ne vais pas dormir cette nuit c'est certain." Sur ces mots, il retourne dans la fourgonnette et prends la place conducteur. "Enfin ce qui fait peur, ce sont tes talents de conductrice." lance-t-il sur le ton de la raillerie. Il aime bien la taquiner car il aime bien voir son visage passer par toutes les expressions de l'arc-en-ciel. Parfois, il aurait envie de pincer ses petites joues quand elle fait la moue boudeuse. Juste pour l'embêter un peu. Le chemin se passe tranquillement sans qu'une autre anicroche ne se produise dans l'enceinte du véhicule. Après plusieurs minutes de route, ils arrivèrent enfin devant chez Aleksy. Il y avait l'air de rien un certain nombre de boites et de meubles et bientôt la maison de l'homme en fut complètement envahie.
"Je n'avais pas pensé que ça prendrait autant de places haha. On dirait que je suis en train d'emménager. Et en plus y'avait une femme pour me dire quoi acheter. On est pas loin du cliché." Voilà qu'il se trouvait de plus en plus loquace avec la jeune femme. Il avait envie qu'elle passe une soirée agréable et il savait qu'il n'avait pas toujours été celui qui communiquait le plus. Il se tourna vers la fleur ambulante qui se trouvait à côté de lui avant de prendre la parole. " Bon chef, comment on s'organise ? Quel est le plan, là j'avoue que je suis paumé. " lance-t-il avec un air sérieux du militaire. "J'attends vos instructions, Sergent."
Univers fétiche : réel, hp, cyber, anime, dark et fluffy
Préférence de jeu : Les deux
HATAKE
Ven 4 Juin - 22:41
Sixtine Hawkins
J'ai bientôt 21 ans ans et je vis en Californie, USA. Dans la vie, je suis étudiante et gosse de riche et je m'en sors trop facilement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis en couple avec un con et je le vis plutôt mal.
- douce, attentionnée et positive, des allures d’ange quand elle sourit - gosse de riche flottant au-dessus de la populace, ignorante plutôt que hautaine - cendrillon en pantoufles de verre qui ne s’est jamais trop posée de question sur son environnement - ancienne capitaine des cheerleader librée de l’ancien capitaine de l’équipe de football, du cliché de teenserie - étudiante au beverly hills design institute - prend des cours de full contact en scred et n’a absolument aucune confiance en elle
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Dove Cameron
L’indignation. C’est ce qui résume au mieux la bobine de Sixtine déjà quasi vexée de voir l’homme lui piquer sa place de conductrice. Mais alors, elle est à deux doigts de monter sur ses grands cheveux (ou pas) devant le tacle d’Aleksy, avant de capter que c’est une blague. Miss premier degré, bonjour. Bref, les voilà de retour en voiture, puis de retour à la maison. Enfin, chez Aleksy. Pas “à la maison” même si la formulation est étrangement passée dans la pensée consciente de Sixtine. N’importe quoi. Ayé, elle supervise l'acquisition de trois étagères et un cactus (ok elle exagère), mais elle se sent déjà chez elle, la gamine. Mais l’avis est, semble-t-il, presque partagé par le réel propriétaire des lieux.
_ Bienvenue dans la vie des banlieues chics... T’as jamais regardé desperate housewives ? Je suis la rouquine coincée, républicaine qui tire au fusil à pompe sur ses ex-amants trop collants.
Dans ses rêves oui. D’autant que si Bree a toujours été sa favorite, et de loin, elle s’avère être plutôt un mélange des plus mauvaises parties de Susan et Gabrielle … enfin à son avis. N’empêche que l’idée du fusil à pompes lui a furieusement traversé l’esprit le jour où Chuck avait tenté de venir la voir à la maison. Hic étant que si papa a ses jouets d’américain moyen, elle n’a jamais appris à s’en servir. Anyway. La voici dans tous les cas propulsés à un grade qu’elle imagine élevé de l’armée de terre. ce qui la fait bien rire.
_ Sergent peut-être pas, mais tu peux garder le “chef”.
Ca lui plait bien à la gosse qui se sent presque pousser des ailes. Beaucoup plus assurée dans ce petit bout d’espace-temps créé ici par Aleksy que dans le reste de son quotidien.
_ Alors on va trier. Mettre déjà les choses dans les pièces où elles vont et puis comme ça après tu peux t’occuper des pièces une par une selon la motivation…
Sixtine, professionnelle pour achter des trucs et les laisser deux semaines dans l’emballage avant de les ranger. Comme quoi c’était vachement nécessaire de les acheter … erm.
_ Mais ! Avant tout atelier bricolage qui se respecte, il faut une bière !
Ici siègent les 5% de beauferie de la blondinette. Bon ok, plutôt 10% avec le coup de la camionnette ...
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