Je m'appel Emery, j'ai 28 ans et je suis Belge, originaire de la pleine forêt Ardennaise. Je suis passionné de philosophie, d'histoire, théogonie et cosmologie ancienne et je suis environnementaliste de formation.
Je suis un grand adepte de Nietzsche - Schopenhauer - ou encore Kant, ainsi que de la pensée d'Hésiode. Je suis également un grande adepte du double langage Scientifique | Spirituel.
Information Rp:
› Un personnage = 1rp ! › Pas de romance m/f › Pas de S-F / Disney / Manga
Mon type de rp :
J'aime beaucoup les rp assez sérieux, qui durent dans le temps. Que ce soit tout dans le même topic, à travers différents contextes ou à travers une série de topic. J'aime respecter la chronologie et donc prendre mon temps pour faire évoluer une relation entre personnage.
Je sais aussi faire du " one-shot " des rencontres rapides, j'ai tendance à fournir des réponses un peu moins remplies ou sérieuses dans se genre de cas. Après je pense pouvoir m'adapté à tous type de rp car j'aime bien évoluer. Je fais par contre plutôt rarement des univers tirés de série ou jeu vidéo.
Mes habitudes :
Je réponds dès que j'ai lu en général. J'aime être dans le direct, pour rester cohérent avec mon jeu, si ça prends du temps, je relis toutes les postes précédant pour ne pas créer de sourie scénaristique, donc je pense être consciencieux. Par contre, j'ai tendance à relire l'orthographe qu'après avoir posté… ( J'utilise BonPatron ) Je suis pas le plus doué pour commencer, mais ça ne me dérange pas.
Après ça ne me dérange pas que la personne en face écrive moins ou réponde moins vite, encore une fois je m'adapte facilement, par contre j'aime bien être tenu au courant et si un rp tourne en ronds ou qu'un réponse bloque, je préfère en parler que poireauté bêtement sans savoir car je joue mes personnes qu'un à la fois et donc ça me les " bloques ". Donc communication !
Mes personnages :
Ils sont triés par univers, donc ça ce voit tous de suite. J'ai beaucoup de personnages fantastiques et réalistes, dont plein d'idées en réserves, mais dans le fond j'ai surtout deux catégories de personnages. Les gentils au cœur tendre et les impassible au passé sombre. Après je ne joue jamais de romance m/f. J'aime bien créer des personnages, si un univers ou un autre personnage m'inspire, j'ai pas de soucie à me mettre au clavier et pondre une fiche dans la soirée.
Je tiens à préciser que mes personnages ont parfois des réactions qui semble froide ou incohérente. Hésitez surtout pas à me prévenir dans ce genre de cas, que je change. Car c'est juste moi qui ne comprends vraiment pas très bien les conventions sociales ou les émotions humaines. Tous ça, mais j'aime m'amélioré. Donc ne bloquez pas et surtout prévenez moi.
Exemple de mon écriture :
J'écris à la première personne, ça c'est non négociable désolé. J'ai l'habitude d'écrire un personnage à la fois, mais je me suis lancé le défis de faire des posts multi-personnage à la première personne. J'ai peur de rien !
Exemple de mon style d'écriture sérieux :
Tout était là, si beau et immuable dans leurs peines. Les murs dégrader, débordant de peinture comme de rage, parsemé de débris, qu’ils soient humains ou non. Cette air, pollué de souffrance et d’idylle impossible. Toute cette ambition morte avant d’être né, toute cette rage renfermée et toutes ces âmes à sauver. Les rues étaient le reflet de ce monde, oublié dans un quartier mis de côté. Torturé par des quotas de bienfaits incessant et impossible. Borné à croire que le problème forme le point final d’une vie. Et je marchais, fantôme parmi les Hommes, parmi les miens, et partout où me portaient mes pas, cette même vision s’offrait à moi. Il était beau de voir les prouesses qu’on former la promesse de Darwin. Voir le mensonge bien polis, vernis, choyé des membres d’un conseil pourrit en son centre. L’Est, l’Ouest, tous empestaient de ce mensonge doré.
exemple de mon type d'écriture moins sérieuse :
J'endossais péniblement une allure de jeune homme très banal, suffisamment différente de mon corps de base pour ne pas être reconnu, mais suffisamment proche pour ne pas risquer de me disloquer en mode lasagne en court de soirée. J'avais une sainte horreur de ça, à la moindre émotion les pans de ma peau se remettaient à se dissocier du reste de mon corps. Autant vous dire que ça animerait la soirée. Aller Sonny mode sérieux un petit peu, tu es le parent responsable, ce soir. J'ai regardé inquiet Alfredo à coté de moi, qui tapait du pied en fixant sa montre, le visage garnit de son éternel non-sourire. Y-en-a un qui allait prendre pour son grade, s'il ne se pointait pas très vite !
...
Expérience Darwin
C'est mon contexte fétiche, je le fais évoluer et grandir, il a même une version papier avec ces fiches et ces dés, donc j'ai un grand plaisir à le partager et à échanger sur le sujet pour me permettre de le faire évoluer toujours plus loin ! Mais ça ne veux pas dire que je suis imperméable aux autres contextes loin de là !
Par contre, je ne me vois pas adapté des personnages de ce contexte là à d'autre, j'ai trop de background, et toutes les habitudes qui vont avec, donc ils sont réservés à ça. Mais, je suis pas contre faire du " choc de culture " que nos univers se rencontre au court d'un rp, tant que ça colle avec mon personnage, ça me va.
Mr.X était un scientifique de bien triste renommé. Caractérisé par son envie de voir les humains dépasser leurs limites, il avait été radié à la suite d'expérience personnels, qu'il pratiquait sur les sans abris en besoin d'argent ou sur les in fortuits en désespoir de guérison. N'abandonnant pas son rêve, il voulu redorer son blason en apportant à ces paires un projet unique au monde. " L'expérience Darwin ". Ces dernières le rejetèrent en bloc, l'accusant pour son manque d'éthique et ses affabulations.
Time Line
2012 > Début des expériences de monsieur X sur lui-même. 2022 > Ouverture de la brèche vers Outres monde. 2025 > Début du travail sur les 7 nouveaux gènes. 2028 > Les 7 formules sont terminées. 2029 > Détournement des médias et diffusion de la Promesse. 2030 > Première formule trouvée. 2031 > Conflit Mondial + frappe nucléaire Russe. 2032 > Défaite des USA + Destruction de leurs territoires. 2033 > Formations des Puristes + Quête du plis de la brèche.. 2035 > Apparition de Master, grâce à l'un des sept miracles. 2037 > Fondation de Lazarus. 2040 > Migration total des survivants vers l'Europe central. 2043 > Création des îles pénitentiaires + fermeture des frontières. 2050 > Dernier conseil mis en place + Porte d'Almagare Ouverte. 2054 > Année " Sombre ", dû aux attaques terroristes. 2055 > Today.
Armadïel > Effet secondaire : douleur / crampe dans les muscles / Plus lourds. > Espérance de vie : un peu plus. Organes plus stables et résistants. ( par rapport aux humains.) > Fréquence : 18% de la population. > Description : - Apparence : Très beau, partiellement de métal, grand, musclé. - Don : Capable de condenser le métal en eux ou sous forme d'arme " émotionnel " et de lame. Ou en armure directement sur/dans le corps. - Relation : Excellente, souvent dans la milice. - Condition : Adulte ( ou douleur notez ) et calme émotionnel. > Note de Mr. X : Il ressemblait à un ange de métal ! Gardien du paradis, lourdement armée ! Sa beauté froide est trompeuse. Méfiance… Je sens en lui une autorité naturel et une puissance immense. Insoupçonnée. Je l'appel l'Armadiël.
Galaïel > Effet secondaire : Instinct évoluée, associable, sens accrue ( sensible ). > Espérance de vie : semblable, mais plus de zoonose. ( par rapport aux humains.) > Fréquence : 12% de la population ( 58% animal / 35% végétal / 7% autres ) > Description : - Apparence : Soit mêler d'attrais animal, soit végétal, soit fongique. - Don : Lier aux physiques. Ainsi que la capacité à se lier à une ou deux divinité des éléments, tous comme à la nature et ces mystères. - Relation : Beaucoup entre eux. Insociable voir impulsif. - Condition : Bonne condition physique et mental. > Note de Mr. X : Est-il de l'ordre de l'animal ou du végétal ? Cette chimère parmi les Hommes… Il me hante de son regard bestial, sanguin. Le feu le respect, l'eau l'élève, le vent porte ses murmures et la terre se rappel de ses pas. Je l'appel Galaïel.
Cumael > Effet secondaire : Infertile / Instable et vite dépendant psychologiquement. > Espérance de vie : Inconnue. ( par rapport aux humains.) > Fréquence : 10% de la population. > Description : - Apparence : Prépubère, munies d'un ensemble de canine et d'un carme efficace. - Don : Changeant en fonction de la personnalité du sujet. - Relation : Apprécier, sous-estimé. - Condition : Enfant ! Mature et bien réfléchis par ses motivations. > Note de Mr. X : On n'aurait dit un simple enfant de 10 ans. Mais son sourire le trahis. Féroce ! Il ne faudra pas être dupe face à un tel être. Je peux sentir son essence profonde. Magique ? Comme une toile finement tissée… Je l'appel Cumael.
Vimentel > Effet secondaire : sang froid / agressif / hyper actif / Grand appétit l'été. > Espérance de vie : plus longues. ( par rapport aux humains.) > Fréquence : 8% de la population. > Description : - Apparence : Reptilienne, grand, fort, musclé, imposant le respect. Les plus pur sont parfois chimérique. - Don : Leurs forces et leurs endurances exorbités et leurs capacités à communiqué avec les élémentaires. - Relation : Craint et surveillé de la milice. Bagarreur. - Condition : Grand, autoritaire, décidé, musclé, adulte. ( optimal ). > Note de Mr. X : La science sait que les dragon n'existent pas ! Pourtant s'en dresse un devant moi ! Si brute, ces écailles brillant de nouvelles couleurs. Je l'entends parler parfois aux êtres qui me sont invisibles. Son mystère donne envie. Je l'appel Vimentel.
Mentanel > Effet secondaire : fracture mental / trouble de la réalité / folie. > Espérance de vie : Plus courte. ( par rapport aux humains.) > Fréquence : 5% de la population. > Description : - Apparence : Petit de leurs mètre 60, aux oreilles pointus, ils semblent innocent avec leurs grands yeux. - Don : Télépathe, télékinésie, Inception, etc. Et comme leurs corps est lier à leurs esprit, des capacités physiques surhumaines. - Relation : On s'en méfie beaucoup. - Condition : Bonne résistance mental, petit, jeune et souple. > Note de Mr. X : Je déteste sa voix. Elle entre dans ma tête, pour chanter chaque mouvement de mes pensées. Si petit, encore une fois trompeur. Ces fines oreilles pointus, témoignent de sa malice, quand il commande aux pensées, aux objets ! Prudence ! Je l'appel Mentanel.
Distorïel > Effet secondaire : Dislocation / Défiguration / Mort. > Espérance de vie : Large. ( par rapport aux humains.) > Fréquence : 8% de la population. > Description : - Apparence : Informe, illogique, disparate. - Don : un contrôle totale de leurs cellule allant de la régénération à la polymorphie. - Relation : Aduler sous leurs costumes. - Condition : Grand, jeune, résistant, inventif. > Note de Mr. X : Je ne peux décrire l'être qui m'accompagne. Informe, illogique, une hérésie. Mais ! Il suffisait de battre les cils pour qu'il se change en un être des plus parfait. Je vois en lui un immense danger ! Je l'appel Distorïel.
Nightëel > Effet secondaire : Cauchemar / angoisse / Hallucination. > Espérance de vie : Identique. ( par rapport aux humains.) > Fréquence : 11% de la population. > Description : - Apparence : Cheveux noir, ongle noir, yeux noir sur une peau blanche. - Don : Il peut jouer de vos peurs, les lires, les invoquer, les insuffler, … Certains très purs rêve de l'avenir. - Relation : Souvent éviter, inspirant la peur. - Condition : Calme, stable, stoïque. > Note de Mr. X : Votre pire cauchemar ! Le Nightëel.
Hybride : > Effet secondaire : Infertile / Instable / Fragile / Incontrôlable / Folie / Mort. > Esperance de vie : faible. ( par rapport aux humains. ) > Fréquence : 2% de la population.
Humain : > Esperance de vie : 85 ans. > Fréquence : 26% de la population.
Physique : Un bon mètre soixante cinq perché sur des pattes digitigrades, il aborde également deux cornes circulaires, une queue de fauve et des griffes et oreilles entre l'homme et le loup. Totalement albinos, il montre les crocs à la première remarque sur le sujet.
Il s'habille souvent en blanc, de vêtement ample pour laissé sa queue bouger librement. Il aime aussi décorer ces cornes de fines chaînes et bijoux à l'occasion. On ne le verra par contre jamais porter la moindre chaussure, peut compatible avec ces patounes, qui résistent d'ailleurs très bien aux intempéries.
Il supporte pas bien le contact physique, surtout autours de son tors, la cicatrice de son passée étant toujours sensible. Il l'arbore et la cache en même temps. Prit entre les deux trames du temps. Il ignore s'il doit le conduire ou le pousser à fuir se passer compliqué. Sinon on le verra parfois tenter de coiffer ces cheveux, mais des cornes pareil, voilà... Non Disponible
Psychologie : Amnésique de sa jeune enfance et en recherche constance d'une chose encore inconnue. Il a le sale caractère de sa race, dominant et incompris des humains, il se lies avec le vent dans des chants nocturne dont tous le monde ignore l'existence. Doté d'un humour peu commun et d'un répondant peu farouche, il lui arrive très souvent des misères que sa belle gueule ne peut rattraper.
C'est un grand sensible, caché sous un caractère bien corsé. Il a grandi en orphelinat et prends plutôt mal le fait d'être amnésique, car souvent les souvenirs sont leurs seuls bien là-bas. Mais plutôt que vivre dans le regret, Angel s'épuise à toujours rendre les situations légères et douces. Il aime provoquer, titiller, s'amuser. Car s'il s'arrête il plonge dans un sentiment noir et profond qui l'englue tout entier dans une mélancolie familière.
Il tiens beaucoup à son meilleur ami et psy, Nightëel rencontré à l'orphelinat et avec lequel il entretient et très forte relation fraternelle. Mais il n'oublie pas que quelqu'un ou quelques chose l'appel en dehors et on le verra souvent quitté du tous au tous ses activités pour partir courir après, littéralement.
Histoire Complète:
Son premier souvenir est un ciel d'hiver, remplie de flocons lui tombant sur le visage, ce n'est quand passant sa jeune main d'enfant, encore timide, dessus qu'il compris qu'elles se mêlaient de cendres. Cendres provenant de l'immense bâtisse maintenant simple bois brûlé devant lui. Les nonnes l'avaient retrouvées ainsi, habillé d'un simple pull, blessé et sans le moindre souvenir. Il avait certes eu les années pour essayer de s'en rappeler et les indices de son corps pour le conduire, mais jamais, même aujourd'hui de ses 21 ans, il n'eu la moindre réponse. Il sait toute fois, que quelqu'un ou quelque chose l'attends. Comme il l'attends en retour.
Il avait quitté l'orphelinat tous fraichement à sa majorité, prenant en main son destin et rejoignant son cher Golan dans son exemple. Il avait loué un petit studio, pas bien glorieux, en passant d'un job à l'autre. Mais les débuts étaient très compliqués, car il n'arrivait pas a accepter l'autorité de la plupart de ces supérieurs. Souvent, il finissait par grogner effrontément au nez de ces patrons, qui le licencier sans sommation. Il était dur de vivre en tant que Sang Pur Galaïel. Les règles des hommes étant si différente de celle que lui dictait son instinct. Il devait sans cesse, prendre sur lui. Et bientôt il s'en eu user les dents à force de les serrés pour ne rien dire.
Heureusement, tous ça fini, comme toute chose. Il travaillait aujourd'hui pour un fleuriste, Galaïel assez peu dosé, il avait accepter de jouer avec les mêmes règles et entretenait un semblant de bonne relation. Il avait ainsi pu déménager dans un coin un peu plus vert et passant tous son temps libre à voyagez jusqu'à la porte pour courir un peu les grandes et nouvelles forêts de ce monde.
Avec le temps, Angel se retrouvait de plus en plus à fixé un point dans le vide, comme si quelque chose était sur le point de lui revenir, mais qu'il s'enfuyait juste quand on le remarque. Il se retrouvait après avec un sentiment lourd de fatigue émotionnel. Souvent suivit d'une bonne migraine, il avait trouvé un bon moyen de se soigné dans les alcools des tavernes. Bien qu'ils lui apportèrent son lot de rêve étrange et décousis. Des rêves de chaleurs, de fumés et d'une voix. On pouvait noter un autre changement dans on comportement, récemment. Il agissait parfois, comme si une ombre le suivait. Comme s'il était traquer et à quelques reprises, on l'avait même surpris à éclater un miroir. Le reflet de son propre visage lui étant devenu trop horrifiant.
Il n'en était pas encore à l'étape de la folie établie, mais son meilleur ami commençait doucement à s'inquiéter et s'invitait de plus en plus à l'occasion pour surveillé son comportement. Ils avaient pourtant tous deux, passé des choses bien plus étrange. En effet, à leurs 16 et 17 ans respective, le pouvoir de Golan avait refait surface dans un pic inattendu. Et il est a noté, que pour un amnésique, voir des peurs incomprises d'une enfance oublié ce rejouer sous ces yeux, n'avait pas exactement été sans incident. Il avait plongea dans une crise d'hystérie, balafrant son jeune ami dans la surprise. Aujourd'hui encore Golan gardait cette cicatrice qui lui barrait le visage à l'horizontal. Mais il en était fier, fier d'avoir vécus ça avec lui, de l'avoir surpasser et affronter. Ensemble, ils pouvaient le faire. Cette étape ne ferait pas exception.
- Age : 21 ans - Taille : 1m65 - Poids : 55Kg - Note social : 6/10
Un dernier mot ?
Savoir d'où l'on vient, pour savoir où on va. Faux. Savoir où on veut aller et s'en foutre du passé !
Golan G.
Physique : Golan est un garçon de taille moyenne avec son mètre septante et sa taille fine. Ces grands yeux d’un rouge profond en disent long sur sa façon d’être et son calme. S’il daigne toute fois vous sourire vous tomberez surement sous le charme de ces belles dents blanches et de son visage enfantin par instant. Pour le reste il est tel que la formule l’a fait : La peau pâles, les cheveux noir qu’il peut attacher, un air sombre et souvent un peu terrifiant.
Il a également une cicatrice qui lui traverse le visage, mais il en est presque fier. Que dire de plus, il a une très belle voix, est assez agile et de manière général il est charmant. Pourtant vous pourriez le voir en mode pucelle hystérique avec un bête sourire aux lèvres et les yeux pétillant, ne vous posé pas de question, c’est normal. On notera aussi que quand son pouvoir ce déclenche a peau se strie de marques noir le recouvrant presque en entier et si par malheur une crise se profil, on ne verra de Golan plus qu’une ombre à l’œil terrifiant.
De manière plus large Golan s’habille de façon très, très particulière. Que ce soit avec ces sweats de couleur rose à tête de grenouille ( oui ! ). Ces pantalons slims rouges troués et j’en passe. Il garde toute fois un goût prononcé pour les vêtements très moulant. Mais attention, il ne se permet ce genre de chose qu’en dehors des heures de travail. Très professionnelle le costume va très bien à Golan et lui donne une maturité nouvelle qu’il absorbe avec une grâce non dissimulée. Il faut noter qu’il passe très bien de l’un à l’autre d’ailleurs ce qui le rends difficilement reconnaissable pour ces patients qui le croisent en rue. Chose qu’il apprécie. DISPO
Psychologie : Notre Nightëel est quelqu’un de très calme, placide, stoïque, ce qui est de mise dans son métier. Il sourit bien volontiers et peut se montré plus que charmant. Il est très à l’écoute et ne juge jamais les gens. Il peut toutefois montrer une partie bien plus sombre de sa personnalité. Dévoré par la peur du noir il peut se montré d’une violence peu commune et devenir même hystérique si on l’y pousse. Vous remarquerez surement aussi qu’à chaque question posé sur son passé il racontera une version différente et plus farfelus les unes que les autres. Il n’y a que devant son ex petit ami et meilleur ami qu’il révèle son côté cute adorable, voir collant et à la limite du « mais bordwal il fait quoi là ? ». Un conseil, ne touché jamais aux garçons de cheveux blancs sauf si vous voulez mourir de façon barbare. Il y est en effet très attaché. Maintenant c’est un garçon qui se fait assez facilement des amis, de par sa faculté de suradaptation. Que dire de plus ? Il est très curieux, gourmant, extravertie et parfois bien trop passionné et possessif !
Du point de vue vie privé et professionnelle Golan est presque opposite. Dans la première il se montre très extraverties, il sourit beaucoup, est du genre à rendre service, en total opposition avec les clichés raciale. Il est aussi d’un protecteur un peu trop oppressant par moment. Dans l’autre partie de sa vie, la professionnel, il est d’un calme plat, sait écouter, parle peu mais dis toujours les mots justes à entendre et a une diplomatie qui ne s’applique pas toujours. Il part du principe que parfois la vérité DOIT faire mal. Vous remarquerez donc en effet que notre cher ami à vraiment divisé sa vie en deux. Il est aussi du genre à aimer faire la fête qu’à aimer rester chez lui lire des livres. Toutefois il n’aime pas vraiment rester seul, il n’éteint jamais toutes les lampes et il écoute UNIQUEMENT de la musique classique. Eternelle amoureux il n’est pas du genre à renoncer à ces valeurs pour faire correspondre celles des autres.
Quel est la peur la plus primitive à vos yeux ? Quel peur tous les enfants ont en commun ? Quelle chose terrifie même certain adulte ? La réponse est : le noir. Notre cher Nightëel la bien compris et dès que ces pouvoirs ce sont manifesté il a pris le pas sur sa plus grande peur pour en faire une force. Vous avez bien compris, Golan tire son pouvoir de sa propre peur. Son ombre le regarde et se nourrie de ces terreurs. Chaque fois qu’il utilise son pouvoir, il laisse cette partie de lui sombré un peu plus dans la folie. Lui marquant la peau, l’âme, il n’est plus qu’un monstre. Plus il a peur, plus il devient puissant. Je vous laisse donc imaginez le fardeau que ça peut-être pour lui. Un pouvoir qu’il ne contrôle pas, une peur des plus primitives. Oui Golan contrôle les ombres et le noir de chaque endroit, il s’en imprègne comme s’il s’agissait d’un simple objet et les laisse devenir esclave de ces vœux. Mais bien entendu il l’évite le plus possible, qui aime faire face à ces peurs après tout ? Pour résumé un peu la chose, disons que Golan ne contrôle que ces propres peurs, ce qui reviens souvent aux ombres qui sont sa terreur première. Mais quand il se retrouve en pleine crise de délire, quand la plus grande de ces peurs ce manifeste, elle aussi devient réel. S’il a peur de voir ces amis mourir, ils mourront, s’il a peur de finir brûler, il brûlera, s’il a peur de finir seul, il le finira. Vous avez compris le principe je pense. Un pouvoir certes puissant, mais aussi un des plus contraignants.
Histoire Complète:
Est-ce qu’il existe une bonne formule pour commencer une histoire ? Existe-t-il une bonne façon de raconter les choses ? Faut-il toujours les scénarisé, les rendre belles et intéressantes voir dramatique ? L’histoire de Golan n’est rien de tout ça, elle est juste ce qu’elle est, tout simplement. Ni voyez pas un drame à pleurer ou une histoire à vous fendre les cœurs, lui-même ne voit pas la vie de cette façon. Après tout ça commence de façon très banale. Un papa, une maman, une petite sœur et lui. Mais la vie est ce qu’elle est et il ne faut pas la juger pour autant. Golan c’est retrouvé dans un orphelinat au début de son adolescence, il était devenu Nightëel, froid, calculateur, et possédait un sourire à vous glacez le sang. Il ne parle pas souvent de son passé et pour cause, il en a vraiment honte.
Parfois sans savoir pourquoi on se retrouve pris dans un genre de cercle vicieux, à l’arrivé de l’adolescence on veut devenir rebelle, aller contre les avis, choqué même pour le plaisir ! C’est ce sentiment qui à pousser notre jeune ami à s’injecter la formule Nightëel. Il n’avait pourtant pas appliqué beaucoup d’effort dans son geste. Pas de trafic à l’arrière d’une ruelle, pas de faux semblant devant un ami, il avait juste économiser en faisant pas mal de petit boulot et il se l’était acheté dans un magasin spécialisé. Sans plus. Et mise à part teindre ces cheveux en noir et délaver sa peau, la formule ne lui avait strictement rien fait dans un premier temps. Il rentra tout de même avec une fierté non dissimulé chez lui, piercings aux oreilles et trait noir sous les yeux. Il se donnait un style plus que rebelle, aux déplaisirs de ces parents. Un ado de merde, il n’y avait pas d’autre mot pour le décrire en ces moments. Et lui-même en était bien conscient.
C’est dans l’esprit de sa sœur qu’il a pu lire ses premières peurs. Celle de raté ces examens, celle de ne pas se réconcilié avec son ami, celle de ce fâcher avec son frère et surtout sa peur du noir. Il avait sentie chacune de ces peurs comme si elles lui appartenaient. Il avait senties ces craintes augmenté quand ces parents y mirent du leurs. La peur de voir leurs enfants tournée aussi mal, la peur de ne pas pouvoir payer le loyer de ce mois, la peur de voir tout le monde mourir. Le souffle cours une fois de plus Golan se laissa submerger par tous ces sentiments qui devenaient sien au fur et à mesure. Il ne laissait pourtant rien paraitre, il ne disait rien, dans son fichisme rebelle il gardait simplement le visage baissé devant ces parents qui n’interprétaient ça que comme une passade sans importance. Seule sa sœur venait parfois lui parler avec un sourire radieux. Petit ange sans couleur, elle était la prunelle de ces yeux. De plus en plus, les nuits de notre ami furent peuplé de cauchemar, la peur du noir l’avait envahis, elle n’était pourtant pas sienne de base. Mais il ne pouvait plus rien y faire et chaque fois qu’il refusait d’y penser, elle prenait plus de pouvoir sur lui.
Il fut un moment où ces parents comprirent que les agissements de plus en plus reculé de leurs fils n’étaient pas dû à une simple passade de l’âge, mais leurs paroles ne purent rien changer. Golan sentait leurs peurs de ne pouvoir l’aider, malgré eux, il aggravait les angoisses du jeune Nightëel. Et il fut un jour où ça explosa.
Ce n’était pourtant pas une peur plus grande ou plus forte que les autres. C’était une peur des plus simples. Les examens approchaient de plus en plus et ne dormant presque plus, Golan avait toute les chances de les ratés, son angoisse de décevoir ces parents, malgré tout il les aimait c’est humain, son angoisse de décevoir sa sœur qui l’admirait tant ! Dans sa chambre, penché sur ces cahiers, il ne pouvait tout simplement plus ignorés tout ça. Il explosa, littéralement. Il ne put décrire l’évènement et aucun regards extérieure ne peut aujourd’hui en témoigné. Pour lui les choses se sont résumé de cette façon, d’abords la peur, en suite le noir et puis plus rien. Quand il reprit ces esprits, il ne ressentait plus aucune peur extérieur. Seul les siennes étaient présentes. Il en était libéré ! Un sourire vint diviser son visage, un sourire grotesque témoignant à la foi du soulagement et de la tristesse. Tout était fini, il n’y pouvait plus rien. Et c’est presque sans sentiments qu’il se résigna, plus rien ne pourrait être pire après tout. Il avait passé le plus gros cap.
- Je suis désolé petit ange sans couleur, c’était sans doute trop gros pour que je puisse l’assumé tout seul…
Finalement Golan arriva à l’orphelinat avec toujours ce sourire. Il le garda jusqu’au moment où ces yeux rencontraient un regard aussi rouge que le sien. C’est un ange ! Voilà la première penser qui lui traversa l’esprit quand il vu Angel ce tenir là à le regardé un sourcil lever, la tête pencher. Il me juge, fut la deuxième pensé qui lui traversa l’esprit. Très vite il comprit que ce petit grain de garçon Galaïel était d’une agressivité qui lui rappelait son époque rebelle. Très vite il apprit à devenir celui qu’il fallait pour lui, celui qui l’écoutait sans le juger. Mais sa part de curiosité le poussait à vouloir comprendre le passé oublié de ce dernier. Pendant des années il essaya de le poussé à ce confier à lui.
- Ange, pourquoi tu ne me parles pas de ton histoire ? - Parce que, j’m’en rappel pas je te signal. - Je sais que tu as quelques souvenirs… - Certes, mais qu’est-ce que je t’ai déjà dit ? - Je sais je sais…
Et je savais, il ne se confiait jamais vraiment à moi. C’était douloureux, je voulais l’aider ! Il n’était pas seul avec ce fardeau ! Mais j’essayais vraiment de respecter ces coutumes et ces envies. Je l’aimais, je l’aime sincèrement après tout, il était mon frère, par choix.
Prenant à cœur les règles de sa race il devient l’Alpha de ce même garçon. Tous deux étaient devenus inséparables, et petit – petit Angel rendait la confiance de Golan lui accordait. Leurs unions furent tout simplement parfaites. Une famille parmi les orphelins. Et bien entendu, il fut un jour où la curiosité de notre ami poussa le bouchon trop loin. Dans sa quête de savoir Golan en vain a utilisé son pouvoir sur son frère. D’abords inutile, il arriva un moment où la peur d’Angel l’envahis. Reflétant ces propres peurs, il sentie en son ami quelques choses qu’il ne put jamais vraiment expliquer. Quel est ce sentiment ? Quel est cette chose qu’il me cache ? L’angoisse le prenait au cou. Comment peut-on en arrivé à faire cela ? Un passé pareil ne peut-être vrai ! L’incendie c’est donc…
- Ange ?
Les images qui envahir son esprit le frappa à jamais d’effrois. C’était ? Il n’avait même pas dû se rendre compte que Golan avait pu voir ces choses qu’il lui cachait. Fou de rage Angel lui arracha une bonne partie du visage, laissant Golan plus que perplexe. Il était dans une rage peu commune, un aspect qu’il n’avait jamais ne serait-ce qu’entre vu de son ami. Lui qui avait toujours su y faire. Il fut paniqué de voir son amour le quitté, et comme toujours ces peurs prirent vies sous ses yeux. Pris dans l’angoisse de perde à jamais l’être qui lui était le plus cher, l’ombre envahis à nouveau son corps. Il n’eut jamais la moindre idée de ce qu’il c’était passé. La simple vision de son ami le sorti finalement de sa torpeur.
- Tu es calmé Golan ? - Je que … Quoi ? - Mouais je n’aurais pas dit mieux, tu sais que tu fais franchement peur quand tu t’y mets ?
La honte me prenait les tripes. Je lui avais fait peur et bien pire que ça. J’ai mis quelques secondes à me rendre compte de son état. Il c’était passé quoi putain ?! La panique recommença à m’envahir, mais comme couper net elle s’évanouie. Angel m’avait pris dans ces bras, chose rare il ne supporte pas qu’on le touche, ce simple geste suffit à me calme, sans pour autant m’ôté de ma honte.
Mais quelque chose avait changer
Il quitta les lieux le premier, et bientôt leurs vies reprirent sans trop de mal. Golan entama des études de psychologies, spécialisé avec sa race bien entendu, les peurs il voulait apprendre à les contrôler. Il commença ces études d'un air un peu septique feintant tout d’abords une simple curiosité. Pourtant, de plus en plus impliquer, il finit les trois premières années avec une facilité déconcertant tous ces professeurs. Les choses était sans plus et tout aurait pu finir sur cette notes, mais sa soif de savoir ce faisait plus grand. L’intérêt porté à cette matière changea véritablement lors de son Master.
Pris dans une myriade de stage il finit par assisté un psychologue dont le patient ne parlait tout simple pas. Depuis plus d’un an leurs rendez-vous s’enchaînait mais jamais un mot ne fut prononcer. La chose étonna d’abords notre jeune ami qui finit par voir en ces moments des temps plus que vide. Et un jour vint où le premier mot fut prononcer. Cette victoire, qui n’était même pas sien, bouleversa notre Golan qui mit encore plus de ferveur à son travail. Il avait enfin trouvé un but et comptait bien l’atteindre ! Finalement diplômer avec son Master psychologie clinique – Psychopathologie il ouvrit son propre cabinet avec une fierté peu dissimulé. Il y recevait depuis maintenant un an des patients très réguliers qui se confiait petit à petit à lui.
Physique : Grand de son mètre 85, il a un visage que l'on oublie rarement, encadré de long cheveux d'un noir bleuté, il ne sourie absolument jamais. Mais vous le verrez toujours porter de beau gant de cuire, qui cache la cicatrice honteuse et la malédiction de sa paume.
Toujours très bien habillé, très calme et intelligent, vous ne pourrez le comprendre, sans l'oublier. On le voit souvent de loin avec son coté rasé et ces tresses mêlés de tissus rouge. Il aime les habits de marque, la qualité n'a pas de prix et ce parfum volontiers. Il ne porte pas souvent sa blouse de médecin et préfère de loin une cravate plus formelle. Non Disponible
Psychologie : Très désobliger par le fait d'être le seul et unique Cumaël à l'apparence adulte, il se bat depuis toujours avec son pouvoir. Sa malédiction, concentré en sa paume de main. Elle le travail, bien qu'il ne laisse jamais rien paraître. Il semblera toujours froid, distant et intouchable, comme en dehors du temps. Qui sait vraiment ce qu'il y a sous la surface ?
Un coeur lourd. Il n'a jamais éprouvé le moindre remord sur ces actions passés. Il voit sa comme une autre vie, un autre lui. Et n'aime pas pensé au fait que les enfants qu'il a détruits, ai pu laisser un vide dans la vie de quelqu'un. Il ignore donc facilement les lettres de menace et ce tiens loin de la milice. Mais il tient énormément à sa famille d'adoption.
Il est très affectueux avec eux, ce laisse même aller à de l'humour. Mais c'est un terrible cuisinier. En faite tous ce qui est un peu technologique lui pète comme un rien entre les doigts. C'est une vrai malédiction dans la vie de tous les jours. Mais même pour sa famille, il garde une distance. Car depuis la mort de Lawrence, la plupart de ses jeunes sont partis, choqué, outré de ne pas en savoir plus. Le tenant surement coupable. Et il l'est. Il lui reste Sonny et le tous fraichement sorti Kûroe. Parfois il espère revoir William.
Histoire en BREF:
Une arme, un chien, un simple outils. Depuis qu'Ambroise, son maître l'a prit sous son aile, il n'a connu qu'un rôle de faucheuse auprès des gens réticent, trahissant et dissident que son maître recueillait. Tous plus forts et plus unique, ils allaient rebâtir leur monde à leurs couleurs. C'est au cours d'une mission d'élimination classique, là où il brillait le plus que la vie d'Alfredo changea. Sa cible, un jeune médecin qui de son coté également recueillait un tas de jeune, avait décider de prendre sous sa protection plusieurs de ces anciennes cibles. Il avait donc engagé leurs plans pour le défaire, mais rien ne se passa comme prévu. Dans la panique, le sourire éternelle de son rival troubla notre anti-héro, jusqu'à ce qu'une balle lui traversa la main. Cette main qui faisait de lui la faucheuse, cette main qui reprends le temps de toute chose qu'elle touche. Cette main que serrait maintenant sa némésis inquiet de le voir tant saigner. Ainsi, la faucheuse trahis à son tour et suivis son propre destin. Auprès du seul qui avait jamais osé toucher cette maudite main. Il c'était bâtis une belle vie, mais les choses changent et Ambroise gagne toujours. Une faucheuse et un frère.
Mort de Lawrence:
Pourquoi ?
J’étais assis dans ce fauteuils depuis une bonne heure maintenant, mon téléphone toujours à la main. La mine proscrite. Sa voix. Un frisson me parcourra l’échine. Cette voix à qui je ne pouvais rien refuser. Toute les molécules de mon corps c’était mis en alerte au sons de ces simples syllabe. Je ne voulais pas le faire. Mais je n’avais pas le choix. Ni pourquoi, ni comment, ne me traversèrent la tête. C’était comme ça. Les heures avançaient. J’avais déjà demander à Lawrence Amandil de venir dans cette fameuse rue, sans lui préciser pourquoi. Et il n’avait rien dit de plus. Il savait. Et pourtant, il l’acceptait simplement, comme si pour lui aussi, les choses semblaient simples. Car elles le sont, quand on se contentent d’obéir. Je me suis finalement lever. Sonny assis non loin, qui me surveillait activement depuis un moment me regarda simplement faire, mais lui aussi ne dit rien de plus. Je lui ai sourie et je suis venu lui embrassé le front, puis j’ai pris mes clés et je suis simplement sortie. Les choses ne seraient plus pareils à mon retour, pourtant cela m’échappait encore. Je suis monté dans ma voiture et j’ai rouler. Je ne pensais pas, j’étais en mode automatique. Comme à l’époque.
A travers mes yeux défilait une myriades de pensées et de souvenir, mais aucun de semblait réellement m’appartenir. Tout ça me semblait loin, tout ça me semblait futile. Et pourtant…. Mon visage était toujours figé, comme à son habitude, mais mes muscles se contractaient à mesures que le chemin se faisait plus court. Je suis finalement sortie de mon véhicule, passant une main dans mes tresses. Et je me suis figé, comme foudroyer par un million d’aiguilles.
Je revoyais Lawrence mort de rire, me tressant les cheveux, me promettant malgré ma mine peu convaincus, que ça m’allait terriblement bien. Je le revoyais un soir sous les étoiles, me montré à quoi le monde ressemblait vraiment. J’étais fasciné de voir autant de lumière en pleine nuit et plus encore de ne les avoirs jamais remarqué avant. Je le revoyais ensuite, me présenter avec une fierté immense à sa mère. Je le revois sourire à Brandon qui semblait perplexe de me voir si calme. Et puis cette fois encore, nous étions au bords de la plage, il m’aidait à réviser mes leçons de médecine. Et cette fois où il m’offrit mon gant, m’assurant ainsi une vie plus simple. Notre premier fou rire, devant la catastrophe qu’avait été mes tentatives culinaires. Son air déprimer devant son premier amour et son sourire rassurer de me savoir là pour l’écouter. Et puis cette fois où se fut à lui de m’apprendre ce qu’était se sentiment, et ça façon de rire devant ma bêtise en comprenant que j’aimais April. Je pouvais ressentir toute ces émotions se mélanger en moi, comme si mon être les avait retenus trop longtemps et que cela devait exploser. Aussi simplement.
Mon visage était figé en une mine surprise, et une larme coula sur ma joue à mon grand étonnement. Depuis quand n’était-ce plus arrivée ? J’ai sourie tristement et j’ai fixé la ruelle devant moi. Je pouvais sentir cette aura à qui rien ne se refuse et à nouveau quelques chose en moi me fit me tenir plus droit. Mon visage se ferma à nouveau. Je redevenais cette arme. Je sentais mes sentiments me quitter, et mon moi intérieures tendit la main comme pour essayer de les empêcher de s’échapper. J’étais comme enfermer au fond de mon corps qui lui n’était plus que froid, dur et obéissant. Il se mis en mouvement, et bien il fit face à une ruelle. Regardant calmement les personnes qui s’y trouvait et se mettant devant son maitre, les yeux baisser vers le sol, la main sur le tors pour le saluer. Moi j’étais toujours bloquer à l’intérieur, je tapais de toute mes forces contre les parois, je hurlais à m’en briser les cotes. Va-t’en Lawrence ! Tu n’as pas à faire ça ! Je refuse de te tuer ! C’est impossible ! Mais il restait là, à me fixer un léger sourire au lèvre.
J’ai retiré mon gant. Les chose se passait comme au ralentie. Avais-je reçus un autre ordre ? Avais-je seulement entendu les mots que tu m’adressais ? Me parlais-tu réellement, où n’était-ce que le battements de nos cœurs qui hurlent à l’unissons ? Je me suis avancer, lui touchant doucement le visage, mes yeux planter dans les siens. Mais rien ne paraissait, j’étais toujours coincé à l’intérieur. Je devais lui sembler si calme. Mais rien ne perçait dans son regards. Il me fixait simplement alors que mes doigts frôlait sa balafre, la caressant doucement du pouce. J’ai sentie mes poumons se remplir d’air une dernière fois.
- Les ordres ont été donnés.
Pardonne moi Lawrence. J’ai sentie un fourmillement familier prendre vie au centre de mon corps et remonté doucement dans mon épaules quand Lawrence me chuchota « Je sais que tu es coincé là dedans Al’. Tout ira bien. Je l’ai accepté depuis longtemps ». J’aurais voulu hurler, le lâcher, partir loin pour qu’il soit en sécurité. Mais le fourmillements pris cœur dans ma main scarifier. Et je pu voir la vie se retiré de ses yeux.
Lawrence, me prenait la main, je n’étais jamais sortie pour dire. Mais le vert de la forêt m’apaisait. Lawrence m’embrassait pour la première fois, de façon furtif et sans doute un peu timide. Mon cœur se chauffa pour la première fois. Lawrence me félicita d’un sourire comme je n’en avais jamais vu alors que je lui montrait mon diplôme.
Tout ça s’évapora et je vie son corps fondre en cendre que le vent se dépêcha d’éparpiller dans toute la ville. Ma main repris sa place le long de mon corps. Et les secondes passèrent, plus longues qu’elles ne l’avaient jamais été. Je l’avais tuer. Lui qui était tout pour moi, lui qui m’avait offert la vie et la liberté. Je l’avais détruis. J’ai senties la fraicheur des larmes sur mon visage, et d’un coup, je ne fut plus coincé à l’intérieur de moi. Mon visage se brisa, j’avais le souffle court. Je suis tombé à genou. Tout ça c’était qu’un mauvais rêve, cela ne pouvait être vrai. Et pourtant, la douleur que je ressentais était elle, qu’elle ne laissait la place au doute. Jamais plus tu ne me souriras, jamais plus tu ne te taquineras, jamais plus tu ne me consoleras.
J’ai fixé le sol, laissant mes larmes s’y rependent. Jamais de ma vie je n’avais autant pleurer que le jours de notre rencontre, et voilà que les choses se finissait de la même façon. Pas un bruit sortait de moi. Plus rien n’existait. J’ai plaquer ma mains sur mon visage, dans l’espoir de disparaître moi aussi. Mais les choses n’ont jamais fonctionner ainsi. Les chosent ne seraient plus jamais pareil. J’ai lâcher mon visage, l’air de comprendre. Oui, les choses étaient différentes maintenant. Je me suis doucement relevé et j’ai fixé mon ancien maitre, de façon très humain. C’était peut-être la première fois que j’avais l’air réellement humain. Je ne pouvais le tuer. Je ne pouvais même me résoudre à lui dire quoi que ce soit. Je restais simplement là et sans doute avait-il comprit lui aussi que jamais plus les choses ne serait pareils.
Je pouvais encore sentir ton sourire veiller sur moi. Je pouvais encore sentir tes bras m’enlacer, ton regards si chaud de sentiments, ton rire si pétillants de joies. Lawrence, pourrais-je un jour me pardonner ? Alors que même à la fin, tu m’as offerts tes dernier mots, sans le moindre ressenti, juste avec l’amour dont tu débordais habituellement ?
Je dois admettre que les choses m’échappaient quelques peu. J’avais le regard braquer sur le maitre, quand une voix familière me détourna de ma cible. Non ? William ? Il était là depuis le début ! Lawrence devait le savoir, pourquoi ne pas me l’avoir fait comprendre ? Un sentiment de honte intense me pris au tripe. Je l’ai détruit devant toi, qui l'aimait et voilà que tu me souries, voilà que tu passes simplement, me laissant reculer de quelques pas, comme pour me retirer de l’arène. Tu avais prévus tout ça, n’est ce pas idiot de balafré ! Les choses se passaient assez vite. La colère, la tristesse, il changea. Et le tua le mâitre. Je suis rester figé de frayeur. Les Nightëels m’ont toujours terrifier, surtout maintenant que je sens cette humanité poindre en moi. J’ai retenu mon souffle tout du long, plusieurs choses se bousculèrent en moi.
- Age : 28 ans - Taille : 1m85 - Poids : 81Kg - Note social : 3/10
Un dernier mot ?
C'est ok d'être triste, c'est ok d'être né mauvais, tant que tu avances vers le Bien !
Sonny Nobody
Physique : Sonny a garder de son ancienne forme humain, une vague proportion et une tignasse de cheveux blonds. Le reste se compose d'une peau pâle remplis de boursoufflure et de grosses veines noirs, de trous où la chaire ne semble pas bien tenir. On est à mi chemin entre l'humain ancienne stars de chant et la lasagne oubliée dans le four depuis quatre mois et qui c'est transformé en organisme vivant indépendant. Autant voir dire qu'il fait un peu peur.
Il a prit l'habitude d'arboré l'apparence d'un jeune homme dont les traits ce situe à mi-chemin entre son ancien visage et celui d'une personne nouvelle. Ni beau ni moche, il reste blond avec des yeux verts et s'arrange toujours pour passer inaperçus, au mieux. Il se grandit parfois légèrement, mais on ne dira rien. Il n'adosse pas facilement d'autre apparence que c'est deux là. Ce refusant d'essayer de reprendre son corps passé.
Il d'habille souvent de façon très banal. Ne sachant rien accordé par lui-même. Trop habitué au tenue de scène toute prête, il laisse souvent Alfredo préparer ces tenues. Il porte souvent un long masque en intérieur, pour cacher les parties manquantes de son visage et s'attache parfois les cheveux en une grosse masse dans son dos. Il ne tient pas longtemps sous une autre forme que la lasagne. Non Disponible
Psychologie : On nage entre l'ancienne Diva et le nouvel enfant fraichement sortie de sa naïveté. Très habitué à avoir tous ce qu'il veut, il vie encore un peu loin des réalités et comptes beaucoup sur Alfredo, son frère par adoption de coeur, pour régler le moindre soucie de sa vie, en retour d'être l'oreille à l'écoute qu'il demande. Si on peut le croire encore enfermé dans son passé, c'est que son présent est plus sombre et profond.
Il a toujours été aimé, adulé, respecté. Et du jours au lendemain, on lui a montré que la vie était cruel, dur et injuste. Il avait garder sa voix, unique au monde et son talent pour la musique et la composition. Mais il gardait tous ça enfui au plus profond de lui. Il lui arrive parfois d'écrire dans la nuit, les notes qui le hantent. Mais il sait qu'elles ne seront jamais jouer au grand jour. Pourtant, il profite du piano de Alfredo à l'occasion.
C'est encore un grand enfant notre Sonny. Mais il a déjà traversé beaucoup d'épreuve et avec son âme d'innocent, il offre souvent un regard inopportun sur les situations. Il aime le jeu, la comédie et le charme. Ce sont de belles barrières contenant à la fois son orgueil et sa désillusion. Il n'a jamais renoncé à sa voix, c'est ce qu'on retiendra de lui. Malgré le risque d'être reconnu.
Histoire en BREF:
Sonny, de son vrai nom Nathanaël était un grand chanteur, très connu, très apprécié et très loin des réalités du commun du peuple. Il avait toujours eu se don et cette belle face qui l'avait porter au sommet de sa carrière. Mais le talent n'est jamais suffisant et bientôt pour satisfaire les attendes, son manageur l'avait poussé à prendre une des formules qui avait changer le monde et ainsi de quitté son statut de simple humain. Mais les choses acheter dans l'ombre et la volonté que semble porter les formules l'avait conduit à devenir la pire des races. Il avait donc feinté sa mort, quittant sa vie et son luxe pour toujours, reclus dans la honte. C'est ainsi que Lawrence, jeune médecin et Alfredo l'avaient trouvé et adopté comme un nouveau frère. Il avait ainsi toujours cacher son identité, simple Sonny et avait appris à prendre une ou deux apparences stables, étant bien plus tourner vers l'auto-régén'. Depuis la mort de Lawrence, c'est lui qui tiens Alfredo à la surface. Seul détenteur de son secret et inversement.
Mort de Lawrence:
*Alfredo* Je me suis retourner, ma main me chauffait de plus en plus et j’ignorais totalement qu’elle en serait les conséquences. J’avais entendu des pas, calme posé. Et étrangement, je savais qui c’étais. Cela me calma un peu. Et toi, tu me le pardonneras ? Mon regards trouva celui de Sonny, sous sa vrai forme. Pas celle qu’il avait prit au court de sa nouvelle vie, mais bien celle qu’il avait eu en tant qu’humain. C’était la première fois une je le voyais ainsi. Presque aussi grand que moi, avec cette masse de cheveux blond et se regards emprunt de tristesse. Il nous regarda tours à tours, l’air affreusement triste et haussa les épaules avant de venir prendre William dans ces bras sans dire le moindre mots. Je regardais la scène un peu perplexe. Tout mes pseudos doute ce confirmèrent. Mais pour William, le pauvre ne devait pas comprendre grand-chose à la situation. L’avait-il seulement reconnu ? Aller savoir. Il fini par lâcher le jeune homme et se retourna vers moi pour me sourire de façon très sincère et lâcher d’une voix tremblante. Mêlant la peur et la tristesse.
- Vient Al’. On rentre maintenant.
Les picotements s’estompèrent dans ma main et je suis venu vers lui, sans réellement oser le toucher, mais il me prit par la main, non sans un léger tremblement, de ma part comme de la sienne. Mais rien ne ce passa, à ma grande surprise et à mon grand soulagement, le faisant sourire un peu plus. Tu es un idiot Sonny.
- Age : 23 ans - Taille : 1m72 - Poids : 65Kg - Note social : 8-5/10
Un dernier mot ?
Il faut pas laisser le mensonge devenir vrai. La réalité ne peut plus me blesser.
Kûroe Salamone
Physique : C'est ici qu'on se rends bien compte du bordel total que ce garçon peut bien être. Diviser en plusieurs races il porte les caractéristiques de chacune, donc reprenons ça dans l'ordre. D'abord humain il est assez moyen, avec son mètre 72, sa taille fine, son regard sympa et son sourire creepy. Il est ensuite devenu Nightëel d'où sa peau blanche, presque transparente et sa capacité à sentir les peurs. Puis il a tenter de devenir Galaiel, d'où ces crocs, ces cheveux devenu mi noir mi rouge aussi long et bouffant que de la fourrure; ces oreilles de chats et sa queue tout aussi bien assortie à ces cheveux que le restes.
Autant vous dire que c'est sous cette race qu'il se présente. Il est ensuite Armadiel et possède un squelette en fibre de carbone à la fois ultra léger et presque indestructible. Il peut faire sortir des griffes d'acier de ces ongles, charmant jeune homme. Et sa dernière tentation est le vimentel, ce qui fait que ces jambes sont entièrement recouvertes d'écaille et qu'il ne supporte plus très bien le froid. Voilà sinon il a de beau yeux bleu.. Non Disponible
Psychologie : Kûroe est un garçon très intelligent mais facilement manipulable, très naïf et surtout beaucoup trop passionné. Le genre de garçon qui, s'il se trouve un passe temps, y troquera sa vie tout entière sans même se poser de questions. Heureusement pour lui ça lubie du moment est la lecture, ce qui l'a conduit vers son travail actuelle. Très calme, un humour assez douteux, un sourire toujours un peu creepy et surtout un gros, très gros soucie du respect des limites corporelle de chacun. Oui il te palpera les muscles/boobies au premier rendez-vous et oui il n'a jamais compris où était le problème là dedans. Sinon il est certes très avenant mais aussi très affectif. Grand amateur de sucette, cigarette, drogue expérimental en tout genre. Il ne supporte pas les gens qui crie, vraiment si tu crie en face de lui il partira sans même te dire un mot. Il est claustrophobe et aime le rouge..
Histoire Complète:
Kûroe vient d'une famille très banal, sans grand ambition, simplement bercer par les évènements. Certes pro humain, ce qui dans sa période rebelle lui a sans doute ouvert un chemin plus que prévisible. Il c'est très vite aperçus qu'il était à la fois très passionné, toujours à fond dans ce qu'il fait mais aussi très influençable. Ainsi et alors qu'il suivait un cursus scolaire tout à fait typique, il c'est laissé convaincre très facilement de devenir Nighteel, pas spécialement visible sur sa personne il c'est toute fois servis de ça pour ce sentir devenir quelqu'un et intégré un gang. Une petite bande de voyous. Mais très vite les choses le dépassa et il se trouva une passion pour les chiens. Il avait participer à quelques combats de rue dans lesquels les chiens affrontaient d'autre bestiole sensiblement modifié.
Partie dans cette nouvelle lubie il finit par s'injecter la formule Galaiel pour leurs ressembler. Sans vraiment se douter des danger qu'il courait, il ressentis un long frisson de plaisir en devenant à son tours une chose plus différente. Ainsi marqua sa longue descente dans la quel il devient complètement accrocs au différence physique qu'il gagnait à chaque formule. Toute fois après la formule Vimentel les choses changèrent. En effet son corps ne supporta que très mal cette dernière et ces jambes le fit souffrir affreusement. Il ne pouvait plus courir ou marché de longue heure sans que son corps ne semble ce déchirer sous son propre poids.
Il avait fini ces études de peu et malgré l'influence néfaste de son entourage. Il devient donc bibliothécaire, mais même ainsi, la vie devenait insupportable. Plus les jours passait, plus les formules en lui se mélangeait et le mettait au plus mal. Douleur articulaire, envie de vomir, pouvoir qui se confondent. Il en devenait fou, au point que cela le dissuada de reprendre d'autre formule. Même s'il restait psychologiquement très instable à ce sujet. Il s'isolait donc le plus possible. Jusqu'à ce qu'il tombe par hasard sur un homme très grand, semblant infiniment triste, qui squattait son lieu de travail depuis plusieurs jours.
Personne ne venait jamais le déranger, ainsi si sa douleur se faisait trop grande, il restait simplement en boule dernière son comptoir comptant les longues heures passante. ainsi prit dans une de ces crises de douleur, il repensa au heure de sa journée. Il avait plutôt mis la main sur une nouvelle formule. Celle des Cumaels. Il se savait bien trop vieux pour y survivre et sans doute voulait-il simplement en finir de façon inconsciente, mais il se berçait dans l'espoir que se nouveau pouvoir l'aide à canalisé les autres. Ainsi donc rouler en boule par terre il attrapa son sac pour en sortir la seringue, il se remis maladroitement dans une position plus confortable bien que compliqué et dénuda son bras. Il déboucha la seringue et au moment où il allait se l'enfoncer dans le bras, une main ganté l'arrêta.
Il n'avait même plus la force d'empêcher quoi que ce soit, la douleur étant juste trop insupportable pour lui. Il laissa donc cette inconnu qu'il reconnu vaguement comme étant l'homme grand qu'il voyait régulièrement. Mais l'air triste avait déserté son visage pour laisser un aspect plus curieux et préhenseur lui faire place. Kûroe ferma les yeux souhaitant juste dormir pour que ça s'arrête mais il entendis un bout d'étoffe tomber par terre et une main lui toucher doucement le visage, suivie d'une autre. L'une semblait terriblement froide et avait la peau durci, comme par une cicatrice alors que l'autre était douce et chaude.
Il sentit un sentiment immense de chaleur et de bien-être l'envahir, plus fort que tout ce qu'il avait pu ressentir avec n'importe quelle drogue. C'était si beau et si bon que ça lui mis la larme à l'oeil, le laissant oubli la douleur. Il ouvrit à nouveau ces yeux bien qu'humide pour voir le visage de la personne devant lui se concentré fortement avec une pointe de crainte. Puis il lui sembla sentir un picotement dans tout son corps. C'était indescriptible. Ses pouvoirs c'étaient confronter avec le temps le laissant devenir de pire en pire, et en l'instant cela semblait rembobiner. Comme s'il venait à peine de prendre ce shot Vimentel, comme si jamais ces pouvoirs n'avait fait n'importe quoi. Il pouvait sentir ces jambes devenir moins raides, comme si les écailles ce faisait loin épaisses. Puis l'homme le lâcha.
La sensation était horrible. Il cru devenir fou. Il voulait à nouveau sentir se sentiment si unique de bien-être, puis les choses parurent plus clair. Il n'avait plus mal. Finalement, cette épisode devenu commun pour lui. Ces écailles recommencèrent à s'épaissir seulement 2 semaines après cette épisode, lui donnant à nouveau ces horribles crises. Mais toujours cette homme était là pour l'aider revenir en arrière et à le faire sentir si bien. Au point que Kûroe ne voulu plus le lâcher d'une semelle. S'il ne venait pas deux jours de suite c'est lui qui allait le voir. Il avait fini par apprendre son nom et au fil des choses et surtout des discutions avec cette adorable Distoriel, auquel il n'enviait pas du tout son pouvoir c'est pas vrai non il a pas chercher cette formule chut on reprends là, il comprit quelques petits trucs sur la vie d'Alfredo. Ainsi fini son histoire, pour l'instant..
Physique : Physiquement, je suis quelqu’un de très apprécier. Ma race aidant à mon charme naturel. J’ai un corps parfaitement proportionné avec des abdos bien dessiné. J’ai une longue chevelure d’un blond parfait que j’attache la plupart du temps d’un ruban. Je m’habille souvent de chemise ample ou de soi, j’aime les belles choses. J’ai des yeux d’un bleu profond, des doigts fins, une peau froide et dur. Que dire de plus ?
Je mesure un mètre septante, j’ai encore toute mes dents et un très jolie sourire. Je suis plutôt gracieux dans mes gestes, me tiens toujours parfaitement droit. L’uniforme me va très bien, c’est presqu’une seconde peau pour moi. J’aime les manteaux amples bien coupé et je m’habille en général avec des couleurs proches du crème, noir, bleu azure parfois encore. Je ne fais pas mal de sport pour évacuer ma colère et je porte rarement des chaussures. Simplement parce que je n’aime pas le contacte des chaussettes. DISPO
Psychologie : Si je devais me décrire en un mot se serait sans le moindre doute « enfoiré ». Je suis un manipulateur, j’obtiens toujours ce que je veux. Je ne m’attache à personne. Je préfère la compagnie de mes chats, ce sont les seuls en qui j’ai confiance. J’ai un grand respect pour l'uniforme et je sais me tenir avec la maturité de mon éducation. Mais j’ai l’âme un peu provocatrice, volontairement. J’admets me cacher derrière tout ça. Mon maître mot étant « dénis ». Sinon, je suis d’un naturelle charmeur, j’aime savoir que je plais. Je suis également un bon cuisinier, amateur de fleur et de bon livre. J’aime les beaux vêtements et la prestance des bonnes lignées.
Je ne suis pas très famille, sauf ma grande sœur que j’affectionne tout particulièrement. Pour être ami ou proche avec moi, il faut savoir accepter mes sales manies il faut dire. Je suis capricieux à mes heures et d’un caractère sans nom. J’aime obtenir ma vengeance et je peux me montrer pas mal violent. J’ai pourtant beaucoup de proche en apparence, je sais en effet jouer de mes charmes. Je vous l’ai dit, un vrai FDP. Je ne crois plus en l’amour, ni les sentiments de manières général de toute façon. Mes « amis » peuvent donc bien mourir que ça met totalement égal. De manière plus large, je sourire très souvent, même rarement de façon sincère. Je sais quel comportement adopté pour plaire assez facilement. Et j’aime ce qui sort du lot. Taquin, sournois, manipulateur, égoïste, jaloux. Je ne suis vraiment pas quelqu’un de bien. Pourtant rare sont ceux qui peuvent me résister.
Histoire Complète:
Opale De Fëanor. Mes parents ont toujours eu des goûts de luxe, que ce soit pour leurs mobiliers, leurs habits ou les prénoms de leurs enfants. Ainsi je fus nommé opale, comme cette magnifique pierre de feu qui rappelle la couleur de mes cheveux. Si vous ne l’aviez pas déduit, je viens d’une famille fort haut placer. Ancien noble d’un temps oublié, nous avons gardé le « de » témoignant dans notre nom. Venant d’une famille très noble, j’ai ainsi bénéficier d’une enfance des plus « parfaites ». Que ce soit les cours privées, les leçons de maintiens, l’avenir tout tracé ou même les bonnes manières. J’ai eu droit à la crème des disciplines pour me forgé en tant qu’homme de bien. Et pourtant. Les belles paroles, beaux habits et autre hâblerie ne cacheront guère longtemps ma vraie nature. En un mot, je suis un enfoiré. Et pas des moindre.
Mon père est un Baron et ma mère une Duchesse. Je vous laisse donc apprécier le débordement d’amour familiale là-dedans. J’ai plus connus mes précepteurs que mes parents. Mais cela m’est tout à fait égal dans le font. Ils sont aussi vides que leurs raisons. Pas un gramme d’amour ne brille en eux. Ils ne sont qu’une image de maintient parfait. Ils me dégoutent. Je voudrais brisé à tout jamais leur petite image trop parfaite. Et cette rage m’anime depuis ma tendre enfance. Quand les seules paroles qui m’adressèrent étaient « Tiens-toi droit » ; « Tu seras la relève du fleuron familiale » ; « On attends beaucoup de toi ». Enfant déjà, je savais que je n’étais pas comme tout le monde. Même autours de moi, je pouvais le sentir. Ma sœur était quelqu’un de bien, très affectueuse, très bien dans ces bottes. L’enfant parfaite, irréprochable. Moi je voulais détruire tout ce qui m’entourent. Voir le monde en sang, se réduire en poussière jusqu’à ce que plus rien ne compte. D’où me vient cette colère ? Je suis sans doute né avec, mais je sais ce qui l’a animé pendant des années. Avec le temps, j’ai appris à devenir une image toute jolie. J’étais aux yeux de beaucoup, le chérubin de la famille. Je pouvais ainsi obtenir tout ce que je voulais. Il me suffisait d’un sourire, d’un regard, de quelques belles paroles. J’étais devenus un manipulateur hors pair avec les années.
L’adolescence, me fit plus tendre que pour beaucoup. A présent, bien bâtis, je passais le plus clair de mon temps à faire le mur pour courir les bars et courtisé. J’aimais voir l’étincelle s’animé dans les yeux des gens en face de moi. Que ce soit homme ou femme, le jeu n’en était que plus beau. Je les laissais tomber en amour pour moi, j’obtenais tout ce que je voulais et je partais simplement, en les laissé dévasté. Je n’avais aucun cœur, aucun ne ressentit. J’étais plus froid que le marbre. Mais l’adage ne dit-elle pas que quand on joue avec le feu on se brûle ? Je venais d’avoir dix-huit ans. J’étais plus beau que jamais, jouant indéfiniment des regards, je continuais de me balader aux clairs de lune. Ma sœur couvrait mes sorties depuis déjà quelques années, sans grande contrepartie. Elle savait peut-être qu’il ne servait à rien de m’arrêter. J’étais déjà trop habituer à recevoir tout ce que je voulais. Comme l’enfant roi que j’avais été. J’avais décidé de fêter au mieux mon entré dans l’âge adulte ce soir-là. Je savais déjà que le lendemain me serait pénible. Avec toute ces nouvelles responsabilités, ces nouveaux dictes de maintiens. Je voulais oublier tout ça dans l’alcool pour ce soir. De mes nombreux vices, j’avais également la cigarette qui ne me quittait jamais bien longtemps une fois loin des regards.
Je passais de bar en bar, laissant les damoiseaux me payer des verres. Riant aux éclats, bien que faussement, jouant de mes charmes. J’étais dans l’excès de confiance et ma prudence habituelle tombait. J’avais rencontré ce jeune garçon fort généreux. Grand, bien bâti, Armadiel. Un visage plus que parfait et une voix d’une douceur extrême. Avec lui je semblais différent, jouant habituellement, j’étais plus sérieux. Je me sentais bien. Il était d’un amour débordant c’était troublant. J’avais passé le reste de la nuit avec lui, parcourant les rues, jusqu’à ce que ma dernière once de bonne fois tombe. Me laissant embrassé, collé aux murs humides d’une des ruelles environnantes. J’ai soudaine sentit ma tête vibrée. J’avais un goût acre en bouche. J’ai à peine eu le temps de comprendre, essayant au mieux de me tirer de cette situation au profil sombre, mais déjà j’avais basculé dans l’inconscience, ne lâchant qu’un bref connard avant de tombé. Je me suis réveillé avec les premières lueur du matin. J’étais assis par terre dans une rue reculé de la ville. Ma tête me faisait un mal de chien. Y portant les mains, j’ai réalisé la soudaine lourdeur de mes bras. Examinant mon corps de plus près, je ne pus constater que deux choses. La première était que je ne serais plus jamais innocent. Et la deuxième que je n’étais plus humain.
Les yeux ronds, je pouvais voir mes muscles ce profilé plus clairement qu’avant. Posant les mains sur mon visage, puis sur mon cou, j’ai remarqué quelques marques sans plus. La colère me brûlait les veines. J’avais été le pire des idiots inconscient. Je m’en voulais tellement. Me relevant avec peine, j’ai tapé mon poing dans le mur. Quel fut ma surprise, dans ce ne fut pas ma phalange, mais bien une lame d’un noir mâte magnifique, qui se planta dans la pierre. J’ai battus des cils perplexes, extirpant la dite lame pour la regardé. D’où venait-elle ? A peine, cette question me vint à l’esprit qu’elle s’évapora, comme de la fumée. Je suis resté de marbre, pendant bien une minute. Sans bouger, simplement perplexe. Armadiel. C’était une évidence. J’ai soudainement pris conscience de l’heure. Mes parents devaient m’attendre, je devais prendre mes responsabilités aujourd’hui. Pourtant la honte aux joues, je m’avouais incapable d’y aller. S’ils me voyaient, on comprenait de suite ce qui m’étais arrivé cette nuit. Et mon ego, m’interdisait de leurs faire cette faveur. Je préférais rester dans le déni pour l’instant. J’ai commencé à marcher sans vraiment savoir où j’allais, quand je me suis cogné à un homme assez grand et très poilus aux niveaux du visage. J’ai reculé d’un pas, réalisant par son uniforme qu’il devait faire partie de la milice.
Je me rappelle avoir détourner les yeux, le rouge aux joues, honteux de ma situation. Mais il n’en fit jamais rien. Il m’avait simplement accompagné histoire de mangé quelques choses, j’étais plus que méfiant. Pourtant quand j’ai vu ce gamin d’une beauté flagrante le rejoindre pour lui tenir un sermon de tous les diables. J’avoue avoir ris sans réel raison, évacuant simplement mon anxiété et ma frustration. En y repensant, je me demande encore comment ils ont fait pour ne pas me croire fou et m’accepté tout simplement. Encore aujourd’hui, je leurs dois beaucoup. Ce sont devenus des amis en quelques sort. Palliant ainsi mon manque affectif par d’autre moyen que l’alcool et la mal compagnie. J’avoue n’être jamais sorti de mes sales habitudes restant. Je suis toujours un manipulateur horrible et sans cœur. Un vrai FDP bien dans les règles. Je ne crois ni en l’amour, ni en rien. J’admirent d’ailleurs ces garçons de ne pas m’avoir explosé le visage après mes nombreux sales coups. Aller comprendre. Hiromi, le milicien, m’avait tiré avec lui dans le métier, me permettant ainsi de prendre mon indépendance assez vite et de quitté ma maison familiale. Non, sans une rémunération dorée que je dois toujours à mon nom. Mes parents, n’ont jamais rien remarqué et ma sœur n’en a jamais rien dit. Je reste proche d’elle malgré tout. Elle est mon petit rayon de soleil.
Afin de gardé les éloges de mon nom et de me démontré leurs approbations pour mon choix de métier. Mes géniteurs m’avaient fait cadeau d’un des plus beaux plein pied de la ville. Dans le quartier Nord, spacieux, élégant, décoré avec une pureté. J’avais vite fait de réglé tout ça. Je suis plus du genre à délégué toute les tâches à mon majordome, que je me trimballe depuis quelque année déjà. Je vivais ainsi ma petite vie bien tranquille. Jusqu’au soir fatidique. Je devais effectuer une tournée habituelle, plus pour dissuader que réellement sévir. Notre simple présence suffisait généralement à faire partir les racailles de bassesse. J’étais donc assez serein, marchant tranquillement, les mains fourrées dans les poches de mon uniforme, quand une voix familière m’appela par mon prénom. Je me rappelle que le premier sentiment que j’ai ressenti en voyant son visage fut la peur, suivit du dégout et finalement d’une colère sans nom. Cet homme avait souillé tout ce que j’étais et je me devais de lui faire payer. C’est ce soir-là que j’ai appris que mon pouvoir dépendant grandement de mon humeur. Heureusement, j’ai un nom connu et l’influence familiale m’a empêché le plus gros des ennuis qui a suivi le petit accident. J’avais en effet obtenu vengeance, avec les intérêts. Depuis ce jour, je n’ai plus vraiment peur des autres gens. Mais disons que je suis devenu un peu plus renfermé. J’aime beaucoup sortir le soir pour voir la lune et pleurer. Je sais que ça peut paraître étrange, je pleure sans qu’il y ai vraiment une raison. Ça me soulage tout simplement.
- Age : 26 ans - Taille : 1m70 - Poids : 65Kg - Note social : 8/10
Un dernier mot ?
Je sais qu'un jour ma fausse réalité explosera, comme une bulle. Juste pas tous de suite...
Hiromi
Physique : Il est grand, imposant, plein de prestance et de charisme. On entend souvent son rire gras et familier de loin. Il compense son physique humain par sa grandeur, très musclé, il entretient aussi sa barbe avec amour et méticulosité. Il est le plus souvent habillé de son uniforme de milicien urbain, mais on le voit parfois accoutrer de veston de qualité et de chemise en lin fin. Beaucoup de goût et de style. Il sent souvent la cigarette ce qu’il tente vainement de camoufler avec du parfum. Il aime énormément les couleurs sombres et le style vieux film policier, il inspire toute son apparence de ces dernières. Il a pourtant une voix grave et douce, laissant ressortir son côté paternel dans ses grands yeux plein de compassion et ces sourires tendres. Il est à la fois sollicité pour sa tendresse et craint pour sa sévérité. Non Disponible
Psychologie : Hiromi n’a jamais eu d’enfant, sacrifiant l’aspect familiale de sa vie pour sa carrière. Il peut donc se montrer très paternelle avec son entourage, l’aidant volontiers à traverser les épreuves de leurs vies comme si elles étaient siennes. Il peut tous de fois se montré très strict avec eux, les protégeant au mieux de leurs bêtises de jeunesse. Il c’est d’ailleurs beaucoup pris d’affection pour son collègue et on les voit régulièrement aborder des aspects importants de leurs vies en pleine ronde. Il est aussi un gros fumeur, y voyant là son petit plaisir coupable. Il fume le cigare depuis son entré dans la trentaine. Hiromi aime beaucoup la musique, mais préfère de loin écouter des livres audios si l’occasion se présente à lui. Il cultive son potager et adore cuisiner dans son petit tablier rose/orange.
Tous semblent toujours calme, sous contrôle et dans sa vie d’adulte peu de chose viennent prouver le contraire. Pourtant notre milicien réserve son lot de surprise, ne nageant pas toujours dans la plus grande justice lui-même. Il est immensément fier de son statut de Milicien, surtout entant qu’humain et ne se voit pas prendre une formule un jour. Malgré la pression du quotidien, il tien à prouver qu’un humain vaut bien un Armadiel.
Histoire Complète:
Je n’ai jamais pu oublier.
Les choses sont tel quels sont dans la vie et je sais que même si l’envie est grande, on peut rarement changer les choses. C’est avec cette optique que je me suis engagé, dès ma majorité dans la milice ! Je n’avais pas de grand rêve de gloire, ni même l’espoir de faire fortune. J’avais simplement ce souhait, d’être en pouvoir de changer les choses. Ma famille était toute ma vie. Tous humains, ils avaient cultivé une certaine forme de peur envers les personnes formulées. Les évènements de notre histoire familial donnaient raison à ce sentiment, mais je refusais de m’y laisser aller. J’étais fier d’être humain, mais au Trône, la plupart sont Armadiel. J’avais donc passé de longue année à cultiver un corps à la hauteur du leurs, à passer les tests physiques avec beaucoup d’effort quand ils semblaient à peine forcer. C’était certes déconcertant de voir le travail que je devais fournir par rapport au leur, mais c’était aussi très stimulant.
Mes collègues avaient au début beaucoup d’apriori et ne comprenaient pas mon refus des formules. Je réunissais pourtant toutes les conditions, mais rien ne m’aurait fait changer d’avis. Je voulais leurs prouver, qu’elle ne m’était pas nécessaire. J’avais réussi mes tests, comme les autres. Mais ma race ne me permit pas de décrocher un poste très haut dans la milice. Pour la plupart, je n’avais simplement pas les atouts raciales requis pour le poste. Mais je ne cultivais pas de ressentis. J’avais intégré l’urbain et depuis près de dix ans, je m’étais parfaitement adapté à la situation. Mon collègue actuel, étant devenu Armadiel contre son gré, partageait une place importante dans ma vie. Je le voyais souvent se confondre dans ses émotions, quand il n’affichait pas se masque de petit con, qu’il utilise comme défense face au monde. Je vivais également avec un Cumael du nom de Kobayashi.
Ce dernier n’avait pas de prénom ou refusait de le dire à quiconque. Et son action m’inspira beaucoup. J’étais toujours préoccuper par ma famille, vivant au loin, j’essayais au mieux de les laisser à part de ma vie actuel. Le danger de mon travail ne devait pas venir entacher un peu plus notre histoire. J’avais donc supprimé mon nom de famille de tous regard, les gardant ainsi à l’abris. Seul Kobayashi le connait, il me confia son prénom à la suite. J’habitais depuis longtemps avec lui maintenant et Opale venait souvent résider avec nous quand le luxe de sa demeure le répudiait trop. Je m’étais construit une vie confortable. Peut-être trop. Parfois le vide s’abattait sur moi, me laissant désireux d’aventure. Je rêvais alors de poste hors-frontière, de combat de gang et de drame politique.
Seulement des rêves.
Je m’étais laissé endormi par mon quotidien, mais ne laissait rien paraître. Pourtant je profitais parfois de soirée en solitaire, fumant un bon cigare dans les rues les plus sombre. Je ne portais pas mon uniforme dans se genre de cas et sans doute était-ce une action stupide. Je ne cherchais pas les ennuis, mais je les accueillais volontiers. Je voulais ressentir quelques choses, que l’adrénaline envahisse mon corps. Mais je rentrais tous les soirs, sans que rien ne se passe. La plupart des gens connaissais mon visage, mon statut et cachait leurs méfaits à mes yeux. J’étais las, fatigué, rongé. Ce fameux soir, je ne sortais donc pas avec beaucoup d’espoir. Je m’attendais à fumé dans une ruelle humide, à prendre un peu le froid et rentré bredouille comme à mon habitude. Mais le Russe entra dans ma vie.
J’avais presque fini ma cartouche et je peinais à garder une allumette en feu assez longtemps que pour pouvoir l’allumer. Je pestais dans ma barbe de ne pas avoir emmener de briquet fiable. Et mes pensées furent interrompu par un très fort accent russe.
- Vot der'mo! Proklyatyy kabel'
Je n’ai pas tous de suite bougé, ne comprenant pas un mot de la langue. Mais je reconnu l’accent fort et grave des Russes. Ils n’étaient franchement pas nombreux à Lazarus. Leur nation avait préféré se suicider dans une pluie nucléaire que d’accepter les formules. Je n’étais donc pas très rassuré quant à ces idéologies. Il semblait tripoter une boite en carton un peu noir. Je m’avançais doucement profitant de l’ombre, mais je ne distinguais pas grand-chose de plus.
- Kto zdes' ?
J’étais repéré. Il avait l’air tous à fait humain, vu de près, ce qui me rassura, mais ne m’étonna pas. Son look par ailleurs était des plus révélateurs.
- Tu n’as rien à faire ici. Toi partir maintenant. Compris ?
Son accent était à couper au couteau, mais je parvins à le comprendre sans mal. Je n’avais pas l’intention de l’écouter et je vins me mettre à sa hauteur, lui souriant. J’attendais quelqu’un comme lui depuis des lustres et je sentais déjà la vie reprendre mon corps. Pourtant, il resta un moment à me fixer droit dans les yeux, puis soupira en reposant sa boite dans un creux, abimé, du mur de brique à notre gauche. Je l’avais vu un peu mieux et mon estomac se tordit dans la seconde. Cela ressemblait très fort à une bombe. Je pouvais sentir l’odeur chimique, mêler de poudre qui ne trompait pas.
- Idti, vite. Ajouta-t-il. - Est vraiment ce que je pen…
Je n’eu pas l’occasion de finir ma phrase, il attrapa le pan de mon veston et me tira à sa suite, courant. Je ne lui résistai pas. Que j’aille raison ou tort, il était trop tard pour faire quoi que ce soit. Je devais penser à m’en sortir et le suivre ne sembla pas la pire des options. Notre course dura un petit moment, et fut interrompu à une centaine de mètre par une explosion retentissante. Je n’ai pas eu l’occasion de me retourner pour admirer les dégâts, nous étions toujours occupés à descendre les rues du Quartier Ouest. Il finit par nous arrêter dans un angle de rue donnant sur un parc sans nulle doute désinfecté. J’avais une bonne condition physique, mais lui sembla prendre un très long moment à reprendre son souffle.
M’inquiétant, j’ai passé une main dans son dos, lui demandant s’il voulait de l’aide ? Mais il repoussa ma main, visiblement surprit. Finalement, il se redressa, craquant tous les muscles de son dos et rigola bruyamment quelques secondes.
- Tu as pas peur toi ! J’aime bien.
J’ai souris à mon tour amusé. Mais bien vite le souvenir de l’explosion me revient et je pu enfin jeter un coin d’œil dans la direction d’où l’on venait. Il n’y avait pas de gros nuage de fumé visible, j’étais donc un peu rassuré. La bombe ne devait pas être si puissante et son but ne devait pas être de détruire tout le quartier. Mais peut-être visait elle la vie d’un homme.
- Tu t’inquiètes ? Pfff. Chuvstvitel'nyy.
Je n’avais beau pas comprendre, j’y devinais facilement une insulte.
- Je n’aime pas savoir qu’une vie est gâcher à vrai dire. - Gâcher… Toi pas beaucoup connaître vraie raison de la vie hm ? Jamais faire bombe pour gâcher une vie. Explosion est là pour briser les liens, les chaines, Sistema. - Le système ?
Ce mot m’avait été facile à deviner. Et j’avais donc bien en face de moi un terroriste, qui ne pouvait absolument pas deviner mon statut de milicien. Mais il ne semblait pas bien méchant au premier avis. Après tous, il aurait pu me laisser sur place afin de se débarrasser de tous témoins.
- Tu crois que Conseil a quelques choses à faire des gosses ? Sont vendu par paquets vers l’Irlande. Bha ce soir, le Prodannyy qui deal les gosses, boum.
J’étais stupéfait par son explication. Mais ne me laissant pas le temps de poser mes questions, il reprit.
- Tu sais Conseil, gentiment payer le Prodannyy parce que lui né dans la bonne famille. Les Nobles, les Prints. Tous parfait et protégé. C’est ça Lazarus.
J’ai longuement réfléchi à ces mots. Ils me marquaient d’une nouvelle façon. La milice m’avait envoyé sur l’affaire le lendemain. Le chef inspecteur était plus qu’à cran, la victime était un Ancien Prince, autant vous dire que le coupable était fortement recherché. Mais étrangement aucun témoin ne put venir aider et bientôt l’enquête tourna en rond. Les matériaux utiliser avaient presque tous disparu dans l’explosion, la milice n’en revenait pas. C’était là du travail de génie, une technologie qu’ils ne reconnaissaient pas. Beaucoup d’autre explosion fut recensée cette année-là, cette année sombre. Mais je vous rassure. Jamais une vie ne fut gâchée.
- Age : 34 ans - Taille : 1m83 - Poids : 90Kg - Note social : 7/10
Un dernier mot ?
Il faut savoir être fier de ce qu'on est ! Même si le monde ne semble pas fait pour vous.
Cillian Shtorm
Physique : Un physique particulier. Du moins parait-il. Il semble qu’ici, mon look soit plutôt voyant. Je suis percé dans l’arrête et le bas du nez, dans les oreilles, des écarteurs en plus. J’ai un tatouage sur le bras représentant trois lignes, dont celle du centre est plus fine. J’ai pas mal de cicatrise, que ce soit sur le corps, mais aussi au visage. Près du sourcil, sur la bouche descendant jusqu’à la joue. Oui j’admets être atypique et reconnaissable. Je porte le bouc, ou la barbe en collier selon, camouflant ainsi une partie de la balafre. Je passe d’un style à l’autre pour qu’on ne se habitue pas à me voir, pour ne pas être décrit si facilement.
J’affiche un éternelle sourire figé entre l’amusement et la menace. Il faut dire que je ne sourire réellement que très rarement. J’aime les tissus assez fins, pourtant je viens d’un pays très froid. Sans doute pour ça qu’ici j’ai toujours chaud. Je fais pas mal attention à ma santé pourtant. J’ai les cheveux rasés par endroit, d’un brun presque noir et les yeux clair. Je suis assez grand avec mon mètre 90 et tout en muscle. Il me reste une pointe d’accent Russe, témoignant de mes origines passées. Et je suis souvent couvert de poil de chat. Dégageant également une petite odeur de poudre et de danger. Non Disponible
Psychologie : J’ai trois chats. Belyy qui est blanc. Chernyy qui est noir et Krem qui est de couleur crème. J’aime beaucoup mes chats, ils sont ma seule famille, les seuls à vivre et être heureux avec moi. Je me sens parfois très seul, la vie me paraît monotone et je suis…. Vide. Si vide de tout. Je suis du genre pragmatique, je suis également extrémiste dans ma façon de penser. Il faut dire que la société fachiste dans laquelle ont vie est régis par des monstres se prenant pour Dieu. Il va de soi que je suis contre et m’efforce d’arrêter cette mascarade. Pourtant personne ne semble y croire. Foutus Européens, si naïf, si idiot. Pourtant je me dois de vivre parmi eux et avec eux pour certains. Il faut bien s’intégré et arrivée à prendre quelques partisans avec moi. Je ne peux pas faire éclater le système tout seul après tout. Je ne suis pas orgueilleux à point de le penser. Mais j’admets être à la recherche de stimuli, depuis l’incident j’avoue avoir été déçus. Tout me semble ennuyant. Il y a bien quelques gosses traînant dans les ruelles, pourrissant le monde à leur façon sans même s’en rendre compte. Je les aime bien, ils semblent juste victime de ce monde. Finalement nous ne sommes que des soldats près à combattre. Même à leurs âges, le système voudrait leur imposer ces règles. Ces gosses ont, au moins, la décence de ne pas se prêter aux jeux.
Histoire Complète:
2018. La Russie. Mère partie d’un peuple courageux et bravant la nature froide tous les jours. Ainsi se voyait Cillian. Fier dès l’enfance de ses origines, il vivait au jour le jour, traquant l’aventure à tout va. La vie lui paraissait simple. Ce lever, manger, étudier, rentré, jouer et dormir. Oui tellement simple. Et au-delà de ça peut de chose le souciait, que ce soit les brimades de sa grande sœur ou le froid qui lui gelait le bout des doigts en hiver, Cici gardait le sourire en toute circonstance, car il estimait ne pas avoir à se plaindre de la vie. Passionné de chimie, il orienta assez vote ces études dans ce domaine et fini par intégré une grande école. Fier comme un pan, il laissait la vie s’écouler, de moins en moins souciant, persuader que la grâce de la chance devait l’avoir touché. Car oui depuis tout petit la chance lui souriait, que ce soit avec un billet trouver par terre, en étant pile au bon endroit au bon moment. Tout semblait rouler. Mais vous savez ce qu’on dit, plus l’on est haut, plus la chute est rude.
2030. Le monde entre en guerre suite à la diffusion de formule modifiant les caractéristiques génétiques des hommes. Agé alors seulement de douze ans, notre Russe ne comprend pas encore les teneurs de cette bataille et se contente de redoubler d’effort dans ces cours afin de pouvoir se rendre le plus utile possible. Mais tout le monde ne fut pas de cet avis. Bien que sa famille le soutienne, sa grande sœur se braquait dans un délire hippie, prônant la diversité et la racialité du monde. Aberré par de tel idéologie Cillian et elle se disputèrent de plus en plus et en vinrent même à ne plus se parler autrement que par grand crie. Egalant presque le bruit des première bombes qui ravageaient le saint pays.
2035 La Russie s’engage et Cillian rejoins l’armé dans la branche chimique afin d’essayer de trouver une solution au premier nuage radioactive présager. De ces 17 ans il est le plus jeune et s’investie d’autant plus. Dans l’Europe les rumeurs vont vite et bientôt l’apparition du nom de Master engorge les journaux de propagandes. Poussant une partie du peuple à fuir la patrie pour investir la nouvelle terre sainte. Cillian décide alors de se démarquer. Ce rasant le crâne et enchainant les transformations physiques, il entend bien faire comprendre au monde que l’Humain n’est pas là par hasard et qu’Il se doit de gagner la bataille ! Les limites des soldats se faisaient sentir et chaque jour on apprenait que de plus en plus de noms quittait la fratrie. Et finalement l’heure sonna.
Fin de l’année, une intervention spéciale fut mise en place. Les ravages de la guerre avaient affecté trop d’endroit et une crise démographique ce déclarait chez les pays qui refusait de se réfugier en Europe. La Russie avait toujours réussi à résister à l’envahisseur, mais arracher de son peuple, il n’en restait qu’une terre sale et dévasté. Cillian s’y opposa pourtant, il refusait de parti, de se soumettre à ce nouveau monde et rien n’y personne ne pourrait le faire changer d’avis ! Cette guerre lui avait déjà trop pris. Leur liberté, leurs raisons, ces parents… Non, il ne pouvait pas abandonner maintenant, ce serait comme accepté tout cela et c’était tout simplement impossible ! Sa sœur eu beau crier de tout son souffle, elle finit par s’éteindre petit à petit, se murant dans le silence et la tristesse. Et minuit sonna.
Une intervention aérienne avait été commander par la Russie elle-même, se composant plus d’envahisseur qu’autre chose, elle avait décidé d’éliminer la gangrène à coup de bombe. La mission était lancer et rien n’en ressortirait. Ainsi quand un bruit de tonnerre ce fit entendre dans le ciel, simplement assis sur le perron à fixer le sol, Cillian et sa sœur eurent le même mouvement de tête vers les étoiles. Mais c’était trop tard. Il y eu beaucoup de fumée, de feu, de crie, de peur. Et tout se passa au ralentie, comme si la scène qui se déroulait sous ces yeux n’était plus réel. N’entendant plus rien autre que les battements de son cœur, Cillian s’approcha du visage déformé par la douleur de sa sœur. Il ne ressentait plus rien qu’un grand calme, sa propre douleur lui était étrangère. Il s’agenouilla à côté d’elle, et l’a pris doucement contre lui. Ce qu’il en restait tout du moins. Le bas de son corps était introuvable. Sa sœur afficha un sourire désolé et lui murmura de simples mots, dans un souffle qui serait le dernier pour elle.
- Vy byli pravy. ( Tu avais raison ).
Cillian laissa alors la douleur, la colère, la tristesse le bruit, la fumée et l’horreur l’envahir, hurlant sa peine comme sa rage.
2037. Les papiers furent durs à trouver, le chemin fut difficile à empreinter, mais Cillian avait réussie, il venait de poser pied dans le domaine de l’ennemi. Sa cible était prise. Le conseil, Master, Ce monde. Il détruirait tout, tout comme ces gens ont détruit le sien. Œil pour œil, il ne reculerait devant rien. Sa chance l’ayant pris en traitre, notre Russe apprit que suite à l’explosion, des fragments de bombes avait lésé ses poumons et son cœur. Le laissant donc avec une insuffisance pulmonaire qui l’obligeait à rester le plus droit possible. En effet, dès qu’il se couchait, et tenus du faite qu’il avait passé plus de temps à ruminé sa vengeance et atteindre ce pays, qu’à ce soignée, il pouvait arrêter de respirer à tout moment. Mais à présent, seuls les cicatrices sur son visage et son corps pouvait témoignée de cet incident.
Cillian prit un appartement dans le pire des quartiers afin d’y dénicher quelques personnes qui pourraient lui être utile. Au bout de quelques jours, les choses se mirent doucement en place et il put passer à l’offensif, laissant le bruit de cette explosion lui tracer un sourire sadique sur le visage. Il passa de nombreuse année à mettre au point tout un réseau, qu’il dirigeait. Connu sous le nom de la menace Russe, à cause de son accent qui le trahissait même au téléphone et de ces quelques difficultés avec la langue, il était à présent maître d’un complot qui le comblait. Il finit par recueillir quelques chats, à qui il ne parlait qu’en Russe, laissant ainsi les quelques peines résiduelles de son passé se faire sentir. Officiellement Cillian n’était qu’un réfugier comme un autre, accessoirement chimiste à son compte, recevant les gens par téléphone, les aidant en cas d’empoisonnement, ou non, selon la race et le statut social. Car comme il dit toujours, Око за око. ( Œil pour Œil ).
Physique : Un mètre 92. Musclé, la peau pâle, les cheveux noir ou brun, selon. Grand, sûr de lui. Le regard sombre, lointain, méfiant. J'aime porter des masques qui révèle ce que l'on est réellement. Je n'aime pas porter de vêtement trop encombrant, quitte à avoir froid. De tout façon je ne craint pas le froid. Je suis plus fort que le froid. J'ai des cicatrices, comme des griffures sur mon torse et ma cuisse, mais je m'en fou. Qui ça peut intéresser ? Je sais sourire, je sais avoir l'air misérable, petit et faible. Mais jamais vous ne me verrez ainsi. Personne ne peut me voir ainsi. Je suis fort, je prends le dessus sur les gens et ça se lie dans mon regard.
Je ne suis pas une personne qui possède un physique particulier ou qui marque par sa différence, pourtant quand on me voit. On ne m'oublie jamais. Je marque les esprit. Ce sont mes yeux je crois. il sont très foncer, presque noir. Parfois je leurs fait peur. Je peux la sentir cette peur. Mais je m'en fou. Le physique n'est qu'une enveloppe, moi j'ai battit la mienne pour qu'elle ai l'air d'être la plus forte. Donc je suis grand, musclé, et j'ai un air assuré quand je marche. Cela vous convient ? Ou vous en faut-il plus ? Je peux aller plus loin bien entendu. Je peux vous décrire le tranchant de mes dents, la force dans mes bras. Je peux vous décrire les dégâts que je peux faire, quand je m'en prends à quelqu'un. J'ai tout misé là dessus il faut dire. On compense comme on peut. Moi, je peux tuer un boeuf, à main nu. Tu ne me crois pas ? Bha viens donc me tester, petit. DISPONIBLE
Psychologie : Je pense qu'il existe deux moi. Le moi d'avant et le moi de maintenant.
Le moi d'avant est une personne craintif, qui a peur de faire mal les choses et d'en être réprimander. Qui a peur des gens plus forts que lui. C'est quelqu'un de faible, qui fera toujours ce qu'on lui dit, juste pour plaire. juste pour qu'on lui dise que c'est bien. Quelqu'un qui a peur de la douleur physique, quelqu'un qui pleure seul le soir le visage enfouie dans les linges qui lui servent de couvertures. Cette homme là je le méprise et en même temps il me fait peur. Car je sais qu'il est toujours là quelques part, à attendre, pour me porter le coup fatal, à attendre pour m'achevé. Je l'entends presque me murmuré, me chuchoter, que je vais fondre, que je suis comme la neige, et que lui en dessus, n'attends que ça. Une fiotte rien de plus. Un grognement et on en parle plus ! Il ne supporte pas ça les grognement, moi non plus je dois dire. C'est tellement bestial, même pour moi. Pourtant il m'arrive de grogné, pas lui. Lui il baisse les yeux, il fixe le sol, et il sourie. Bon Dieu qu'il m'énerve à sourire tout le temps ! Comme si cela pouvait nous sauver ! Quel idiot ! Il le sait en plus, qu'il est idiot. Mais ça le fait sourire. Il pense que tout va s'arranger, qu'un autre viendra et sera plus clément ! Qu'il est con. Pour dresser un chien, il faut lui donner des coups. Mais lui il n'apprends rien. Il n'est bon qu'à pleurer sur son sort. Pourtant, je suis également cette personne.
Passons au moi actuelle. Je peux sembler étrange au premier abord, je le conçois. Car je vois le monde comme il est vraiment et non comme on tente de nous le faire voir. Je peux sentir la peur des gens qui me croise, et elle me procure force et vitalité. Inspiré la peur et l'autorité, inspiré l'ordre et le respect. Soit plus fort, car si tu es le plus fort, personne ne peut te faire de mal. C'est une vérité, personne ne peut le nier. Seul les faibles se font frapper. Et je frappe les faibles, car j'attends d'eux obéissance, comme on en a attendus de moi. Je n'éprouve pas de remord ou d'autre connerie du genre. Je me contente de peu de sentiment. La peur et la non peur. La force et la faiblesse. Il n'y a rien de plus important. Il n'y a que ça. J'aimerais le croire, car ce sera plus simple. Mais quelques personnes parviennent à me troubler. En premier, mon oncle. Cette homme bien trop gentil que pour inspiré la peur et pourtant. Il est plus grand que moi, il soutient mes regards, je ne lui inspire pas la peur, mais ... Cette autre chose, qui bave et dégouline. Cette chose que j'ai toujours cru être bon que pour les faibles. Il n'a pourtant pas l'air faible.
Parfois les deux moi se confondent en un être misérable et perdu.
Ce n'est pas beau à voir quand ça arrive. on dirait un chien abandonné là, qui hurle, cri et grogne comme pour espéré ce faire comprendre. Pitoyable petit chose qui ne peut ce décidé entre ce qu'elle est et ce qu'elle doit être. Je la méprise plus encore que l'ancien moi, car elle n'a pas l'audace de s'affirmer en temps qu'être, en temps que moi !
Ainsi le monde est monochrome. On y voit des dominants, et des soumis. Chacun se trouvant l'un l'autre et les choses fonctionnent ainsi. Mais moi... Moi je suis un soumis caché sous un dominant. Et personne n'est là pour me compléter. Personne n'est là pour m'aider à choisir. A leur yeux je suis celui qui est étrange, alors que ce sont leurs yeux qui sont aveugle. Je vois clair, et je ne laisserais personne faire de moi son chien. Car même un chien à des dents pour se défendre.
Histoire:
Comment forge-t-on un type comme moi ? Comment devient-on un être si diviser ? C'est une question que beaucoup d'entre vous doivent ce poser. Mais je n'ai pas envie d'y répondre. Je n'ai pas envie de revenir sur des années aussi inutile que meurtrières. Je refuse de parler de ça, je ne veux pas l'oublier pour autant. Mais l'exposer serait une faiblesse. Hors je ne suis pas un faible.
Mon père était très jeune à ma naissance, sans doute un peu trop que pour assumer d'avoir un gosse. A un age où l'on se demande encore ce que vont penser les gens de tout ça, un age ou l'apparence passe avant toute chose. Mais je ne suis pas désespéré au point de me demander ce qui serait arrivé, s'il m'avait garder. A quoi bon. C'est une perte de temps sans fond. Il m'a vendu, pour garder son image. Et ma mère, qui ne valait pas mieux, a décider de me vendre aussi, pour de l'argent cette fois. Elle devait s'imaginer que je serais revendue en pièce détacher, ou si elle est vraiment stupide, que je serait adopté par un couple désespéré et riche.
Je refuse de m'attarder sur les années que j'ai penser à être enfant. Je refuse de m'octroyer le droit de devenir l'ancien moi. Je garde les griffures et les marques comme seul souvenir et ça me va très bien. aujourd'hui je suis un homme, et je l'ai été il y a deçà quelques années encore. Quand le moi actuel c'est affirmé, j'ai pris mon indépendance, si on puis dire, et je me suis mis à marché dans cette ville. Sous le ciel de plombs, ce ciel d'hiver. La neige en tombait doucement, comme avec paresse, et moi je restais en dessus à la regarder, indifférent au froid. J'aurais pu simplement me demander que faire à présent. Mais ce genre d'idée ne me traverse pas l'esprit. Je ne suis pas fait du même bois que vous.
Mon chemin c'est tracer de lui même. Je me suis affirmé, j'ai forgé mon corps. Car celui avec le quel j'ai commencer ne collait plus, il était trop fin, trop friable. Ce n'était pas raccord avec mon regard. Ce fameux regard. Il m'a beaucoup servit, presque autant que mes poings, pour me forgée une vie tranquille. J'ai pu assez facilement me trouver un logement, après tout la société cache les raclures de mon genres entre 4 murs, histoires de préserver un peu le monde. Trouver un boulot ce révéla être plus compliqué. Car je ne suis pas de ceux qui écoutent ce qu'on lui dit. je fuis, nie et réprouve ce genre de chose comme la mort. Alors j'ai commencer à peindre. Oui je sais peindre. Je ne suis pas un tas de chaires et de tendons incapables du moindre ressentie. Idiot que tu es pour penser ça en lisant ces lignes. Mais cela fait aussi partie de votre monde. De juger sans savoir, de coller une étiquette.
Donc je peins, et je vends ce que je peins. Cela doit porter un nom, mais je m'en fiche. Je n'ai pas envie qu'on me colle un nom dessus. Ma vie pouvais paraître simple comme ça et je m'en contentais presque. Jusqu'à ce qu'une odeur familière entre sur mon territoire. J'étais occupé sur une toile, couvert de tache de couleur gris et violette. Je me suis retourné sans la moindre émotion, mon pinceau toujours à la main. Et il était là. Ma première pensé, fut que je lui ressemblais. Beaucoup. Il est aussi grand que moi. Je dois le dépasser de trois ou quatre centimètre tout au plus. Je n'ai pas ces yeux, mais bien son nez. Je suis rester ainsi dans le silence, à l'observé, à nous comparer. Lui aussi ne disait rien, ou tout du moins, je ne l'écoutais pas. Il dégageait une aura proche de la mienne. Il faisait peur, il inspirait le respect et l'autorité. toi aussi du châtie les faibles j'en suis sûr. Derrière lui ce tenait un garçon plus jeune. Défiguré. Voilà donc ton faible. Pourtant à nouveau sa ressemblance avec moi me frappa. Ce nez, ces cheveux. J'ai froncé les sourcils. Chose rare chez moi, de laisser voir une émotion sur mon visage.
- Sortez d'ici. Vous n'avez rien à faire là.
Ma voix devait être glacial, pourtant il ne bougea pas, il me toisa, comme curieux. Tu le sais n'est-ce pas ? Es-tu surpris de me voir vivant ? De me voir si fort ? Car je suis fort, certainement plus que toi et que le gringalet que tu te trimballes. Mon demi frère n'est-ce pas ? Quelle salope tu avais bien pu engrosser pour l'avoir celui-là. Mais tu es idiot. Car il peur de toi, et c'est tout. Hors un soumis, doit être en mesure de te défendre, de t'aimer et te vouer sa vie. Lui te méprise et sa se sent. Il posa son regard sur moi finalement et aller savoir comment ou même pourquoi. Il su la vérité. Je me suis donc approcher de lui, laissant toute mon âme prendre le dessus sur la tienne et je lui ai offert ce que toi tu aurais du lui offrir père, une chance. Je lui ai donner mon numéro, une adresse. Il pourrait me rejoindre.
Et il l'a fait, n'étant pas seul. J'avais ainsi rencontré mon oncle qui me trouble tant. L'autre bâtard de mon père, semblant si détacher de tout qu'il ne m'inspirait plus rien, et cette espèce de danseuse étoile qui comme moi cachait un soumis sous son caractère de dominant. J'en ai fini avec cette histoire des plus barbantes. Et n'allez pas encore penser à tord que tout m'indifférer. J'étais réellement en colère en revoyant cette homme me faire face avec cet arrogance dans le regards. Comme si je lui faisais affront en respirant encore. Vous ne pouvez sentir ces choses là, alors vous faite comme si elles n'étaient pas là. C'est bien pour ça que je ne vous en direz pas plus.
Physique : Les yeux d’or. C’est de loin la première chose que l’on voit chez Amber. S’en suit ces écailles couronnant son visage, d’un brun auburn. Il aime se parfaire de bijou en tous genre, décorant ces cornes avec grande fierté. On s’en en lui une puissance et une âme de meneur. Il n’a jamais eu besoin d’être bien grand pour imposer le respect. Il est aussi doté d’une queue, fine, toute d’écailles et fini par un voile léger. Encore une raison de se couvrir d’orgueil.
Il parait fin pour un Vimentel, presque fragile et délicat. Mais sa force n’en est que plus redoutable et il peut aisément vous soulevez d’une main pour vous le prouvez. Bien que ça grande spécialité reste son lien avec les élémentaires. Il est habitué au tenu du cirque, portant souvent plusieurs tissus fins comme simple habit. Il aime montrer ces écailles, lui courant tel des rivières sur sa peau blanche. DISPO
Psychologie : Ambre est l’ainé, celui qui instruit, celui qui protège et celui qui mène la danse. Depuis toujours il a pris l’habitude d’être écouté, adoré et regardé. Il aime être regardé, n’est-il pas empreint d’une beauté nouvelle ? Son regard d’or veille et sa voix douce commande. Il n’a jamais eu à s’énerver pour avoir ce qu’il voulait. Il est donc calme de nature, mais sa race lui laisse loisir de bouillonner de colère quand il le faut. Il communique beaucoup avec les élémentaires de l’eau, quand il en croise. Il aime converser longuement avec au bord des rivières. Il s’associe parfois au feu, plus impétueux, il en apprend le respect.
On lui reconnait un certain narcissisme et bien qu’en saison froide il passe le plus clair de son temps au bord du feu à moitié endormis, en été il brille de mille feux et n’hésite pas à en mettre plein la vue à son public. Son frère est tous pour lui et il n’envisage pas de vivre sans lui un jour. Lier par le sang dans une famille de nomade, a toujours été important pour eux deux. Leurs histoires les ayant liés à jamais dans cette vie et les suivantes. Ils aiment la spiritualité et débattent souvent entre eux le soir.
Rumeur:
La pluie s’écrase dans l’eau couleur encre que forme les rivières en plein nuit. La pluie s’écrase sur les toits des demeures des pauvres et incompris. La pluie efface les marques de richesse, laissant ces eaux envahirent les maisons des plus chanceux, les salons des plus heureux, les abris des gens luxueux. Et les rivières laissent monter leurs eaux et partout les gens se noient. Bientôt elle s’arrêtera et laissera le feu sécher le bois des anciennes demeures. A la fin, il ne restera rien pour rendre le monde divisé. Les pauvres et les riches, n’ont maintenant qu’un seul bien, leur seul point commun. La pluie leurs à tous prit et un nouveau point de départ s’offrit.
- Age : 28 ans - Taille : 1m71 - Poids : 63Kg - Note social : 5/10
Un dernier mot ?
Faut savoir faire confiance au destin. Chaque blessure a un sens.
Perle Asham
Physique : Noir. Sa race l’a marqué bien plus étrangement que ces semblables. Son albinisme lui ayant joué un ultime tour lors de ce changement si radical. Ainsi, contrairement aux autres, il ne pu prendre couleur là où ils n’y en avaient jamais eu et laissa le noir envahir sa peau. Il a par la suite pris grand plaisir à y ajouter ces propres dessins, tatouages, marques. Sa propre histoire, que seul lui comprends. Il aime perdre son regard d’un blanc pur dans l’ombre et semble parfois rayonné de cette même ombre.
Il porte le plus souvent un simple pantalon très large dans les ton blanc ou beige. Il déteste la contrainte du tissu comme celui des chaussures. Il ne porte aucun bijou, aucun accessoire et préfère laisser parler sa peau pour lui. Plus petit que son frère, il aime se laisser oublier dans un coin. On le verra rarement engager la conversation sans lui, préférant marché au loin déjà fatigué de vos mots. DISPO
Psychologie : Perle est la force tranquille. Le calme avant la tempête, le murmure du vent qui vous prévient. Souvent il inspire la peur et la plupart des gens autours de lui l’évite gentiment. Il a donc l’habitude d’être seul ou avec son frère qu’il chéri au-delà des valeurs de son monde. Extrêmement spirituel, il semble toujours dans son monde, à part de tous. Le silence n’a jamais été une gêne pour lui et il aime s’y perdre des heures durant. Dans un dialogue silencieux que seul lui comprends.
Il apprécie beaucoup son pouvoir et passe le plus clair de son temps dans cette réalité flou qui en a découler. Parler, chanter, danser seul n’est pas un problème et son frère vient très volontiers s’ajouter à ce petit balai des ombres. La peur qu’il engendre lui a toujours assuré une certaine sécurité, alors pourquoi changer ? Si l'autorité de son frère ne suffisait plus, il est bon de savoir que Perle est le plus dangereux des deux.
Rumeur:
On raconte qu’au loin, les ombres ont pris vie. Qu’elles écoutent les chants, les pleures et les appels des enfants. Elles parcouraient les rues à la recherche de l’appel. Et laisserait derrière elles un spectacle irrationnel. Les pleures demeurent, les chants résonnent, mais plus d’enfants pour les porters. Ils sont là et pourtant absents. Prisonnier, cacher, protéger dans un monde qu’on ne voit, mais entends. Ainsi les gens prennent peur et partout raconte cette mœurs. Les ombres ont prit vie, ont prit les enfants et laisse derrière eux leurs chants.
- Age : 24 ans - Taille : 1m68 - Poids : 55Kg - Note social : 4/10
Un dernier mot ?
Le monde est trop bruyant. Comme ma peine, faite silence.
Leur histoire:
Ambre né le premier. Dans un monde dévaster par la guerre et le conflit. Il est né l’année où la Promesse fut envoyée. Le monde déjà fou ne put que succomber un peu plus. Et son enfance fut troublé de bataille, de trahison et de fausse valeur. Il n’aime pas en parler. La seule lumière qu’il pu voir dans ces années, fut la naissance de son frère, Perle. Né dans un monde formulé, il n’avait jamais pu voir le semblant de calme qui avait précédé cette tempête et ces parents se furent à ces yeux qu’un vague couple étrange parcourus par un désir de victoire et de vengeance. Tous deux avaient passer ce temps, main dans la main à attendre que le calme se fasse.
Ambre avait dix ans, quand Master arriva dans ce monde, promettant de conclure ce chapitre lugubre de l’histoire. Mais leurs parents n’en avaient que faire. Ils ne voulaient pas d’un nouveau Dieu, d’un nouveau monde. Et leurs groupes se divisa bien vite sous ces différences d’idéologie. Ce fut une sombre nuit, rien ne laissait présager de la suite. Mais le discourt de la soirée n’avait pas plu, beaucoup redoutait le nouveau Dieu et préférait le suivre dans sa promesse de paix que d’engager le conflit avec. Ils allaient donc mettre un terme à cette dystopie et mettre à silence les profanateurs de la Promesse.
En quelques minutes, tout le camp était en feu, chaque groupe répliquaient. Aucun ne réussissait à prendre l’avantage et les abris de fortune essuyait de moins en moins bien les bavures du combat. Les tentes et caravanes s’enflammèrent, explosèrent. Le bruit attira l’attention d’une meute d’animaux formulés, indescriptible, venant s’ajouter au combat. Dans l’ombre, les deux enfants se cachaient sous une pile de vivre. Ils n’osèrent faire de bruit, tremblaient et priait pour que le monde se taise enfin. Mais le vent augmentait les flammes et l’incendie s’approchaient dangereusement d’eux.
Perle le remarqua en premier, tentant d’expliquer à son frère le danger. Mais le bruit était si fort autours d’eux, qu’il allait bientôt être trop tard pour agir. Ambre, comprenant enfin bien que trop tard, attrapa un des sacs sous lui, espérant vainement y trouver quelques choses pour repousser les flammes. Il prit un cylindre, espérant y trouver un liquide, mais c’était une grosse seringue, son débit ne pourrait l’aider. Alors à court d’idée et sans plus réfléchir, il se l’injecta. Il prit ensuite Perle dans les bras, hurlant alors que les flammes lui léchaient les jambes. C’était la fin. Mais il refusait de s’y résoudre, alors à plein poumon il hurla, « ARRÊTE-TOI ! ». Pendant un instant, il ne se passa rien, puis le feu se retira de ces jambes. Partout où la chaire avait été brûler, de larges écailles brillaient d’un brun presque rouge.
Ambre respira difficilement, réalisant qu’il n’était ni mort, ni amputé de ces jambes. Il comprit alors que la seringue plutôt, celle qu’il c’était injecter sans même réfléchir, venait de lui sauver la vie. Il était Vimentel et ainsi tous naturellement, il avait ordonné à l’élémentaire de feu qui se nourrissait du carnage de l’épargner. Il chercha alors son frère du regard, mais ne le trouva pas. Partout où les flammes ne brûlaient pas, une épaisse fumée envahissait l’air. La chaleur sembla revigoré le jeune Vimentel, et il se dégagea de sa prison sans difficulté. Sa nouvelle force était galvanisante et il entreprit de chercher Perle. Les gens tombaient autours de lui, les animaux ne faisaient guère différence entre les camps et tous le monde sembla vite blessé ou au bord de la mort.
L’inquiétude montait chez Amber et la fumée autours de lui sembla s’épaissir de minute en minute. L’élémentaire s’en donnait à cœur joie lui aussi et il ne resta bientôt plus que les corps à brûler dans ce qui avait été leurs camps. Mais partout où sont regard d’or se portait, la fumait demeurait. Il entendit alors un chant, doux calme et emprunt d’une profonde tristesse. La fumée sembla descendre vers la terre, marquant de noir son passage, puis le feu lui-même se laissa mourir sur les restes des dernières charognes. C’est là qu’il le vu, sa peau était devenue noir, mais ses cheveux d’un blanc pur restèrent comme ils avaient toujours été. Quand Perle arrêta de chanter, un vacarme de crie et de pleure retentit autours d’eux. Bien que tous semblèrent mort et le combat finit, il résonnait encore le son horrible, l’écho du passé. Ainsi et à jamais.
Les deux frères avaient changé et maintenant libéré des idéaux de leurs paires, ils partirent vers Lazarus. Partout dans la masse de gens migrant vers cette terre promise, on voyait la conséquence des formules et les jeunes enfants purent aussi constater la nouvelle faune de ce monde. Un groupe en particulier portait à sa suite de lourde cage et tente plier. On y voyait un Tigre grand, vert, recourt de végétation ou ces méduses immense qui semblaient faire du ciel leurs demeures. Un homme, plus vieux et imposant que les autres leurs expliqua qu’il s’agissait là de son cirque, le premier de ce monde pavanait-il. Et que si les deux frères n’avaient plus de but ou de famille, il pourrait leurs faire une place.
La chance au formulé, leurs vies fut ainsi redémarré. Dans les secrets du cirque et de l’art des gens à part, ils purent développer leurs pouvoirs, leurs secrets. Perle s’intéressait beaucoup à l’histoire qu’il se raconte partout où le cirque passe et aimait cette vie de nomade et de compte féérique. Ambre lui adorait apprendre du nouveau bestiaire et communiait de mieux en mieux avec les éléments autours de lui. Ils montèrent ainsi un spectacle, séparément, s’assurant de pouvoir rester dans leurs nouvelles familles. Aujourd’hui, ils ont 28 et 24 ans et bien que les choses semblent s’être calmer, les idéaux dans la ville sont partagés. Et comme beaucoup, nos frères interprètent et change l’histoire sur leurs passages.
Physique : Roux, abimé, magnifique. Val' se considère beau dans sa douleur. Il aime voir le rouge marqué sa peau pâle, il aime voir le bleu s'infiltrer en dessous. Toute ces couleurs que tant redoute. Il sourit la plupart du temps, mais jamais ne plantera son regard azure dans le vôtre. Il a les cheveux court et tous bouclé, lui donnant un air innocent. On n’entend jamais le son de sa voix et il se fait vite oublier avec sa petite taille.
Il aime les pulls chauds, les écharpes et autre bonnet, mais n'est pas frileux pour un sou. Il aime le contact du tissu, la chaleur et la sensation de cocon protecteur. Il aime prendre son corps en photo après un dur rappel à la vie. Sa vision du monde est étrange, mais incontestablement belle. Il porte parfois des fines lunettes rondes, lui donnant l'air pensif. Il prend grand soin de lui, sous certaine mesure. DISPO
Psychologie : Valentio est compliqué. Beaucoup le pense simplement muet, mais la vérité est qu’il a prit la décision de ne plus parler. C’est sans doute une chose curieuse et beaucoup ont cru à une simple phase, mais cela fait prêt de 10 ans que personne n’a entendu le son de sa voix. Il existe pour autant ! N’hésitant pas à écrire pour communiqué, il est ingénieux et sait se faire comprendre. Il cultive un monde intérieur très riche, comme certains disent. Il aime la musique, il aime la douleur et les utilises pour se souvenir qu’il est en vie. Car souvent il oublie.
Il oublie et plonge dans une sombre marre d’encre, ronger par son absence de ressenti. Il n’arrive alors plus à penser, aimer, manger et parfois même regrette de pouvoir respirer. Mais il n’abandonne jamais et ne cultive aucune envie particulière de mourir. Bien au contraire, il voue un culte à la vie ! Et aime montrer à travers la photo sa vision de cette dernière et du monde qui l’entourent. Une vision à part, souvent incomprise, parfois juger. Mais il n’en a que faire. Il le fait pour lui, pour se rappeler.
Beaucoup juge les cicatrices qu’il laisse sur son corps, mais elles sont précieuses à ces yeux. Elles représentent son combat contre le vide, contre l’ennui, pour la vie ! Et il renonce souvent à argumenter sur le sujet, ce fichant bien des opinions. Il préfère se concentrer sur ces études et cultive de grande ambition quant à sa future carrière ! Il est parmi les meilleurs élèves de son année et sait que son talent pour ses cours l’aide à passer beaucoup de son comportement.
Lettre à mon passé:
Mon cher passé,
Je t’ai aimé, rejeté, étudié. Et aujourd’hui, je suis prêt à t’accepter. Tu m’as pris ma voix, mais je ne t’en veux pas. Tu m’as pris mes émotions, peut-être par compassion ? Tu as gravé en moi les épreuves et l’expérience nécessaire à ma vie. Je le sais et parfois je me languis de devoir attendre encore que quelques choses changent.
Mon cher ami, je me perds encore parfois dans ce vide. J’y plonge des heures durant, oubliant le monde existent, oubliant même le temps. Il ne s’écoule alors plus et attendre devient mon seul but. C’est alors que tous semblent figé à jamais, que la douleur me libère. Elle entre en moi, me parcours, m’envahis et me ramène à la vie. J’en ai fait une amie, une douce et fidèle amie.
Je ne t’en veux pas, j’en veux à la vie. Elle fut si calme, si tranquille. Rien ne pouvait capter mon attention. Ni mes parents, ni mes amis, personne ici-bas. Je ne percevais pas les regards, je ne ressentais pas leurs mots. J’étais déjà loin sur le chemin du vide. Mais je me suis toujours attaché au savoir et à l’avenir. Je paie tous ça dans un but et la récolte du prix me maintient en piste.
J’aime étudier et découvrir. J’aimais mon école malgré ces défauts, j’aimais mon village perdu dans les plaines. Aujourd’hui je suis en ville, dans un quartier de l’université et bien que mon studio soit confortable et que la vie semble enfin avancée, parfois ce vide revient. Et avec toi mon cher passé à ces cotés. Tu me rappels ces moments seuls, ces parents ravis de placer leurs problèmes au loin.
Je sais qu’ils m’aiment, tu me l’as prouvé. Mais je leurs suis toujours étranger. Tu me rappels tant de chose futiles et importantes. Alors pourquoi ai-je l’impression de n’avoir encore rien vécus ? Je me las des expériences vides et des banalités de la vie. Tu es si maigre mon cher passé, il est temps que j’avance pour t’enrichir. Je me construis, je grandis, j’attends la suite avec impatience.
A très bientôt, passé. Espérons avoir beaucoup à se raconter.
- Age : 23 ans - Taille : 1m66 - Poids : 51Kg - Note social : 6/10
Un dernier mot ?
Arrêter de dire que ma douleur fait mal, qu'elle est triste, qu'elle peut guérir. Je l'aime et j'ai besoin d'elle. Comment pourriez-vous comprendre ? Elle est mon amie la plus fidèle.