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LE TEMPS D'UN RP

We didn’t choose this life, we’re just living it. (Gäa et Senara)

Gäa
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Gäa
Mar 19 Juil - 20:43

Klaus Hargreeves
J'ai 17 ans et je vis à Dallas, Texas. Dans la vie, je suis un héro super sexy et je m'en sors bien grâce à ce cher papa. Sinon, grâce à ma chance ...malchance, les deux ?, je suis médium enfin façon de parler et je le vis plutôt pas bien.

Je suis numéro 4, mais aussi The Séance ou Klaus grâce à notre très chère mère robotique, pas flippant.

Je peux voirs les morts, youpi la joie, ça me fait peur ! ils viennent me harceler, alors je prend de quoi camoufler mes pouvoirs, c'est à dire tout ce qu'il y a de plus légal "se râcle la gorge".

Un peu trop excentrique, je le vie très bien.

Je n'arrive pas à contrôler mes pouvoirs, alors mon père m'enferme dans un mossolé, pour me forcer à apprendre ... Papa de l'année !
Je n'avais autant trembler de toute ma vie, je pouvais même sentir les frissons parcourir mon corps, ce qui n'avait vraiment rien d'agréable. J'avais allongé Ben sur la banquette arrière, enfin j'avais fait comme je pouvais, à présent j'appuyais fort sur ses plaies, pour stopper l'hémorragie. Claquant parfois des dents, j'eu à nouveau un frisson, ce était en train de me rendre complètement parano, jusqu'à ce que j'entende "Klaus" , oh non ! c'était loin d'être le moment, puis je devais rester concentrer sur Ben. C'était long et j'avais la nausée, je commencé même à voir des points noirs, ce qui me fit encore frissonner, lorsque j'aperçus des nouvelles silhouettes "Allez Ben reviens ... Ont a pas fini de parler tout les deux hein ? Hein Ben se serait ... Me laisse pas tout seul" , c'était égoïste, mais j'avais peur tout seul. Pas que je n'étais pas habitué à la solitude, non ... Mais avoir un frère blessé à l'arrière d'une voiture volée, bien disons qu'il y avait mieux ... De plus, j'avais peur que cette bande de c*nnards sans nom ne revienne. Soupirant, je pouvais à nouveau sentir des frissons parcourir mon corps, et cette fois-ci je pouvais entendre des "Klaus" de plus en plus présent. Il était hors de question que je ne relève la tête, je ne voulais pas voir de cadavre en décomposition, j'en avais marre, je voulais me boucher les oreilles, mais je ne pouvais pas abandonner Ben ... Ce que c'était long ... Et si l'aide ne venait jamais ? Papa nous avait-il abandonné ?

Au bout d'un long moment, j'entendis le bruit d'une voiture, déglutissant difficilement, je reconnu la voiture des Hargreeves. J'eu un soupire de soulagement "Ben ! Ben ! l'aide est la ! l'aide la !" dis je tout en sortant de la voiture, mettant sans doute relevé trop vite, car je pouvais voir des points noirs, mais en voyant la silhouette de Luther, j'étais tellement soulager, que je ne pouvais que courir vers lui. Chose que je n'aurais jamais cru faire, mais dont j'avais besoin, c'était de lui sauter dans les bras, j'avais eu peur, en faite, j'étais toujours mort de peur, et ça faisait du bien de voir Luther. J'eu du mal à trouver mes mots aux paroles de Luther "Je ... Je ... Je sais pas ont a était enlevé par des fous furieux !!!! je te jure ! ils connaissent des tonnes de choses sur nous, il y avait plein de photo de nous dans la maison c'était ..." je repris mon souffle "Ben il lui on mis une ceinture avec des .... Des piques, tu c'est des malades, ils connaissaient bien son pouvoir, il est dans la voiture j'ai ... J'ai fais ce que je pus je te juuuuure". En faite j'étais en train de parler, mais mon flot de parole allait bien plus vite que mes pensées. Luther rejoignant Ben avec moi, je regardais celui-ci, tout en me rongeant les ongles, frissonnant et claquant des dents. Ben dans la voiture familiale, ont pourraient rentrer à la maison, oh oui, ont pourraient rentrer à la maison. Mais pour le moment, j'étais toujours la, sans vraiment être la ... Il n'y avait pas à dire, mais dans les bois, ça pouvait grouiller de fantômes, non je ne pouvais pas regarder, je ne voulais pas les entendre, alors cette fois-ci je fis en sorte de plaquer les mains contres les oreilles, avant de me rappeler mon poignet, ainsi que mon bras, j'eu alors un grognement. Heureusement Luther repris la parole et j'hochais la tête à ses paroles, même si entendre le numéro quatre, était comme une barrière entre nous ... Je me sentais triste d'un coup, mais je monta dans la voiture pour aider Ben, numéro six ... Nous étions que des numéros. Dans la voiture, je pris la paroles "Papa nous a recherché ? Et ... Et vous ?" , car oui, qu'est ce qui c'était passé de leur côté ? Ben eu un léger grognement "Ey on rentre à la maison Ben" je voulais sourire, mais pour le moment j'en avais pas le courage, j'étais pris d'une grande lassitude, heureusement Luther était la, oui, lui il était venu..
Senara
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Ven 16 Sep - 11:36

Luther
Hargreeves

J'ai 17 ans et je vis à Dallas, au Texas. Dans la vie, je suis le leader de la Umbrella Academy et je m'en sors très bien grâce à mon père. Sinon, grâce à ma malchance, je suis amoureux de ma sœur et je le vis plutôt bien.

We didn’t choose this life, we’re just living it. (Gäa et Senara)  - Page 3 Vs0f
►  C'est l'un des enfants adoptés par Sir Reginald Hargreeves dans le but de « sauver le monde ».
→ Il est doté d'une force surhumaine.
► Il possède deux alias : Spaceboy et Numéro Un.
→  Il est très proche d'Allison depuis son enfance et est finalement tombé amoureux d'elle.
► Luther est le membre le plus responsable de la Umbrella Academy.
→ Il a toujours voulu rendre fier son père.
C’était complètement fou de faire ça. Il était complètement fou de faire ça. Son père allait probablement le réprimander encore plus sévèrement maintenant qu’il empruntait la voiture familiale pour aller chercher ses frères au lieu de le prévenir. Luther devrait probablement faire marche arrière et montrer une fois de plus qu’il était un bon petit soldat, mais le discours de Sir Réginald résonnait encore en lui, de même que la voix paniquée de Numéro Quatre. L’heure n’était plus aux demandes ni à la tergiversation. L’heure était à l’action. Et justement, c’était son point fort, là où il excellait probablement le mieux. Les clés de voiture en main, il ne prit même pas le temps de s’habiller en superhéros. Seul comptait qu’il retrouve ses frères, autres membres de son escouade, et qu’il les ramène sain et sauf – du moins vivants, puisqu’ils avaient l’air en très mauvaise posture – démontrant par là que contrairement à ce que son père pensait et disait, il était tout à fait apte à être le leader de la Umbrella Academy. Luther devait prouver qu’il savait prendre des décisions et protéger les siens. Restait juste à savoir s’il cherchait plus à le prouver à son père ou à lui-même. Toujours est-il qu’une fois qu’il fut au volant, il écrasa la pédale d’accélération et partit dans la direction donnée par Pogo. Il ne prévint personne, pas même Allison. C’était son combat, d’une certaine façon, et de manière plus raisonnée, Klaus et Ben devaient être secourus le plus rapidement possible. Il n’avait donc pas le temps de rassembler le reste de l’équipe.

Roulant depuis plusieurs dizaines de minutes, Luther était perdu sur une route sur laquelle il n’avait croisé aucune voiture en sens inverse. Il commençait à désespérer et à se demander s’il ne s’était pas trompé de chemin, s’il n’avait pas mal compris ou s’il arrivait trop tard, lorsqu’il finit par apercevoir ce qu’il lui sembla être un véhicule à moitié dans le ravin, prêt d’une cabine téléphonique. Braquant le volant presque au dernier moment, Luther se gara à proximité et se dépêcha de sortir de l’habitacle. Là, il eut déjà la surprise d’être étreint par Numéro Quatre. Un peu hébété, il ne réagit pas vraiment et préféra se concentrer sur les évènements qui les avaient conduits ici. Klaus lui expliqua alors avec agitation que des personnes, qui en savaient manifestement beaucoup sur eux, les avaient enlevés et emprisonnés. Numéro Un fronça même les sourcils lorsque son frère mentionna la ceinture à piques avec laquelle ils avaient maintenu Ben captif. Il n’était pas sûr de tout comprendre car cela faisait beaucoup d’informations à traiter et à intégrer, sans compter les répercussions que de telles révélations ouvraient, mais ce dont il était certain, c’était que Numéro Six avait besoin de soins immédiats et que leurs ennemis étaient sûrement déjà sur leurs traces. « Je te crois Quatre, calme-toi, ça va aller. » tenta de tempérer Luther, plus à l’aise dans un combat que dans ce genre de situation délicate. Il regretta d’ailleurs immédiatement de ne pas avoir emmener Allison. Elle aurait su trouver les mots, elle. Elle aurait su le conseiller. « On va déjà commencer par s’occuper de Six. » déclara-t-il sur un ton qui se voulait ferme mais rassurant. En effet, Luther tâchait d’être organisé et de ne pas céder à la colère qui l’habitait. Il n’était pourtant pas d’une nature violente ou vindicative, mais voir ses frères dans cet état... Non. Ça le mettait hors de lui, surtout qu’on les avait eus à la déloyal. Il n’empêche que si venir leur porter secours sans demander d’aide lui avait paru être une bonne idée sur le moment, il comprenait désormais que ce n’était pas la meilleure qu’il ait eue dans sa vie. L’état de Six était alarmant, Quatre était au bord de l’hystérie et des fous furieux étaient à leurs trousses... Ça faisait beaucoup pour un adolescent de dix-sept ans, tout superhéros qu’il puisse être. Sans les autres, il était comme amputé, chacun ayant une place bien précise dans leur dynamique. Après tout, ce n’était pas pour rien que Sir Réginald avait décidé de monter une escouade plutôt que de leur donner des missions différentes et personnelles. Mais voilà, il était venu seul et devait donc se débrouiller de la même manière : seul. D’ailleurs, agir sans attendre les ordres de son père était une première pour lui. D’habitude il ne faisait rien sans son consentement, craignant de le décevoir et lui obéissant aveuglément. A présent, Il espérait juste être à la hauteur de la confiance et du rôle qu’on lui accordait.

Numéro Un fit l’allée et venue entre les deux voitures pour aller chercher la trousse de soin et stopper au maximum l’hémorragie, le temps de retourner auprès de leur père. Klaus aussi était blessé, mais ils devaient aller au plus pressant. Alors malgré l’état de ce dernier, les efforts du leader se concentrait sur le plus meurtri des deux. Ben, toujours inconscient sur la banquette arrière, était pris en charge par un Klaus mal en point tandis que Luther conduisait aussi vite que possible en direction de la Umbrella Academy. Concentré sur la route, il entendit son frère lui demander s’ils les avaient recherchés. « Bien sûr ! » s’exclama-t-il vivement, comme si l’inverse était inconcevable. Du moins, pour lui. En se rendant compte que deux de ses frères manquaient à l’appel, Luther avait fait le tour des lieux, plusieurs fois, pour être sûr de ne pas les avoir ratés. Puis Sir Réginald avait récupérer ses enfants restants et les avait ramenés à la maison, arguant que les deux autres reviendraient par leurs propres moyens. Mais pensait-il vraiment ce qu’il disait ? « Papa... Je suis sûr qu’il essaie de vous trouver. » Mais un doute transparut dans voix. Se reprenant, il espéra que Quatre n’avait pas remarqué son hésitation. Il reprit ensuite avec entrain, histoire de noyer le poisson. « L’important c’est que vous ayez réussi à vous enfuir et à nous contacter. Maintenant tout ira bien. Ce n’est l’histoire que de quelques minutes. » affirma-t-il en accélérant davantage et en zigzaguant entre les véhicules pour arriver au plus vite chez eux.

Devant le manoir, leur père les attendait sur le seuil de la porte. Il avait dû savoir ce qu’il se passait, d’une manière ou d’une autre. Luther sentit une angoisse montée depuis ses tripes jusqu’à sa gorge, mais il en fit abstraction. Peu importaient les foudres que Sir Réginald ferait s’abattre sur lui du moment que ses frères étaient en sécurité. Il s’empressa d’ailleurs de sortir Ben de la voiture et de l’amener à son père. « Il fait une hémorragie ! » s’exclama-t-il. Pour l’instant, Luther évitait les commentaires désagréables de son paternel, mais il ne doutait pas qu’il viendrait dès que la situation se serait calmée. Une fois Quatre et Six soignés et en convalescence, sa réprimande viendrait, il n’avait aucun doute là-dessus. Il espérait juste que d’avoir réagi si promptement et d’avoir permis à ce que l’histoire se finisse bien, la sentence ne serait pas trop rude. Suivant les indications de son père, Ben fut posé sur un brancard dans une pièce stérilisée, tandis que Klaus était pris en charge pas Pogo et leur mère. Ne pouvant rien faire de plus, l’adolescent finit par retourner dans sa chambre. Quelques minutes plus tard, on toqua légèrement à sa porte. Allison était là, et sa simple présence allégea le poids écrasant qu’il ressentait sur ses épaules et sur son cœur. Oui, tout ira bien maintenant, pensa-t-il en répondant à son sourire.


« Be Here»
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Jeu 22 Sep - 14:06

Ben
Hargreeves

J'ai 17 ans et je vis à Dallas, Texas. Dans la vie, je suis membre de la Umbrella Academy et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seulement le sixième enfant et je le vis plutôt mal.

→ On le surnomme Horreur ou Six.
→ Il possède une créature d'une autre dimension, qui se montre comme des tentacules sortant de son ventre.
→ Il est une personne assez introvertie, ne se mélangeant que rarement avec les autres membres de la famille. Pourtant, il aimerait les aider et être un frère pour eux tous.
→ Ses pouvoirs effrayent souvent les gens, ce qui le blesse.
Il était dans les choux complet … Cependant certaines informations arrivaient à faire un petit bonhomme de chemin dans son esprit embrumé « Papa... Je suis sûr qu’il essaie de vous trouver. ». Qui avait pu dire une absurdité pareille ? Certainement l’optimiste de la famille, numéro un, qui continue de penser que cette famille pouvait être normale. Ils avaient un père tortionnaire qui aimer à faire souffrir ses enfants pour la science et le profit et une mère robot qui n’avait d’amour que le programme dont on l’avait dôté… et un singe. N’oublions pas le singe. C’était bien d’avoir un singe.

Dans son délire, entre réalité les yeux fermés et sommeil, Ben imagina une maison de singe. On pourrait appeler ça l’armée des douze singes. Pourquoi douze ? Parce que ça sonnait bien. Dans son esprit décomposé par la douleur, Ben n’arrivait pas à se rappeler qu’un film existait déjà. Pourquoi pensait-il à cinq d’un coup ? Singe, cinq, ça devait être la sonorité du mot. Certainement. Pas d’autres raisons à ça.

Il avait mal. Puis, il avait froid. Il avait mal et froid. Il avait malroid. Il allait faire breveter le mot. Il avait l’impression d’être fou à penser à tout ça sans réussir à sortir de son inconscience. Est-ce que Klaus pensait ainsi ? Ou était-ce à cause de la bestiole d’une autre dimension dans son ventre, souffrante aussi, qu’il avait le cerveau en bouilli ?

D’un coup, sans préambule ou attente il ouvrit les yeux. Il était seul dans sa chambre. Il observa les outils amenés pour le soigner qui trôner sur la table. Sa mère était passé par là. Il y avait encore le délicat arome de son parfum qui tenait l’air. Un robot. C’était pourtant la seule personne que Ben arrivait à imaginer être sa mère. Il l’avait pensé, dysfonctionnelle. Se relevant, il grimaça sans faire l’effort de cacher sa douleur. Il était torse nu et avait un bandage parfaitement mis autour de son buste et remontant jusqu’à ses épaules. Ouais. Sa mère était passé par là et l’avait saucissonner. Il était conscient que marcher et partir trouver ses frères était la fausse bonne idée, mais il était déjà en train de jeter ses pieds à l’extérieur du lit avant de finir sa pensée. Il eut quelques secondes de perte d’équilibre alors qu’il releva la tête.

Il venait d’entendre une porte claquer. Le genre, porte du bureau de leur paternel juste après une remontrance. Ses frères devaient avoir fini de se faire disputer par leur père. Il observa rapidement l’horloge dans sa chambre. Il était incapable de dire combien de temps il avait dormi, ou combien de temps ils avaient été portés disparu, ou … même combien de jours. Dormait-il depuis si longtemps ? Il devait aller voir comment se porte ses frères. Klaus était blessé et l’image de la douleur marquant les traits de son frère ne l’aidait pas à se concentrer sur sa propre situation.  

Il sortit alors de la chambre et se rendit vers les escaliers. Il vit Vanya dans les couloirs. Il lui fit un sourire pour lui dire que tout va bien. Il pouvait lire dans ses yeux qu’elle n’était pas d’accord. Il posa une main simple sur son épaule et continua le chemin vers le salon. Il n’avait aucune envie de descendre les escaliers. Il grimaça. Il préfèrerait tellement avoir les pouvoirs de Cinq en l’instant. Il finit par arriver au salon pour voir ses frères dans les canapés. Ils étaient dos à lui. Il s’approcha et se jeta dans le canapé dans une roulade. Finissant étaler, les pieds en l’air entre eux deux.

- Sur une échelle de un à dix, à combien je vais me faire disputer par papa pour mettre fait blesser ? demanda-t-il simplement en étirant son corps pour éviter la douleur.

Certainement que des médicaments lui avaient été administré pour ne rien sentir de la souffrance. Il observait, la tête à l’envers, ses frères en se demandant pourquoi il était ainsi. Il n’était pas le genre à se jeter à l’envers sur un canapé. Il était le genre discret, timide, que l’on n’entende pas et que l’on oublie. Il avait envie de se faire oublier, lui et ses tentacules démoniaques… Il ne voulait pas que se souvienne de lui … et pourtant, il était là, en ce moment-même en train de se demander s’il arriverait à se faire aimer par ses frères, au moins un peu. La réciproque étant déjà véridique, il adorait Klaus et Numéro Un. Heu … Luther ? Il adorait Klaus et Luther. C’était bizarre la vie, il fallait se faire blesser pour décider de changer. Balançant ses pieds il se rassit comme il faut entre les deux et observa les deux autres.

- Sinon  … ça va vous ? dit-il en réalisant que peut-être, personne ne le voulait plus ouvert.

Tout le monde devait bien être heureux qu’il ne soit que l’oublier de la situation non ? Il devrait peut-être repartir s’enfermer dans sa chambre, lui et son être d’une autre dimension dans l’estomac.



I'm born again.
I'm on the mend
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because living well,
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Gäa
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Gäa
Jeu 29 Sep - 17:38

Klaus Hargreeves
J'ai 17 ans et je vis à Dallas, Texas. Dans la vie, je suis un héro super sexy et je m'en sors bien grâce à ce cher papa. Sinon, grâce à ma chance ...malchance, les deux ?, je suis médium enfin façon de parler et je le vis plutôt pas bien.

Je suis numéro 4, mais aussi The Séance ou Klaus grâce à notre très chère mère robotique, pas flippant.

Je peux voirs les morts, youpi la joie, ça me fait peur ! ils viennent me harceler, alors je prend de quoi camoufler mes pouvoirs, c'est à dire tout ce qu'il y a de plus légal "se râcle la gorge".

Un peu trop excentrique, je le vie très bien.

Je n'arrive pas à contrôler mes pouvoirs, alors mon père m'enferme dans un mausolée, pour me forcer à apprendre ... Papa de l'année !
Les morts qui rôdent partout, oh oui, ils sont la, je dois fuir, je dois fuir et vite ! heureusement Luther est arrivé, puis il se trouve, qu'il est d'une aide bien plus précieuse pour Ben, par rapport à moi. J'avais peur, j'étais terrifié même, pas pour moi, non, j'étais angoisser pour Ben, il avait perdu tellement de sang. Je n'étais pas prêt, je ne le serais sans aucun doute jamais, à voir un membre de ma famille mourir ... Sauf papa ... Hum, je vais garder cette pensée pour moi, seulement celui-ci était tellement aimable, qu'on venait à l'adorer à un stade (non je déc*nne), il est horrible cet homme. Alors comme un automate (maman bonjour), je me contentais de hocher la tête, tout en suivant les paroles de Luther, oui, s'occuper de Ben, c'était ce qu'il fallait faire ! qu'on s'occupe de notre frère et que je trouve un coin ou vomir, car je me sentais mal la ... Le long du trajet, un trajet qui me sembla interminable, et pourtant, Luther rouler vite, il n'y avait aucun doute la dessus, je n'avais qu'à relever la tête, pour voir défiler les arbres, non finalement ce n'était pas une bonne idée de relever la tête. Allez Klaus, on se concentre sur Ben, hors de question qu'il ne quitte le monde des vivants ! ah non, il en était juste hors de question, alors je faisais tout ce que je pouvais, pour stopper l'hémorragie. Evidemment, j'avais aussi cet espoir que papa, ait remarqué notre absence, Luther était un piètre menteur, à sa réponse, je ne dis rien, me concentrant davantage sur Ben, et sur les petits points noirs qui venaient à danser sous mes yeux. "C'est bien que tu sois la Luther", j'avais confiance en Luther, certes c'était le parfais soldat de papa, mais lui, j'étais sur qu'il posséder un coeur lui.

Arrivé devant le manoir, je retins un frisson en voyant Sir Hargreeves, mais peu importe ce qu'il avait à dire ! Ben était très mal en point, alors c'était lui dont il fallait s'occuper en urgence. C'est Luther qui pris les rennes, et je me contentais de me cacher derrière lui, alors que papa pouvait déjà sortir son pitoyable discours à Luther, j'en roulais des yeux. Heureusement Ben fut rapidement mis sur un brancard, avant que je dois suivre Pogo à l'infirmerie. Je ne pouvais pas quitter Luther des yeux, d'ailleurs je lui suivi du regard, jusqu'à ce que je rentre dans le manoir. En venant seul, il n'avait pas été le sens de notre père, et ce cher Reginald aimer montrer c'était qui le patron.

A l'infirmerie, évidemment je n'eu pas le droit à des médicaments trop fort, contre la douleur. Disons que ma consommation de "bonheur" avait fini par se voir, alors je n'avais plus les sublimes anti douleurs du bonheur, que j'avais avant, lorsque je me faisais bien mal. Maman s'occupa de Ben en premier, ce qui était bien normal, c'était Pogo qui m'avait donner de quoi tenir, le temps qu'il aille aider notre mère. Après un temps, maman revint avec son sourire aux lèvres, un sourire assez flippant, mais bon, c'était maman ... On fini par avoir l'habitude. Après la balle de retirer, puis une attelle d'installer au niveau de mon poignet, je rejoignis ma chambre, déjà soulager que Ben ait reçu des soins, et en même temps effrayer, par ce que j'avais vue dans cette maison. Le sommeil fut facile à trouver, mais j'eu des cauchemars à volonté... Me réveillant à plusieurs reprise, lorsque j'eu assez de force pour me lever, sans tomber du lit, chose importante, j'allais chercher dans mes réserves de quoi m'offrir un bon gros dodo.

Le lendemain après le petit déjeuner, avec Luther, ont le droit à un charmant discours du paternel. J'étais tellement dans les vapes, que j'avais pas compris grand chose, mise à part un apprentissage concernant l'esprit d'équipe, ce qu'il était drôle, puis le fait de prendre des décisions seul et j'en passe, bon il a fini le vieux ? Bon pas de une réduction de nos temps de pauses, j'eu un rire nerveux lorsque j'entendis ça, avant de sortir du bureau avec Luther, tout en le suivant jusqu'au salon. J'eu un soupire lourd, avant de retirer mes chaussures et de m'asseoir dans le canapé, j'avais bien envi d'embêter Luther "Merci mon cher chevalier, d'avoir défier les ordres du vieux, pour venir nous sauver, ce geste va rester à vie, graver dans mon coeur" dis je avec un air mélodramatique, avant que l'on soit rejoint par un Ben, bien défoncé ... YEAH !!!! je lui offris un gros câlin pour la peine "AAAAAH Mais tu es debout ! j'ai eu peur, je t'aime et j'ai eu peur, tu as vue notre sauveur Luther, regarde le bien, car il a défié les lois de papa pour venir nous sauver !", dis je avant de poser ma tête contre l'épaule de Luther, mais ne lâchant pas Ben pour autant, ce qui était un véritable miracle quand on a un poignet cassé mouahaha. "On va se nommer le trio des rebelles ! faut le dire aux autres faut montrer un club" dis je avant de ressentir un peu de douleur au poignet et au bras, roooh médicament sans efficacité je vous jure, je savais que j'aurais du rajouter une touche de ... Bref, laissez tomber, un Klaus ne partage pas ses secrets aussi facilement.


 
I’m a lowlife
I tried to outrun my addiction But all I found was a new one I’m a lowlife tryna get my head right Stuck inside a dream Kicking ketamine I’m a lowlife tryna get my head right
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Senara
Ven 7 Juil - 2:26

Luther
Hargreeves

J'ai 17 ans et je vis à Dallas, au Texas. Dans la vie, je suis le leader de la Umbrella Academy et je m'en sors très bien grâce à mon père. Sinon, grâce à ma malchance, je suis amoureux de ma sœur et je le vis plutôt bien.

We didn’t choose this life, we’re just living it. (Gäa et Senara)  - Page 3 Vs0f
►  C'est l'un des enfants adoptés par Sir Reginald Hargreeves dans le but de « sauver le monde ».
→ Il est doté d'une force surhumaine.
► Il possède deux alias : Spaceboy et Numéro Un.
→  Il est très proche d'Allison depuis son enfance et est finalement tombé amoureux d'elle.
► Luther est le membre le plus responsable de la Umbrella Academy.
→ Il a toujours voulu rendre fier son père.
Tout irait bien, oui, mais Luther devrait néanmoins passer devant le Juge Reginald Hargreeves et accepter la réprimande et les éventuelles sentences. D’autant que Luther savait pertinemment que son père serait hors de lui. Et pour cause, il avait désobéi à un ordre direct. Lui, le Numéro Un, celui qui n’avait jamais été contre sa volonté, qui ne s’était jamais rebellé, voilà qu’il avait agi seul. Le parfait soldat qui se mettait soudainement à penser par lui-même et à prendre ses propres décisions. Pour une personne psychorigide comme Sir Hargreeves, ce devait être pire que l’enfer sur terre. Pourtant Luther voulait vraiment être à la hauteur des attentes de son paternel, et il était prêt à tout pour ça. Une partie de lui ne vivait que pour voir la fierté dans le regard de son père. Malheureusement, ce n’était pas avec cette incartade qu’il allait voir un tel sentiment éclairé les yeux de son paternel. D’ailleurs, il n’y avait jamais aucun sentiment qui traversait son visage. Luther était peut-être naïf, stupide diraient certains, mais il avait besoin de son approbation. Sir Reginald l’avait pris comme Numéro Un, et il devait montrer qu’il avait les épaules pour endosser les responsabilités qui allaient de pair avec ce poste. Or, être obéissant était à ses yeux une nécessité pour remplir ce rôle. Et surtout, Luther lui faisait confiance. Il n’était certes pas le plus aimant des pères, mais il les avait adoptés et leur apprenait à comprendre leurs pouvoirs et à s’en servir. Il voulait les pousser vers les hauts, bien que ses méthodes soient froides, voire même franchement borderlines. Mais l’adolescent voyait plus loin que ça. Pour lui, rien ne devait être un obstacle quand on voulait servir les autres. Et justement, la ville comptait sur eux. Combien d’enfants aimeraient être à leur place ? Ils avaient la chance de vivre dans un beau manoir et d’être acclamer comme des héros. Il y avait pire enfance. Mais effectivement, tout cela demandait des sacrifices.

Paradoxalement, c’était pour ces mêmes raisons que Luther avait désobéi. Comment pouvait-il rester assis sagement chez lui, alors que ses propres frères avaient besoin de lui ? Il n’avait pas compris pourquoi Sir Reginald avait refusé d’aller les chercher, pourquoi la Academy Umbrella partait aider des civils, mais abandonnait les siens sur le champ de bataille. Pour lui, ça n’avait aucun sens et c’était profondément immoral. Alors il avait pris son courage à deux mains et était parti sauver ses frères. C’est vrai qu’ils n’étaient pas proches les uns des autres, du moins en ce qui le concernait, il ne l’était réellement que d’Allison. Mais ce n’était pas une raison pour les laisser à leur triste sort. Même s’il était maladroit dans ses gestes et ses propos, Luther les aimait tous. Ils étaient sa famille, et rien ne pourrait jamais changer ça.

Le sermon terminé, Luther et Klaus se dirigèrent vers le salon où ils s’installèrent sur le grand canapé. Autant dire que si Numéro Un était perturbé par la désapprobation de son paternel, Klaus le vivait parfaitement bien. Ce dernier profita d’ailleurs de l’accalmie retrouvée pour le remercier d’être venu les chercher en dépit des ordres reçues, tout en le faisant de manière très... eh bien, à la manière de Klaus. Il n’y avait que lui pour utiliser le terme de chevalier et de recourir à des paroles et des postures aussi théâtrales. « Ça m’a paru être la meilleure chose à faire. Je veux dire... c’est normal de ne laisser personne derrière. » Et c’était censé être ce que faisait les membres d’une famille, de prendre soin les uns des autres. En plus de cela, c’était lui le meneur de l’escouade, et c’était donc son rôle de s’assurer que tout le monde rentrait sain et sauf.

C’est alors qu’à sa grande surprise, Ben déboula dans le salon et fit une entrée pour le moins étonnante. Luther le regarda avec surprise, avant que son regard ne se porte sur l’épais bandage qui lui couvrait littéralement tout le buste. Sans doute pouvait-il se permettre cette petite folie parce que les cachets faisaient encore effets, car Luther comprit combien il avait dû souffrir. Il était passé près de la mort après tout... « Six !? Tu es déjà debout ? Mais tu devrais être au lit ! » s’exclama l’adolescent, profondément soucieux de la santé de son frère et balayant d’un revers de main sa question concernant les remontrances de leur père. Il n’avait pas à s’inquiéter de ça pour le moment, il venait de passer par des moments difficiles et en portait d’ailleurs encore les stigmates. Six devait se concentrer sur sa guérison et sur rien d’autre, même si Luther savait parfaitement que Reginald Hargreeves n’attendrait pas la fin de la convalescence pour le convoquer et lui faire part de son mécontentement. Ses frères aussi le savaient. Pour l’heure, il préférait écarter ce sujet et se concentrer sur ce qui était vraiment important : son état de santé. Quant à Klaus, il continua sa comédie en se jetant dans les bras de Six. Pas qu’il ne pensait pas ce qu’il disait, mais il le faisait à sa façon, c’est-à-dire de manière théâtrale. Luther se sentit cependant piqué au vif lorsque Quatre évoqua le fait qu’il avait désobéi pour venir les chercher. C’était comme si on lui disait qu’il n'avait pas de cœur, qu'il préférait suivre les règles plutôt que de leur venir en aide. Il n’était pas d’accord et trouvait ça blessant, mais se retint de tout commentaire car il ne comptait pas s’excuser d’être une personne fiable qui accordait du prix au règlement. Par ailleurs, il savait aussi que Klaus ne pensait pas à mal. Pour preuve, il voulait désormais monter un club de rebelles dont il était manifestement déjà membre. « Oui, et on se fera fusiller par son simple regard réprobateur... » affirma Luther, échaudé à l’idée de désobéir à nouveau après le discours plus que salé que Sir Reginald leur avait servi pendant de très longues minutes, bien qu’il ne regrettât évidemment pas d'être venu à leur secours. Il se tourna ensuite vers Ben qui leur demandait comment ils allaient. « C’est à toi qui faut le demander, j’ai vraiment cru que... Enfin, je suis content qu’on soit arrivé à temps. » sourit-il, quelque peu mal à l’aise car il n’était pas habitué à ce genre de conversation avec eux. Puis il fronça les sourcils. « Au fait... qu’est-ce qu’il vous est arrivé ? Klaus a dit que vous aviez été enlever par des cinglés. Je n’en ai pas parlé à Reginald, mais vous pensez que c’est grave ? Ils voulaient quoi ? Une rançon ? » Luther ne cachait pas sa surprise et sa curiosité. Il ne pouvait s’empêcher de se demander comment des types avaient pu s’en prendre à Klaus et à Ben – encore que pour Klaus, ce n’était pas trop difficile – et surtout qu’avaient-ils en tête pour enlever des membres de la célèbre Umbrella Academy ? Mis à part pour l’argent, vu que Sir Hargreeves possédait une richesse illimitée, il ne voyait pas d’autre explication. Et en même temps, son instinct lui dictait qu’il faisait fausse route.


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Clionestra
Dim 9 Juil - 17:17

Ben
Hargreeves

J'ai 17 ans et je vis à Dallas, Texas. Dans la vie, je suis membre de la Umbrella Academy et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seulement le sixième enfant et je le vis plutôt mal.

→ On le surnomme Horreur ou Six.
→ Il possède une créature d'une autre dimension, qui se montre comme des tentacules sortant de son ventre.
→ Il est une personne assez introvertie, ne se mélangeant que rarement avec les autres membres de la famille. Pourtant, il aimerait les aider et être un frère pour eux tous.
→ Ses pouvoirs effrayent souvent les gens, ce qui le blesse.
Ainsi, au milieu de ses frères, Ben se pose moult questions. Sur le bien fondée des choses, sur comment ils allaient vivre après ça, sur qui que quoi où comment. C’était compliqué. Il se demande comment il pourrait encore faire une mission, avec cette certitude pratiquement divine, qu’il devait protéger ses frères et sœurs maintenant. Avant, il avait l’envie de le faire … mais pas la puissance pour le faire. Maintenant ? Il donnerait tout pour éviter de voir à nouveau son frère blessé. Il ferait en sorte de changer le temps. Il ne laisserait plus Klaus tout seul dans son mausolée, il devait juste trouver comment faire. Et il ne laisserait plus Luther tout seul dans sa tête. Cela aussi allait lui demander de la motivation. Et les autres ? Il allait faire comment ? Parce qu’il avait plus de deux frères. Il tourna la tête vers l’un puis l’autre. Il allait les protéger. Maintenant. Bon… une fois qu’il pourrait respirer sans avoir mal. Donc pas maintenant. Un peu plus tard. Mais tout de même dans pas si longtemps que ça. Il prend le câlin de son frère avec joie. Le serre à peine pour éviter d’ouvre ses plaies et sourit. Parce qu’il fallait bien sourire.

- Merci Luther, fit Ben en se penchant vers son frère « ainé ». Et, comme dit Luther, je ne suis pas sur que notre père supporterait un club de ce genre. Il faudrait que ça soit une société secrète. Rien qu’entre nous.

Il aimait l’idée d’avoir un secret avec ses frères… Quelque chose que ni leur père, ni les autres ne pourraient leur prendre. Il fit une grimace de douleur. Il devrait être au lit, ouais. Mais non. Il en avait marre d’avoir mal et de n’avoir rien pu faire pour eux. Lui, pas de réprimande pour cette fois. Il pense plus que son père va vouloir se venger autrement, bien plus fortement. Avec une ceinture à pique ? Il allait faire un sacrifice à un Dieu quelconque pour que son père n’ait pas l’idée … Une remontrance ok. La souffrance ? Il en avait déjà eu assez pour le moment. Ben renifla. Il regarda Luther, puis Klaus.

- Ouais, moi aussi j’ai vraiment cru … Mais ce n’est pas arrivé, c’est positif.

Il sourit à peine. Au pire, en fantôme, il aurait pu faire partir les fantômes de son frère de ses horizons. Pas qu’il avait envie de mourir, non. Malgré leur vie décousue, Ben était content de vivre et d’avoir cette famille. Il n’était pas seul. Il n’était pas abandonné. Donc, non. Il n’avait pas envie de mourir. Mais… Si cela avait été le cas, il n’y aurait pas eu de soucis. Il lui aurait suffit de revenir en fantôme pour être le super pote protecteur de Klaus. Donc. Mais ce n’était pas arrivé, il préférait oublier, pour le moment. Pas trop, non plus. Ben reste silencieux quelques minutes avant de reprendre la parole.

- Je ne sais pas. Je ne les ai pas « sentis ». J’ai un bon instinct grâce à mon pouvoir. Elles, et il passa sa main sur son ventre, elles me préviennent quand il y a un danger imminent. Mais je n’ai rien senti du tout. Je sais juste que j’ai eu un coup. Je ne crois pas qu’ils voulaient de rançon. Je pense que …

Il se stoppe. Il réfléchit aux murs. Ils savaient tout. Tout sur lui. Autant que leur père, sans les expérimentations. C’étaient des observations sur leurs exploits. Ils savaient combien de tentacule il avait, combien de temps il pouvait les sortir … Ce genre de chose qui avait été filmé, pris en photo, remarqué. Mais pas Vanya et Klaus. Pour eux deux, il y avait un point d’interrogation. Il pensait, donc, qu’on l’avait torturé et mis en mauvaise posture dans l’espoir que Klaus dévoile ses pouvoirs.

Ce qu’il avait peut-être fait… Il avait parlé des fantômes. Non. Tout le monde voyait qu’il était bizarre. Si sa torture, -appelons un chat un chat- avait-été filmé et regardé, alors ils ont dû aussi entendre les élucubrations de Klaus sur le fait que ses tentacules puissent faire un bowling. Il n’avait pas envie de dire à son frère « c’était pour toi » sans preuve, mais tout concordé dans cette idée. Ils auraient peut-être essayé de chopper Vanya et un autre pour la même raison. Si on immobilise Diego et laisse Vanya, ils pourront apprendre ses « capacités ».

- Je pense que l’on va devoir faire attention à nous, pour la prochaine sortie. S’ils ont pu me faire ça, ils pourront le faire aux autres. Et là, on a eu de la chance que Klaus puisse nous libérer. Sans lui, je serais mort d’hémorragie.

Il n’avait pas besoin de demander si c’était vrai, ou non. Il savait. Ben savait avoir craché tout son sang dans la maison, puis dans la voiture, puis dans l’autre voiture, puis quand on l’avait soigné. Il avait craché tellement de sang qu’il en avait perdu connaissance. Si Klaus n’avait pas réussi à se casser la main pour les libérer, il serait mort. Simple et précis. Klaus lui avait sauvé la vie. Alors Ben ne comptait personne lui faire à nouveau du mal. Il avait une dette envers lui. Et même sans, il refuserait que quiconque soit blessé.

- Il faut qu’on regarde les lettres des fans, rajouta-t-il avec une illumination, si certains posent des questions poussés sur nos pouvoirs, ou sur Vanya et Klaus.

Merde. Il ne venait pas de dire ça, hein ? Non. Puis, même s’il venait de parler de Vanya et Klaus, ça ne faisait pas dire son hypothèse. Il pose sa tête lourde contre la première épaule disponible.

- J’imagine qu’on me donnera jamais une semaine, ou deux, pour récupéré avant de nous attaquer à nouveau ? Peut-être que ce sont nos autres frères et sœurs qui viennent se venger, héhé.

Là, encore, c’était quelque chose qu’il n’avait jamais dit. Mais il était fatigué. Mais les autres bébés ? Ils n’étaient pas que 7 à naître au même moment autour de la Terre. Ils étaient plus. Et si d’autres avaient créé une Umbrella Academy démoniaque ? Voulant non pas devenir des petits moutons super héros, mais des supers vilains. La seule défense des gens, c’était eux. La première menace. Non ? Il n’en sait rien. Et même sans parler de ça, sans un groupe ou une équipe, juste se demander s’il y avait quelqu’un d’autre comme lui. Avec des pouvoirs semblables et interdimensionnels, il ne l’aurait jamais ressenti comme une menace, si ?


I'm born again.
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Gäa
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Gäa
Mer 12 Juil - 23:03

Klaus Hargreeves
J'ai 17 ans et je vis à Dallas, Texas. Dans la vie, je suis un héro super sexy et je m'en sors bien grâce à ce cher papa. Sinon, grâce à ma chance ...malchance, les deux ?, je suis médium enfin façon de parler et je le vis plutôt pas bien.

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Je suis numéro 4, mais aussi The Séance ou Klaus grâce à notre très chère mère robotique, pas flippant.

Je peux voir les morts, youpi la joie, ça me fait peur ! ils viennent me harceler, alors je prend de quoi camoufler mes pouvoirs, c'est à dire tout ce qu'il y a de plus légal "se râcle la gorge".

Un peu trop excentrique, je le vie très bien.

Je n'arrive pas à contrôler mes pouvoirs, alors mon père m'enferme dans un mausolée, pour me forcer à apprendre ... Papa de l'année !
D'accord, je devais admettre que j'étais défoncé, mais ça avait été le seul moyen, pour pouvoir dormir tranquillement, enfin disons un sommeil sans fantômes, sans cauchemars, sans de hurlement, pfff les fantômes, qu'est-ce qu'ils pouvaient être bruyants ... Mais le pire, c'est que je trouvais les fantômes encore plus désagréables que mon père, la c'était grave, car sir Reginald était vraiment un cas, un c*nnard même !

Hier soir, à notre retour, il avait été la pour réprimander Luther, l'appelant numéro un, toujours nous nommer par nos numéros ... Luther était venu aider ses frères, ce vieux Hargreeves devrait tout de même être fier, que nous soyons une famille soudée ... Enfin je crois, car dans le fond, qu'est ce que nous étions ? Je voyais toujours Luther comme le chef, le numéro un, notre leadeur. Toujours présent pour écouter notre père, Diego le numéro deux, toujours présent défier l'autorité, provoquer Luther, et jouer avec ses couteaux ... Allison, bien c'était Allison, Five c'était un petit con prétentieux, Ben ... Ben était un mystère, mais en une nuit, un lien très fort c'était créer, je mettais rendu compte que j'avais vraiment eu peur pour mon frère, lui aussi avait eu peur pour moi, et en ce qui concerné Vanya, elle était toujours isolée ... En ce qui concerné les familles soudées, on avait sans doute déjà vue mieux. Si j'aimais faire des blagues, tester des nouvelles drogues, bien je n'avais qu'à voir Luther arriver, pour avoir envi de le serrer dans mes bras, celui-ci s'étant sans doute encore pris un savon du paternel ... Peu importe ce crétin ! Luther était venu, il était venu !

M*rde ... Luther n'était pas au meilleur de sa forme, je savais que père pouvait être dur, même très dur, mais ça devait sans doute être une première pour Luther. Je regardais Luther avec son air de chiot, et je lui offris une étreinte "Merci Luther, merci d'être venu, sans toi Ben serait sans doute mort, et oui le plus important c'est la famille hein ?" dis je avec un petit sourire. Puis qui je voyais arriver, un Ben ! j'allais de suite lui offrir ma plus belle étreinte, avant de le conduire vers le canapé, mais qu'est ce qu'il faisait debout ! il devrait être au lit, avec un immense bol de crème glacée, oh non je sais, des gauffres ! avec beaucoup de chocolat ou de sirop d'étable, oh oui ! j'étais avec mes deux frères, c'était pas un regard du paternel qui allait me faire peur, pfiou ! j'en avais vue d'autre. "Je vous aimes vous savez ? Evidemment que vous le savez, cette nuit j'ai ... En faite j'ai réalisé plein de chose, je vous connais pas assez ... C'est pas logique pour une famille" dis je dans un rire "Ont a grandi ensemble quand même !" . A la question de Luther, je ne savais pas vraiment quoi répondre ... Moi même j'étais encore assez secoué, j'en avais fait des missions avec l'Umbrella Academie, mais ça ... Bien ce n'était encore jamais arrivé. "OH OUI" dis je en me redressant vivement, mon poignet craquant au passage, mais juste aïe ! "Une société secrète" dis je dans un murmure, mimant le mystère.

Voila que la société secrete, était en train de faire sa première séance, silence s'il vous plait ! Ben parla de la bête à l'intérieur de lui, enfin dans un portail qui devait sans doute se trouver dans son estomac ... Euuh je n'allais pas trop réfléchir, la migraine risquée de rapidement arriver sinon, par contre, je voulais comprendre Ben. "Oh ! ben au moins elles te préviennent, moi j'ai aucun crétin de revenant qui serait venu me prévenu pffff bien trop occupé à hurler mon nom, comme ci je le connaissais pas" dis-je boudeur, c'était bien la peine de me hurler dans les oreilles, tout en me montrant leur tripes, yeurk. Puis je réfléchi "En tout cas, il y avait un tableau avec plein de photos de nous ! il y avait nos pouvoirs, enfin sauf pour Vanya et moi, de toute façon mon super pouvoir, c'est de rester sobre plus de 24 heures" dis je avec un rire exagéré, jusqu'à ce que Ben, rappel qu'il avait faillit mourir, ce qui m'avait rendu complètement malade. "Oh ... J'ai des lettres de fan ? Je n'ai jamais fait attention, je brûle tout dans mes tiroirs et on rajoute un peu d'herbe et ça fait une belle odeuuuuuuur" oh oui, rien de mieux que de brûler les lettres, avec un ajout de cannabis et hop les soucis s'envolent. Outch, mes petites pillules du bonheur ne faisaient plus d'effets ... Peut-être qu'un peu de vodka dans le café ? Euh ... J'allais devoir retrouver l'un de mes fournisseurs, j'étais assez patraque. "J'ai une idée incroyable ... Et si ont ne faisaient rien aujourd'hui ? Ou si fêter notre victoire ! Ben faut que tu retourne au lit, Luther tu ... Tu as tellement de libérer tout ces muscles" je me relevais en me tenant l'estomac "Par contre j'aurais besoin d'un petit remontant ... Qui se fume se serait pas mal". Disons que en ce qui concerné la drogue, l'alcool, je pouvais prendre des cochonneries, je savais que ça pourrait brouiller mes visions, mais encore fallait il supporter le tout, puis se fournir. Par contre, si je sortais, est-ce que je pourrais retomber sur ces salopards ? Et si ils revenaient pour les autres ? Est-ce que j'étais vraiment utile ? J'eu un sursaut, lorsque je senti un fantôme me frôler, aaah j'avais horreur de ça, finalement j'allais de nouveau m'asseoir sur le canapé.


 
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Senara
Ven 8 Sep - 1:10

Luther
Hargreeves

J'ai 17 ans et je vis à Dallas, au Texas. Dans la vie, je suis le leader de la Umbrella Academy et je m'en sors très bien grâce à mon père. Sinon, grâce à ma malchance, je suis amoureux de ma sœur et je le vis plutôt bien.

We didn’t choose this life, we’re just living it. (Gäa et Senara)  - Page 3 Vs0f
►  C'est l'un des enfants adoptés par Sir Reginald Hargreeves dans le but de « sauver le monde ».
→ Il est doté d'une force surhumaine.
► Il possède deux alias : Spaceboy et Numéro Un.
→  Il est très proche d'Allison depuis son enfance et est finalement tombé amoureux d'elle.
► Luther est le membre le plus responsable de la Umbrella Academy.
→ Il a toujours voulu rendre fier son père.
Face à ses convictions profondes et aux valeurs ancrées au fond de son âme, sa loyauté et son obéissance envers son père avaient tout bonnement volé en éclats. Impossible de rester impassible et de retourner s’entrainer dans la salle de sport alors que deux de ses frères étaient en grand danger. L’idée que Reginald cherchait de son côté à les sauver lui avait effleuré l’esprit mais... dans le doute et refusant d’abandonner les siens, Luther s’était jeté tête la première dans la voiture avant de se rendre à la cabine téléphonique que Pogo avait réussi à trianguler. Une telle situation était inédite, puisque généralement ils jouaient les superhéros puis les superstars avant de rentrer chez eux, sous les yeux admiratifs et les cris de leurs nombreux fans. Jamais personne n’avait manqué à l’appel. Jamais personne n’avait osé s’en prendre à eux. Et voilà que Quatre et Six s’étaient fait enlever par des fous, s’il en croyait ce qu’il était parvenu à comprendre des phrases décousues de son deuxième frère dans l’ordre d’adoption. Toujours est-il que non, il ne regrettait pas d’avoir désobéi, et tant pis pour la déception qu’il apportait à son père. Mais lui demander de ne pas venir en aide à quelqu’un, c’était lui demander d’aller contre sa nature et c’est tout simplement impossible. N’en déplaise à Diego qui ne le voyait que comme le misérable pantin de leur paternel, lui-aussi possédait ses intimes convictions et savait défendre ses idées. Luther se sentait ainsi soulagé d’avoir pu ramener ses deux frères à temps, même s’il culpabilisait de ne pas les avoir cherchés avant. Il était déçu de lui-même. Pourquoi n’avait-il pas insisté auprès de Sir Reginald ? Pourquoi son instinct s’était-il tu ? Pis encore, méritait-il vraiment son statut de Numéro Un alors qu’il avait failli à son rôle ?

Luther offrit un pâle sourire à Quatre qui le remerciait pourtant d’avoir défier leur vieux pour venir les sauver. Il se demandait pourtant qui était le véritable héros dans cette histoire... Parce qu’à part s’être rebellé au bon moment contre leur adoptant, force était de constater que c’était les efforts de Klaus qui avait permis à ce qu’il les retrouve à temps. Mais comme il le disait, c’était la famille le plus important, aussi dysfonctionnelle soit-elle, non ? « On pourra aussi remercier Pogo de m’avoir aidé. C’est lui a trouvé l’adresse de la cabine téléphonique de laquelle tu m’as appelé. » glissa-t-il plus bas, pour être sûr que leur père ne les entende pas, vu qu’il semblait avoir des oreilles partout. Luther ne voulait pas que le chimpanzé soit inquiété et malmené par Reginald alors qu’il n’avait fait que de les aider.

Puis arriva Numéro Six, qui aurait pourtant dû être au fond de son lit à en juger par cet énorme bandage qui le barrait tout le haut du corps. Ce fut d’ailleurs la première exclamation de Numéro Un qui s’inquiéta de le voir déjà hors de sa chambre avec les blessures qu’il avait subies. Probablement n’était-il debout que grâce aux antalgiques qui devaient soulager la douleur. De là à savoir combien de temps ça durerait... Luther espéra simplement qu’il ne s’évanouisse pas sur le canapé. Il lui sourit cependant après que ce dernier le remercia à son tour d’être venu les chercher, ce qui le poussa à réaliser que leur famille avait vraiment un sérieux problème s’ils en venaient à se remercier pour quelque chose d’aussi évident. Bien sûr, leurs reconnaissances lui faisaient chaud au cœur mais... Numéro Un doutait que ce soit justifier. Parce qu’il aurait dû intervenir avant. Insister pour les retrouver. Parce que s’ils avaient créé des liens normaux de frères et sœurs avant que tout ça n’arrive, peut-être que tout cela ne serait pas arrivé. Peut-être que Six irait bien et qu’il n’aurait pas frôler la mort de si près. Et en même temps, comment faire autrement avec Reginald qui leur dictait leur moindre faits et gestes ? Ce paradoxe fit monter une certaine amertume dans le cœur du grand blond. Pris entre désir et loyauté, il ne savait vers quel côté se tourner.

Quatre parla finalement de monter un club, mais Luther lui fit remarquer que leur père s’en rendrait rapidement compte et qu’ils en paieraient forcément le prix. Six abonda d’ailleurs dans son sens. Enfin, presque. A la place d’un club, il suggérait plutôt une sorte de société secrète. Numéro Un n’était pas plus convaincu. Il avait toujours l’impression que Sir Reginald pouvait lire dans leurs pensées, et même qu’il était omniscient. Il savait toujours tout, c’en était même effrayant. Pourtant... pourtant il avait ses propres secrets. Avec Allison ils se rejoignaient souvent dans le grenier pour passer du temps ensemble, loin de leurs obligations et de la froideur qui régnait dans les couloirs du manoir. Alors peut-être que cette société secrète avait des chances de fonctionner ? Oui, Luther devait y croire, sinon ça signifierait que ses petites escapades avec Trois étaient aussi connues de leur adoptant et ça, c’était tout simplement horrible à imaginer. Néanmoins, vu que Reginald ne leur en avait jamais parlé, peut-être étaient-ils parvenus à passer entre les mailles du filet ? « Mmm, oui... Peut-être. Mais... et les autres ? » s’enquit Luther, n’ayant jamais été très doué pour mentir ou faire semblant. Autant dire que si quelqu’un lui posait une question sur les agissements étranges de Quatre ou Six, son malaise parlerait pour lui. Mais s’il avait pu s’opposer à leur père une fois, certainement qu’il pourrait le refaire pour passer du temps avec ses frères. Ce serait complètement fou de pouvoir passer du temps avec eux sans personne pour les ramener à l’ordre et être des ados normaux, tout simplement.

Cependant, une autre question plus grave et pressante se posait : qui étaient ces personnes qui les avaient enlevés et que voulaient-elles ? Pourquoi les torturer ? Est-ce que des inconnus cherchaient à se venger ou à les éliminer ? Et si c’était le cas, les questions demeuraient les mêmes : qui et pourquoi ? Il eut un début de réponse par Six qui expliqua que, selon lui, ça n’avait rien à voir avec une potentielle demande de rançon. Vu l’état dans lequel il les avait retrouvés, Luther était plutôt d’accord. D’ailleurs, il n’avait reçu aucun appel allant dans ce sens. Toujours selon Six, il allait falloir se méfier lors des prochaines sorties et chercher du côté de leurs fans. Du moins dans les lettres qu’ils recevaient. De son côté, Numéro Un devait avouer qu’il en avait pas mal et qu’il n’avait jamais le temps de toutes les lire. Encore moins d’y répondre. De toute façon, leur père refusait qu’ils perdent du temps à le faire. Le problème était donc réglé. De son côté, Quatre déplora le manque d’utilité des esprits qui, au lieu de le prévenir du danger, se contentaient encore et toujours de hurler son nom. Son comme si je ne le connaissais pas arracha un rire à Luther, qu’il réprima très vite. Premièrement, il n’était pas habitué à laisser apparaître ses émotions au grand jour et, deuxièmement, il ne savait pas trop comment se positionner devant son frère qui se débattait avec des morts, un pouvoir invisible qui l’avait séparé des autres. Il ne savait donc pas comment Quatre réagirait à son esclaffement qui pourrait passer pour de la moquerie, alors que ce n’était pas du tout le cas. Cela étant, il emmagasina les informations qu’on lui donnait. Des murs couverts de diverses données sur les membres de la Umbrella Academy, sauf en ce qui concernait Quatre et Sept, certainement car les pouvoirs de l’un étaient invisibles, tandis que l’autre n’en avait même pas. « C’est vraiment bizarre... » fit-il, perplexe, tout en réfléchissant à tout ce que ça pouvait bien signifier. « Je suppose qu’on devrait en parler à Reginald ? Il pourra sûrement faire des recherches et trouver qui sont ces gens. » Évidemment qu’il le pourrait, leur père était capable de tout, non ? Une fois mis au courant, il devrait vite retrouver les responsables et ensuite, les membres de l’académie seraient parés à les mettre hors d’état de nuire. La menace qui planait sur eux serait vite résorbée une fois leur adoptant mis dans la confidence, il en était certain.

Finalement Six posa sa tête sur son épaule, ce qui le fit se raidir l’espace d’un instant. Luther n’était pas habitué au contact humain, surtout pas avec ses frères et sœurs. Enfin, sauf Allison bien sûr, et avec Diego lorsqu’ils se battaient. « Nos autres frères et sœurs... tu crois ? » demanda le blond avec appréhension. « En tout cas, avec ce que tu viens de traverser, j’espère vraiment qu’on te laissera le temps de te remettre complètement sur pied. » Mais il n’y croyait pas trop... et probablement que Six non plus. Quant à Quatre, il était reparti dans son monde à vouloir organiser une fête. Il voudrait s’attirer une énième fois les foudres de leur paternel qu’il n s’y prendrait pas autrement. D’un autre côté, c’était Quatre... il était comme ça. Luther s’était déjà senti envieux de lui ressembler dans sa façon de se moquer du regard des autres et d’être lui, entièrement et sans contrefaçon. Puis il se souvenait qu’il ne pourrait pas vivre comme ça. Ce n’était pas lui. « Euh... t’es en train de nous proposer de se fumer un joint ? » s’enquit le grand blond, dubitatif tout un arquant un sourcil alors que cette idée lui paraissait totalement inconcevable.


« Be Here»
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Clionestra
Ven 8 Sep - 12:56

Ben
Hargreeves

J'ai 17 ans et je vis à Dallas, Texas. Dans la vie, je suis membre de la Umbrella Academy et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seulement le sixième enfant et je le vis plutôt mal.

→ On le surnomme Horreur ou Six.
→ Il possède une créature d'une autre dimension, qui se montre comme des tentacules sortant de son ventre.
→ Il est une personne assez introvertie, ne se mélangeant que rarement avec les autres membres de la famille. Pourtant, il aimerait les aider et être un frère pour eux tous.
→ Ses pouvoirs effrayent souvent les gens, ce qui le blesse.
- Les autres n’ont pas besoin de savoir, dit simplement Ben avec un sourire, ou juste, ils ne poseront jamais la question, alors tu n’auras pas besoin de mentir.

Ben savait observer. En réalité, son silence était clairement un atout pour l’observation. Et il savait ce qu’il se passait dans la tête de Luther. Et un peu avec Alisson. Il n’avait jamais voulu s’intéresser plus que ça pour leur laisser leur jardin… mais justement … Ils n’avaient pas besoin de tout savoir. Et tout comme lui n’avait jamais rien demandé, il doute que quiconque pose une question si jamais ils venaient à faire des choses ensemble. Sauf peut-être Vanya. Mais Ben avait toujours eu envie de protéger la jeune femme alors, ça ne le dérangerait pas de l’amener avec lui dans leur société secrète. Elle ne dirait rien. Leur père lui parle à peine pour lui rappeler qu’elle n’était rien. Pourtant, si son hypothèse et vrai, elle serait en danger.

Bref. Ils laissent ses deux frères continuaient à parler en réfléchissant.

Ben pensait, réellement, que Klaus pourrait être puissant avec ses fantômes. Ils pourraient avoir des informations, des données, apprendre des choses en envoyant les revenants ailleurs. Même peut-être pourrait-il lui-même devenir un « fantôme » ? Cela serait une idée. Mais leur père ne voyait que les résultats « précis ». La vitesse d’exécution des lancers de couteaux de Diego, le nombre de rumeur que peu dire Alisson, le nombre de coups que l’on peut encaisser. Leur père ne voyait pas la possibilité que, parmi eux, il puisse y avoir une personne dont le pouvoir serait de la subtilité et de la communication. Leur père avait cassé leur frère, le rendant incapable de supporter ses pouvoirs. Lui-même se trouver écoeurant avec ses tentacules, alors même qu’elles faisaient partie de lui, de la même manière que sa tête ou ses doigts. Sept tentacules reliés à son estomac. Il se demande parfois s’il y avait le reste. Si les tentacules étaient réellement « à lui » connecté par ailleurs à un monde autre, une porte qui serait juste un sorte de suite de son propre corps, ou s’il pourrait un jour faire sortir une énorme pieuvre de son bide. Il allait être papa d’un poulpe ou était il juste le propriétaire de tentacules chelous ? Il se le demande. Les deux possibilités étaient grave pété au sol alors il laissa tomber. Il ne sourit pas, lui, quand Klaus parla de ses fantômes. Au contraire, il resta clairement en train de le regarder, fronçant les sourcils et cherchant comment régler ça. Il devait bien avoir lu quelque chose qui se rapproche des fantômes. Il allait devoir demandé à sa mère si elle peut lui acheter une compilation de livres sur les méduims sur internet.

- Si on en parle maintenant à père, il nous dira de laisser tomber. On a tous des lettres de fans. Mais c’est Mère qui les gère. Récupérant ce qui peut être récupéré.

Et évitant de se faire éclater à la tête des mini bombes, des enveloppes d’antrax et tout le bordel quand on était pas aimé du tout. Toutes les lettres étaient stockées dans le grenier, dans des boîtes transparentes clairement très bien étiqueté. Il y avait tout ce qu’il faut pour savoir de qui ont parle, en bien ou en mal. Et dans chaque, il y avait aussi des pochettes transparentes pour séparer selon les missions. Un travail de longue haleine qui ne plairait pas à Ben. Devoir lire tout ça lui donnerait mal à la tête. Les quelques lettres qui arrivent jusqu’à eux sont une sélection photocopier. Ben n’avait jamais compris pourquoi les garder, mais maintenant ça l’arrangeait bien. Il écoute son frère, puis penche la tête vers le second.

- Aller fumer tous les deux et rejoignez moi dans le grenier. Je peux me remettre sur pied en travaillant.

Cela faisait toujours très « société secrète », mais là, il n’y aurait pas à mentir sur ce qu’il comptait faire. Même si les deux ne venaient pas à lui, il comptait bien chercher dans chaque lettre la mention de Klaus et de Vanya. Ou plutôt, les questions sur leurs pouvoirs. Jusqu’à retrouver la même écriture, il aurait dû piquer un papier pour avoir l’écriture car il n’avait plus qu’un souvenir vague de la forme des lettres, des formes des boucles, crottes alors. C’était aussi pour ça qu’il ne voulait pas le dire à leur père pour le moment… il avait besoin d’avoir plus de chose à dire, plus de preuves, plus de souvenirs. S’il venait à lui dire qu’il avait peur pour ses frères et ses sœurs, Reginald allait … Il ne sait pas ce qu’il allait faire, mais ça ne serait pas jolie du tout… Et ça fera mal. Il se leva dans une grimace de douleur. Ouais. Il prendrait bien encore des anti-douleurs mais ne pourraient pas réellement se déplacer ensuite … Merde. Il fallait qu’il aille faire les recherches. Qu’il soit utile un peu. Parce que pour le moment, il n’y avait que des hypothèses et des « peut-être que ». S’ils arrivaient avec ça devant leur père, il se ferait clairement envoyé balader.

- Ben, fit la voix douce de sa mère avant de se rapprocher de lui, tiens. Essaie de laisser ranger comme je l’ai fait, d’accord ? Et n’oublie pas quand il y a rien d’écrit mais que ça existe, c’est qu’il y a une raison.

Et elle part. Ben regarde les clés du grenier de l’aile ouest dans ses doigts. Merde. Luther ne devait jamais savoir ça, il aurait trop l’impression que son père savait tout … pourtant, il avait plutôt l’impression que cette acte avait été un choix de la part de leur mère. Elle n’avait pas dit « Ton père demande » ou autre chose laissant sous entendre qu’elle avait été envoyé. C’était possible qu’elle l’ait choisi, elle-même ? Il ne sait pas. Il prend la clé et monte en grognant de douleur jusqu’au grenier. La luminosité était trop faible pour y voir quelque chose, sa mère pouvant voir dans le noir elle n’avait pas besoin d’ampoule. Il finit par dénicher une bougie d’anniversaire, celle d’un gros « trois » écrit dessus. Il se demande d’où cela pouvait venir. Il était sûr de ne jamais avoir soufflé de bougie. Il observa ensuite les caisses de lettres, s’approchant à la lumière pour en lire les inscriptions. Il doute que les lettres viennent de leurs dix premières années de vie. Si on avait dû poser des questions, c’était une fois qu’ils étaient assez connus. Qu’ils étaient devenus des personnes publiques. Il fallait donc commencer par les dernières, pour remonter vers plus tôt. Il s’assoit et tire la première caisse. C’était vraiment bien rangé. Il y avait tout. Il sort les lettres et leurs pochettes plastiques pour Vanya et Klaus dans la catégorie, mi-fan, mi-haters. Il fallait bien commencer quelque part, non ? Il se demande bien si ses frères viendront réellement l’aider ? Il ne sait pas, mais il compte bien continuer tout de même. Avec et sans eux. Il finit une année, puis passe à la suivante dans cette idée. Il tombe sur une pochette contenant une seule et unique lettre. Il l’ouvre.

« Voulez-vous savoir un secret, petites choses insignifiantes. Vous n’êtes que 7, 43 sont nés comme vous. Et un jour, vous finirez avec nous. Ci-joint, ce que nous pourrions vous apporter ».

Mais il n’y avait rien. Aucune pièce jointe, aucune feuille de papier en trop. Juste une enveloppe et un tampon sur l’enveloppe et cette lettre. Il la plia et la mit dans sa poche. Sa mère avait dit de faire attention à ce qu’il n’y avait pas. Alors il ouvrit les années suivantes. Chaque année depuis six ans, il y avait une pochette transparente vide en plus dans les caisses. Depuis cette lettre. Il allait devoir le dire à ses frères … qui ne venait toujours pas ? Avaient-ils été retardé à cause de leur père, ou le reste de la fratrie, ou simple Ben avait oublié de dire lequel de grenier ? Il ne sait pas, mais lui continua.

HRP – Je suis  un peu parti en live, sorry, mais donc n’hésite pas à dire. Mon idée était un centre de recherche qui torture un peu et font des expériences sur les autres enfants nés. Reginald les aide à les kidnappé en échange qu’ils laissent tranquille ses « enfants ». Et là, ça serait juste le groupe de recherche qui pense que Reginald cache les pouvoirs de Klaus et Vanya à dessein. Vous en pensez quoi ? (mais après ça peut être aussi une fausse piste hein !)


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Sam 9 Sep - 12:49
Surprise tadam :huhu:


Sloane
Smith

Numéro 12

J'ai 17 ans et je vis à Dallas, Texas ou quelque part s'en approchant je crois. Dans la vie, je suis cobaye dans un laboratoire de recherche et je m'en sors comme je peux, avec beaucoup de courage. Sinon, grâce à ma malchance, je suis fasciné par un garçon qui ne me connait pas, et je le vis plutôt mal.

→ Surnommé numéro 12
→ Elle a été élevé par sa mère pendant 12 ans, avant de se faire kidnapper par le laboratoire
→ Habité à Cuba avant.
→ Elle a appris l'anglais en plus de l'espagnol dès son enfance puisque sa mère travailler dans un hôtel
→ Rêveuse, douce et romantique
→ Rêve de pouvoir voyager
→ Aimerait pouvoir protéger les cobayes
→ Elle peut manipuler la gravité.
→ Intelligente
→ Experte en combat

We didn’t choose this life, we’re just living it. (Gäa et Senara)  - Page 3 E903adf4f54c4ab80c358ca867a9bc486acbb1b0
Numéro Douze releva les yeux de sa cellule. Comme tous les jours, les vitres de sa prison devinrent transparentes pour voir l’apparition d’un homme en blanc. Elle n’avait jamais aimé les hommes en blanc. Ni quand sa mère l’avait amené voir un spécialiste, à l’âge de sept ans, pour mutisme, ni quand elle s’était retrouvé dans la pièce avec les licornes et qu’on voulait la manipuler, encore moins depuis qui l’emmène dans la salle d’examen. Heureusement pour elle, ce qui était affreux alors qu’elle sorti de la pièce maculé pour rentrer dans le couloir, son pouvoir n’était pas intérieur. Comparer à numéro 24, qui se faisait toujours ouvrir le corps pour qu’il utilise son pouvoir, elle n’avait que des expériences à faire, et à tenir, même si cela la rendait malade. Rien à vérifier à l’intérieur même de son corps.

Elle était tranquille, douce, sage, comme sa mère lui avait toujours appris à être. Parmi les expériences, elle était la seule à véritablement essayer de s’attacher aux autres cobayes. Comment pourrait-il en être autrement ? La salle rouge, celle des expériences, était assez traumatisante pour changer la lueur dans le regard de tout le monde. Les enfants avaient peur. Enfant ? Sloane compta rapidement dans sa tête. Elle avait été Sloane Smith pendant douze ans. Puis, numéro Douze. Elle avait conscience d’être né exactement le même jour que les autres. Au bout de cinq ans, on apprenait ce genre de détail, et que son numéro lui avait été donné selon son ordre d’arrivé. Alors, pouvait-être encore se voir comme une enfant alors qu’elle avait en réalité dix-sept ans ?

Le compte commencé à huit. Huit, neuf, dix et onze, étaient parfois étrange. Il y avait entre eux une connivence qui la dépasse. Elle se laissa attacher à une chaise, très lourde, que même sa gravité ne pourrait pas porter, tenu par des aimants sur le sol. Elle était dans la salle d’étude. Il semblerait qu’en plus de ses pouvoirs, sa naissance particulière lui avait donné une grande intelligence. Mais elle était bien trop gentille pour se rebeller, et bien trop apeuré. Si elle essayait quoi que ce soit, les autres en pâtiraient certainement. Alors, elle ne fait rien.

Dans la salle d’étude, il y avait de grand panneau. Sept. Cinq étaient bien remplit d’information, de résultat d’analyse diverse. Les enfants un à sept avaient chacun leur panneau, mais Sloane ne les avaient jamais vue ici. Parfois, elle surprenait une vidéo, à la télévision ou sur le téléphone d’un homme en blanc qui ne la remarque pas. Elle baisse la tête sur son manuel d’astrophysique, mais relève les yeux. Protégé derrière ses cheveux, on ne pouvait pas définir ce qu’elle regardait.

Dans ce laboratoire, elle avait appris à faire profil bas, sauf pendant les quelques minutes accordées, de temps en temps, ou elle avait le droit d’être exubérante pour donner un peu de force aux autres comme elle. Dans ce laboratoire, elle avait appris à ne pas penser trop fort, à ne pas parler avec trop de mot, à ne pas se poser de question.

Pourtant, elle était encore là. Cette photo. Et cette photo annulé toutes ses pensées. C’était l’image d’un des sept. Numéro Un. Grand, athlétique, il avait le visage de quelqu’un de doux et rassurant. Quand elle le voyait, une photo de lui ou même une image, son cœur battait plus fort. Elle pouvait lire la douceur dans ses yeux, la tranquillité, la fiabilité. Elle se demandait comment elle se sentirait d’être prise dans ses bras pour qu’elle puisse enfin relâcher toute la souffrance qui la pèse ici. Elle se demandait, et elle se permettait de penser, de rêver, fort, au point de ne plus s’occuper de son étude.

- Douze, siffla une voix alors qu’elle sentit à l’intérieur de son dos une décharge l’atteindre pour remonter dans sa colonne vertébrale.

Elle siffla de douleur et supplia qu’il arrête de lui envoyer le jus. Quand ça se stoppa enfin, elle avait les larmes aux yeux. Mais elle ne savait pas si c’était à cause de la douleur physique de la décharge ou celle, plus profonde encore, de la tristesse. Elle releva à nouveau les yeux et laissa son regard aller vers le panneau de Numéro Trois. Sur celui-ci trônait une photo volée depuis un drone. On pouvait voir numéro un en train de la regarder. Et Sloane sentait son cœur serré en sachant qu’il ne la regardera jamais ainsi. Pire encore… personne ne la regardera jamais ainsi. Elle relève sa tête, soupire pour évacuer la douleur, et finit par prendre son stylo pour se mettre au travail. Si elle ne finit pas ses calculs, elle n’aura pas le droit de voir le cobaye de la journée pour essayer de lui donner de la force. Alors elle se mit à écrire, avant que le cri de douleur d’une autre personne se fasse entendre à travers les couloirs. Sloane savait qu’ils le faisaient exprès. Ils faisaient exprès de laisser leur cri se répercuté jusqu’à leur cellule. C’était pour qu’ils aient peur. Et ça fonctionner tellement. C’était aussi pour ça qu’ils ne faisaient pas l’effort de les appeler par leur prénom, pour leur faire oublier. Huit avait oublié sa véritable identité, Seize ne voulait pas s’en rappeler. C'était aussi pour ça que les hommes en blancs n'hésitaient pas à les faire travailler pour certains, leurs muscles et le combat. Ils n'avaient pas peur d'une rébellion. Ils avaient endigué tout ça depuis bien longtemps. Ils attendaient juste de pouvoir déployer leurs armes avec la certitude qu'ils reviendraient une fois la mission terminé. Sloane le savait ...elle reviendrait pour protéger les autres, ils avaient raison. Elle lâcha un nouveau regard vers Numéro Un. Si seulement il pouvait venir la sauver comme les princes des histoires que sa mère lui racontait. Elle était loin d’être une princesse, clairement pas aussi belle de son point de vue … mais avec un peu de chance, un quiproquo ou un malentendu, peut-être qu’il viendrait ?

Elle sentit la nouvelle décharge, mais cette fois-ci, elle ne cria pas. Elle fit un sourire à la photo et se remit au travail. Non. Faire profil bas avec la photo du numéro un, c’était trop compliqué. Elle avait besoin de rêver de cette échappatoire. Rêver d’être la numéro trois de cette famille de super héros. Elle en avait besoin. Sinon, elle ne sait pas comment elle tiendrait.


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