"Everyone is given life for a reason. The quest to discover what that is… …is the only freedom us humans have been given" (Charlissa)
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Clionestra
Mer 12 Juil - 20:01
Kimimaro Kaguya
J'ai 20 ans et je vis dans une grotte, entre deux Pays. Dans la vie, je suis déserteur, tueur, en cavale, pas une personne fréquentable et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai rencontré une femme sur un site et je crois que je l'aime même si elle mérite mieux.
Kimimaro s’inquiète, il se pose des questions. Il se demande s’il fait les choses bien ou mal. Il se demande si les choses se font toujours comme ça. Les câlins, c’était toujours chaud ? L’odeur de l’autre personne, elle était toujours aussi forte ? Est-ce que c’était normal qu’il sente son cœur battre au bout de ses doigts comme s’il avait un second cœur battant, ou était-ce simplement une impression ? Il n’en savait rien. Tout ce qui était normal pour les autres lui était tout à fait … inédit…. Il ne comprenait pas d’où tout cela pouvait venir. Il l’écoute, alors qu’il avait fait son pas de recul de peur de sentir mauvais. Et il la regard intensément. Il ne savait pas ce qu’était « l’odeur des bébés à la maison »…mais il pense que ça sent meilleur. Un bébé, ça sent forcément mieux qu’un imbécile dans une forêt non ? Il le pense en tout cas. Penchant la tête, il se demanda vraiment l’odeur que pourrait avoir un enfant. S’il y avait une chose pour laquelle il n’avait jamais dérogé quand il tuait, c’était les enfants. Personne ne lui avait jamais demandé de tuer un bébé, mais il doute qu’il aurait accepté de le faire. Un bébé. Il ne sait pas pourquoi, il n’imagine pas l’intermédiaire. Pour lui, les gens passent d’un bébé, ceux qui ont besoin d’aide même pour marcher, à des ninjas. Dès que le bébé passe ninja, il ne voit pas de raison de ne pas le tuer s’il le faut. Mais avant, non. Est-ce que c’était ça qu’avoir des principes ? Parfois, Orochimaru et Kabuto lui laissaient des livres. Surtout une fois qu’Orochimaru l’eut laissé tomber pour se trouver un nouveau corps. Il lui laissait des livres, Kabuto, pour qu’il puisse s’instruire autrement. Les livres étaient sur comment tuer, torturé, massacrer, et tout ce qui est peu recommandable. Mais il avait lu un livre qui parle des principes de la guerre. Un livre que Kabuto n’avait certainement pas lu avant de lui proposer. Le livre parlait de fair play, de se battre contre une personne qui peut se défendre, de se battre à la loyale. Il la laisse se rapprocher et définir son odeur. Il n’aurait pas su dire ce qu’il sentait. Mais il le sentait. Il laisse la jeune femme prendre ses mains et hausse les épaules. Il se demande s’il a fait une faute.
- Je ne connais que « là-bas ». Alors j’y reste.
La grotte, c’est celle ou Kabuto l’avait gardé pour le soigner. Pas le genre de grotte 5 étoiles, mais au moins il avait un espèce de lit. Il était mort dans ce lit. Plusieurs fois. Et à côté de Konoha aussi, là où deux ninjas avaient fait une petite tombe pour lui. Mais il ne bougeait pas plus que ça. Il ne pouvait plus partir. Il avait peur de se faire attraper… ou pas exactement. Il avait peur des gens. Mais pas d’elle, étrangement. Il suit le mouvement, se met sur ses talons et il caressa le chien. Il la regarda, s’approche du chien et le prends dans ses bras. Il remonta la tête, sent un poil de chien sur sa langue et l’enlève avant de sourire.
- Je préfère tes câlins, fit-il remarqué avant de se lever et regarder tour à tour la jeune femme, puis le chien, puis l’horizon avant de rougir un peu, on fait quoi maintenant ?
Est-ce qu’un rendez-vous de rencontre s’arrête après avoir fait un câlin ? Normalement faut manger ? Mais on se fait un câlin pour dire au revoir aussi, non ? Et puis, il a aucune envie, en réalité de repartir dans sa grotte.
- Tu sens quoi ? Tu as su dire mon odeur, mais je ne connais pas la tienne, c’est « toi » ?
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HATAKE
Lun 14 Aoû - 18:02
Nakashima Chikara
J'ai 20 ans et je vis aupays du fer. Dans la vie, je suis samouraï et je m'en sors très bien, à vrai dire.
Chikara regarde le jeune homme câliner le chien, et elle se dit encore une fois qu’elle a vraiment bien fait d’emmener Nobu avec elle. Kimimaro est clairement plus à l’aise au contact de l’animal qu’au sien, forcément plus compliqué quand on a pas l’habitude de relation et convention sociales humaines. Alors elle est contente de le voir agir avec un peu plus de naturel. Elle se dit qu’il doit moins réfléchir, moins stressé, qu’avec elle. Elle est peut-être un tout petit peu vexée, d’accord. Ou plutôt elle préférerait qu’il soit plus à l’aise avec elle tout simplement. Mais tant pis. La jeune femme rit doucement en le voyant retirer le poil blanc de sa langue, terrible malédiction que les poils de chien qu’on retrouve par-tout. Et elle sourit largement quand finalement il affirme préférer ses câlins à elle.
"Ahah j'espère bien !"
Et puis Chi se fige, en oublie de répondre à la question qu’il a poser, rosit et agite ses mains devant elle.
"Ah- non n-. Enfin c'est pas ce que je voulais dire. Enfin si mais- c'est pas- … C’est … … enfin si je préfère que tu me préfères moi au chien un peu …"
Elle se prend les pieds dans le tapis (au sens figuré bien entendu) en essayent vainement de se justifier avant de tout simplement passer aux aveux. T’façon c’est pas si terrible comme euh déclaration (?), si ? Mais non. C’est somme toute assez logique. Erm. Bref, embraillons et répondons à la question suivante sans la zapper cette fois. Chikara s’éclaircit la gorge avant de reprendre.
"Ah non moi je triche, j'avoue. J'ai mis de la vanille. C'est une fleur des îles du sud. Ça sent bon et c'est bon à manger aussi."
Même si elle donne cette information en toute innocence, bah oui, fille de pâtissière, elle a mangé un sacré paquet de trucs arôme vanille, Chi ne peut pas s'empêcher d'y voir un double sens tendancieux et elle rougit encore plus. Croisant les doigts pour que Kimimaro soit suffisamment ignorant, ou innocent, de ces choses-là pour qu'il ne comprenne pas le trouble qui grandit sur ses joues. La jeune femme s'éclaircit la gorge (encore) et reprend (encore) :
"Ah et- les dangos ont une boule saveur vanille, d'ailleurs. La blanche. La verte est au matcha et la rose à la fleur de sakura. Attends. Je reviens !"
Bah oui ! Les dangos ! En plus, elle répond (enfin presque) à la question que son cerveau a sauté. Que font-ils maintenant ? Et bien Kimimaro attend, avec Nobu qui donne des petits coups de tête dans sa main. Soit par réclamer des caresses, soit pour réclamer des os. Au choix. Et Chikara s’éclipse rapidement dans la grotte pour aller y chercher son sac. Entrer dans l’ombre du lieu l’apaise étrangement. Elle peut souffler un moment et remettre ses idées en place. Ok. Tout va bien. Ce n’est pas un dangereux psychopathe. Il est adorable. Et nettement plus beau que sur son portrait robot. Oui, oui, elle a remarqué ça aussi. La jeune femme sourit bêtement en repensant à leur calin et surtout au deuxième, quand c’est lui qui l’a prisedans ses bras, et attrape la fleur et son sac. Elle se rend compte que la fleur sent drôlement bon, et met le nez dedans pour humer son parfum avant de ressortir au soleil avec toutes ses affaires.
“Picnic !”
Qu’elle chantonne joyeusement en brandissant son sac devant elle, à bout de bras comme s’il ne pensait rien du tout. Chi pose d’abord la fleur à côté de sa veste, puis se charge de tout installer. Une nappe d’abord, puis deux baluchons. Un plus gros qu’elle laisse de côté et un plus petit qu’elle débarrasse de son tissu pour ouvrir la boite.
“TADAAAAAAAA ! Les dangos que j’ai fait avec maman !”
La plupart du temps, elle les fait elle-même, toute seule. Mais puisqu’elle est un peu tête en l’air, elle oublie souvent un ou deux ingrédients. Parfois essentiels. Et elle ne voulait surtout pas rater ses friandises préférées cette fois-ci, car elle les adressait à quelqu’un d’autre. Elle s’assoit sur la nappe et invite Kimimaro à en faire de même, puis tire aussi une gourde de son sac et deux tasses.
“J’ai aussi fait du thé au jasmin. C’est pas très fort, alors ça va bien avec les trois saveurs. J’espère que tu aimeras. Sinon … et bah sinon c’est pas grave je mangerai tout, héhé.”
Non, bien sûr que ce n’est pas grave s’il n’aime pas. Elle espère juste qu'il aimera tout simplement parce que ce sera plus agréable pour lui de manger quelque chose qu’il aime.
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Clionestra
Mer 16 Aoû - 1:06
Kimimaro Kaguya
J'ai 20 ans et je vis dans une grotte, entre deux Pays. Dans la vie, je suis déserteur, tueur, en cavale, pas une personne fréquentable et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai rencontré une femme sur un site et je crois que je l'aime même si elle mérite mieux.
Il la regarde, elle et sa manière de s’agiter. Que lui arrive-t-il ? Pour lui, il n’y avait pas de vérité pas bonne à dire. Elle espérait bien qu’il préfère ses câlins, et alors ? Après tout, n’est-ce pas normal ? C’était juste qu’elle venait de le rencontrer, et qu’elle n’était pas un animal. S’il pouvait se permettre de faire des câlins aux chiens, c’est bien parce qu’il avait l’habitude d’en faire aux animaux. Des caresses. Pour avoir de la compagnie. Enfermé dans sa grotte, il n’avait eu que ça, et les plantes pour ne plus être esseulé … alors.
- Je te préfère à ton chien, affirma-t-il à nouveau avant de détourner les yeux.
Peut-être que l’on ne disait pas ce genre de chose ? On ne devait pas dire ce qu’on préfère ? Mais Kimimaro avait toujours été comme ça. Quand il donne sa vie pour quelqu’un, il la donne sans précédent. Il y avait eu son clan, qu’il l’avait trahit. Puis Orochimaru, qui l’avait trahit… mais maintenant encore, il se jetait dans l’idée de rendre le monde meilleur pour une personne. Au moins une. Elle. Et il espère juste que, cette fois, elle soit un peu moins psychopathe que les deux autres.
- J’aime l’odeur de la vanille alors, avoua-t-il encore sans avoir la moindre idée que ses phrases pourraient porté à confusion dans une autre situation. Il ne comprend pas les double sens. Encore plus qu’en cela à attrait au sexe.
Il la laisse partir et joue un peu avec le chien. Se déride grâce à l’animal. Il préfère Chi, oui, mais il est bien content que la boule de poil soit là. Parce que les chiens, il gère. Il était un Lovers Dogs. Il aimait les chiens et leurs bouilles. Sans préjugé pour leur race. Il la laisse revenir et la regarde faire avec curiosité. Picnic elle avait dit. Il se pose à ses côtés et effleure la nappe avec sa main pour en sentir les plis. Il ne pense pas avoir tout compris, mais d’accord. Il regarde le tout.
- Je crois que je n’ai jamais rien mangé de tout ça. Ou bu. Je te dirais. Avant, on me nourrissait différemment.
Il tendit son bras et montra des restes de marques où l’on avait mis une seringue pour le nourrir. Même si Kabuto était un connard, et ça il le savait, il lui avait sauvé la vie. Il avait rallongé sa vie, encore et encore, jusqu’à cette mort qui l’avait fauché en plein combat. Comment était il encore en vie maintenant ? Grand mystère …. Mais ce n’était pas le moment de découvrir ce mystère.
- Et sinon, j’ai mangé dans la nature, alors je suis sûr que ça sera très bon. Et nouveau.
Et Kimimaro n’avait pas l’habitude de mentir quand il décidé qu’il devait la vérité, et l’obéissance, à une personne. S’il n’aime pas, et comme elle veut savoir, il lui dira. Parce que c’était ce qu’elle demandait, elle. Il prit la tasse et la porta à son nez pour en sentir l’odeur. Elle ne sentait pas comme Chi. C’était dommage. Il avait bien envie de goûter à la vanille. Alors il se penche pour regarder le picnic.
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HATAKE
Dim 10 Sep - 17:21
Nakashima Chikara
J'ai 20 ans et je vis aupays du fer. Dans la vie, je suis samouraï et je m'en sors très bien, à vrai dire.
Chi regarde avec attention le jeune homme s’installer à ses côtés, tout en lui expliquant ce qu’elle lui a ramené. Elle a bien compris qu’elle va devoir lui expliquer ce qu’elle avait à lui amener à manger. Mais elle se rend compte qu’elle n’avait pas encore compris qu’il y avait des montagnes et des montagnes de choses tout à fait anodines pour beaucoup, qu’elle allait devoir lui expliquer. Un picnic. Oui, elle comprend qu’il ne sait pas ce qu’est un picnic. Alors qu’elle en fait toujours au moins trois par an avec sa famille. Un pour les fêtes de fin d’années, sur la neige, un le premier des quelques jours où la neige disparaît de son pays continuellement froid, et un quelque part aux pays des cascades. C’est comme ça qu’elle avait découvert celle-ci d’ailleurs. Elle avait déjà pic-niquer exactement à ce même endroit quelques années plus tôt. Et elle aimait bien pour ajouter le souvenir de Kimimaro dans un endroit déjà familier.
Le ninja lui montre son bras et les petites marques un petit peu plus blanches sur sa peau. Chikara ouvre de grands yeux et a un premier réflexe, celui de lui attraper le poignet pour garder son bras en l’air. Comme deuxième réflexe, elle dépose ses lèvres sur la trace la plus prononcée. A peine un tout petit bisou fugace, avant qu’elle ne rougisse de sa propre attitude.
“Ahah pardon. C’est un bisou magique. C’est pour soigner les bobos. Ça ne marche pas du tout, mais c’est ce dont maman et moi nous nous servons pour distraire mes petits frères et petites sœurs de la douleur. Et ça, ça marche très souvent.”
Elle pince ses lèvres et hausse les épaules avant de sourire à nouveau largement et de servir une tasse de thé à Kimimaro. “On fait comment ?” Il confirme ce qu’elle avait deviné. Il va falloir qu’elle lui explique beaucoup, beaucoup de choses. Même ça. Alors elle sert une tasse à elle aussi, et lui montre comment tenir la tasse. Avec le bout des doigts, et l’autre main à plat en dessous. Bien sur les bords pour ne pas se brûler.
“Bon, il n’est plus très chaud puisque j’ai fait le voyage avec. Mais quand le thé vient d’être fait, il faut faire attention parce que l’eau est très très chaude. On peut se brûler les doigts, les lèvres, et même la langue. Et crois-moi, c’est vraiment vraiment pas agréable.”
Ok, il y a bien sûr des sensations nettement moins agréables. Surtout quand on se fait péter la gueule à mort par Gaara du désert et Rock Lee. Pas ouf, pas ouf. Mais, oui, il y a un “mais”, Chikara a aussi son lot de blessures de guerre. Elle aussi s’en ai pris plein la tronche (pas à ce point là mais quand même) eetttttt … dit comme ça là, elle préfère presque se prendre un coup de kunai en plein combat, plutôt que de se cramer la langue en plein goûter. Bah ouais, être poignardé en combat, ça reste dans l’ambiance, dans le contexte quoi. Alors que se cramer la langue, ça gaffe le moment. Ça retire le goût. Bref.
Chi boit une gorgée de thé pour montrer à Kimimaro comment faire et lui adresse un grand sourire avant d’en prendre une autre et de poser sa tasse avant d’attraper deux dangos. Elle en donne un à Kimimaro et garde l’autre entre ses doigts. “Alors pour manger çaaaaa … tu as le choix !! C’est comme tu préfères. Soit une boule après l’autre, pour avoir les goûts les uns après les autres. Soit la moitié de chaque, une fois, puis l’autre moitié ensuite pour avoir deux fois les goûts, héhé, c’est ma technique ça. Ou t’as la technique de mon père qui prend les trois d’un coup !”
La jeune femme rit de bon coeur en visualisant très bien son père ouvrir ssa bouche en grand pour y caser toutes la brochette et racler le pic que bois avec ses dents pour tout récupérer. Ça la fait rire à chaque fois. Et elle est à peu près sûr qu’il fait ça juste pour la faire rire. Parce que c’est pas meilleur comme ça. Puis Chikara coince la brochette entre le bout de ses deux index, et grignote la moitié (enfin pas tout à fait) de chaque boule en regardant Kimimaro.
“Voilà ! Le secret c’est de manger moins de la moitié, sinon ça tombe !”
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Clionestra
Dim 22 Oct - 20:22
Kimimaro Kaguya
J'ai 20 ans et je vis dans une grotte, entre deux Pays. Dans la vie, je suis déserteur, tueur, en cavale, pas une personne fréquentable et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai rencontré une femme sur un site et je crois que je l'aime même si elle mérite mieux.
Il ne sait pas comment faire … Il n’avait jamais appris ce genre de chose, lui. On lui avait limite pas appris à être un enfant, alors le reste ? Il avait pensé qu’en lui montrant ses bras, elle n’allait que comprendre son cas. Qu’elle allait admettre qu’il n’avait pas mangé de choses consistantes et encore moins « bonne » depuis longtemps. Pour ne pas dire jamais … Il lui montre et voulait juste expliquer ça… Il ne s’attendait pas à se faire kidnapper son bras et embrasser par la même occasion. Il la regarde faire, penche la tête, se demandant si c’était quelque chose comme les câlins, qui se faisait.
- Ce ne sont pas des bobos, dit-il sans être sûr, je n’ai pas mal.
Il pouvait littéralement se tordre, se casser et sortir les os de son corps… Kimimaro n’avait pas connu la douleur physique depuis longtemps. Orochimaru et Kabuto ont réussi à lui faire connaître, pour qu’il apprenne ce que c’était … mais la plupart du temps, il ne ressent rien. Ses marques sur son bras étaient une manière de la nourrir, et il n’en avait jamais ressenti aucune douleur. Habitué qu’il était d’avoir plus d’une chose enfoncé dans le corps. Il suit le mouvement de la jeune femme, la regarde. Il ne sait pas ce que c’était de se faire brûler la langue. C’était si désagréable que ça ? Pourtant les flammes, ça ne faisait pas si mal que ça. Alors il doute que de l’eau chaude pourrait faire quelque chose comme mal. Mais il ne dit rien. Il prend les conseils et les mots comme si c’était la vérité absolue. Il suit le mouvement de la jeune femme, prends le liquide odorant dans la bouche et l’avale. Il a l’impression que ça ne passe pas comme il faut. Il n’a pas besoin de mâcher. L’eau, il la buvait normalement comme un chien, en lapant pas ainsi. Il ne dit rien, ni s’il aime ou pas, il ne sait pas, il boit c’est tout, et prend les nouveaux qu’elle lui offre. Des … ça. Il la regarde faire. Il la regarde manger un peu, observe comme elle est.
- Tu ressembles à un lapin, annonça-t-il simplement avant de se porter sur sa propre brochette.
Il ouvre la bouche et prend une micro bouché, tellement petite que si on ne sait pas qu’il a croqué, on ne peut pas voir le croc. Il fait pareil de l’autre côté, pour toucher à peine les trois boules. Il se dit que ça n’a pas vraiment de goût. Mais il ressaie à nouveau en faisant un croc un peu plus grand. C’était toujours petit, mais ça restait beaucoup mieux. Il croque et sent un goût, puis un autre et un autre. Il regarde les trois boules. Il finit par manger celui du milieu en premier, parce qu’il le trouvait moins bon que les autres, et mangeant le bas puis le haut, avant de se tourner vers la jeune femme.
- C’était bon, dit-il doucement de peur que de parler trop fort soit dangereux.
Parfois, quand il était petit dans sa cellule, sa sœur lui amenait quelque chose qu’elle ne devrait pas. Pas de pain rassis ou de viandes avariées. C’était des petites choses, qu’elle cachait dans ses mains et qui était moite de sa transpiration. Mais Kimimaro ne disait jamais rien. Il mangeait juste en silence. Et il disait ce qu’il en pensait, comme sa sœur demandé. Alors, souvent, même si ce n’était pas le cas, il disait que c’était bon. Pour lui faire plaisir. Parce que ce n’était pas grave qu’il mange quelque chose de mauvais, tant qu’il avait le sourire de la personne. Et là, il trouvait cela pas mauvais, en plus, mais le chuchoter de la même manière, regardant si personne ne pourrait l’entendre en le disant.
Il était seul depuis si longtemps, mais parfois, quelques habitudes avaient la vie dure. Il sourit doucement encore, de peur qu’on ne le cogne s’il souriait trop fort, et il montre la tasse de thé.
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HATAKE
Jeu 26 Oct - 22:33
Nakashima Chikara
J'ai 20 ans et je vis aupays du fer. Dans la vie, je suis samouraï et je m'en sors très bien, à vrai dire.
Elle ressemble à un lapin ?? Chi relève une regard surpris vers Kimimaro et elle se marre joyeusement derrière sa main.
“Ahah, oui, c’est fort possible.”
Tant qu’il trouve ça mignon …. ça lui va de ressembler à un lapin, ahah. La jeune femme s’amuse à faire tourner le pic à brochette entre ses doigts en regardant Kimimaro se lancer à la découverte du goût des dango. Elle trouve sa technique tout à fait étrange, mais elle se doute qu’il doit faire … et bien comme il peut. Et c'est déjà bien qu'il le fasse, et se lance. Alors elle le laisse faire, prenant une autre brochette pour elle-même et la mange en continuant de le regarder. Elle lui sourit tendrement quand il chuchote qu'il trouve ça bon. Sans trop savoir s'il le dit parce qu'il le pense ou pour lui faire plaisir.
"Tant mieux si tu aimes." qu'elle chuchote sur le même ton que le jeune homme. Elle suit naturellement son rythme.
La question sur le thé la surprend un peu. Mais en effet. Oui. La moindre chose. Kimimaro va s'interroger sur la moindre chose qu'elle va lui montrer, ou lui faire faire. Elle est ok avec ça. Mais il veut juste qu'elle s'en souvienne de temps en temps. Alors elle lui sourit toujours et tente de lui expliquer les choses.
“Non … On fait comme tu veux. Tu fais comme tu veux. Ne t’inquiète pas, avec moi, tu peux tout faire comme tu le souhaite. Et si ça ne va pas, je te préviendrai, ne t’en fais pas. Mais fait déjà ce que toi tu veux. C’est important.”
En parlant, Chikara se dit que sans doute, Kimimaro ne sait pas ce qu’il veut. Il a été élevé par un sociopathe manipulateur, alors elle n’a aucun doute sur le fait qu’il a dû être élevé pour répondre aux désirs de son maître. Le fameux “tes désirs sont les miens”. Donc. Peut-être, sans doute, que le jeune homme ne sait pas ce qu’il veut, ou en tout cas, identifier ses propres envies. Elle tapote sa joue avec le pic de brochette toujours entre ses doigts en réfléchissant à comment elle pourrait le lui expliquer.
“Il suffit de suivre les mouvements, les instincts de ton corps. Comme quand tu as soif. Ou que tu te mets à l’ombre parce qu’il fait trop chaud ou que le soleil te gène. Suit. Fait tout comme ça, en suivant ce qui te vient naturellement. Enfin si tu peux.”
Ewww. Elle espère fort qu’elle n’est pas trop en train de lui mettre la pression non plus !! Si jamais il ne sait pas faire comme il veut, sa demande peut peut-être lui mettre un peu la pression en essayant de faire ce qu’elle lui demande de faire, sans y arriver. Aaaaaaaw, c’est super compliqué en fait !! Beaucoup plus compliqué que ce qu’elle pensait !! Chi balaye autour d’elle de son regard, avant de tomber sur son chien, allongé un tout petit peu plus loin. Il bouge, change de position, et la maîtresse le pointe du doigt.
“Comme lui ! Tu vois, il est plus confortable les pattes en l’air, alors il s’y met. Il fait comme il veut.”
Voilà. Prendre le gros Nobu comme modèle de vie. C’est bien. Un bon plan. Une vie de chien, quand on est ce gros patapouf, c’est loin d’être une mauvaise chose, ahah.
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Clionestra
Sam 28 Oct - 13:26
Kimimaro Kaguya
J'ai 20 ans et je vis dans une grotte, entre deux Pays. Dans la vie, je suis déserteur, tueur, en cavale, pas une personne fréquentable et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai rencontré une femme sur un site et je crois que je l'aime même si elle mérite mieux.
Elle ressemblait à quelque chose de mignon. Un lapin, c’était mignon. C’était quelque chose qu’il avait toujours su. Les lapins… Parce que sa petite sœur, qui n’avait qu’un an de moins, lui parlait parfois des lapins. Elle les dessinait ou lui montrait des images. Sa petite sœur était toujours en train de vouloir l’aider, lui apprendre quelques petites choses… Et les lapins c’était mignon. La jeune femme était comme un lapin. Elle semblait douce et adorable…. Alors il pense à cela quand il la regarde. Il pense au fait qu’il ne se sent pas en danger. Il se sent un peu comme avec sa sœur, sauf que c’est plus … C’est différent, mais c’est tout aussi doux.
- Et si je ne sais pas comment faire ?
Parce que c’était là le problème de sa vie. Il savait tuer, massacrer, torturer, blesser, manipuler, se faire du mal pour arriver à des fins qu’on lui a donné. Il savait obéir, attendre, patienter. Il savait faire beaucoup de chose … mais rien qui ne s’apparente à quelque chose qu’il voudrait lui. Il pensait vouloir le bonheur de ses parents. Puis il pensait vouloir le bonheur d’Orochimaru. Les deux avaient des ordres qui étaient donnés et ça lui suffisait. Mais maintenant qu’il n’y avait plus que « lui ».. Il ne savait plus rien. Il n’y avait pas de mission, d’ordre, de logique. Alors il ne savait rien. Il l’écoute quand elle parle d’instinct. Il se demande si elle veut vraiment dire ce qu’elle veut dire. Parce que son instinct principal serait de faire naître des piques de son corps pour le recouvrir et le cacher. Comme un porc épic ou un poisson à piquant. Pour se protéger de la souffrance qui allait, inexorablement, arrivé sur lui s’il ne le fait pas. Il avait peur. Kimimaro avait même peur d’elle. De cette femme qui semble comprendre tellement de chose que lui ignore. Il laisse un regard vers Nobu. Même son instinct avait été biaisé par son passé. Il essaie de voir ce que son instinct lui dit … mais ce n’était pas la joie dans sa tête.
- Mon instinct me dit que j’aurais mieux fait de mourir.
Boire et manger, il le faisait par habitude … mais s’il écoute son instinct, celui qui lui crie dans son esprit, alors il se coucherait simplement sur le sol pour attendre la mort. Il n’avait personne qui compte sur lui. Personne qui ne veut de lui. Personne qui ne serait blessé de le voir mourir. Sa famille était morte. Orochimaru ne voulait plus de lui. Tout le monde pense qu’il était mort. Il n’y avait plus personne … Sauf elle. Doucement, il se penche et pose sa tête contre son épaule en lâchant un soupir.
- Tu es la seule raison qui fait que je ne suive pas ce que dis ma tête, alors est-ce que je fais mal ?
Ouais, il vient de lui demander s’il devait se laisser mourir ou continuer à vivre pour elle. Inconscient que c’était une espèce de déclaration, ni de la pression que ça pourrait lui mettre sur les épaules. Non. Il avait juste besoin de savoir ce qu’il devait faire… Parce qu’il ne sait rien.
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HATAKE
Dim 29 Oct - 11:42
Nakashima Chikara
J'ai 20 ans et je vis aupays du fer. Dans la vie, je suis samouraï et je m'en sors très bien, à vrai dire.
Mhmh. Elle fait de son mieux pour expliquer des choses qui sont naturellement acquises par tous des êtres humains dès la naissance. Et qui pour la plupart, n'étant pas désonstruit pendant l'enfance, devient quelque chose de complètement naturel. L'envie. C'est compliqué. Alors elle cherche des exemples, des référents, mais vu la tête de Kimimaro, Chi n'est pas bien certaine d'avoir réussi son coup. Enfin elle le laisse réfléchir, ne s'attendait absolument pas à la réponse qui finit par tomber. Et la fige de stupeur. Quoi ? Elle bat stupidement des paupières alors qu'il Kimimaro vient poser sa tête contre son épaule. Par réflexe, elle pose son front contre.son crâne et une main dans sa nuque. C'est un geste de réconfort mais … comment le réconforter de ça ?? Est-ce qu'elle a seulement le droit de le réconforter de ça. La jeune femme croit fermement à la liberté de chacun de mener sa vie comme il l'entend. Même s'il s'agit d'y mettre en terme.
"Si c'est ce dont tu as envie…"
La voix de Chikara se brise et elle secoue presque imperceptiblement la tête. Elle veut pas. Non, elle veut pas, bien sûr que non. Mais qui est elle pour l'empêcher de mettre fin à ses jours s'il me souhaite ? Elle n'est absolument personne. Juste une fille un peu idiote qu'il a rencontré sur une application et qui a cru une seconde que lui faire goûter ses dangos lui redonnerait goût à la vie.
La jeune femme secoue encore la tête. Plus fort cette fois, et elle repousse tout. Le thé, les dangos. Kimimaro aussi, pour pouvoir bouger. Lui grimper à moitié dessus, s'asseyant en amazone sur ses jambes avant de passer ses bras derrière son cou et de le serre contre elle. Fort. Enfin le fort selon Chi. Aussi fort qu'elle le puisse en restant douce.
"Pardon. J'avais pas compris. Pardon. Je sais pas si je peux t'aider. Je… je sais pas si tu as envie de que je t'aide."
Sa voix se brise à nouveau et Chikara se met à trembler doucement dans son effort pour ne pas sangloter. Les larmes glissent silencieusement sur ses joues, mais elle les ignore. Elle renifle juste une fois, avant de prendre grand soin à caresser les mèches blanches du jeune homme dans un geste tendre. Qu'est-ce qu'elle peut faire d'autre ? Elle réfléchit à travers le nuage de peine qui l'envahit. Si triste pour lui qu'il en soit arrivé à regretter ne pas avoir été tué pour de bon. En fait, elle sait très bien ce qu'elle peut faire. Ce qu'il faut peut-être faire même. Mais faut-il encore qu'il accepte.
"Kimimaro…"
Elle commence avant de se reculer doucement pour voir ses yeux et son visage, inconsciente des sillons humides sur ses propres joues.
"Rentre avec moi. Viens à la maison. Il faut … tu dois savoir ce que c'est que vivre avant de décider de mourir. Vivre normalement, avec des gens qui prennent soin de toi, sans guerre, sans mort, sans ordres. Juste vivre. Et si ça ne te va pas. Si tu es trop fatigué pour vivre comme ça … je te laisserai faire ce que tu veux."
Chi détourne les yeux et bat des paupières, faisant rouler de nouvelles larmes sur ses joues. Cette fois-ci, elle s'en rend compte, les essuie à pleine main et s'excuse dans un murmure avant de relever le regard vers celui du jeune homme.
"S'il te plaît. Viens avec moi. Je te donnerai tout ce que j'ai."
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Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Dim 29 Oct - 14:42
Kimimaro Kaguya
J'ai 20 ans et je vis dans une grotte, entre deux Pays. Dans la vie, je suis déserteur, tueur, en cavale, pas une personne fréquentable et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai rencontré une femme sur un site et je crois que je l'aime même si elle mérite mieux.
Il ne sait pas ce qu’il veut faire de sa vie … mais il est vrai qu’il a souvent pensé à se coucher sur le sol froid de sa grotte et de se laisser mourir. Son instinct lui dictait que ça ne serait pas grave de mourir. Que le sol était assez dur, que les animaux pourront manger sa chaire et s’amuser de ses os. Il se disait que ça ne coûtait rien d’essayer. Parce qu’il n’y avait rien à faire de plus. Il ne se doute même pas une seconde de ce qu’il se passe dans la tête de la jeune rose alors qu’il pose sa tête sur son épaule. Il sent la main de la jeune femme. Il n’a pas peur d’elle. Le reste, il a dû mal à comprendre. Quand elle se déplace pour s’assoir sur lui. Il pourrait la soulever si simplement. Il était peut-être maigre, il n’avait que de la peau sur les os et peu de muscles… Donc, il pourrait la soulever … mais il ne le fit pas. Il la laisse se mettre à l’aise sur lui et la regarde faire. Elle ressemblait toujours à un petit lapin tout doux. Il la laisse la prendre dans ses bras, fait de même comme le souvenir de ce qu’il avait fait plus tôt. Il ne sait pas ce qu’elle est en train de faire, ni ce qu’il doit faire. Pourquoi le fait-elle d’ailleurs ? Il n’est pas sûr. Alors il la tient et la regarde. Il voit ses larmes mais ne comprends pas. Il connait les larmes. Sa sœur avait pleuré une fois. Alors il sait ce que s’est. Lui n’a jamais pleuré. Il approche sa main puis se ravise. Il la regarde et l’écoute. Il est surpris, le petit, que quelqu’un veuille « donner tout ce qu’elle a » pour lui. D’ordinaire, c’est lui qui le fait … mais il n’aime pas ça. Il n’aime pas l’idée de la faire souffrir comme il a souffert de tout donner. Il reste ainsi immobile. Ne relève pas la main mais ne la repousse pas. Il scrute le regard de la jeune femme pour être sûr de ce qu’il y lit.
- … Tout donner à une personne, ça fait souffrir, souffla-t-il doucement en pensant à ses parents puis à l’autre serpent, je ne veux pas que tu souffres à cause de moi.
Il n’avait aucune envie de la faire souffrir … et puis … C’était lui qui avait proposé de faire en sorte de combler tous ses désirs, en premier. Et elle avait répondu qu’elle n’en avait pas. S’il lui prenait tout, il allait la faire souffrir. Il ne voulait pas la faire souffrir. Il réfléchit à quoi faire alors que sa main vient rejoindre sa nuque, comme elle l’avait fait un peu avant, et qu’il met une petite pression non douloureuse pour la regarder dans les yeux.
- Et je ne suis pas sûr que ta famille aime que tu emmènes un monstre comme moi chez toi….
Il avait envie de dire oui. Cela pouvait se lire dans ses yeux. Il avait vraiment envie de dire de partir avec elle. Il avait envie qu’elle le modèle comme elle l’entend, qu’elle le change, le marque, le modifie pour être une personne plus digne d’être en sa compagnie. Parce que c’était ça, Kimimaro, le fait de n’être personne. Il n’était personne que la personne qu’il fallait pour la personne qu’il avait choisi. Depuis sa mort, il n’était plus personne. Depuis sa mort, il était devenu qu’un os oublié dans une grotte par un charognard après y avoir déguisté la chaire. Maintenant … Il était avec elle … mais s’il la faisait souffrir, si elle ne le modifiait pas assez, si les autres ne voulaient pas qu’il reste … il n’aurait encore moins de raison de vivre.
- Qu’est-ce que je dois faire pour que tu arrêtes de souffrir ? demanda-t-il alors que sa main rejoins sa joue pour en effacer les larmes qui y coulent.
Il n’a jamais pleurer, pourtant il ressentait une souffrance physique à la voir ainsi. Il y avait quelque chose dans son cœur qui se serrer et s’écraser. Il voulait lui enlever ça. Il voulait tuer la personne qui lui faisait du mal. Son esprit s’échauffa à l’idée d’éliminer la souffrance de la jeune femme … Cependant, il était cette souffrance. Et elle souffrait parce qu’il avait dit vouloir mourir. Il lui fait un regard désolé (bien que lui ignore à quoi il ressemble avec un tel regard).
- Je ferais tout ce que tu veux, mais ne pleure plus…
Univers fétiche : réel, hp, cyber, anime, dark et fluffy
Préférence de jeu : Les deux
HATAKE
Dim 29 Oct - 23:24
Nakashima Chikara
J'ai 20 ans et je vis aupays du fer. Dans la vie, je suis samouraï et je m'en sors très bien, à vrai dire.
"Non. Maman nous donne tout. Et papa nous donnerait tout aussi s'il n'avait pas son travail de samouraï. Il faut juste choisir les personnes à qui donner. Quand on choisit bien, elles nous donnent aussi. Pas comme un dû. Mais j'aime voir maman sourire, alors je lui donne. Maman aime me voir sourire, alors elle me donne. C'est aussi simple que ça, quand il y a de l'amour et rien d'autre."
Chikara réfléchit à voix haute. Et quand le mot "amour" franchit ses lèvres, elle rougit doucement. Oui, il y a plusieurs sortes d'amour, elle le dit toujours. Mais elle ne sait pas encore lequel ou lesquelles elle éprouve pour Kimimaro. Visiblement un qui fait rosir les joues et les oreilles. Puis elle secoue la tête. Non pas pour nier ce qu'elle vient de dire mais pour contredire le jeune homme.
"Tu n'es pas un monstre. Et les parents ont confiance en moi. Même s'ils n'ont pas confiance en toi tout de suite, si je veux t'aider, ils t'aideront."
Comme les centaines d'autres bêtes blessées qu'elle avait ramenées à la maison pour les soigner. Kimimaro n'était pas une bête, certes, mais il était blessé. Et malgré son passé, son présent est différent et ses parents seraient tout à fait d'accord pour dire qu'il mérite de l'aide. Même avec la distance émotionnelle dont elle n'est pas capable, ils seront d'accord avec cet état de fait. Chikara, elle, le sent davantage dans son cœur et de ses trippes, le besoin viscéral, littéralement, de l'aider. Et de l'aider à ne plus ressentir cette envie de disparaître. De mourir.
La jeune femme peine à stoper ses larmes même si elle a réussit à repousser son envie de sangloter. Elle se mordille les lèvres alors que Kimimaro lui demande ce qu'il doit faire pour qu'elle cesse de souffrir. Mais elle ne sait pas quoi répondre. Elle ne souffre pas elle-même, et elle ne veut pas qu'il vive que pour elle. Mais c'est bien trop compliqué à lui expliquer. Le temps qu'elle réfléchisse à comment lui expliquer ce qu'elle veut pour lui, le jeune homme rajoute une phrase qui lui tire un grand sourire entre les larmes.
"Si on veut tous les deux faire ce que veut l'autre… on devrait bien s'en sortir, ahah …"
Chi rit doucement en essuyant les nouvelles larmes qui lui échappent et mêlent ses doigts à ceux de Kimimaro qu'elle raccroche avec douceur. Elle garde leurs mains liées en les ramenant contre sa poitrine. Elle voudrait donner une lueur d'espoir, ou à défaut d'envie, au jeune homme. Elle cherche, réfléchit, à comment le rassurer. Comment pourrait-elle faire pour qu'il lui fasse confiance, ou juste pour qu'il n'est pas peut de la faire souffrir. Elle sait qu'il ne lui fera pas de mal. Ou en tout cas elle le croit, elle est persuadée qu'elle pourra l'arrêter avant qu'il ne lui fasse du mal. Si jamais. Même si elle ne voit pas comment il pourrait lui faire du mal.
"Kimimaro … tu as toujours envie de m'embrasser ?"
Ça, c'est quelque chose qu'elle peut lui donner sans se faire de mal. Qu'il peut lui prendre sans lui faire de mal. Et inversement. Dans les deux cas. Et si lui le veut, c'est quelque chose qu'ils veulent tous les deux. Non ? Si. Chikara regarde les lèvres du jeune homme quelques secondes et oui. Oui. Elle a envie de l'embrasser. Pour lui donner encore plus de sa douceur. Un peu de vie. Toujours plus de tendresse. Et de l'amour, oui. Même si elle ne sait pas encore lequel.
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"Everyone is given life for a reason. The quest to discover what that is… …is the only freedom us humans have been given" (Charlissa)