Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate)
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Mar 9 Jan - 20:24
Phillip Ford
J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en en couple je le vis plutôt bien. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague. Ayant eu un intérêt sur sa partenaire il ose lui avouer ses sentiments mais elle finit par fuir et il n’a aucune nouvelle pendant un an. C’est à son arrivé au FBI qu’il la recroise et ils se mettent ensemble et voir où leur pas les mèneront.
Ok se changer les idées mais en même temps j’étais loin de penser à ça en ce moment. Personnellement je doutais fortement qu’on puisse trouver quoique ce soit. Nos piste finissaient en cul de sac, ou débouchait sur d’autre questions souvent sans réponse. Cependant je lui dit franchement ce que j’en pensais. Je n’étais pas un lâcheur mais en même temps il ne fallait pas être utopique, l’affaire datait de plusieurs années et ils se pourrait fort bien qu’on ne trouve absolument rien et qu’on finisse devant rien non plus. Ça ne me plaisait pas de le dire alors que je lui avait dit qu’on ne pouvait pas lâcher, ne serait-ce pour les familles. Cependant, quand elle s’opposa à ma pensée je me dis que c’était ÉVIDENT qu’elle le ferait! Cependant je ne dis rien continuant de l’éponger retenant un sourire tout en l’écoutant attentivement. Je la vis même prendre son carnet de note me faisant mordre la lèvre.
Je pointais son monologue de “Hum, hum.” ou de “Tu as raison” sans la couper et visiblement, elle ne se grattait plus alors c’était déjà ça. Donc aussi bien la laisser continuer si ça lui changeait les idées, au moins elle n’était pas entrain de s’arracher la peau.
- Je n’avais pas pensé à l’auteur…
Dis-je doucement en l’écoutant toujours mon regard sur elle bien appuyé sur une main jusqu’à ce qu’elle s’interrompe me faisant hausser un sourcil et dresser un sourire en coin en l’entendant s’excuser d’avoir tout gâché. Mon sourire s’agrandit encore plus quand elle me demanda quoi faire pour se faire pardonner.
- J’ai tellement d’idées mais tu as encore tes médocs à prendre.
Je pris un inspiration en enserrant sa taille de mes mains et fouillant son regard un sourire sur les lèvres.
- Tu n’as rien gâché Taylor. Ce n’est pas ta faute tu ne savais pas. Puis pour le reste, n’empêche que ça t’a permis de ne pas t’arracher la peau. Alors te faire pardonner… je haussai les épaules, laisse-moi juste prendre soin de toi ça devrait convenir.
Les coups à la porte me firent lever et lui donner un baiser rapide pour aller les quérir. En revenant vers le lit, mon aloès sorti et posé sur la table de chevet, je lui tendit le sac bénit.
- Voilà le remède miracle de mademoiselle. Mais je vais quand même te mettre de l’aloès avant qu’on se couche.
Le temps qu’elle se lève je trouvais une autre idée de profiter de notre soirée. J’attrapai une couverture sur le lit et quand elle revint je lui servis un grand sourire.
- Je sais comment rattraper la soirée. Tu viens?
Je lui tendis la main et ouvrit la porte patio et installai la couverture avant de la laisser s’installer entre mes jambes, rabattre la couverture sur nous deux et… voilà! On avait pas tout perdu. Je serrai mes bras autour d’elle et déposai un baiser à la base de son cou.
- Alors, comme ça tu est casse-pied jusqu’au bout finalement? dis-je en la taquinant doucement
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Jeu 11 Jan - 13:50
Taylor Martinez
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– Alors, comme ça tu est casse-pied jusqu’au bout finalement? – Que veux-tu, je préfère te montrer directement tous mes mauvais côtés, comme ça tu sais dans quoi tu t'embarques avec moi, je rétorque sur le ton de la plaisanterie.
Les antihistaminiques ne tarderont plus à faire effet à présent… Enfin, disons plutôt qu'ils commencent déjà à m'engourdir les sens. Actuellement, je pense que je me sentirai tout à fait à mon aise assise sur une planche de fakir. Bien lovée contre lui, je ferme doucement les yeux… Et puis, je finis tout simplement par m'endormir.
Casse-pied jusqu'au bout, c'est même lui qui l'a dit.
Le lendemain, les plaques d'urticaire ont presque disparu en laissant derrière elles quelques petites marques rosées. Elles ne grattent plus, c'est déjà ça. Au petit déjeuner, nous échangeons brièvement avec nos collègues. Ceux-ci ont déjà tous bouclé leur enquête, mais ont décidé de profiter encore un peu de la côte. Nous leur parlons alors de notre affaire et tous s'accordent à dire que Miguel nous cache forcément quelque chose… Mais quoi ?
Puisqu'ils n'ont rien de mieux à faire, ils nous proposent d'enquêter sur la maison d'édition, voir si c'est vraiment le nom d'Alana qui ressort… C'est toujours ça de moins à faire pour nous. Il nous reste si peu de temps après tout.
Je le laisse conduire jusqu'à chez Miguel, je suis peut-être réveillée, mais je reste encore légèrement groggy par les médicaments ingurgités la veille. Autant nous éviter un malheureux accident.
– Dans tous les cas, nous devons tout de même lui dire que la personne hospitalisée sous le nom d'Alana n'est pas sa femme… dis-je en regardant le paysage défiler derrière la vitre. Mais si elle n'est pas morte dans cet incendie et si ce n'est pas elle dans l'Utah, je me demande bien ce qu'elle est devenue.
Dans le roman, l'auteur parle de la Nouvelle Orléans. Il en fait même de longues descriptions… C'est de là que vient Alana… Aurait-elle pu y retourner, tout simplement ? Pourquoi pas après tout…
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Dim 14 Jan - 20:08
Phillip Ford
J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en en couple je le vis plutôt bien. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague. Ayant eu un intérêt sur sa partenaire il ose lui avouer ses sentiments mais elle finit par fuir et il n’a aucune nouvelle pendant un an. C’est à son arrivé au FBI qu’il la recroise et ils se mettent ensemble et voir où leur pas les mèneront.
Je sais bien que ma vie avec elle ne serait pas typique des autres couples ou même de celles que j’ai déjà eue et quelque part. ça me convenait. C’était un apprentissage pour elle et s’en était un pour moi aussi, N’empêche que malgré tout ça, j’étais quand même content de l’avoir dans mes bras.
- Tu sais que je suis tenace et têtu non? Puis je pense avoir une idée dans quoi je m’embarque.
Elle s’endormit donc, la faute aux médocs, et je n’eus pas le coeur de la déplacer. En fait c’était même une chance qu’on soit à Miami et que les nuits ne sont pas froide. À Chicago à ce temps-ci, clairement on aurait dû rentrer sinon on serait gelé au petit matin. C’est en déjeunant qu’on discute de l’affaire et j’étais sérieusement à envier mes collègue que leur enquête soit bouclée. La nôtre menait partout et nul part à la fois. J’avais fini de lire le livre et même la conclusion du livre ne me donnait pas la moindre idée de piste. Je conduisis donc dans le trafic matinal en tentant de trouver ce que Miguel nous cachait, ou Alana était… C’est Taylor qui brisa le silence m’arrachant à ma réflexion qui était plus du questionnement.
- Et s’il le savait que la femme n’était pas Alana? Tu sais question de nous envoyer sur une mauvaise piste pour qu’on l’écarte de l’enquête? Puis ce qu’elle est devenue… une mamie gentille? Morte? Seul dans le fond d’un appart? Tellement de possibilité.
Je mis mon clignotant pour prendre la voie de la demeure de Miguel en soupirant.
- Dans la conclusion du livre ça disait: “J’en ai terminé avec ma mission. Elle est accomplie. Je pars, je me fond dans la masse. Je circule parmi ces gens qui n’ont aucune idée de qui je suis, ce que j’ai fait et ce que je suis capable de faire. Je marche parmi eux, j’ai peut-être croisé votre route et même vous, vous ne savez pas qui je suis. Ce que j’ai fait, ce que j’ai été capable de faire.” Peut-être la Nouvelle-Orléans? L’auteur en parle beaucoup.. c,est loin, les gens n’ont pas forcément été au courant. De là qu’elle peut se balader tranquillement?
Et on arriva à ce quartier paumé, encore la vieille bagnole dans la cour. Je fronçai les sourcils une seconde en examinant les lieux.
- Soit il est bien tranquille suite à notre visite. Soit il pense qu’on ne reviendra pas ou il est certain qu’on ne trouvera rien. Sinon il aurait prit la fuite. Tu es prête?
Dis-je en me tournant vers elle. C’était une question sans vraiment besoin de réponse, mais je voulais quand même m’en assurer. On descendit de la voiture et je toquai à la porte et… rien. Pas de mouvement. Je toquai une nouvelle fois, un peu plus fortement et ce fut des pas lourd et traînant qui se firent entendre, le loquet ensuite et enfin Miguel. Je sortis mon badge et lui fit un sourire gentil.
- Vous nous reconnaissez non?
- Je vous ai tout dit!
- Ouais mais… on a encore des questions.
- Vous avez un mandat?
Je haussai un sourcil, jetai un regard en coin à ma collègue pour le poser sur Miguel à nouveau.
- On souhaite simplement parler, on a pas besoin de mandat pour discuter.
- Pas de mandat, pas de conversation.
Et la porte claqua.
- J’appellle pour un télé-mandat. Fais chier merde…
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Mar 16 Jan - 14:22
Taylor Martinez
J'ai 35 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice pour le FBI et je m'en sors très bien. Je suis en couple et je le vis plutôt bien!
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– Et s’il le savait que la femme n’était pas Alana? Tu sais question de nous envoyer sur une mauvaise piste pour qu’on l’écarte de l’enquête? Puis ce qu’elle est devenue… une mamie gentille? Morte? Seul dans le fond d’un appart? Tellement de possibilité.
– Hm… Oui, c'est une possibilité qu'il ne faut certainement pas écarter.
Je n'ai jamais caché mes doutes concernant Miguel. Bien au contraire. Ce grand-père avec sa mine bien trop affable, sa maison trop propre, trop bien organisée… Non, je n'aime pas ça du tout.
Ford évoque la conclusion du livre… Je suis même surprise de l'entendre citer chaque mot… Quand a-t-il seulement eu le temps de les apprendre ?
– J'ai toujours voulu visiter la Nouvelle Orléans… je lance en lui offrant un sourire en coin.
Cette piste-là me paraît tout à fait valable. Alana est justement originaire de cette ville. C'est un lieu qu'elle connaissait par cœur pour y avoir grandi et évolué. En un sens, c'est probablement ce qui se rapproche le plus d'un foyer pour elle.
Arrivés devant chez Miguel, Phil semble surpris de voir à quel point tout paraît normal. La voiture du vieil homme est garée dans l'allée, ses rideaux sont grands ouverts… Malgré tout, il tarde un peu avant de se décider à nous répondre… Et que dire de sa demande ?
– Vous vous rendez compte que vous parlez à des agents fédéraux, n'est-ce-pas ? je demande, à travers la porte qu'il vient de nous claquer à la figure. Ce que vous êtes en train de faire, ça s'appelle une "obstruction à l'enquête" et c'est puni par la loi. Nous n'avons aucunement besoin d'un mandat pour vous interroger… en revanche, si vous y tenez, on peut très bien contacter nos collègues policiers…
Je saisis mon téléphone, prête à contacter le poste le plus proche pour demander à ce que ce charmant vieillard soit escorté jusqu'à une salle d'interrogatoire. En réalité, nous pouvons totalement le faire arrêter pour son attitude… Il y a tout de même des avantages à travailler pour le FBI.
– Je compte jusqu'à trois, Miguel… Un…Deux… toujours pas de réponse. Trois.
Dix minutes plus tard, une voiture joliment bariolée se gare derrière la nôtre. Les deux agents qui nous rejoignent nous saluent poliment juste avant que l'on ne leur expose la situation. Après cela, il ne leur faut guère de temps pour rentrer dans la maison… Et Ô surprise, le grand-père a filé, probablement par la porte de derrière… Super.
– Délit de fuite donc ? – Visiblement… Voici ma carte, merci de me contacter dès son arrestation… – Pas de problème.
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Sam 20 Jan - 20:34
Phillip Ford
J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en en couple je le vis plutôt bien. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague. Ayant eu un intérêt sur sa partenaire il ose lui avouer ses sentiments mais elle finit par fuir et il n’a aucune nouvelle pendant un an. C’est à son arrivé au FBI qu’il la recroise et ils se mettent ensemble et voir où leur pas les mèneront.
Je me trouvais bête de ne pas avoir proposer une surveillance devant chez-lui. C’était pourtant visible comme le nez au milieu de la figure en plus! C’est bien moi qui lui avait dit qu’on ne pouvait écarter aucune piste? Bah voilà gros malin, tu t’es bien fait avoir. Néanmoins je récitais la conclusion du livre mot à mot et je souris doucement de fierté.
- Je cherchai un indice dans la conclusion alors je l’ai lu souvent. dis-je en haussant une épaule Puis… s’il le faut… on exaucera ton rêve en allant à la Nouvelle-Orléans. ajoutais-je en lui jetant un coup d’oeil moqueur.
Puis qui sait, peut-être est-ce qu’on trouverait plus d'indices là-bas. Quand on part des années forcément ça soulève des questions ou à tout le moins quelqu’un qu’on connaît nous voit. Mais pour le moment, on se gara dans la cour et je trouvais curieux qu’il soit bien peinard chez-lui. Ne me demandez pas pourquoi, instinct de flic sans doute. On descendit de la voiture et l’échange, si on peut dire ça ainsi, fut assez bref. C’est en poussant un soupir de frustration que je pris mon téléphone pour un télé-mandat pendant que Taylor s’époumonnait devant la porte. Quand elle termina son décompte, je me tournai vers elle en haussant un sourcil.
- Tu sais que même si on est des fédéraux il a le droit de ne pas vouloir nous parler hein? Rebecca m’envoie le mandat dans quelques minutes.
Dix minutes plus tard, mandat sur mon téléphone on ouvrit la porte et… il avait filé. Merde… Je poussai un soupir long comme ma vie en me passant une main au visage. On avait même pas pensé couvrir l’arrière. Belle erreur de débutant ça! On ne pouvait même pas fouiller comme j’avais demandé un mandat pour “interrogatoire”. Double merde. Je pris les clés et fit signe à Taylor qu’on devait partir. Je repris le chemin de l’hôtel tout en vérifiant si on ne verrait pas un papi en fuite au dédales des rues. Mais rien, soit il courait vachement vite, soit il avait une belle planque toute trouvée. J’allais au bar de l’hôtel et me commandai une bière pour réfléchir un peu et surtout décompresser. Ce fut ce moment que Bret entra pour s’enquérir notre rencontre et je lui racontais tout même la fuite de notre suspect. Chose qui le fit éclater de rire, au moins un que ça amusait.
- Vous n’avez pas couvert l’arrière? dit-il en tentant de se calmer
- Visiblement non comme je viens de te dire qu’il est en fuite.
Ce qui le fit rigoler de plus belle. Ah bien merci! Connard. Je pris une gorgée m’adossant à ma chaise pour finalement tourner un regard vers Taylor.
- Je crois qu’on aura pas le choix de faire le guet. Je pense qu’il va attendre que se soit plus tranquille pour revenir.
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Lun 22 Jan - 10:28
Taylor Martinez
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Je sais que ce n'est pas très professionnel, mais pousser Miguel à la fuite reste un bon moyen de déterminer s'il a, oui ou non, quelque chose à cacher… La réponse me paraît plutôt claire. Alors, certes, Phil est quelque peu contrarié par cette fameuse "erreur" mais… Bon sang, cet homme a pas loin de quatre-vingt ans, il n'a emprunté aucun véhicule et je suis certaine qu'il n'a pas pu se taper un sprint… Alors, forcément, il n'est pas très loin. Je suis même intimement persuadée qu'il y a une jolie petite planque au sein même de sa maison. Reste à obtenir le mandat de perquisition que j'ai demandé sur la route.
– Je crois qu'on n'aura pas le choix de faire le guet. Je pense qu’il va attendre que se soit plus tranquille pour revenir, me dit-il, toujours aussi agacé.
Pour toute réponse, je me contente de sourire. En réalité, je suis un peu vexée de voir qu'il a oublié avec qui il travaillait. Il sait pourtant que je ne fais jamais rien sans une bonne raison, comme le fait de menacer un vieillard et d'appeler la police pour le pousser à réagir. Nous ne sommes évidemment pas à l'abri d'une erreur, mais nous ne sommes pas des débutants non plus.
– Ah, voilà mon mandat, dis-je en lui désignant mon téléphone. On y va ? Bret, au lieu de pouffer, tu peux nous appeler les flics ? Il nous faudra des témoins pour la fouille. – Pas de problème, je fais ça tout de suite. – Merci bien.
Je me lève pour récupérer mon sac et les clés de la voiture. Je décide même de prendre le volant afin de pouvoir enfin expliquer le fond de ma pensée à mon cher partenaire… Vu qu'il ne m'en a pas laissé en placer une un peu plus tôt… Bref.
– Je ne crois pas qu'il soit parti par la porte arrière. Enfin, au début c'est effectivement ce que j'ai pensé… Je voulais le pousser au délit après tout… Mais… C'est oublier son âge et ce n'est certainement pas un détail négligeable…
Mon sourire s'élargit.
– Je suis sûre qu'il est encore chez lui et je suis certaine qu'il n'y est pas seul.
D'où me vient cette certitude ? Et bien… Le l'extrême propreté de sa maison. C'est peut-être stupide, un peu dépassé comme raisonnement, mais je suis sûre qu'une femme se trouve avec lui… Et pas n'importe quelle femme.
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Mar 23 Jan - 16:25
Phillip Ford
J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en en couple je le vis plutôt bien. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague. Ayant eu un intérêt sur sa partenaire il ose lui avouer ses sentiments mais elle finit par fuir et il n’a aucune nouvelle pendant un an. C’est à son arrivé au FBI qu’il la recroise et ils se mettent ensemble et voir où leur pas les mèneront.
Je sais que ça avait l’air enfantin mais c’était une erreur de débutant ce que nous avions fait ajoutons à ça Brett qui se foutait de ma gueule rien pour arranger mon air renfrogné. Mais tout ceci ne semblait pas déranger ma belle brunette qui me fit un sourire simplement. L’option de faire de la surveillance ne m’enchantait pas plus que ça. C’était long, ennuyant et souvent on en tirait pas grand chose. Quand elle signifia qu’elle avait son mandat je me levai et la suivi après qu’elle ai donné ses “ordres” à Brett et je m’engouffrai dans la voiture. Je ne dis rien me disant qu’on allait perdre notre temps de toute façon mais bon si elle souhaite le faire autant le faire à deux, on sera deux à s’emmerder. On venait à peine de quitter qu’elle m’exposa son idée et je lâchai le paysage pour poser mon regard sur elle. Oui bon il était âgé il ne devait pas se faire des sprint de course tout les matins non plus mais je persistait à croire qu’il avait une planque toute proche. Je tournai mon regard vers l’extérieur me préparant à protester mais la dernière phrase coupa court à mes arguments. Je tournai la tête vers elle en fronçant les sourcils une seconde.
- Tu crois qu’Alana reste avec lui depuis tout ce temps? Sans jamais sortir? Taylor c’est…
* Des conneries* pensais-je. Cependant je ne fini pas ma phrase. Elle semblait si convaincue, et même tout ce que j’aurais pu trouver de pourri comme arguments, elle n’en démorderait pas. Je l’observai un moment en me rappelant qu’elle a été là quand on a voulu coincé la mère de Victoria. Elle m’a suivit et soutenu alors pourquoi pas moi même si ça me semblait complètement tiré par les cheveux.
- Ok, supposons que ta théorie est bonne. Qu’est-ce qui te fait croire ça? On a rien vu qui pouvait présager une présence féminine. Pas de fleurs, de pot-pourris, de chandelles parfumées, rien. Même la déco a l’air tout à fait… comment dire, masculine? Et ne me dit pas que tu te fie simplement à la propreté de l’endroit…
Je la regardais un moment et à son air je compris que oui ça jouait dans la balance. Je poussai un soupir pour trouver mes mots.
- On ne peut pas se fier juste à ça tu le sais non? Oui dans notre métier ça peut dénoter un côté maniaque mais c’est mince. Pleins d’hommes ont des baraques bien propres et bien rangées. Tiens moi par exemple, mon appart est bien rangé mais je ne court pas les rues pour tuer des gens. Alors dis-moi: Qu’est-ce qui t’amène à cette conclusion juste que… tu sais j’abonde dans le même sens que toi.
Parce que j’avais beau tout retourner dans ma tête et, mis à part l’hôpital, je ne voyais qu’un homme âgé vivant seul dans un appartement miteux d’un quartier miteux. Enfin pas si seul si j’en crois ma partenaire. Mais je ne pouvais pas ne pas la suivre, elle m’avait toujours soutenue et supporter. Supporter dans tout les sens du terme d’ailleurs. La raison de ma question était surtout de comprendre sa logique.
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Mer 24 Jan - 9:04
Taylor Martinez
J'ai 35 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice pour le FBI et je m'en sors très bien. Je suis en couple et je le vis plutôt bien!
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Son scepticisme ne m'échappe pas et, honnêtement, je ne peux pas vraiment lui en vouloir. Mes suppositions se basent plus sur mon instinct que sur des faits ce qui, avouons-le, est assez bancal.
–Ok supposons que ta théorie est bonne. Qu’est-ce qui te fait croire ça? On a rien vu qui pouvait présager une présence féminine. Pas de fleurs, de pot-pourris, de chandelles parfumées, rien. Même la déco a l’air tout à fait… comment dire, masculine? Et ne me dit pas que tu te fies simplement à la propreté de l’endroit… – Pour commencer, il me semble que tu es déjà venu chez moi… Y as-tu vu la moindre touche féminine ?
Très clairement : non. Tout simplement parce que je n'accorde aucune espèce d'importance à la décoration d'intérieur… Mais ce n'est pas un argument vraiment valable ici.
– Ce n'est pas vraiment une histoire de propreté… Mais plutôt d'extrême propreté. Comme si, finalement, la personne responsable de l'entretien de la maison n'avait que ça à faire pour s'occuper… Tout est trop bien rangé, il n'y a pas un brin de poussière malgré le vent marin qui souffle en permanence et le fait que la maison soit construite en rez-de-chaussée…
J'ai grandi avec une mère maniaque qui passait le plus clair de son temps à nettoyer… Et elle se plaignait beaucoup pour cette poussière persistante.
–Et encore, tout cela n'aurait pas eu la moindre importance à mes yeux s'il n'avait pas refusé de nous parler… As-tu seulement observé sa réaction ? Il a essayé de gagner du temps jusqu'à ce que je le pousse à fuir… Parce que, oui, tout cela était parfaitement volontaire.
Je développe la suite de mes idées, exposant du coup, la vraie question qui est : pourquoi avait-il à ce point besoin de gagner du temps ? Que peut-il avoir à cacher ? Là dessus je me réfère à cette fausse piste menant dans l'Utah… Il y a trop de choses dans cette histoire pour ne pas envisager qu'il s'agit-là d'une couverture…
Mais du coup, pourquoi faire tout ça pour une personne qui n'est même plus présente ? C'est là que ça bloque. Cette couverture, ce besoin de gagner du temps, cette fuite…
– Alors je te le demande… Où peut être Alana si ce n'est avec lui ?
De toute façon, nous le saurons très bientôt. Quand nous arrivons, il y a déjà plusieurs voitures de police garées devant la maison. Les différentes équipes nous attendent pour pénétrer à l'intérieur.
Nous descendons, tour à tour, badge en main puis j'expose le fameux mandat. Je leur explique ensuite les endroits à fouiller en priorité : cave, sous-plancher, comble… Mais aussi chercher un abri anti-atomique. Les équipes se séparent et s'éparpillent tandis que nous entrons à notre tour.
Pour ma part, je fouille la cuisine où, encore une fois, je trouve tout parfaitement alignés. L'intérieur des placards brillent de propreté et le frigo regorge de nourriture… Trop pour seulement une personne. Je trouve également une bouteille d'alcool de framboise. En soi, cela ne constitue en rien une preuve, mais c'est un apéritif généralement apprécié par les femmes… Je poursuis dans la salle de bain, j'entends l'équipe du grenier crier "RAS". Une seule brosse à dent, une seule serviette. Des produits exclusivement masculins…Il est évident que cet espace n'est pas partagé… Alors évidemment, le grenier me paraît plutôt inadapté. Il n'y a aucune arrivée d'eau là-haut.
Je poursuis dans la chambre… Aucun vêtement féminin n'y figure… Ce qui me donne ensuite l'idée de descendre à la cave, là où se trouve la buanderie… J'ouvre le panier à linge, il est vide… La machine à laver alors ?
Un grand sourire étire alors mes lèvres.
– Ford ! j'appelle en sortant une vieille robe à fleurs du tambour. Tu crois que c'est à la taille de Miguel ?
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Mer 24 Jan - 22:46
Phillip Ford
J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en en couple je le vis plutôt bien. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague. Ayant eu un intérêt sur sa partenaire il ose lui avouer ses sentiments mais elle finit par fuir et il n’a aucune nouvelle pendant un an. C’est à son arrivé au FBI qu’il la recroise et ils se mettent ensemble et voir où leur pas les mèneront.
Ok… ma comparaison de mec un peu con de comparé un appart d’homme à celui d’une femme était complètement conne MAIS n’empêche qu’il n’y avait pas de trace de rien chez-lui. Je ne saurais le décrire c’est… instinctifement mâle? Enfin nous on savait. Puis quand elle me parla de son appartement, j’ouvris la bouche un instant pour la refermer la seconde d’après.
- Je sais pas peut-être que tu met du rose et des fleurs partout maintenant. dis-je pour me moquer. Non je sais que… enfin… il y avait quand même… ton parfum dans l’air, l’odeur de ton savon ou ton shampoing. Un odeur de fille quoi…
Oooook… dis comme ça j’ai l’air d’un putin d’obsédé de merde comme on en rencontrait partout dans notre boulot. N’empêche que c’est quand même ça! Puis cette histoire d’extrême propreté… ok j’avoue c’est très louche, même la plus minutieuse des femmes de ménage n’arrivent pas à tout enlever.
- Il n’a que ça à faire, le ménage… il a 80 piges ou presque…
Est-ce que j’essaie de lui démontrer que ses arguments ne tiennent pas la route? Hum… peut-être un peu mais avouons-le c’est extrêmement faible comme opposition. Puis… Depuis quand c’était moi le casse-pied dans notre duo? C’était elle d’habitude qui démolissait mes réflexions… pas moi! Et je ne trouvais rien à redire pour la suite. Oui il nous avait lancé sur une mauvaise piste, avait casser les pieds avec cette histoire de mandat et après en se barrant on ne sait ou. Bien joué… elle m’avait cloué le bec. encore une fois j’ouvris la bouche pour la refermer faute d’argument, elle allait tellement se marrer si elle avait raison… et elle aurait raison. Je le sentais.
- Mais tu te rends compte? 50 ans enfermé ou prisonnière ou je ne sais quoi d’ailleurs…. Ça serait la période de séquestration la plus longue à vie!
Si c’était le cas… putin impossible de ramener cette femme parmi les vivants maintenant. J’avais vu des cas de séquestration qui m’avait troué le coeur. Natascha Kampusch par exemple. En arrivant je descendis de la voiture et suivit Taylor alors qu’elle donnait les directives. Pendant que l’équipe se déploie, je fouille le salon. Je vire les coussins du canapé, du fauteuil, je demande à un policier de m’aider pour qu’on retourne les meubles question de voir s’il ne planquerait pas un truc pourri sous ceux-ci. J’ouvre les tiroirs des meubles, je regarde dans la bibliothèque. Ce mec est complètement… taré. Les livres parfaitement rangés sont également en ordre alphabétique, et tous de la même grandeur.
- Putin… ce mec a un TOC très sérieux.
Des livres de grands auteurs, des biographies, des classiques… rien qui dérange et qui me ferait sourciller. Si au moins il y avait le livre de “La mort en vert” je me serais rué sur Taylor mais… rien. Putin. C’est en finissant l’examen complet du salon et des livres que j’ai retourné, ouvert et secoués, que la voix de Taylor me parvient du sous-sol. Je me rue dans les escaliers comme si le diable était à mes fesses pour la voir avec une robe à fleur pendue au bout de la main.
- Putin… je pensais que tu… Oublie. Puis si Miguel met un gaine très serrée… ouais ça peut le faire. C'est même très laid je dirais. Personne ne mets plus ça de nos jours... dis-je en allant la rejoindre.
J’examinais la robe, qui était… comment dire… beaucoup trop fleurie même pour une mamie de ce siècle et tournai mon regard vers elle.
- Si ça c’est ici, soit elle est venue. Soit elle est retenue quelque part… Tu as fouiller toute la cave? Parce qu’on peut faire le tour.
J’avais un peur horrible que nous ayons droit à un Natascha Kampusch version 2 et en bien plus glauque…
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Date d'inscription : 14/07/2023
Crédits : Lorène Barioz
Univers fétiche : Med-Fan, même si je peux jouer sur n'importe quel contexte
Préférence de jeu : Femme
Arthécate
Ven 26 Jan - 17:44
Taylor Martinez
J'ai 35 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice pour le FBI et je m'en sors très bien. Je suis en couple et je le vis plutôt bien!
Informations supplémentaires ici.
La robe n'est pas le seul vêtement féminin qui se trouve dans ce tambour… Tandis que Ford entreprend d'examiner les motifs trop fleuris pour ce siècle, je sors le reste. Des sous-vêtements usés jusqu'à la trame, d'autres robes datées et maintes fois reprisées… Aucun pantalon. Alors soit, Miguel a gardé tous les vêtements de que sa femme a laissé et s'amuse à les laver très régulièrement, soit Alana se trouve bel et bien ici… Mais dans quel état?
– Tu as fouillé toute la cave? Parce qu’on peut faire le tour. – Non, pas encore… dis-je avant d'ordonner : Regardez bien derrière les étagères, observez le sol…
Ce ne serait malheureusement pas la première fois que l'on trouvait une planque dans une cave. Des affaires de séquestration, il en existe des tas… Jamais aussi longue cependant. Quoique, peut-être n'a-t-on simplement jamais élucidé ces affaires là…
Puisque je ne suis pas le genre de personne à rester sans rien faire, je me mets à fouiller avec eux. La cave est plutôt grande, mais … Il me semble qu'elle est tout de même plus petite qu'elle ne le devrait. Alors on cherche avec attention… Essayant de n'omettre aucun détail. Puis après une vingtaine de minutes, l'un des policiers s'écrie :
– Hey, regardez par là ! Il y a quelque chose derrière...
Sur ce qui semble être une cloison en béton de trouve une sorte d'anneau… Je comprends alors qu'il s'agit en réalité d'une porte à galandage et que l'anneau sert à accrocher un cadenas. La porte en question est visiblement verrouillée depuis l'intérieur… Il va donc falloir trouver un moyen de l'ouvrir.
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