Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate)
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Ven 26 Jan - 20:21
Phillip Ford
J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en en couple je le vis plutôt bien. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague. Ayant eu un intérêt sur sa partenaire il ose lui avouer ses sentiments mais elle finit par fuir et il n’a aucune nouvelle pendant un an. C’est à son arrivé au FBI qu’il la recroise et ils se mettent ensemble et voir où leur pas les mèneront.
Cette robe sortait d’une autre époque, je ne connaissais personne qui serait prêt à porter ceci. C’était une horreur! Alors que j’examinais la robe, Taylor vidait le tambour. Ce que je voyais sortir de là ne me rassurait pas le moins du monde. Des vêtement qui datait, des sous-vêtement usés, des vêtement rapiécés. Quand elle eut terminée je relevais un regard non plus suspicieux mais vachement inquiet tout à coup. qu’est-ce que ça voulais dire? C’était impossible qu’elle soit gardée ici depuis 50 ans quand même! Je ne sais même pas comment j’ai réussi à formuler ma question le plus simplement du monde. À peine son ordre donné, je demandais à un agent de mettre les vêtements dans un sac de preuves alors que des agents descendaient rapidement. J’osais à peine formuler ma pensée tellement l’inquiétude et la peur de trouver une femme emprisonné me serrait les tripes. Ce qui était le plus affolant c’est que ce ne serait pas le premier qui aurait fait une planque dans une cave. Bien d'autres avant lui l’ont fait et plusieurs le feront par la suite. L’humain peut être très bas dans ses instincts.
J’aidais les agents à fouiller en passant mes doigts dans chaque fissure, tirer sur chaque meuble, cadre, clou tout ce qui était susceptible de contenir une cachette. Quelque part je souhaitais tellement fort qu’on se plantait encore!! Il fallait que ce soit une fausse piste! Malheureusement, je n’ai même pas Dieu de mon côté parce qu’on cria qu’il y avait quelque chose derrière un meuble.
- Merde… grognais-je entre mes dents
Je rejoignis les autres et on examina la porte et force d’admettre que nous n’étions pas sur une fausse piste. Mes épaules s’affaissèrent parce que même là je n’avais même pas espoir qu’on se trompe. Derrière cette cloison, se cacherait peut-être la réponse à toutes nos questions. Je tournai mon regard vers Taylor le fouillant un peu. On y était presque… on le savait.
- Appelez les pompiers! On va avoir besoin d’eux!
Pendant que l’appel se faisait, les policiers allèrent mettre les preuves dans les boîtes pour les rapporter avec nous. Discrètement j’allais chercher la main de Taylor et plantai mon regard dans le sien. Elle attendait des réponse depuis tellement longtemps et elle était à deux doigts de les obtenir.
- Je sens que là on va avoir des réponses… et peut-être pas comme on pense.
Je relâchai sa main pour m’éloigner de cette cloison qui me rendait mal à l’aise et allait m’appuyer sur le sèche-linge. Tiens… on ne l’avait pas vidé celui-là! J’ouvris la porte et le vidai rapidement pour trouver… bah rien. Juste des vêtements d’homme.
- On l’a dérangé durant son jour de lessive… Quel dommage… dis-je sarcastiquement pour cacher mon trouble.
Enfin le cacher… disons que Taylor savait parfaitement mon mode de fonctionnement alors… non je n’avais pas envie d’en parler. Pas tout de suite. Les pompiers arrivèrent et je laissai Taylor diriger ceux-ci restant en retrait. On remonta pour éviter de se retrouvé couvert de poussière de ciment et que nos tympans éclatent. Je restais en-haut donc à tourner comme un lion en cage. Si au départ j’étais bien déterminé à coffrer cette folle, j’étais entrain de me demander si au contraire, elle avait plutôt été la victime. J’étais appuyé dos au comptoir, les mains serrant légèrement le rebord pour calmer mes nerfs. Je ne sais pas comment expliquer mais on sent quand on arrive au bout de quelque chose et personnellement je le sentais. Puis soudain le silence. Plus de bruit. Je lâchai la contemplation du plancher pour relever mon regard dans celui de Taylor. Il fallait attendre le ok des pompiers pour descendre et éviter de prendre une joyeuse bouffée de béton. Après de longue minutes, on vint nous chercher et on nous tendit un masque pour éviter les micro-particules de poussière. On se glissa dans l’entrés faite et on avança à pas de loup, lentement. Mon coeur cognait tellement fort dans ma poitrine que j’étais certain qu’il était rendu dans mes oreilles. C’est au détour d’un couloir qu’on vit une lueur, presque blafarde et qu’on réalisa que c’était des chandelles. Beaucoup de chandelles.
- Putin de….
Je baissai mon arme que j’avais dégainée et la rangeai dans mon étui, j’enlevai le masque et regardai tout autour partagé entre l’horreur et la stupeur. Des cadres des victimes. Toutes. Elle étaient toute là! Je reconnu rapidement les robes que nous avions trouvés dans la laveuse et sur un fauteuil trônait un… cadavre? Enfin plus un squelette dans son état. Une robe fleurie, une perruque noire de jais des bijoux et même des sandales.
- Je crois qu’on vient de trouver Alana… dis-je en pointant la photo sur la petite table à côté d’elle.
Pas d’autre cadavre, juste… Alana. La victime aux cheveux noirs qu’il manquait, cette dernière victime qu’on cherchait n’était nul autre qu’Alana elle-même. Mais elle n’avait pas reçu le même traitement que les autres. C’était à la fois touchant, émouvant, glauque, horrifique et triste en même temps. J’avais tellement de questions en ce moment mais on ne pouvait avoir de réponse tant qu’on ne mettait pas la patte sur Miguel. Mais mes questionnements s’arrêtèrent en tournant le regard vers Taylor.
- Ça va? Je peux amasser les preuves si… enfin… si tu ne veux pas le faire…
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Sam 27 Jan - 17:52
Taylor Martinez
J'ai 35 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice pour le FBI et je m'en sors très bien. Je suis en couple et je le vis plutôt bien!
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Je sais bien que dans notre métier il est souvent difficile de pouvoir tout anticiper, mais je ne m'attendais certainement pas à une telle découverte… Au moins, nous n'aurons pas à poursuivre nos recherches concernant Alana…
Sa dépouille décrépite repose sur un misérable fauteuil. Depuis combien de temps est-elle là à attendre que l'on vienne la délivrer ? Difficile à dire… Je m'empresse de contacter les médecins légistes qui se chargeront de déterminer les causes de la mort et surtout la date approximative de cette dernière.
Quand je raccroche le téléphone, Phil me demande si je vais bien.
– Ça va, ne t'en fais pas… J'ai malheureusement vu pire, tu sais.
Je lui offre un sourire avant de commencer à prendre des photos de la scène de crime. Enfin, si c'en est effectivement une. Nous restons là pendant plus d'une heure, le temps que les ML se chargent d'emporter le corps et de faire leur première estimation.
Pour l'heure, Miguel reste encore introuvable, mais un mandat d'arrêt a été adressé à son nom… Je suis persuadée qu'il ne peut pas être bien loin, c'est d'ailleurs pour cela que la police continue de fouiller la maison, allant même jusqu'à retirer les lames de plancher.
La nuit est tombée depuis longtemps et je décide d'attendre près de la voiture. Je cherche encore ce qui peut nous échapper…
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Dim 28 Jan - 5:33
Phillip Ford
J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en en couple je le vis plutôt bien. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague. Ayant eu un intérêt sur sa partenaire il ose lui avouer ses sentiments mais elle finit par fuir et il n’a aucune nouvelle pendant un an. C’est à son arrivé au FBI qu’il la recroise et ils se mettent ensemble et voir où leur pas les mèneront.
Je ne sais pas l’émotion première qui émergea en moi quand on était entré ici mais présentement c’était juste un horrible constat de voir que la pauvre Alana était ici et depuis combien de temps? Présentement nous devions amasser les preuves, si tant est qu’il y en ai. Taylor s’occupa du légiste et j’attendis la fin de son appel pour lui demander si ça allait et que je pouvais m’occuper du reste si elle le voulait. Mais bien sûr, elle refus attestant qu’elle allait bien. Je lui fis un sourire crispé mais la suivi dans la prise de photo et décrochant chaque photo désolé que ces femmes aient connu une fin aussi terrible. Je pris le cadre d’Alana et force d’admettre qu’elle était plus jolie. Est-ce que c’était la première ou la dernière? J’opterais pour la dernière et… pourquoi elle avait eu un traitement différent des autres? Une heure dans ce cachot avant de laisser les légistes faire leur boulot.
On resta espérant qu’ils trouvent une piste, l’endroit où ce fils de p*te se cachait. La nuit tomba et j’avais fait le tour de la cour arrière, même fouiller la petite remise espérant trouver une cachette, sous la véranda également mais force d’admettre que je ne trouvais rien, pas plus que les agents qui m’accompagnait. Je revins à la voiture pour voir Taylor appuyée dessus entrain de réfléchir, et j’étais à peine surpris. Je me dirigeai donc vers la voiture et allai prendre une main mon regard allant rencontrer le sien.
- Je doute qu’ils trouvent quelque chose maintenant. dis-je en lui faisant un petit sourire, On peut rester encore une heure mais s’il ne trouve rien on peut laisser une garde ici pour qu’ils nous avisent s’ils trouvent quelque chose. On a besoin de se reposer, je levai la main lentement, même si je sais que c’est un grand mot. J’ai besoin de… m’aérer l’esprit. Un peu du moins.
Il fallait que je fasse un peu le vide, essayer de me sortir les images de la tête si c’était Dieu possible. Je m’appuyai à ses côtés et tentais de faire le vide, chasser tout ça de ma tête. Une heure de plus et rien de plus. Je posai ma main sur son bras comme pour la réconforter avant d’aller parler aux policiers pour la garde et nous aviser aussitôt que Miguel pointe le bout de son nez.
- Viens, on va tenter de se reposer.
Je la laissai conduire, j’étais complètement vidé, épuisé que la seule chose que je voulais était de me retrouver au calme. En arrivant à l’hôtel, je pris la direction de la chambre ignorant totalement nos collègues. Enfin je leur fis quand même un signe de la main n’ayant pas envie de leur parler pour le moment. En arrivant dans la chambre je sorti de mes chaussure, jetai mon veston sur un dossier de chaise, desserra ma cravate et pour la première fois me fit un verre avec les mini bouteilles du bar. Ce n’était pas le meilleur whisky mais bon pour le peu que j’en buvais c’était excellent. Je pris la direction du balcon et m’appuyai sur la rambarde. Je respirai l’air salin en prenant une rasade de mon breuvage en grimaçant alors que l’alcool me brûlait la gorge. Quand je l’entendit approcher, je poussai un soupir et me tournai vers elle.
- Avant que tu dise quoique se soit, oui je suis vachement secoué de se que nous avons trouvé. J’ai toujours la même question qui me reviens. Pourquoi Alana a eu un traitement différent? J’ai jamais eu aussi envie de retrouver quelqu’un. Fils de pute…
Je pris une inspiration suivit d’une gorgée de whisky me brûlant la gorge.
- Toi tu pensais à quoi?
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Dim 28 Jan - 7:34
Taylor Martinez
J'ai 35 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice pour le FBI et je m'en sors très bien. Je suis en couple et je le vis plutôt bien!
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Je n'ai pas très envie de rentrer à l'hôtel alors que nous n'avons encore aucune idée de l'endroit où se trouve Miguel… Mais, Phil a raison. Pour l'heure, nous ne pouvons rien faire de plus et nous avons besoin de repos. Surtout lui.
Je connais la sensibilité de Phil, j'y ai déjà assisté. Actuellement, son esprit est sans doute envahi par de vilaines images dont il a besoin de se séparer. Alors, malgré la frustration, je finis par nous reconduire à l'hôtel.
Une fois dans notre chambre, j'entreprends de retirer mon costume d'agent du FBI pour enfiler celui de Petite amie. En réalité, cela consiste à retirer ma veste et à lâcher mes cheveux… Ce n'est pas une grande transformation, surtout en sachant que la petite amie que je suis n'a strictement rien contre le fait de parler boulot.
– Avant que tu dises quoi que ce soit, oui je suis vachement secoué de ce que nous avons trouvé. J’ai toujours la même question qui me revient. Pourquoi Alana a eu un traitement différent? J’ai jamais eu aussi envie de retrouver quelqu’un. Fils de pute… – D'accord, dis-je avant de lui voler son verre pour boire une grosse gorgée de whisky. –Toi tu pensais à quoi? – Hm ? Je pense toujours à un milliard de choses et généralement toute en même temps… Il serait bon de préciser le fond de ta pensée
Je lui souris avant de m'appuyer sur la rambarde à mon tour. Mon regard se porte sur la ville, les immeubles éclairés, la Lune quelque peu voilée par une fine couche de nuage.
– Alana était sa femme… Et je suppose qu'il l'aimait… d'une façon plutôt étrange et dérangeante, certes, mais il l'aimait et il a voulu la garder auprès de lui…
Je n'ai pas encore le pourquoi du comment, mais pour l'heure, ce n'est pas le plus important. C'est impossible de rentrer totalement dans la tête d'un meurtrier pour comprendre exactement le fond de sa pensée. Il y a une logique, c'est certain… Mais sa nature nous reste inaccessible.
Mon téléphone sonne peu après… Un corps vient d'être repêché dans la rivière… Le cadavre d'un homme correspondant à la description de Miguel. Je soupire en lui apprenant la nouvelle…
– Il semble que nous n'aurons jamais sa version, dis-je tout en saisissant son verre vide avant de retourner dans la chambre pour le remplir de nouveau.
Visiblement, nous en avons fini pour ce soir… Alors autant boire. J'avale une nouvelle gorgée de ce liquide ambré et décidément beaucoup trop fort pour moi puis je rends le verre à son propriétaire.
– Je suis persuadée qu'il existe une part d'ombre plus ou moins importante dans chacun de nous… Certaines personnes sont capables des pires horreurs et se réfugient derrière des raisons et des besoins obscurs. Je ne sais pas ce qui leur passe réellement par la tête… Pourquoi en venir là…de cette manière-ci… Pourquoi garder un cadavre auprès de soi pendant plusieurs décennies… Hitchcock saurait sans doute… Mais je ne suis pas Hitchcock… Et honnêtement, je ne suis pas certaine de vouloir savoir ce qu'il avait dans la tête. J'ai beaucoup trop peur de faire des cauchemars, je raille en venant cueillir une goutte de whisky sur ses lippes.
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Dim 28 Jan - 9:11
Phillip Ford
J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en en couple je le vis plutôt bien. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague. Ayant eu un intérêt sur sa partenaire il ose lui avouer ses sentiments mais elle finit par fuir et il n’a aucune nouvelle pendant un an. C’est à son arrivé au FBI qu’il la recroise et ils se mettent ensemble et voir où leur pas les mèneront.
Je me doute que Taylor aurait voulu rester mais c’est aussi ce qui faisais notre force. Savoir quand l’autre en avait trop et présentement c’était moi. Je n’en pouvais plus de voir cette maison, de voir les photos des femmes danser dans ma tête et surtout celui du squelette d’Alana trônait au milieu de la pièce comme une reine. Ça me déchirait le cœur. Toutes ses familles qui avaient tant espéré le retour de leur filles, leur sœurs… Présentement Miguel restait introuvable et j’espérais vraiment que les patrouilles policières lui mettent la main au collet. Je la laissais conduire et l’idée même de parler à mes collègues me répugnait, je voulais simplement être au calme. Je me retrouvais appuyé à la rambarde du balcon, un verre de whisky de piètre qualité entre les mains. Quand je l’entendis arriver je lui dis immédiatement ce qui me tracassait, pas qu’elle ne savait pas, mais surtout la question qui revenait sans cesse. Je la laissais prendre mon verre croisant mes mains alors que je suis demandais à quoi elle pensait.
- Quand tu étais appuyé sur la voiture. Tu étais très pensive…
Elle répondit à ma question, enfin en émettant plus une supposition et en vrai même moi j’étais arrivé à cette conclusion. Cependant me dire la réponse c’était très glauque, en même temps cette situation était très glauque.
- Il l’aimait mais elle? On aura jamais la réponse malheureusement.
Putin que je trouvais ça triste… tellement triste. Est-ce qu’elle avait été heureuse au départ? Est-ce qu’il l’avait séquestré jusqu’à ce qu’elle soit docile au point de n’être que l’ombre d’elle-même? A-t-elle été malheureuse toute sa vie en espérant une aide qui n’est jamais venue? Mes pensées furent coupées quand le téléphone de Taylor sonna, gardant mon regard sur elle j’étais prêt à me précipiter pour aller lui parler moi-même. Jusqu’à ce qu’elle me dise qu’il avait été repêché dans une rivière, je sentis tout mon être se remplir de colère, de rage mais de peine pour les familles de victimes.Alana n’avait plus personne, mais les autres si. J'avalais la dernière gorgée d’un trait et Taylor me l’enleva juste avant que je le balance au bout de mes bras. Je la suivit mais restai dans l’embrasure de la porte patio, j’avais besoin d’air frais, j’avais peur d’étouffer dans cette chambre.
- Ce qui me crève le coeur c’est de dire aux familles que notre suspect numéro 1 c’est enlevé la vie et que nous n'aurons jamais de réponses. C’est comme tuer leur fille ou leur soeur une autre fois.
Après une autre gorgée elle me redonna mon verre et moi-même je pris une bonne lampée grimaçant à peine. Je l’écoutais tournant le verre dans ma main et quelque part elle avait raison. On avait tous notre part d’ombre. Pourquoi certain plongeait dans cette noirceur au lieu d’aller vers la lumière? C’était là un des nombreux mystère de la vie. Je ris doucement à sa dernière phrase alors qu’elle venait lécher une goutte de liquide du bout de la langue.
- Je n’ai pas plus envie de me plonger dans la tête d’Hitchcock. J’aurais peur moi aussi. dis-je avec un sourire.
Je la regardais un moment me plongeant dans son regard brun-vert et souris doucement. Je glissai mes doigts sur sa joue qui commençait à rosir des effets de l’alcool. Je posai mon verre sur une table près de la chaise longue et passai mon autre bras autour d’elle et la tirai doucement sur la terrasse. Elle était tellement belle les cheveux lâche qui dansait sur ses épaules! Je fini par prendre son visage entre mes mains me noyant un peu plus dans le regard de ma jolie brunette.
- J’aime quand tu as les cheveux lâche comme ça… tu es très belle. Enfin tu l’es tout le temps mais j’aime bien quand ils sont comme ça.
Je me penchai vers elle et doucement, tout doucement je posai mes lèvres aux siennes dans un doux baiser. Plus… tendre, plus doux. Comme si ce simple baiser venait effacer toutes les horreurs que nous avions vu dans la journée. Je la sentit se coller un peu plus sur moi et je la laissai faire et tout aussi doucement je rompis le baiser pour retourner me plonger dans son regard et sourire doucement.
- Je t’aime Taylor. Je t’aime tellement…
Mon premier VRAI je t’aime et si je ne pensais pas le dire tout de suite. Là, maintenant, ce soir c’était approprié. Je me devais de lui dire, qu’elle entende comment cet amour me rongeait les tripes. Oui je sais on avait tout à découvrir encore mais je sais que je l’aimais depuis bien longtemps et juste être à ses côtés je me comptais l’homme le plus chanceux du monde.
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Dim 28 Jan - 9:57
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Sa frustration, je peux que la comprendre. Je la ressens également après tout. C'est horrible de se dire que ce monstre ne sera jamais condamné pour ses crimes… Jamais nous n'obtiendrons de réponses à nos trop nombreuses questions… Cette enquête, comme beaucoup d'autres, nous laissera un arrière goût amer… Cette insupportable sensation d'inachevé.
– S'il y a un avantage aux cold case, c'est bien celui-ci : généralement, les familles des victimes sont mortes depuis des lustres… dis-je en déposant un baiser sur sa joue.
Et puis, juste comme ça, la sombre discussion s'achève pour glisser vers un sujet bien plus personnel. Son regard intense me fait rougir. Ses compliments me font sourire… Et ses baisers éveillent chez moi de très nombreux frissons qui n'ont rien à voir avec la fraîcheur de la nuit. Je me sens si petite dans ses bras, si fragile aussi… Toutes ces sensations que je trouvais si dérangeantes autrefois et que je sais chérir aujourd'hui… Je me sens bien… Tout simplement bien…
–Je t’aime Taylor. Je t’aime tellement…
Mon sourire s'élargit en même temps que les émotions me submergent.
– Moi aussi je t'aime, dis-je en venant de nouveau m'emparer de ses lèvres.
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Dim 28 Jan - 19:57
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Je sais qu’elle tentait d’amoindrir ma frustration mais n’empêche que dans le dossier ce n’était pas toute les familles qui étaient disparues mais j’appréciais l’effort. Pour le moment je voulais vraiment me concentrer sur le ici, maintenant pour éviter de repenser à tout ce que nous avions vu et surtout éviter d’avoir des images toute la nuit. Je la trouvais incroyablement belle en ce moment… enfin tout le temps mais ce soir plus particulièrement. Je me perdais dans ses iris plongeant dans cette abîme, ce moment un peu plus calme, lui disant par la bande comment j’aimais qu’elle ai les cheveux lâche et finalement lui dire mon premier vrai “je t’aime”. Pas que les autres je ne le pensais pas, mais avec tout ce que j’avais vu, ce qu’on a vécu ici il me semblait que c’était plus qu’approprié. Voir son sourire illuminer son visage gonfla mon coeur un peu plus et je perdis légèrement l’équilibre quand elle s’empara de mes lèvres.
Je refermai mes bras autour d’elle continuant ce baiser qui était… juste parfait. C’est doucement que je nous ramenait à la chambre, mes lèvres soudées aux siennes et refermai la porte. C’est une fois à l’intérieur que je relâchais ses lèvres pulpeuses et que je fouillai son regard.
- Alors… euh… tu avais une idée de comment terminer la soirée ou… dis-je en haussant une épaule, parce que je pense avoir une petite idée…
Je glissai mes mains sur ses hanches et fit sauter les boutons de son chemisier lentement.
- L’idée est: Toi, moi et une douche très très chaude…
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Lun 29 Jan - 0:52
Taylor Martinez
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J'éclate de rire en l'écoutant évoquer le programme envisagé pour la soirée. Son regard brûlant suffit à me faire ravaler mon hilarité pour éveiller une toute autre envie irrésistible.
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Lun 29 Jan - 15:35
Phillip Ford
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Mar 30 Jan - 19:45
Taylor Martinez
J'ai 35 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice pour le FBI et je m'en sors très bien. Je suis en couple et je le vis plutôt bien!
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Je le pousse gentiment pour l'inviter à s'allonger sur le côté. Pour ma part, j'ai besoin d'un peu … d'air et d'espace là, tout de suite. Je sais bien qu'il est très attaché aux câlins post-amour et je veux bien faire un effort mais là… Après tout ça, je préfère rester là, tout près, à savourer la sensation de fraîcheur des draps.
– Tu te sens mieux ? demandé-je tout de même.
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Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate)