"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Mer 22 Mai - 10:18
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ce soir, Edward ne dévoilait pas uniquement les tourments qui l’accablait, il se dévoilait lui-même. Il était plus vulnérable que jamais, affaissé de la sorte dans le canapé, se laissant bercer par les caresses d’Angelica. Pourtant, il se sentait étrangement à l’abri de tous les maux en cet instant. Il n’avait aucun contrôle sur la situation, et ne le désirait aucunement. Il se laissait conduire par la tendresse de la jeune femme qui prenait soin de lui comme aucune femme ne l’avait fait avant elle. La douceur de ses mains sur sa peau, s’aventurant dans son cou, le troublait bien évidemment, mais de la manière la plus agréable qui soit. C’était comme si elle avait la capacité de le libérer de tout ce poids qui comprimait sa poitrine. Donc il avait fait le choix de se délester de celui qu’elle avait connu jusqu’alors et de seulement être celui qu’il avait envie d’être avec elle. Cet homme qui était capable de la caresser du regard, et de s’adresser à elle avec une douceur dont il était rarement capable. Il avait prononcé plus de mot au cours de cette soirée, que depuis qu’ils se connaissaient, et il n’éprouvait pas la moindre envie de se taire, de se renfermer sur lui-même ou de disparaître. Il se plaisait dans cet environnement sûr qu’elle avait créé pour lui. Ainsi, il dévoila à demi-mots ce qui le liait à Ava. Il se souvenait de cette nuit où elle avait sonné à la porte de son appartement, le visage tuméfié et en sang, qui dissimulaient les larmes qui n’avait que trop coulées. Il se souvint de ses mots aussi, de cette terreur qui étreignait ses prunelles claires. Comme il se remémorait de cet envie de tuer qui l’avait saisit à ce moment-ci… Il l’avait alors serré dans ses bras, lui avait offert son meilleur verre de whiskey, l’avait écouté lui conter son histoire, après quoi, il lui avait laissé accès à la salle de bain, lui avait confié l’une de ses chemises et l’avait laissé dormir jusqu’au petit matin, en restant assis dans le fauteuil présent dans l’angle de la pièce, veillant sur elle toute la nuit durant… Des heures au cours desquelles il avait imaginé bien des manières de détruit la vie de cet individu. Et aujourd’hui, c’était à lui que l’on reprochait tous ces maux… Donc oui, il se sentait comprimé par la culpabilité. Maintenant, Angelica comprenait les raisons qui faisait qu’il acceptait tout de la part de son assistante. Malgré le délicat sujet qu’ils abordaient tous les deux, dans ce salon, l’influenceuse parvenait encore à sourire. À lui sourire, sa main caressant sa joue mal rasée jusqu’à ses cheveux, comme pour adoucir sa peine. C’était ainsi qu’elle était parvenue à le faire esquisser un timide sourire, tout juste perceptible. « C’est bien connu ».
« C’est ce que je fais actuellement » murmura-t-il tout en continuant de l’envelopper de ses prunelles azurées. Peu à peu, il apprenait à se détendre et à prendre du recul sur les évènements de la journée. Sans elle, il se serait sûrement morfondu jusqu’à tard dans la soirée, toujours ce même verre de whiskey entre les mains. Angelica se reprit, comme si elle ne voulait pas qu’il se méprenne sur ses paroles. « J’avais compris, tu sais » renchérit-il. Il n’était pas semblablement pas le seul à se sentir troublé parce qu’ils partageaient en cet instant. Ça se percevait dans ses caresses qui se limitaient dorénavant qu’à ses cheveux, à se regard qu’elle ne parvenait à soutenir. C’était sûrement pour cela qu’il s’autorisait à la regarder fixement ainsi. Parce que leurs regards ne se croisaient que rarement. Il ne tentait pas de la charmer. Il lâchait seulement ses armes et acceptait d’être parfois plus vulnérable qu’à son habitude. Parce que c’était elle, et qu’une petite voix lui murmurait : Tu peux, tu ne crains rien. Mais il restait curieux de savoir ce qui l’avait encouragé à le rejoindre ainsi, sur ce canapé, et prendre soin de lui, après la confrontation houleuse de ce matin. Il laissa un « Ooooh ! » s’échapper presque étouffé, jouant les faussement convaincu. « C’est important de réaliser ses rêves » confirma-t-il avec un certain sérieux, comme si Angelica l’était tout autant que lui. Pour seule réponse, il continuait de l’observer, et il finit par murmurer « Je veux rester là encore un peu. Juste quelques minutes » et ajouta « Parle-moi de ta journée ». Sa démarche était sincère. Il avait envie de l’entendre lui conter sa journée.
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Charly
Mer 22 Mai - 11:26
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angy ne chercha pas à connaitre plus de détails sur ce qui s’était déroulé cette fameuse nuit. Malgré le contrat qui les unissait, l’amitié qu’elle pouvait porter à Ava, ils restaient des étrangers pour elle. Des personnes hauts placés également. Elle n’avait pas à rentrer dans les confidences de ce genre. Elle n’avait pas à s’en mêler. Elle ne pouvait apporter aucune idée, seulement tenter de soulager quelque peu la tension et la culpabilité que pouvait éprouver Edward ce soir. A aucun moment elle se dit qu’elle le regretterait peut-être à un moment ou à un autre. A aucun moment elle avait calculé quoi que se soit. Elle lui offrait seulement une safe place pour quoi… une petite heure. Angy ne savait pas depuis combien de temps elle caressait les cheveux et la peau d’Edward, elle ressentait seulement qu’elle faisait ce qu’il fallait, qu’il semblait aller un peu mieux. Pour poursuivre dans cette lancée de légèreté, elle tenta un trait d’humour, qui lui value un semblant de sourire. C’était discret mais c’était là. Cela lui suffit pour être contente.
Angelica se sentit presque obligé de justifier ces propres mots, après la réponse qu’il lui donna. Il était concentré sur le moment présent… bien… mais elle ne voulait pas qu’il trouve tout cela déplacé, ce n’était pas le but. « -oh… ok… » elle lui sourit, avant de laisser le silence prendre place entre eux. La question qu’il posa la força à faire de nouveau de l’humour. « -exactement ! » avait elle confirmé en appréciant vraiment le voir jouer le jeu. C’était… étrange, et appréciable à la fois. Elle lui confia ensuite la vraie raison, même si ce n’était peut-être pas suffisant pour justifier la tendresse dont elle faisait part. Elle aurait seulement pu l’ignorer et partir dans sa chambre. Accepter le resto que Flynn avait proposé… « -d’accord… » souffla Angie quand il demanda à rester encore un peu. Ça ne la gênait pas. Elle allait faire taire son cerveau et ça allait bien se passer. Ce fut son tour de l’observer quelques instants. Il lui demandait de parler d’elle ? C’était rare… « -je veux bien finit ton verre si tu n’en veux pas… » ouais, ça lui ferait du bien. « -et hum… ma journée et bien… un rendez-vous important pour une marque de vêtement, on a signé un shooting photo. Ils cherchent encore le lieu, mais je suis contente. J’adore ce qu’ils font. » Elle se souvint qu’Edward n’en avait sans doute rien à faire des détails. « -un rendez-vous avec Flynn en début d’après-midi, pour le travail. Un bel orage en rentrant… » un sourire en évoquant ainsi leur désaccord. « -puis en fin de journée, je suis partie courir une bonne heure… » un haussement d’épaules. Rien de bien palpitant. Angy bougea un pieds : « -j’ai des fourmis dans le pieds… » commenta-t-elle avant de manqué de se casser la figure du dossier du canapé sur lequel elle était assise en équilibre. Elle rattrapa aux épaules d’Edward en poussant un petit cri entre la panique et la surprise.
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Mer 22 Mai - 12:16
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Profiter de l’instant présent. C’était précisément ce que faisait le politicien en se laissant porter par les caresses d’Angelica. Il lui ôta toute crainte de malentendu en la sentant soudainement mal à l’aise avec ses propres mots. Leur entente était encore récente, leur relation tout autant, malgré ce qu’ils laissaient sous-entendre au reste du monde. Edward avait conscience de ne pas être le genre d’homme aux côtés de qui, il était simple de lâcher prise. Angelica maintenait toujours une certaine réserve en sa présence, et elle était légitime. C’était son propre comportement hostile et parfois imprévisible qui l’avait contrainte à le devenir. Ce soir, malgré ce moment qu’ils partageaient, ne faisait pas exception. Il venait de le comprendre. Il ne lui en tenait pas rigueur pour autant. Edward ne souhaitait pas s’obscurcir l’esprit de ce genre de pensés. Il voulait savourer l’instant présent, et cet aparté de quiétude dans leur relation qui ne devait qu’à elle. C’était la raison pour laquelle, il était intrigué de connaître les raisons d’une telle attention à son encontre. Après tout, il ne l’avait aucunement mérité. L’influenceuse opta pour l’humour afin de lui répondre, et il se plut à l’encourager en ce sens un instant. C’était sûrement tout aussi étrange pour lui que pour elle, mais tout l’était un peu ce soir. Étrange. Et pourtant, Edward ne souhaitait ni dîner, ni s’éclipser sous la douche. Pas encore. Il lui demandait de lui octroyer encore quelques minutes. Seulement quelques minutes. Angelica accepta. Il voulait qu’elle se confie à lui à son tour, sur cette journée.
Son regard se posa sur le verre qu’il tenait toujours sur sa cuisse, et en prit une gorgée avant de lui tendre le reste du verre en cristal « Tu peux le terminer », et inclina de nouveau la tête pour continuer de l’observer en détail tandis que la jeune femme évoquait son rendez-vous pour une marque de vêtement qui semblait plus plaire. Il s’intéressa donc à ce qu’elle lui confia avec sincérité. Il souhaitait savoir. Il avait envie qu’elle lui parle, qu’elle se livre à lui, même sur des détails anodins. Ça n’avait aucune espèce d’importance. « Pourquoi tu aimes ce qu’ils font ? ». Edward la laissa poursuivre et grimaça légèrement à l’évocation de l’orage auquel elle faisait référence. Il était cet orage. Il prit soin de ne pas revenir sur cette parenthèse à sa journée « Tu travailles avec Flynn ? ». Après tout, il ne l’avait jamais interrogé sur son meilleur ami. Il savait seulement que cet homme était important pour elle, et au vu de l’accueil qui lui avait réservé le jour de son aménagement, il était légitime de ne pas vouloir communiquer davantage à son sujet avec lui. Les pieds d’Angelica remua légèrement contre ses épaules, et il la sentit se rattraper brusquement à ses épaules. Par réflexe, il lui avait saisit le poignet et l’avait retenu à lui, la faisant chuter sur le devant du canapé, la tête sur ses cuisses. La surprise et l’inquiétude pouvaient se lire tour à tour dans ses yeux saphirs « Ça va ? » lui avait-il aussitôt demandé. Un bref silence les enveloppa ensuite, sans qu’il ne parvienne à détourner le regard de ses prunelles claires, et sentit ses lèvres s’étirer dans un sourire, puis un rire aussi authentique que discret jaillit de sa gorge « Je pense que ça signe l’heure du coucher ». Le candidat au Sénat lui récupéra le verre vide et le déposa sur la table basse, et l’aida ensuite à se redresser sur ses jambes, en faisant de même. De nouveau, il la surplomba de ses quelques vint centimètres, alors que toute la soirée durant, il s’était sentit si petit sous elle. « Il est temps pour moi de prendre cette douche et d'aller dormir » l’informa-t-elle sans pour autant se mouvoir en direction, son regard l’enveloppant toujours avec douceur. Edward s’inclina et déposa un baiser sur sa joue avec réserve, et se justifia d’un « Merci pour ce soir Angelica Gordon » et se recula d’un pas, puis de deux, et fit volte-face pour rejoindre chambre, non sans un dernier coup d’œil en sa direction au moment de disparaître dans le couloir.
Après l’actualité internationale, intéressons-nous à la politique nationale et plus précisément celle de New York, John. Merci Mia. D’après des informations proches du candidat au Sénat, Edward Wyler, ce dernier aurait emménagé avec sa mystérieuse petite-amie dont qu’une poignée de nos concitoyens ont eu le plaisir de rencontrer. Mon dieu John, vous plaisantez ? Quelle femme saine d’esprit pourrait tomber amoureuse d’un homme tel que Monsieur Wyler ?! Encore faut-il qu’il soit un homme. * petits éclats de rires en chœur* Exactement John. D’après les témoignages recueillis, cette mystérieuse petite-amie est décrite comme souriante, chaleureuse et bienveillante à tous les égards. Que fait-elle donc avec le petit-frère de Lucifer ? On pourrait se poser la question. Quand est-ce la dernière fois que l’on a vu l’adjoint au maire sourire ? Vous savez, l’amour rend aveugle Mia. Je n’aimerais pas être présente le jour où elle ouvrira les yeux John. L’opinion publique est unanime, Monsieur Wyler est un …
Les deux journalistes disparurent derrière l’écran noir de la télévision. La mâchoire crispée, Edward avait éteint la télévision, puis jeté la télécommande dans le canapé derrière lui. Son regard s’attarda sur le meuble trônant au milieu du salon, repensant à la douceur dont avait su faire preuve Angelica à son égard la veille au soir, l’écoutant sans émettre le moindre jugement ou l’interrompre un instant. Elle avait été parfaite… Il ferma les paupières avec force. Quand Angelica fit son entrée dans la cuisine quelques minutes plus tard, Edward était une fois encore appuyé contre le comptoir en marbre, sa tasse de café dans la main, mais sans le journal papier du matin. Ses prunelles azurées s’était assombrit depuis la veille au soir, non pas de colère, mais c’était bel et bien de la peine qui se lisait dans son regard « Tu as été parfaite avec moi hier soir Angelica… ». Ses yeux se fermèrent de nouveau, et sa mâchoire se serra davantage, puis reprit en reposant son regard sur elle « Seulement, ça ne doit pas se reproduire à l’avenir. J’ai été vulnérable, et c’était une erreur. Je ne suis pas un homme gentil et toi, tu as su assumer parfaitement ton rôle de petite-amie idéale. Tu as raison, tu es une actrice de talent» rétorqua-t-il d’une voix qui se voulait froide, mais qu’il l’était péniblement.
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Mer 22 Mai - 14:28
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Elle l’observa prendre une gorgée, puis lui tendre le verre. « -merci. » Angy le porta à ses lèvres, prit une petite gorgée avant d’expliquer sa journée. « -hum… » elle se pinça les lèvres, comme si elle ne voulait pas perdre la moindre saveur du délicieux liquide, avant d’enchainer le début de sa phrase : « -ce sont des vêtements de sport pour femme. J’aime les coupes, et les textiles qu’ils utilisent. J’aime aussi le fait qu’ils ne se cantonnent pas aux tailles standards. » elle reprit une gorgée, et cette fois-ci, elle ne réfléchit pas à ce qu’il pouvait penser. « -le yoga c’est un sport qui peut être pratiquer par tout le monde. Peu importe la corpulence. L’idée s’est d’être bien dans son corps et dans sa tête. » peut-être qu’il était en train d’entendre blablbabla… Ou peut-être qu’il s’intéressait vraiment à elle. En terminant ce qui restait dans le verre, elle se plu à croire à la seconde option. Un hochement de tête : « -oui. Il gère le derrière. Les statistiques, les haineux. Je lui demande toujours son avis lorsque j’ai une demande de collab. Il en démarche aussi. C’est un peu mon homme à tout faire. » elle sourit. Il était l’homme le plus important de sa vie.
A force d’être assise ainsi, elle avait des fourmis dans les doigts de pieds, et décida de bouger légèrement pour permettre à son sang de circuler à nouveau, mais elle avait omis le fait que le canapé ne trônait pas contre un mur. Elle se rattrapa de justesse à Edward, par pur réflexe et finit par se retrouver sur ses les cuisses du politicien. Les yeux écarquillées sous l’effet de surprise, elle répondit un : « -oui… oui ça va. » elle ajouta en souriant, à la limite du rire : « -j’ai sauvé le verre. » comme si c’était le plus important. Elle se mit à rire avec lui, un peu plus clairement. Angy hocha la tête et se redressa, avant de lever la tête et de sourire à Edward. « -ça te fera du bien oui. » en espérant qu’il trouve le sommeil. Angy eut un léger sursaut ou mouvement de recule face au baiser qu’il posa sur sa joue. Elle était plus que surprise par ce geste. Vraiment cette soirée était plus qu’étrange. « -bonne nuit Edward. » souffla-t-elle alors qu’il reculait sans cesser de la regarder. Elle eut l’impression de respirer de nouveau lorsqu’il disparu de son champ de vision.
Angy eut bien du mal à trouver le sommeil. Cette soirée avait été étrange, déstabilisante au possible. Et en même temps, elle avait apprécier découvrir doucement le vrai Edward. Parce que derrière les regards sombres, c’était un homme en manque de douceur et de tendresse qui se cachait. Lorsqu’elle se leva, comme d’habitude, elle alluma une vidéo : « -coucou mes lapins. Réveille un peu compliqué ce matin… je crois que ça se voit. » elle eut léger rire en désignant son visage. « -je vais enfin pouvoir tester l’anticerne de … » elle cita la marque. « -soirée étrange je dirais hier soir… mais très plaisante. Je vous expliquerais tout. Bisous à tout à l’heure. » hop rendez vous pour le yoga et elle coupa en laissant glisser son téléphone sur l’ilot centrale de la cuisine. Comment tous les matins, Edward était déjà présent, avec son café. Pas de journal ce matin. En pyjama de satin et de dentelle noires, elle lança un avec un sourire amical un : « -bonjour… » il n’y avait plus la même douceur, la même tendresse dans ses yeux ni dans son sourire. Une nuit était passée.
Elle était de bonne humeur, comme chaque matin, seulement elle se redressa avec lenteur du frigo en entendant la phrase d’Edward, gardant cependant le visage dedans, pour le pas le regarder lui. Ça sonnait étrange comme compliment. Un peu comme si elle n’avait pas été sincère. C’était le genre de compliment qu’on devait faire à une actrice ou à une prostituée… aller savoir. Elle n’avait pas vraiment envie d’entendre la suite. Alors elle fit mine d’hésiter dans ce qu’elle prenait à manger. La suite lui fit mal. Très bien… il voulait la jouer comme ça. C’était maintenant qu’il allait pouvoir assisté à ses talents. « -merci, je me suis trouvée plutôt convainquant c’est vrai. » elle planta son regard en disant cela, le ton était presque acide. Mais elle ne pouvait pas jouer plus longtemps : « -je ne savais pas vraiment comment tu allais réagir ce matin. Tu veux la jouer comme ça… d’accord. Je sais pas ce qui te fais penser que je n’étais pas sincère. » un haussement d’épaules, et un regard qui voulait dire : si tu veux m’expliquer te gêne pas. « -c’est quoi le problème ? Tu as peur que je puisse parler de ton petit moment de faiblesse ? Du seul moment depuis sans doute des années où tu as été capable de montrer vraiment l’homme que tu es ? » elle posa sa cuillère sur l’ilot de la cuisine avec un tout petit peu trop de violence.
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J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Sans la demande d’Angelica, il aurait continué à omettre la présence du single malt enfermé entre ses doigts. Le politicien s’autorisé une simple lichée avant de lui tendre le verre pour qu’elle n’avale jusqu’à la dernière goutte du breuvage. Cela serait dommage d’abandonner un tel nectar, et puis la soirée n’était pas encore achevée. Edward ne voulait pas que ce moment de tendresse avec l’influenceuse ne cesse pour le moment. Il l’interrogea alors sur sa journée. Il s’intéressa à ce qu’elle entreprenait et ce qui faisait qu’elle affectionnait la marque avec laquelle elle venait de signer une collaboration. Angelica détenait toute son attention en cet instant. « Ils utilisent des tissus écologiques ? » l’interrogea-t-il, réellement concerné. L’influenceuse n’avait pas choisi ce métier pour l’argent facile. Elle se sentait réellement investie d’une mission de bien-être auprès de ses followers, en prônant des valeurs qui lui correspondaient et en n’hésitant pas à suer pour eux. Au sens propre. Tout du moins, c’était ainsi qu’il la percevait au fur et à mesure qu’il s’intéressait à son entreprise. « Pourquoi tu as choisi le yoga ? » tout absorbé par leur conversation. Ce fut ainsi qu’il en apprit davantage sur le rôle du meilleur ami d’Angelica. Il n’était pas seulement une personne importante à ses yeux, il était également un associé. « Ton univers » précisa-t-il plus pour lui-même que pour elle « Vous n’avez jamais envisagé d’être plus que des amis ? » tout en venant préciser « Tu n’es pas contrainte de répondre à ma question si tu considères qu’elle est déplacée ». Leur moment de douceur fut interrompu par une chute empêchée de peu. Dans son élan, le candidat la ramena à lui jusqu’à ce qu’elle prenne place sur ses cuisses. « Tu as sauvé le verre » l’imita-t-il tout en se saisissant du récipient qu’il déposa sur la table, et ils émirent un rire en chœur. Angelica avait évité de peu une chute mémorable. Ils finirent tous deux par se redresser sur leurs jambes. Il était l’heure de mettre un terme à cette soirée. Néanmoins, avant de s’éclipser, Edward s’inclina pour venir déposer un chaste baiser sur sa joue, en signe de remerciement pour cette soirée hors du temps qu’elle venait de lui offrir. « Bonne nuit Angelica » murmura-t-il tout en se reculant, pour finalement disparaître au détour du couloir.
La matinée aurait pu être aussi douce que du miel sur la langue si ces vautours de journalistes ne l’avait pas brutalement fait revenir à la réalité. Sa réalité. Il n’était pas un homme bien. Il n’était pas même agréable avec celle qui avait été pourtant un idéal de douceur la veille au soir. S’il poursuivait dans cette entreprise, Angelica recouvrirait tôt ou tard la vue et finirait par regretter chaque seconde qu’elle avait pu lui donner de son temps et de son énergie. Sa décision était prise. Il fut tout autant plus convaincu en entendant les mots prononcés à l’encontre de ses followers. La mâchoire de nouveau serrée, faisant danser ses muscles sous sa peau, il posait dorénavant sur elle un regard diamétralement opposé à celui qu’il avait pu lui adresser toute la soirée durant. Tout devait cesser maintenant, et il avait la solution pour cela. Pour autant, il eut la sensation d’un coup de poignard au moment où Angelica confirma. La surprise, tout autant que la déception, se lut dans les prunelles azurées d’Edward avant que ce dernière ne démente. Il venait de la blesser à prétendre qu’elle n’avait joué qu’un rôle avec lui. En entendant les mots d’Angelica, il prit alors conscience qu’elle le connaissait mieux qu’il ne pouvait se connaître lui-même. Elle avait anticipé la possibilité que son comportement change du tout au tout au petit matin. Ses doigts se resserrèrent davantage autour de la tasse fumante de café dont il s’était abstenu de boire la moindre gorgée depuis l’entrée de l’influenceuse dans la pièce. « Parce que tu es payée pour ne pas l’être » rétorqua-t-il avec froideur. Après tout, elle était tenue à un contrat. Le doute pouvait subsister. Le regard d’Edward se durcit davantage alors que la jeune femme énuméra ses probables craintes « C’est bien ce qui est prévu, n’est-ce pas ? » la coupa-t-il tout en désignant le portable d’un signe du menton. Sa voix devint plus dangereusement plus sombre « Ce. N’est. Pas. Moi ». Pourquoi s’obstinait-il à l’éloigner alors que ça lui était si désagréable ? Pour ne pas lire le regret dans son regard lorsqu’il l’aura déçut ou blessée une fois de plus ? Sûrement …
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Mer 22 Mai - 15:39
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -éco-responsable surtout. Je vais pas tout t’expliquer ce soir, mais cette entreprise à des valeurs que j’apprécie. Elle n’exploite pas ses employées… » oui, elle n’allait pas rentrer dans les détails ce soir. « -bonne question… je trouve que c’est sport complet, il aide dans sa relation avec son corps, et puis c’était assez sexy point de vu caméra » Elle lui sourit taquine. « -avec Flynn ? » elle rit de bon cœur. « -non, ne t’inquiète pas pour ça. Ce ne sont pas les femmes qui l’intéresse. » ça n’était pas écrit en énorme sur le front de son meilleur ami. En allant se coucher ce soir-là, Angie avait un peu la sensation d’être passé dans une autre dimension. Elle avait entre aperçu un homme tellement différent… ça lui avait plu. Oui, vraiment, elle avait apprécier cette conversation, ce moment un peu hors du temps. La douceur dans le regard d’Edward. Elle aurait sans doute dû la prendre en photo… parce que ce n’était pas ce qui l’attendait au petit matin.
La tête dans le frigo, elle eut droit à un compliment étrange. Comme si elle avait parfaitement rempli sa mission. Elle aurait aimé que les choses se passent autrement. Qu’il sourit, qu’il lui demande si elle avait bien dormi. Elle aurait osé lui demandé si son arcade allait mieux, s’il était parvenu à trouver un peu de repos. Mais Edward s’était déjà renfermé à double tour. Elle en fit l’amer constat. Elle n’apprécia pas du tout qu’il sous entende qu’elle avait jouer un rôle ou jouer avec lui parce qu’il s’était montré vulnérable. A ses yeux, il s’était simplement montré plus humain. « -je croyais qu’on s’était mit d’accord pour apprendre à se connaitre lorsque nous étiez hors de projecteur… Je ne me suis pas forcé à être gentille avec toi hier soir Edward. Je voulais simplement que tu te sentes un peu mieux. Rien de plus. » pourquoi ça lui faisait aussi mal. « -quoi ? » elle regarda son téléphone. Elle sourit. « -non. Ta vie privée reste privée. Je n’ai pas parlé de ta crise de nerf pour une chemise, je n’ai pas parlé de notre prise de tête et je ne vais certainement pas parlé de ce qui s’est déroulé ici hier soir, et qui n’aurait visiblement jamais dû avoir lieu ! » elle décida de se foutre de lui : « -ba c’était qui alors ? Ton double maléfique ? A non pardon c’est toi ça ! » elle était blessée et vexée qu’il prenne les choses sous cet angle.
Elle soupira : « -quoi que tu veuilles en faire, moi j’ai apprécié cette soirée. J’ai aimé te découvrir, même si c’était bref. J’ai aimé notre conversation, tout comme… » elle se pinça les lèvres. « -je parle pour rien. Tu as déjà remis ton armure de connard. C’est ton choix. Après tout, c’est toi le patron. » elle était tellement déçue… c’était un peu comme s’il lui jetait sa bienveillance au visage. « -j’ai compris le message. Exactement comme pour Yuma, ça n’arrivera plus. » très bien. Elle allait se plier à ses règles. Elle ressentait à nouveau de la colère et elle le détestait de lui faire ressentir ça.
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Mer 22 Mai - 16:29
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward prenait rarement la peine d’enclencher la moindre conversation avec quiconque, considérant la plupart des échanges comme insipide et fastidieux. Par ailleurs, il était particulièrement attaché à l’adage selon lequel il était considéré que la parole est d’argent, mais le silence est d’or. Mais ce soir, il se plaisait à converser avec Angelica sur sa journée, appréciant qu’elle lui confit des faits qui semblaient anodins, mais qui avait pour autant toute son attention. « La fois prochaine alors » répliqua-t-il, comme s’il nourrissait le doux espoirs de partager une soirée semblable à celle-ci dans l’avenir. « Sexy ? ». Edward était particulièrement sceptique à cette information, mais soit. Il ne parvenait pas à discerner ce qui pouvait être affriolant dans une séance de sport, mais il ignorait tout du yoga, à l’exception que c’était une activité devenue populaire chez les femmes. Et dans toutes ces activités, Angelica pouvait compter sur le soutien inconditionné de son meilleur ami. Le rire qu’elle laissa jaillir de sa gorgée comme une douce mélodie l’intrigua tout particulièrement. L’idée semblait si absurde que cela ?! Il comprit qu’en effet, ça l’était. Le meilleur ami n’était pas attiré par le sexe féminin. « Oooh ! » murmura-t-il « Meilleur ami, c’est tout aussi bien » conclut-il avec une esquisse de sourire. La soirée toucha à sa fin à l’issue de la chute approximative de l’influenceuse, et il aurait souhaité de tout son cœur que cela perdure…
Mais il n’en était rien. Les journalistes de cette ville avaient un talent particulier pour le ramener à la réalité et lui rappeler quel homme il était au quotidien. Ce n’était pas celui qu’il avait laissé entrevoir à Angelica la veille au soir, même s’il aurait sincèrement souhaité que ça soit le cas. Pas une fois, une femme avait eu la douceur de ses gestes, la tendresse de ses mots, à son égard. Mais il devait y mettre un terme avant qu’ils ne soient tous les deux embrigader dans une situation qu’aucun ne serait capable de contrôler et qui les mènerait probablement au regret et à la douleur. Même si pour ce dernier point, Edward avait la sensation de l’avoir déjà atteint. Parce que ça faisait mal de la tenir à distance ainsi, alors qu’il croyait fermement à chacune de ses paroles. Il avait conscience, plus que quiconque, que la soirée qu’ils avaient passé l’un avec l’autre n’était pas illusoire. Que c’était elle, dans son entièreté, qui avait prit soin de lui alors qu’il était au plus mal. Edward était incapable de soutenir son regard en cet instant et baissa les yeux sur le breuvage brun qui refroidissait dans le fond de sa tasse. Il ne pouvait pas faillir. Pas maintenant. Ses prunelles azurées de nouveau posées sur elle trahissait son tourment. Il était tiraillé par la colère et la culpabilité. Angelica ne méritait pas tout cela. Mais comme il l’avait prédit, elle finissait pas regretter ces moments passés en sa compagnie. Toutefois, elle lui assura que tout ce qui était lié à sa vie privée restait cloisonné entre ces murs. « Que t’apprêtes-tu à leur confier dans ce cas ? ». Ça l’intriguait, alors qu’Angelica ne s’était pas limité seulement à cela. Elle avait évoqué une soirée très plaisante, mais il était incapable de s’attarder sur ce qui était plus important, préférant s’emporter sur des détails sans considération.
Son regard se fit plus menaçant tandis que sa voix perdit dangereusement quelques octaves quand il tenta de lui faire assimiler que l’homme qu’elle avait vu hier, n’était pas lui. La jeune femme opta pour une dérision amer qui ne faisait que croître son tourment « Je ne suis pas cet homme au quotidien. Je ne suis pas celui qui a aimé tes caresses, qui s’est plu à discuter de ta journée, qui ne voulait pas que cette soirée cesse un seul instant… » et se tut un instant, puis reprit « Ce n’est pas moi. Moi, je suis celui que tout le monde dépeint comme un connard ». Il s’abstenait toujours de prononcer des insultes, mais il n’y avait pas d’autres termes pour le désigner, et plus particulièrement aujourd’hui. Edward savait qu’il lui faisait du mal et se détestait pour cela, parce qu’il affectionnait la femme qu’elle était, tout autant que sa compagnie chaque jour. Et l’entendre lui confier qu’elle avait aussi apprécié cette soirée. Ça lui étreignait le cœur, mais il se devait de le réprimer, lâchant un « Parfaitement » d’une rare froideur, talonné par un « Bien ! ». Il ne termina pas sa tasse de café, la déposant dans le fond de l’évier, récupéra la mallette qui trônait dans l’entrée et quitta l’appartement. La question d’Ava à son arrivée n’arrangea pas son humeur particulièrement exécrable, et avait marqué un arrêt en se rendant à son bureau « Quel message ? » « Après le procès, je me suis fait du souci pour toi. J’ai donc envoyé un message à Angie pour qu’elle essaie de te faire parler ». À la noirceur de ses yeux, l’assistante comprit aussitôt qu’elle venait de commettre un impair en divulguant une telle information « Qu’est-ce qui s’est passé entre vous hier soir Edward ? » demanda-t-elle tandis qu’ils reprenaient la marche d’un même pas jusqu’à son bureau. Il lui claqua la porte au nez sans mot dire. Un silence plus éloquent que tous les mots qu’il aurait pu prononcer. Elle envoya sans délai un message à l’influenceuse : Salut Angelica. Edward vient d’arriver et il est une d’humeur épouvantable, ce qui est particulièrement exceptionnel si j’ai besoin de le mentionner. Ça semble avoir un rapport avec vous deux. Dis-moi tout !
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Charly
Mer 22 Mai - 17:15
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Durant la soirée, il avait presque sourit en évoquant une prochaine fois… une prochaine conversation… une prochaine soirée… Elle avait aimé croire que c’était possible. Aimer croire qu’il appréciait aussi ce moment, même s’il était étrange. Et pourtant, alors qu’elle se levait à peine, voilà qu’il lui balançait qu’elle avait parfaitement jouer son rôle de petite amie. Angy avait envisagé cela, qu’en gros elle ait rêvé et qu’Edward se referme sur lui-même. Ce qu’elle n’avait pas envisagé par contre, c’était la douleur que cela lui causa. Elle se sentait repoussé et oui, c’était douloureux. Visiblement il n’y avait que son image extérieur qui comptait. « -je… je sais rien encore. J’ai dit ça pour mes cernes, pour placer un produit. » elle n’avait jamais eu l’intention de divulguer ce qui s’était déroulé dans ce salon. « -j’allais inventé un truc, un dilemme entre deux collaboration, les faire choisir pour moi. Mais je n’ai jamais envisagé une seule seconde de parler de nous, enfin ce notre soirée d’hier. » il la prenait vraiment pour une pauvre fille sans cervelle. C’était vexant à la longue.
Angy ouvrit la bouche mais elle ne parvint pas à trouver les mots tout de suite. Il venait d’avouer avoir aimer la soirée. « -tu ne l’es pas ou tu ne t’autorises pas à l’être ? Tu es chez toi ici ! C’est le seul endroit où tu peux laisser ton armure. » oui, elle décida d’éviter soigneusement de prendre en compte ce qu’il venait de dire au sujet de ses ressentis sur leur soirée. Pourquoi est-ce qu’il la repoussait ? « -et donc tu décides de coller aux personnages… » lâcha-t-elle avec déception. Elle conclue que de toute manière, elle était en train de parler pour rien. Il avait fait son choix. Très bien. « -bien ! » avait elle ajouté pour finir le conversation, laissant là son déjeuner pour rejoindre sa chambre, à nouveau en colère. Elle n’avala rien, et fit bonne figue pour le yoga, mais clairement, elle n’avait pas le cœur à sourire. La séance fut plus courte, elle évoqua sa nuit compliqué et s’excusa au prêt de ses petits lapins. Lorsqu’elle coupa la vidéo, elle constata un message de la part d’Ava. Elle pianota un réponse rapide et brève : je vois pas en quoi ça change de d’habitude. Merde, Ava appelait. « -Angy, réponds moi. » « -c’est ce que je suis en train de faire. » « -qu’est ce qui s’est passé ? » « -je sais pas de quoi tu parles. » soupira Angy. « -je ne te crois pas. » « -j’ai certainement fait quelque chose de travers, comme toujours avec lui. Tu n’as qu’à lui demander ! » et Angy raccrocha. Elle n’avait pas envie de penser à Edward toute la journée ! Et elle ne comptait pas faire un compte rendu détaillé à Ava à chaque fois qu’Edward jouait les connards de premières. Elle ignora les trois appels suivant d’Ava, et envoya un message à Flynn. Durant l’après-midi, elle s’envolait pour les Bahamas avec lui, histoire de changer d’air. Ainsi Edward retrouverait sa solitude. Sur l’ilot de la cuisine, elle avait laissé un mot sous le verre en cristal dans lequel elle s’était permit de boire, laissant une belle trace de rouge à lèvres dessus : je serais de retour dans une semaine. Profite de ta solitude mon amour.
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Mer 22 Mai - 18:01
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Les paroles prononcées par Angelica, tandis qu’elle s’avançait jusqu’à la cuisine, pouvait aisément porter à confusion. Après tout, combien de followers aurait apprécié d’entendre qu’elle avait été présente pour son mystérieux petit-ami déboussolé. En se confiant ainsi, il lui donnait également des informations qui pourraient se payer à prix d’or sur le marché des médias. C’était donc légitime qu’il se montre particulièrement soupçonneux envers quiconque détenait des informations privées sur sa personne. Seulement, il semblait omettre que c’était cette même femme qui avait pris place sur le rebord du canapé, qui avait glissé ses doigts dans ses cheveux et qui lui avait prêté une oreille attentive, en toute simplicité. Cette même femme qu’il repoussait sans justifier sincèrement son acte, se dissimulant derrière des allégations faussées, des soupçons infondés qu’elle désassemblait en quelques mots, et qui le laissait sans mot dire. Parce qu’Angelica n’avait jamais envisagé d’évoquer ce moment d’accalmie et de tendresse entre eux… « Pourquoi ? » osa-t-il demander. Pourquoi garder tout cela dans la sphère privée alors qu’elle pourrait alimenter leur prétendue relation sur les réseaux. Même s’il préférait qu’il n’en soit rien. Il aimait que ça reste leur moment à eux deux. Parce que, comme il osa enfin lui confier, il avait aimé chaque caresse, il avait savouré leur conversation, la première depuis leur rencontre, et il faisait tout voler en éclats parce qu’il ne s’autorisait pas à être cet homme-là. Angelica avait raison, une fois encore. Il était si simple pour lui d’être celui qui était décrit dans la presse. « Parce qu’il est plus facile pour moi d’accepter que tu puisses regretter ta colocation avec l’homme que je suis aux yeux du monde, que celui que je suis capable d’être ». Il trouvait une certaine légitimité à se faire détester pour l’homme arrogant et hautain qu’il était au quotidien, et qui était une partie intégrante de sa personnalité, à n’en déplaise à Angelica. Il était les deux faces d’une même pièce. Et il était plus aisé pour lui de correspondre en tout point à l’homme acariâtre dépeint par la presse. Cela le rendait moins inatteignable, lui et son entourage, mais surtout, il aurait moins mal de lire le regret dans le regard d’Angelica à l’issue de leur collaboration. « Oui » fut donc sa réponse, avant de quitter l’appartement.
En rentrant le soir venu, ce fut un appartement silencieux et vide de toute présence qui l’accueillit. Comme chaque soir depuis des années, il déposa la mallette dans un coin de l’entrée et s’avança au cœur de l’appartement. Il chercha du regard Angelica, mais il obtint rapidement la réponse à sa question silencieuse, en découvrant l’un de ses verres en cristal posé sur le comptoir en marbre de sa cuisine. Il se saisit du post-it entre son pouce et son index, et relit plusieurs fois les quelques mots. Avec toutes ses inepties, il l’avait poussé à s’éloigner … Il se laisser choir sur le tabouret à ses côtés et se saisit de son portable « Elle est partie ». Il n’eut d’autres choix que de reculer le petit appareil de son oreille en entendant un « Quoi ?! » qui résonna au-delà des frontières de l’État. « Je suis un imbécile… » et lui conta la soirée de la veille, ainsi que leur dispute de la matinée. Ce à quoi, Ava laissa un long silence les envelopper, de telle sorte qu’il bougea l’écran de son portable pour s’assurer que la communication n’avait pas été coupée, et reposa le petit appareil contre son oreille « Tu n’es pas un imbécile Edward… » souffla la voix de son assistante « Le constat est plus simple, tu es juste un con ». L’insulte lui fit lever les yeux au ciel « Elle est du patience hors norme à ton égard, elle est prévenante et il ne fait aucun doute que vous pourriez devenir des amis, mais tu ne peux pas t’empêcher de repousser tout le monde » « Je ne l’ai pas fait avec toi » « Tu me paies Edward ». Il posa son bras sur le comptoir et laissa reposer son front tout contre, les paupières closes, sans mettre fin à sa conversation avec Ava avec qui il échangea pendant plus d’une heure, pour en venir à la même conclusion. C’était un imbécile, et il allait épuisé le peu de patience restante chez Angelica, tant soit peu qu’elle revienne…
« Je passe » « Je relance de 200 » « 250 » « Je suis alors ». Les mots se succédèrent entrecoupés du bruit des jetons se heurtant au milieu de la table de poker. Son index tapota le rebord de l’une de ses cartes, il observa tour à tour Matthew, Francis et Edgar qui le jaugeait du même regard inquisiteur. Chacun tentait de maintenir un visage impassible, alors que la mise dépassait les 3 000 dollars au milieu de la table. Edward tendit le bras pour retourner la première carte, et un nouveau tour de table suivit. Concentré sur la partie, il n’entendit pas la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer, et encore moins les pas menant l’intrus jusqu’à eux.
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Mer 22 Mai - 20:03
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -tu ne sais accorder ta confiance à personne n’est ce pas ? » c’était ça le souci. Il avait peut qu’elle puisse lui faire du mal, parler de lui, le trahir. Oui, vraiment c’était blessant et vexant de réaliser qu’il avait cette opinion d’elle. Elle inspira et ajouta : « -et pour te répondre, parce que ça ne concerne personne d’autre que nous. Parce que tu étais mal. Parce que le sujet était sensible. Parce que j’ai du respect pour ta carrière et même si tu sembles penser le contraire, je ne te veux aucun mal Edward » maintenant il avait décidé pour eux. « -et il ne te vient pas à l’idée qu’une autre option soit envisageable ? » qu’elle n’ait pas de regret. Angy se braqua et clôtura la conversation. Elle allait faire ce qu’il demandait. Quoi de mieux qu’envoyer chier Ava pour sa curiosité ou son besoin surprotecteur. Edward n’avait plus deux ans ! Il pouvait faire la gueule tant qu’il voulait, ce n’était pas à Angy d’expliquer le pourquoi du comment. Elle le lui avait dit, cette soirée était juste à eux. Sur un coup de tête, elle décida de prendre de la distance avec tout ça. Flynn arrangea le voyage, tout frais payer par un hôtel qui les avait démarché quelques temps plus tôt.
Durant une semaine, ça n’avait été que piscine soleil et cocktail. Elle avait tenté de nouvelles expérience. Cours de surf avec un pro plus que beau gosse mais qui s’intéressait bien plus à Flynn qu’à elle. Ils avaient fait de la randonnée où Flynn l’avait maudite. Quelques soirées sur la plage. Elle avait même nagé avec des tortues ! Juste magique. Elle avait totalement déconnecté. En apparence tout du moins… en arrière-plan de ses pensées, il y avait toujours le grand brun ténébreux. Elle en avait forcement parlé à Flynn. Elle n’avait aucun secret pour lui. Pas de la soirée, mais de sa façon de lui parler, de la repousser. Son conseil : rester elle-même, ne pas se prendre la tête pour lui. De base elle savait que c’était un con. Ça lui avait permis de mieux profiter du séjour. Ça avait été la fête sur ses réseaux.
C’était plus sereine qu’Angy rentrait. Cependant, ce n’était pas chez elle que l’influenceuse devait déposer ses valises… Elle avait eut des tonnes de messages pour savoir si il ne lui manquait pas trop, si elle avait hâte de revoir, pourquoi est ce qu’il n’était pas avec elle… la mission était donc de parvenir à faire une photo ce soir, en mode retrouvaille amoureuse. Elle avait presque déjà envie de se pendre. Une grande inspiration et elle passa la porte de l’appartement, laissant la valise dans l’entrer. Elle entendait des voix masculines à mesure qu’elle avançait, ses talons résonnant sur le parquet. Dans le grand salon, ils étaient quatre, cartes en mains, l’air extrêmement concentré. Elle colla son épaule contre l’embrassure de la porte et observa la scène quelques instants. Puis elle se décida à entrer en scène également, se glissant dans la peau de la parfaite petite amie. « -bonsoir… » finit elle par dire d’une voix posée et un brun sensuelle. Elle sourit à Edward. Il semblait aller bien. « -messieurs… je vous embête pas longtemps c’est promis. Juste quelques minutes pour lui dire bonsoir… » sur ses mots, elle s’avança jusqu’à Edward, glissa ses deux mains autour de son cou, les laissant descendre sur sa chemise. Elle déposa ses lèvres dans son cou et souffla un : « -tu m’as manqué… » au creux de l’oreille.
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