"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Mer 22 Mai - 21:04
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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« La confiance est un luxe dont je ne peux me permettre » et c’était ce qui rendait ses relations encore plus alambiquées que ce qu’elles n’étaient par nature. Cependant, Edward avait envie de croire en la sincérité de la femme devant lui qui lui laissait à penser qu’elle n’utiliserait pas les détails volontairement occultés de sa vie privée pour croître son image publique. Mais ce matin, alors que le soleil se dressait tout juste dans le haut du ciel, il avait d’autres ambitions. De la maintenir à distance. « Tu ne peux pas me demander de changer en un claquement de doigts. J’ai passé des décennies seuls, évoluant dans un monde où la moindre faille, est un moyen pour m’anéantir ». Et même si en son for intérieur, le politicien avait conscience qu’elle n’appartenait pas à cette catégorie d’individus, et qu’elle n’avait eu de cesse que de le lui prouver au cours de ces derniers jours, il n’en restait pas moins qu’il devait la maintenir loin de lui. Ainsi, lorsque le jour viendrait d’éprouver des regrets pour avoir apposé sa signature sur ce contrat qui le liait à lui, un certain mercredi soir, sur le rebord d’un bureau, à ce moment-ci, ils ne seront pas destinés à cet homme qui l’avait observé avec toute la douceur qu’elle méritait. « Non » répondit-il avec conviction. Parce que c’était inéluctable. Un jour ou l’autre, elle regretterait d’avoir répondu à l’invitation de son assistante, d’avoir gravit ses marches jusqu’au toit du Lounge où elle avait sa connaissance pour la première fois… Et Angelica sembla le comprendre, car elle prit la décision de disparaître les prochains jours, sans plus amples informations.
En l’absence des réseaux sociaux, Edward n’aurait jamais su où la jeune femme s’était rendu pour les prochains jours. Et alors que l’appartement lui semblait désagréablement bien silencieux en son absence, il put admirer le teint éclatant de l’influenceuse au travers de son écran. Elle semblait plus heureuse et épanouie lorsqu’elle se tenait loin lui, ce qui le conforta, à contrecœur, dans cette décision qui l’avait contrainte à quitter le penthouse dans la journée qui avait suivit leur dispute. Et pourtant, son absence était pesante un peu plus chaque jour. Parfois, il se surprenait à levé la tête en direction du couloir, avec cette impression faussée d’avoir entendu ses pieds-nus fouler le parquet. Il n’en était rien. Il reprenait alors la lecture du New York Times jusqu’à ce qu’il soit l’heure de partir.
Edward ignorait tout du retour de la jeune femme, ou si encore, elle prendrait la décision de poursuivre le contrat qui les liait encore à ce jour. Il avait donc organisé la rencontre mensuelle avec trois de ses amis, qui s’apparentaient toutefois plus à des relations d’affaires, qu’à une réelle amitié. Matthew était l’actuel Procureur de New York, et ils avaient fait connaissance au cours de leurs études supérieures à Columbia. Francis, quant à lui, le benjamin du quatuor installé autour de cette table, était spécialisé dans la sécurité privée après quelques années de service rendus au nom des États-Unis. Et pour ce qui était d’Edgar, il était un célèbre critique culinaire dont l’avis tranchant faisait tremblés bien nombres de chefs étoilés dans cette ville. C’étaient également d’excellents joueurs de poker. Focalisé sur sa partie en cours, Edward ne prêta par conséquent aucune attention aux talons aiguilles qui martelaient le sol jusqu’au second salon. Sa voix … Instantanément, il avait senti son cœur s’abstenir d’un battement, et leva ses prunelles azurées en sa direction tout en prenant soin d’abaisser son jeu, à l’abri des yeux indiscrets. Même si dans cette pièce plongée dans une presque obscurité, tous les hommes présents n’avaient d’yeux que pour cette femme qui venait de pénétrer dans la pièce.
En cet instant, il ignorait les regards envieux de ses amis autour de la table. Comme envoûté par sa présence, qui lui semblait presque irréelle après ces derniers jours d’absence et leur dispute houleuse, Edward ne la quittait plus du regard jusqu’à ce qu’elle vienne à lui, se postant dans son dos. Un « Allez-y » bafouillé par Edgar résonner dans la pièce sans que le politicien n’y prête attention outre-mesure. Il tentait de contrôler vainement les battements insensés de son cœur quand Angelica glissa ses doigts dans sa nuque, jusqu’à s’aventurer jusqu’à sa chemise. D’un geste délicat, le politicien découvrit les mains de sa petite-amie par la sienne, et réprima un frisson en sentant ses lèvres se poser sur son cou. Le premier. Il tourna légèrement la tête en sa direction en entendant ces quelques mots, et murmura « Toi aussi, tu m’as manqué… » et si probablement ceux d’Angelica servaient à édulcorer leur relation fictive, les siens étaient sincères. « Tu es sûr de vouloir poursuivre la partie Edward ? ». Ses doigts effleuraient le dos de ses mains et interrogea silencieusement du regard sa prétendue petite-amie « Je peux les congédier si tu le désires » lui proposa le politicien comme s’ils n’étaient plus que tous les deux dans la pièce.
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Mer 22 Mai - 21:33
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -si tu ne peux pas me faire confiance comme ça, volontairement, rappelles toi que tu m’as fait signé un contrat, rédigé de façon officiel par tes avocats. » grosso modo, même si elle le voulait, ce qui n’était pas le cas, elle ne pourrait pas mettre en action ce qu’il était en train d’imaginer. Non, elle n’avait pas prévu de révéler la vie privée du politicien, ni aujourd’hui, ni un autre jour. Encore moins cette soirée si particulière qu’ils avaient passé ensemble. Elle l’avait vu dans un moment de faiblesse, elle lui avait seulement apporter un peu de douceur. Rien de plus. Mais il n’y voyait que manipulation et mensonge. « -comme tu voudras. » si c’était haut dessus des ses forces, que dire de plus ?! Angy était ressortie de cette conversation avec des sentiments qu’elle n'aimaient pas. Et c’était sur un coup de tête, après l’insistance d’Ava, qu’elle avait décidé de mettre les voiles pour une semaine. Sur ses réseaux, comme souvent, elle donnait la change. Vacances parfaites, cadres parfaits, sourires parfaits. Et pourtant, elle ne parvenait pas à mettre totalement de côté ce qu’Edward lui avait dit.
Elle n’avait pas donné de date de retour. Encore moins un horaire ou un vol. Même si Ava l’avait littéralement harcelée de message. Angy avait été à deux doigts de bloquer son numéro. Elle n’avait donné aucun renseignement, se laissant le choix que de rentrer chez elle, ou bien chez Edward. Elle avait fait le second choix, poussez par ses followers qui voulait savoir… elle se demandant encore comment elle allait soutirer une photo de retrouvailles heureuses à Edward, en passant la porte. Elle fut quelque peu surprise d’entendre des voix. En avançant dans le couloir, dans son pantalon à pince noir qui mettait en valeur ses jambes et ses fesses, juchée sur ses talons hauts, elle avait rejoint la porte du grand salon, sans chercher à être discrète. Elle le trouva là, avec trois autres hommes. Soirée poker… il lui en avait parlé. Elle n’était pas censée être présence… Qu’importe, il ne lui avait pas communiqué de date. Elle décida de faire seulement une petite apparition, juste pour lui signifier qu’elle était rentrée.
Quelques mots d’excuses pour sa présence, et elle s’approcha d’Edward. Elle jouait un rôle, mais intérieurement, elle réalisa qu’elle était heureuse de le revoir. Il semblait passer une belle soirée entre amis. Elle n’allait pas gêné plus longtemps. La belle rousse sourit avec tendresse à celui qui jouait visiblement bien mieux le rôle de l’amoureux transit. Sa mains sur la sienne, ses quelques mots qui intérieurement résonnèrent étrangement. Est-ce qu’il se posait la même question quelle ? Au sujet de la sincérité de ces paroles… « -oh non surtout pas, je voulais seulement te dire que j’étais rentrée. Le voyage m’a fatigué, je vais aller me coucher. » L’un des hommes se racla la gorge et demanda : « -tu comptes nous la présenter ou cette femme reste un mystère également pour nous ? » Angelica sourit, posa sa main libre sur celle d’Edward et souleva légèrement les cartes pour regarder sa main. Elle ne laissa rien paraitre, et décida de se relever, délaissant ainsi les mains du politicien. « -vous buvez au moins quelque chose en notre compagnie ? » demanda l’un d’eux. C’était plus tentant…
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Mer 22 Mai - 22:17
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Si Edward était resté silencieux face au rappel de la jeune femme, c’était tout simplement parce que persistait certains jours où il oubliait qu’elle était à ses côtés en raison d’un contrat. Un morceau de papier promptement et rigoureusement rédigé par une armée d’avocats qu’il payait gracieusement pour cela, et qui les protégeait de toute révélations liées à leurs vies privées sans consentement préalable. C’était également un accord que l’un ou l’autre partie était libre de rompre à tout moment, sans contrepartie pécuniaire. Ce qui avait nourrit les craintes du politicien toute la semaine durant. Rien ne lui assurait qu’Angelica choisisse de revenir à lui à l’issue de son excursion. Lassé de subir les affronts du politicien, probablement qu’elle choisirait de sonner le glas de leur collaboration et de tourner la page de leur brève et prétendue relation. C’était sa crainte la plus profonde au cours de ces derniers jours, et qu’il tentait tant bien que mal de refouler autour de la table de poker, en présence de trois de ses amis. Jusqu’à ce que la voix d’Angelica ne lui parvienne, plus séduisante que jamais dans une tenue qui mettait en valeur chacune de ses formes. Il n’avait aucunement besoin d’observer ses congénères pour constater qu’ils l’enviaient en cet instant précis, et plus encore au moment où ses doigts caressèrent sa peau tandis que ses levèrent se déposèrent dans son cou avec soin. Il ne put que réprimer un frisson à cette proximité soudaine. Peu importe qu’elle soit imprégnée de son rôle de la partenaire de vie idéale, il n’en restait pas moins troublé par sa manière bien à elle de le saluer de son retour de vacances en solitaire. Edward posa instinctivement sa main sur la sienne, la caressant furtivement, alors qu’il n’avait d’yeux que pour elle en cet instant. Les mots qu’elle susurra à son oreille le contraint à s’interroger sur sa sincérité, parce qu’au fond de lui, le politicien avait envie de croire qu’au cours de ces derniers jours, sa présence à ses côtés le lui avait manqué.
Pour la jeune femme, Edward était prêt à prendre congés de chacun des hommes ci-présent, mais Angelica déclina sa proposition.. Elle était exténuée par son voyage et souhaitait rejoindre les bras de Morphée. « Je te rejoins dans une heure tout au plus » murmura-t-il suffisamment fort pour que son auditoire entende, parce que l’un et l’autre savait qu’ils ne partageaient rien de plus que les murs du penthouse. La voix de Matthew l’interpella et eut raison de son attention « Je vous présente Angelica. Mio amore, je te présente Francis, Matthew et Edgar » tout en les présentant tour à tour alors que ces derniers la saluer d’un signe de main en entendant leur nom résonner dans la pièce. Le politicien reposa son regard sur la jeune femme toujours penchée à ses côtés, et sourit en l’observant jeter un coup d’œil à ses cartes sans ne rien laisser transparaître de son jeu. Un courant d’air frais s’insinua dans son dos au moment où la jeune femme prit la décision de s’éloigner. Cette dernière n’eut le temps d’atteindre la porte avant d’être retenue par les différents hommes de la table. Sans mot dire, Edward se leva de sa chaise pour se rapprocher d’Angelica, sa main se faufilant dans son dos au cours d’une caresse « Installe-toi à ma place, je reviens ». Sur ces mots, il s’éclipsa jusque dans la pièce centrale du penthouse afin de servir un fond du liquide ambré qu’affectionnait tant l’influenceuse. Le verre en cristal serré entre ses doigts, il retourna dans le salon des invités où se déroulaient ses parties de poker mensuelles. Il déposa le récipient sur la table, aux côtés du sien, et convia Angelica à se lever afin de reprendre sa place autour de la table. Pour autant, il ne laissa pas la jeune femme s’éclipser, et posa ses doigts sur sa hanche, l’attirant sur ses genoux, et entourant sa taille de son bras avec un naturel presque déconcertant, y compris pour lui-même. « Je te laisse miser » souffla-t-il tout en portant son propre de verre de sa main libre, tandis qu'Edgar se montra plus curieux à l'encontre de la jeune femme que de la partie de poker qui se déroulait devant ses yeux « Vous faites quoi dans la vie Angelica ? »
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Mer 22 Mai - 22:48
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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A la base, elle s’était laissée tenter par l’idée de lui faire vivre l’enfer… D’ailleurs, en avançant dans le couloir, elle était toujours fixé sur cette idée. Mais lorsqu’elle le vis, assis avec ces trois hommes qui étaient sans doute des amis, elle n’eut pas le cœur à le faire souffrir. Elle décida de jouer son rôle à la perfection, tout comme le soir du gala. Sa voix, sa démarche, tout était calculé mise à par les battements de son cœur qui avaient décidé de faire n’importe quoi lorsqu’Edward lui confia qu’elle lui avait manqué. Intérieurement, elle n’eut d’autre choix que de se demander s’il disait vrai. Elle l’espéra… Cela voulait dire qu’elle avait eut un petit impact sur lui. C’était comme une petite victoire. Elle déclina son offre, prétextant de la fatigue afin de rejoindre sa chambre et son lit, les laissant ainsi jouer cette partie de poker, à laquelle de base, elle n’était pas conviée. « -d’accord… » avait elle soufflé en retour. Est-ce que c’était une sorte de rendez-vous mystère parce qu’il voulait lui parler ? Elle l’ignorait. Mais elle remis à plus tard son départ de la pièce, alors que les invités s’intéressait à elle.
Elle hocha la tête à chacun des prénoms et ajouta : « -je suis ravis de vous rencontrer. » elle s’en foutait en vérité, mais elle appréciait le petit effet qu’elle avait produit. Tout comme elle adora le petit surnom qu’Edward décida de lui donner. Il se prenait au jeu… Après un coup d’œil discret pour les cartes d’Edward, elle décida de prendre congé, se détachant de lui avec lenteur. Mais on l’invita à boire un verre, délaissant quelques instants les cartes pour se concentrer sur sa personne. Angy allait décliner également, mais elle vit Edward se lever. Si son corps avait décidé de se couvrir d’un long frisson à chaque fois qu’il l’effleurait, les choses allaient devenir compliqué. « -merci… » souffla la jeune femme en lui adressant ce sourire amoureux dont elle l’avait déjà gratifié au gala. Ils allaient finir par avoir un oscar ! Elle suivit ses instructions et s’installa avec élégance en attendant qu’il revienne. « -alors comme ça, vous revenez de voyage ? » Elle sourit : « -oui, je me suis autorisée une petite semaine de vacances. »« -où ça ? »« -les Bahamas. » « -très bon choix. Edward ne pouvait pas vous accompagner ? »« -oh vous savez parfaitement qu’il a un emploi du temps qui ne se prête pas vraiment aux idées folles de dernières minutes. » Elle parvint à les faire rire, et sourit au grand brun qui venait de faire son retour dans la pièce.
Angy se leva, mais elle n’eut le temps de faire un pas qu’Edward enroulait un bras autour de ses hanches et l’invitait silencieusement par ce geste à prendre place sur ses genoux. « -tu me fais confiance ?» demanda la jeune femme avec un regard amusé pour l’homme qui venait de prendre une gorgée de son verre, ces quelques mots en écho à leur dernière conversation. Elle savait parfaitement jouer. Elle étudia quelques secondes les cartes, les mises, puis elle annonça : « -300. » avant de prendre son verre et de le porter à ses lèvres toujours avec la même élégance. Elle leva les yeux sur celui qui venait de poser la question. Elle sourit et répondit : « -je suis community manager pour une entreprise en plein développement. » elle n’allait certainement pas dire ce qu’elle faisait réellement. Elle détourna habillement la suite de la conversation sur les métiers de ces messieurs, et en quelques minutes, elle ramassait la mise. Elle termina son verre, contente d’elle, puis elle tourna la tête pour regarder Edward. « -cette fois, je vous laisse. A tout à l’heure… » elle caressa sa joue et se leva avant de souhaiter une belle soirée à tout le monde. En quittant la pièce, elle lança un dernier regard au politicien, esquissant un léger sourire. Du couloir, elle entendit : « -hé bien mon vieux, on dirait que tu as trouvé la perle rare ! »
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Mer 22 Mai - 23:13
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Angelica l’ignorait probablement, mais en entendant sa voix résonner dans la petite pièce où ils se trouvaient, ses amis et lui, il avait été accablé d’un profond soulagement en constatant qu’elle ne l’avait pas fuit indéfiniment. Parce que oui, elle lui avait manqué et il avait secrètement espéré qu’elle revienne à lui à l’issue de son escapade en solitaire. Pour autant, la conversation qui les attendait inéluctablement devrait attendre encore. Angelica était exténuée et ses convives ne souhaitaient pas enclin à quitter la table avant l’issue de la partie de poker. En fait, ses amis n’étaient pas non plus décidés à laisser la jeune femme rejoindre les bras de Morphée. Cette mystérieuse petite-amie attisée la curiosité de ses proches. Edward fit donc le choix de répondre à leur première interrogation en dévoilant uniquement le prénom de la jeune femme, qu’il surnomma ensuite avec plus d’intimité. Les présentations faites, ils la convièrent presque en chœur à s’autoriser un verre en leur compagnie. Le politicien se leva de sa chaise, effleura son dos d’une caresse et s’éclipsa un instant pour lui ramender le doux nectar japonais qu’elle affectionnait tant. Il reprit alors sa main autour de la table, sans pour autant laisser Angelica s’éloigner de lui, et l’invita à prendre place sur ses genoux, son bras autour de sa taille. Lui aussi souhaitait qu’elle reste encore un instant en leur présence. C’était la première fois qu’une tierce personne était acceptée autour de cette table et fut satisfait de l’opinion favorable dont elle disposait auprès de ses amis. Elle semblait faire l’unanimité. Quant à la partie de poker qui se déroulait en parallèle, Edward laissa l’influenceuse miser la somme qu’elle désirait.
La question que cette dernière lui posa le laissa silencieux un bref instant, alors qu’il ancrait son regard au sien, et répondit un « Oui. Aveuglément » avec une conviction qui ne laissait planer aucun doute sur la sincérité de ses mots. Il avait commis l’impair de penser qu’elle n’était pas digne de confiance, à l’instar de la plupart des personnes qui gravitaient autour de lui au quotidien. Il n’était pas prêt de commettre deux fois la même erreur à son encontre. Elle avait su lui prouver qu’elle était digne de cette confiance qu’il ne confiait qu’à peu de personnes dans ce bas monde qu’était le leur. La preuve en était, le politicien se délecta de sa gorgée de whiskey sans se soucier une seconde de la mise qu’elle déposait sur la table. 300 dollars. Il approcha ses lèvres de son oreille et lui murmura un « Parfait ». Son regard dévia sur Edgar qui avait fait le choix de se préoccuper davantage de sa prétendue petite-amie que de sa main. « Comment vous vous êtes rencontrés ? » s’étonna aussitôt le critique culinaire « En Italie, dans un hôtel » précisa Edward, tout en poursuivant la partie. Il laissa l’influenceuse récupérait leurs gains sous son œil satisfait, et retira lentement son bras de sa taille « Je fais vite » rétorqua-t-il à son unique attention, l’observant partir, et lui adressa un clin d’œil quand elle se retourna en sa direction avant de quitter la pièce. « Je sais » avait-il simplement répondu tout en redistribuant les cartes. Une heure plus tard, Edward verrouilla la porte d’entrée avec la clef magnétique, et d’un pas trainant, les mains dans les poches de son pantalon de costume, il s’approcha de la chambre d’Angelica. Il frappa une fois et appuya sur la poignée, entrouvrant la porte que suffisamment pour laissait apparaître son visage « Juste pour te dire que je suis content que tu sois rentré à la maison, et te souhaiter une bonne nuit ».
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Jeu 23 Mai - 9:20
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angy ne pensait faire qu’une brève apparition. Elle voulait seulement faire savoir à Edward qu’elle était rentrée. Elle avait voulu également évalué s’il était toujours en colère contre elle. Même s’ils interprétaient leurs rôles, elle se plu à croire qu’il y avait un peu de vrai au milieu de tout ça. Dans ses regards plus doux et dans ses mots. Elle n’était pas naïve au point de croire qu’elle lui avait manqué durant cette semaine. Elle apprécia qu’il ne la pousse pas vers la porte alors que les autres joueurs souhaitaient la voir rester quelques minutes de plus. Jamais elle n’aurait imaginé qu’elle prendrait place sur les genoux d’Edward. Surtout de cette manière, entre l’invitation et l’obligation. Il ne lui avait pas vraiment laisser les choix, enroulant son bras autour de sa hanche… Mais elle n’avait pas résisté, et avait poursuivit son jeu de petite amie. Lorsqu’il lui confia sa main, elle parla de confiance. Son regard sondant le sien quelques instants, un sourire étira le coin de ses lèvres en entendant la réponse. Elle n’en demandait pas tant, et ne parlait pas le moins du monde du poker. Encore une fois, elle voulu croire qu’il était sincère. Parce qu’elle avait le sensation de le lire dans ses yeux. Alors elle joua, misa et frissonna de nouveau lorsqu’il murmura à son oreille.
Lorsqu’elle eut remporté les gains, elle décida de les laisser entre hommes. Elle espérait qu’Edward viendrait frapper à la porte de sa chambre. Ils avaient besoin de parler. Ils ne pouvaient se réconcilier de cette manière, en public, en jouant des rôles. Elle voulait savoir si elle aurait de nouveau droit aux regards sombres et froids, ou bien à ces quelques sourires ou à ce clin d’œil qui l’avait agréablement surprise. Angy se délassa sous une douche chaude, prit le temps de faire une petite vidéo retour de voyage, soin de la peau après le soleil, et lorsqu’elle entendit frapper à la porte de sa chambre, elle portait seulement un gros peignoir épais et d’une douceur folle ceinturé à la taille, par-dessus ses sous-vêtements. Elle entendit la porte s’ouvrir et elle approcha de quelques pas, quittant la salle de bain pour sourire à Edward. « -tu as gagné ? » demanda-t-elle comme pour le retenir. Elles étaient belle les résolutions de lui faire vivre un enfer ! « -tu… tu veux bien nous servir un dernier verre. » demain c’était mardi, il était à la maison comme il venait de l’appeler. « -je crois qu’on a besoin de parler. » elle esquissa un sourire : « -enfin non, je crois pas, je suis sûr. » ils devaient parler. Pour repartir sur des bases un peu plus saines. « -j’arrive. » elle n’allait pas sortir ainsi. Alors elle passa dans le dressing et enfila un short et un pull trop grand pour elle, noua ses cheveux à la va vite, et finit par rejoindre Edward dans le salon. « -si j’avais su que c’était ta soirée poker, je serais allée chez moi. J’espère ne pas avoir dérangé. » elle le remercia pour le verre, qu’elle nicha entre ses deux mains, avant de prendre place sur le canapé, remontant ses jambes sous ses fesses, tourner sur le côté pour faire face à Edward. « -ça va toi ? » oui, elle allait commencer la conversation ainsi.
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Jeu 23 Mai - 12:13
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Les parties de poker étaient devenues une réunion bimensuelle entre ces quatre hommes dont leur entente s’apparentait davantage à la relation d’affaires qu’à la véritable amitié. Un rituel sacré auquel aucun tiers n’avait été convié jusqu’alors. Mais l’arrivée soudaine d’Angelica à l’embrasure de la porte était devenu inespérée pour le politicien qui n’envisageait pas de la laisser repartir ainsi. Ils s’immergèrent parfaitement dans le rôle du couple uni qu’ils souhaitaient laisser transparaître, mais l’ensemble de leur échange n’était pas un jeu pour Edward. Elle devait en être informée. Donc lorsque la partie toucha à son terme et que ses invités prirent congés, le candidat au Sénat arpenta le couloir d’un pas trainant, appréhendant soudainement la suite de la soirée en compagnie d’Angelica. Son poing s’abattit dans un coup sur la porte et s’autorisa à presser la poignée pour l’entrouvrir que légèrement. Suffisamment pour qu’elle entrevoit son visage au moment de lui souhaiter une bonne nuit. À la question de l’influenceuse, il s’autorisa à ouvrir la porte davantage, s’appuyant contre l’encadrement de la porte, tandis qu’il glissait ses mains dans son pantalon de costume, dans une posture décontractée et nonchalante « Oui. 4000$ qui seront destinés à une fondation ». Il n’avait que faire de cet argent. Edward était suffisamment riche pour ne pas le contraindre à travailler sur plus d’une vie sur Terre. La surprise éclaira brusquement son regard en entendant l’invitation de la jeune femme. Elle souhaitait prendre un dernier verre en sa compagnie. « Je sais » murmura-t-il tout en se détachant de la porte pour s’avancer jusqu’au salon. Il sortit deux verres en cristal de l’étagère et y versa le délicat liquide ambré, qu’il tendit à la jeune femme quand elle fit son apparition derrière lui « Tu as pris la bonne décision. Ça m’a fait plaisir que tu restes un moment avec nous » avoua-t-il.
Edward l’observa passer devant lui dans une tenue qui contrastait avec celles qu’elle revêtait au quotidien. Cela lui donnait l’impression qu’ils allaient se prélasser dans le canapé devant un film. C’était agréable. Mais il mit un terme à ses pensées pour la rejoindre, prenant place à ses côtés. Il tourna la tête en sa direction « Tu me demandes si je vais bien ou si j’ai réfléchi à mon lamentable comportement à ton égard durant ces derniers jours ? » et sans la quitter des yeux, reprit « Les deux. Et toi ? Comment se sont passées tes vacances … avec le moniteur de surf ? ». Ce dernier était objectivement joli garçon et il ne faisait aucun doute qu’après la dispute qu’ils avaient eu, il aurait été légitime que sa prétendue petite-amie s’aventure dans les bras d’un autre homme pour être enfin appréciée à sa juste valeur. Même si cette pensée lui était désagréable. Edward se redressa sur le rebord du canapé, s’autorisant une gorgée du single malt, et tourna de nouveau la tête en sa direction « Tu m’en veux d’avoir tout gâché, n’est-ce pas ? ». Elle aurait toutes les raisons du monde à vouloir le blesser en retour. Le politicien s’était laissé menée par le bout du nez par ses propres appréhensions, et jugement de valeurs, sans s’autoriser un instant à accepter qu’Angelica était peut-être différente du monde dans lequel il évoluait au quotidien. Après tout, cette dernière n’avait rien dévoilé des raisons qui l’avait poussé à partir sur une ile paradisiaque sans lui à ses côtés. Elle avait tenu parole.
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Charly
Jeu 23 Mai - 13:51
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angy avait menti au sujet de sa fatigue. Elle avait dit cela parce qu’elle ne voulait pas s’imposer trop longtemps durant la partie de poker. Edward lui avait clairement dit que c’était un moment entre homme, et qu’elle ne serait pas admise dans ce cercle. Elle n’était pas dans son lit lorsqu’Edward frappa à la porte. Elle était heureuse qu’il l’ai fait. Ça lui prouvait qu’il y avait de la sincérité dans ce qui s’était déroulé ce soir. Lorsqu’il colla son épaule au montant de la porte, à nouveau elle lui trouva ce charisme fou… ça lui allait bien le relâchement. « -wahou… bravo. » répondit Andy assez impressionnée des sommes qui avaient été mise en jeu entre les quatre amis. Elle proposa de prolonger la soirée autour d’un verre et de se donner l’occasion de parler. Il ne refusa pas. Elle se sentit soulagée. Rapidement elle enfila un pull trop large et un short, tenue décontractée qui changeait clairement de ce qu’elle portait une heure plus tôt. L’épaule dénudé laissant apercevoir la bretelle d’un soutien-gorge de dentelle noir n’en était pas moins sexy. En arrivant dans le salon, elle formula une sorte d’excuse, pour lui faire comprendre qu’elle n’avait pas calculer son intervention de ce soir. Elle aurai pu lui dire qu’il avait été parfait dans son personnage, mais elle n’en avait pas envie.
Elle se contenta de le remercier pour le verre, et de prendre place sur le canapé. « -je te demande comment tu vas… » précisa Angy avec douceur. Ils s’étaient mal quitté, à un moment complique pour lui avec le procès. Alors, oui elle voulait savoir comme il allait. Un léger sourire, avant de regarder son verre. Elle releva seulement le regard et non visage. Un sourire étira ses lèvres : « -t’as regardé mes réseaux… » elle se mordit la lèvre inférieure. « -pour ce qui est du moniteur de surf, je demanderais à Flynn de détail de son anatomie si ça t’intéresse tant que ça. » elle avala enfin une gorgée. « -je te l’ai dit, je suis fidèle. » tout en reposant son verre sur sa cuisse. Elle soupira en baissant les yeux lorsqu’il formula une hypothèse. « -non. » aller c’était son tour de faire mini phrase. Juste pour lui montrer comme c’était pénible. « -j’avais besoin de m’éloigner. Limite plus de Ava que de toi. Je l’adore mais elle est trop… intrusive. » elle regarda Edward, et ajouta : « -je sais que vous prenez soin l’un de l’autre, mais… j’estime qu’elle n’avait pas le droit de savoir. En tout cas, ce n’était pas à moi de lui dire quoi que se soit. Même si je comprends qu’elle se faisait du souci pour toi. » elle fit tourner le liquide dans son verre, puis ajouta : « -pour ce qui est de notre dispute… j’y ai beaucoup réfléchit. » un peu trop peut-être… « -je me suis sentie repoussée et ça m’a blessé. » il y avait également cette histoire de confiance… mais elle y viendrait plus tard. Chaque chose en son temps : « -je ne suis pas ici parce que je te veux du mal. Je n’ai pas signé ce contrat dans le but de te détruire ou je ne sais quoi d’autre. » elle aimait de moins en moins parler de ce contrat. « -et je ne suis pas revenue à cause du contrat. Je voudrais qu’on essai à nouveau de trouver une sorte d’équilibre. » c’était à lui de voir s’il était prêt à ça.
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Jeu 23 Mai - 14:36
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Les manches de sa chemise retroussée jusqu’au milieu de ses avant-bras, les mains glissées dans les poches de son pantalon de costume, il était nonchalamment appuyé contre la chambranle de la porte, à observer la jeune femme surprise des montants amassés au cours d’une simple partie de poker. « On ne garde jamais l’argent pour nous. Nous effectuons un don anonyme à une fondation ou une association de notre choix » précisa-t-il. Le politicien ne souhaitait aucunement être perçut un homme si fortuné que l’argent lui semblait insipide de telle sorte qu’il le dépensait de façon frivole. Il n’en était rien. L’argent gagné était toujours redistribué à de bonnes œuvres. Il fut particulièrement surprit de l’invitation que formula par la suite Angelica. Un dernier verre. Il lui était impossible de refuser et se rendit dans le salon pour servir les deux verres de whisky Yamazaki, et lui tendit son verre, tandis qu’il la rassurait sur sa présence autour de la table de poker ce soir. Il avait tout autant apprécié que ses compagnons de jeu, si ce n’était plus. Sur ce, il s’installa dans le canapé, aux côtés de la jeune femme qui s’intéressait à savoir comme il allait, avec une douceur dont il n’était pas certain de mériter. « Je vais bien » répondit-il avec la même douceur dans la voix que dans le regard qui lui adressait, puis lui retourna l’interrogation tout en sous-entendant la présence d’un autre homme à ses côtés. « Oui » fut la seule réponse qui lui accorda, et éprouva une sensation étrange dans l’estomac quand Angelica trouva opportun de lui préciser que le moniteur de surf n’avait eu d’yeux que pour son meilleur ami. Le soulagement ? Probablement. « Son anatomie ne m’intéresse guère. Savoir si toi, tu as trouvé du réconfort dans d’autres bras, bien plus » lui répondit-il d'une voix profonde qui trahissait une certaine possessivité. Néanmoins, l’influenceuse dissipa tous ses doutes en trois mots. Elle était fidèle. Elle lui était fidèle. « Je l’aurais pourtant amplement mérité » murmura-t-il en fixant le liquide ambré qu’il faisait tournoyer dans le fond de son verre tandis qu’il se rapprochait du rebord du canapé. Comme s’il prenait ses distances avant de formuler la question suivante.
Edward réprima un maigre grondement de frustration en entendant sa réponse, et osa lui demander « Tu peux m’en dire plus ? », parce que ça lui était suffisant. Quand le prénom de son assistante fut prononcé, le politicien fronça les sourcils promptement, sans pour autant l’interrompre. « Je l’ignorais Angelica. Crois-moi » et cette information lui déplaisait tout particulièrement. « Tu n’avais aucunement besoin de te justifier à son encontre » et détourna un bref moment son regard de la jeune femme en laissant échapper un soupir de dépit, puis croisa à nouveau les prunelles claires d’Angelica « J’ai eu tort de penser qu’elle n’interviendrait pas quand elle a apprit pour notre dispute. Je lui parlerais ». Cela ne faisait aucun doute qu’il prendrait le temps de rappeler que son intervention dans leur relation n’était aucunement attendu, que ça soit par l’un ou par l’autre, sauf expressément exigé. Il pensait s’être confié à son amie, mais il s’était fourvoyé. Edward s’autorisa une gorgée de whisky, et s’enfonça davantage dans le canapé pour mieux entrevoir le visage d’Angelica à ses côtés. Toutefois, les premiers mots qu’elle prononça eurent pour effet de saccader les battements de son cœur, de sorte qu’il avait sensation d’être capable de compter chacun d’entre eux. Ils finirent par s’estomper au profit de la culpabilité qui l’étreignait si fort que ça se percevait dans le regard qu’il posait sur elle. « Je suis si désolé que mes mots ne suffisent pas pour exprimer ce que je ressens réellement ». Edward n’avait jamais eu pour ambition de lui faire mal, il voulait seulement la garder à distance. En vain. Elle était revenue à lui et il ne voulait pas la revoir partir de nouveau.
« Je ne veux plus entendre parler de ce contrat parce que ça donne la sensation d’être ici sous la contrainte, et ce n’est pas ce que je ressens » rétorqua-t-il en espérant que son sentiment était partagé par l’influenceuse. « Et pour te répondre, j’aimerais aussi ». Tous les jours ne seront pas parfaits, mais il avait envie de croire qu’une amitié était possible entre eux deux. « Angelica… Je n’ai pas que jouer tout à l’heure, devant mes amis. J’ai été sincère également ». Il voulait qu’elle l’entende.
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Charly
Jeu 23 Mai - 15:18
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -t’es en train de te justifier ? » avait elle demandé au sujet des sommes qu’il pouvait empocher lors des parties de poker. « -déjà tu n’as pas à le faire, mais je trouve ça très honorable de votre part à tous. » son avis n’avait pas de poids mais oui, elle trouvait ça noble. Une fois installée, un verre dans la main, elle lui demanda comme il allait et un sourire apparu sur son visage en entendant sa réponse. Elle était heureuse de l’entendre. Elle souligna le fait que le moniteur de surf qu’elle avait eu, était gay et que ce n’était pas avec elle qu’il avait eu une aventure. « -pourquoi je ferai ça ? » demanda Angy avec un sourire amusé. « -t’es jaloux ? » il n’y avait aucune logique à ça. « -j’ai jamais eu besoin de sexe, puisque c’est de ça qu’on parle n’est ce pas, pour me sentir mieux. Et comme je te l’ai dit… » elle était fidèle. Même si ils s’étaient mal quitté, elle n’avait pas rompu le contrat qui les liait, elle n’avait pas l’intention de lui faire du mal. Angy avait parfaitement conscience que sa vie était exposée. Elle l’exposait elle-même. Pour le moment personne ne savait qui était l’homme avec qui elle partageait sa vie, mais elle n’avait pas d’intérêt à jouer les femmes infidèle. Et ce n’était pas elle. « -tu vas dire des conneries longtemps ? » intervint Angy. « -dans les couples il y a des disputes, c’est pas pour autant qu’il faut aller voir ailleurs et tout envoyer balader d’un seul coup. » elle n’avait pas envie qu’il se morfonde, mais envie de tourner la page.
« -je me doute que tu l’ignores. » S’il avait été mis au courant, Ava aurait eut droit à un regard froid, une belle remonter de bretelle et aurait cessé de l’appeler encore et encore. « -je crois qu’elle a compris toute seule. Ça fait trois jours que je n’ai pas reçu de message. Elle se fait du souci pour toi. Seulement… t’es un grand garçon… » Ava n’avait sans doute pas l’habitude de voir Edward avec une autre femme. Elle ne voulait pas qu’il souffre. Mais toute cette histoire, c’était entre Edward et Angy. Ils n’avaient pas besoin d’intermédiaire pour régler tout ça. « -j’étais en train de me dire exactement la même chose ! » renchérit Angy avec un léger rire, en ce qui concernait le contrat. « -je te promets pas d’être parfaite tout le temps, ça me prends beaucoup trop d’énergie. » commenta la jeune femme avvec humour, avant de se taire et d’observer Edward. Ce qu’il venait de dire… il avait touché en plein cœur. Elle préféra l’humour : « -un petit peu quand même. Le mi amore était parfait cela dit. » qu’est ce qui lui prenait ? Il avouait ne pas avoir jouer la comédie, ce qu’elle espérait depuis une heure dans sa chambre, et voilà qu’elle souhaitait presque l’inverse.
Elle se cacha quelques secondes derrière son verre avant de reprendre la parole. « -dans l’avion, j’avais décidé de te faire vivre l’enfer en rentrant ici… » plus de sourire en énonçant cette vérité. « -mais quand j’ai posé mon épaule contre la porte… quand je t’ai vu entouré de tes amis… il a bien fallu que je me rende à l’évidence que j’en suis incapable. Je crois que malgré les débuts compliqués, on s’apprécie, en tout cas, c’est le cas pour moi. Les élections ne sont pas pour demain, je n’ai pas non plus encore rempli ma mission. Et je n’ai pas envie de subir une mauvaise ambiance au quotidien pour une rancœur que je n’éprouve déjà plus. » elle releva son regard sur lui et ajouta : « -j’ai envie que ça se passe bien. J’ai envie de ce genre de soirée, où on peut s’accordé un moment de détente et de discussion… »
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