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LE TEMPS D'UN RP

Séance patinage ft. ALLES

Anonymous
Invité
Mar 10 Juil - 21:22
Le contexte du RP
Mise en situation

 
La situation
Cela fait quelques temps que Jaime et Elias se voient et une réelle amitié s'est crée entre eux. Lors de leur dernière soirée ensemble ils se sont promis de se revoir pour une après midi patinage et il a réussi à le faire plier!!

 
Contexte provenant de notre délire créatif
Anonymous
Invité
Mar 10 Juil - 21:45

Jaime
Hoslt

J'ai 25 ans et je vis à Los Angeles, Etats Unis. Dans la vie, je suis vendeur dans un magasin de jeux vidéos et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Jaime quitte la maison à la fin du lycée après avoir annoncé à son père qu'il était gay et rêvait de devenir patineur. Il part vivre à Chicago avec sa grand mère, la seule avec l'une de ses soeurs à l'avoir toujours soutenu. Après une brillante carrière et une médaille de bronze aux JO, il est obligé de s'arrêter quand on lui découvre une maladie cardiaque. D'un naturel plutôt enjoué, il ne se laisse pas abattre par la maladie. Il a pris le parti de profiter un maximum de la vie avant de mourir.


harvey newton haydon © Ilyria

J'attends fébrile l'arrivée de mon collègue. A croire qu'il prend un malin plaisir à arriver à la limite du retard alors que je suis pressé de partir. Je suis fatigué. Ma semaine a été longue mais rien, pas même la fatigue ne pourra m'empêcher de sortir cet après midi. Je compte en profiter pour me détendre et m'amuser. Demain matin je dormirais, ce n'est pas grave.

Finalement il arrive et je me dépêche de finir ma caisse, lui faisant quelques transmissions rapides. J'étais tellement fébrile que j'ai rangé l'intégralité du magasin. Il n'a plus rien à faire qu'à servir les clients alors il peut bien arrêter de raler deux minutes devant l'empressement que je manifeste.

Je file et monte dans ma voiture pour rejoindre. Ce n'est pas tant le fait de patiner qui m'excite comme ça. Bon j'avoue patiner ça me manque. Je ne le fais plus aussi souvent qu'autrefois. En fait, je sais que je risque de déprimer après et que je finirais devant ma télé entrain de me goinfrer de glace en regardant des compétitions de patinage. Mais ça va me faire du bien sur le moment, je vais m'amuser et puis je vais passer un moment avec Elias et ça j'en suis vraiment content.

C'est fou comme en quelques jours il a pu prendre une place aussi importante dans ma vie. Je ne pensais pas qu'il aurait un tel effet sur moi. A la base c'était moi qui partait pour l'aider. Au final il a aussi eu un effet positif sur moi et j'en suis heureux.

Je me gare finalement devant le starbucks et je descends avec le sourire. Je m'approche de son comptoir et m'accoude face à lui.

- Salut beau brun... tu es toujours ok pour que je te prenne?

Anonymous
Invité
Jeu 12 Juil - 19:12

Elias O'Connor
J'ai 22 ans et je vis à Los Angeles, Etats Unis. Dans la vie, je suis serveur à mi-temps au starbuck, en attente de reprendre mes études et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal en ce moment.

Elias est quelqu'un d'assez coincé. Il a toujours été très porté sur ses études, notamment pour rendre ses parents fiers. Depuis que son père est à l'hôpital, cancer en phase terminale, il redouble d'efforts pour le rendre heureux, quitte à s'oublier. Elias a dû arrêté l'école pendant un an pour être auprès de lui aussi souvent que possible mais il entrera en master de psychologie l'année prochaine. Enfin... Il pensait qu'il allait le faire, mais depuis qu'il a rencontré Jaime il est perdu, il ne sait plus quoi faire. Il n'est pas heureux en étudiant. Il pensait, mais il ne l'est pas. Les livres étaient juste un moyen de penser à autre chose, de faire le vide. D'ailleurs, même s'il n'est plus en cours, il a continué à étudier pour ne plus prendre de retard.
Au contact de Jaime il commence à se lâcher un peu plus mais il ne sait pas que ce dernier est malade, comme son père.
Elias n'est pas gay. En fait il n'est pas grand-chose. Il a déjà essayé les filles mais il s'est dit que ce n'était peut-être pas le moment pour lui car ça ne lui avait pas forcément plu. Encore une fois, Jaime lui met la tête à l'envers... Et il commence à s'interroger. Sacré Jaime hein.


Tim Borrmann © EYLIKA


Jaime avait un secret et ça le rendait encore plus attirant. Enfin… Non, intriguant plutôt. Elias n’était absolument pas attiré par lui ! Enfin, c’était ce dont il voulait se convaincre en tout cas. Car il fallait bien admettre que depuis que le patineur était entré dans sa vie, il se sentait différent. Et surtout, il ressentait cette relation différemment des autres. C’était tout nouveau. C’était cool aussi. De se sentir soutenu, écouté. De savoir qu’on voulait nous aide à traverser un moment difficile. Mais c’était effrayant également. Depuis qu’il avait demandé à Jaime comment il avait su qu’il était gay, il se sentait… Comme pris au piège. Il avait peur de cette chose qu’il n’avait jamais vue, jamais ressentie avant. Jamais un garçon ne l’avait intéressé, alors pourquoi maintenant ? Peut-être parce qu’il était inaccessible, le Jaime. Il n’arrêtait pas de le dire d’ailleurs, qu’il ne cherchait personne. Et puis il était tellement secret. Et tellement gentil. Bref… Jaime n’avait plus besoin de passer des heures à argumenter pour le faire sortir, Elias attendant même activement leurs moments ensemble. Même s’il était tout perdu, il semblait plus heureux. Ou… plus serein. Difficile à dire mais son père avait remarqué un changement chez lui. Il venait toujours autant à l’hôpital mais déjà, il venait plus léger, sans bouquin. Il était un peu plus loquace et surtout il pouvait lui parler d’autre chose que de psychologie. Oui, Elias avait des amis. Avait. Il les avait perdus un à un à cause de son entêtement pour les études. Maintenant, il n’était même plus sûr de vouloir les poursuivre… Tout ce gâchis pour rien.

Il ne fallait pas non plus oublier que c’était Jaime qui avait ses livres de cours. Elias les lui avait confiés, lui promettant alors de se reposer. Et si ça avait été difficile les premiers jours, d’autant que ses livres étaient très précieux pour lui. Elias avait confiance en Jaime et ça n’aurait pas dû arriver si vite.

Les messages l’avait fait rire pendant sa pause. Ca aurait pu rapidement déraper… Elias s’était même permis une petite blague qui porterait à confusion sur sa sexualité. De toute façon, il était totalement confus là mais il préférait simplement ne pas en parler de peur de… Le faire fuir, ou alors qu’il se moque.
Le nerd servait les derniers clients de sa journée. En temps partiel, il avait un emploi du temps plutôt tranquille. Entendant la sonnette de la porte indiquant qu’un énième client s’approchait, il regagna la caisse et sourit en voyant Jaime. Sourire qui se transforma en rire nerveux lorsqu’il entendit sa plaisanterie. Clairement il n’était pas à l’aise avec ça ! Il rougit et fit la moue. « Pour la peine, la prochaine fois que tu commandes un truc ici, je ferais une faute d’orthographe dans ton prénom. » Il sourit malgré tout. « Deux minutes et j’arrive ! » Il quitta son poste, retira son tablier et rejoignit rapidement Jaime de l’autre côté du bar. « Tu veux qu’on aille manger quelque part avant ? » S’il cherchait à retarder le moment fatidique où ses deux pieds seraient hors de contrôle sur la glace ? Non…

Anonymous
Invité
Ven 13 Juil - 10:03

Jaime
Hoslt

J'ai 25 ans et je vis à Los Angeles, Etats Unis. Dans la vie, je suis vendeur dans un magasin de jeux vidéos et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Jaime quitte la maison à la fin du lycée après avoir annoncé à son père qu'il était gay et rêvait de devenir patineur. Il part vivre à Chicago avec sa grand mère, la seule avec l'une de ses soeurs à l'avoir toujours soutenu. Après une brillante carrière et une médaille de bronze aux JO, il est obligé de s'arrêter quand on lui découvre une maladie cardiaque. D'un naturel plutôt enjoué, il ne se laisse pas abattre par la maladie. Il a pris le parti de profiter un maximum de la vie avant de mourir.


harvey newton haydon © Ilyria

Je ris en le voyant faire la moue suite à ma plaisanterie. Ce n'est pas ma faute, c'est lui qui a commencé à me tendre cette perche pendant notre échange de sms. Après forcément c'est beaucoup trop dur pour moi de résister à l'envie de continuer. Et puis il est tellement mignon quand il fait la moue comme ça. Non... il fallait que j'arrête de penser comme ça, c'était un terrain trop dangereux. Oui physiquement il me plaisait, même beaucoup. C'est vrai que je commençais à l'apprécier de plus en plus. J'adorais les moments qu'on passait ensemble, les sms qu'on s'envoyait. Je commençais à être clairement drogué par se présence, voyant moins certains de mes autres amis pour passer plus de temps avec lui. Mais de là à dire que je tombais amoureux? Non en fait je ne voulais même pas penser à cette éventualité. C'était une mauvaise idée. Je me l'étais toujours refusé et je continuerais ainsi. Elias était et resterait un ami, c'était mieux ainsi. Et de toute façon Elias n'était pas gay alors la question ne se posait pas.

« Pour la peine, la prochaine fois que tu commandes un truc ici, je ferais une faute d’orthographe dans ton prénom. »

Je ris de plus belle, comme si ils se gênaient pour ça en temps normal. C'était clairement établi depuis toujours que les serveurs du starbucks ne savaient pas écrire les prénoms de leurs clients. J'avais eu droit à Jaimie, Jaimy et le plus beau Gaimy.

« Deux minutes et j’arrive ! »

Je hoche la tête et le laisse partir dans l'arrière salle. Je vois sa collègue me lancer un regard, un de ceux que je n'aime pas que les filles me lancent et qui dit qu'elles aimeraient bien que je les drague. Je fais un petit coup de tête en direction de l'endroit où Elias était parti.

- Il doit m'aider à surmonter ma rupture.

Je vois son regard s'illuminer alors qu'elle doit se dire qu'elle pourrait peut être celle qui m'aiderait à tourner la page. Mais je continue de parler.

- Mon enfoiré de copain m'a trompé avec un abruti bodybuildé. Soit disant que mes fesses étaient trop plates.

Je me retourne vers la serveuse en agitant mes fesses sous son nez.

- C'est vrai qu'elles sont plates?

Je me retiens de rire devant l'air rougissant qu'elle a. C'est le moment que choisi Elias pour revenir, me coupant dans ma petite exhibition de fesse.

« Tu veux qu’on aille manger quelque part avant ? »

Je le suis à l'extérieur du café, souriant de plus belle en voyant les joues toujours aussi rouges de la serveuse.

- Oui je veux bien. Tu as envie de quoi? Un fast food? Italien? Chinois?

Anonymous
Invité
Dim 15 Juil - 13:44

Elias O'Connor
J'ai 22 ans et je vis à Los Angeles, Etats Unis. Dans la vie, je suis serveur à mi-temps au starbuck, en attente de reprendre mes études et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal en ce moment.

Elias est quelqu'un d'assez coincé. Il a toujours été très porté sur ses études, notamment pour rendre ses parents fiers. Depuis que son père est à l'hôpital, cancer en phase terminale, il redouble d'efforts pour le rendre heureux, quitte à s'oublier. Elias a dû arrêté l'école pendant un an pour être auprès de lui aussi souvent que possible mais il entrera en master de psychologie l'année prochaine. Enfin... Il pensait qu'il allait le faire, mais depuis qu'il a rencontré Jaime il est perdu, il ne sait plus quoi faire. Il n'est pas heureux en étudiant. Il pensait, mais il ne l'est pas. Les livres étaient juste un moyen de penser à autre chose, de faire le vide. D'ailleurs, même s'il n'est plus en cours, il a continué à étudier pour ne plus prendre de retard.
Au contact de Jaime il commence à se lâcher un peu plus mais il ne sait pas que ce dernier est malade, comme son père.
Elias n'est pas gay. En fait il n'est pas grand-chose. Il a déjà essayé les filles mais il s'est dit que ce n'était peut-être pas le moment pour lui car ça ne lui avait pas forcément plu. Encore une fois, Jaime lui met la tête à l'envers... Et il commence à s'interroger. Sacré Jaime hein.


Tim Borrmann © EYLIKA


Elias n’avait pas entendu la conversation entre Jamie et sa collègue… Mais quand il les rejoignit dans le café et qu’il vit la tête qu’elle tirait, il se posa bien des questions. Il préféra ne rien dire pour l’instant et simplement quitter les lieux avec son ami, lui demandant s’il voulait d’abord aller manger. « J’ai pas très faim, disons… Chinois ? Ca fait longtemps que j’y suis pas allé. » Et il ne voulait pas se retrouver ballonné pour aller faire du patin. Il angoissait déjà bien assez de remettre les pieds sur la glace… Pourtant il avait confiance en Jaime et surtout en son talent de patineur. Il avait aussi un peu peur que le brun se chope un coup de blues en sortant de la patinoire mais ils en parleraient plus tard et surtout Elias se montrerait attentif au moindre signe de déprime.
Ils prirent donc le chemin d’un restaurant chinois pour aller grignoter un peu. Une fois installés, Elias repensa à la tête que faisait sa collègue et sourit légèrement. « Qu’est-ce que t’as bien pu dire à Ally pour qu’elle fasse une tête pareille, en fait ? Attends. Tu lui as pas dit qu’on sortait ensemble ou un truc comme ça j’espère ? » Jaime il était capable de tout... Surtout des pires choses.

Le repas se passa tranquillement, Elias ne mangea pas grand-chose. Probablement parce qu’il était incapable de se servir de baguettes et qu’il mettait trois ans à manger le moindre petit aliment… Jaime semblait s’en sortir beaucoup mieux de son côté. « Bordel comment tu fais pour manger avec ça. Et non, je refuse que tu m’apprennes à manger avec des baguettes, déjà que tu dois m’apprendre à patiner, à… vivre aussi, moi j’peux rien t’apprendre en retour de tout ça ! »

Anonymous
Invité
Dim 15 Juil - 16:32

Jaime
Hoslt

J'ai 25 ans et je vis à Los Angeles, Etats Unis. Dans la vie, je suis vendeur dans un magasin de jeux vidéos et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Jaime quitte la maison à la fin du lycée après avoir annoncé à son père qu'il était gay et rêvait de devenir patineur. Il part vivre à Chicago avec sa grand mère, la seule avec l'une de ses soeurs à l'avoir toujours soutenu. Après une brillante carrière et une médaille de bronze aux JO, il est obligé de s'arrêter quand on lui découvre une maladie cardiaque. D'un naturel plutôt enjoué, il ne se laisse pas abattre par la maladie. Il a pris le parti de profiter un maximum de la vie avant de mourir.


harvey newton haydon © Ilyria

« J’ai pas très faim, disons… Chinois ? Ca fait longtemps que j’y suis pas allé. »

Je hochais la tête en l'entendant, chinois ça m'allait parfaitement. De toute façon j'avais tellement faim alors du moment que je pouvais aller manger moi ça me convenait parfaitement. On marchait tranquillement, se rendant dans un petit restaurant chinois pas très loin de son travail. Au moins le quartier où son boulot se trouvait était pratique quand on voulait aller déjeuner, il y avait plein de petits restaurants sympa autour.

Je m'installais à une table, dans la fraicheur du restaurant. Je n'osais pas le dire mais je ne supportais pas les grandes chaleur. Ca me fatiguait toujours encore plus que la normale. Et vu qu'on allait patiner juste après, j'avais besoin de garder un peu de forces.

« Qu’est-ce que t’as bien pu dire à Ally pour qu’elle fasse une tête pareille, en fait ? Attends. Tu lui as pas dit qu’on sortait ensemble ou un truc comme ça j’espère ? »

J'éclatais de rire en l'entendant.

- Ouais un truc comme ça...

J'attendais que le serveur vienne prendre notre commande et reparte avant de lui raconter.

- Elle arrêtait pas de me mater comme si j'étais un morceau de viande et j'aime pas ça. Alors je lui ai raconté que je venais pour que tu me consoles de ma rupture... et là je l'ai vu passer en mode prédatrice chatte en chaleur, avant que je lui explique que mon mec m'avait plaqué pour un connard body buildé parce que mes fesses étaient trop plates. Tu es arrivé quand je lui demandais son avis sur mes fesses.

Elle l'avait bien cherché. J'aime pas qu'on me mate comme ça. Alors si elle voulait le mater qu'elle le fasse mais au moins là elle savait qu'elle n'avait aucune chance avec moi.

Le serveur revint rapidement avec nos plats et je commençais à manger tranquillement.

« Bordel comment tu fais pour manger avec ça. Et non, je refuse que tu m’apprennes à manger avec des baguettes, déjà que tu dois m’apprendre à patiner, à… vivre aussi, moi j’peux rien t’apprendre en retour de tout ça ! »

Je riais en l'entendant raler.

- C'est ça quand on a la classe qu'est ce que tu veux. Et t'as rien à m'apprendre. J'aime passé du temps avec toi et ça me suffit même si tu m'apprends rien. Je m'amuse avec toi, beaucoup. J'adore les moments qu'on passe ensemble et crois moi rien que ça, ça me suffit amplement.

J'en venais à délaisser mes autres amis tellement j'adorais passer du temps avec lui. Je lui cachais peut être une partie de ma vie mais ça n'empêchait pas que je me sentais bien avec lui, que je pouvais être moi même, et me laisser aller complètement. Ou alors peut être que c'était justement parce qu'il ne savait pas, qu'il ne me regardait pas avec pitié, que je pouvais me laisser aller aussi facilement.

- Et pour le patinage là oui par contre je vais t'apprendre. Mais tu vas voir c'est facile et je te lacherais pas tant que je ne serais pas sur que tu puisses tenir sans tomber.

Je voulais pas non plus le dégouter dés la première fois où on allait patiner ensemble.

Anonymous
Invité
Dim 15 Juil - 21:25

Elias O'Connor
J'ai 22 ans et je vis à Los Angeles, Etats Unis. Dans la vie, je suis serveur à mi-temps au starbuck, en attente de reprendre mes études et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal en ce moment.

Elias est quelqu'un d'assez coincé. Il a toujours été très porté sur ses études, notamment pour rendre ses parents fiers. Depuis que son père est à l'hôpital, cancer en phase terminale, il redouble d'efforts pour le rendre heureux, quitte à s'oublier. Elias a dû arrêté l'école pendant un an pour être auprès de lui aussi souvent que possible mais il entrera en master de psychologie l'année prochaine. Enfin... Il pensait qu'il allait le faire, mais depuis qu'il a rencontré Jaime il est perdu, il ne sait plus quoi faire. Il n'est pas heureux en étudiant. Il pensait, mais il ne l'est pas. Les livres étaient juste un moyen de penser à autre chose, de faire le vide. D'ailleurs, même s'il n'est plus en cours, il a continué à étudier pour ne plus prendre de retard.
Au contact de Jaime il commence à se lâcher un peu plus mais il ne sait pas que ce dernier est malade, comme son père.
Elias n'est pas gay. En fait il n'est pas grand-chose. Il a déjà essayé les filles mais il s'est dit que ce n'était peut-être pas le moment pour lui car ça ne lui avait pas forcément plu. Encore une fois, Jaime lui met la tête à l'envers... Et il commence à s'interroger. Sacré Jaime hein.


Tim Borrmann © EYLIKA


« Attends. T’es en train de me dire que tu lui as demandé de regarder tes fesses ? Jaime… Je travaille là-bas moi, merde ! Va pas t’afficher comme ça. » En réalité Elias avait très envie d’en rire et bordel qu’il aurait voulu voir la scène. Mais qu’est-ce qu’on allait penser de lui maintenant ? Qu’il réconfortait les gays esseulés ? Le regard des gens comptait pour lui. Rien que pour ça il n’aurait pas pu être gay. Ca aurait été invivable. Ca le deviendrait. Ca le devenait peut-être déjà. « La prochaine fois, dis juste bonjour… Ca m’arrangerait. Sinon je viens me venger dans ta boutique. » Il n’oserait jamais se comporter de cette façon mais après avoir bu un verre ou deux peut-être ? Non, même pas. Il ne se vengerait pas mais ça ne coûtait rien de faire semblant.
Elias dût abandonner les baguettes et demander des couverts ou bien il passerait la journée sans manger. Il put profiter un peu plus de son repas, écoutant son ami qui semblait sûr de ses performances de professeur. « On dirait que tu vas apprendre à marcher à un gamin. » C’était un peu ça au final. Apprendre à marcher. En ce moment il lui apprenait même à voler de ses propres ailes et ça, c’était beau.

Elias avait essayé de faire durer le repas au maximum. En fait, de retarder le moment où il mettrait les pieds sur la glace. Mais les voilà déjà à la patinoire… Ils avaient tous les deux pris leurs patins sauf que voilà, Elias refusait de se lever. Ce qui était un peu la honte car plus loin des enfants de même pas dix ans patinaient comme s’ils en avaient fait toute leur vie. « Mais je vais me casser une jambe… » Il fit la moue. Finalement, il se releva et s’accrocha tout de suite au bras de Jaime pour le suivre fébrilement sur la glace. Il s’arrêta juste devant le rebord, le lâchant. « Tu veux pas me montrer d’abord ? Comment tu fais, toi. Un tour de patinoire sans moi. » Il avait vraiment envie de le voir patiner autre que sur une vidéo – car il les avait toutes vues, il était vraiment impressionné.

Anonymous
Invité
Lun 16 Juil - 14:35

Jaime
Hoslt

J'ai 25 ans et je vis à Los Angeles, Etats Unis. Dans la vie, je suis vendeur dans un magasin de jeux vidéos et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Jaime quitte la maison à la fin du lycée après avoir annoncé à son père qu'il était gay et rêvait de devenir patineur. Il part vivre à Chicago avec sa grand mère, la seule avec l'une de ses soeurs à l'avoir toujours soutenu. Après une brillante carrière et une médaille de bronze aux JO, il est obligé de s'arrêter quand on lui découvre une maladie cardiaque. D'un naturel plutôt enjoué, il ne se laisse pas abattre par la maladie. Il a pris le parti de profiter un maximum de la vie avant de mourir.


harvey newton haydon © Ilyria

« Attends. T’es en train de me dire que tu lui as demandé de regarder tes fesses ? Jaime… Je travaille là-bas moi, merde ! Va pas t’afficher comme ça. »

Non mais c'était elle qui avait commencé à me reluquer. Je n'avais fait que lui rendre la monnaie de sa pièce. Ca lui apprendrait à mater les gens comme ça. Je n'étais pas un morceau de viande. Au moins la prochaine fois que je la croiserais elle ne s'amuserait pas à me regarder comme ça à nouveau.

« La prochaine fois, dis juste bonjour… Ca m’arrangerait. Sinon je viens me venger dans ta boutique. »

Comme s'il était capable de le faire. Mais rien que pour le voir je serais bien tenté de continuer à faire le con. Je n'avais pas honte de ce que mes amis pourraient faire devant mes collègues, ça ne pouvait pas être pire que tous les délires qu'on s'était déjà tapé au boulot. Et puis ça serait bien drôle de le voir tenter de me foutre la honte.

Mais de toute façon, moi je me serais bien contenté d'un bonjour si elle ne m'avait pas regardé comme ça.

« On dirait que tu vas apprendre à marcher à un gamin. »

Je riais en l'entendant. Bon il y avait peut être un peu de ça. Mais j'allais juste lui apprendre à patiner et pas à marcher.

Finalement notre repas se termine et je l'accompagne vers la patinoire, parlant joyeusement pour essayer de le détendre. Il stressait, je le voyais bien. Pourtant il n'y avait vraiment aucune raison à ça. On y allait pour passer un bon moment, pas pour angoisser. Et je comptais bien m'amuser avec lui.

On arrive et je ne peux m'empêcher de sourire comme un gamin alors que j'enfile mes patins. Ca faisait tellement longtemps... je le ressentais encore, ce frisson d'excitation qui me prenait à chaque fois que je les enfilais. S'il n'était pas là je serais déjà sur la glace entrain de filer à toute allure.

« Mais je vais me casser une jambe… »

Je ris en l'entendant et en voyant la tête qu'il fait.

- Mais non voyons. Je ne vais pas te lacher et ça ira.

Je me lève finalement et le prend par les mains pour l'entrainer sur la patinoire. Je le laissais s'accrocher à la rambarde.

« Tu veux pas me montrer d’abord ? Comment tu fais, toi. Un tour de patinoire sans moi. »

Je souriais en l'entendant parler.

- Toi... tu cherches à te défiler... ok reste là je fais un tour et après je m'occupe de toi.

Je le laissais et me retournais pour aller patiner. Je me laissais aller, patiner simplement sans chercher à faire de figure. Puis au bout d'un moment, porté par l'élan, je faisais quelques zig zags sur la piste. Je ne voulais pas trop m'épuiser en faisant le con surtout si on devait patiner tout l'après midi. Je revins finalement vers lui et m'arrêtais à côté de lui en faisant un petit dérapage.

- Tu vois, c'est pas compliqué.

J'éclatais de rire en voyant la tête qu'il faisait. C'était facile pour moi mais pour lui c'était une autre histoire. Je le prenais par les mains et le forçais à quitter sa rambarde qu'il agrippait comme si sa vie en dépendait.

- Avance doucement... essaie de reproduire le geste que je faisais tout à l'heure... un pied après l'autre...

Je le guidais en souriant. Je ne le lachais pas, le sécurisant pour éviter qu'il ne tombe.

- Tu vois.... tu ne tombes pas...


Anonymous
Invité
Lun 16 Juil - 15:13

Elias O'Connor
J'ai 22 ans et je vis à Los Angeles, Etats Unis. Dans la vie, je suis serveur à mi-temps au starbuck, en attente de reprendre mes études et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal en ce moment.

Elias est quelqu'un d'assez coincé. Il a toujours été très porté sur ses études, notamment pour rendre ses parents fiers. Depuis que son père est à l'hôpital, cancer en phase terminale, il redouble d'efforts pour le rendre heureux, quitte à s'oublier. Elias a dû arrêté l'école pendant un an pour être auprès de lui aussi souvent que possible mais il entrera en master de psychologie l'année prochaine. Enfin... Il pensait qu'il allait le faire, mais depuis qu'il a rencontré Jaime il est perdu, il ne sait plus quoi faire. Il n'est pas heureux en étudiant. Il pensait, mais il ne l'est pas. Les livres étaient juste un moyen de penser à autre chose, de faire le vide. D'ailleurs, même s'il n'est plus en cours, il a continué à étudier pour ne plus prendre de retard.
Au contact de Jaime il commence à se lâcher un peu plus mais il ne sait pas que ce dernier est malade, comme son père.
Elias n'est pas gay. En fait il n'est pas grand-chose. Il a déjà essayé les filles mais il s'est dit que ce n'était peut-être pas le moment pour lui car ça ne lui avait pas forcément plu. Encore une fois, Jaime lui met la tête à l'envers... Et il commence à s'interroger. Sacré Jaime hein.


Tim Borrmann © EYLIKA


Le moment fatidique approchait. Elias chercha une fois de plus à le repousser en proposant à Jaime de faire un tour sans lui. Il lui sourit pour le rassurer. « Promis, je bouge pas ! Je t’attends sagement. » De toute façon il n’irait pas bien loin avec ces satanés patins aux pieds. Jaime le laissa donc pour quelques instants, allant à la rencontre de son élément. Bordel, qu’il s’en sortait bien. Et que ça le rendait sexy. Merde. Non pas sexy. Il avait la classe mais il n’était pas sexy. Tous les sens d’Elias étaient en ébullition en ce moment… Quelle idée avait-il eu d’accepter cette sortie ? Ca n’arrangerait absolument pas les choses qu’ils passent l’après-midi collés l’un à l’autre pour ne pas tomber ! Mais il était trop tard pour se défiler. Cette proximité lui plaisait… Autant qu’elle lui donnait envie de courir loin.
Au fond Elias avait toujours su que les filles, ça n’était pas trop son truc. Il en était même venu à penser que l’amour, le sexe, tout ça n’était pas trop son truc sans jamais envisager qu’il puisse aimer les hommes. Avec sa belle gueule d’ange, Jaime venait tout remettre en question.

Mais il n’eut pas le temps d’y réfléchir davantage que Jaime avait déjà fait son tour de patinoire. Il était allé vite ! On voyait qu’il était à l’aise sur la glace et qu’il prenait beaucoup de plaisir à glisser sur le sol. Il était fait pour ça. Elias fut un instant triste pour lui qui avait dû renoncer à sa passion… Mais content qu’il accepte de la partager un peu avec lui. « Tu patines super bien ! Tu me filerais presque des complexes. » A son tour maintenant… Il quitta la rambarde, serrant très fort la main de Jaime pour ne pas tomber. Elias n’avait aucun équilibre sur la glace et il n’arrivait même pas à rester immobile. Il était tendu, pas à l’aise. « T’as pas intérêt à me lâcher… »

Sauf que Jaime le lâcha par mégarde et ce qui devait arriver arriva : la première gamelle de la journée. Elias se retrouva les fesses par terre, faisant la moue. « C’est trop la honte, même ce gosse là-bas sait en faire… Tu m’aides à me relever ? »

Anonymous
Invité
Lun 16 Juil - 16:15

Jaime
Hoslt

J'ai 25 ans et je vis à Los Angeles, Etats Unis. Dans la vie, je suis vendeur dans un magasin de jeux vidéos et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Jaime quitte la maison à la fin du lycée après avoir annoncé à son père qu'il était gay et rêvait de devenir patineur. Il part vivre à Chicago avec sa grand mère, la seule avec l'une de ses soeurs à l'avoir toujours soutenu. Après une brillante carrière et une médaille de bronze aux JO, il est obligé de s'arrêter quand on lui découvre une maladie cardiaque. D'un naturel plutôt enjoué, il ne se laisse pas abattre par la maladie. Il a pris le parti de profiter un maximum de la vie avant de mourir.


harvey newton haydon © Ilyria

« Tu patines super bien ! Tu me filerais presque des complexes. »

C'était ce qui arrivait en général quand on patinait avec un pro. Certains de mes amis ne voulaient plus aller patiner avec moi parce que je les écoeurais, que je patinais trop facilement alors qu'ils tombaient comme des merdes. Alors je profitais d'autant plus de ce moment avec Elias. Il n'en était pas encore au point de refuser tout net de venir avec moi.

« T’as pas intérêt à me lâcher… »

Je souris en l'entendant.

- Mais non je te l'ai promis.

Et je tenais parole. Je patinais doucement avec lui, le laissant avancer à son rythme, lui donnant des conseils. Bon pour le moment c'était pas terrible. Il était beaucoup trop stressé et ça se voyait. Tout crispé comme il l'était sur ses patins il allait jamais s'en sortir. Je continuais de le guider, ne lachant pas ses mains.

Malheureusement, je me retournais en sursautant quand j'entendis un gamin crier. Ce fut le moment d'inattention de trop et je lachais Elias qui allait s'étaler comme une merde sur ses fesses. Je me retenais de rire en le voyant comme ça.

« C’est trop la honte, même ce gosse là-bas sait en faire… Tu m’aides à me relever ? »

- C'est la première fois que tu en fais toi ça ne compte pas. Et si ça peut t'aider, à son âge j'étais beaucoup plus doué que lui.

Je coinçais ses pieds avec mes patins et je le tirais par la main pour le relever d'un coup. J'y allais peut être un peu trop fort car il se retrouva propulsé dans mes bras. Je le retenais avant qu'il ne tombe à nouveau, porté par son élan. Je me retrouvais alors à seulement quelques centimètres de son visage. Ses lèvres beaucoup trop tentantes étaient là... je pourrais presque les froler... et puis... Je me reculais un peu me ressaisissant. Ce n'était qu'un ami, rien de plus. Un rp hétéro et moi j'étais abstinent donc voilà...

- Bon allez... on y retourne. On va essayer autrement. Tu vas regarder droit devant toi, sans penser à tes pieds et puis tu... je vais me mettre dos à toi et tu t'appuierais sur mes han... sur mes épaules. Comme ça tu n'auras qu'à suivre mes mouvements. Ok?

Je me retournais sans lacher ses mains puis je les passais sur mes épaules. Je le laissais s'y cramponnait puis je commençais à patiner doucement, l'entrainant dans mon sillage.

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