J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec Nolan mais je dois rompre avec James et je le vis plutôt bien. née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.
Ton frère était plutôt quelqu’un d’impulsif. Oui, quelqu’un qui agissait sur le coup. De ce fait, il n’avait peut-être pas forcément les bonnes décisions. Du moins, tu ne savais pas trop. Tu ne pouvais pas savoir ce que tu devais faire, ce qui était mieux. Connor te parlait donc d’aller à l’hôpital afin de voir l’infirmière qui t’avait soignée. Peut-être que la jeune femme pourrait vous aider et vous donner son témoignage. Cela aiderait sûrement pour la police mais Nolan marquait un point sûrement. Il est vrai que vous ne pouviez pas savoir mais tu ne penses pas qu’en appelant on pourrait te passer la jeune femme au téléphone. Déjà, elle était peut être du matin comme du soir ou bien elle serait occupée. Les infirmières avaient beaucoup de boulot.
Un avocat ? Il est vrai que ça coûterait de l’argent. Beaucoup d’argent sûrement. Tu ne sais pas combien ni même pour combien de temps tu aurais besoin de cet avocat mais peu importe. Tu poussais un soupir de toute façon, quoiqu’il se passe, tout était cher dans la vie. Tu n’avais pas les moyens et ton frère non plus. De plus, tu refusais qu’il se mette à dépenser son argent pour toi-même s’il ne serait pas d’accord. Tu poussais un soupir alors que tu étais un peu agacée de leurs chamailleries. Tu n’avais pas besoin de cela maintenant, ni même jamais d’ailleurs. Seulement là, tu n’avais pas envie de cela ni même de choisir entre les deux hommes. « Stop tous les deux. » Tu leur lançais en espérant qu’ils s’arrêtent tous les deux. « S’il faut un avocat alors, j’en prendrais un Connor et si je dois travailler un peu plus pour le payer je me débrouillerais. » Tu lançais donc à Connor. « Tu ne vas pas t’endetter pour cela. » Tu levais les yeux au ciel aux mots de ton frère. Si tu n’avais pas le choix alors tu le ferais. Tu ne laisserais James s’en sortir.
Tu cherchais ton portable pour le donner à ton petit ami. « Tiens, c’est mon portable il y a toujours le message. » Tu lui disais alors. Tu allais aller avec ton frère et tu espérais que Nolan ne le prendrait pas mal de son côté. Tu savais que ton frère l’aurait mal pris de son côté et puis, bon, tu partirais avec lui et Nolan ferait autre chose, vous vous complèterez peut-être ? Tu espérais en tout cas. « Je vais aller avec Connor et si tu as besoin de moi, appelle le. » Tu lui disais avant d’embrasser ses lèvres et prendre tes affaires.
(…)
Tu avais été avec ton frère à l’hôpital pour trouver la jeune femme qui t’avait soignée. Vous aviez dû attendre un moment car elle n’était pas disponible. Vous aviez pu discuter avec elle et il semblerait en effet qu’elle avait eu des doutes mais elle n’avait pas osé. Elle vous avait volontiers rendu service. Vous aviez dû attendre sa pause pour qu’elle puisse vous donner ce que vous aviez besoin. Vous alliez pouvoir retrouver Nolan. « Tu peux lui envoyer un message ? » Tu demandais à ton frère puisque Nolan avait ton portable. « Quelle accroc celle-là ! » Tu bousculais ton frère pour l’embêter alors que vous preniez le chemin retour vers l’appartement. Vous arriviez finalement et tu entrais à l’intérieur. « Nolan ? » Tu appelais mais toujours rien. Pas de réponse. Il était sûrement pas rentré. Tu t’inquiétais pour lui. « Tu as toujours rien ? » Tu ne pouvais pas envoyer de message de ton côté. « Non du tout. » Tu poussais un soupir. « Je te l’avais dit on aurait jamais dû le laisser aller tout ça il a du lui arriver quelque chose. » Tu commençais à t’inquiéter encore plus. « Et si.. James s’en était pris à lui encore. » Tu t’imaginais tout et n’importe quoi même si ça aurait pu être probable pour le coup. Il aurait pu s’en prendre à lui de nouveau ou.. tu ne sais pas. Merde. « Chut arrête d’imaginer n’importe quoi je vais le rappeler et puis, il doit être occupé chez les flics ou plus avoir de batterie. » Tu osais l’espérer en tout cas.
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Mer 27 Mar - 1:00
Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et officiellement en couple avec celle que j'aime et je le vis plutôt très bien, même si quelques détails gênants sont à régler avant que l'on soit parfaitement heureux.
Il n’était pas question que Siloë paye elle-même son avocat. Ce n’était pas dans se sens que je l’avais suggéré, d’ailleurs : non, si nous devions par la suite faire appel à un homme de lois, je savais d’avance que je débloquerais cet argent que j’avais laissé sur un compte en Amérique, juste avant de partir pour la Nouvelle-Zélande. Un détail que je ne lui mentionnais pas dans l’immédiat, tant je sentais que nous aurions là encore affaire à l’obstination de son frère ainé. Je l’adorais, sincèrement du reste, mais là il me courait véritablement sur le haricot. Je n’en pouvais plus de me chamailler avec lui, surtout dans les intérêts d’une seule et même femme. J’acceptais donc qu’il l’emmène à l’hôpital, même si je ne croyais pas en l’importance de cette voie, avant d’annoncer mon désir de partir chez les flics tout seul. C’était rudement inconscient, j’en convenais, et j’espérais que ma petite amie refuserait cette idée, ne serait-ce que pour m’encourager à y aller en sa compagnie. Mais ce ne fut pas qu’elle fit. Elle préféra satisfaire les attentes de son aîné, plutôt que de satisfaire les miennes. Ce que je comprenais, tant je connaissais le côté dramaturge de Connor. Je me saisissais donc de son téléphone, qu’elle me confiait, avant de répondre à son baiser.
_ Je n’y manquerai pas. Je lui assurais tendrement, à son désir que je l’appelle si j’avais besoin d’aide. _ Et soyez prudents tout les deux.
Je concluais, espérant que son frère ne l’entraînerait pas dans des entreprises inconsidérées. Je ne lui pardonnerais pas, du reste.
_ Fais gaffe à toi, surtout.
M’indiqua ce dernier, avant de claquer la porte sur eux. Il était vrai que ma sécurité primait. Je décidais donc de faire appel tout de même à une personne extérieure, en espérant qu’elle puisse être disponible dans l’immédiat.
(…)
_ Quelle histoire. Conclu mon ami, roulant en direction de l’appartement. _ Mais au moins tu as les réponses que tu voulais, à présent. _ Oui. Et je te remercie d’avoir accepté de m’aider malgré tout ce temps à être rester sans contact. _ Y’a pas de soucis, Nolan. M’assura-t-il, avec bienveillance. _ J’ai compris que la perte de ta vue avait été un choc pour toi, que tu avais besoin de temps pour t’en remettre, et je suis content que tu ais eu l’instinct de m’appeler.
J’en étais moins fier, personnellement. J’étais disposé à me prendre en charge tout seul, comme un grand garçon, et j’avais encore faillit à la dernière minute.
_ Sinon, j’ai profité que tu étais occupé au commissariat pour appeler le spécialiste que tu m’as demandé. M’annonça-t-il à la suite, ne laissant pas le malaise s’installer. _ Il a accepté de te recevoir en urgence dès demain. Il était d’ailleurs bien heureux que tu ais changé d’avis concernant les examens. _ J’avais peur. Je soupirais, peu fier de l’admettre à haute voix. _ C’est tellement sensibles les yeux. _ Ouais, mais les tiens peuvent selon lui recouvrer la vue. Cela serait dommage que tu ne vois jamais la beauté de ta petite-amie. _ J’ai surtout besoin de la savoir en sécurité avec moi. Je ne veux pas toute ma vie dépendre de son frère. _ Ça se comprend. Toujours aussi impulsif, à propos ? _ Plus que jamais.
Il éclata de rire, bien amusé de constater que les choses ne changeaient pas complètement.
_ Promets-moi que tu me tiendras au courant pour ta vue, et pour ta relation avec cette Siloë. _ Je te le promets.
J’avais délaissé trop longtemps les mauvaises personnes. Mon supérieur avait toujours été présent pour moi, tant sur le plan professionnel que personnel. Il méritait que je lui rende cette place qu’il avait dans ma vie, avant que je ne devienne aveugle. C’était plutôt dingue de ce dire que l’on pouvait être aussi « proche » de celui qui nous employait, d’ailleurs. Mais c’était la relation qu’avait instaurée Brandon en m’embauchant. Il tenait que chaque membre de son entreprise puisse le considérer comme un ami, avant d’être un directeur, et le courant avait rapidement fait le reste.
_ Je t’accompagne jusqu’à ton appartement.
Me précisa-t-il, sortant déjà de sa voiture de luxe, stationnée dans la rue de ma résidence.
_ Je te remercie vraiment pour tout ce que tu as fais pour moi, Brandon. Je lui confiais sincère, tandis que nous regagnions doucement mon étage. _ A ta place, beaucoup m’aurait déjà licenciés, où même dit d’aller me faire voir ailleurs quand je t’ai appelé. _ Je te l’ai dis. J’ai très bien compris ta situation, et je ne t’en veux pas d’avoir voulu te couper du monde dans ce moment difficile. _ T’es un type génial. Salut ta femme pour moi. _ Je n’y manquerai pas.
Elle s’était proposée à venir en aide à Siloë, en tant qu’ancienne infirmière. Il était naturel que je fasse preuve de courtoisie à son égard. Sur ces mots, je regagnais l’appartement, où je fus accueilli par ma petite amie, particulièrement inquiète.
_ Qu’est-ce qui se passe ? Je demandais, la serrant dans mes bras réconfortants. _ Je t’ai laissé plusieurs messages sur ton téléphone. Le fait que tu ne répondes pas lui a fait craindre qu’il t’était arrivé quelque chose, vu que tu étais tout seul dans la nature. _ Je vais bien. Je soufflais à ma compagne, avec tendresse. _ J’ai appelé un vieil ami pour qu’il m’accompagne, et il part à l’instant. _ Et ton téléphone ? _ Je ne l’ai pas entendu, tout simplement. J’embrassais son front, sincèrement confus. _ Je suis désolé de t’avoir inquiété mon amour, je n’ai vraiment pas entendu mon téléphone. _ Alors, on peut savoir ce que la police a dit ? _ Hé bien James va être arrêté pour mon agression, dans un premier temps. Et en ce qui concerne Siloë, l’officier qui s’est occupé de moi m’a dit que le mieux serait de prendre un avocat, pour appuyer la demande d’ordonnance. _ Mais avec quel argent, Nolan ?
Me demanda Connor, agacé que j’insiste sur le sujet.
_ Le mien. Je vais faire débloquer des fonds que j’ai en Amérique, de sorte de les transférer sur mon compte ici, en Nouvelle Zélande. Je vais prendre tout à ma charge. _ T’es complètement fou. _ Oui, de ta sœur. Je l’aime comme un dingue, Connor. C’est la moindre des choses que je puisse faire pour la protéger, en attendant que je retrouve la vue. Je m’adressais à celle-ci, toujours dans mes bras. _ Car oui, je vais aller faire mes examens dès demain. Je ferais tout ce qui en mon pouvoir pour te protéger, toute ma vie. Je t’aime Siloë.
On ne se l’était pas assez dit, encore, à mes yeux plongés dans le noir.
_ Et vous, alors ? Vous avez pu discuter avec l’infirmière ?
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec Nolan mais je dois rompre avec James et je le vis plutôt bien. née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.
Tu laissais ton petit ami aller à la police avec ton portable. Tu avais décidé d’aller avec ton frère avec l’infirmière. Tu n’avais pas voulu choisir entre tous les deux mais tu n’avais pas trop eu le choix. Tu avais préféré y aller avec ton frère puisque sinon, tu savais qu’il t’en voudrait et il te le rappellerait probablement assez souvent que possible. Du moins, il t’en voudrait de ne pas le suivre. Tu avais donc été avec lui voir l’infirmière et heureuse elle avait pu vous aider. Tu crois que tu n’aurais pas trop apprécié le cas contraire. Tu étais rentré avec Connor et tu essayais de contacter Nolan mais il ne répondait pas. Tu prenais peur sur ce qui aurait pu se passer et tu regrettais maintenant. Tu n’aurais pas dû le laisser partir.
Tu vis finalement Nolan arriver et tu te rapprochais d’elle. Tu décidais de le prendre dans tes bras. Tu avais eu peur et il semblait s’en rendre compte. « J’ai juste cru que.. James était revenu te voir. » Tu lui lançais alors qu’il expliquait qu’il avait appelé un ancien ami et avait pas entendu le téléphone. Tu comprenais mieux et ta réaction était probablement démesurée mais avec les récents évènements, tu n’avais pu t’empêcher de penser ainsi. « Ca va mieux maintenant. » Tu lui disais alors qu’il était revenu.
Ton frère lui demandait donc comment s’était passé l’entretien avec la police. James allait être arrêté et c’était une bonne chose mais en revanche, pour ton cas il fallait quand même un avocat. Tu ne savais pas trop où tu allais trouver l’argent même si tu en avais un peu de côté. Cela ne suffirait pas pour un avocat. Tu pouvais travailler quelques heures en plus comme tu l’avais dit, cela ne te dérangeait pas. Tu fronçais les sourcils quand Nolan voulu payer les avocats. Il en était hors de question pour toi qu’il paye. C’était son argent mais il pouvait s’en servir pour autre chose que toi. « Nolan non.. je ne veux pas. Je veux dire, c’est ton argent et tu en auras probablement besoin un jour pour d’autres choses. C’est à moi de régler cette histoire avec mes moyens. Je ne pourrais jamais te rembourser si ça se trouve en plus de ça. » Et tu ne voulais pas. Tu n’avais pas envie de commencer cette relation avec des dettes et ce genre de choses, loin de là. Oh vous ne seriez sûrement pas d’accord à ce sujet et Connor aussi, probablement.
Tu regardais ton petit ami et tu souriais quand il te disait qu’il t’aimait. Il ne l’avait jamais encore dit devant quelqu’un d’autre, même s’il s’agissait de ton frère et tu embrassais ses lèvres. « Je t’aime aussi Nolan. Et ta présence suffira à me protéger. » Tu lui disais et tu étais heureuse qu’il puisse aller voir pour sa vue. Vous n’aviez pas eu le temps d’en reparler à Chicago d’ailleurs. « C’est génial, si tu peux la retrouver. Je suis vraiment contente et.. est ce que je pourrais t’accompagner demain ? » Tu préférais le lui demander car tu avais encore deux jours de repos le temps de récupérer du voyage. Puis, c’était important pour lui et tu voulais être présente, qu’importe le résultat. Bien sûr, il pouvait vouloir faire cela tout seul de son côté pour x raison. Tu espérais en tout cas que les examens se passeraient bien.
Nolan vous questionnait désormais sur comment les choses s’étaient passées avec l’infirmière. « Oui on a du attendre un peu car elle bossait mais elle nous a dit qu’elle avait eu quelques doutes, car elle avait déjà connu le cas. Sauf que c’est toujours délicat d’en parler car si elle se trompe ou quoi. » Oui, cela aurait pu être pire pour elle si elle avait eu tort et elle aurait pu perdre son boulot. « Enfin elle nous a fait un témoignage écrit et qu’elle a enregistré aussi. Elle nous a laissé ses coordonnées. » Au cas où vous en auriez besoin et puis, la police souhaitera sûrement contacter cette personne pour avoir davantage de précisions. « Il faut que l’on donne son témoignage à la police, c’est à eux de s’en occuper maintenant. Mais est-ce qu’on peut leur donner demain ? Après le rendez vous de Nolan ? » Oui tu entendais déjà ton frère râler à ce sujet d’ailleurs. « C’est juste que je suis fatiguée du voyage et tout ça et que j’aimerais me reposer un peu. » Oui car tu ne rêvais que ce ça actuellement. Te reposer.
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Ven 29 Mar - 21:57
Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et officiellement en couple avec celle que j'aime et je le vis plutôt très bien, même si quelques détails gênants sont à régler avant que l'on soit parfaitement heureux.
Nous ne nous étions pas compris, je crois. Il n’était pas question d’acquérir une autorisation auprès des Reynolds, quant à l’utilisation future de ma petite fortune personnelle, dormant sagement sur un compte américain. Il s’agissait plutôt de faire part honnêtement d’un projet concret, autant que sérieux, que j’envisageais bien de mettre à exécution dans les jours à suivre. Un point sur lequel j’estimais qu’il était nécessaire de rebondir, avant qu’ils ne pensent tout deux pouvoir toujours me faire agir comme bon leur semblait.
_ Tu ne m’as surtout pas compris, Siloë. J’indiquais sérieusement à la jeune femme, rejetant d’entrée de jeu l’implication de son frère dans cette conversation de couple. _ Quand j’ai parlé de payer l’avocat intégralement, je ne te demandais ni ton autorisation ni ton avis. Et pour cause : c’est une question à laquelle j’ai mûrement réfléchi durant l’heure qui s’est écoulée, je confirme donc que je payerai les honoraires de cet avocat que tu le veuilles ou non.
C’était une annonce ferme autant que définitive, d’ailleurs. Je ne supporterais pas qu’elle s’y oppose, sous quelque forme que se soit. Elle était officiellement ma compagne, à présent. Elle devait donc se plier à cette exigence de ma part, que je trouvais on-ne-peut-plus normal au vu des circonstances.
_ Il y a des choses que tu ignores encore sur moi. Je repris plus doucement, caressant son dos avec tendresse, afin qu’elle sache que je n’étais pas en colère contre elle ni même son frère. _ Des choses dont je te parlerais plus tard, quand nous serons en tête-à-tête. Mais sache que l’argent n’est pas un problème pour moi, et que payer ton avocat ne m’empêchera pas de pouvoir réaliser d’autres projets, aussi bien personnels que pour notre couple. Je ne veux donc aucun remboursement de ta part. C’est cadeau.
C’était une preuve d’amour, entre toute autre chose. Une première d’une très longue liste, qu’elle n’imaginait même pas. Je souhaitais donc qu’elle en profite sans se poser de question, sans se faire de soucis. Je savais parfaitement ce que je faisais. J’ignorais juste comment j’allais lui exposer tout ce pan de ma vie que seule ma famille connaissait.
_ Rassure-moi, dans les choses que j’ignore sur toi, je présume, il n’y a pas un passé d’homme violent ?
Me demanda Connor, avec une pointe d’amertume, à la découverte de secrets que je conservais, y compris pour lui mon meilleur ami.
_ Non. Je le rassurais. _ Je ne ferais jamais aucun mal à ta sœur ou a qui que se soit. Ce passé est douloureux, d’où mon souhait de ne le partager avec personne, y compris toi.
Je devais revenir sur cette décision parce que les circonstances l’exigeaient, uniquement. Et je consentirai peut-être à lui partager également, une fois que ma petite amie saurait pourquoi j’étais aussi riche. Mais en attendant, le plus important ne résidait pas là, et je n’avais rien contre l’idée que Siloë m’accompagne chez le spécialiste, le lendemain, pour en savoir plus sur mon absence de vue.
_ Selon le spécialiste, il y a des chances que je la retrouve, oui. Je confirmais à sa supposition, avec tendresse, en amont à ma réponse. _ Et bien-sûr que tu peux m’accompagner. Tu es ma petite-amie, désormais. Cette visite te concerne autant qu’elle me concerne.
En amour, nous devions tout partager. Y compris les résultats de leur investigation à l’hôpital, auprès de l’infirmière l’ayant soignée par le passé. J’apprenais de la bouche de Connor que, après une longue attente dû à son travail prenant, l’expression de ses doutes passés sur le sujet, la jeune femme avait accepté de faire un témoignage écrit, avant de leur laisser ses cordonnés en cas de besoin.
_ C’est une excellente nouvelle. Je concluais alors, sincèrement ravi qu’ils aient également obtenu un résultat positif de leur côté. _ Bien que je ne démord pas que ce témoignage sera surtout utile à une main courante, pour la police. Je rebondissais au propos de Siloë, quant au fait de porter le témoignage à ces derniers. _ Ce qui sera déjà un excellent début pour te protéger. Je marquais ensuite une pause, très courte. _ Et je suis d’accord. Cela n’a rien d’urgent dans la mesure où James est déjà inquiété par les forces de l’ordre, pour mon agression. Nous irons donc demain, après ma visite, avant de nous rendre à la banque pour mon transfert d’argent. _ Ouais. Vous allez faire tout ça sans moi. Super. Soupira Connor, désabusé, vexé. _ Mais je comprends, hein. Il ne faudrait surtout pas que vous vous encombriez d’un boulet comme moi. Surtout que je ne suis bon qu’à cogner, de toute façon. _ Nous n’avons jamais dis ça. Je tentais de plaider en notre faveur, de sorte qu’il arrête de tout ramener constamment à lui, contre lui. _ Ta sœur et moi sommes fatigués, et nous pouvons très bien t’emmener avec nous si tu le souhaites. _ Non, c’est bon. Démerdez-vous sans moi.
A ces mots, j’entendis son pas précipité prendre la direction de la porte d’entrée, avant que celle-ci ne se referme violemment.
_ Il est tellement susceptible. Je soupirais à Siloë, épuisé, me sentant particulièrement incapable de supporter plus longuement ce comportement enfantin de sa part. _ Cela risque d’être un véritable problème s’il réagit toujours ainsi dès que l’on doit faire quelque chose ensemble.
Et j’étais très sérieux, en suggérant cela. Je ne pourrais pas éternellement me retrouver confronté à lui, particulièrement pour des choses aussi puériles. D’autant plus que rien ne l’empêchait de nous accompagner, si le cœur lui en disait. Enfin, qu’importait. Je ne le comprenais plus, je crois. Et je n’aspirais qu’à une chose, me reposer enfin en compagnie de ma petite amie.
_ Allons nous reposer, maintenant. Avec un peu de chance, il reviendra calmé.
Cela nous ferait du bien, qui plus est. Cela nous permettrait de gérer le problème avec encore plus de diplomatie, peut-être.
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec Nolan mais je dois rompre avec James et je le vis plutôt bien. née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.
Tu poussais un soupir aux mots de ton petit ami. Si, tu avais compris ce qu’il voulait dire. Seulement, lui n’avait pas l’air d’avoir compris que tu n’étais pas d’accord avec ça. Tu ne voulais pas qu’il paie parce que, à tes yeux c’était ton problème. Les soucis c’était entre toi et James, même s’il en avait été impliqué puisque ton ex l’avait frappé. Tu te sentais mal à l’aise aussi, car tu n’aimais pas forcément que l’on paie des choses pour toi. C’était beaucoup d’argent à tes yeux. Il semblait têtu et borné à ce sujet, autant que tu pouvais l’être également de ton côté. « Je.. c’est vraiment gentil et adorable de ta part Nolan mais c’est beaucoup d’argent quand même. » Tu lui disais alors même si apparemment tu ne savais pas tout sur lui et sur sa situation. En même temps, il avait raison sur le fait que tu ne le connaissais pas tant que ça. Ce que tu aimerais changer d’ailleurs. « Tu me diras alors. »
Tu levais les yeux au ciel quand ton frère lui demandait s’il avait un passé d’homme violent. N’importe quoi. Il devait bien le savoir puis comment est-ce qu’il voulait que Nolan le soit en ne voyant pas ? Il avait l’air de vous en vouloir pour quelque chose visiblement. Tu ne t’attardais pas dessus pour le moment puisque ton petit ami venait de te dire qu’il pouvait aller à l’hôpital, faire des examens pour ses yeux. Il pourrait peut-être retrouver la vue et tu savais que c’était important pour lui. Tu espérais que cela fonctionne pour lui, bien que ça ne changerait rien à l’amour que tu lui portes si jamais cela n’était pas possible. « Alors je t’accompagnerai dans ce cas. » Tu lui disais, caressant sa joue.
Tu venais de lui raconter ce qui s’était passé lors de votre escapade à l’hôpital pour trouver l’infirmière et qu’elle vous fasse un témoignage qui pourrait vous servir pour l’enquête. Tu ne voulais pas y aller toute suite cependant. Tu ne voulais pas sortir une nouvelle fois, vous pourriez le faire le lendemain. Connor se vexait une nouvelle fois. « Arrête Connor ce n’est pas ça.. » Ce n’était pas ce que tu avais dit ni même ce que tu voulais dire. « Mais enfin.. tu peux venir avec nous tu le sais très bien. » Tu lui disais également mais cela ne servait à rien puisqu’il quittait l’appartement en claquant la porte. Tu poussais un soupir, un peu blasée et tu ne comprenais pas ce qu’il voulait, ni même pourquoi il se comportait ainsi. « Je ne sais pas ce qu’il a en effet.. » Tu ne pouvais pas sans cesse te retrouver entre les deux, même si tu ne voulais pas en mettre un de côté plus que l’autre. Vous aviez cependant une relation différente. Nolan était ton copain et Connor ton frère, cela ne devait pas être si difficile quand même. « Je n’ai pas envie de me retrouver tout le temps entre vous deux non plus, je vous aime chacun à ma façon, même si vous ne pensez pas pareil. » Chacun avait sa personnalité, même s’ils étaient meilleurs amis, ce n’était pas pour autant qu’ils étaient toujours d’accord ni du même avis.
Nolan avait cependant raison et tu te dirigeais dans la chambre du jeune homme avec lui. Peu importe même si tu supposes que vous pouviez dormir ensemble, étant donné que vous étiez officiellement ensemble. Bon, tu ne savais pas s’il en avait envie tout comme toi. Tu fermais la porte derrière vous avant de t’approcher de ton petit ami et de venir l’embrasser. « Tu sais quoi.. on peut enfin être seuls, ça faisait un moment.. » Tu glissais tes bras autour de sa nuque. En effet, vous aviez toujours été occupé à Chicago, puis ici. Tu l’embrassais une nouvelle fois, ta langue venant chercher la sienne. « Et.. tu es officiellement mon petit ami maintenant. » Tu n’étais plus avec James officiellement et cela allait probablement s’arranger, du moins, tu espérais. Tu prenais la main de Nolan avant de le faire venir sur le lit avec toi. Tu venais te mettre sur lui, venant l’embrasser une nouvelle fois. « tu m’as manqué.. » Tu lui soufflais contre ses lèvres. « Mais tu es fatigué alors.. on devrait dormir un peu. » Bien sûr Siloë, comme si c’était ce que tu désirais actuellement..
Invité
Sam 30 Mar - 1:50
Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et officiellement en couple avec celle que j'aime et je le vis plutôt très bien, même si quelques détails gênants sont à régler avant que l'on soit parfaitement heureux.
Je me pinçais brièvement l’arrête du nez, passablement agacé. Je ne voulais pas me disputer avec Siloë pour cette histoire d’argent, quelque soit la somme en jeu. Je voulais qu’elle accepte mes intentions sans les remettre en questions. Je voulais surtout qu’elle sache appréciée cette volonté de ma part, à sa juste valeur. Ce qui ne me semblait pas compliqué », lorsque l’on savait de déceler dans mon geste une preuve d’amour. Était-ce trop subtil pour qu’elle puisse s’en apercevoir ? J’en venais à me poser la question, quand elle accepta de me laisser lui expliquer ces choses qu’elle ignorait sur moi.
_ Je le ferais dès que l’occasion s’offrira à nous, je te le garantie.
Je lui confirmais, sans relever davantage cette histoire d’argent. Je le confirmais d’autant plus que je ne doutais pas de l’importance de le faire, dans un avenir relativement proche. Siloë avait besoin de connaître mon passé difficile, douloureux, pour mieux accepter mon implication dans cette histoire. Et aux mots de Connor, je comprenais que je devrais également me résoudre à lui en faire part, tant mon meilleur ami n’appréciait pas d’avoir été exclu d’une anecdote importante de ma vie passé. Cela n’était pas volonté de lui cacher des choses, du reste. C’était simplement un besoin de tourner la page, de devenir quelqu’un d’autre. Et ce n’était pas une priorité d’en discuter, même si les Reynolds l’auraient souhaités. Les seules choses qui comptaient vraiment pour moi, en cet instant, c’était mon rendez-vous chez le spécialiste le lendemain, où Siloë serait également ; et le témoignage de l’infirmière de l’hôpital, qui serait utile à la plainte pour violence contre James. Deux sujets que nous acceptions d’un commun accord à remettre à plus tard, pour nous reposer, avant que cela ne provoque à nouveau le courroux de Connor. C’était incroyable qu’il prenne tout aussi personnellement, tout d’un coup. Que lui arrivait-il exactement, bon sang ? Quelle mouche l’avait piquée pour qu’il réagisse aussi puérilement, soudainement ? Je l’ignorais. Et si j’imaginais que sa cadette saurait mieux que moi le comprendre à cet instant précis, je fis chou blanc quand elle me confia ne pas savoir la raison de son comportement.
_ Ce n’est pas grave. Je lui soufflais alors, tendrement. _ J’imagine qu’il a besoin de temps pour encaisser les révélations qu’il a subit aujourd’hui.
Cela faisait beaucoup en une seule fois, du reste. J’espérais donc que sa petite sortie, pendant que nous nous reposerions, suffirait à le convaincre de ce calmer, afin de discuter plus posément des problèmes qui s’offraient à nous.
_ Et ne t’inquiète pas. Je ne compte pas me laisser aller à des chamailleries avec lui pour la moindre petite chose à venir. Je rassurais Siloë, a la suite, tandis qu’elle craignait d’être toujours prise entre nous deux, dans des conflits à venir. _ Nous allons dès à présent lui expliquer gentiment les limites qu’il ne devra pas dépasser, pour la paix dans notre colocation, et je suis certain qu’il s’y pliera sans problème.
Connor n’était pas un connard, du reste. Il était juste un grand frère hyper protecteur, se retrouvant face à la relation de sa sœur avec son meilleur ami. Cela ne devait pas être facile pour lui, autant que pour nous. Nous devions donc, prioritairement, trouver un équilibre tout les trois, de sorte que chaque relation que nous partagions, chacun d’entre nous, ne perturbe pas les deux autres. Cela prendrait du temps, cela allait s’en dire. Mais j’étais confiant. Je l’étais même suffisamment pour me sentir capable de me reposer avec ma petite amie, sans me faire plus de cheveux blancs à ce sujet. J’accompagnais donc celle-ci dans la chambre qu’elle avait choisit, que j’imaginais être la mienne au parfum que je sentais à notre arrivée, avant qu’elle ne ferme la porte sur nous deux. Je l’imaginais éreintée, d’ailleurs. Et j’étais très loin de la réalité. Elle semblait plutôt plus envieuse d’un moment d’intimité, trop longtemps attendu, à ce que ces mots me laisser croire.
_ Effectivement. Je lui murmurais sensuellement, l’emprisonnant dans mes bras accueillants, pendant que nos lèvres s’apprivoisaient à nouveau. _ Cela fait un très long moment que nous n’avons pas eu la chance d’avoir un peu d’intimité, tout les deux.
Nous aurions pu en trouver à Chicago, du reste. Il y avait des instants où la maison familiale était totalement vide, nous offrant des tête-à-tête bienvenues. Mais la simple idée d’avoir des rapports sexuels avec Siloë, dans le lit de mon oncle, avait le don de m’ôter toute libido envisageable. Un problème qui ne se poserait certainement pas en cet instant, alors que ma compagne se chargeait de nous installer confortablement dans mon lit, avant de s’étendre de tout son long sur mon corps. J’aimais cette prise d’initiative de sa part. Elle me démontrait qu’elle me désirait depuis longtemps, et je n’étais pas décidé à lui imposer une attente plus longue.
_ Toi aussi tu m’as manqué. Je lui soufflais contre ses lèvres, laissant mes mains glissaient sous son haut, sur la peau douce et chaude de son dos. _ Et il n’est pas question que je m’endorme avant que j’ai eu le plaisir de t’entendre gémir de plaisir à nouveau, ma beauté.
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec Nolan mais je dois rompre avec James et je le vis plutôt bien. née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.
TTu hochais la tête quand Nolan te disait qu’il te raconterait. Il est vrai que tu avais envie de le connaître davantage, de savoir qui il était. Tu voulais savoir sa vie, son passé ainsi que d’autres choses. C’était ton petit ami et il était important pour toi de le connaître autant que tu le pouvais. Cela t’était restée en tête le fait qu’il t’ait dit que vous ne vous connaissiez pas et tu ne voulais pas que ce soit le cas. Tu souhaitais réellement une relation avec lui, et pas uniquement basée sur le sexe. Ce n’était pas toi, pas Siloë. Toi tu étais une grande rêveuse, une amoureuse. Tu le laisserais donc te le dire lorsqu’il le souhaitait. Bien sûr, Connor semblait avoir mal pris le fait que ton petit ami veuille t’en parler à toi et pas à lui. C’était bien dommage. Vous ne vouliez pas le mettre à l’écart mais il n’avait pas laissé le temps de dire quoique ce soit puisqu’il était parti, fâché.
Tu comprenais cependant que cela ait été assez compliqué émotionnellement pour ton frère. Il s’était battu avec ton ex, il avait appris que tu te faisais maltraitée par James et que celui-ci avait frappé son meilleur ami. Tu crois bien qu’il avait son quota pour la journée et peut-être même pendant quelques jours. « Oui je pense mais je n’aime pas le voir ainsi enfin, peut-être que ça lui fera du bien de sortir un peu. » Tu espérais car tu ne voulais pas être fâchée avec ton frère. De plus, tu n’aimais pas cela mais tu pouvais comprendre le fait qu’il veuille être seul un moment. En revanche, tu n’avais pas envie qu’ils se prennent toujours la tête tous les deux. Tu ne supporterais pas cela et tu n’avais pas envie qu’il y ait toujours des conflits entre eux. Ils étaient meilleurs et le but n’était pas que leur amitié se détériore. « Oui je l’espère, on verra quand il reviendra. » Ton frère avait de toute façon toujours eu du mal avec les relations que tu avais. Connor voulait te protéger mais, il ne pouvait pas toujours le faire et puis Nolan était là maintenant. Tout ne serait pas toujours rose entre vous, il y aurait des hauts et des bas comme dans n’importe quel couple. Votre relation venait de débuter et tu ne savais pas encore comment cela allait se passer. Tu ne voulais pas y penser, simplement vivre au jour le jour.
Tu te retrouvais finalement dans la chambre de ton petit ami avec lui. Tu pensais au départ te reposer mais tu devais avouer qu’il te manquait et que vous n’aviez pas eu d’intimités et de moment à vous deux depuis un moment. Tu venais à l’embrasser alors qu’il enroulait ton corps de ses bras. « Oui c’est vrai et ça me manquait. » Tu lui disais alors avec un sourire. C’est vrai que tu aurais pu en avoir à Chicago mais ça n’avait pas été le cas. En même temps, son oncle était à l’hôpital et puis vous n’étiez pas chez vous. Tu dormais avec lui dans le lit de son oncle et tu n’allais pas faire cela dans ce lit. Tu étais un peu mal à l’aise face à cela. Tu te mettais sur le lit avec lui avant de t’installer sur lui. Tu gémissais en sentant ses mains sur ton corps nu. « Ca me semble un beau projet.. » Tu lui soufflais alors avant de l’embrasser une fois encore. Il finissait par déboutonner ton soutien gorge et tu te trouvais allongée sur le matelas. Tu gémissais en sentant ses lèvres sur toi alors que tes tétons se durcissaient à ses baisers. « Nolan.. » Tu soufflais en gémissant encore une fois. Tu sentais sa main sur ton intimité alors que tu le désirais déjà. Tu te sentais mouillée sous tes doigts. « Hum.. Nolan.. » Tu te mordillais la lèvre alors que ton corps se cambrait sous sa main. « Tu es trop habillé. » Tu lui soufflais avant de le pousser à ton tour sur le lit une nouvelle fois. Tu te mettais sur lui avant de déboutonner sa chemise. Tu venais embrasser son cou, son torse avant de descendre à ton pantalon. Tu venais de défaire la boucle de sa ceinture et faire glisser son bas. Ta main venait se logée dans son boxer alors que tu sentais déjà son envie bien présente et dure. Tu commençais alors à le caresser, lentement. « Tu m’attendais.. » Tu lui soufflais alors que tu continuais encore de le caresser. « Est-ce qu’il y a des choses que.. tu veux faire sexuellement parlant ? » Tu lui demandais en rougissant et bien contente qu’il ne te voit pas cette fois, toi et ta gêne.
Invité
Sam 30 Mar - 23:08
Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et officiellement en couple avec celle que j'aime et je le vis plutôt très bien, même si quelques détails gênants sont à régler avant que l'on soit parfaitement heureux.
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec Nolan mais je dois rompre avec James et je le vis plutôt bien. née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.
Tu souriais aux mots de ton petit ami. En effet, tu n’avais pas une grande expérience en matière de sexe mais tu en avais quand même un peu. Tu n’étais pas non plus une coincée ni quoique ce soit de ce genre. Tu savais aussi te montrer coquine. De ce fait, tu déboutonnais les boutons de la chemise de ton petit ami. Tu venais à embrasser son corps et retirer son pantalon de façon à t’occuper de son sexe que tu désirais déjà sentir en toi. Tu voulais prendre ton temps malgré tout, vous aviez désormais tout le temps d’en profiter. « J’espère bien que tu l’es.. » Tu lui soufflais alors que tu continuais tes caresses sur son membre, espérant bien le voir gémir davantage. Tu voulais l’entendre et tu voulais lui faire du bien aussi. Tu voulais que tous vos derniers soucis puissent s’envoler. « J’ai envie de toi aussi.. » Tu lui soufflais. Oui tu avais envie de lui mais tu voulais prendre ton temps encore une fois. Tu proposais finalement à ton petit ami d’essayer autre chose. Tu n’avais pas beaucoup d’expérience mais cela ne t’empêchait pas de vouloir essayer. Bien au contraire. « Ca me semble.. délicieux. » Tu lui soufflais avant de retirer son boxer et de retirer ta petite culotte. Tu venais à embrasser ses lèvres puis finalement, tu te positionnais de façon à ce qu’il puisse avoir accès à ton intimité et toi à son membre. Tu commençais alors à le prendre entre tes lèvres. Tu avais déjà fait cela et tu savais que Nolan appréciait. Tu commençais alors à lécher le bout de son membre avant de le prendre en bouche et commencer tes vas et viens avec celui-ci. Tu le sentais gémir en même temps qu’il s’occupait de toi. Tu te tortillais contre lui, appréciant ce plaisir alors que tu te pressais davantage contre ses lèvres, désirant le sentir. Tu sentais ton plaisir monter et se décupler en toi, ton propre plaisir et sentant le sien aussi. « Viens.. avec moi.. » Tu lui soufflais, voulant qu’il vienne avec toi. Et surtout, tu voulais qu’il te fasse l’amour après ça.
Invité
Dim 31 Mar - 21:20
Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et officiellement en couple avec celle que j'aime et je le vis plutôt très bien, même si quelques détails gênants sont à régler avant que l'on soit parfaitement heureux.