La situation Nous sommes en 2020, en Angleterre et plus particulièrement dans le monde magique. Depuis l'élimination de Lord Voldemort en 1998, les quelques Mangemorts encore présents ainsi que les derniers partisans du Seigneur des Ténèbres ont été traqués jusqu'au dernier. Certains ont été éliminés suite à leur résistance, d'autres ont eu une peine exemplaire à Azkaban et les plus dangereux de tous ont eu droit à une peine d'emprisonnement à vie.
Depuis les deux dernières décennies, le «clan» des Mangemorts n'existe plus, car Harry Potter et ses Aurors du Département de la justice magique veillent à ce que l'histoire de Tom Jedusor ne se reproduise pas. La magie noire est contrôlée de près ainsi que les commerces sur l'Allée des Embrumes. Pourtant, une petite communauté bien discrète de sorciers et de sorcières voulant appartenir aux ténèbres agissent dans l'ombre depuis quelques temps. Leur but ? Renverser le pouvoir actuel en s'attaquant au Ministère de la Magie, rien de moins. Pour ça, il faut s'y prendre par étape et l'attaquer de l'intérieur. Aujourd'hui, il est temps de frapper de grands coups afin d'entraîner de potentiels partisans dans leur course au pouvoir.
J'ai 29 ans et je vis dans le monde des sorciers, en Angleterre. Dans la vie, je suis propriétaire d'une boutique d'apothicaire dans l'Allée des Embrumes et potentielle Mangemort et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis une sorcière qui maîtrise les potions et de mieux en mieux les sorts considérés comme des malédictions et je le vis plutôt bien. > Son nom de famille n'est pas inconnu de tous. Son oncle est Walden Macnair, un ancien Mangemort. > Phoenix a tendance à changer sa couleur de cheveux. Blonde lorsqu'elle cherche à se fondre dans la masse et noir lorsqu'elle se retrouve avec les sorciers adeptes de la magie noire. > Le caractère de Phoenix est particulier, car elle est une jeune femme arriviste, débrouillarde et impétueuse. Du genre antipathique elle se fiche bien des sentiments ainsi que des émotions dans autres au point où elle semble dégager une certaine froideur. D'une franchise souvent cruelle, il n'en reste pas moins qu'elle peut être une excellente manipulatrice. La jeune sorcière a aussi un côté impavide, c'est-à-dire qu'elle ne ressent ni crainte ni peur, mais cela peut facilement l'amener a oublier la notion de danger.
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Godric's Hollow, ce fameux petit village célèbre et qui abrite maintenant en majorité des sorciers. Rares sont les moldus dans ce coin perdu de ton pays. Parfois, tu te demandes comment les moldus peuvent être aussi crédule et ne pas se rendre compte que la plupart de leurs voisins sont des sorciers. Ils font tellement preuve de naïveté qu’ils te font presque pitié. Quoique, un jour - que tu espères pour très bientôt -, ces mêmes moldus sauront la vérité, mais ils n’auront pas le choix de se soumettre à votre autorité. Tout est question de domination et de pouvoir. Ils croient l’avoir, mais ils se trompent. Vous, les sorciers, vous êtes les plus puissants des deux groupes, mais c’est vous qui devez vous abaisser à se cacher comme si vous étiez des erreurs de la nature. Ce décret, tu comptes bien le faire changer dès que possible, mais là encore, dans votre «clan», vous allez devoir décider qui va être à la tête du pouvoir lorsque vous aurez renversé le Ministère de la Magie. En vérité, si les membres de votre clan ne sont pas encore au courant ni même d’accord, tu vas prendre cette place qui te revient de droit que ce soit avec ou sans leur approbation. N’es-tu pas celle qui prend tous les risques en ce moment pour le bien de votre future organisation magique ? Aux dernières nouvelles, tu es la seule sorcière du groupe qui a réellement des liens avec les Mangemorts et cela te donne un petit avantage.
Walden Macnair. Ton oncle, mais il est avant tout un Mangemort qui a réussi à infiltrer le Ministère de la Magie dans le Département de contrôle et de régulation des créatures magiques à la Commission d'Examen des Créatures dangereuses pendant une quinzaine d’années. Aujourd’hui, il est décédé entre les murs de la prison d’Azkaban suite à sa peine à perpétuité. Tout comme tes parents d’ailleurs. S’ils n’étaient pas des Mangemorts à proprement parler, ils étaient très proches du Seigneur des Ténèbres et ils se plaisaient à le servir un peu plus chaque jour. Lors de leur arrestation, ils ont préféré résister au lieu de se rendre moins d’un an après la chute de Lord Voldemort. À cette époque, tu avais seulement 7 ans. Du jour au lendemain tu as été larguée chez de la famille éloignée afin d’y vivre jusqu’à tes 17 ans. Contre toute attente, tu vivais au sein d’une famille stable qui se souciait réellement de toi et qui n’avait rien à voir avec la magie noir, les ténèbres ou encore les Mangemorts. Pourtant, malgré les années que tu as passé auprès d’eux, tu n’as jamais été en mesure d’adopter une personnalité plus «lumineuse» -comme ils le disaient si bien -. Dès que tu as quitté ce nid familial, tu t’es vite débrouillée pour te trouver une habitation et compte tenu de ton talent avec les potions, tu as réussi à décrocher un emploi dans une boutique d’apothicaire sur l’Allée des Embrumes auprès d’un vieux sorcier que tu as apprécié. Grâce à lui, tu as réussi à en apprendre davantage sur la magie noire, les malédictions, les Mangemorts et aussi sur cet endroit. Maintenant contrôlée par le Ministère de la Magie dans l’intention de limiter les abus, l’Allée des Embrumes avait malheureusement perdu de sa «splendeur» depuis le début des années 2000. Malheureusement, pour ces imbéciles de sorciers effrayés par toutes les formes de la magie noire, il existait encore des sorciers adeptes de cette sorcellerie, mais il fallait savoir se cacher de la surveillance abusive du Ministère de la Magie. Il suffisait d’avoir quelques contacts et une bonne protection magique… Les années se sont écoulées, tu as été mise en contact avec d’autres sorciers voulant appartenir aux ténèbres grâce au vieil homme, puis suite à son décès, deux ans plus tôt, tu as pu prendre les rennes de la boutique et continuer tes petites activités.
Aujourd’hui, te voilà à Godric's Hollow, face à cette horrible statue érigée en l’honneur de Potter et de ses parents morts. Habillée d’une grande cape noire qui masque une partie de ton visage ainsi que tes vêtements gothiques, ton regard d’un bleu azur se promène de gauche à droite afin de valider qu’il n’y a personne autour de toi. Dans le ciel, le Soleil commence à décliner de plus en plus à l’horizon, signe qu’il fera nuit d’ici environ une heure. Presque au ralenti, tu sors ta baguette de sous ta cape, puis après quelques secondes de concentration, tu murmures un «confringo». L’effet ne se fait pas attendre, en moins de deux secondes, la tête de la statue ayant les traits du petit sorcier à lunette explose en une dizaine de débris, puis sans prendre la peine d’admirer ton oeuvre, tu réserves le même sort aux têtes des parents. Tu sais très bien que cette statue est «protégée» et que cela va alerter un Auror, surtout que tu as usé d’un sort considéré comme une malédiction. Sans attendre d’avantage, tu transplane immédiatement vers une autre destination sans prendre la peine de masquer ton passage.
Tu es debout au milieu d’une plaine déserte. À une centaine de mètres de ta position actuelle se trouve un boisé d’où tu peux entendre quelques oiseaux chanter. Certes, tu pourrais t’engouffrer entre les arbres et te cacher ou tout simplement fuir, mais ce n’est pas ton objectif. Ton dessein est bien plus sombre que ça. Avec un peu de chance, ta «dégradation d’un bien public» ne va pas attirer plusieurs Aurors malgré ton sort associée à la magie noire. Peut-être qu’ils penseront qu’un jeune sorcier un peu trop tête brûlé a voulu se lancer un défi. Ta capuche toujours enfoncée sur ta tête, ton regard bleuté scrute les alentours avec attention...
J'ai 26 ans et je vis dans le monde des sorciers, en Angleterre. Dans la vie, je suis Auror et je m'en sors super bien. Sinon, grâce à mon apprentissage, je suis une sorcière qui maîtrise les sortilèges et je le vis plutôt bien.
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Née de parent sorcier mort lors de la grande guerre à poudlard contre Lord Voldemort en 1998, j’ai était placée dans un orphelinat pour jeune sorcier. Mes parents n’avez pas de frère et sœur ni l’un ni l’autre et leur parent étaient malheureusement décédé. J’ai donc grandi à Londres dans un orphelinat de sorcier mélangé aux moldus pour ne pas perdre le rapprochement avec ceux-ci et leur égalité avec nous. Ils ne sont certes pas dotés de dons magiques mais ce n’est en rien une raison de leur faire la guerre. A mes 4 ans, une famille de moldue ma prise pour enfant et m’a élever comme la leur. J’ai était chouchouté et aimé comme leur propre filles et je leur dois beaucoup. Ma famille était au courant pour la magie, tous les enfants nés d’unions de parent sorcier sont placés dans des familles de sorciers ou moldues. Pour ces dernières, elles sont choisies au volet et mise au courant du monde secret qui les entoure pour préparer au mieux l’entrée à Poudlard.
Jusqu’à mes 10 ans je suis allée dans une école moldues sans que mes pouvoir se manifeste. Dans la petite ville du bord de mer tout ce sait et heureusement que mes pouvoirs se sont manifesté qu’a mes 11 ans juste avant l’entrée à Poudlard, une semaine avant pour être précise.
J’ai très vite aimé les cours de magie, bien différents des cours de mathématiques, anglais et histoires des moldus. C’est important d’avoir des bases dans leur monde mais aussi dans le nôtre. Ma première année c’est très bien passé, j’ai eu de bon résultat pour une sorcières élevées par des moldues. D’année en année, mes compétences en magie ce sont formés et m’ont permis de m’épanouir dans ce monde. Je n’ai jamais eu de réelle difficulté que ce soit dans la vie ou les cours.
Ma 7ème années terminée, mes BUSES et ASPIC réussie avec succès, je me suis dirigé vers le métier d’Auror pour protéger le monde magique des ténèbres qui restent dispersées et très peu nombreuse dans l’ombre grâce à la loi mais toujours présentes. Ma formation d’Auror fut également un succès. Pendant deux ans j’ai étudiée tous les sorts obligatoires pour réussir le concours final et je l’ai eu du premier coup.
Voilà maintenant 6 ans que je suis Auror. Je suis loin de la petite Auror du début de formation très peu sûre d’elle et inconsciente. J’ai gérer beaucoup de cas de fraude magique et de délit mineur magique.
Aujourd’hui est un jour spécial pour moi. C’est mon 26 ème anniversaire et le 24ème anniversaire de la mort de mes parents. A la fois un évènement heureux mais douloureux à la fois. Depuis que Harry Potter et devenu Auror et à la tête du Ministère de la Magie les lois sont justes et légales. Il n’y a pu de marché noir et le chemin de travers est très surveillé. Les lois sont appliquées minutieusement et Azkaban à était reconstruit après sa destruction par les alliées de Voldemort.
Me voilà à mon bureau, remplissant quelques paperasses pour le ministère sur une affaire de métamorphose. Un sorcier aurait accidentellement transformé sa compagne en chèvre après une dispute et beaucoup trop de verre de bierreaubeurre.
J’écris au propres mes notes sur la déposition de plaintes de la femme une fois celle-ci retransformé quand une alarme retentit. Ma baguette produit de la fumée noir. Cela signifie une violation de la lois sur la magie noire de niveau 4, le deuxième niveau. Un sort peu dangereux qui peut faire des blesser grave tout de même. Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que j’attrape ma baguette pour me transplaner sur le lieu du délit commis.
En une fraction de seconde, j’arrive dans un petit quartier anciennement moldu mais maintenant sorcier et le reconnait. Tout le monde le connaît. Godric Hollow’s. La résidence de Harry Potter et de sa famille Dursley. Je scrute les horizons pour voir s’il y a quelqu’un quand j’aperçois les statues en hommages à la famille Potter et au Ministres de la Magie Harry Potter décapité. Une grimace de mécontentement. D’un coup de baguette je lance un reparo et regarde autour de moi les indices magiques pour pouvoir suivre la trace de la personnes qui à jeter le sort. Ce doit être un gamin mais il doit tout de même être punie pour.
Mon collègue, un grand barbu, transplane au moment où les statues redeviennent intactes.
« C’est un gamin qui s’est amusée avec les statues. Je pars à sa recherche j’ai trouvée des traces magiques. Retourne au ministère pour leur dire que tout est OK je reviens avec le gamin. »
Sans laisser le temps à mon collègue de répondre, je transplane vers le lieu où les traces magiques me mènent. Les traces sont simples à suivre, le gamin doit vraiment être novice pour laisser autant de trace comme ça.
Mon transplanage se termine dans une plaine déserte, d’ici on peut apercevoir le quartier de Godric Hollow’s un peu plus bas en pente. Je scrute l’horizon cherchant des indices derrière moi quand je lève la tête et vois une femme, vêtue de noir, portant la signature des indices. Je le vois à ma faculté d’Auror qui permet de voir si la magie entoure ou non un être doté de pouvoir magique ou non. Surpris que ce soit une femme plus âgée qu’un ados, je ne bouge pas, tenant ma baguette devant moi prête à attaquer ou me défendre tout en disant.
« Que faites-vous ? Vous venez de violer une des lois de niveaux 4 en utilisant la magie noire. Déposé votre baguette au sol et reculer de 10 pas le temps que je la prenne ensuite nous discuterons de votre délit et je vous emmènerais au ministère pour répondre de vos actes. »
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Kitkat
Sam 27 Juin - 6:28
Phoenix Macnair
J'ai 29 ans et je vis dans le monde des sorciers, en Angleterre. Dans la vie, je suis propriétaire d'une boutique d'apothicaire dans l'Allée des Embrumes et potentielle Mangemort et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis une sorcière qui maîtrise les potions et de mieux en mieux les sorts considérés comme des malédictions et je le vis plutôt bien. > Son nom de famille n'est pas inconnu de tous. Son oncle est Walden Macnair, un ancien Mangemort. > Phoenix a tendance à changer sa couleur de cheveux. Blonde lorsqu'elle cherche à se fondre dans la masse et noir lorsqu'elle se retrouve avec les sorciers adeptes de la magie noire. > Le caractère de Phoenix est particulier, car elle est une jeune femme arriviste, débrouillarde et impétueuse. Du genre antipathique elle se fiche bien des sentiments ainsi que des émotions dans autres au point où elle semble dégager une certaine froideur. D'une franchise souvent cruelle, il n'en reste pas moins qu'elle peut être une excellente manipulatrice. La jeune sorcière a aussi un côté impavide, c'est-à-dire qu'elle ne ressent ni crainte ni peur, mais cela peut facilement l'amener à oublier la notion de danger.
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Cinq. Tu espères ne pas te retrouver face à plusieurs Aurors. Certes, tu sais te défendre et tu as la magie noire de ton côté, mais tu as parfaitement conscience que tu ne fais pas le poids contre trois ou quatre Aurors. Puisque tu n’as pas utilisé ce sortilège contre un autre sorcier ou encore tenter de commettre un meurtre, tu ne cours pas le risque de retrouver face à un groupe d’Aurors venu spécialement pour t’arrêter. Quatre Tu aimerais confirmer que tu as tout prévu de A à Z et que pratiquement rien ne peut venir te mettre des bâtons dans les roues, mais cela serait mentir. Tu as planifié les grandes lignes de ton plan et tu as une «sortie de secours» au cas où, mais tu ne peux pas dire que tu es à l’abri du moindre risque ou d’un quelconque imprévu. Tu ne peux pas prévoir parfaitement la réaction des autres, donc tu vas devoir faire confiance à ta débrouillardise. Trois La peur n’est pas une émotion que tu es en mesure de ressentir et ce, depuis ton enfance. Tu as toujours eu le chic de te mettre dans des situations jugées délicates, mais tu avais aussi le talent pour t’en sortir la majorité du temps indemne. Il suffit parfois d’une petite touche de manipulation et le tour est joué. Ce que tu es en train de faire là reflète parfaitement cet aspect de ta personnalité. Deux Tu mérites de prendre les rênes du pouvoir lorsque le Ministère de la Magie sera de l’histoire ancienne. Mieux encore, cette place te revient de droit, car aux dernières nouvelles, en plus d’être une Sang-Pur, tu as un membre de ta famille qui a été un Mangemort jusqu’à son dernier souffle. Jamais il n’aurait courbé l’échine devant qui que ce soit et tu comptes bien faire la même chose jusqu’à la fin. Si tu dois prendre les armes contre ton propre clan, tu n’hésiteras pas à le faire une seule seconde. Ceux qui te resteront fidèles mériteront ta reconnaissance. Un Tout est prêt et tu es prête. C’est que tu en trépignerais presque d’impatience, mais tu sais te contrôler, surtout dans ce genre de situation. Malheureusement, la plupart des Aurors sont loin d’être des sorciers bêtes et aisément influençable. Pour ça, il faut leur donner un petit coup de pouce...
Zéro. La voilà. Une femme. Tu ne sais pas si tu dois être contente ou bien déçue. Si les femmes sont souvent plus ouvertes au dialogue, tu as plus de facilité à duper les hommes. Des yeux doux et un joli sourire puis les voilà déjà en train de baisser leur garde de quelques crans. Étant presque petite du haut de ton un mètre soixante trois, ton apparence physique n’est pas du tout menaçante. Tu es à des années-lumière de ressembler à Bellatrix Lestrange. Quoique, sa santé mentale ne jouait pas en sa faveur.
Un petit sourire se dessine sur tes lèvres lorsque la jeune Auror prend la parole. Si tu doutes qu’elle puisse apercevoir ton sourire sous ta capuche, tu tentes tout de même d’adopter un ton qui se veut un minimum sincère après t’avoir récité ton «crime» comme un bon petit soldat. «Oh honey, tout ça n’est qu’un malentendu. Je ne m’attendais pas à ce que le sortilège fonctionne. J’étais curieuse de voir son effet et j’ai visé la mauvaise cible.» Avec la moitié de ton visage caché sous ta capuche, il est difficile de distinguer correctement tes traits. À la base, ton visage ne reflète pas du tout ton âge - la plupart des gens préfèrent fixer tes yeux plutôt que de regarder l’ensemble de ta personne - et ta voix ne sonne pas comme celle d’une femme qui approche dangereusement de la trentaine. Tu peux passer pour une jeune sorcière un peu idiote qui a décidé de jouer avec des forces qu’elle ne maîtrise pas du tout.
«Je n’ai pas l’intention de résister, vous allez vite comprendre que tout ça n’est qu’une erreur… Voilà ma baguette.» Déclares-tu sérieusement alors que tu déposes sur l’herbe non pas ta propre baguette, mais celle du vieil homme que tu considérais comme ton «maître des potions». Préférant te léguer cet objet au lieu d’être enterré avec, tu l’avais gardé précieusement jusqu’au jour où elle te serait utile lors d’une situation délicate - comme celle-ci d’ailleurs -. Sans une baguette sur toi, tu n’as aucune chance de t’en sortir si tout vient à tourner au vinaigre. Alors que tu recules de quelques pas sans détacher ton regard de la jeune femme, tu reprends à nouveau la parole. «Maintenant que je suis désarmée, nous pouvons discuter en toute quiétude.» Encore un sourire, mais celui-ci est faussement sympathique. Ton but est de te montrer rassurante afin qu’elle ne te voit pas comme une menace. Bien entendu, tu pourrais retirer ta capuche pour lui exposer ton visage au grand jour, mais puisque ton plan n’est pas sans faille et qu’il existe un danger potentiel pour ta sécurité, tu préfères attendre le bon moment qui ne saurait tarder.
«J’imagine que vous allez me poser les questions suivantes, quelle est mon identité, comment j’ai appris ce sortilège, pourquoi l’avoir utilisé et pourquoi avoir transplané ici ? Tout ce que je peux vous dire, c’est que la curiosité est un très vilain défaut et que je suis sincèrement désolée pour les dégâts que j’ai causé par mon action inconsciente.» C’est que tu es presque convaincante pour laisser transparaître des remords que tu ne ressentiras jamais de toute ton existence. Tu mériterais presque un prix. En vérité, tu n’as pas l’habitude de présenter tes excuses, pire encore, cela te donne l’impression de ressentir un goût âcre dans ta bouche chaque fois que tu demandes pardon et ce, même si tu joues la comédie. «Tenez-vous toujours à m’amener au Ministère de la Magie ?» Tu doutes très fortement d’avoir une réponse négative de la part de l’Auror, mais ça, tu t’y attends. À l’intérieur de ta cape, qui couvre une bonne partie de ton corps, se cache une poche assez grande à la hauteur de ta main droite pour dissimuler ta baguette magique ainsi qu’un petit sac contenant une étrange poudre que tu as toi-même fabriqué. Une petite poudre de charme comme tu aimes l’appeler. L’effet sur ta victime n’est pas permanent, mais celui-ci peut perdurer pendant environ deux jours avant de voir son effet complètement disparaître - merci à ta maîtrise des potions et à ta connaissance des ingrédients -. Tout ce que tu dois faire, c’est de souffler ta fameuse poudre au visage de ta cible, mais pour ça, celle-ci doit être assez proche de ta petite personne. Il faut seulement que tu sois patiente, car elle ne peut pas te faire transplaner de force à distance...
J'ai 26 ans et je vis dans le monde des sorciers, en Angleterre. Dans la vie, je suis Auror et je m'en sors super bien. Sinon, grâce à mon apprentissage, je suis une sorcière qui maîtrise les sortilèges et je le vis plutôt bien.
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Me voilà au bord d’un bois au milieu de nulle part. J’ai transplané ici sans réfléchir au danger qui pourrait me guetter en arrivant. Par chance c’est une jeune femme qui est ici. Elle semble se cacher et à tout l’air de détenir des informations sur ce qu’il s’est passé.
Sans attendre je lui ordonne de jeter sa baguette en restant sagement devant moi et de reculer pour que je récupère sa baguette sans soucie. Je dois appliquer la procédure et récupérer la baguette, faire le sortilège me permettant de voir les derniers sort utiliser avec celle-ci puis de conduire la jeune femme au ministère.
Alors que je lui explique qu’elle vient de violer l’une des plus importantes lois en matière de magie en utilisant un sortilège de magie noire, celle-ci m’informe qu’elle ne pensait pas à mal quand elle l’a fait. C’était un malentendu. Sa justification me révolte.
« Jeune femme vous êtes inconsciente. Utiliser un sortilège de ce niveau-là ne relève pas de la curiosité mais de l’inconscience dans votre cas si votre versions des faits est vrai. Je vais m’avancer, ne bouger pas je récupère votre baguette »
J’ai attendu qu’elle se recule pour m’avancer vers elle, rageant de l’inconscience de la jeune femme. Sa voix et son attitude m’a tout l’air d’une jeune femme âgée de 20 ans vois moins. Mais je reste tout de même sur mes gardes alors qu’elle m’avait avertie qu’elle ne résisterait pas avant de jeter la baguette au sol.
Voyant qu’elle ne bouge pas, je m’avance jusqu’à elle et me penche en baissant ma baguette pour ne pas lui faire plus peur. La pauvre doit être effrayée d’avoir utilisé un tel sortilège et surtout de voir une auror la contrôlée pour un accident. Je ne crois pas encore à ses dires mais elle me fait tout de même de la peine. C’était convaincant ce qu’elle m’avait dit pendant mon chemin jusqu’à sa baguette. Il est vrai que je lui aurais posé ses questions et ses réponses sont louables.
Je récupère la baguette et jette le sortilège dessus et vois qu’elle n’a utilisé qu’un seul sortilège. Celui-là même qui m’a fait venir. C’est mots et la baguette me prouve que son histoire est cohérente. Je sors de mes pensées quand elle me demande si je veux toujours l’emmener au ministère. Je réfléchie silencieusement en la regardant, rangeant la baguette dans ma poche arrière de Jeans.
« Malgré que vos propos et la vérification de la baguette concorde, je suis obligé de vous emmener au Ministère de la Magie pour conclure cette histoire. Je crois à votre version de l’histoire mais vous devrez être plus prudente à l’avenir. Je vous emmène seulement pour un avertissement et une petite amende pour dégradation de bien publique par la magie. »
Doucement, je range ma baguette et m’avance vers la jeune femme en tendant ma main. Sa cape me cache son corps et ses mains mais le temps n’est pas très ensoleillé ses derniers temps et la pluie tombe assez rapidement dans ce pays.
« Donnez-moi la main nous allons transplanez ensemble. Ne me lâcher pas sinon vous aurez des douleurs très désagréable. »
Je suis assez proche d’elle pour voir ses yeux bleus et sentir son parfum. J’inspire celui-ci en souriant légèrement. Si elle aurait Cinq ou six ans de plus je pourrais peut être l’inviter à un bar boire une bierraubeurre. Mais elle doit tout juste avoir 20 ans et je ne souhaite pas avoir de problème.
La main tendu devant moi, j’attends qu’elle me la serre pour que nous transplanions ensemble.
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Kitkat
Sam 18 Juil - 7:02
Phoenix Macnair
J'ai 29 ans et je vis dans le monde des sorciers, en Angleterre. Dans la vie, je suis propriétaire d'une boutique d'apothicaire dans l'Allée des Embrumes et potentielle Mangemort et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis une sorcière qui maîtrise les potions et de mieux en mieux les sorts considérés comme des malédictions et je le vis plutôt bien. > Son nom de famille n'est pas inconnu de tous. Son oncle est Walden Macnair, un ancien Mangemort. > Phoenix a tendance à changer sa couleur de cheveux. Blonde lorsqu'elle cherche à se fondre dans la masse et noir lorsqu'elle se retrouve avec les sorciers adeptes de la magie noire. > Le caractère de Phoenix est particulier, car elle est une jeune femme arriviste, débrouillarde et impétueuse. Du genre antipathique elle se fiche bien des sentiments ainsi que des émotions dans autres au point où elle semble dégager une certaine froideur. D'une franchise souvent cruelle, il n'en reste pas moins qu'elle peut être une excellente manipulatrice. La jeune sorcière a aussi un côté impavide, c'est-à-dire qu'elle ne ressent ni crainte ni peur, mais cela peut facilement l'amener à oublier la notion de danger.
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Ton plan se déroule à merveille et tu peux en être fière. Si tu ne contrôlais pas avec une certaine facilité ton expression faciale, un petit sourire de satisfaction pourrait bien s’afficher sur tes lèvres. Sauf que ce n’est pas le temps de créer des soupçons à ton égard. Présentement, tout semble jouer en ta faveur entre ta taille plus ou moins dans la moyenne, ton apparence physique - certes cachée, mais ce n’est qu’un détail - le choix de tes mots et ta «docilité» à écouter ses ordres te permet de mener à terme ton objectif principal… Pendant que tu l’observes ranger la baguette de ton «maître des potions», tu ne bouges pas d’un pouce lorsqu’elle commence à s’avancer dans ta direction.
«Je suis sincèrement désolée...» Tu murmures presque tes excuses lorsqu’elle t’annonce que tu vas recevoir un avertissement ainsi qu’une amende. C’est qu’elle semble ressentir une forme de pitié envers ta petite personne ? La bonne blague. Si elle savait ton nom de famille ainsi que ton lien de parenté avec ton oncle, ce n’est pas qu’une simple amende que tu aurais comme conséquence. Une sorcière liée par le sang à un Mangemort et qui tente d’utiliser la magie noire sans mettre en place la moindre protection ne resterait pas impuni par le Ministère de la Magie. «Je vais vous suivre...» Déclares-tu alors que tu esquisses un petit sourire sur tes lèvres au moment où sa main se tend vers toi. Lorsque tu sors ta main droite de sous ta cape, au lieu d’attraper la sienne, ton conserves ton poing fermé jusqu’à ce que celui-ci soit au niveau de son visage. À la seconde où tu ouvres tes doigts, une espèce de petite poudre argentée se trouve dans le creux de ta paume et tu t’empresses de souffler ta «poudre de charme» dans sa direction. Afin d’éviter qu’elle se recule sous l’effet de la surprise que tu viens de lui balancer au visage, tu saisies rapidement son poignet pour qu’elle reste en place.
«Prends de profondes inspirations, ça va bien se passer... Regarde-moi maintenant.» Ta voix est calme pour ne pas dire carrément douce à son égard et ton regard bleuté n’est pas aussi glacial qu’à son habitude. Lorsque tu juges que la situation est sous ton contrôle, tu relâches finalement son poignet. Maintenant, il est temps de passer aux choses sérieuses. Tu n’es pas là pour prendre racine et tu ne sais pas si cette femme a des collègues qui vont partir à sa recherche. «Honey, avant de commencer, puisqu’on va apprendre à se connaître toi et moi, nous pouvons laisser tomber les «vous». Ils sont irritants et inutiles pour nous deux.» Tu n’es pas là pour user de la politesse et faire une bonne impression. Quelques choses te dit que tu n’as pas des heures devant toi pour la questionner. «Tu sembles jeune, plus jeune que moi. Tu ne dois pas travailler au Ministère de la Magie depuis plusieurs années, mais ce n’est pas un problème.» C’est que tu réfléchis à haute voix, mais tu t’en fiches, tu fais simplement une constatation. Peut-être avez-vous fréquenté Poudlard en même temps - quoique rien ne te permet de croire qu’elle a fait ses études là-bas -, mais à quelques années d’écart. Pourtant, son visage ne te revient pas en mémoire... Puisque vous conservez toute les deux une certaine proximité, tu ne te gênes pas pour attraper son menton entre ton pouce et ton index pour bien abaisser son regard vers le tien tout en lui adressant un petit sourire plus ou moins rassurant.
«Nous allons avoir une belle petite conversation sweetheart…» Lentement, tu rapproches ton corps du sien tout en retirant ta main de son menton afin de la glisser dans son dos jusqu’à la poche arrière de son jean. Lorsque tu as l’objet que tu désires en ta possession, tu te recules de deux pas tout en levant «ta» baguette devant toi. «Mais avant, je récupère ceci.» Sans perdre de temps, tu glisses l’objet magique à l’intérieur de ta cape, puis tu retires doucement la capuche qui masquait une partie de ton visage pour que la jeune sorcière soit en mesure de se souvenir de toi. Certes, c’est en quelque sorte une arme à double tranchant que de dévoiler ton visage, mais tu ne peux pas te contenter de rester une inconnue à ses yeux. Pour que ta poudre fonctionne correctement, ta petite personne doit s’imprégner ta sa mémoire… Pendant que tu replaces une mèche de ta chevelure foncée derrière ton oreille, tu entames à nouveau la conversation. «Je vais débuter les présentations, mais la mienne sera courte. Tu n’as pas besoin d’avoir plus de détails sur moi, du moins pour le moment. Tu peux m’appeler Phoenix et je suis à la recherche d’un sorcier ou d’une sorcière qui pourra m’aider à obtenir des informations sur le Ministère de la Magie. Je crois que j’ai trouvé la bonne personne et si tu réponds bien à mes questions, nous allons nous revoir souvent.» Oui, tu envisages une «relation à long terme» jusqu’à ce que tu n’aies plus besoin de ses services. À ce moment-là, tu trouveras un moyen de t’en débarrasser. Qui sait, tu auras peut-être l’occasion de tester la magie noire sur une Auror. Plus tu y penses, plus cette idée te plaît.
«Qui es-tu et tu occupes quel rôle au sein du Ministère de la Magie ? Principalement la magie noire ou les délits mineurs ? Est-ce qu’un Auror va venir te chercher ici si tu ne retournes pas bientôt au Ministère ? Soit honnête avec moi sans lésiner sur les détails et tout se passera bien.» Si cette sorcière a un minimum d’expérience au compteur, ses réponses pourront t’être utiles. Tu pourras en juger par toi-même dans les prochaines minutes. Si un sorcier du Ministère de la Magie doit se pointer prochainement au milieu de cette plaine déserte, tu n’hésiteras pas à vous faire transplaner, toi et ta «nouvelle amie».
J'ai 26 ans et je vis dans le monde des sorciers, en Angleterre. Dans la vie, je suis Auror et je m'en sors super bien. Sinon, grâce à mon apprentissage, je suis une sorcière qui maîtrise les sortilèges et je le vis plutôt bien.
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Tendant la main devant moi, j’explique à la jeune femme qu’elle doit me donner sa main pour que nous transplanion ensemble au ministère de la magie afin d’établir l’amende. La voix de la jeune femme me fait frémir et je la sens timide malgré sa mignonne silhouette.
Doucement, alors que la baguette est rangée contre ma fesse dans ma poche arrière de mon jeans, je la vois levé le poing vers mon visage. Je la regarde en fronçant les sourcils, suspectant quelque chose et prête à transplaner si nécessaire.
Je n’ai pas le temps d’y penser plus quand elle ouvre son poing, me laissant voir une sorte de poussière qu’elle me souffle au visage. J’essaie de me reculer mais celle-ci agrippe mon poignet pour me laisser inspirer la brume magique. Sa voix douce me rassure alors que je commençais à paniquer en me demandant ce qu’il se passe. Docilement, j’inspire la poudre et la regarde, la trouvant de plus en plus jolie.
Peu à peu je sens autour de moi l’environnement changé puis revenir normalement. Je fixe la jeune femme alors qu’elle me dit que nous allons discuter sans perdre de temps avec les marques de respect. J’hoche machinalement la tête à sa suggestion, attendant sa première question, frissonnante en entendant l’appellation qu’elle a pour moi « honey ».
« J’ai 26 ans et je travaille au Ministère en tant qu’Auror depuis la fin de mes études il y a six ans. »
Elle ne m’a pas posé de question directement mais ce fut instinctif de répondre à ses mots qui m’entoure d’une aura de chaleur et de bien-être. Je frissonne en la regardant, alors qu’elle s’avance vers moi, se collant presque complètement contre moi. Je sens sa main se glisser dans mon dos puis sur mes fesses et je laisse échapper un gémissement de plaisir et de surprise en la regardant. Elle a du récupérer sa baguette mais je m’en fiche, voulant qu’elle recommence se contact trop rapide. Entre de soupir d’aise, je me cambre légèrement, essayant de reprendre ma respiration en disant.
« Mhmm… Encore »
Ma raison revient à moi quand elle retire sa capuche, me laissant ainsi admirer la beauté de son visage. Sans m’en apercevoir, je me mords la lèvre en la dévisageant, sentant le même frisson me parcourir. Ma main toujours tendu, se pose sur son ventre recouvert de tissus pour le caresser de mon pouce.
Elle me sort de mon état d’envie quand elle m’informe qu’elle s’appelle Phoenix et qu’elle est à la recherche d’une sorcière qui pourra l’aider à avoir des informations sur le Ministère de la Magie. J’hoche la tête à ses mots, d’accord avec elle. Phoenix m’interpelle en disant qu’elle à trouver ce qu’il lui fallait et je comprends que c’est de moi qu’elle parle. Souriante, heureuse de pouvoir l’aider, je rougie en me rendant compte qu’elle me veut dans sa quête.
« Je ferais ce qu’il faut pour t’aider Phoenix. Je suis à ton service. »
Elle me regards et je me sens gêner comme une gamine devant son premier amoureux. Des picotements se font dans mon cou et mon ventre alors que je l’écoute me demander ce que je fais exactement au ministère.
« Je suis Auror et je travaille pour le Ministère de la Magie en enquêtant dans les affaires de magies mineures comme celle de magie noire. Je suis réputé pour mes affaires terminées rapidement et efficacement. Un Auror peut venir me chercher si j’envoie un signal avec ma baguette sinon il n’y aura aucune autre personne en notre compagnie. Je suis heureuse de t’aider Phoenix et je n’appellerais aucun Auror. Pour te prouver mon honnêteté, je te prête ma baguette le temps de notre discussion. »
Sans réfléchir aux conséquences, je sors ma baguette et lui tend de mon autre mains, laissant l’autre s’aventurer sur ses hanches puis ses fesses alors que je me mords une nouvelle fois la lèvre.
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Kitkat
Ven 7 Aoû - 7:10
Phoenix Macnair
J'ai 29 ans et je vis dans le monde des sorciers, en Angleterre. Dans la vie, je suis propriétaire d'une boutique d'apothicaire dans l'Allée des Embrumes et potentielle Mangemort et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis une sorcière qui maîtrise les potions et de mieux en mieux les sorts considérés comme des malédictions et je le vis plutôt bien. > Son nom de famille n'est pas inconnu de tous. Son oncle est Walden Macnair, un ancien Mangemort. > Phoenix a tendance à changer sa couleur de cheveux. Blonde lorsqu'elle cherche à se fondre dans la masse et noir lorsqu'elle se retrouve avec les sorciers adeptes de la magie noire. > Le caractère de Phoenix est particulier, car elle est une jeune femme arriviste, débrouillarde et impétueuse. Du genre antipathique elle se fiche bien des sentiments ainsi que des émotions dans autres au point où elle semble dégager une certaine froideur. D'une franchise souvent cruelle, il n'en reste pas moins qu'elle peut être une excellente manipulatrice. La jeune sorcière a aussi un côté impavide, c'est-à-dire qu'elle ne ressent ni crainte ni peur, mais cela peut facilement l'amener à oublier la notion de danger.
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Tout fonctionne comme tu l’as prévu, ta «poudre de charme» semble agir rapidement sur la jeune sorcière. Tu n’as pas besoin de lui poser de questions en lien avec son identité qu’elle prend déjà les devants pour t’indiquer son âge ainsi que ses années d’expérience au sein du Ministère de la Magie. Avec un peu de chance, tu n’auras pas à insister pour que ton petit pantin réponde à tes questions et de cette façon, tu ne vas pas perdre ton temps si cette dernière n’est pas en mesure de répondre à tes attentes. Certes, la sorcière est plus jeune que toi, mais quelque chose te dit qu’elle risque de te satisfaire. Aussi, tu n’as pas le luxe de changer d’Auror comme tu le souhaites et tu n’as pas envie de répéter ce petit manège à plusieurs reprises.
L’esquisse d’un sourire étire tes lèvres lorsque tu sens que la jeune femme se laisse aller quand ta petite personne entre en contact son corps. «Je crois que mon charme fonctionne plutôt bien… Peut-être même un peu trop bien.» Déclares-tu sans chercher à rompre votre contact, sa main sagement posée sur ton ventre. Afin de t’assurer du bon fonctionnement de ta «poudre de charme», tu n’as pas hésité à augmenter la dose de certains ingrédients, mais tu ne t’attendais pas à un effet aussi efficace. Quoique, as-tu réellement une raison de te plaindre du résultat ? Tu as sous les yeux une sorcière qui est prête à être à ton service afin que tu puisses parvenir à tes fins et en bonus, cette dernière semble nourrir un certain désir à ton égard. Que peux-tu demander de plus ? Cette Auror fera un outil parfait qui va t’obéir au doigt et à l'œil.
Alors que la jeune sorcière répond aux questions avec tous les détails que tu lui as demandé - et que tu prends la peine d’enregistrer dans un coin de ta mémoire -, tu ne peux pas t’empêcher de hausser légèrement un sourcil au moment où elle te tend sa propre baguette magique. Sans hésitation, tu attrapes sa baguette pour la glisser dans ta poche intérieure comme si la situation était totalement normale. Maintenant, tu n’as plus à craindre qu’un autre Auror se pointe ici suite à un «appel de détresse». «Je te remercie de ta confiance My Love.» Si tu sens d’abord sa main glisser de ton ventre à tes hanches, chose qui ne te fait pas broncher, tu laisses échapper un petit rire bref quand tu sens sa main baladeuse se perdre sur tes fesses. «Oh, tu es du genre impatiente à ce que je vois et je ne connais pas encore ton prénom...» Avec une certaine forme de délicatesse, tu passes ta main à l’arrière de ton dos de manière à te saisir de son poignet, pour ensuite remonter celui-ci dans le creux de ton dos. Ce contact étant plus approprié à la situation, ton regard cristallin plonge à nouveau dans le sien. «Mais j’aime bien les personnes qui savent ce qu’elles veulent.» Non, tu n’es pas mal à l’aise avec le contact féminin, mais tu dois avouer que tu es quelque peu surprise de cette situation. Certes, tu ne comptes pas profiter immédiatement de son état, car tu dois suivre ton plan et éviter de gérer des débordements qui peuvent vite être hors de ton contrôle. Tu verras cela plus tard si une occasion que tu juges acceptable se présente.
«Dis moi, je suis curieuse, en dehors des gamins stupides qui veulent s’amuser avec ce qui est interdit, est-ce que tu as plusieurs enquêtes en cours sur la magie noire ? Est-ce que toi ou un de tes collègues vous avez arrêté des sorciers dernièrement en lien avec l’utilisation de la magie noire ?» Dans le but de l’encourager à parler, ta main droite va se poser sur son épaule, ta main faisant de lent va-et-vient sur le haut de son bras. Aux dernières nouvelles, tous les sorciers que tu connais personnellement qui exercent ou qui souhaitent exercer la magie noire sont toujours en liberté. Bien entendu, tu as conscience qu’il en existe bien plus à travers le pays et si tu arrives par un quelconque moyen à en faire libérer quelques uns, cela te donnera un net avantage contre le Ministère de la Magie. Si tu décides de t’engager dans cette voie, tu ne peux pas tout bonnement te pointer comme une fleur dans une prison magique et réclamer la libération de sorciers qui ont un intérêt pour les ténèbres. Si certains de tes congénères valent la peine que tu risques ta propre liberté afin de les faire sortir de là, tu es prête à faire preuve de témérité.
«Je veux savoir si le Ministère de la Magie prépare de nouvelles mesures pour lutter contre la magie noire ou tout ce qu’il juge «dangereux» pour la sécurité les sorciers. Tu n’es pas obligée de me répondre maintenant si tu n’as pas de réponses à me donner, tu pourras te renseigner à ce sujet.» Si la jeune Auror a des informations à ce sujet, cela peut te donner une avance sur le Ministère et tu pourras agir de manière encore plus discrète. Par contre, même si vous êtes au milieu de nulle part, ce n’est peut-être pas le meilleur endroit pour en discuter. Sans attendre plus longtemps, tu plonges ta main à l’intérieur de la poche de ton pantalon pour en sortir un petit bout de papier où tu y as griffonné une adresse. «Honey, je veux que tu viennes me rejoindre à cette adresse dès demain soir. Nous aurons plus d’intimité là-bas...» Dis-tu tout en lui offrant le bout de papier. Sur celui-ci, tu as écrit à la main l’adresse de ton ancienne maison familiale, celle que tes parents t’ont légué à leur décès et qui se trouve dans un «village» de sorciers. En temps normal, tu ne vis pas vraiment là-bas, car tu préfères largement ton petit aménagement qui se trouve au-dessus de ta boutique dans l’Allée des Embrumes, mais il t’arrive de temps en temps d’y remettre les pieds. Une maison de deux étages pour une seule personne c’est beaucoup trop grand. C’est en quelque sorte ton lieu de «vacances» dont tu es incapable de te débarrasser ou encore de vendre. De toute façon, qui voudrait acheter une maison ayant appartenu à la famille Macnair ?
«Ne parle à personne de notre rencontre et si on te pose des questions sur ta petite traque à la magie noire, tu dois inventer une histoire. Tu peux raconter qu’un pauvre gamin a été poussé au défi par ses amis, qu’il regrette son geste et ajoute autant de détails que tu veux tant que cela ait l’air crédible. N’hésite pas à inventer une autre histoire si tu dois t’absenter pour me rejoindre. C’est notre petit secret.» La dernière chose que tu veux, c’est que l’Auror commence à discuter de votre rencontre avec ses collègues. Ceux-ci n’étant pas «sous ton charme», ils vont vite réaliser que quelque chose ne tourne pas rond. «Je suis certaine que je peux te faire confiance et que tu ne vas pas me décevoir.» Alors que tu t’efforces de lui adresser un sourire sympathique, ta main droite délaisse son épaule afin de la diriger sur sa joue que tu caresses gentiment. Puis, comme pour lui signifier la fin de votre première rencontre, tu lui redonnes sa baguette magique et tu te dresses un peu la pointe des pieds dans l’intention de déposer un rapide baiser sur ses lèvres. Sans attendre une réaction de sa part, tu t’empresses de rompre le contact et de remettre ta capuche sur ta tête.
«N’oublie pas, je t’attends demain soir...» Ni une ni deux, voilà que tu transplanes loin de cette plaine déserte.
***
Voilà un peu plus de vingt-quatre heures que tu as quitté la sorcière. Pour l’instant, tu ne sais pas encore à quel point ton «charme» s’est atténué, mais les effets disparaissent complètement au bout d’environ quarante-huit heures. Même s’il te reste du temps, tu comptes bien lui en souffler à nouveau au visage pour éviter les mauvaises surprises… Habillée dans tes éternels vêtements gothique - ici tu n’as pas besoin de faire exprès de te fondre dans la masse -, tu attends patiemment la venue de l’Auror. Maintenant, tu dois simplement espérer qu’elle a de nouvelles informations à te donner et qu’elle sera surtout seule. Au besoin, ta baguette magique n’est jamais bien loin…
J'ai 26 ans et je vis dans le monde des sorciers, en Angleterre. Dans la vie, je suis Auror et je m'en sors super bien. Sinon, grâce à mon apprentissage, je suis une sorcière qui maîtrise les sortilèges et je le vis plutôt bien.
Cara Delinvingne :copyright:️ S3th
Hypnotisée par la poudre d'enchantement de la jeune femme en face de moi, je ne bronche pas à ses ordres, les exécutants sans problème. Le contact qu'elle entreprend sur mon corps ainsi que sa chaude et douce voix me fait frémir alors que je découvre ses yeux lorsqu'elle retire sa capuche.
Doucement, elle commence à me poser certaine questions qui pourraient, en temps normal, me faire l'effet d'en savoir plus sur le ministère de la magie. Cependant, totalement sous son charme, sa beauté et sa douceur, je commence à lui parler sans secret, révélant ainsi quelques informations du ministère de la magie.
"Il y a peu, nous avons arrêter un groupe de sorciers qui réalisaient des sorts interdits et de la magie noir. Certains on étaient déchue de leur fonction au seins de leur emplois, l'un d'entre eux étaient un ancien Mangemort et il à était emmené à Azkaban. Un jour, il y a une femme qui à été arrêter pour trafic d'animaux magiques et sortilèges impardonnable. Elle a aussi été emmené à Azkaban après son procès au ministère de la magie. Si j'ai d'autres informations je ne manquerais pas de te les dires ma belle."
Souriante, je m'approche d'elle alors que sa main saisie mon poignet, me faisant gémir de bonheur. Je sens sa fesse puis son bas du dos et je reste à sa demande sur se dernier. Doucement, alors que sa main se pose sur ma joue, je rougie en penchant la tête contre sa main. La sensation qu'elle me procure est tel que je me sens frémir à n'importe qu'elle parfum et contact avec elle. Souriante, elle m'indique la marche à suivre concernant notre entrevue et j'hoche la tête en souriant.
"Oui, je dirais qu'un groupe de jeune c'est amusé à jouer avec des maléfices et s'il faut j'inventerais d'autres choses. Je suis très doués pour ce genre de choses ne tends fait pas ma Belle."
Ayant dans la main le papier qu'elle m'a donnée quand elle m'a demandée de la rejoindre demain soir, je le met dans ma poche en hochant la tête à sa demande. Sa voix douce me fait gémir de plaisir, entièrement enveloppé par le désir et le plaisir d'avoir plus avec cette femme. Comme pour me féliciter de ce que j'ai accomplie pour elle, elle m'embrasse tendrement et je savoure ses lèvres sur les miennes même si le baiser était très chaste. J'ouvre les yeux pour la regarder et à sa demande, je la laisse se retirer de notre étreinte sans la quitter des yeux.
"Je serais à l'adresse indiqué demain soir. L'attente sera longue avant de nous revoir ma Belle mais je serais contente de te voir. J'espère avoir d'autres informations pour toi et j'aimerais que tu puisse me faire confiance à l'avenir."
A contre coeur, je la laisse se reculer de moi et je la regarde transplaner. Je sourit et transplane à mon tour vers les statues détruite. Un de mes collègues me regarde arriver et après m'avoir fixer pendant 2 minutes il me demande.
"Tout vas bien ? On n'a pas eu le temps de te suivre et tu as bloquer ta trace magique. Tu sais que tu n'as pas le droit de le faire Emily."
Je regarde mon collègue, sentant l'envie se dissoudre et je lui dit en fronçant les sourcils.
"Je vais bien. Ce n'était que des gamins et je les ai laissées partir car il ne faisait rien de mal que jouer. J'ai perdu ma baguette en chemin je vais devoir faire une demande pour en avoir une autre. En ce qui concerne la statue je vois qu'elle est réparé alors partons d'ici avant que les voisin s'inquiète plus et vienne nous poser des questions. Faites un rapport des statues et dite que ce ne sont que des gamins qui sont sans dangers."
Je laisse mon collègue devant la statue et transplane en direction du Ministère de la magie. Arrivée à mon bureau, je rédige mon rapport en précisant bien que ce n'était qu'un groupe de gamin, touriste et peu aimable, qui s'amusé et un sort à mal tourné. Je précise également que ma baguette à été perdu lors de mon retour en transplanant et que je dois faire une demande pour avoir une autre. La fin de la journée arrive et je reste après tout le monde pour récupéré certains dossiers et fouiner dans les archives des anciens et des nouveaux prisonniers et arrestations de ce dernier mois.
Le lendemain, la journée passe lentement, je ne cesse de pensée à Phoenix alors que mes recherches avancent et quand mes collègue me demande pour qu'elle raison je veux ses informations, je leur dis que c'est pour être au courant de ce qu'il se passe et limiter les arrestations abusives. Je part à l'heure du bureau et après avoir transplané chez moi, je me change, mettant une belle robe bleu avec un gilet violet et transplane à l'adresse indiqué sur le papier.
Arrivé devant la maison de campagne, je frémis en sentant l'odeur de Phoenix et je me dirige vers la porte de la maisonnée. Je frappe et attends sur le palier qu'elle m'ouvre. Le désir renait en moi, même si je sens l'attractivité envers la femme se faire moins grande. Je suis impatiente de la revoir et j'espère en apprendre plus sur elle et passer une bonne soirée avec celle-ci.
"Ma belle ? C'est Emily je suis là tu te souviens de notre rendez vous ? Je peux entrer ?"
J'ai 29 ans et je vis dans le monde des sorciers, en Angleterre. Dans la vie, je suis propriétaire d'une boutique d'apothicaire dans l'Allée des Embrumes et potentielle Mangemort et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis une sorcière qui maîtrise les potions et de mieux en mieux les sorts considérés comme des malédictions et je le vis plutôt bien. > Son nom de famille n'est pas inconnu de tous. Son oncle est Walden Macnair, un ancien Mangemort. > Phoenix a tendance à changer sa couleur de cheveux. Blonde lorsqu'elle cherche à se fondre dans la masse et noir lorsqu'elle se retrouve avec les sorciers adeptes de la magie noire. > Le caractère de Phoenix est particulier, car elle est une jeune femme arriviste, débrouillarde et impétueuse. Du genre antipathique, elle se fiche bien des sentiments ainsi que des émotions des autres au point où elle semble dégager une certaine froideur. D'une franchise souvent cruelle, il n'en reste pas moins qu'elle peut être une excellente manipulatrice. La jeune sorcière a aussi un côté impavide, c'est-à-dire qu'elle ne ressent ni crainte ni peur, mais cela peut facilement l'amener à oublier la notion de danger.
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Un coup de baguette fut suffisant pour faire disparaître toute cette poussière installée sur les divers meubles antiques de la maison. Demeure léguée par tes parents, la dernière fois où tu as dû mettre les pieds dans cet endroit doit remonter à quelques semaines, si ce n’est pas quelques mois. Malgré son passé peu reluisant, sachant quelle famille y vit - ou plutôt vivait puisque tu n’as pas l’intention de revenir vivre ici prochainement - depuis quelques générations, aucun sorcier n’avait encore osé entrer par infraction pour détruire ou encore voler certaines choses. Les sbires du Ministère de la Magie étant passés par là il y a de ça plus d’une vingtaine d’années, il n’y avait plus rien associé à la magie noire entre ces murs. Certes, les meubles et autres accessoires possédaient une certaine valeur monétaire, mais cela ne semble pas intéresser les sorciers de ce village. Qui sait, peut-être craignent-ils de connaître un destin tragique à la manière de ta famille ou d’être associé à tort au Seigneur des Ténèbres maintenant déchu. C’est à croire que tu dois être considérée comme une pestiférée dans le village où tu as grandi lors des premières années de ton existence. Curieusement, cette pensée t’amuse au point où un léger sourire se dessine sur tes lèvres. Tant mieux si tes congénères commencent à te craindre, cela ne fait que renforcer ta place au sommet du pouvoir.
C’est vêtue d’un corset noir avec une légère touche dentelle sur le haut ainsi que sur le bas du corset et d’un pantalon moulant violet que tu attends tranquillement la jeune femme. Chaussée d’une paire de talons au style gothique, tu fais les cents pas pour tuer le temps, la pointe de tes talons claquant à un rythme régulier sur le sol. L’envie de te servir un verre d’alcool te traverse l’esprit à plusieurs reprises, mais tu te l’interdis à chaque fois, car tu dois conserver les idées claires. Pour quel genre d’idiote passeras-tu si tu fais foirer ce plan long et laborieux parce que tu auras été incapable de contenir ton envie de boire quelques verres d’alcool ? Ce n’est pas seulement ton amour propre qui en prendrait un coup, tu pourrais dire adieu au respect que ton «clan» te porte pour une vulgaire erreur. Non, tu as mis trop d’efforts et de sacrifices dans ce «projet» pour tout gâcher d’une manière aussi stupide. Tu n’es pas une débutante, tu as conscience de ce que tu fais et des erreurs que tu ne dois absolument pas commettre ce soir ni les autres jours.
Les minutes passent, puis tu entends enfin quelques coups donnés contre la porte d’entrée. Ni une ni deux, voilà que tu traverses le couloir au moment où tu entends la voix de Auror à travers la porte. C’est qu’elle est impatiente de te revoir. «Bonsoir Sweetheart.» Laisses-tu glisser entre tes lèvres d’un ton mielleux qui ne te ressemble pas au moment où tu ouvres la porte d’entrée. «Tu peux entrer, viens, suis-moi...» Dis-tu alors que tu tends ta main droite dans sa direction pour l’inviter à pénétrer à l’intérieur avec un petit sourire satisfait. En guise de salutation plus intime, tu te redresses de quelques centimètres malgré ta paire de talons dans le but de déposer un léger baiser sur la joue d’Emily. Une fois la porte refermée derrière vous deux, tu conduis la jeune sorcière en direction du salon, là où tu as pris la peine de déposer quelques bouteilles d’alcool ainsi que des vivres sur la longue table basse au milieu des nombreux fauteuils.
«J’espère que tes collègues n’ont pas été trop curieux à ton retour. Cette rencontre doit rester entre toi et moi.» Déclares-tu alors que tu invites la grande blonde à prendre place à tes côtés avant de lui servir un verre de vin. Pendant que tu lui tends la jolie coupe - autre objet de ton héritage que tu n’utilises pratiquement jamais à l’exception de grandes occasions - tu continues sur ta lancée. «Dis-moi, as-tu réussi à mettre la main sur certaines informations que je t’ai demandées ? J’aimerais connaître chaque détail honey, c’est très important pour moi.» Non sans un certain effort, tu lui affiches ton plus beau sourire charmeur. Si tu n’as ni ta baguette ni ta fameuse poudre sur ta petite personne, celles-ci sont tout de même à portée de main au cas où la situation ne tourne pas à ton avantage. Bien entendu, tu fais confiance en tes talents de maîtrise des potions, mais tu n’es pas assez sotte pour faire aveuglément confiance à tes inventions sans les remettre en question. Déjà, tu prends le risque de tester les limites de ta création, mais as-tu vraiment le choix ? Tu ne peux pas suivre l’Auror comme son ombre à travers l’Angleterre en espérant ne pas attirer l’attention de ses collègues, ses amis ou encore sa famille. Pour le moment, tu dois croire en ton propre plan et espérer que ta «victime» a bien joué son rôle sans que ses collègues soupçonnent quelque chose.
«Si je suis satisfaite de tes réponses et que tu me dis la vérité, sache que je te réserve quelques attentions toutes particulières qui pourraient te plaire.» C’est que tu laisses planer une certaine forme de mystère face à ces «attentions toutes particulières», puisqu’en vérité, tu ne sais pas encore comment tu vas agir avec l’Auror. D’abord, tu dois obtenir les informations que tu lui as demandé et tu auras certainement une panoplie de questions à lui poser au fil de la soirée, mais ensuite, tu verras si tu as besoin de te détendre en bonne compagnie...