J'ai 39 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n’aspire qu’à retourner dans un groupe d’intervention. En attendant, ça fait une semaine qu’il a débarqué dans la brigade, qu’on lui colle une petite nouvelle tout juste sortie de l’école …
avatar :copyright:️ Bazzart.org
Ethan ne pouvait pas vraiment dire à quel moment ça avait dérapé. Ils avaient parlé de Tony, du gamin de ses voisins. Puis il y avait eu la musique et maintenant, il perdait sa chemise dans le jardin, ses lèvres contre celles de la jolie blonde « Tu m’en demandes beaucoup » alors qu’elle lui demandait de ne pas répondre à ses pulsions de suite. De nouveau ses lèvres contre les siennes, il sourit et souffla un « Tes désirs sont des ordres » parce qu’il comptait bien la prendre sur le comptoir de la cuisine et sans ménagement. Ethan laissa exprimer son désir dans chacun de ses coups de reins et cela, jusqu’à l’entendre crier de plaisir. Il l’aimait l’entendre exprimer son plaisir de la sorte. Pas de retenue. Et comme si de rien n’était, le beau brun reprit sa vie, récupérant leurs affaires au sol et fronça les sourcils quand elle récupéra ses vêtements « Ce n’était pas bon ? » osa-t-il demander et déposa alors ses lèvres dans son cou, puis se recula et hocha lentement de la tête « Ok… » en ne sachant pas vraiment quel comportement adopté soudainement. Il enfila son boxer et son pantalon de costume. Il récupérerait sa chemise tout à l’heure. Il haussa brièvement des sourcils en entendant ce qu’elle ajouta. Horrible. C’était une manière de voir les choses. Mais ce qu’elle ajouta le soulagea un peu. Silencieux, il se passa une main dans ses cheveux tout en la regardant « Je ne m’en fou pas…» parce qu’il savait qu’elle était en couple. Qu’elle culpabilisât de faire ça à son mec, et que ça le faisait chier finalement.
Ethan glissa ses mains dans son pantalon, haussant les épaules « Pas de soucis » souffla-t-il et sourit tout en baissant la tête, presque timidement « On dirait bien… ». Il releva lentement ses yeux bruns sur elle « Écoute… Si vraiment tu ne veux plus de notre petite aventure, on peut tout arrêter » parce que ça le faisait chier de la voir culpabiliser de la sorte parce qu’il ne savait pas se retenir en la voyant trop près de lui « C’est nouveau pour moi ça aussi alors… Enfin, je ne veux pas que tu penses à Tony et ta culpabilité à chaque fois que tu me verras » et puis ajouta avec un petit sourire « Et puis, normalement, tu devrais prendre ton pied et savourer encore après, pas être comme ça ». Ethan quitta la maison dont la porte était restée ouverte tout du long, pieds nus, afin de récupérer sa chemise qu’il enfila sans la reboutonner, puis récupéra sa bière « Tu veux la finir ? » alors qu’il en prit une gorgée en s’appuyant contre la table de son jardin « Je vais prendre la décision pour nous deux, ça sera plus simple. C’était la dernière fois » et termina sa bière qu’il posa à côté de lui avant de se redresser sur ses jambes « Juste amis ? » tout en lui tendant la main, comme pour signer ce nouvel accord, et ajouta « Évidemment, hors de question qu’on arrête de parler de cul pour autant. Faudra juste réfréner tes sauvages pulsions à mon encontre et j’avoue, c’est rude » tout en ouvrant sa chemise sur son torse musclé, laissant apparaitre ce V qui les rendait toutes folles « Très rude même » puis s’approcha d’elle, lui donnant une tape sur les fesses « Allez ! Va te reposer un peu, on se voit au commissariat de toute manière » et la laissa partir, et se retourna pour ramasser les cadavres de bouteilles et les papiers du repas, jetant le tout dans la poubelle, non sans un petit sourire nostalgique en voyant le comptoir de sa cuisine, et se laissa tomber devant la télévision.
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Jeu 11 Mar 2021 - 21:59
Lizzy Capplan
J'ai 34 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis un bébé flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien.
Elisabeth ou Lizzy en plus court, a passé pas mal d'années à se chercher. Puis elle a découvert ce qu'était de devenir flic. Aujourd'hui, diplome en poche, la jolie blonde qui ne laisse pas indifférent les hommes est prête à leur prouver qu'on peut être sexy, faire un 90C et être capable de réflechir et de tenir un flingue. [/i]
avatar :copyright:️ Bazzart.org
« -quoi ? Si, non c’est pas ça. » répondit Lizzy. Manquait plus qu’elle le blesse dans son égo de mâle ! « -je pense que même tes voisins on comprit que c’était bon. » ajouta t elle avec une ironie certaine. Roh ba voilà elle venait de tout foutre en l’air. Comme si c’était trop compliqué de simplement savourer ce moment jusqu’au bout. Elle lui présenta des excuses en voyant bien que oui, elle niquait la fin de soirée. « -tu t’entends parler ? T’as dis la même chose y’a quelques jours et regarde où on en est… » elle se pinça les lèvres en baissant les yeux. Hé merde… Elle tenta de se recoiffer un peu, avant de dire : « -oh crois moi quand je suis avec toi, c’est pas à lui que je pense... » ba autant le dire ! Une partie d’elle même espérait sans doute ce qui venait de se passer. Depuis qu’elle avait décidé de venir le voir ce soir. Parce que c’était fou, parce que c’était bon. « -et ma culpabilité elle m’emmerde. » ou comment lui faire comprendre que c’était contre elle qu’elle était fâchée.
« -oui je sais ! » cria Lizzy en levant les mains autour de son visage. « -mais j’y arrive pas. » et oui ça la faisait chier ! A quoi bon ressentir tout ça pendant si c’était pour sa casser la gueule du petit nuage trois minutes plus tard. Un soupire et elle le suivit, il devait y avoir ses lunettes de soleil sur la table. « -non ça va, faut que je conduise. » non sans un regard pour le torse encore marqué d’Ethan. « -pff ouais c’est ça. » répondit Lizzy en ne croyant pas trois secondes à ses mots. S’il n’était pas con, il savait très bien que maintenant qu’ils avaient goûté à ça, ils allaient avoir envie que ça recommence. Encore et encore. Parce que c’était le pieds entre eux, parce que c’était chaud et addictif. Elle regarda la main tendue, puis son propriétaire. C’était se voiler la face. Mais elle tapa dans sa main tout de même. « -MES sauvages pulsions ? Laisses moi rire. » puis elle le regarda faire, ses yeux glissèrent sur son corps et elle répondit : « -arrêtes ça. Tu prendre froid. » un petit sourire en coin avant de récupérer ses lunettes sursautant à la tape qu’il venait de lui mettre aux fesses. « -ouais ça marche. » un petit signe de la main et elle regagna sa voiture, la tête en vrac.
« -non j’ai pas envie de l’inviter à manger ! » mais pourquoi ? Je croyais que c’était ton meilleur collègue. Et puis j’ai envie de lui dire merci d’avoir veiller sur toi. »« -non insiste pas, je suis crevée, j’ai pas envie de passer des heures à cuisiner. On a une soirée tout les deux, on pourrait juste profiter de ça non ? »« -oui, oui bien sur. Une prochaine fois alors… d’accord ? »« -oui une prochaine fois. Quand j’aurai arrêter ses foutues nuits. On fait que se croiser, j’ai envie de passer une soirée tranquille en amoureux. » elle avait passé ses bras autour de la taille de Tony en disant cela, lui suppliant du regard, lui souriant avec douceur. Oui, elle tentait de resserrer les liens entre eux, de tourner la page, d’éviter de penser à Ethan. Et surtout ne pas l’inviter ici ! Pour le moment c’était hors de question. Par simple respect – même si c’était vite dit après ce qu’elle lui avait fait – pour Tony. Elle l’embrassa avec amour, cherchant sa tendresse. Ses baisers firent le reste. Et pourtant, nue dans les draps froissés, alors que Tony s’endormait contre son épaule après l’amour, elle ne pue faire autrement que se dire qu’il manquait un truc… Pas le même frisson, pas le même désir, pas la même fougue…
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Jeu 11 Mar 2021 - 22:26
Ethan O'Connell
J'ai 39 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n’aspire qu’à retourner dans un groupe d’intervention. En attendant, ça fait une semaine qu’il a débarqué dans la brigade, qu’on lui colle une petite nouvelle tout juste sortie de l’école …
avatar :copyright:️ Bazzart.org
Ethan aurait préféré que la jeune femme savoure encore un peu, plutôt que de vouloir récupérer ses effets personnels, subissant sa culpabilité de plein fouet parce qu’elle avait succombé, une fois encore, à l’appel du beau brun. Pendant un instant, il douta lui avoir donné véritablement du plaisir, mais sa réponse le rassura sur ce point, alors qu’il tournait la tête vers la porte d’entrée grande ouverte « Ils doivent m’envier » en reposant son regard sur la jolie blonde. Un soupir alors qu’il se passa une main lasse sur le visage « Je sais… Mais je suis sérieux cette fois-ci » et c’était réellement le cas. Plus de paroles en l’air. S’il fallait que ça se termine entre eux dès maintenant, ça serait le cas. Elle parvint à le faire sourire doucement « J’espère bien » répondit-il, parce que le but, c’était bien qu’elle se concentre uniquement sur lui, sur le plaisir qu’ils partageaient et uniquement cela. Même si elle avait du mal à savourer. Un regard pour cette dernière, ne répondant rien concernant la culpabilité. Il savait bien qu’elle était principalement en colère contre elle-même, sur ce qu’elle ressentait, mais sûrement aussi, sur sa faiblesse face à ses avances.
Le beau brun préférait lorsqu’elle criait de plaisir, qu’en cet instant. Il ne savait pas vraiment où se mettre en cet instant. Ses mains dans les poches, la tête baissée, il posé à peine son regard sur elle. Il ne répondit rien au risque d’aggraver la situation et décida de quitter sa maison pour récupérer sa chemise dehors. Il lui proposa de finir sa bière et acquiesça à sa réponse et ajouta « Je suis sérieux Liz. Tu as vu dans quel état tu te mets ?! Si on baise ensemble, c’est pour du bon temps, pas pour ça… ». Donc il décida pour eux deux. C’était terminé. Plus de partie de jambes en l’air. Toutefois, Ethan ne voulait pas que cette soirée se termine sur une note négative et la taquina un peu « NOS pulsions alors si tu préfères » faussement vexé par son accusation implicite. Il ouvrit sa chemise pour signaler que ça allait être dur de résister à son corps, et se mit à rire « Tu viendras me border » et lui donna une claque sur les fesses, la saluant avant de rejoindre son canapé.
Ethan avait décidé de ne pas passer toutes ses nuits seul. Il avait alors repris contact avec les femmes dont il avait le numéro, si jamais elles voulaient s’amuser un peu. Après tout, il était célibataire et c’était terminé son aventure avec Lizzy. C’était acté pour le beau brun qui trouva du réconfort dans les bras d’autres femmes, dont des inconnues rencontrées après sa journée de boulot.
Sourire aux lèvres, le beau brun prit plaisir à revêtir son uniforme ce matin même. Cela signait son retour dans les rues de Los Angeles. Arme à la ceinture, il se rendit au parking, café en main et comme à son habitude, prit place contre le capot de la voiture, patientant tranquillement jusqu’à l’arrivée de Lizzy « Tu es en retard ! » et resta un bref instant interdit en s’entendant parler. Il avait dit exactement les mêmes mots le jour du braquage de banque. Il l’avait attendu de la même manière, avec le même café. Une drôle de sensation l’envahi en cet instant. Il tenta de la réprimer, jetant son café à peine entamé et monta dans la voiture sans un mot. Puis le premier appel radio. Une altercation dans une banque. Ethan se passa une main sur le visage et la laissa répondre sans rien dire, alors qu’il commençait à avoir chaud dans son uniforme. Il gara la voiture, descendit de cette dernière, mais resta bloqué devant l’établissement. Il tourna la tête en direction de Liz « Je... » mais se résigna, ferma les yeux et inspira profondément. Il franchit les portes en premier, s’avança vers les deux agitateurs. Il les sépara en tant de se concentrer sur l’intervention, puis un bruit le fit sursauter. Il sentit son cœur s’emballait alors qu’il chercha la provenance du regard avec angoisse. Une femme avait fait tomber son sac à main par terre « Ça va officier ?! » « Oui… Arrêtez de vous prendre la tête pour des conneries… » et regarda Lizzy « Faut que je sorte d’ici » et quitta la banque avec hâte, s’échappant dans la petite ruelle voisine et vomit ses tripes au pied des bennes à ordures. Appuyé contre le mur, il se redressa et tourna la tête vers son équipière « On va avoir un bébé » en tentant de dédramatiser tout ça, puis s’appuya dos au mur, posant sa tête tout contre et ferma les yeux « Pas sûr d’être encore prêt à reprendre ».
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Ven 12 Mar 2021 - 9:00
Lizzy Capplan
J'ai 34 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis un bébé flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien.
Elisabeth ou Lizzy en plus court, a passé pas mal d'années à se chercher. Puis elle a découvert ce qu'était de devenir flic. Aujourd'hui, diplome en poche, la jolie blonde qui ne laisse pas indifférent les hommes est prête à leur prouver qu'on peut être sexy, faire un 90C et être capable de réflechir et de tenir un flingue. [/i]
avatar :copyright:️ Bazzart.org
Ce qu’Ethan avait ajouté lui avait presque fait mal. Si on baise c’est pour du bon temps, pas pour ça. Fallait peut être y réfléchir avant de m’embrasser ! Elle avait eut envie de lui hurler au visage. Après tout c’était lui qui mettait le bordel dans sa vie ! Lui qui à la base avait dissimuler la bombe sous des t’es mon équipière, j’ai du respect pour les femmes flic, jamais avec une collègue blablabla… Du vent finalement. Finalement tant mieux qu’il ai prononcé ces mots. Au moins elle était fixée. Et il avait prit la décision pour eux. Ethan allait pouvoir retourner s’envoyer en l’air avec ses autres conquête, avec elle c’était terminé. En rentrant chez elle, Lizzy se sentait toujours mal.
Malgré les quelques jours d’absences de Tony, Lizzy n’avait pas donné les dates à Ethan. Parce que c’était mieux de ne pas le voir. Histoire de laisser passer un peu de temps, de mettre ça de côté, de clôturer l’aventure sagement. Elle s’était employée à se rapproché de l’homme qu’elle aimait, lui avait parlé du suivit psychologique suite au braquage, sans jamais évoquer la vraie terreur qu’elle avait eut dans cette banque. Il avait comprit qu’il n’aurait jamais les détails, et il comprenait. Durant les journées où elle avait du mal à dormir, forcement elle cuisinait, déposant ce qu’elle avait en trop au poste, avant de rejoindre le collègue avec qui elle devait faire sa ronde.
Trois jours de repos bien mérité, trois nuits où elle décida de prendre des comprimés pour dormir correctement et récupérer. Elle devait bosser avec Ethan. Le retour à la normal. Elle dissimula ses cernes, se maquilla avant de s’habiller pour se rendre au poste. Lizzy n’était pas en avance, comme la plus part du temps. En tenue, elle arriva vers son collègue, un café en main également. « -quand on est poli on dit bonjour ! » répliqua la jeune femme en montant en voiture. Son café était trop chaud, alors elle souffla dessus le temps de la route. Premier appel et sa main resta en suspens quelques secondes avant de répondre. Un pincement de lèvre, un léger regard pour Ethan. Sensation de déjà vu. Une sorte de vide au creux du bide. Puis elle avait appuyé sur le bouton et répondu qu’ils prenaient. C’est lorsque machinalement qu’elle râla à propos de son café que Lizzy eut une sensation de vertige. Avant de descendre de la voiture, elle inspira et expira lentement. C’était pas le moment de flancher.
Elle pencha la tête de gauche à droite en fixant la banque droit dans les vitres. Un regard pour Ethan qui d’ordinaire passait devant. Il était livide. « -ça va bien se passer. » déclara Lizzy en le regardant avec insistance, détachant chaque mot. « -reste près de moi... » lui souffla t elle à nouveau dans l’espoir de le faire sourire, posant une main rassurante sur l’épaule de son collègue, laissant glisser sa main dans une caresse lorsqu’il avança. Elle n’avait pas besoin d’être devin pour savoir ce qui était en train de se passer dans la tête d’Ethan. Pourtant il prenait les devant, parla en premier également. La jeune femme avait sursauté quand le sac était tombé. « -ça va je vais finir. » assura la jolie blonde en voyant bien le malaise. Elle régla ça rapidement, joua la flic sympa, les fit rire et le souci fut résolu rapidement.
D’un pas pressée elle quitta la banque dans le but de trouver Ethan. Lizzy approcha avec lenteur et se signala : « -Ethan c’est moi. Ça va ? » Question con, elle savait que la réponse était non. « -c’est hors de question. » répondit Lizzy avec un sourire. « -ça va aller, je vais te chercher un peu d’eau. » c’était juste histoire de lui laisser encore quelques secondes de solitude. Bouteille d’eau récupérée dans la voiture, elle revint près d’Ethan, lui tendit et dit : « -je vais appeler pour que tu sois remplacé. T’as encore besoin d’un peu de temps. » elle posa une main sur le bras de son collègue : « -tranquille, souffle, prends le temps d’accord ? Par contre, on peut quitter cette ruelle qui pue ? » un petit sourire et elle lui fit signe un pouce par dessus son épaule. « -donne moi les clés, je vais conduire. » ça serait mieux comme ça.
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Ven 12 Mar 2021 - 14:13
Ethan O'Connell
J'ai 39 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n’aspire qu’à retourner dans un groupe d’intervention. En attendant, ça fait une semaine qu’il a débarqué dans la brigade, qu’on lui colle une petite nouvelle tout juste sortie de l’école …
avatar :copyright:️ Bazzart.org
Brièvement, Ethan s’était interrogé sur le silence de Lizzy dans les jours qui suivirent leur petite aventure. Pas de messages pour s’accorder sur une date pour le restaurant, ou même juste pour se voir. Ainsi, ils avaient passés des jours entiers sans se parler, sans se croiser, et cela, jusqu’à ce matin, alors qu’il attendait patiemment contre le capot de la voiture de police, café en main. Sa manière de la saluer lui fit une drôle d’impression, tout autant que la réponse de Liz « Bonjour » avait-il ajouté en montant dans la voiture. L’appel radio, suivit du commentaire de la jolie blonde, firent remonter des souvenirs douloureux pour Ethan qui, livide, conduisit tout de même jusqu’à la banque. Son hésitation devant l’établissement se fit ressentir et il posa son regard sur son équipière qui tenta de le rassurer. Un rapide hochement de tête, inspira profondément et esquissa un doux sourire à la jeune femme à ses côtés. Rester près d’elle. Sa main sur lui, lui fit du bien et lui rappela qu’il n’était pas seul. Une longue inspiration et le policier entra dans la banque. Ils sursautèrent tous deux au moment du fracas du sac sur le sol. Aucun d’eux n’était vraiment guéri de cette histoire, mais Ethan n’avait pas le courage de son équipière qu’il abandonna pour se rendre dans la petite ruelle voisine. Il vomit son petit-déjeuner au moment et s’appuya contre le mur au moment où la jeune femme arriva jusqu’à lui.
Il ouvrit les yeux sur elle et fit un signe négatif de la tête. Non, ça n’allait pas. Il se sentait faible et il n’aimait pas ça. Il n’aimait pas être contrôlé par la peur. Toutefois, il tenta l’humour et sourit en entendant la réponse de Lizzy. Il enfoui son visage entre ses mains durant son absence, penché en avant. Il n’en pouvait plus et ces thérapies à la con ne semblaient pas l’aider. Il n’était pas prêt à reprendre du service. Il se saisit de la bouteille et se rinça la bouche, avant d’avaler une grande gorgée, puis referma la bouteille d’eau. Il ne répondit pas tout de suite, inspira et expirant calmement pour tenter de se calmer en posant sa main sur la sienne. Un nouvel hochement de tête et quittèrent la ruelle, tendant les clefs à Lizzy. Ce n’était pas plus mal qu’elle conduise. En montant dans la voiture, il se saisit de la radio en expliquant que l’intervention était terminée et qu’il reprenait la route. Son regard perdu dans le vague, il finit par tourner la tête vers la jeune femme « Et hors de question qu’on me fasse remplacer, compris ?! Je sais que tu veux bien faire, mais hors de question. Je n’ai pas envie que tout le monde pense que je me laisse dominer par la peur ». Oui, c’était sa fierté d’homme qui parlait. Ethan avait toujours fait en sorte d’affronter ses peurs. Quitte à avoir mal, il allait au bout et cela, jusqu’à ce que la peur disparaisse. Aujourd’hui ne ferait pas exception. Hors de question de se laisser bouffer par cette peur parce qu’il avait bien failli mourir dans cette banque « On peut retourner au commissariat pour que je me brosse les dents et me change, s’il te plait » tout en tournant la tête vers cette dernière.
Sans un mot, Ethan entra dans le hall de la 12th où se trouvait Bishop et Roger qui s’apprêtaient à partir en ronde, à leur tour. Il aurait pu les ignorer si ce dernier ne l’avait pas ouverte « Déjà rentré ?! Dur de reprendre l’Irlandais ? ». Des paroles de trop pour Ethan qui lui mit son poing dans la figure, le faisant tomber au sol et se rua sur lui pour lui assener un nouveau coup. Ce fut Bishop et Finn qui l’éloigna, le tenant tous les deux fermement « O’connell ! Dans mon bureau, immédiatement ». Ethan se détacha de l’emprise de ses collègues, lançant un dernier regard à Lizzy. Il était en colère. On pouvait entendre la conversation des deux hommes dans le bureau du capitaine, puis le policier ressortie, ignorant les derniers mots de son supérieur « J’espère que ces quelques jours vous feront réfléchir ! ». Ethan se dirigea dans les vestiaires, récupéra ses affaires, donna un coup dans son casier, récupéra son sac et franchit le hall de la 12th sans un mot, ni un regard pour qui ce soit.
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Ven 12 Mar 2021 - 15:14
Lizzy Capplan
J'ai 34 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis un bébé flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien.
Elisabeth ou Lizzy en plus court, a passé pas mal d'années à se chercher. Puis elle a découvert ce qu'était de devenir flic. Aujourd'hui, diplome en poche, la jolie blonde qui ne laisse pas indifférent les hommes est prête à leur prouver qu'on peut être sexy, faire un 90C et être capable de réflechir et de tenir un flingue. [/i]
avatar :copyright:️ Bazzart.org
Lizzy comprenait ce qui était en train de se passer dans l’esprit de son collègue. De son ami plutôt. Et elle détestait le voir comme ça. Il l’avait dit lui même, il fallait du temps pour digérer, et ça n’était pas trois semaines qui allaient suffirent. Elle lui tendit l’eau, le laissa se rincer la bouche en regardant ailleurs, avant de poser la main sur lui et de tenter de l’aider à se calmer. Un échange de regard et ils quittèrent la ruelle en marchant côte à côte. Une fois derrière le volant, la jeune femme démarra sans rien dire. Elle savait se taire parfois… Un regard pour la radio, un autre pour Ethan. Visiblement il avait lu dans ses pensées. « -est ce que j’ai dis quelque chose ? » répondit la jeune femme en tournant les paumes de ses mains au plafond, un sourcil froncé. Elle cligna des yeux, avant de se concentrer à nouveau sur la route. « -tu devrais encore prendre une semaine ou deux. » commenta t elle pourtant au bout de quelques minutes. « -les mecs et votre ego de merde... » marmonna t elle sans quitter la route des yeux. « -tu pensais qu’on allait où ? » répliqua Lizzy avec un rapide coup d’oeil, avant de tourner sur la gauche.
Dans ça tête ce n’était pas seulement changer de fringue qui allait se passer, il allait aussi changer de poste pour le reste de la journée. Peur ou pas, il fallait voir la réalité en face, il n’était pas encore près à reprendre du service. C’était même dangereux pour l’un comme pour l’autre. La jolie blonde marchait trois pas derrière Ethan, qui était descendu plus vite qu’elle de la voiture. Forcement il avait fallu qu’ils croisent Roger. Autant Bishop c’était un con en surface, autant l’autre s’était un con en puissance. Qui détestait vraiment Ethan. « -ignores l… merde ! » rah putain les mecs et leur concours de bites ! Elle se rua tout comme les autres pour les séparer, mais elle recula de trois pas en jurant. Elle venait de prendre le coude d’Ethan juste sous le menton. Et ça ne lui plu pas vraiment. « -faites chier ! Merde ! » ragea Lizzy en se passant la paume de la main sur l’endroit douloureux. Elle regarda Ethan l’espace d’un instant avant de détourner le regard. N’importe quoi, il se mettait dans la merde tout seul. Elle soupira en se rendant à son bureau, tapant le rapport sans vraiment être concentrée, jetant des coups d’oeil toute les trois minutes au bureau du chef. Bêtement elle osa allée attendre Ethan à la sortie des vestiaires. Sympa le vent… Elle se baissa les yeux en le voyant quitter le commissariat avant de chopper Bishop entre quatre yeux. « -vous étiez obligés d’ouvrir vos gueules ? Comme si ça vous étaient jamais arrivé. Qu’est ce que vous pouvez être cons ! » elle était en colère contre tous ces mecs match et débiles ! « -hé c’est bon Elisabeth – oui lui c’était un vieux de la vieille qui tenait à l’appeler par son prénom de baptême - y’a que toi qui l’aime bien ce con. » « -ba c’était pas une raison pour en rajouter ! »« -ça va il va s’en remettre, c’était seulement une plaisanterie »« -une plaisanterie de merde. Vous étiez pas là bas, vous vous étiez dehors. Vous savez pas. Donc la prochaine fois, vous passez votre chemin et vous fermez vos gueules. » Étrangement, elle eut droit à cette réponse : « -ok ok Blondie, on va le laisser tranquille. T’énerve pas comme ça. J’vais parler aux autres. Toi ça va ? » et voilà qu’il s’inquiétait pour elle ! Elle hocha la tête positivement avant de tourner les talons. La fin de journée elle la passa au bureau, convoquée par le patron. Si Ethan n’était pas près, elle non plus certainement. Oh ba oui c’était pas comme si elle était sur le terrain depuis trois semaines.
Lizzy était rentrée chez elle en colère, amer et fatiguée. Une fois chez elle, la bouteille de lait lui échappa des mains, éclatant sur le sol de la cuisine. Elle laissa alors sa colère prendre le dessus et tapa plusieurs fois dans le frigo avant de se laisser glisser sur le sol en pleurant. Un long soupire après quelques minutes assises ainsi. Pleurer lui avait du bien. Elle avait eut peur elle aussi ce matin. Et voir Ethan dans cet état là n’avait rien arrangé. Pour cournonner la journée de merde, Tony lui envoyé un message pour dire qu’il n’allait pas rentrer avant dix voir onze heures du soir. Une opération sur un grand chien, un truc bien assez compliqué, des maîtres plein de fric, fallait pas qu’il merde. Elle avait simplement répondu un ok… bisous. Avant de passer la serpillière et d’aller prendre une douche. Une heure plus tard elle se trouvait devant chez Ethan. Le portillon merdique était ouvert, alors elle avança jusqu’à la porte et sonna. Les mains dans les poches, elle attendit en se mordant l’intérieur de la joue, regardant la rue. Lorsque la porte s’ouvrit elle dit : « -salut… Je voulais savoir si ça allait... » en haussant les épaules, comme gêné d’être ici.
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Ven 12 Mar 2021 - 15:36
Ethan O'Connell
J'ai 39 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n’aspire qu’à retourner dans un groupe d’intervention. En attendant, ça fait une semaine qu’il a débarqué dans la brigade, qu’on lui colle une petite nouvelle tout juste sortie de l’école …
avatar :copyright:️ Bazzart.org
Assis dans la voiture, la mâchoire serrée, le regard perdu dans le paysage urbain, Ethan finit par lâcher qu’il voulait poursuivre sa journée de travail, peu importe sa peur dans la banque. Il était hors de question qu’on le remette dans le cage juste parce qu’il avait eu une mauvaise passe. Un regard pour la jeune femme « Laisse-tomber » en soupirant. Le coude appuyé contre la portière, il se pinça l’arête du nez « Non » fut sa seule réponse, avant de laisser retomber sa main alors qu’il tournait la tête en direction de son équipière et se retint de rétorquer quoi que ce soit, serrant davantage des dents, puis lui demanda de se rendre au commissariat. Une nouvelle fois, il se retint de rétorquer quoique ce soit.
En arrivant au commissariat, Ethan n’usa pas vraiment de son vocabulaire pour demander à Roger de fermer sa gueule, le frappant en plein visage avant de se ruer sur lui. C’était la goutte de trop pour le beau brun. Cela faisait des mois que ce con le cherchait à longueur de journées. A fleur de peau depuis le braquage, et davantage depuis le silence incompréhensible de Lizzy avait leur soirée chez lui, ainsi que la matinée qu’il venait de passer, le beau brun s’était laissé entrainé par la colère. Cela venait de lui coûter une mise à pied de quatre jours sans salaires. Il avait alors récupéré ses affaires dans son casier, et il était rentré chez lui sans un regard pour quiconque, même sa partenaire. Peu loquace d’habitude, il l’était encore moins dans ce genre de situation… En arrivant chez lui, il se glissa sous la douche, ôta le mauvais goût dans sa bouche à coup de dentifrice et de bières. Au bout d’une heure, Ethan avait fini par envoyer un message à une nana qu’il voyait régulièrement. Pas besoin de parler, juste baiser et aurevoir. A peine avait-elle franchi le seuil de la porte, qu’il lui avait dit « Pas un mot. On ne parle pas. On baise et tu repars » « Ça me va ». Après tout, c’était presque devenu un rituel entre eux. Ils ne parlaient jamais. Ils s’envoyaient en l’air et elle repartait, soit immédiatement après, soit au petit matin lorsqu’il avait envie de jouer les prolongations toute la nuit.
Ses lèvres contre les siennes, ses mains sur son corps, caressant sa peau bronzée, ondulant le bassin contre le sien avec envie, il poussa un soupir en entendant frapper à sa porte « Je reviens » « Ethan… Tu plaisantes ?! » « Deux minutes et ensuite, je m’occupe de toi » après un dernier regard pour la femme pratiquement nue sur son lit. Simplement vêtu de son boxer, il décida d’enfiler son jean abandonné dans le salon, ne prenant pas la peine de le boutonner, de toute manière, il n’allait pas rester longtemps sur son petit cul. Il ouvrit la porte en maudissant celui qui avait osé le déranger. Mais il resta interdit en voyant Lizzy devant sa porte. Le quarantenaire sortit sur le seuil de la maison, tirant légèrement la porte d’entrée « Salut… Comment tu crois que je vais ? Je viens de me prendre quatre jours de mise à pied pour un con ». Il se passa une main dans ses cheveux déjà bien décoiffés « Ça ne t'es pas retombé dessus cette histoire, au moins ? » tout en jetant un regard à l’intérieur de sa maison et reposa ses yeux bruns sur elle. Pourquoi se sentait-il mal en cet instant ? Pourquoi avait-il l’impression de faire quelque chose de mal alors qu’après tout, il était célibataire. Il pouvait coucher avec qui il voulait, et pourtant… Il avait une drôle de sensation. Puis il fronça les sourcils, prenant son menton entre les mains « Qu'est-ce que c'est ? » en parlant de l'hématome qui apparaissait sur son visage.
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Ven 12 Mar 2021 - 16:07
Lizzy Capplan
J'ai 34 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis un bébé flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien.
Elisabeth ou Lizzy en plus court, a passé pas mal d'années à se chercher. Puis elle a découvert ce qu'était de devenir flic. Aujourd'hui, diplome en poche, la jolie blonde qui ne laisse pas indifférent les hommes est prête à leur prouver qu'on peut être sexy, faire un 90C et être capable de réflechir et de tenir un flingue. [/i]
avatar :copyright:️ Bazzart.org
En frappant à la porte, Lizzy savait très bien qu’il n’allait pas être de bonne humeur. Elle savait aussi qu’elle aurait mieux fait de rester chez elle, de seulement envoyé un message auquel il n’aurait pas répondu, jouant encore une fois les têtes de cons. Mais elle venait de frapper. Elle avait bien le droit de s’inquiéter pour lui non ? Les mains dans les poches, ses lunettes de soleil dans les cheveux, elle se sentit mal à l’aise à peine il avait ouvert la porte. « -tu pouvais pas mettre un tshirt ? » déclara Lizzy en fronçant les sourcils. Réplique simplement énoncé en réponse la mauvaise humeur avec laquelle il venait de lui parler. « -oui ba t’as joué au con aussi selon moi. » c’était certain qu’avec ce genre de discours il allait se sentir mieux. Quatre jours de mise à pieds. C’était peut être pas plus mal.
Un non de la tête. « -non je me suis seulement défoulée sur Bishop en lui disant le fond de ma pensée sur vos conneries d’hommes des cavernes. » il allait la laisser à la porte encore longtemps ? Elle avait l’impression de déranger. Même s’il n’était pas en train de l’expédier ou de lui dire de se tirer. « -aïheu ! » râla Lizzy en relevant le menton. « -c’est rien. » répondit elle avant d’ouvrir de grands yeux en bougeant la tête pour qu’il la lâche. Son regard venait de se poser sur la femme à moitié à poil qui venait de pointer dans les escaliers. « -je te dérange en faite. » un haussement de sourcil en levant les mains devant elle, reculant de deux pas. « -je vois que ça va très bien. Je te laisse… Salut. » un signe de la main avant de se tirer aussi vite que possible sans pour autant laisser croire qu’elle prenait ses jambes à son cou.
« -roh merde... » la journée de merde continuait, elle avait renvoyé le taxi. Oui naivement elle avait pensé qu’Ethan lui offrirait au moins une bière. Lizzy n’avait pas pensé une seule seconde qu’il était en train de s’envoyer en l’air avec de ses latinos. Elle se frotta le front tout en sortant son téléphone pour appeler un taxi. Dans ce quartier il n’en passait pas toutes les trois secondes. Elle aurait mieux fait de rester chez elle. C’était gênant. Pour une fois qu’elle n’avait pas envoyé un message ! Ça marchait bien d’agir ! Et pourquoi est ce qu’elle était encore en colère ?! Machinalement elle sortie de son sac un paquet de chewing-gum, en goba un avant de regarder le paquet. Les chewing-gum d’Ethan. Il sortait d’où se paquet ? Elle lui avait sûrement taxé sans s’en rendre compte. Bon autant marcher un peu ça lui changerait les idées, du temps que le taxi se pointe. Et maintenant il devait la croire jalouse.
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Ven 12 Mar 2021 - 16:35
Ethan O'Connell
J'ai 39 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n’aspire qu’à retourner dans un groupe d’intervention. En attendant, ça fait une semaine qu’il a débarqué dans la brigade, qu’on lui colle une petite nouvelle tout juste sortie de l’école …
avatar :copyright:️ Bazzart.org
Pas une seule seconde, Ethan avait envisagé de voir sa coéquipière devant la porte de sa maison. Pour autant, avant cette fameuse soirée chez lui qui avait fini dans un long silence de plusieurs jours, cela aurait sonné comme une évidence pour le beau. Toutefois, ce soir, il avait juste envie d’oublier le commissariat et tout ce qui s’en rapportait. En vain. Évidemment, le policier n’avait pas pris la peine de se vêtir entièrement, car il comptait bien finir ce qu’il avait commencé avec la jolie latine presque nue, allongée dans ses draps. La remarque de Lizzy, il l’avait mérité. En ouvrant la porte, le policier ne s’était pas montré particulièrement cordial avec cette dernière, éprouvant encore cette colère qui l’habitait depuis l’affaire de la banque « J’étais au lit » fut sa seule réponse. Il aurait pu préciser qu’elle tombait mal, mais non. Il se sentait comme mal à l’aise en sachant qu’une autre femme que la jolie blonde se trouvait dans son lit, alors qu’ils n’avaient eu qu’une brève aventure… « Ça fait des mois qu’il me cherche ! » puis ferma les yeux un instant en sentant la colère revenir crescendo. Un petit froncement de sourcils et un acquiescement « Désolé de revenir à la préhistoire, mais ça m’a fait du bien de lui foutre mon poing dans la gueule ! » et si c’était à refaire, il n’hésiterait pas une seconde. Peu importe que ça lui coûtait 4 jours de mise à pied sans soldes.
Sa main sur son menton, il fronça les sourcils en voyant son hématome « Non, ce n’est pas rien… » et lâcha son emprise et suivit le regard de Lizzy sur sa partenaire d’une nuit qui l’attendait dans les marches, en sous-vêtements. Il reporta son attention presque aussitôt sur la jolie blonde « Je… tu… non, c’est que… ». Il ne trouvait pas les mots. Il était mal à l’aise face à Maria dans ses marches. Mal à l’aise face à Lizzy qui venait de le surprendre avec une autre femme et surtout, interloqué par la réaction de la jeune femme « J’avais besoin de me changer les idées… ». Ethan boutonna en urgence son jean, fit signe à Maria qui leva les mains en l’air, soupirant et remontant les marches. Pieds nus et torse nu, le policier quitta le seuil de sa maison, passa la barrière de son jardin pour rejoindre la jeune femme, la retenant par le bras « Liz ! » et passa ses mains lassement sur son visage « Attends s’il te plait » puis lâcha son emprise sur son bras « Je sais que j’ai joué les cons aujourd’hui et… » et tourna la tête vers sa partenaire d’une nuit, de nouveau habillée et semblablement agacée et frustrée « Maria ?! Je t’ai dit que j’arrivais » « Une prochaine fois Ethan, de toute manière, la nounou ne va pas tarder à partir » « Bon, bah on se tient au courant » et la laissa partir. Journée de merde ! Il reporta son regard sur Elisabeth « On doit parler tous les deux » tout en posant ses mains sur ses hanches « Aucune nouvelle de toi depuis la fois dernière, et maintenant, tu réagis mal en voyant une nana chez moi. Et moi-même, je me sens mal face à ça. Qu’est-ce qui se passe là ?! » et lança un regard au quartier « Tu veux boire une bière ? J’ai besoin d’une bière, même deux » tout en tournant les talons. Il s’arrêta en chemin et la regarda « Tu viens ?! » puis rentra chez lui, ramassant son débardeur au sol et l’enfila, puis sortit deux bières.
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Ven 12 Mar 2021 - 17:20
Lizzy Capplan
J'ai 34 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis un bébé flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien.
Elisabeth ou Lizzy en plus court, a passé pas mal d'années à se chercher. Puis elle a découvert ce qu'était de devenir flic. Aujourd'hui, diplome en poche, la jolie blonde qui ne laisse pas indifférent les hommes est prête à leur prouver qu'on peut être sexy, faire un 90C et être capable de réflechir et de tenir un flingue. [/i]
avatar :copyright:️ Bazzart.org
« -non c’est rien je te dis. » avait ajouté Lizzy en levant une main pour évité qu’il ne la touche encore. J’étais au lit. Et elle comme une conne elle n’avait pas capté ! « -t'as pas à te justifier » non c’était pas la peine. La jolie blonde préféra partir, tombant au mauvais moment. Pourquoi est ce qu’elle s’était imaginée trois secondes qu’il avait peut être eu envie de discuter. Forcement s’envoyer en l’air c’était bien plus simple. Ça aidait c’était prouvé ! Lizzy était énervée contre elle même d’être énervée contre Ethan. Il allait la croire jalouse alors qu’elle n’en avait rien à foutre de sa pouffe. Sans savoir pourquoi elle avait l’impression de s’être trompé sur lui. Et elle n’aimait pas cette idée. Parce que ça voulait dire que c’était elle la conne de l’histoire. Qui avait mis en péril son couple pour pas grand-chose.
« -quoi ? Pourquoi tu veux j’attends ? » répliqua Lizzy en le regardant en ouvrant les yeux. Il voulait quoi exactement. Il avait une nana qui chauffait ses draps, alors qu’est ce qu’il foutait pieds nus dans la rue à lui courir après ? « -laisse tomber. » ajouta la jeune femme alors qu’il tentait de se justifier ou de se trouver des excuses. Elle s’en foutait. Sans bouger elle le regarda échanger avec l’autre femme, levant les yeux en entendant parler de nounou. « -oh ba oui bien sur, maintenant qu’elle est partie forcement on peut parler. » rah mais pourquoi elle disait ça !
« -JE réagis mal ? » ironisa Lizzy. « -putain va mettre un tshirt ! » l’engueula t elle, c’était pas comme si la voisine n’avait pas le nez collé à la vitre, et que tout les reste du quartier semblait porté un grand intérêt à ce qui se passait sur le trottoir. « -je sais pas ce qui se passe ! » ajouta Lizzy en levant les épaules et les mains. « -j’t’ai pas demandé de me suivre, je t’ai juste cassé ton coup sans le vouloir. J’en suis désolée. Salut. » elle tourna les talons avant de soupirer. « -non je veux pas de bière. Je vois même pas de quoi tu veux parler. Je pensais que... » il venait de lui tourner le dos. Elle avait envie de lui dire d’aller se faire foutre ! Bien décidé à ne pas le suivre, elle reçu cependant un message de la compagnie de taxi. Il ne serait pas là avant 20 minutes. « -rahhhh ! » râla à nouveau la jeune femme en rangeant son téléphone, avant de faire demi tour. Elle entra dans la maison et déclara : « -j’ai vingt minutes du temps que mon taxi arrive. » les bras croisés sous la poitrine elle se planta au milieu du salon. « -pourquoi tu m’as pas dis que t’étais pas seul ? Je me serais tirée tout de suite. » comme si c’était évident. « -et j’ai pas donné de nouvelles mais tu t’es pas donné la peine d’en prendre non plus. C’est quoi le problème ? C’est ce matin ? C’est maintenant ? C’est en rapport à quoi ? » elle avait l’impression que tout était embrouillé.