What if... First love is our favorite trope (Charlissa)
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Crédits : Moi
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Jeu 4 Jan - 12:33
Hinata Hyûga
J'ai 18 ans et je vivais à Konoha, avant de m'enfuir à Suna. Dans la vie, je suis agent de liaison et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma timidité, j'ai avoué mon amour à l'homme que j'aime trop tard et j'ai fuis. → Considérée comme une ratée dans sa jeunesse → Elle est un pisteur qualifié. → Connait le ninjutsu médical. → Possède le Byakugan → Technique du Juken, du poing souple. → Souplesse nature. → Invente les 64 poings du Hakke protecteur → Utilise les techniques aqueuses. → Son loisir c'est l'oshibana, art japonais qui consiste à créer des images avec des fleurs pressées.
Elle le regarde un instant, se demande si elle doit s’excuser de sa demande de pardon. Elle devrait, non ? Lui dire pourquoi… pour qu’il sache au moins que ce n’était pas de sa faute à lui. Elle se serait excusée de la même manière devant n’importe qui. Elle rougit, sa main devant sa bouche.
- J’ai … j’ai … Parlé trop fort… pour ça…que … que je demandais pardon.
Clairement, tout le monde aurait été d’avis qu’elle n’avait pas parlé fort DU TOUT et que c’était plutôt tout l’inverse. Elle parlait juste avec passion, mais pas fort. Mais elle ne devait pas parler fort. Normalement, en tant que héritière raté, princesse des Huyga, elle devait juste être discrète et oubliée. Ne pas faire honte à son clan qui pourrait l’entendre … L’entendre ? Elle était à Suna … Personne ne pouvait l’entendre ! Elle releva ses yeux vers lui, remplit de gratitude. Elle parlera un peu plus fort alors. Elle sourit un peu, un sourire triste et déterminé à la fois, quand il dit qu’il pensera à l’utilisé. Elle avait ses yeux, qu’importe que ça soit de sa famille et un secret, c’était à elle. Et un secret encore plus secret, c’était que personne n’avait jamais réussi à percer le secret, même en leur enlevant les yeux. Ce n’était pas comme le Sharikan qui pouvait se transmettre et s’offrir. Non. Les pupilles de sa famille fonctionnaient avec le sang de leur famille, et ne pouvait pas être offert ou utilisé ailleurs … C’était d’ailleurs pour ça que personne n’avait jamais entendu parler d’une greffe de Byakugan. Bref. C’était un fait. Elle avait ses yeux, et elle pouvait les utiliser, même si elle préférait l’utiliser pour soigner que pour faire du mal.
- Merci. Cela serait un plaisir.
Travailler avec les fleurs, vivantes et encore prenant leur vie dans leur propre terre, ça lui plait comme idée. Elle aimait les plantes, mais une héritière avec les mains pleines de boue, ça faisait mauvais genre, comme beaucoup de choses. Si c’était pour le kazekage, son père serait plus indulgent avec elle … Elle se demande ce qu’il peut être en train de faire, et sa sœur, ou son cousin. Elle se demande avant de secouer doucement la tête pour se concentrer sur les nouvelles paroles du roux. Pas le moment de pleurer sur sa famille qui l’ignore. Elle penche la tête et attends la question gênante. Elle était prête à tout entendre –quoi que pas vraiment- mais la question la surprend. Elle s’approche en l’écoutant attentivement.
- Il parle beaucoup, énonça-t-elle bien qu’il le sache, mais il cache les sentiments derrière la montagne de chose à dire.
Clairement, elle avait réussi à cerner Kankuro en faisant encore une fois un parallèle avec Kiba. Ils n’étaient pas pareils de bien des manières, mais ce qui les rapprocher était triste. Le kazekage ne demandait pas de l’aide en tant que chef de son village mais en tant que frère, alors elle avait envie de trouver une idée. Elle en avait bien une … mais elle ne savait pas si ça serait osé. Elle s’approche et pose sa main comme elle l’aurait fait pour Shino, en silence et lui donnant un peu de courage.
- Il m’a proposé de venir avec lui dans son atelier, pour lui tenir compagnie, dit-elle avec douceur toujours la voix pas plus haute qu’un murmure, mais je pense qu’il préférerait que ça soit toi.
Elle passe au tutoiement et à une conversation très personnelle. C’était un conseil de Kiba, qu’elle avait toujours trouvé pertinent. Même si elle était la fille Huyga, elle n’avait pas besoin d’être pompeuse et parler de manière soutenu. Surtout quand la personne en face partage quelque chose de personnelle. Alors elle le fait, doucement.
- Parfois, il ne faut pas parler, juste profiter d’être avec cette personne. Alors, si tu as un peu de temps, rejoins-le. Il se livrera peut-être.
Elle n'enlève pas sa main, rougit clairement… elle avait tout mis dans son aide pour le détendre et lui faire comprendre son point de vue. Elle prend une fleur et pense à Kankuro. Elle l’avait trouvé triste quand ils avaient parlé de sa mère. Puis, il avait semblé blessé à un moment, quand on l’avait appelé « frère du Kazekage ». Si elle voulait faire des hypothèses, elle pense que le brun voulait être reconnu pour lui, et non pour sa famille. Comme elle, elle l’était. Mais elle ne pouvait pas se permettre de le dire à Gaara, ça serait dire un secret.
- Si … si …. Si … Je … Je vous aiderais… Kuro et toi. Avec plaisir.
Elle rougit encore mais son regard était celui de la fille déterminé. Elle avait de la ressource, elle pouvait botter des culs sans la moindre hésitation ! Et cette chaleur dans leur main lié qui se dégage. Cela lui rappelle vaguelent quelque chose. Cela lui rappelle un vieil ami mais elle ne se souvient pas du nom. Son ami n avait aucune marque sauf qu il était roux ou rouge, clmme Gaara (patate). Elle ressent cette chaleur dans ses dogts et rougit mais apprécie. Elke rapproche la fleur de Gaara, il lui a déjà proposé de l'emméné dans les serres. Elle lui donne la fleur délicat du même rouge que ses cheveux. Elle avait foi.
Univers fétiche : réel, hp, cyber, anime, dark et fluffy
Préférence de jeu : Les deux
HATAKE
Mer 1 Mai - 1:31
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - joue du piano pour se vider la tête
Faceclaim : gaara (naruto)
“Ouais. C’est sa spécialité …”
C’est un constat, pas une critique. Un simple constat franchissant les lèvres de Gaara qui sait pertinemment qu’il ne peut pas juger la façon qu’à son frère (ou qui que ce soit) de dissimuler ses émotions; Lui, il fait rien du tout. C’est peut-être la pire des solutions. Ne rien montrer et ne rien faire, jamais. Et avoir peur parfois des reflets au fond de son regard quand il croise son reflet dans le miroir. Ouais, bon. Il constate juste et soupire doucement. C’est bien là sa seule réaction physique. Il ne bouge que ses pupilles vers la main que la jeune femme pose sur la sienne. Sans marquer d’émotion sur ses traits trop lisses de poupée de porcelaine. Puis remonte son regard vers la jeune femme quand elle reprend la parole.
Mais il ne l’entend pas tout de suite. Il y a un truc qui se produit en lui. Quelque chose déclenché par la chaleur et la douceur de la main d’Hinata, et les deux grands yeux blancs qui lui font face. L’impression d’être tiré violemment vers le passé. Un sentiment vieux, très vieux, de tristesse et de douceur qui revient lui percuter l’arrière du cœur. Pas d’image. Une émotion simplement, puissante, qui se dissipe pourtant presque aussi vite qu’elle est arrivée. Il frissonne imperceptiblement, mais cligne plusieurs fois des yeux d’affilée. Chose qu’il ne fait jamais à moins d’être fortement pertubé. Mince indice sur son état d’esprit. Mais oui; Gaara papillonne des paupières et cherche à remettre ses pensées en ordre, à se souvenir non pas de cette étrange réminiscence, mais de ce que vient de lui dire la jeune Hyuga. Autant dire que le passage du vouvoiement au tutoiement passe encore plus inaperçu que ça aurait déjà été le cas en temps normal.
“Euh … Oui … peut-être …”
Le regard de Gaara dévie vers l’horloge murale avant de revenir vers Hinata, le faisant cligner des yeux une nouvelle fois. Soudain “dérangé” par ses deux grands opales blancs qui lui font face, déclenchant un nouveau frisson le long de son échine. Étrange, vraiment. Mais fidèle à lui-même, le Kazekage met ses propres sensations de côté pour rester concentré sur la personne en face.
“J’irai quand il y sera alors.”
Avare en explications le petit Gaara. Mais l’information principale est passée. Kankuro a affaires ailleurs pour l’instant, de ce qu’il sait en tout cas, et il pourra le rejoindre plus tard. Peut-être par mimétisme, peut-être parce qu’il est perturbé, mais le kazekage parle à voix basse, comme Hinata. Sauf que pour lui, ça rend sa voix encore plus grave. Ça fait plus démoniaque qu’angélique. Comme Hinata. Parce que, elle, ça fait doux et angélique. Comme ses mots, les rougeurs sur ses joues et la fleur aux pétales fragiles qu’elle lève entre eux.
“Merci … je sais que ce qui vous est arrivé, à ton village et toi, le perturbe beaucoup. Alors laisse le t’aider, si tu veux bien. Ça lui fera du bien je crois.”
Il parle de son frère, ignorant ENCORE que lui aussi, il a été peiné, et en colère, face à la destruction de Konoha et sa propre inutilité. Mais. Il n’est pas le sujet de la discussion. Il ne se laisse jamais être le sujet de la discussion. Parce qu’il n’est pas important. Il n’est pas un sujet Gaara. Juste un vecteur. Celui de la puissance et de la terreur pour son père à l’époque. Celui d’une nouvelle prospérité pour Suna maintenant. Lui, c’est pas un héros, comme Naruto. Alors il ne comprend pas bien pourquoi la princesse Hyuga lui adresse cette fleur à lui. Mais il la prend, pour ne pas paraître impoli. Il pense aux héros, à Konoha en ruines, à Naruto, à Hinata, à "lui cause pas du petit excité", à pourquoi Hinata est là. Pour de vrai. Il écarte la fleur écarlate de leur champ de vision et baissant la main, et reverse l’autre sous celle de la jeune femme pour la soutenir.
“Je suis désolé que tu sois venue à Suna … j’espère que tu t’y plairas quand même.”
C’est maladroit, comme d’habitude avec lui. Mais c’est sa façon à lui de lui dire sans lui dire textuellement qu’il “comprend” et soutient la douleur qu’elle doit ressentir face à Naruto et sa famille. Il ne sait pas grand chose, Gaara. Mais il sait ce que c’est d’être méprisé par son propre père, par sa famille. Et il sait ce que sait de ne pas être aimé. Alors oui, il est désolé des raisons qui ont poussées la jeune femme à venir chez lui. Non pas qu’elle soit là, hein ! Mais bon. Pas sûr qu’il soit bien clair dans ses mots.
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Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : Moi
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Lun 6 Mai - 14:00
Hinata Hyûga
J'ai 18 ans et je vivais à Konoha, avant de m'enfuir à Suna. Dans la vie, je suis agent de liaison et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma timidité, j'ai avoué mon amour à l'homme que j'aime trop tard et j'ai fuis. → Considérée comme une ratée dans sa jeunesse → Elle est un pisteur qualifié. → Connait le ninjutsu médical. → Possède le Byakugan → Technique du Juken, du poing souple. → Souplesse nature. → Invente les 64 poings du Hakke protecteur → Utilise les techniques aqueuses. → Son loisir c'est l'oshibana, art japonais qui consiste à créer des images avec des fleurs pressées.
Elle fait un petit sourire. Un sourire en biais, comme quelqu’un qui a peur que ce sourire soit mal accepté. Elle sourit, et elle le regarde doucement. Si seulement elle pouvait aider Kankuro et Gaara. Si seulement elle pouvait enlever les traces de tristesse sur leur visage… parce que, même si elle savait avoir elle-même la marque de la tristesse sur le visage. Elle essaie de cacher sa propre tristesse. Mais elle ne supporte pas de la lire sur un autre visage que la sienne. Elle voulait donner à Gaara une raison de sourire. Elle voulait lui donner ce qu’elle ne pouvait pas avoir elle-même. Elle trouvait la main de l’homme étonnement chaude. Elle n’avait aucune envie de l’enlever, aussi fit-elle semblant, même si sa rougeur sur ses joues auraient pu illustrer son mensonge, de l’avoir oublié. Elle observe le jeune homme. Elle avait vraiment envie de le faire sourire, et d’enlever le trouble ou la solitude qu’elle lisait dans ses yeux. Elle continue de lui faire un doux sourire, ses yeux plantaient sur lui. Elle ne manquait rien, l’espérait-elle. Elle voulait le comprendre en découpant toutes les parcelles de sa tristesse pour ne lui laisser que le bonheur.
- Oui, quand il sera là, qu’elle répète un peu bêtement pour une raison qui la dépasse.
Quand il sera là, c’est tout de suite mieux. Mieux pour Gaara, qui perdra pas son temps… et mieux pour Kankuro, qui comprendra que son frère s’inquiète et pourra profiter de sa présence. Mieux. Donc. Hinata n’arrive pas à se souvenir de pourquoi elle se sent soulagé qu’il ne parte pas tout de suite. Elle se sent heureuse et ça lui donne une petite douleur contre les tempes. Comme si elle voulait se souvenir de quelque chose, mais ne le pouvait pas. Elle hoche la tête doucement. Ouais… elle pouvait accepter de l’aide de Kankuro. Cependant, elle ne voit pas comment elle pourrait lui demander de l’aide pour ses cauchemars. Avoir été tué, puis réanimé, alors qu’on combattait, ça flanquerait la rouste moralement à tout le monde. En plus d’avoir eu un râteau en bonne et dû forme. Bref. Elle se demande si elle doit dire ce qu’elle pense de Kankuro, ou non ? Doit-elle préciser à Gaara que, tout comme il voulait l’aider elle et son village, Kankuro voulait l’aider lui, son frère ? Il valait mieux attendre qu’il lui dise lui-même… alors, elle hocha simplement la tête pour dire qu’elle avait compris, et accepte. Et une petite pression sur sa main annonce qu’elle prenait toutes les aides. Mais elle ne le réalise pas trop… elle était trop occupé à regarder le visage de Gaara. Ses yeux. Elle était sur que quelque chose devrait lui revenir, mais quoi ? Elle rougit à le voir. Elle ne sait pas pourquoi. Puis, elle laisse échapper un petit rire entre ses lèvres fines avant de cacher son expression de sa main libre.
- Ne t’excuse pas. On m’a appris que j’étais déjà venu à Suna, il y a très longtemps. Mais je n’en ai aucun souvenir. Alors je suis heureuse de pouvoir m’en faire de nouveau.
Ce qu’elle ne sait pas, c’est que c’était un technique ninja qui lui avait fait oublier les quelques voyages avec son père dans le pays du sable. C’était son père qui, pensant qu’avoir un ami comme Gaara serait néfaste, lui avait fait oublier l’existence de son ami, de ses jours ici. Il avait fait en sorte que ça ne soit plus qu’un souvenir diffus… Mais Hinata aimait déjà Suna. Elle se sentait en sécurité ici. Plus qu’entre les murs de Kohona, plus que dans les jupes de son père. Elle ne se souvenait pas avoir déjà été sauvée ici, par un petit garçon à la mine triste et seule, aux cheveux roux comme le feu, aux yeux vert comme la prairie… et au cœur qui ne demandait qu’à être bercé dans la vraie douceur.
- Si je peux faire quoi que ce soit pour me rendre utile, fais le moi savoir, pour Suna… mais aussi pour toi et Kankuro. Je… je… Je…
Elle rougit. Fortement. Elle se sent d’un coup un peu mal de rougir. Elle avait promis de ne plus rougir à en tomber dans les pommes, mais son mal de tête (le fait qu’elle essaie de se souvenir de quelque chose qui avait été effacé) lui donne le vertige. Elle finit par repousser l’impression et planter à nouveau le regard sur son interlocuteur.
- Pain m’a tué, finit-elle par dire dans une toute petite voix, et en me réveillant après… après ma mort, je me suis dis que je voulais… Je veux être ton amie.
Finit-elle par dire encore plus rouge qu’un peu auparavant. Les cinq derniers mots tournent en boucle dans son esprit. C’était comme si elle l’avait déjà dit, mais quand ? Elle ne se souvient pas. Et elle réalise que Gaara pourrait croire que c’est simplement parce que, lui aussi, il était mort et revenu qu’elle voulait l’être (son amie). Elle ne savait pas comment expliquer réellement ses sentiments. Et puis aussi, sa voix grave quand il parle tout bas, ça lui fait étrange, parcouru de petits piques de quelque chose qu’elle ignore aussi. Et oui. Quand elle s’était réveillé après sa mort, elle avait qu’une idée en tête, même avant celle de recevoir la réponse de Naruto (qu’elle attend toujours d’ailleurs) c’était de venir à Suna. Mais elle ne sait pas pourquoi.