Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

Fallout shelter

Aloy
Messages : 13
Date d'inscription : 13/04/2024
Crédits : strawberry-writings (avatar) reinerist (signature)

Univers fétiche : Post-apo
Préférence de jeu : Les deux
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Aloy
Mer 17 Avr - 10:53
Le contexte du RP
Mise en situation

La situation

Les évènements prennent principalement place en 2287, soit dix ans après les évènements relatifs au Vagabond Solitaire et deux-cent-dix ans après la Grande Guerre. La temporalité de Fallout 4.

Dans l'abri 19, deux personnes se réveillent d'un long sommeil après avoir été cryogénisés. Dans les autres capsules, personne, pas âme qui vive. Dans les armoires métalliques à côté de la porte à l'ouverture verticale, de la poussière et du vide ; il ne restait que deux tenues bleu floquées aux couleurs et au nombre de l'abri. Où sont passé les autres résidents ?

Peu importe. Les deux inconnus ne s'en préoccupent pas, et décident de vivre leur meilleure vie ! Il y a tout, de la nourriture, de l'eau, de nombreux appartements à utiliser de n'importe quelle façon.. Mais un abri, ça ne tourne pas si facilement et avec uniquement deux personnes.
Un jour, il faudra prendre une décision : mourir ici ou sortir.

Contexte provenant du jeu fallout 4 et de ma petite tête.


TELL ME NOT TO CALL YOU THIS LATE

Aloy
Messages : 13
Date d'inscription : 13/04/2024
Crédits : strawberry-writings (avatar) reinerist (signature)

Univers fétiche : Post-apo
Préférence de jeu : Les deux
Valise
Aloy
Mer 17 Avr - 22:01
@loudsilence.
Louve Watson
J'ai 30 ans et je vis à Boston, dans l'Abri 19. Dans la vie, je suis sans emploi et je m'en sors comme je peux ; j'ai réussi à voler la place d'une autre femme dans la capsule pour assurer ma survie. Sinon, grâce à ma malchance, je suis divorcée et je le vis plutôt mal.

Fallout shelter Tumblr_odt4drZyEP1sjpbxoo5_540
Il fait froid. C'est la seule chose à laquelle la trentenaire parvient à penser. Cela lui prend quelques minutes, mais c'est péniblement qu'elle ouvre enfin ses paupières pour se retrouver aveuglée par le clignotement incessant d'un luminaire au-dessus de sa capsule. Le corps encore engourdi par le froid de la cryogénisation, elle ne parvient même pas à soulever un bras pour faire de l'ombre à ses yeux. C'est d'abord sa tête qu'elle arrive à soulever, un oeil entrouvert et l'autre fermé, pour observer l'agitation autour d'elle. Mais quelle agitation ? Il n'y a pas âme qui vive, seulement le bruit assourdissant d'un bip provenant de deux capsules ; la sienne et celle en face.

Putain. Elle se surprend elle-même de cette voix rocailleuse qui s'extirpe de sa gorge. Louve parvient finalement à se redresser entièrement, se râclant la gorge en essuyant ses yeux pour les forcer à y voir plus clair. Le voile flou de ses prunelles passé, la blonde observe avec curiosité - ou plutôt, dévisage sans aucune gêne - un homme qui se trouve encore endormi face à sa capsule, entièrement nu. Son regard se baisse en remarquant, du coup, qu'elle-même était nue. Etrange, elle n'avait pas le souvenir de s'être déshabillée avant d'entrer. Louve hausse machinalement les épaule. Peu importe, de toute façon.

La blonde finit par enfin se lever de son cocon, vacille, se rattrape à son d'en face. Même si elle n'était pas intéressée pour se faire des amis dans l'immédiat, il fallait au moins vérifier si cet homme était toujours vivant ; dans le cas contraire, il est primordiale de se débarrasse du corps, elle n'avait aucune envie de vivre dans un abri avec un cadavre comme voisin et l'odeur qui l'accompagne. A l'arrière de la capsule, elle passe sa main sur un petit écran pour surveiller ses signes vitaux. Et même si la blonde n'était pas un médecin, il n'y avait pas besoin de sortir d'une grande école de médecine pour comprendre les lignes ondulées. Elle se surprend à avoir un soupire de soulagement avant de tituber vers les armoires métalliques. Prenant la tenue pour femme entre ses mains pour la déplier devant elle, Louve soupire ; oui, elle aurait quand même espérée autre chose qu'un machin une pièce bleu pétard.

Bonjour la belle au bois dormant. Souffle la trentenaire, qui sentait dans son dos l'agitation de l'homme, signifiant qu'il se réveillait enfin. Louve en profite pour enfiler tranquillement sa tenue avant de récupérer celle de l'inconnu pour lui apporter. Je sais pas qui tu es, mais je t'annonce tout de suite : on nous a lâché. Ca évitera un nombre incalculable de questions pour lesquelles elle n'a pas de réponse. Elle dépose alors la tenue ridicule sur les jambes nues de l'homme, sans la moindre gêne. Louve s'éloigne ensuite pour lui laisser le temps de remettre ses idées en place, histoire de vérifier quelques trucs de son côté. Sa main se pose sur l'énorme bouton qui sert à ouvrir la porte coulissante, et un sourire satisfait courbe ses lèvres face à l'ouverture instantanée. On moins, on va pas mourir de faim dans cette pièce.

Elle se tourne ensuite vers l'inconnu, les bras croisés sur sa poitrine. Au fait moi c'est Louve, c'est quoi ton nom ? J'ai pas envie de t'appeler par heyyy toi là !


TELL ME NOT TO CALL YOU THIS LATE

Edward
Messages : 846
Date d'inscription : 08/08/2023
Crédits : Ma tronche (presque)

Univers fétiche : Médiéval Fantastique (mais pas que)
Préférence de jeu : Homme
Cités d'or
Edward
Mer 17 Avr - 23:44

Henry Fairbanks
J'ai 32 ans et je vis à Boston, USA. Dans la vie, je suis survivant et ce n’est pas toujours simple. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Brrrrrr !

C’est la première pensée qui me vient tandis que mon corps frissonne avant que je n’entre ouvre légèrement un œil.
Immédiatement, mes iris bleus se font agresser par l’éclat foudroyant d’un plafonnier clignotant sporadiquement, me plaquant un mal de crâne vif. Je fais donc ce que toute personne normale fait lors d’un tel réveil, je grogne de mécontentement.
La douleur se fait plus présente encore lorsque les innombrables bips me parviennent, me forçant à laisser retomber ma tête contre le matelas.
Enfin… Contre l’ersatz de matelas, couvrant le fond du sarcophage de cryo.

Essayant de mettre de côté la douleur qui m’enlace les tempes, je gigote, testant mes fonctions motrices pour confirmer avec soulagement qu’elles sont totalement molles, mais fonctionnelles.
Alors, je me fais assaillir de mots qui se font difficilement un chemin entre mes neurones.

La belle suite du dormant nous a annoncé la faim de la pièce Louve qui va mourir en mon nom en lâchant un Hey toi là ?

Mais…Quoi ? Bredouillais-je finalement d’une voix chargée de caillasse en ouvrant des yeux larmoyants.
Je distinguais péniblement un dos qui tenait des bras et qui était posé sur des fesses surmontant des jambes. Secouant la tête, regrettant aussitôt, je luttais pour faire une mise au point convenable tant sur les mots entendus que sur les images que je percevais.
Je pus rétablir le focus juste à temps pour distinguer un joli popotin, juste avant que ce dernier ne disparaisse sous un affreux tissu bleu.
Ce constat retarda légèrement le travail ralenti de mon cerveau ramolli, mais, finalement, tout rentra dans l’ordre.

Henry, je m’appelle Henry et je suis… Moi, enfin, je suppose. Lançais-je en me levant, chancelant. Je fis quelques pas hasardeux avant de me jeter sur un lavabo pour rendre le contenu de mon estomac.
Par chance, il y avait bien longtemps que la combinaison que Louve m’avait gentiment apporté avait rejoint le sol, ce qui l’épargna de tout risque de souillure.

Putain de cryo… ! Maugréais-je en crachant. Désolé, on a fait mieux comme rencontre ! Dis-je avant de me rincer la bouche.
Alors, je comprenais que j’étais nu et je percutais pourquoi j’avais, précédemment, une combinaison sur les jambes.
Je lançais à Louve un regard hagard avant de me baisser pour ramasser le vêtement, prenant appui contre le mur pour l’enfiler.

Et donc… Selon-vous…Nous sommes…Seuls ? Demandais-je, tout en me battant pour passer un pied sans m’étaler. J’indiquais par la même occasion que j’avais, enfin, bien compris ce qu’elle avait dit. Désolé, je vais vous demander d’être indulgente et patiente pour les quelques heures à venir, j’ai l’impression que la congélation ne me réussi pas des masses. Concluais-je avant de manquer de m’écrouler alors que j’essayais d’enfiler le second pied.

Merde !
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