J'ai 24 ans ans et je vis à Bogota, Colombie. Dans la vie, je suis webdesigner et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suisdans la friendzone et ça ne me plait pas de ouf.
Enrique est aussi batteur dans un groupe de rock qui peine à se faire connaître.
« Tu t’accroches trop Enrique… » Il aurait voulu ne jamais entendre cette phrase. Lui qui était sur un nuage venait de tomber la tête la première. Et ça faisait mal. Oui, Andy l’avait déjà dit. Plusieurs fois… Mais c’était comme si à chaque fois, Enrique n’entendait pas. Comme s’il faisait exprès de ne pas écouter. Sauf que ce soir… Ces quelques mots avaient trouvé le chemin de son cerveau. Probablement parce qu’il s’était préparé des jours à lui faire une putain de déclaration. Déclaration qu’il n’avait visiblement pas besoin de faire. Un mal pour un bien non ? Malgré ça, Enrique ne voulait pas lui donner raison. Lui montrer qu’il avait mal. Sauf que ça se voyait sur son visage. Et qu’il avait juste envie de se barrer avant de dire des conneries du style « je t’aime ». Enrique se redressa finalement. En choisissant la fuite, Andy allait forcément comprendre. Mais tant pis… Deux solutions : se cacher dans un coin avec quelques bières – beaucoup – ou bien quitter la soirée et laisser Andy tout seul. Ne plus jamais le revoir, pourquoi pas. Au fond, il lui en voulait un peu. De ne pas avoir mis fin à leur relation quand il avait vu qu’Enrique commençait à s’attacher un peu trop. Mais aussi d’avoir commencé à l’embrasser à des moments totalement random sans qu’ils ne couchent ensemble. Ce petit jeu était allé trop loin. Il voulait arrêter.
« J’ai besoin d’un verre. » Ou dix. Il se pencha pour récupérer ses vêtements et se rhabilla en vitesse. Puis, sans même regarder Andy, il quitta la chambre en le laissant en plan. Ce n’était peut-être pas très sympa. Mais il ne voulait pas craquer devant lui. Avoir l’air faible. Déjà que tomber amoureux, c’était pas très malin… Alors s’il pleurait ou autre devant lui, c’en était fini d’Enrique. Il descendit les escaliers rapidement, pour s’éloigner au plus vite. Un ami lui demanda où était Andy, il se contenta de hausser les épaules, et se rua vers le bar. Là, il prit un gobelet rempli de bière – enfin qu’il croyait rempli de bière, parce que ça avait davantage un goût de vodka – et le but d’une traite. Bordel, que c’était dégueulasse. Encore une ou deux comme ça et il pourrait enfin s’amuser.
Univers fétiche : Réel mais ouverte aux autres univers
Préférence de jeu : Homme
Amity
Dim 30 Sep - 18:32
Andy Rivera
J'ai 24 ans ans et je vis à Bogota, Colombie. Dans la vie, je suis photographe dans une association et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je me crois célibataire et je le vis plutôt bien. Il n'a pas de tatouages. Il rapporte presque tout au cul. Il fait bien trop la fête, il adore danser sur de la bonne musique.
Il le prend mal. Evidemment qu’il le prend mal. Tu soupires. Tu roules les yeux. Tu n’as rien dit de nouveau. Il faut vraiment qu’il la joue drama queen alors que vous passiez une bonne soirée ? Il fait vraiment chier. Il lance qu’il a besoin d’un verre en se redressant, tu le regardes faire sans bouger. T’es trop bien installé là. La vérité c’est que t’as pas envie de lui courir après. Il a besoin de comprendre que vous deux, c’est que du fun, rien de plus. Faut qu’il arrête de croire qu’il peut y avoir autre chose.
Tu soupires de nouveau et tu prends ton temps avant de sortir à ton tour du lit. Tu te rhabilles, tes fringues sont tout froissé à cause de l’eau qu’ils ont pris un peu plus tôt. T’es pas franchement à ton avantage comme ça et t’aimes pas vraiment, mais soit. Tu sors de la chambre, descend au salon où se trouvent les festivités et tu le trouves en train de boire. T’aurais limite cru qu’il serait en train de se frotter à un autre mec pour te faire chier - et ça aurait marché - mais non. Tu prends un verre de bière et tu t’approches de lui. Quand même surpris qu’il soit encore dans les parages.
« Tu fais la tronche ? »
Ca se sent dans ton ton que tu trouves ça pathétique.
« Tu veux qu’on rentre ? »
Parce que ouais, la soirée dans tes fringues pourri là t’es pas des masses à l’aise. Tu bois un peu ta bière sans quitter Enrique des yeux, attendant qu’il ait une quelconque réaction envers toi, une réponse. Va-t-il se braquer suite à tes remarques ou passer à autre chose et continuer de s’amuser avec toi ?
Nicotine sweats and coffee breath
I thought I was so much more than this. When I look back at everything I've touched I see the lives I've ruined, dirty fingerprints. We are the common folk. We live our lives to die alone. Share our beds when the nights get cold
Invité
Sam 20 Oct - 21:40
Enrique Sanchez
J'ai 24 ans ans et je vis à Bogota, Colombie. Dans la vie, je suis webdesigner et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suisdans la friendzone et ça ne me plait pas de ouf.
Enrique est aussi batteur dans un groupe de rock qui peine à se faire connaître.
Enrique ne savait pas trop si Andy reviendrait vers lui ou non. Le pauvre devait être blasé par la situation car il n’avait jamais rien promis à Enrique et qu’il l’avait même mis en garde plusieurs fois. De toute façon, Enrique n’avait plus envie de le voir pour ce soir. Parce qu’il se sentait ridicule, parce qu’il ne voulait pas s’expliquer, s’excuser, ou quoique ce soit d’autre. Il aurait pu essayer de le rendre jaloux oui. S’il n’avait pas pensé que c’était peine perdue. Par définition, ils n’étaient que des plans cul et Andy n’était pas vraiment attaché à lui, donc il n’aurait aucune raison d’être jaloux. De plus il n’était pas vraiment doué pour draguer Enrique… A croire qu’il n’était pas doué pour grand-chose. Finalement, Andy le retrouva vers le bar en libre accès. Enrique ne put retenir une grimace alors qu’il vidait son verre. Le ton employé par Andy était légitime. Il avait le droit d’être agacé et de le trouver ridicule car c’était exactement ce qu’Enrique pensait. Il le regarda un moment avant de soupirer. Il devait dire les choses. Crever l’abcès. Mettre fin à cette relation de merde qui le faisait souffrir et dont Andy profitait, lui. Il prit finalement une profonde inspiration et se lança. Ca allait faire mal. A Enrique bien sûr, Andy trouverait très vite un autre trou à remplir – tout dans le glamour et la classe oui. « Tu veux que je te dise quoi ? Oui j’ai été con de tomber amoureux de toi. Oui, c’est trop tard pour revenir en arrière. Est-ce que j’ai envie de crever à chaque fois que je t’imagine avec un autre ? Certainement. Tu sais quoi, je préférerais qu’on arrête de se voir. Ca vaut mieux… » Il reposa son gobelet sur la table et poussa doucement Andy pour qu’il se décale. « Alors oui je veux rentrer. Et je vais rentrer chez moi. Sans toi. Désolé de t’avoir importuné avec mes délires Andy. »
Univers fétiche : Réel mais ouverte aux autres univers
Préférence de jeu : Homme
Amity
Ven 23 Nov - 17:01
Andy Rivera
J'ai 24 ans ans et je vis à Bogota, Colombie. Dans la vie, je suis photographe dans une association et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je me crois célibataire et je le vis plutôt bien. Il n'a pas de tatouages. Il rapporte presque tout au cul. Il fait bien trop la fête, il adore danser sur de la bonne musique.
T’espérais un petit peu qu’il oublie ce moment qui a ruiné la soirée et repartir sur de bonnes bases mais… non. Il te dit ce qu’il a sur le coeur. Il veut que vous arrêtiez de vous voir. Ca te fait clairement chier. T’es bien avec lui. Sinon ça ne ferait pas autant d’années que tu le vois très régulièrement. Mais le fait qu’il cherche le contact alors qu’il aurait pu passer ailleurs pour tracer sa route, te conforte dans l’idée que tout n’est pas perdu. Mais il insiste sur la fin de votre histoire et la fin de sa soirée qui se fera sans toi. Tu vas tout de suite prendre son bras pour pas qu’il file plus loin. Tu cherches quoi dire mais tu trouves rien en fait. C’est vrai que tu vas repartir de Bogota dès que t’aurais réussi à avoir un visa. Cette affaire va s’arrêter quoi qu’il arrive. Tôt ou tard. Alors tu te résignes et tu lâches son bras. Ca se sent quand même dans ton regard que ça te fait chier cette « rupture » mais tu ne fais pas de commentaire là dessus parce que tu vas pas lui courir après. T’es pas amoureux toi.
« T'as mon numéro. »
Sous entendu « dès que t’auras envie de baiser, contact moi ». Tu lui laisses la porte grande ouverte parce que tu es libre de baiser qui tu veux. Et si tu peux baiser Enrique encore quelques fois tu prends. Tu bois une autre gorgée de ta bière et tu penses rentrer dans pas longtemps parce que t’aimes pas être si peu présentable comme ça.
Nicotine sweats and coffee breath
I thought I was so much more than this. When I look back at everything I've touched I see the lives I've ruined, dirty fingerprints. We are the common folk. We live our lives to die alone. Share our beds when the nights get cold