BIO - âge ~ Un nombre éphémère qui ne cesse de changer de forme. Lorsque la date fatidique apparait, les chiffres se brouillent en se laissant détourner de leurs structures. Tenant une forme commune pour certaine et nouvelle pour d’autres. Il n’y a pas de honte à vieillir seulement l’impression que la vie s’écourte en apportant avec elle, la fin d’une époque. Il y a 45 ans, je suis venu sur cette terre sans connaitre mon destin. Aujourd’hui, je cherche à survivre dans cet enfer.  . date et lieu de naissance ~ Naître sur la table ronde de la chapelle n'était pas la meilleure idée. En plein cœur de la ville de New York, cette femme en douleur ne voulait pas donner naissance dans un centre hospitalier. Il n'y a que la sage-femme - une régulière- pouvant l'aider. Le 5 juin 1978 dans le Queens, je viens au monde comme futur membre et président de cette putain d'héritage et cette grande famille. nationalité ~ Est-ce que je suis fier d'appartenir à ce pays dont le drapeau laisse le sang couler sur ses terres ? Oui, je suis fier d'être américain et New-Yorkais. métier ~ L'invisible reste la meilleure couverture possible. L'anonymat est plus facile à garder que de crier haut et fort les patch cousus sur mon cuir. Aux yeux des cupides, je suis propriétaire du bar et du garage attaché au club house. Bien qu'aux yeux des autres chapitres, des membres, des prospects, des régulières et des brebis, je suis le président du club. statut civil ~ J'ai commis une fois l'erreur de vouloir faire une femme ma régulière. Une femme magnifique aux courbes succulentes, mais je n'ai pu continuer. Sa curiosité, son attachement, sa dépendance affectifs a fini par me dégouter. Balancé tel un déchet pour devenir la brebis d'un autre chapitre ennemie. Depuis, je préfère cette liberté ! Aucun sentiment ! Aucune attache. Les courbes des femmes dans mon lit avant d'être mise dehors après que je me sois libéré d'une tension. Bon... Avant qu'elle débarque dans ma vie...Il n'y a que Amber et ma moto pour le moment. statut monétaire ~ L'argent ? Vous croyez vraiment aux statuts ? Il y a deux classes riches ou pauvres ! Ce n'est pas l'argent qui manque. Est-ce qu'elle est propre ? Je n'en dirais rien.

Tu viens au monde comme membre, tu vas mourir comme membre.

La cacophonie se faisait de plus en plus présente dans la folie du lieu. Les hommes fêtaient la réussite de l’échange de drogue avec les Italiens et l’échange d’arme avec les Russes. La musique se faisait presque bourdonnante dans mes tympans, mais les hommes se faisaient fiers. Il ne faut pas plus pour comprendre la fierté d’appartenir à notre famille. Les blessures d’un deviennent les nôtres. L’échec nous déchire et nous partageons ce mal ensemble. J’étais assis au bar, une bouteille de bière américaine devant moi. Des conversations se faisaient basses s’élevaient des tables aux alentours. Les paroles, les mots deviennent incompréhensibles. Entre la musique du groupe invité, les membres et non-membres assises un peu partout, le brouhaha ambiant se font imposants. Il était presque minuit, en ce samedi soir, donc les festivités peuvent prendre de l’ampleur sans aucune gêne. Les enfants sont surveillés par de la famille loin de Club house et les régulières se font ‘’sages’’ auprès de leurs hommes. Affichant fièrement sur leurs cuirs offerts le statut qu’elles ont obtenu. Ceux qui buvaient encore à cette heure étaient soit des fêtards ou encore ils prennent cette excuse pour s’éloigner un peu du quotidien de la famille parfaite. Un peu comme moi. En prenant une gorgée de ce liquide amer, la main d’une brebis enjôleuse glisse le long de mon épaule. Je la chasse du revers de la main en lui disant d’aller voir ailleurs. Je n’étais pas intéressé. Pas par elle du moins. Je soulève ce contenant de verre brun. La tournant entre mon pouce et mon index au niveau de mes yeux. Merde ! Il faut vraiment que j’arrête un jour. J’allais encore devoir soulager la migraine à l’arrière de mon crâne demain matin. Ce produit, breuvage maudit, apporte le soulagement en guérissant tous les maux. L’alcool devient une illusion calmant la peine, la dépression, le mal de vivre et les mauvais souvenirs destructeurs. Mon père, l’ancien président, disait qu’il donnait aux hommes une raison de vivre. Qu’il suffisait de laisser ce fluide de couleurs diverses pour retrouver une lucidité lorsqu’ils n’en avaient plus aucune. Je me souviens encore que ce géniteur sortît une bouteille de bière ou la bouteille de rhum en proposant à ses hommes de boire un peu pour calmer leurs tensions. J’avais hâte d’y goûter lorsque j’étais prospect à mes seize ans. On avait toute hâte de boire de l’alcool pour qui suit les aînés. C’était mon cas. Je voulais devenir le roi, le maître de ma propre personne. Je ne suis pas alcoolique. Un peu sans vraiment tout perdre. J’aurais pu boire avec mes hommes au loin en riant le rire avec eux. Sauf qu’il fallait que je règle quelque chose demain aux lueurs du soleil. Les membres imposants tels que ; moi, le vp, le sergent d’armes, le road captain, le tech officer, l’ambassadeur et l’enfoncer sera assis à la table ronde pour décider la punition d’un des membres. Nous savions qu’il avait trahi une des règles. Il fallait lui faire payer. J’aurais pu tout régler ce soir, mais je préférais qu’ils fassent la fête. Cet idiot est enfermé dans le sous-sol. Attacher tel un rapace dans la noirceur des caniveaux. Voilà la raison du pourquoi. J’avais décidé de retarder le vote à demain. Je me tourne vers la barmaid pour prendre une nouvelle bière. Souriant à pleines dents devant son beau minois. Ce soir ce n’est pas la brebis que je souhaite, mais la belle femme que je venais d’engager, il y a deux semaines. Derrière elle, je fus frappé par les photos des membres. Putain que j’ai la gueule de mon vieux. La seule différence est ma chevelure couleur chocolat. Loin de cette blondeur qu’il avait. Sans oublier celle de ma mère et lui. Cette femme avait perdu son combat contre le cancer et mon père l’a rejoint quelques années plus tard. Leurs plus grands souhaits de me voir heureux avec une famille. Un échec total dans leurs réalisations.  Je ne pourrais rendre cette fierté. Trop pris par mes propres soucis et celle de cette famille. À quoi bon aimer ? Pour finir aussi brisé que lui lors de sa mort ou moi lors de ma dernière relation avec cette folle ?  Je souris encore de plus belle lorsque mon désir du soir apparait de nouveau devant moi. Laissant son torchon sur le comptoir. Sa main vient caresser ma barbe et son sourire s’élargit. Elle me veut comme je la veux. Cette pauvre petite va se dégrader à un soir en coup de soir et devenir par erreur la brebis du club. Sa peau d’un beige café, ses yeux d’un vert perçant et cette magnifique chevelure noire tombant en cascade sur ses épaules, sans oublier cette croix lui glissant entre la poitrine. Ma langue glisse le long de ma lèvre. Mes yeux illuminés par le désir de la voir nue sur mon lit bougeant sous les coups de mes reins alors que je la pénètre, une main contre sa nuque la serrant pour qu’elle me supplie de la libérer. Ses mains qui m’agrippent en laissant ses ongles parfaitement manucurer me rentrer dans la chair. Bordel ! Juste à l’idée, je la sens durcir contre mon slip et mon jean. Je sais ! Je ne devrais pas parler ainsi, mais vous avez vu ma famille. Ma mère était infermière, mon père président du mc. Trouver l’erreur ! Un couple uni depuis qu’il était prospecte. Il n’a jamais connu une autre femme que ma mère. Trop fidèle, même en visitant les autres chapelles. Il a bien tenté de me faire respecter les femmes ou encore d’avoir un langage plus poli, mais rien n’a fonctionné. Encore trop idiot comme enfant. Il m’a envoyé dans des écoles privées pour me faire oublier ma famille, mais à seize ans, je balance tout pour devenir prospect au grand désarroi de ma pauvre mère. Pourtant, il était clair que je n’allais jamais mettre une cravate. Même le jour de mon mariage, un jour, je vais porter mes couleurs. Je ne suis pas un imbécile ! J’essaie de respecter les femmes sauf quand il s’agit de coureuse de mauvais garçons. Elles veulent juste écarter les jambes pour sentir le membre bien dur d’un d’entre nous les défoncer. Que leurs poitrines bondissent sous les coups de nos hanches alors qu’on laisse notre semence venir dans une capote ou sur le ventre. Elles ne veulent pas la peine d’être génitrice ! Puis, il y a cette loi que mon père avait mise en place. Il est impossible pour une brebis de devenir sienne ni régulière ! Une chance ! Sans oublier. Elles se vont avorter sinon, nous la faisons avorter de force. Un sac à foutre restera un sac à merde ! Ma main attrape celle dont le vernis rose ressemble à une friandise. Je la tire vers l’avant, sa poitrine s’écrase sur le bar et son ventre s’appuie sur la rambarde. Le sourire bien affiché. Je plaque mes lèvres contre les siennes. Lui arrachant un gémissement de surprise contre mes lippes. Gardant suffisamment le contrôle pour ne pas sauter par-dessus le bar et la baisé comme une reine devant tous mes frères. Sans rompre notre baiser. J’aspire sa lèvre inférieure, la laissant m’offrir sa langue, puis souffle jusque dans ses poumons. Mon autre main glisse le long de sa nuque pour s’arrêter à sas mâchoire sentant les os se compresser contre la solidité de mes articulations de ma main. Serrant fermement pour sentir les plis de sa peau remonter. Merde ! J’étouffe sans ce jean. Ma langue contourne la sienne alors que la chaleur de notre salive se partage. La férocité se fait sentir. Je brise notre baisé en sentant le regard des gens derrière moi. Elle va payer cher ! Je souffle entre mes lèvres humides et ce souffle couper de monter dans ma chambre que je la retrouve dans 5 minutes nue sur mon lit. Comprenant la sévérité de mes mots. Elle quitte sans broncher pour rejoindre le lieu de culte. Je regardais une dernière fois le portrait de famille accrocher au mur en porte ma main vers ma bouche pour embrasser l’alliance de mariage de mon père. Ma main fit un signe de croix. Oubliant ma nouvelle bière sur le comptoir. Trop Captivé par les fesses bougeant de cette barmaid qui me fait du charme. Son rouge à lèvres que je sens sur mes lèvres. Mon vp me regarde fière en me tapent l’épaule. Je lui rappelle l’heure de notre réunion demain. Son oui prez me frappe droit dans le cœur. Mon grand-père avait été président, mon père et moi. Un jour, ça sera le mien qui prendra ma place. Sauf que je vais devoir surement adopter ou trouver une pauvre mère célibataire qui cherche un loup solitaire. Est-ce que je serais capable ? Merde ! Non ! J’aime bien trop ma vie ! J’abandonne mes frères pour rejoindre le bijou dénudé, surement assis dans mes draps noirs. Que la fête commence réellement !  

BIO - Quand Neptune Belkhir arrive dans la petite ville de (à venir), elle espère afin y trouver la paix qu'elle recherche désespérément.  Oublier ce mariage qu'elle fuit. Bien que la vie ne peut détourner les moments terriblement douloureux, d'autres, merveilleux, deviendront optimistes. Cette éternelle romantique a vu sa vie chambouler avec le temps. Répartitrice du 9-1-1 depuis l'âge de 21 ans. Elle ne croyait pas un jour devoir utiliser ce service pour sa propre sécurité. Fuyant son passer auprès d'un homme violent. Cette jeune migrante se retrouve seule dans une région inconnue. Laissant son univers d'elle pour entreprendre sa nouvelle destinée. Tournant la page de ce chapitre et ne pas se plaindre de qui elle était avant. Quittant son emploi de rêve pour s'ouvrir une boutique de vêtements d'occasion à (ville à venir). Neptune ne croyait pas un jour tombé sur cet homme qui fera battre son coeur. Une histoire qui loin d'avoir commencé.

BIO - L’interdit, l’irraisonnable n’a jamais été aussi irrésistible.

Megara Lombardi était jusqu’à ce jour étudiante à l’une des plus grandes universités des États-Unis. Jusqu’au jour que son père disparait la laissant sans rien. Lui prenant tout ce qu’elle avait misde à côté. Le soir de son vingt-neuvième anniversaire, l’Italo-Américaine arrive devant sa porte d’appartement en ayant, comme un cadeau, un avis d’expulsion. Le seul membre de famille qu’il lui restait à son jour vient de disparaitre. Le peu d’économies qu’elle avait été pour réaliser son rêve de devenir pédiatre. Faisant face à la réalité d’une vie plus compliquée de ce qu’elle croyait. Pour rajouter un grain de sel. Son père laisse ses créanciers, des hommes de main, venir toquer à sa porte. Non seulement elle doit sortir d’ici deux jours en apportant le plus de choses dans un sac et une valise, mais il semblerait que cet alcoolo sans fin doit de l’argent à des mécréants. Abandonnant ses études, ses rêves et son souhait d’une vie prospère. Cette jeune femme de vingt-neuf ans prend ses touts le courage qu’elle possède pour rencontrer la personne qui est peut-être la cause de cette fuite. Son cœur d’enfant ne souhaite que retrouver ce géniteur pour le détruire. Elle est prête à payer le prix fort pour lui faire regretter ses souvenirs qui la hantent. Ceux d’un père étendu dans sa propre urine ou vomis, trop alcoolisés pour monter les marches, une enfant devant aller au poste pour faire sortir son père. Une adulte ayant grandi trop vite. Trop à son goût. Le 7 mars, jour de la pleine lune du corbeau, Megara débarque sur le pas de la porte du bar de cet individu. Sa véritable aventure ne fait que commencer. Quel meilleur moyen de trouver une solution ? Est-ce que celui lui ayant pris tout ce qu’elle avait de précieux est cet homme ? Combien doit vraiment son père ? Elle le sait. Elle le savait. Il en a toujours été ainsi. Elle ne le croyait pas qu’il en serait aujourd’hui ainsi. Sa vie vient de chambouler à jamais sous le regard de cet homme… Nikolai Boreiev.

BIO - Et ici tu fais du blabla pour décrire ton personnage, à quel point il est cool et tout ça quoi.

BIO - Et ici tu fais du blabla pour décrire ton personnage, à quel point il est cool et tout ça quoi.

BIO - Les prunelles qui se déposent sur elle alors qu'elle chute contre le sol hantent son esprit.

Elle est née avec du sang noble. Un héritage qui n’aurait jamais de l’être créé. Une héritière d’une dynastie puissante dont la richesse, le pouvoir, l’aristocratie, la croyance deviennent des tentations trop dangereuses pour celle qu’elle est. Tullia est l’enfant maudit des dieux de l’Olympe. Dissimuler parmi les humains dès sa naissance, les dieux sont venus à oublier l’existence de cet enfant détester sauf de ses parents. Mise au monde d’un amour véritable par l’attachement détester de Cronos et Perséphone, elle sera gavée d’une fleur dont le sort scellera sa véritable identité. Il faut toutefois qu’elle s’éloigne de la noirceur de ce monde. Abandonnant le plaisir de la chair pour protéger sa pureté. Sa mère envoya des nymphes pour la protéger des vices de l’homme. Grandissant auprès de l’orphelinat de la ville, Tullia sera celle qui se proposera facilement pour les tâches ménagères, la surveillance et tendre la main à ceux dans le besoin. Pourtant, il lui manque un petit je ne sais quoi. Avançant sans rien comprendre. Ses journées se font lentes et répétitives. Le matin, elle va prier les Dieux avant de manger. Le restant de la journée, elle nettoie les temples pour terminer les autres durant la semaine. Le soir, elle aide en cuisine et les nécessiteux avant d’aller au lit. Une vie ennuyeuse. Jusqu’au jour qu’elle le rencontre. Fuyant la fausse accusation qui lui colle au dos. Perséphone sera choquée, car la rencontre avec cet homme ouvrira le premier verrou de la liberté de celle qui partage son sang.

Pouvoir : Elle puise dans ce lien invisible la liant à ceux lui ayant endormi. Ils sont là ! Mise en cage. Cette source d'énergie se percutant contre les murs. Des serpents de lumière cherchant à s'échapper pour se glisser le long de ses membres pour insérer leurs canines. Injectant le venin qui lui procura la force qu'elle mérite. Elle aura la main tendue pour accueillir au crue de sa paume, une perle de sang brillant tel une étoile. Emmenant d'elle cette lumière divine que seuls les dieux possèdent. Elle se dissipera sous une fumée blanche révélant sa véritable apparence. Les chaines tomberont et un éclair la traversera. Chamboulant ce petit corps. La puissance se libéra sous un réveil terrifiant de dons. Sa mère ayant trompé Hadès pour succomber aux bras de son beau-père, Tullia sera un mélange catastrophique. Des éléments qu'elle n'arrivera pas à contrôler.
*  Chlorokinésie : Petite-fille de Déméter et fille de Perséphone, elle aura le contrôle absolu des plantes.
* Géokinésie : Elle peut manipuler la terre. Pouvoir la liant à celle qu'elle aurait dû interpeler par le simple surnom : grand-mère.
*Immobilisation moléculaire: Elle ne pourrait croire ses yeux. Cette capacité lui vient de son géniteur. À la différence qu'elle ne peut reculer le temps et avancer. Ce contrôle lui échappe. Tullia est incapable d'une telle force. S'éloignant d'un contrôle absolu. Elle ne peut que figer le temps. Un bref instant. Peu à peu...un jour quelques minutes deviendra des heures, des jours ou des années.

BIO - Et ici tu fais du blabla pour décrire ton personnage, à quel point il est cool et tout ça quoi.

BIO - Et ici tu fais du blabla pour décrire ton personnage, à quel point il est cool et tout ça quoi.