Je travaillais depuis quelques années maintenant dans ce petit refuge et ma vie se passais si bien. Je travaillais et je vivais bien ma vie maintenant sans embuche! J’avais mon gros Loki qui me protégeais toujours et j’adorais mon travail. La zoothérapie est tellement aidant pour une personne avec des troubles anxieux comme moi que je ne pouvais qu’être heureuse de cet emploi qui m’aidais jour après jour! Je m’occupais des animaux ici , nettoyant leurs cages , les sortir dehors et les aider à se faire adopter. Je passais presque plus de temps ici qu’à mon appartement maintenant et je fessais autant d’heure de bénévolats que d’employer. Je ne voulais pas qu’on me paye toutes les heures que j’étais ici parce que de toute façon j’étais simplement bien ici. La vie me semblait plus facile en étant dans cet environnement!

Aujourd’hui cependant étais une journée plus stressante. Je n’avais pas beaucoup de journée ou je stressais plus d’être ici que chez moi, mais aujourd’hui le vétérinaire devait passer pour venir faire une check-up sur tous les animaux que nous avions faire sur que tout le monde ce portais bien et n’avais pas de maladie ou quoi que ce soit. Ma patronne voulait toujours s’assurer que les animaux que nous avions parte avec des familles en pleine santé.  Pourquoi est-ce que ça me stressait plus? Simplement parce que le vétérinaire était un homme , un bel homme d’ailleurs. J’avais toujours autant de mal d’être proche des hommes mais encore plus face à lui, lui que je trouvais terriblement séduisant et qui étais toujours si gentil avec moi. Mais je ne me fais pas d’idée bien sûr, je ne suis que la petite technicienne qui s’occupe des animaux et qu’il doit trouver bien étrange d’ailleurs donc je tente de ne pas trop le déranger quand il est ici! Comme je terminais de préparer les animaux à la visite justement, je me retournais pour croisée sont regard alors qu’il venait d’arriver.

Bon matin Monsieur Blackburn!

Je le connais depuis un moment maintenant, mais je n’arrive jamais à le tutoyer. Je ne sais pas s’il le voudrait, mais c’est plus fort que moi et la nervosité me gagne chaque fois. Je lui offris un léger sourire alors que je retournais à ma place avec Loki qui me surveillais.

Les animaux sont tous prêts à votre visite comme d’habitude! Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas!

Une lueur matinale traverse les rideaux de tissus. Laissant les premiers rayons du soleil éclairer mon visage par sa chaleur. Grognant à répétition pour procrastiner ce réveil un peu forcer. Les paupières toujours closes. Mon bras tenta de recouvrir mes yeux pour me protéger de la vérité lumineuse. La volonté me manque. La fatigue ne s’estompe pas malgré les heures de sommeil qui s’accumule. La douleur qui traverse mon crâne m’apporte un point sur ma liste pour prendre un congé forcé. Depuis combien de temps n’ai-je pas pris le temps de relaxer pour prolonger ma fin de semaine à une journée de plus ou deux jours. Ça ne serait pas si pire sauf que les vétérinaires de ce village se compter sur moins d’une main. Lorsque Monsieur Royce prendra sa retraite, nous ne serons moins de trois. Ai-je seulement le droit de pouvoir prendre un moment de liberté dans cette vie sans histoire ? Grognant alors que mon réveille sonne en m’avertissant qu’il est temps de glisser les jambes hors du lit. Repoussant avec une lenteur la couverture, je me marche d’un pas lent vers la salle de bain pour laisser la chaleur de l’eau me réveiller. Prenant le temps de relaxer avant de tomber dans la réalité.



Un café à la main, j’apporte le rebord à mes lèvres pour y tromper cette peau rosée dans ce liquide ambré. L’amertume me réveille. Je traine du pied tentant de me rester mes paupières ouvertes et non fermées. Dès mon entrée, je soupirais devant le nombre de dossiers qui s’accumulent. Ignorant la tablée pour m’accoter dans le cadre de porte. Une épaule accotée, les yeux posés sur cette belle brune qui se faufilaient dans les couloirs de la clinique. Grognant à sa salutation, je prends une gorgée pour fuir la réponse. Je ne pouvais pas le faire si longtemps. Il est plus cupide d’ignorer le tout. « Lut » Je ne suis pas douée avec les femmes. En fait, je ne sais jamais comment les aborder. À mes yeux, elles sont des personnes si fragiles que j’ai peur de briser. Souriant maladroitement et surement un sourire crisper par la gêne de parler plus. Je me décolle du cadre pour avancer vers elle. « Merci… Rester avec moi, j’aurais peut-être besoin d’aide avec certains avec eux. »

Travailler avec les animaux fut clairement le meilleur choix pour moi. J’ai longtemps cherché quoi faire de ma vie puisque presque tout me semble difficile dans les travails puisque je dois avoir trop de contact avec les autres. Je n’aime pas les autres, qu’on me touche ou bien qu’on soit trop proche alors le fait de devoir côtoyer des gens ne m’étais pas facile. Heureusement avec les animaux, c’est tout autre chose! La majorité des clients ne passe pas du tout par moi, je suis plutôt là pour m’occuper des animaux, nettoyer leurs cages et leurs donner suffisamment d’amour pour que leurs journées ne soient pas que déprimantes. Les seuls autres humains que je dois côtoyer sont mes collègues, les livreurs de produit et nourriture et le vétérinaire. Ce matin, quand il arrive il semble plus épuiser qu’a l’habitude. Il semble plus triste, plus…renfermer? Je ne sais dire comme je ne le connais pas beaucoup. Lorsque j’entends un grognement par suite de ma salutation, je ne peux m’empêcher de me sentir légèrement mal. Est-ce que j’ai déranger son matin? Aurait-il préféré que je ne dise absolument rien? Je me renferme légèrement sur moi, me questionnant trop sur mon comportement qui aurais pu le déranger. Il avançait finalement vers moi légèrement avec un sourire au visage, qui semblais presque forcer mais il souriait un peu au moins. J’hochais doucement la tête.

Bien sûr, si je peux vous aider je resterais avec vous.

Je ne savais pas ce que j’allais bien pouvoir faire pour l’aider, mais j’étais quand même curieuse de le voir aller… J’aime prendre soins des animaux et même si parfois ça ne doit pas être facile, son métier est 100% prendre soins d’eux et j’éprouve beaucoup d’admiration pour son métier…Mais lui, ce matin semble plus préoccuper et je ne peux m’empêcher de me demander ce qui se passe.

Pardonner ma question et si vous ne désirez pas répondre ne le faite pas mais…Est-ce que tout va bien? Vous avez l’air plus fatigué qu’a votre habitude.

Je me senti mal dès que les mots furent passés mes lèvres…Je n’avais aucun droit de me renseigner sur sa vie personnel et pourtant ,je n’avais pas pu m’en empêcher…

La délicatesse des femmes n’a pas toujours été perçue de la même manière que je le perçois aujourd’hui. Autrefois, rien ne pouvait égaler l’ambiance que d’avoir ma queue dans la bouche d’une femme quand celle-ci la vénérait. Putain que cette ancienne vie était sale. La jeunesse nous permet d’accumuler les erreurs et de tout faire pour ne pas le reproduire. Changeant même l’image que je percevais de demoiselles. Je m’étais rebellé depuis qu’une bêtise m’a coûté cher. Même si c’était un peu chiant, surtout le moule que la société nous obligeait d’être mouler. Par chance, je pourrais remercier les épreuves de ma vie pour m’avoir amené ici. Kaleeah était une douceur. Un pétale de rose qui fallait prendre soin et protéger. Elle inspirait à la protection et la romance. Un personnage naïf qui pourrait être en danger à la moindre occasion. La princesse en déteste. Je souris lorsqu’elle affirme pouvoir m’aider. La sentir près de moi me rassurait, car à l’extérieur les habitants du village ne parlent que d’elle. Voulant la croquer en premier. Sans qu’elle le sache, elle est un pari dont plusieurs veulent gagner. Je me frotte la nuque. Dire que j’étais de même avant. Sauf que je suis bien différent. En fait, au lit je suis peut-être un dieu, mais pour parler aux nanas je suis mauvais. « Merci, Kaleeah votre aide sera fort apprécie. » Je prends le premier dossier et le lit brièvement en prenant ma première gorgée de la journée. Puis, haussant le sourcil, je l’observe. Curieux d’entendre sa question. Je ris un peu pris par la nervosité. « Je ne vous cacherais pas que je suis fatigué. Je manque de sommeil. » Je cherche à m’endormir, mais mon lit est vide. La chaleur et la sécurité me manquent. C’est quelque chose qui me frappe rarement. « Je suis anxieux pour mon avenir en fait… Mes parents viennent me mettre de la pression à tout dire, mais cela ne vous intéresserait surement pas. » Je retourne à mon dossier en buvant une nouvelle gorgée. Un peu gêné de parler trop derrière cette mine.[/b]

Je n’avais pas l’habitude d’être si proche d’un homme. Habituellement je préfère garder mes distances histoire de me protéger moi-même. Les dernières fois que j’ai été proche d’un homme ce ne fut clairement pas par plaisirs. Maintenant, ils me font peur plus qu’autre choses…. Salem ne m’a jamais regardé comme un morceau de viande depuis que j’ai commencé à le côtoyer. Il ne me regarde presque pas en fait, donc j’imagine que ça m’aide à être plus à l’aise avec lui. Le fait qu’il porte beaucoup plus attention aux animaux qu’a moi aide à ce que je sois calme… Bien sûr, Loki est toujours proche de moi aussi et même lui semble calme en la présence de Salem donc sa m’aide beaucoup. Je souriais légèrement gêner quand il me remerciait et me disais que mon aide serait fort apprécié. Qu’est-ce que je peux être stupide, heureusement qu’il ne me regard pas! Rougir pour si peu! Il pourrait demander de l’aide à n’importe qui , je ne suis que la première sur le bord, rien d’intéressant à propos de moi… Je me ressaisis rapidement cependant, osant posée une question au jeune homme.

Vos yeux démontrent cette fatigue. Vous savez, si vous avez besoin de vous reposer nous pouvons reporter la visite, les animaux vont bien pour le moment!

Je voulais être rassurante, le pauvre devait se reposer plus que s’occuper des animaux en ce moment. Les visites sont importantes pour s’assurer que tout le monde va bien mais lui aussi dois aller bien.

Mais bien sur que ça m’intéresse, sinon je ne vous aurais pas demander.

Je lui offris un sourire amical comme je le pouvais. Je ne le connais pas beaucoup , mais s’il avait commencé c’est qu’il avait besoin d’en parler un peu et j’étais intéresser à le connaitre un peu plus.

Pourquoi vous mettent-ils de la pression? Vous êtes un vétérinaire génial vous ne devriez pas doutez de vous!

On l’appréciais beaucoup ici, il nous aidais vraiment beaucoup et il étais parfait avec les animaux.