Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

Ruthless Creatures (tw en description + 1er poste)

Limitiel
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Région : Québec
Crédits : google tout simplement je n'ai pas vue de créateur.

Univers fétiche : Réel
Préférence de jeu : Les deux
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Limitiel
Lun 3 Juil - 3:12

Nikolaï Boreïev
J'ai 55 ans ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis ancien parain de la mafia , proprio d'un bar de danseuse et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien.

Informations supplémentaires ici.

Je profitais de son silence. Elle ne disait rien, mais écoutais ce que je lui disais. Elle jouals la bonne petite fille sage finalement. Elle était traumatisée en ce moment et je le comprenais et j’appréciais totalement! Cette fille n’était pas au bout de ces peines, son histoire d’horreur ne fessait que commencer. Je n’avais pas terminé de jouer avec elle, en fait le jeu commençait à peine. Je la détaillais quand elle bougais, notant chaque mouvement qu’elle fait. Je notais chaque détail de sa personne pour pouvoir mieux la contrôler éventuellement. J’avais son dossier dans la maison, mais je n’avais pas encore tout regardé je voulais aussi en apprendre plus en la regardant. Elle ne portait qu’un haut en ce moment qui couvrais à peine son corps et je devais me retenir de toute mes forces d’aller toute suite goutée à la chair fraiche que j’avais devant moi. Je n’avais pas trouvé de trace de beaucoup d’homme dans sa vie , je ne savais donc même pas si elle avait déjà connu les draps d’un homme, ce qui rendais la chose encore plus excitante! Elle était maintenant installée et regardais la pizza, elle hésitait clairement à manger et je lui laissais quelques minutes pour qu’elle se décide avant de lui forcer une pointe dans la bouche. Finalement elle prenait une part et commençais à manger, je la regardais faire et attendais qu’elle avale une boucher. Lorsqu’elle posait sa question je souriais légèrement.

Nikolaï Boreïev, mais tu le savais déjà. Question gaspiller non?

Je l’incitais à en reprendre une autre. Je n’allais pas répondre à aucune autre question tant qu’elle ne mangeait pas plus. Je croisais les bras sur moi-même, me callant légèrement plus dans la chaise gardant mon regard sur elle sans couper le contact. Je sais qu’elle n’aime pas mon regard sur elle et ces ce qui me plaisait de ce moment. Le ‘’contrôle’’ que j’avais en quelques sorte sur les réactions de son corps.

Mange. Sinon plus de questions ni réponses. Peut-être autre chose, tu es très appétissante dans cette tenue.

Je souriais en coin, amuser de savoir que ma réflexion allais la dégoutée.

KRWN
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Crédits : krwn création

Univers fétiche : City, romance, fantastique, surnaturel, action/dramatique, science-fiction. J'écris un peu de tout. Malgré que les sujets peuvent aller facilement vers un contenu sensible pouvant choquer certains lecteurs. Tels que la sexualité simple à détailler, la violence dont les détails peuvent choquer tout comme les troubles mentaux pouvant perturber le personnage ou celui de l'autre joueur. Mes protagonistes sont diversifiés.
Préférence de jeu : Les deux
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https://www.letempsdunrp.com/t5544-les-personnages-de-krwn-en-cours https://www.letempsdunrp.com/t5546-repertoire-de-rp-krwn https://www.letempsdunrp.com/t5535-presentation-de-krwn
KRWN
Lun 3 Juil - 3:58

Megara Lombardi
J'ai 27 ans ans et je vis à New York, États-Unis. Dans la vie, je suis à la recherche de mon avenir et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis devenue sous contrainte et d'un contrat la chose du chef de la mafia. et je le vis plutôt pas bien.

Ruthless Creatures (tw en description + 1er poste) - Page 3 Skyq
Spoiler:
Il était là derrière moi. Ses yeux qui me regardent en imposant sa force qui s’écrase contre moi. La gorge se noue sous la panique qui s’éveille. Il ouvrit la bouche pour dire que je m’écroule. Tout mon corps n’a envie de disparaitre. Mes jambes se décroisent pour laisser mes pieds toucher la texture du tapis. Je me redresse en tentant d’abaisser mon haut. Prise d’une gêne évidente. Ma valise était restée au bar. Je n’avais rien pour changer les chiffons que j’affiche. Les premiers pas furent remplis de maladresse. M’enfargeant dans mes propres pieds pour danser en retrouvant là mon équilibre. Le rouge colore mes joues sous la scène que je venais de lui laisser apercevoir. Mes cheveux s’écrasent contre mon visage. Se collant à ma peau moite causer par l’état émotionnel qui créait en sa présence. Une perturbation incontrôlable qui ne me quitta plus. En allant m’assoir à la table, je sentais le délice qui venait de mettre entre lui et moi. Mon ventre criant sous la faim. Implorait même par son gargouillement que je laisse la nourriture le remplir.  Il avait peut-être empoisonné ce mets traditionnel. Couvrant d’une poudre infecte la pizza. Je ne voulais pas en manger ! Sauf que si je ne l’écoutais pas, j’allais surement sentir sa violence se retourner contre moi. La tête penchée pour fuir la personne assise devant moi. Dans un mouvement d’hésitation, ma main se rapproche de la pointe. Observant avec dégout le repas qu’il a apporté. La chaleur sur le bout de mes doigts me fit du bien. Je fermais les yeux croquant dans la pâte, tirant entre mes dents le fromage. La texture me roule en bouche. La saveur est plus que délicieuse. Un souvenir de l’Italie que je ne pourrais pas oublier. Une pâte fine et une garniture non exagérée. Loin de ce que les Américains surnomment de pizza. Posant ma question, il me répondit sans attachement. Répondant à ce que je savais déjà. Est-ce que j’ai mal prononcé ? Devrais-je être plus directe ? Je dépose la pizza sur la table et bouge sous l’inconfort de son regard qui ne me quitte pas. Baissant la tête tel un chien obéissant. J’essuie mes mains sur mes cuisses. Pourquoi jouait-il à ce jeu ? Le vice est bien une chose qui l’allume… Je lève les yeux vers lui sans redresser la tête. Observant l’homme froid sans âme assis. Je prends la pointe entre mes doigts pour l’apporter vers ma bouche, mais l’échappe. Que venait-il de dire ? Qui dirait cela dans un tel moment ? Je tente encore plus de cacher mes cuisses. Le mal de cœur apparait. Je me mords les lèvres en ressentant ce pincement. Je tourne la tête vers la droite. L’insultant et le maudissant de nouveau dans mon for intérieur. J’inspire bruyamment tentant de guider l’air à mes poumons. Je me tourne sur la chaise lui offrant mon profil. Ma main tapote la table à la recherche de ma pointe que je mordillais de nouveau. Prenant un plus gros morceau pour qu’il quitte la pièce rapidement. Avalant avec hâte dans l’espoir qu’il claque la porte derrière lui. « Comment un homme peut-il acheter un humain ? Quel pouvoir vous permet cela ? » Je prends une troisième bouchère. « Allez-vous me laisser partir…? » voilà ce que je voulais savoir. Dans une lenteur, je me redresse pour fixer ce malfrat d’un regard apeuré. Ai-je trop parlé. Ma main libre touche ma nuque avec la peur qu’il vienne de nouveau la serrer. J’ai si peur de sa réaction. Peur de voir cette table être renversée. Qu’il s’approche de moi avec ce regard brûlant de haine. Je ne veux pas mourir sous sa violence.  
Limitiel
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Limitiel
Ven 28 Juil - 2:04

Nikolaï Boreïev
J'ai 55 ans ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis ancien parain de la mafia , proprio d'un bar de danseuse et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien.

Informations supplémentaires ici.

Elle n’a absolument pas envie de manger et je le vois très bien mais honnêtement ça ne m’affecte absolument pas. J’ai besoin qu’elle mange pour rester le plus en santé physiquement pour la suite des choses. J’entends bien briser son esprit et son corps mais pas nécessairement sa santé…Sauf si elle devient beaucoup trop ennuyeuse pour moi, rendu là elle ne sera tout simplement plus parmi nous. Après tout ce que je compte faire à cette femme, elle ne pourra jamais repartir d’ici. Est-ce que c’est cruel? Absolument…Et c’est ce qui m’excite le plus dans toute cette histoire. Je sais qu’elle me déteste, qu’elle me trouve complètement fou et dangereux et elle a totalement raison je suis encore plus que ça. Je lui permets en ce moment de me poser des questions tant qu’elle mange…Je réponds jusqu’à ce que j’en ai assez. Je n’ai en fait rien à cacher de toute façon elle ne sortira plus d’ici.

Quel pouvoir? Mais tous ceux que je possède ma belle. Si tu penses avoir affaire à un simple timbré qui commettras une erreur rapidement ou bien qui n’a pas réellement la capacité de te maintenir ici , tu rêves.

Je sais qu’elle avait espoir. Après tout chaque personne dans sa situation aurait probablement espoir de s’en sortir vivante, de pouvoir fuir le plus rapidement possible et de ne jamais revoir la personne qui nous a fait subir de tel choses sauf derrière les barreaux, mais elle ne peut que rêver. Rien de ce qu’elle peut bien souhaiter. Sa question suivante fit naitre un sourire dangereux sur mes lèvres.

Je n’ai pas décider encore. Mais je ne pense pas que tu retrouveras le soleil de sitôt. Le jour où tu pourras le revoir, c’est que tu seras tellement accroché que tu ne voudras même plus t’éloigner de moi.

Je n’avais en fait aucune intention de la laisser sortir d’ici , je ne pensais même pas réellement qu’elle allait un jour avoir une possibilité que je lui face assez confiance pour la sortir sans que je la retienne d’une quelconque façon.

Ton questionnaire est déjà terminé? J’ai connu mieux.

Je souriais légèrement, me relevant et me dirigeant vers la porte.

Si tu as terminé , je te laisse les restant. On se retrouveras demain matin, à moins que tu es autre chose à ajouter?


Je me tenais debout, prêt de la porte prêt à sortir si elle n’ajoutais rien. Elle pouvait encore parler, mais je ne vois pas pourquoi je resterais avec elle. Elle n’était pas encore prête. Demain, je lui réservais une différente torture que ce qu’elle avait vécu jusqu’ici. Quelque chose qu’elle ne devais pas s’attendre mais qui étais obligatoire pour réussir à lui jouer dans la tête.

KRWN
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Préférence de jeu : Les deux
Valise
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KRWN
Dim 1 Oct - 18:07

Megara Lombardi
J'ai 27 ans ans et je vis à New York, États-Unis. Dans la vie, je suis à la recherche de mon avenir et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis devenue sous contrainte et d'un contrat la chose du chef de la mafia. et je le vis plutôt pas bien.

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L’idée qu’un simple frôlement effleure mes lèvres m’effraie. Cette nourriture si ‘’gentiment’’ posée sur la table semble se transformer. Mon imaginaire s’empare de ma créativité pour laisser le pire scénario prendre forme. Allais-je mourir si je laisse mes dents déchire l’un de mets. Ce n’est hélas loin d’être le réel. Car malgré sa présence auprès de moi, les chaines invisibles me relisent à lui. Une simple bestiole innocente prise dans le piège d’un chasseur sanguinaire. Je ne voulais pas. Je refusais de manger ce qu’il avait apporté. Sa générosité me dégoute. Ce rapprochement qu’il tente n’a rien de bon. Je ne vois rien qui justifie son approche. Tout ce film qui se déroula dans ma tête était peut-être la seule nuance logique du moment. Puis la réalité me revient. Je ne suis guère un personnage d’un roman. La vie n’est pas celle que je pourrais taper sur un clavier. Il est le monstre ayant pris ma peur comme élément d’amusement. Sous la pression de son regard et l’enjeu mis sur la table, je ne pouvais faire autrement. Délaissant la rebellions qui me tente d’entreprendre pour lui obéir tel un bon petit chien. Posant la question, ma foi l’une des questions qui me nargue.


Sans pouvoir le retenir, mes lèvres sont secouées par un rire rempli de nervosité et une rage qui bouillonne au fond de moi. Cet homme qui prenait la parole ne retenait aucune brutalité. Préférant un dialecte froid rempli de nonchalance des plus horrible. Dans son commentaire qui ne manque pas de raviver son ego à un niveau non calculé. Ce barbare ne se privait pas de parader ouvertement de cette soi-disant puissance qu’il possède. Un pouvoir qu’un roi pouvait avoir. Se croyait-il revenu au moyen-âge ? Je ne suis pas Jane et il est loin d’être Tarzan. Je pourrais être la belle et lui Gaston… Riant sous l’amertume qui s’empare de ma bouche, je tente de prendre la parole, mais rien. « Tout Roi finira décapiter… » Dis-je à voix basse. Espérant qu’il ne pourrait pas m’entendre. Croquant de nouveau dans la pointe. Je balaye discrètement la pièce. Espérant trouver une lueur d’espoir. Une porte de sortie qu’il ne connaitrait pas. Puis, je l’aperçus. Mes yeux se reposèrent sur sa personne. Observant l’étirement de ses lippes. Un sourire qui me fit déglutir sur place. Le frisson me traverse et le haut de cœur remonte le long de ma gorge. Cette frayeur me tue. Elle me cloue sur la chaise alors que ses iris brillent sous ce sourire maléfique.  « Jamais ! Jamais… je ne serais accroché à vous. » Je laisse la pointe tombée sur la table. Je serre le peu de vêtements qui me recouvre. « Je vous hais… » Les larmes me viennent aux yeux. J’essaie de me calmer. Calmer cette douleur qui me transperce de nouveau. Je ne dis plus rien. Je ne veux plus parler. Les larmes roulent contre mes joues. Une première goutte éclabousse le dessus de ma main. Pourquoi ? Le cœur se resserre dans ma poitrine. La gorge est nouée et les larmes ne se tienne plus.  Mon questionnaire ?  Je ne le regarde pas. Regardant mes genoux. Je ne voulais plus voir ce visage que je déteste. Je ne veux plus entendre cette voix qui me nargue comme un geai moqueur.

Les pieds de sa chaise grincent contre le sol en laissant ses pas s’éloigner de moi. Je n’osais pas répondre. Ni même lui adresser un seul mot. Je voulais qu’il quitte pour crier. Je ne voulais pas lui tenir un tel spectacle.  Alors que la porte claqua. Je pousse la pizza contre le sol et m’élance vers la salle de bain. Mes genoux percutent la céramique, une main se pose sur le siège de toilette à peine n’ai-je le temps de m’accroupir que je vomis.

Je ne sais comment de temps suis-je restée assise contre le mur de la salle de bain. Je me lève, approchant du lavabo pour me laver le visage. Observant celle qui était autrefois rayonnante, devenue aussi laide qu’un cadavre. Je sors de la salle de bain et m’assois sur le canapé. Remontant mes jambes contre ma poitrine. Dépose mon front contre mes genoux, retenant mes jambes par mes bras et j’éclate. Criant et hurlant sous la douleur. La peur et la colère s’entremêlent. Au bout de quelques instants, je m’épuise sous la douce caresse de Morphée.
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Limitiel
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Limitiel
Mar 3 Oct - 2:34

Nikolaï Boreïev
J'ai 55 ans ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis ancien parain de la mafia , proprio d'un bar de danseuse et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien.

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La jeune femme fait ça dure , celle qui ne comprend pas ce que je lui explique. Elle pense qu’elle fait affaire avec n’importe qui, elle s’est complètement coincée dans cette situation elle-même sans même comprendre la moitié de ce qu’elle faisait. Elle voulait sauver son père, mais elle a vendu son âme au diable sans s’en rendre compte… Malheureusement pour elle, elle me semble un jouet clairement intéressant. Elle me semble être le genre que je me ferais un plaisir de brisée avec le temps. Elle semble être une petite poupée qui se donne des airs de dure mais finalement, elle brisera sous mes doigts. Je l’entends rire et son rire ne me fait que sourire de plus en plus malicieusement. Elle pense peut-être me déstabiliser, mais elle n’en fait rien. Elle murmure une parole qui pourrais me faire peur, si je ne savais pas moi-même qui je suis. J’étais une main , relevant son regard en tenant fermement sa mâchoire, la forçant à me regarder, à voir mon regard sombre et honnête dans mes paroles.

Oh ma chérie…. Ce n’est pas moi qu’on décapite, puisque je suis celui qui décapite les autres.

Je riais légèrement amuser de voir son regard bougé allumer sur certain point qu’elle n’avait peut-être pas réaliser. Je sais qu’elle ne comprend pas encore l’ampleur du danger dans laquelle elle se retrouve et c’est probablement ce qui me turn on le plus. Elle tentait encore de se défendre, que jamais elle ne serait accrochée à moi. Si elle savait seulement à quel point j’ai l’intention de la faire devenir complètement folle dans cette pièce. Je n’ai aucun problème à lui faire peur. A lui faire sentir à chaque instant que je peux faire ce que je veux d’elle. J’ai déjà bien des idées de comment l’effrayer.

La haine et le désir ma belle, c’est si proche.

Je me relevais ensuite, puis quittais la pièce la laissant complètement seule. J’allais vers ma pièce de surveillance ou je pouvais voir chaque racoin de la prison de la demoiselle. Je sais qu’elle allait chercher une sortie et j’avais bien envie de voir de quelle façon elle allait réagir quand elle verrait que tout ce qui semble être une pièce est en fait une porte avec du béton derrière. Cette chambre est aussi scellée qu’une chambre forte., aucun moyen d »y entrer ou d’y sortir sans mon approbation. Je restais quelques heures là à la regarder faire jusqu’à ce qu’elle termine par aller dans son lit et s’endormir. Je la regardais quelques temps, avant de finalement aller au lit moi aussi.

Les jours suivant, je ne me présentais pas. Je la laissais complètement isolé dans sa chambre. Je glissais des plats dans sa chambre quand elle était assoupie ou alors occuper mais je ne me montrais pas à elle. Je l’isolais complètement. Les repas que je lui apportais étais bien simple et parfois très peu appétissant mais juste ce qui suffisais pour la nourrir. Je me décidais finalement à retourner dans sa chambre après cinq jours d’isolement. J’entrais doucement, la trouvant allongée sur son lit ne sachant pas cependant si elle était endormie ou bien si elle était trop faible du peu de nourriture que je lui aie fournis dans les derniers jours. Je restais silencieux , m’accotant sur le mur. Elle ne réagissait pas donc je devinais qu’elle ne savait pas que j’étais là. Je restais quelques minutes en complet silence, avant de finalement m’approcher juste un peu.

Si tu savais tous les choses que je pourrais te faire présentement… Ta d’la chance que je sois plus gentil que ça ce soir.

Je gardais mes bras croisés mais je la regardais sans bouger pour la suite. La voir réagir à mes paroles m’amusais beaucoup trop…


KRWN
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Univers fétiche : City, romance, fantastique, surnaturel, action/dramatique, science-fiction. J'écris un peu de tout. Malgré que les sujets peuvent aller facilement vers un contenu sensible pouvant choquer certains lecteurs. Tels que la sexualité simple à détailler, la violence dont les détails peuvent choquer tout comme les troubles mentaux pouvant perturber le personnage ou celui de l'autre joueur. Mes protagonistes sont diversifiés.
Préférence de jeu : Les deux
Valise
https://www.letempsdunrp.com/t5544-les-personnages-de-krwn-en-cours https://www.letempsdunrp.com/t5546-repertoire-de-rp-krwn https://www.letempsdunrp.com/t5535-presentation-de-krwn
KRWN
Mar 3 Oct - 3:19

Megara Lombardi
J'ai 27 ans ans et je vis à New York, États-Unis. Dans la vie, je suis à la recherche de mon avenir et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis devenue sous contrainte et d'un contrat la chose du chef de la mafia. et je le vis plutôt pas bien.

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L’air se fait dense autour de moi. Ce qui m’entoure ne cessait que d’accroire sa lourdeur. Chaque bouffé qui pénétrait mes poumons me brûla.

Pourrais-je simplement être moi-même dans cette cage qui sera ma nouvelle demeure. Une prison dont les murs laissent entrevoir l’abandon d’une âme. Je le sens. Je le ressens. Cette ambiance qui me dicte que tout n’est qu’enfer. Que la vie n’est plus rien. L’odeur de l’humidité qui frôle mes narines se mélangeant à ce plat déposé devant moi. Le goût du gras qui se propage contre ma langue, mon nez qui respire cette puanteur de désespoir. L’air se faisait dense. Mes poumons rejetaient ce rire déplacé qui n’aurait dû sortir d’entre mes lèvres. Il aurait dû rester au fond de mon ventre pour laisser cette ânerie que je prononce ne jamais sortir. Ma voix se fait lourde et craintive. Ma gorge me brûle sous l’air qui pénètre mes voies respiratoires. Son regard me fige sur place. Il est là ! Cette bête assoiffée de rage qui me regarde affichant ce long sourire rempli d’un certain sentiment douteux. J’avale ma salive avec difficulté. Je le fuis du regard. N’éprouvant ni la force ni le courage de l’affronter. Sauf qu’un choque, percute ma peau. Une étincelle me picote. Tous mes sens s’activèrent et une alarme intérieure raisonna. Ses doigts me serrent la mâchoire si fort que mes os ressentent cette fermeté qu’il prend. Les iris qui se détournent, mais cette poigne qui me dicte de poser mes yeux dans ceux qui brillent sous ma douleur. La peur ne cesse de monter de nouveau. Je le regarde remplie de pitié. J’étais ce lapin apeuré devant le canidé avare de croquer dans mon pauvre cou. Un roi… un monstre fou. Il était celui qui décapita les gens qui l’entourent. Ou plutôt n’était-il pas craint ? Sa personne n’était-il peut-être trop psychosé pour l’affronter. Je dois trouver une échappatoire. Peut-être à droite ? Peut-être une fenêtre ? Pourquoi veut-il que je devienne folle de lui ? Ne pouvait-il pas se contenter de ses maîtresses et ses béguineuses pour son propre plaisir personnel ? Les questions et le doute viennent jouer avec la terreur bien installée en moi. La haine et le désir sont si proches ? Non ! La haine est la haine et le désir est le désir. Ce n’était pas la haine. Ce mot est trop doux. Beaucoup trop pour l’humiliation qui entreprend de me faire ressentir. Je voulais seulement sauver mon père. Je veux être libre, tel un oiseau. Je veux voler sans jamais être retenue… Je veux être heureuse pour une fois. Pourquoi Dieu m’empêche-t-il d’être moi-même ?

Lorsqu’il sortit, je n’ai pu m’empêcher de tout rejeter. Tout vomir ce qu’il m’avait obligée de manger. Vomissant jusqu’à la bile. Je m’approchai du canapé pour y trouver un sommeil avant de me réveiller d’un sursaut. J’ai fermé les yeux quelques secondes. À peine pour être choqué par moi-même. Je me relève et commence à chercher partout. Ouvrant les rideaux pour voir les grilles collez à la fenêtre. Ouvrant les portes pour trouver un mur de béton. Je crie à l’aide. Tournant en rond. Pensant les mains dans mes cheveux. Courant et frappant les murs. Espérant pouvoir y trouver une âme charitable. Personne ! Pas un bruit. Je m’élance vers les fenêtres pour frapper dedans sans relâche, mais rien. Je crois, je hurle puis finis par frapper le mur encore et encore. Sentant la chair de ma peau se fissurer sous la fermeté de la paroi. C’était l’évidence… Je suis vraiment prisonnière. À quoi bon vivre ! Je me traine vers cette chambre qui semble être mienne pour m’étendre dans les draps. Pleurant à chaudes larmes. Le cœur serrer, je m’endors entre deux sanglots.

Les jours suivants furent de plus en plus douloureux. Il n’était pas venu. Chaque fois que j’attendais un déclic de la porte. Je reculais dans le coin de la pièce et tremblait par crainte de subir un mauvais sort. Parfois, des repas se glissaient, mais après une bouchée ou deux je recrachais tout en retournant dans mon lit. Quelques fois, je tendais de brisé la fenêtre avec uen chaise, mais je finissais par m’épuiser. Je restais là. Vivants, exclus de la société. Personne n’allait remarquer mon absence. Nous étions seuls. Juste mon père et moi-même. Je préférais passer mes jours endormis dans mon lit. Trouvant un réconfort dans mes rêves. Malgré que certains se terminaient en sueur froide. Prise par des cauchemars qui me réveillèrent en état de choque. Je ne comptais plus les jours ni les nuits. Dans ma tête, une semaine était à écouler, mais je préférais ne plus réaliser. À quoi bon, je suis une souris dans sa boite. Le grincement du parquet se fait entendre et la porte s’ouvrit. Étrange, je rêvais d’être ailleurs. Étendus dans un foyer paisible. Une voix me murmura à l’oreille quelques mots qui tournent en boucle dans ce mirage nocturne. Un onirisme passager qui se transforma en catastrophe. La bête noire apparue. M’agrippant et son sourire dentelé me fait sortir de mon sommeil. Je sursautai dans le lit. Ouvrant les yeux et regardant autour de moi. Prenant conscience que les mots que j’avais entendus n’étaient pas imaginaires. Il était là. M’observant. Je le regarde. Je recherche mon souffle qui se fait rapide. Mon cœur qui bat si fort qui me fait mal. Je l’entends battre. Dans un mouvement rapide, je me lève du lit et tente de m’enfuir. Hors de question qu’il me touche.

Mon pied s’enfarge dans la couverture et je chute. J’attrape unoreiller au passage, prêt du coin de la tête du lit et lui lance. Reculant vers la table de nuit. Laissant mon cœur se torde et mon corps vibrer par la peur.
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Limitiel
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Limitiel
Mer 17 Jan - 3:58

Nikolaï Boreïev
J'ai 55 ans ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis ancien parain de la mafia , proprio d'un bar de danseuse et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien.

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La jeune femme se brisais beaucoup plus drastiquement que je ne l’aurais pensé. Elle ne s’adoucissais pas, mais elle paniquait de plus en plus, elle tombait dans une panique sans arrêt. Chaque bruit la rendait nerveuse, la faisais sursauter et l’effrayais au plus haut point. Je la regardais faire avec plaisirs et sans attachement, je ne savais pas pourquoi ça m’amusais autant en fait, mais c’était simplement un plaisir. Elle craquait, paniquais , mon seul problème étais qu’elle ne se nourrissais pas beaucoup. Je ne l’ai quand même pas apporté ici pour qu’elle se laisse mourir à force de paniquer. Lorsque j’entrais dans sa prison aujourd’hui, je lui lançais encore une fois une pique qui m’amusais, mais qui ne lui faisais pas le même effet. Je restais à une bonne distance, les bras croisés sur mon torse et amusé quand même de la situation.

Calme-toi, je ne m’approche pas et je ne vais pas te toucher. Arrête de faire ta gamine deux minutes.

Je l’avais apporté ici surtout parce qu’au bar, elle c’était présenter à moi comme étant plus forte et je voyais en elle un défi en quelques sorte. Mais malgré tout l’amusement que je pouvais ressentir à la voir paniquer, je commençais quand même légèrement à perdre intérêt. Elle n’essayait pas pour le moment. Je devais trouver un moyen différent de la gagner. Je voulais la brisé, mais la brisé à ma main pas qu’elle se laisse mourir de faim parce qu’elle n’arrive pas à se calmer.

Ou est passer la femme qui étais dans mon bar? Il me semble voir une petite gamine effrayer en ce moment? Besoin d’un peu de motivation?

Je prenais mon portable dans ma main et ouvrit une photo de son père prise il n’y a pas si longtemps alors qu’il avait fait surface maintenant qu’il savait que je tenais sa fille en guise de remboursement de sa dette, il avait recommencé à vivre un peu…Comme un pauvre crétin qui abandonnais sa fille.

Ton père, il continue à vivre. T’as besoin que j’aille le chercher pour te motiver un peu?

Je pouvais très bien aller m’en prendre à lui si c’est ce dont elle avait besoin. Peut-être même l’apporter ici le temps qu’il panique à son tour, peut-être jouer un peu qui sais…. Je restais à bonne distance, tenant parole comme quoi je n’allais pas la toucher…Pour le moment.

KRWN
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Préférence de jeu : Les deux
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KRWN
Ven 7 Juin - 21:20

Megara Lombardi
J'ai 27 ans ans et je vis à New York, États-Unis. Dans la vie, je suis à la recherche de mon avenir et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis devenue sous contrainte et d'un contrat la chose du chef de la mafia. et je le vis plutôt pas bien.

Ruthless Creatures (tw en description + 1er poste) - Page 3 Skyq
Spoiler:
Ce bruissement, un couinement de métal qui vient saisir mon cœur, arrêter ma respiration alors qu’une longue sueur froide glisse le long de mon dos. Au bout de la pièce, la porte lourde s’entrouvre en créant ce son horrifique. De longs doigts se posent contre le bord. Peu à peu, une ombre, une force sous la lumière se dessine. Cette carrure sombre n’est aucunement réjouissante. Ce visage, ce regard et cette enveloppe charnelle qui fait son entrée me haussent dans le cœur. Il n’est qu’impureté. Un être dont le cœur n’est plus l’ombre de la sainteté. Il est le diable à cravate. Ma gorge se saisit alors qu’un vent inconnu apporte ce parfum à mes narines. Une odeur pouvant rappeler le boisé musquée. Une odeur agréable. Celle qu’on s’imagine pouvoir sentir d’un homme tenant du bout de son pouce et son index un cigare cubain. Je lève doucement la tête pour poser mes yeux sur lui. « Va te… » Mes lèvres se referment sans que je puisse continuer mon lancer verbal. Une fuite de mot qui pourrait bien accroître son sourire qu’il portait si fièrement hier soir. Comment pourrais-je lui dire d’aller se faire foutre. Il se la joue. Il me provoque, mais pourquoi. Quelle motivation pouvait-il avoir pour vouloir de nouveau que je m’expose à ce danger… Celui de perdre ma vie pour mon attitude. « Je… » Je me levai d’un bond. Il est sorti tendis l’écran vers moi et le visage qui est apparu me semble si familier. Celui ayant participé à ma conception. Ce bon à rien qui m’a menée ici. Je me lève en ne le quittant pas des yeux. Attrapant le poignet de l’homme pour qu’il ne lâche pas l’appareil. « Ne le touchez pas… » Je souris soulagée de l’apercevoir en vie. Il respire ! Il est vivant ! Les salauds ne l’ont pas touché. Je laisse un soupire de soulagement sortir d’entre mes lèvres en levant les yeux vers lui. Ma main ne lâchait pas son poignet et attrapa de ma main libre son chandail. Je me lève sur mes bouts de mes pieds et en le regardant dans ses deux prunelles. Mon cœur battait. Ma main tremblait et l’autre devenait moite. « Vous le touchez et je vous arrache les deux yeux compris ! » Les paroles roulent contre ma langue, brûlent mes lèvres sans que je réalise ce que je viens de prononcer par maladresse.
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Crédits : google tout simplement je n'ai pas vue de créateur.

Univers fétiche : Réel
Préférence de jeu : Les deux
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Lun 15 Juil - 3:28

Nikolaï Boreïev
J'ai 55 ans ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis ancien parain de la mafia , proprio d'un bar de danseuse et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien.

Informations supplémentaires ici.

Elle qui avait tant de mordant quand je l’ai vue la première fois au club. Elle n’est finalement pas si intéressante que ça. Je pensais qu’elle avait plus de caractère et que j’allais m’amuser avec elle, mais jusqu’à présent elle semble surtout devenir une petite fillette en mode panique et je devais avouée que ça me tombait un peu sur les nerfs. Je sortais l’image de son père pour essayer de la motiver et effectivement, ça semblait fonctionner plutôt bien. Elle se levais d’un seul bond et venais vers moi, elle attrapa mon poignet ce qui me fit légèrement sourire. Elle me disait de ne pas le toucher, et attrapa mon chandail de son autre main et me menaçais finalement de m’arracher les deux yeux si jamais je le touchais. Je retombais un peu plus sérieux et ancrais mon regard dans le sien.

J’aimerais bien te voir essayer.

Je dégageais rapidement mon poignet de sa poigne légère et je remettais mon portable dans ma poche. Je fis un pas vers elle afin de vraiment réduire le peu de distance qu’il y avait entre nous deux.

Tu as perdu tout ton caractère depuis que tu es ici. Tu es devenu une fillette ennuyante alors je ne pense pas que tu sois capable de grand-chose…. Même que je commence à me demander si je ne devais pas vous envoyer tous les deux six pieds sous terre…

Je restais ainsi ,sans bouger et attendre une réaction de sa part, si elle allais finir par bouger ou bien simplement ce refermer encore, comme elle le fait depuis quelques jours déjà.

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