J'ai 26 ans et ma famille vit à à Red Wing, à côté de Minneapolis, aux USA. Dans la vie, je suis routier et je m'en sors plutôt mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Aîné d'une famille de 6 enfants, a rapidement pris la place du père quand celui-ci est décédé. Il n'a jamais eu de véritable relation amoureuse, de toute manière il n'a jamais eu le temps de se poser et penser à lui, sauf depuis qu'il est sur la route, mais ça n'aide absolument pas à se poser. Il aime beaucoup être sur la route, mais il aimerait faire un métier plus concret que juste transporter des marchandise, sauf qu'il n'a pas les ressources nécessaires pour ça, tout va à sa famille ou presque.
Pendant un instant tu as eu peur d'aller trop loin, trop vite. De t'être enflammé, de lui faire peur, de le dégoûter ? Qu'importe, tu as eu peur et c'est ce petit frisson d'excitation, qui n'était qu'à deux doigts d'être de la déception. Mais Micah remet la chanson au début et cette fois-ci, tu te laisses aller à la douceur de la musique. Tes sentiments peuvent sûrement se lire sur ton corps, tu as le rouge au joues, le souffle plus court, le coeur qui bat vite, puis l'esprit concentré sur la route. Et ça t'énerve, tu as envie de tout lâcher, de t'allonger aux côtés de ton ami, de ne rien faire de tes journées, d'oublier tes engagements, tes priorités. Est-ce cela l'amour ? La passion ? L'aveuglement, en tout cas, c'est certain. Alors tu embrayes et accélères.
Tu souffles l'air de tes poumons, t'empêche de tourner le regard vers lui, finalement tu aimes peut être ce petit jeu. Celui de ne pas pouvoir le voir tout ton saoul, celui de deviner et sentir la tension entre vous deux, électrique. Tu frissonnes.
« C'est ça, de l'émotion, ça te prend au corps. Wahou. Je pensais vraiment pas que des musiques pouvaient faire ça en réalité, j'écoutais sans y penser plus que ça avant. »
Tu te sens libre de lui avouer des choses comme ça, c'est dingue comme tu n'as plus aucune gêne, tu es juste toi ; maladroit, naïf, mais sincèrement toi. Tu n'as plus peur de mettre des mots, de dire, tu n'as plus peur de la douleur, parce que tu sauras que tout ce que tu as vécu en valait la peine.
« Avant, je pensais naïvement que tous les textes étaient écris par d'autres et que les messages n'étaient pas toujours eux qui voulaient les faire passer, mais là tu as raison. Il doit avoir vécu quelque chose de fou pour qu'on arrive à se sentir mal et bien à la fois en écoutant. Tu penses qu'ils dévoilent des choses intimes de leurs vies parfois ? »
Tu te sens prêt à écrire une lettre au chanteur, juste pour savoir. Mais tu ne lui dis pas, ça n'a aucun intérêt. Alors tu écoutes encore, les mots de sa bouche, les mots des chansons.
A nouveau c'est simple et touchant, moins que la première, mais tout de même, tu saisis ce qu'il te fait passer comme émotion.
« C'est dingue, depuis des années mes soeurs me font passer des chansons que j'apprécie. Et toi tu arrives avec ton téléphone et bam. C'est cent fois plus fort. Après, est-ce que j'aurai réagi pareil si ce n'était pas toi qui me les avait fait écouter ? Ya moyen que tu me notes les titres quelque part d'ailleurs ? »
Passer du coq à l'âne, parler de 'noter' comme un vieux. Tu n'as pas spotify, tu n'es pas hyper à l'aise avec la technologie de manière générale, ce qui fait beaucoup rire tes frères et soeurs, mais tu n'as pas les moyens de te payer un smartphone. D'ailleurs, si Micah voyait l'allure de ton téléphone, il rirait bien. Mais là l'heure n'est pas à l'électronique, mais aux découvertes musicales.
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Amity
Mer 15 Aoû - 11:32
Micah Johnson
J'ai 23 ans et ma famille vit à Chicago, USA. Dans la vie, je suis à la recherche de n'importe quel petit boulot et je m'en sors pas bien présentement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire, mais coeur d'artichaut et je le vis plutôt pas bien.
Tu réouvres les yeux pour regarder Brett alors que la chanson passe. Il a l’air d’être à fleur de peau lui aussi. T’es content de voir qu’une simple chanson peut le faire réagir autant, parce que c’est aussi ton cas. Il reste concentré sur la route et c’est tant mieux, tu sais pas trop ce que t’aurais envie de faire s’il croisait ton regard. Certainement juste envie de lui. De ce moment d’attention. Tu te retiendrais d’aller l’embrasser, le toucher. Il conduit. Faut pas rigoler avec ça. Tu veux pas mourir aujourd’hui. Un accident est si vite arrivé.
Il y va de son commentaire à propos de Unsteady et tu ne le quittes pas du regard. T’as des petits coeurs qui sortent des yeux. T’es trop content de le voir découvrir la musique d’une autre façon grâce à toi. Tu hoches la tête quand il parle des auteurs des chansons.
« Oui, c’est sûr. Certains font en sorte que ça reste un peu vague dans leurs écrit pour que chacun puisse s’approprier la chanson à son histoire. »
I need a friend se met à jouer et tu connais déjà les paroles par coeur, alors que tu la connais que depuis quelques semaines. Tu l’as beaucoup trop écouté en boucle cette chanson. Tu murmures les paroles, tu veux pas le déranger dans son écoute mais en même temps t’arrives pas à te retenir de chanter. Il aime les chansons que tu lui fais découvrir. Ca le prend au corp. C’est fort. C’est nouveau. T’es touché par ce qu’il te dit. Tu veux croire que c’est plus fort pour lui parce que c’est toi qui les lui a fait découvrir. Parce qu’il est encore tout retourné par vos moments à tous les deux. En tout cas, un large sourire s’affiche sur ton visage. T’aimes qu’il ose dire tout ça ouvertement. Il veut que tu lui notes les titres et tu hoches la tête.
« Je peux t’envoyer un mail avec les titres. »
Parce que tu fais tout sur ton téléphone toi. Il veut une autre chanson et tu retournes dans ta playlist, réfléchissant à ce que tu pourrais mettre d’aussi fort à la suite de ces deux magnifiques chansons. Tu prends la suivante dans ta playlist « Feels ».
« Peut être pas aussi poignante que les deux autres mais cette chanson me touche particulièrement… Je crois que c’est surtout la voix du chanteur qui me plaît, qui va bien, qui sonne parfaitement. Je sais pas… Et comme l’autre d’avant, celle là c’est une version acoustic, donc quand tu veux du feels mais que tu veux que ça bouge, y’a aussi une version plus forte. C’est juste parfait. »
Voilà pour ton petit commentaire d’intro, tu lances la chanson. Tu regardes le reste de ta playlist Feels. Y’a pas grand chose. Tu en avais beaucoup plus il fut un temps, mais après le break up avec ton mec, tu l’as supprimé parce que trop de chansons te faisait penser à lui. Tu l’avais construite sur des recommandations d’amis et tu associais tous les titres à ton boyfriend de l’époque. Du coup, y’a quelques semaines, tu t’es relancé dans une nouvelle playlist Feels. Certainement que tu vas en rajouter d’autres qui te font penser à Brett maintenant…
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Lojzo
Mar 28 Aoû - 13:33
Brett Friedman
J'ai 26 ans et ma famille vit à à Red Wing, à côté de Minneapolis, aux USA. Dans la vie, je suis routier et je m'en sors plutôt mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Aîné d'une famille de 6 enfants, a rapidement pris la place du père quand celui-ci est décédé. Il n'a jamais eu de véritable relation amoureuse, de toute manière il n'a jamais eu le temps de se poser et penser à lui, sauf depuis qu'il est sur la route, mais ça n'aide absolument pas à se poser. Il aime beaucoup être sur la route, mais il aimerait faire un métier plus concret que juste transporter des marchandise, sauf qu'il n'a pas les ressources nécessaires pour ça, tout va à sa famille ou presque.
Conduire dans un moment pareil te paraît étrange, tu as juste envie de tout envoyer balader, puis tu te rends compte que ça ajoute quelque chose. Qu'en cet instant précis, il fait partie de ta vie, celle de tous les jours et qu'il construira quelque chose de durable dans le temps, parce que tu ne pourras t'empêcher de penser à lui, plus tard. Alors tu souris et tu savoures juste l'instant présent, cessant de regretter de devoir travailler, murissant peut être trop vite dans une passion que tu découvres à peine. Pourtant peut être que c'est ton âge qui joue, le fait que tu ne sois pas juste un gamin de treize ans qui découvre ses hormones ? Qu'importe, tu profites de sa présence, de la tension dans la cabine du camion, du jour qui commence déjà à baisser puisque vous avez dormi une bonne partie de la journée.
« Merci »
Ta voix n'est qu'un murmure, pourtant tu le remercies avec chaleur. Tu es heureux qu'il t'envoie un mail, qu'il existe une réelle trace de lui dans ta vie, tu garderas son prénom pour toujours dans ton coeur, mais ce mail sera un symbole de toutes ces chansons qui vous ont fait frissonner d'excitation. Tes pupilles brillent de plaisir, de désir et pourtant tu ne vis que le moment présent, n'essayant nullement d'accélérer les choses, juste en savourant ce que vous pouvez être.
Tu acquiesces à ses dires sur la nouvelle chanson, puis tu l'écoutes, n'ayant rien à dire avant de l'entendre, savourant les sons, te concentrant sur les paroles. Tu souris presque tout du long, sentant ton coeur battre en rythme, tu veux que ces moments ne s'arrêtent jamais. A la fin de la chanson, tu sors comme d'une transe, c'est fou comment tu n'étais jamais rentré si concentré d'une chanson, comme si tu étais passé à côté de quelque chose toute ta vie, en écoutant juste le 'bruit' d'une oreille.
« Franchement, merci de m'avoir fait découvrir cette nouvelle manière d'écouter des chansons, dire que je serais passé à côté de ... ça »
Tu n'as pas de meilleur mot que "ça" pour décrire ce que vous vivez en fait, alors tu laisses le pronom démonstratif parler à ta place, restant vague et imprécis.
Soudain ton ventre gargouille. Depuis combien de temps tu roules en écoutant les musiques de Micah ? Le seul repas était quelque chose pris à la sauvette du motel en vous réveillant, et il te semble remonter à loin. Tu soupires, il fait encore bien jour, tu aurais voulu rouler plus et t'avancer. Puis tu te mords la lèvre, plus le trajet est long, plus tu gardes Micah à tes côtés.
« Eh, ça te dit une pause repas ? »
Dire qu'au début vous vous étiez dit qu'il dormirait la nuit pendant que tu roulais, qu'il vivrait dans des villes le jour pendant que tu dormais. Dire que vous aviez prévu de juste la route ensemble. Tu souris en pensant à tout ce que vous avez parcouru comme chemin, rien n'était prédit et pourtant sa rencontre ta retourné. Acceptera-t-il de manger à tes frais ? Tu lui laisses le choix, ne l'obligeant en rien, s'il veut chanter un peu, tu resteras à ses côtés, dansant pour lui.
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Amity
Dim 2 Sep - 16:59
Micah Johnson
J'ai 23 ans et ma famille vit à Chicago, USA. Dans la vie, je suis à la recherche de n'importe quel petit boulot et je m'en sors pas bien présentement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire, mais coeur d'artichaut et je le vis plutôt pas bien.
Il te remercie de nouveau de lui faire découvrir toutes ces chansons qui le touchent, mais il ne se rend pas compte que toi aussi t’as envie de le remercier. D’être un auditeur aussi assidue. De vraiment s’intéresser. Tu te dis que bien sûr, tout ce qu’il s’est passé entre vous n’y est pas pour rien dans cette histoire. Il s’intéresse plus à toi qu’à une personne lambda. Il ressent des trucs pour toi et c’est réciproque. Tu sais pas trop quoi lui répondre suite à ces remerciements. T’as pas l’impression de faire grand chose. Ok pour Unsteady c’était un message subliminal de ce que tu aurais envie de lui dire, mais pour les suivantes, c’est juste certaines de tes chansons préférés.
« De rien… Ca me fait plaisir. »
Tu te sens con de répondre ça, parce que c’est pas très fort comme mots mais tu voulais pas rester dans le silence. Tu laisses la playlist continuer à sa guise alors qu’il te propose une pause repas. T’as pas vraiment faim, t’es pas un gros mangeur, mais tu hoches la tête.
« Ouais. »
Tu dis surtout ça pour lui. T’as l’impression que s’il propose c’est qu’il a faim. D’ailleurs c’est pas son ventre que tu as entendu y’a quelques secondes ? Certainement. Ca fait sens.
Vous voilà à une nouvelle aire d’autoroute, garé. Tu sors du camion. T’es légèrement nerveux, pour plusieurs raisons. Tu n’as toujours pas un seul dollar en poche donc tu vas te faire tout petit. Et puis c’est en quelques sortes la première fois que vous allez devoir interagir tous les deux depuis ce moment ensemble au motel. Ton téléphone et ton portefeuille avec toi, tu marches vers le resto qui est devant vous. Tu sais pas trop quoi dire, tu restes silencieux, tu regardes Brett du coin de l’oeil alors que vous entrez dans le resto. Bizarrement t’as plus de chose à dire quand ça parle de musique hein ? Là tu te fais discret. Installé à une table, tu ne prends pas la peine de regarder le menu. Tu te mordilles la lèvre, tu regardes un peu autour de toi avant de prendre la parole.
« J’ai pas faim, je prendrais juste un verre d’eau. »
Histoire qu’il n’ait rien à payer. T’es pas fou. Mais tu te sens pas trop à l’aise dans cette situation quand même. Ca va faire bizarre qu’il soit le seul à manger alors que vous êtes ensemble au resto, mais tu ne veux pas t’imaginer qu’il dépense encore son argent pour toi. Tu affrontes son regard, l’air penaud, t’es presque sûr qu’il va te réprimander de te priver de la sorte, mais c’est vrai que t’as pas faim, alors tu veux pas dépenser des sous pour rien.
« Promis j’ai vraiment pas faim. »
T’insistes parce que c’est la pure vérité. Une fois ton regard accroché au sien tu te perds un peu dans son aura si angélique…
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Lojzo
Lun 10 Sep - 14:14
Brett Friedman
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Il accepte la pause avec réticence, tu le sens direct. Il doit pas envie de te faire payer. Pourtant, tu as envie de lui offrir le monde, tout l'argent que tu as, juste pour le remercier de tout ce qu'il a fait pour toi. Tu n'as pas l'impression qu'il a compris ce qu'il représente dans ta vie. Alors tu hausses les épaules, fait comme si c'était anodin, mais tu as tellement envie qu'il te garde précieusement dans ses souvenirs et que toujours il se rappelle de toi, comme d'un baume apaisant sur un coeur blessé, comme une lumière réchauffante lors d'un hiver froid. Tu veux qu'il garde en mémoire chacun de vos faits et gestes, comme toi tu chériras ses souvenirs pendant des années.
Vous sortez du camion et il avance vite, comme pour en finir au plus vite. Pendant un instant tu es déçu, tu voulais lui tenir la main, le toucher enfin ! Bon sang, tu dois conduire constamment ce camion, tu dois garder les yeux loin de lui, là tu n'as qu'une envie : le toucher et le dévorer du regard. Tu veux sentir sa chaleur, sa douceur, son corps. Mais tu ne dis rien et il part.
Arrivés à table, tu feins un sourire, il ne veut pas manger, tu peux le comprendre. Tu commences une moue étonnée, prêt à lui faire remarquer qu'il ne doit pas se priver, mais il soutient ton regard, précise qu'il ne veut pas manger et tu rends les armes. Bon, en grande partie parce que tu tes perds dans ses yeux. Tout le monde autour de vous disparaît, il n'y a plus que lui et toi. Tu sens tes joues rougir, ton coeur battre plus vite, tes mains devenir moite. Tu as cet élan en toi tu ne veux que te pencher pour l'embrasser, mais quelque chose te retient, le bruit de cafétaria peut être ? Ou plutôt la peur de gacher cet instant magique.
« Votre plat, monsieur. »
Ce serveur tu veux le baffer, mais tu te forces à quitter Micah des yeux pour sourire au serveur qui te pose tes frittes devant toi. « Hésites pas à te servir de frittes, même si tu n'as pas faim. » Tu le taquines ? Sûrement.
Tu manges tes frittes avec ta main gauche, la droite est trop proche de lui, tu veux la lever, et la poser sur lui, mais quelque chose te retient. Soudain, tu entends dans ton dos une voix de fille. « Owh, trop mignon les deux gays là-bas. » Tu fronces les sourcils sans comprendre, pourquoi elles disent ça ? Elles ne diraient sûrement pas ça si vous étiez un couple hétéro, et ça te saoule. Puis tu sais pas trop quoi dire. Puis tu décides de rigoler. Tu te retournes avec un grand sourire « Merci, vous êtes pas trop mal pour un couple lesbien non plus. » Avec un clin d'oeil, t'espère qu'elles sont mal à l'aise, qu'elles se rendent compte qu'elles ont un peu coupé ton moment avec Micah et qu'elles avaient rien à vous dire. « J'ai envie de t'embrasser. » Tout de go, sans préambule, mais tu sais que tu n'oses pas, que tu n'as pas envie de voir ses filles vous applaudir (elles sont sûrement assez bêtes pour) ou des vieilles débiles avoir l'air scandalisées. « On s'barre vite fait ? » Tu engloutis tes frittes rapidement, hésitant à demander un doggy bag.
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Amity
Mer 12 Sep - 18:43
Micah Johnson
J'ai 23 ans et ma famille vit à Chicago, USA. Dans la vie, je suis à la recherche de n'importe quel petit boulot et je m'en sors pas bien présentement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire, mais coeur d'artichaut et je le vis plutôt pas bien.
C’est un peu gênant comme moment, surtout que tu remarques qu’il se met à rougir. Tu te demandes ce qu’il lui est passé dans la tête pour que ça en résulte en ses joues rosies. Toi en tout cas, tu te remémores la nuit que vous avez passé ensemble. Ca fait battre ton coeur plus vite. T’as envie de le toucher mais t’oses pas. C’est quand même beaucoup trop récent tout ça, tu sais pas si Brett est toujours dans le même esprit. Peut être que ça n’était qu’une pulsion d’une nuit. T’espères pas, mais t’arrêtes pas de cogiter. Pourquoi fallait-il que tu sois si gêné à présent ? Si peu doué pour la séduction ? C’était ton ex qui avait mené toute la danse entre vous deux à vos débuts. T’as juste suivi le mouvement mais là, t’as l’impression que ça marche pas pareil. Vous êtes tout autant maladroit l’un que l’autre. Ca aide pas.
Tu souris quand il te propose des frites, mais t’es bien décidé à ne pas en prendre une seule. Tu entends la remarque des filles mais tu réalises pas qu’elle est pour vous. Naïvement t’as jeté un coup d’oeil circulaire pour voir de qui il s’agissait mais… tu comprends que tu es au centre de leur attention quand Brett prend la parole, les remballant sans ménagement. Tu ris un petit peu, tu prends pas mal toute cette situation. C’est même carrément drôle. Tu prends quand même bonne note qu’elles vous ont pris pour un couple et ça t’aime bien. Par contre t’es pris de court quand Brett balance qu’il a envie de t’embrasser. Wow. Okay. Ca se voit sur ton visage que tu ne t’y attendais pas. Tes joues deviennent écarlate en moins de temps qu’il ne faut pour dire ouf. Ton coeur bat fort. Tu hoches la tête pour lui faire comprendre que oui, il peut t’embrasser s’il le désire. Tu n’y émets aucune objection. Au contraire. Tu essaies de te relaxer et tu souris doucement quand tu le vois se goinfrer de frites pour pouvoir partir plus vite et donc t’embrasser enfin.
« Je te suis… »
Et vous voilà en direction du parking ou vous serez certainement tranquille entre deux camions. Tu te lèches les lèvres pour anticiper le moment. Tu lui jettes des coups d’oeil avec des sourires quand vos regards se croisent, c’est à dire, souvent. Une fois à l’abris des regards, tu t’approches de lui… Peu sûr de toi. Comme si t’avais pas le droit de faire ce que tu es sur le point de faire. Comme si tu t’attendais à ce qu’il t’arrête à tout les instants. Mais non. Une main posée sur sa taille, tu vas poser tes lèvres sur les siennes, tout doucement. T’entâmes un véritable baiser assez rapidement parce qu’il te fait beaucoup trop d’effet. T’en as envie depuis que vous vous êtes levés y’a quelques heures de ça. Tes bras vont s’enrouler autour de lui pour le tenir plus près de toi, continuant de déguster ses lèvres. Tu te détaches pour respirer et tu le regardes, la bouche entr’ouverte.
« Tu préfères m’embrasser plutôt que te nourrir ? »
L’idée te plaît. Tu sais pas si c’est la vérité mais t’en as eu tout l’impression.
« On a combien de temps devant nous ? »
Tu murmures, tes yeux rivés sur ses lèvres que t’as encore envie de goûter.
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Lojzo
Jeu 13 Sep - 0:02
Brett Friedman
J'ai 26 ans et ma famille vit à à Red Wing, à côté de Minneapolis, aux USA. Dans la vie, je suis routier et je m'en sors plutôt mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Aîné d'une famille de 6 enfants, a rapidement pris la place du père quand celui-ci est décédé. Il n'a jamais eu de véritable relation amoureuse, de toute manière il n'a jamais eu le temps de se poser et penser à lui, sauf depuis qu'il est sur la route, mais ça n'aide absolument pas à se poser. Il aime beaucoup être sur la route, mais il aimerait faire un métier plus concret que juste transporter des marchandise, sauf qu'il n'a pas les ressources nécessaires pour ça, tout va à sa famille ou presque.
Tu as toujours été franc comme jeune homme, mais ici, tu te demandes si ce n'est pas déplacé. Si en parlant tu ne gâches pas le moment, ou prévoyant à l'avance de vous embrasser, tu ne rends pas les choses plus compliquées. Puis tu es gênés des regards autour de vous, est-ce que c'est bête ? Oui, sûrement. Mais tu veux Micah pour toi seul, le voir au milieu des autres, voir les regards des autres, des femmes, des hommes. Quand tu te lèves, avec Micah à tes côtés, tu ne peux t'empêcher de regarder discrètement tout autour de toi, mais cette fois-ci pourtant tu attrapes la main de Micah. Pour te donner du courage ? Quand vous atteignez la sortie, tu vois un jeune homme debout qui tend le doigt vers la jeune fille de tout à l'heure. « Hé toi là bas avec ton casque à cornes, présente-moi ta femme comme ça tu sauras pourquoi t'as des cornes! » Toute la cafétaria écarquille les yeux sans comprendre. « Non mais c'est une réplique... non mais vous connaissez pas ? Kaamelott. Oh, fin. C'était pour vous ... ? Euh, ok. » Rouge de honte, il se rassied et cache son visage avec ses cheveux. Son intervention remet un sourire sur tes lèvres et tu attires Micah pour aller plus vite.
Vous courez presque et c'est essoufflé que tu arrives entre deux camions, le tien et un autre. Tu te sens seul au monde à cet instant. Tu fermes les yeux, serre tes doigts sur ceux de Micah et savoure l'instant. Le soleil qui se couche au loin est si doux, le parfum de Micah, son visage, son sourire, ses yeux. Qu'est-ce que tu aimes le dévisager. Puis, doucement, avec précaution, il pose enfin ses lèvres sur les tiennes. Tu as l'impression que tout est si simple et si maladroit. Que vous êtes deux naïfs qui n'avaient pas conscience de la signification de vos actes, deux enfants qui se disent 'on s'posera les questions plus tard' et tu aimes être dans ces cas-là. Toi, l'adulte avant l'heure, celui qui n'a pas su, pas pu, profiter de sa jeunesse. Et son baiser déclenche en toi une multitude de goûts, de couleurs, d'émotions. Tu te sens voler tout en étant totalement enfoncé dans la terre. Tu te sens partir dans le futur tout en étant ancré dans le présent. Alors tu te laisses aller, passe tes mains autour de ses épaules, inspire son odeur, et passe ta langue sur la sienne. Tu voudrais que ça dure toujours et que cela ne s'arrête jamais.
« Pour savoir s’il va y avoir du vent, il faut mettre son doigt dans le cul du coq. » La voix de l'homme qui passe à côté de vous fait sursauter. Et tu ris. Ivre d'amour, tu ne te rends plus compte de ce qui t'aurait énervé ou saoulé dans d'autres cas. Là, tu as envie de rire de tout et de chanter une ode à la vie. « Ils sont fous les gens aujourd'hui. On en était où ? » Et tu reposes tes lèvres sur celle si délicates, si douces, si parfaites, de Micah.
Adossé au camion, tu pourrais rester ici des heures, à attendre que le temps passe, que le temps s'écoule loin de vous, mais tu as une réalité qui te rattrape. Un chargement à déposer, Micah a ramener chez lui. Tu poses ta tête sur sa poitrine, pour ne pas le regarder. « Je voudrais qu'on ait tout le temps du monde, ne pas avoir à te déposer. » Ce n'était pas sa question, mais c'était ce que tu voulais comprendre. Doucement, tu relèves la tête et sourit. « Mais on peut s'arrêter pour la soirée, je pense sincèrement qu'actuellement, je ne suis pas en état de conduire, alors tu ne me laisserais pas prendre la route, n'est-ce pas ? » Un clin d'oeil, faussement enjoué. Tu n'as jamais eu aucun retard et tu es encore largement dans les temps, il faudra juste faire attention dans les deux jours qui viennent, mais ça devrait aller. Tu peux te permettre de vivre un peu.
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Ven 21 Sep - 23:26
Micah Johnson
J'ai 23 ans et ma famille vit à Chicago, USA. Dans la vie, je suis à la recherche de n'importe quel petit boulot et je m'en sors pas bien présentement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire, mais coeur d'artichaut et je le vis plutôt pas bien.
Interrompu par un passant dans vos échanges de baisers, tu as un air bizarre sur le visage. Pas sûr de comment prendre ce que t’as entendu, mais au final tu te mets à rire parce que c’est ce que Brett fait aussi. Tu te demandes quand même si le mec était pas en train de te dire carrément de t’occuper du cul de Brett. Ce qui ne serait pas pour te déplaire, pour dire la vérité. Sûrement pour ça que tes joues ont légèrement viré au rose. Tu ne fais pas de remarque parce que Brett revient t’embrasser et tu profites de tous ces instants de douceur. Tu ne sais pas combien tu vas en avoir alors tu essaies de les vivre à fond. Tu sais que vous deux, ça ne va pas durer. Vous n’êtes pas du même monde, de la même ville, rien de tout ça. Ton coeur se serre à cette pensée et t’essaies de les chasser au plus loin de ta tête. Pas besoin d’être négatif là maintenant. Il est avec toi et c’est tout ce qui compte.
Après un moment de baisers langoureux, Brett se cale contre ton torse et t’avoue qu’il veut pas que vous vous quittiez. Tu caresses doucement son dos, essayant de le rassurer comme tu peux, mais la vérité est telle que oui, vous allez vous séparer à un moment ou un autre et t’en as pas non plus envie. Il propose de ne pas reprendre la route pour aujourd’hui et un sourire se forme sur ton visage. Ca veut dire pas d’évolution sur votre parcours et donc plus de temps à passer ensemble. Tu aimes ce projet.
« Non je n’ai pas envie qu’on ait un accident parce que tu peux pas t’arrêter de me regarder… de me toucher… »
Tu te mords la lèvre en le regardant, tes mains sur lui toujours. T’es collé à son corps, ayant physiquement besoin de le sentir proche de toi.
« On va dans ta cabine ? »
Vous serez peut être à l’étroit mais tu sais qu’il a un coin pour dormir. Une partie de toi a envie de souvenirs dans son camion avec lui. Juste pour qu’il ne t’oublie jamais à chaque fois qu’il sera à l’intérieur. Tu vas déposer un baiser sur ses lèvres, tu restes plus longtemps que nécessaire et tu te détaches, le regardant. Plein de choses traversent ton esprit, mais tu restes silencieux, de peur de dire quelque chose de travers. Tu ne veux pas briser le moment. Tu ne veux pas aller plus vite que la musique. Tu aimes que vous preniez le temps tous les deux. Mais ton regard veut clairement dire « j’ai envie de toi » même si vous n’allez pas jusqu’au bout ce soir. Ca ne te dérangera pas tant que t’es collé à lui, à l’embrasser, le toucher. Mais le fait est que tu vas certainement penser à lui en te caressant à un moment ou un autre. C’est indéniable.
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Lojzo
Mar 2 Oct - 13:13
Brett Friedman
J'ai 26 ans et ma famille vit à à Red Wing, à côté de Minneapolis, aux USA. Dans la vie, je suis routier et je m'en sors plutôt mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Aîné d'une famille de 6 enfants, a rapidement pris la place du père quand celui-ci est décédé. Il n'a jamais eu de véritable relation amoureuse, de toute manière il n'a jamais eu le temps de se poser et penser à lui, sauf depuis qu'il est sur la route, mais ça n'aide absolument pas à se poser. Il aime beaucoup être sur la route, mais il aimerait faire un métier plus concret que juste transporter des marchandise, sauf qu'il n'a pas les ressources nécessaires pour ça, tout va à sa famille ou presque.
Profite de chaque instant comme si c'était le premier. Profite de chaque instant comme si c'était le dernier. Ces deux phrases inspirantes te tournent en tête et tu savoures. Tu savoures l'instant sans penser à la suite ni aux conséquences. L'amour te fait tout oublier, parce que oui, on peut parler de passion à cet instant précis. Tout ce que les deux jeunes hommes vivent te prend aux tripes, une chose que tu n'aurais jamais pu imaginer pourtant tout semble si simple, évident, beau. Alors tu lâches prise et abandonne ta route. Pour quelques heures, quelques jours ? Tu t'es attaché beaucoup trop vite, tu n'as aucune envie d'être raisonnable pour ce soir.
Tu l'attrapes par la main et le guide. Après tu te laisseras faire, n'osant certainement pas prendre les devants, mais là, tu maîtrises encore un peu. C'est ta cabine, ton coin à toi. Il te suit, mais tu as envie de l'avoir dans tes bras, alors tu marches vite, pour perdre le moins de temps possible. Tu aimes tant le sentir tout chaud contre ton torse, sentir son souffle, ses lèvres. Sentir son odeur, sa chaleur et le voir. Oh, qu'il est beau. Surtout avec son rouge qui lui monte aux joues régulièrement, avec ses yeux brillants, ses cheveux si naturels. Tu aimes tout de lui.
Allongé l'un contre l'autre, torses nus, tu laisses tes doigts monter et descendre le long de ses côtes. Les caresses sont pour lui, mais le picotement électrique du bout de tes doigts te fait remonter un frisson jusqu'au plus profonds de toi. Parfois tes yeux se perdent dans les siens, souvent ce sont vos bouches qui se perdent ensemble. Tu ne comptes pas le temps, tu ne sais pas quelle heure il est. Cela fait trois secondes que vous êtes là ou deux heures ? Tu as perdu toute notion de temps, tu sais juste que tu ne veux être nul part ailleurs.
Vos souffles sont maintenant rauques, vous êtes totalement nus cette fois-ci. Tu ne sais plus où donner de la tête tant tu te sens tellement entier, tellement vivant. Cette chaleur qui te remonte de l'intérieur. Cette excitation. Ça va vite, trop vite, mais tu n'as nullement envie d'arrêter ou de freiner cette passion.
Quelques râles plus tard, tu rouvres les yeux et souris. Puis, doucement, tu viens t'allonger dans ses bras. Tu as besoin de douceur et de tendresse maintenant. « Wahou, c'était wahou. » Vous irez sûrement vous nettoyer à un moment donner, remettre des vêtements, manger un bout, qu'importe, tout ça c'est pour plus tard. Là tu as juste envie au calme et de sentir son souffle se caler sur le tien, de partager la douceur de cet instant. Tu relèves la tête de quelques centimètres et pose sur ses lèvres un énième baiser, tu ne sais plus comment lui dire autrement les choses, les mots ne suffisent plus à exprimer ce que tu ressens.
Spoiler:
bon voilà je savais pas ce que j'allais faire et du coup j'ai fait des mini ellipse en restant très vague, tu peux dire ce que tu veux du coup ou juste démarrer à plus tard, ce que tu veux
Univers fétiche : Réel mais ouverte aux autres univers
Préférence de jeu : Homme
Amity
Lun 8 Oct - 13:28
Micah Johnson
J'ai 23 ans et ma famille vit à Chicago, USA. Dans la vie, je suis à la recherche de n'importe quel petit boulot et je m'en sors pas bien présentement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire, mais coeur d'artichaut et je le vis plutôt pas bien.
Tu l’as espéré mais tu ne pensais pas que vous iriez si loin tous les deux. Brett avait été si réservé la veille dans ce motel, tu pensais qu’il lui faudrait plus de temps pour avancer mais non. Vous avez eu le loisir de découvrir le corps de l’autre dans son plus simple appareil. Enormément de caresses, de baisers, c’est de ça que vos ébats se résument. Tu n’as pas voulu aller dans l’acte physique en lui même pour la simple et bonne raison que vous n’avez pas de lubrifiant. De toute façon, les préliminaires c’est ce que tu préfères. C’était une très jolie introduction à votre vie sexuelle à tous les deux. T’espères que ça sera pas la seule et unique fois quand même, parce que vu comment t’es collé au corps de Brett, il est clair que tu ne peux plus te passer de lui. C’était juste parfait. Sa douceur et la tienne associé ont rendu ce moment vraiment hors du commun. T’as bien évidemment fait en sorte que la musique tourne en fond en même temps. T’as mis ta playlist de chansons douces pour ne pas briser le moment.
Contrastant pas mal avec ton air innocent, tu accueilles la jouissance de Brett au creux de ta bouche avant de retourner te mettre à ses côté, vous blottissant l’un contre l’autre. Il est sur un petit nuage et tu es content de voir que tu lui as fait un sacré effet. Il vient t’embrasser et tu l’aurais fait de toi même sinon. Ton coeur bat vraiment très vite et tu ne comptes plus le nombre de frissons que tu as ressenti pendant tous vos ébats. Tu serres ton bras pour être encore plus près de lui et tu n’arrêtes pas de déposer des baisers sur ses lèvres. Tu ne veux pas que le moment s’arrête, jamais.
Tu ne sais pas combien de temps passe avant que tu te détaches enfin de ses lèvres (spoiler : un long moment). Tu cales ta tête contre son torse et tu soupires doucement de bien être.
« Merci… »
Tu sors ça comme ça, sans contexte, rien. Ce merci a beaucoup de sens différents pour toi et ils sont tous autant valables les uns que les autres.
« J’ai envie de croire que toutes les merdes qui me sont arrivés c’était juste pour que je te rencontre… »
Tu tournes un peu ton visage afin de déposer un doux baiser sur sa peau.
Nicotine sweats and coffee breath
I thought I was so much more than this. When I look back at everything I've touched I see the lives I've ruined, dirty fingerprints. We are the common folk. We live our lives to die alone. Share our beds when the nights get cold