Univers fétiche : Réel, SF, inspiré d'œuvres ou de jeux vidéos
Préférence de jeu : Les deux
June
Jeu 8 Nov - 23:43
Leo Sanchez
J'ai 24 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis serveuse dans un bar et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à mon côté légèrement instable, je suis célibataire et je le vis sans pression. parisienne depuis toujours, avec des origines espagnoles (son vrai prénom est leonor). sait pas trop ce qu'elle fait dans la vie. a pour seul objectif de s'amuser. ne grandit pas. change de couleur de cheveux comme de chemise. pansexuelle et libertine. très détachée des autres. y compris de sa famille, et ce depuis longtemps.
Elle te rappelle que t’avais tout de suite remarqué son absence d’expérience avec une femme et tu souris. « Ah oui ? C’est si loin, comme tu dis… je ne m’en souviens plus. » Ou plutôt, tu ne veux pas faire l’effort de t’en souvenir. Ce qu’elle dit après est grandement flatteur pour toi. « C’est ce qu’elles disent toutes, » tu lui souffles dans l’oreille pour la taquiner. En vrai, tu as déjà initié plusieurs femmes, mais rien de bien mémorable.
Tu te cales sur le dos tout en te rapprochant de Marjo et pousses un soupir de contentement. De fatigue aussi, un peu. Tes yeux commencent à picoter. « Si j’étais honnête, je t’avouerais que j’ai jamais vu une nana aussi douée pour sa première fois. On croirait que t’as fait ça toute ta vie… » Tu la regardes en souriant. « Oui… quelle question ? » tu demandes d’un air distrait, replongée dans les folles sensations de vos ébats.
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Date d'inscription : 19/09/2017
Région : ardèche
Crédits : i4sullyoon (ava)
Univers fétiche : fantasy, science-fi, réel.
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Lojzo
Sam 10 Nov - 11:09
Marjolaine Fonsi
J'ai 19 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis étudiante en prépa pour intégrer Polytechnique et je m'en sors bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. A quitté son sud pour faire une prépa renommée. S'adapte bien à la vie de bobo Parisienne.
Elle est proche de toi, si proche. Tes yeux sont brillants d'émotion et la tension électrique si agréable est encore palpable. « Je, euh, merci. » Tu bredouilles sans trop savoir, en le prenant bien sûr comme un compliment. « Faut dire que la passion m'a emportée » Cette fois-ci tu rougis, parce que c'est grâce à elle que tu as vécu des choses si fortes. « A moins que ce soit l'alcool ? » tentes-tu. Tu n'as aucun élément de comparaison et en fait, tu n'en veux pas. Cette soirée est hors du temps et elle le restera comme un moment parfait.
« Non, en fait je ne suis pas sûre de vouloir savoir. » Tu rougis, allais-tu vraiment lui demander combien de conquête elle avait eu ? « Leo, comment on revient à la vie normal après ... ça ? » Après "ta présence" marchait aussi, mais tu ne voulais pas la faire paniquer.
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June
Mer 14 Nov - 13:19
Leo Sanchez
J'ai 24 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis serveuse dans un bar et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à mon côté légèrement instable, je suis célibataire et je le vis sans pression. parisienne depuis toujours, avec des origines espagnoles (son vrai prénom est leonor). sait pas trop ce qu'elle fait dans la vie. a pour seul objectif de s'amuser. ne grandit pas. change de couleur de cheveux comme de chemise. pansexuelle et libertine. très détachée des autres. y compris de sa famille, et ce depuis longtemps.
Tu te cales contre l’oreiller, les bras croisés derrière la tête et tu regardes le plafond. T’aurais bien envie d’attraper une cigarette mais tu as vraiment la flemme de bouger. Tu sais qu’elle te ferait tourner la tête, en plus. Tu hésites entre prendre une douche et dormir. Et là Marjo te pose une question un peu étrange, qui attire ton attention. Ton regard se pose sur elle. Elle te regarde, tu ne peux pas vraiment voir qu’elle rougit vu l’absence de lumière, mais tu la sens fébrile.
C’est à ce moment-là que tu prends peur et que quelque chose te dit de mettre un stop illico sous peine que la situation te dépasse totalement. Il faut que tu désamorces, dédramatises, que tu prennes la chose à la légère. Que tu te détournes d’elle pour qu’elle redescende. Sinon tu vas te retrouver beaucoup trop impliquée pour ta pauvre capacité émotionnelle de petite cuillère.
« C’est ça la vie normale, non ? » tu réponds en haussant vaguement les épaules, feignant que ce qu’elle vient de dire était parfaitement anodin et que tu viens de vivre une soirée banale, habituelle. Prenant soin de laisser l’équivoque, voire laissant entendre que tu parles du sexe avant tout. Comme s’il n’y avait rien eu d’autre entre vous. « J’prendrais bien une douche. » Tu te redresses et tu glisses hors du lit pour te diriger, nue, vers la salle de bain. « Si ça te dit, t’es libre d’en prendre une aussi hein, » tu précises avant de te glisser dans la minuscule pièce et de pousser la porte sans tout à fait la fermer.
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Lojzo
Lun 19 Nov - 22:15
Marjolaine Fonsi
J'ai 19 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis étudiante en prépa pour intégrer Polytechnique et je m'en sors bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. A quitté son sud pour faire une prépa renommée. S'adapte bien à la vie de bobo Parisienne.
Elle fuit, sous la douche, en t'invitant certes, mais elle fuit. Tu as envie d'une douche, envie de pleurer, envie de la rejoindre, envie de dormir, envie de danser encore toute la nuit, envie d'hurler. Seulement, tu restes hésitante, tu as peur d'aller trop loin, mais surtout peur de t'être déjà trop attachée. « J'crois que je vais plutôt dormir, je peux ? » Une manière simple de lui demander si tu peux rester, même si tu en meurs d'envie tu as terriblement la crainte de la gêner et de lui en demander trop.
Ce sont les vacances, demain tu peux te lever à l'heure qui t'arrange, tu pourrais dormir pour une fois, dormir vraiment. Tu sors ton téléphone.Le bruit de l'eau ravive ton hésitation et tu prends tes affaires, toutes tes affaires. De ton écriture ronde -rendue malabile par l'alcool- tu laisses un mini mot. Puis tu t'en vas en fermant doucement la porte.
Marjo a écrit:
A bientôt.
Spoiler:
je voulais mettre un numéro de téléphone mais je trouvais ça moche
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June
Jeu 6 Déc - 23:18
Leo Sanchez
J'ai 24 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis serveuse dans un bar et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à mon côté légèrement instable, je suis célibataire et je le vis sans pression. parisienne depuis toujours, avec des origines espagnoles (son vrai prénom est leonor). sait pas trop ce qu'elle fait dans la vie. a pour seul objectif de s'amuser. ne grandit pas. change de couleur de cheveux comme de chemise. pansexuelle et libertine. très détachée des autres. y compris de sa famille, et ce depuis longtemps.
« Oui, bien sûr, » tu lui as répondu quand elle t’a demandé si elle pouvait dormir. Maintenant, tu entres dans la douche, tu fais couler l’eau brûlante sur ton corps nu. La buée ne tarde pas à se répandre dans la petite pièce carrelée, tu soupires d’aise, appréciant la chaleur qui te détend totalement. Sans y passer des heures, tu t’attardes quelques instants, tu savoures ce moment en te repassant votre étreinte. Tu t’attends à tout moment à la voir entrer à son tour, traverser le nuage qui densifie l’air de la pièce pour venir se glisser dans la douche. En fait c’est plutôt un autre de tes fantasmes. Tu t’imagines la scène et tu commences à avoir sérieusement envie de remettre ça.
Mais elle ne vient pas. Tu finis par couper l’eau, attraper une serviette, te sécher. Revenir dans la chambre toujours nue. L’excitation est un peu revenue. Tu te vois déjà la taquiner en te hissant sur le lit, et venir illico sur son corps.
Mais elle n’est plus là. Tu t’interromps, presque encore sur le pas de la porte. La lumière de la salle de bain éclaire la pièce principale et il n’y a plus trace d’elle. Tu te tiens là, seule, vacante. Tu ne comprends pas. « Marjo ? » tu appelles. Tu avances lentement, hésitante. Tu grimpes sur le lit. Tu aperçois un morceau de papier. À bientôt. À bientôt et c’est tout. Tu le lis, tu le relis, hébétée. Ca devrait t’être égal, et pourtant tu sens l’amertume, la déception – plus encore que la frustration. Il y a dans ta poitrine une petite pointe qui fait un peu mal, et puis ton ego aussi, nettement blessé.
Et te voilà là, assise sur le lit, le mot entre tes mains, seule et comme abandonnée. Abandonnée par celle que tu craignais, toi, d’abandonner la première. Ironie du sort. Amère ironie. Tu te glisses dans les draps après avoir éteint, parce qu’il n’y a rien d’autre à faire. Tu te sens dessoûlée et intranquille. Tu n’aurais jamais cru qu’elle partirait. Tu la croyais acquise, il faut bien le dire. Le sommeil met du temps à venir. La plus fragile des deux aura peut-être toujours été toi.