Univers fétiche : Réel, SF, inspiré d'œuvres ou de jeux vidéos
Préférence de jeu : Les deux
June
Mar 16 Oct - 21:36
Leo Sanchez
J'ai 24 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis serveuse dans un bar et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à mon côté légèrement instable, je suis célibataire et je le vis sans pression. parisienne depuis toujours, avec des origines espagnoles (son vrai prénom est leonor). sait pas trop ce qu'elle fait dans la vie. a pour seul objectif de s'amuser. ne grandit pas. change de couleur de cheveux comme de chemise. pansexuelle et libertine. très détachée des autres. y compris de sa famille, et ce depuis longtemps.
Tu coupes les tomates et tu les mets à revenir dans de l’huile d’olive, dans une petite casserole. Sel, poivre. Tu les laisses fondre doucement pendant que les spaghetti finissent de cuire. « Y’en a une chez moi. » Tu as laissé passer un certain temps avant de dire ça. Parce que rien que de le dire, c’est comme si vous y étiez déjà – au vu de la soirée que vous passez, de la relation qui s’est établie entre vous. Tu remues les tomates avec une cuillère en bois. « J’ai même le dvd. Mais je te préviens, je le connais par cœur, alors tu m’en voudras pas si je te saoule en anticipant les répliques. » Tu lui fais un clin d’œil. Là c’est clair, vous allez vous retrouver chez toi. Accord tacite.
Quelques minutes après, les pâtes sont égouttées. Tu verses la sauce dedans, tu sers deux assiettes creuses, saupoudres de parmesan, cisèles le basilic. Tu y glisses deux fourchettes et tu remmènes Marjo dans la salle pour vous installer à une table tout près de la cuisine. « Bon appétit ! Je meurs de faim. » Tu attaques sans tarder. À mesure que tu enroules les spaghetti autour de ta fourchette, tu te projettes un peu plus loin dans votre nuit. Vous allez vraiment faire ça ? Aller chez toi ? Tu lèves le regard, poses tes yeux sur le visage de Marjo, glisses sur ses lèvres, descends sur ses épaules, le long de ses bras jusqu’à ses mains qui s’affairent autour de l’assiette. Tu sens clairement que tu es légèrement plus fébrile. Une contraction tout au fond de ton ventre. Ton imagination te devance et te dépasse. Vous allez vraiment… regarder un film ?
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Lojzo
Jeu 18 Oct - 14:03
Marjolaine Fonsi
J'ai 19 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis étudiante en prépa pour intégrer Polytechnique et je m'en sors bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. A quitté son sud pour faire une prépa renommée. S'adapte bien à la vie de bobo Parisienne.
Tu cuisines avec elle, profitant du silence entre ses informations, quand « Y’en a une chez moi. » Tu relèves la tête un peu brusquement et sourit face à son regard pétillant. Elle t'invite chez elle et tu ne trouves rien de mieux qu'être heureuse. Comme si c'était la suite logique à la soirée, comme si vous aviez toujours su que vous finirez toutes les deux chez l'une ou l'autre. « Vendu » souffles-tu en scellant votre accord. Un simple petit mot qui traduit une promesse plus large.
« Bon app » réponds-tu en avalant déjà une bonne part de ton assiette. Tu n'avais pas conscience d'avoir si faim. « Et merci encore. » Elle n'aime pas trop les compliments, mais tu es obligée là. « C'est si bon. » A cette heure-là, ça vaut un repas d'un des plus grands restaurants étoilés parisiens. « Tu habites loin ? » Histoire de faire la conversation et pour cacher le bruit des fourchettes qui s'entrechoquent sur les assiettes.
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June
Lun 22 Oct - 19:04
Leo Sanchez
J'ai 24 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis serveuse dans un bar et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à mon côté légèrement instable, je suis célibataire et je le vis sans pression. parisienne depuis toujours, avec des origines espagnoles (son vrai prénom est leonor). sait pas trop ce qu'elle fait dans la vie. a pour seul objectif de s'amuser. ne grandit pas. change de couleur de cheveux comme de chemise. pansexuelle et libertine. très détachée des autres. y compris de sa famille, et ce depuis longtemps.
C’est vrai que c’est bon, même toi tu serais prête à le reconnaître. Tu manges avec entrain, tu ressens une chaleur diffuse liée à l’ivresse, ravivée par le plat chaud qui réveille tout ton corps. Tu te sens comme dans un cocon là, détendue, sereine. Ton collègue vient t’informer qu’il file et te laisse fermer le bar, comme tu le fais si souvent. Il te laisse les clés. Tu acquiesces.
« Non, vraiment pas loin. À quelques rues de là seulement, » tu réponds. « J’vais te faire marcher encore un peu ! » Tu dis ça sans mauvais jeu de mots, évidemment… « Et toi, tu es en l’internat du coup ? » tu demandes en retour, désormais proche de terminer ton assiette.
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Lojzo
Lun 22 Oct - 22:42
Marjolaine Fonsi
J'ai 19 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis étudiante en prépa pour intégrer Polytechnique et je m'en sors bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. A quitté son sud pour faire une prépa renommée. S'adapte bien à la vie de bobo Parisienne.
« J'aime bien trop marcher pour que ça me pose problème, puis je décuverais peut être un peu. » Tu ris, alors que tu as la tête qui tourne et que tu ne devrais vraiment pas faire la maligne. « Yes, pour mes deux ans de prépa, les horaires c'est un peu chiant, mais en vrai on s'habitue à tout. » Tu hausses les épaules, tu aimes bien travailler en réalité, ça ne te dérange pas plus que ça de te coucher tôt et de profiter des rares soirées en extérieur à fond.
Les assiettes vides, tu te lèves et lave maladroitement les assiettes dans le petit évier.
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June
Mar 23 Oct - 11:53
Leo Sanchez
J'ai 24 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis serveuse dans un bar et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à mon côté légèrement instable, je suis célibataire et je le vis sans pression. parisienne depuis toujours, avec des origines espagnoles (son vrai prénom est leonor). sait pas trop ce qu'elle fait dans la vie. a pour seul objectif de s'amuser. ne grandit pas. change de couleur de cheveux comme de chemise. pansexuelle et libertine. très détachée des autres. y compris de sa famille, et ce depuis longtemps.
« Franchement t’as du mérite, je pense pas que j’aurais supporté ce truc-là. » L’heure est venue pour toi de renoncer à t’exprimer avec précision. Tu deviens évasive. L’alcool, l’effort de ton corps pour digérer ton repas, la chaleur, la petite graine de désir qui a germé dans ton ventre : tout cela altère grandement tes capacités cognitives. Tu n’es plus tellement intéressée pour parler. Tu as une hâte subite d’être chez toi avec Marjo.
Une fois le repas terminé, celle-ci entreprend de faire la vaisselle tandis que tu te lèves pour passer un coup d’éponge sur la table, y hisser vos deux chaises, fermer le bar. Tu flottes dans un flou artistique encore assez doux, cependant tu ne te sens pas si loin que ça de la nausée et il est temps de reprendre l’air frais de la nuit.
Tu reviens auprès de Marjo. « C’est ok, on bouge ? » Le changement d’environnement immédiat, puis le retour auprès de tes repères – les cheveux de Marjo, les lèvres de Marjo, le corps tout entier de Marjo – te font prendre conscience de l’altération de tes perceptions. Dans le même temps, la jeune femme, enveloppée de son éternelle candeur enthousiaste, parfaitement innocente de son indécente sensualité, t’apparaît plus désirable que jamais.
Tu t’approches d’elle tandis qu’elle finit d’empiler les assiettes sur le rebord de l’évier. Debout derrière elle, tu ne résistes pas à poser tes mains sur ses hanches – mon dieu, ses hanches – et à lui chuchoter à l’oreille : « Merci pour la vaisselle. » Tu voudrais glisser lentement tes mains sur son ventre, glisser lentement tes mains vers son pubis, passer sous son jean pour la toucher. Tu t’imagines l’accueillante tiédeur humide de ses lèvres… Mais tu te retiens, tu retires tes mains et à la place tu l’emmènes vers la petite porte qui donne dans la ruelle derrière le bar. Tu éteins les lumières. Tu fermes la porte. Tu prends la direction de ton appart en entraînant la jeune femme.
Mais dès lors ton esprit est perdu, tes sens échauffés par tous les désirs que tu t’imagines assouvir. Tu n’en laisses rien paraître, mais tu revis cent fois les baisers que vous avez déjà échangés, tu te visualises parcourir tous les secrets de son corps. Embrasser ses lèvres encore, son ventre ; embrasser le haut de ses cuisses, là où l’os du bassin fait une bosse sous la peau. Elle, elle marche près de toi, simplement, sans se douter une seule seconde de l’effet qu’elle te fait. Toi, tu la regardes discrètement et tu hallucines qu’elle t’obsède à ce point. Elle t’a toujours plu, c’est indéniable, mais tu n’aurais pas cru la désirer à ce point-là. Tu te dis que l’ivresse joue sans doute. Et qu’après tout, vous vous êtes un peu tournées autour pendant des heures…
Au bout d’un moment, alors que vous êtes presque arrivées, tu te demandes pourquoi tu te forces à lutter contre tout ça. Tu te stoppes brusquement. Elle continue d’avancer. Mon dieu qu’elle est belle. Elle se retourne, soudainement perdue, son regard naïf t’interroge ; son corps vacant attend tes instructions pour se remettre en mouvement. Eh puis merde. Tu l’attrapes vivement par la main, tu l’entraînes dans la rue étroite qui s’ouvre sur le côté, où la façade projette une ombre que n’éclairent qu’assez peu les réverbères de l’avenue. Tu la plaques contre le mur et tu l’embrasses avec fougue. Ton cœur bat à t’en rompre les côtes et l’excitation explose partout dans ton propre corps. Tu voudrais lui retirer ses vêtements, sentir sa peau contre toi ; tu te contentes pour le moment de ce baiser passionné, tandis que tes mains agrippent son visage, sa nuque, ses cheveux, ses hanches, son dos. Tu te colles contre elle, une jambe entre ses jambes ; l’une de ses jambes entre les tiennes. Quelque chose te retient encore de t’emparer de sa poitrine et de descendre jusqu’à son sexe – bien que tu en meures littéralement d’envie.
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Lojzo
Jeu 25 Oct - 14:49
Marjolaine Fonsi
J'ai 19 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis étudiante en prépa pour intégrer Polytechnique et je m'en sors bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. A quitté son sud pour faire une prépa renommée. S'adapte bien à la vie de bobo Parisienne.
Vous marchez -pas droit- dans la rue. Tu ressens une telle attraction pour elle à tes côtés que s'en est électrique, mais tu ne sais pas trop quoi faire. Vous avez joué jusque là, uniquement joué et tu ne connais pas les règles. Pour toi, ce n'a jamais été un jeu, mais plutôt des émotions qui te prennent aux tripes, cette Leo c'est une ouragan dans ta petite vie bien rangée. Alors tu ne te poses plus de questions et tu attends. Soit tu as rêvé et elle te hantera toute ta vie avec délice, en songeant à tout ce qui aurait pu se passer. Soit tu n'as pas rêvé et ça viendra d'elle. Mais tu es trop peureuse pour oser le premier pas. Tu ne songes a aucun moment que tu pourrais prendre les devants et tu avances en sa compagnie. Amie, amante, qu'importe, tant qu'elle est entrée dans ta vie, tout te va.
Quand elle s'arrête, tu te retournes avec un sourire, sans savoir quoi faire ni ce qu'elle attend. Tu es a des lieues d'imaginer ce qu'il se passe réellement dans sa tête, à cette heure-là de la nuit -maintenant que tu as fait ton choix- tout est simple. Il n'y a plus de débat stériles à l'intérieur de ta petite tête, juste une vie à vivre.
Alors quand tu te retrouves le dos sur ce mur à sentir ce feu qui te brûle les entrailles parce que ses lèvres se sont posées sur les tiennes, tu lâches définitivement prise. Tu n'as plus de souvenir de ce qu'il s'est passé avant, ni d'espérances quant au futur, tu songes uniquement à cet instant présent. Et vos lèvres se chamaillent, se touchent, se lèchent, s'embrassent. Ton coeur bat à deux cent à l'heure, sa jambe te réchauffe le sexe et l'énergie qui te parcourt te donne envie de faire des folies. « Tu habites ici donc ? » murmures-tu entre deux baisers, moitié sérieuse, moitié ailleurs.
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June
Mar 30 Oct - 13:57
Leo Sanchez
J'ai 24 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis serveuse dans un bar et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à mon côté légèrement instable, je suis célibataire et je le vis sans pression. parisienne depuis toujours, avec des origines espagnoles (son vrai prénom est leonor). sait pas trop ce qu'elle fait dans la vie. a pour seul objectif de s'amuser. ne grandit pas. change de couleur de cheveux comme de chemise. pansexuelle et libertine. très détachée des autres. y compris de sa famille, et ce depuis longtemps.
Tu sais, au fond, que c’est à toi de décider. Oui, maintenant tu sais qu’elle ne te refusera plus rien, qu’elle acceptera tout de toi. Aussi hautement improbable que cela puisse te paraître, tu sens qu’elle s’est attachée à toi et de ce fait tu as bien des pouvoirs sur elle. Tu ne la trouves pas docile pour autant. C’est cette confiance qu’elle a, cette foi presque – celle-là même qui te terrifie et qui te condamnera à mettre un point d’honneur à la trahir, tôt ou tard.
Pour l’heure, tu ne penses pas vraiment à ça. Tu ne fais que sentir son corps que tu touches avec avidité. Tu ne fais qu’assouvir tes désirs, et par chance il se trouve que les siens y sont semblables. « Presque ici, » tu souffles contre ses lèvres. Tu te sépares d’elle aussi brusquement que tu l’as plaquée contre le mur et tu t’élances à nouveau sur la grande rue, d’un pas vif. Le jeu du chat et de la souris, encore. Tu fais tout pour qu’elle te coure après. Tu sais qu’elle va le faire.
Tu l’emportes à travers la nuit jusqu’à ton immeuble. Ton esprit devient flou, agité par l’ivresse et par l’excitation. Tout se mélange, les images, le mouvement, les lumières, l’échauffement des sens, le toucher des corps, des peaux. Tu as ouvert la porte. Vous êtes montées dans l’ascenseur jusqu’en haut. Tu l’embrassais follement et tu vous regardais dans le miroir de la minuscule cabine tandis que tes mains venaient enfin palper avec vigueur la courbe de ses seins à travers son t-shirt. Il restait un étage à monter par l’escalier jusqu’à ton petit appartement ; la lumière du couloir était-elle allumée, éteinte ? ; vous couriez dans les escaliers, essoufflées, impatientes. Tu te souviens de la porte qui a claqué alors que vous étiez déjà jetées sur le lit à vous embrasser encore ; tu la déshabilles, tu t’empares de ce corps si désirable et elle te déshabille à son tour. Tu n’attends pas, tu ne prends pas ton temps, tu n’essayes pas d’être délicate ou tendre. Tu veux juste du sexe, tu veux la faire jouir, tu veux sentir tout son corps sous tes mains, dans tes mains, sous tes lèvres, sous ton corps à toi.
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Lojzo
Mar 6 Nov - 20:01
Marjolaine Fonsi
J'ai 19 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis étudiante en prépa pour intégrer Polytechnique et je m'en sors bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. A quitté son sud pour faire une prépa renommée. S'adapte bien à la vie de bobo Parisienne.
C'est l'extase, le bonheur, le feu. Tu ne comprends plus rien, te laissant porter parce que ce qui vous pousse plus haut : le désir. Elle t'embrasse, te caresse, te stimule et toi, tu lui réponds de la même manière. Vous voilà chez elle, sans que tu n'aies de souvenir d'avoir quitté la ruelle. Vous voilà nues sans que tu ne te rappelles avoir eu des vêtements un jour. Tu n'a d'yeux que pour elle, quand ils ne sont pas fermés et ton corps répond à son appel.
Vos coeurs battent à l'unisson et tes mots -tes gémissements- comblent le silence de la nuit. Tu lui rends la pareille, évidemment, ne cherchant pas à comprendre ce qu'il se passe, réagissant à l'instinct, à ses mouvements et ses soupirs. Tu es si bien contre elle, recouverte de frisson et de passion. « Eh bah putain » finis-tu par jurer, une fois que vous êtes toutes les deux allongées côte à côte.
Tu restes quelques secondes immobile, silencieuse, jamais tu n'avais songé que ça irait si loin, à vrai dire tu n'avais même pas espéré que ça puisse aller si loin, te contentant du peu de ce qu'elle avait à offrir. Et maintenant, tes sens sont en éveil et tu as envie de parler encore et encore, d'en savoir plus. Tu es à fleur de peau et plutôt dans une dynamique d'ouverture vers le futur, là tout de suite tu as envie de parler de la suite, d'essayer de comprendre ce que vous vivez. Tu espères tellement que ce n'était pas juste un soir comme ça, qu'elle ne va pas disparaître de ta vie. Cette Leo est une boule d'énergie tellement forte que tu t'es brûlé les ailes en l'approchant et tout te semblera sombre sans elle.
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June
Jeu 8 Nov - 19:37
Leo Sanchez
J'ai 24 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis serveuse dans un bar et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à mon côté légèrement instable, je suis célibataire et je le vis sans pression. parisienne depuis toujours, avec des origines espagnoles (son vrai prénom est leonor). sait pas trop ce qu'elle fait dans la vie. a pour seul objectif de s'amuser. ne grandit pas. change de couleur de cheveux comme de chemise. pansexuelle et libertine. très détachée des autres. y compris de sa famille, et ce depuis longtemps.
Enveloppée par la pleine satisfaction du désir assouvi, tu attrapes la couverture pour la rabattre sur vous et tu t’installes sur le côté, redressée sur un bras tandis que, de ton autre main, tu caresses le dos nu de cette délicieuse femme. Ben voilà, t’as réussi à ramener une nana dans ton lit ce soir, well done Leo. Et pas n’importe quelle nana. Malgré sa candeur et sa naïveté, elle s’est entièrement livrée, a répondu à tes caresses avec la même ardeur, et… c’était bon.
« C’était ta première fois avec une femme ? » tu lui demandes la voix douce, et même si tu sais déjà la réponse tu as envie d’aborder le sujet avec elle. Tu as envie de te laisser aller aux confessions sur l’oreiller, de jouer à être cette amante-là – attentionnée, tendre. Ton corps est encore chaud, tu es toujours aussi ivre et tu préfères oublier qu’à un moment, c’est sûr, cette situation, cette bien trop grande proximité va te faire flipper.
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Lojzo
Jeu 8 Nov - 23:14
Marjolaine Fonsi
J'ai 19 ans et je vis à Paris, France. Dans la vie, je suis étudiante en prépa pour intégrer Polytechnique et je m'en sors bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. A quitté son sud pour faire une prépa renommée. S'adapte bien à la vie de bobo Parisienne.
Elle remonte la couverture, te caresse le dos, te parle doucement et ça te rend toute chose. Que c'est agréable d'être avec une femme. Tu laisses ses doigts te procurer des frissons, encore mieux que les massages.
« Oui » réponds-tu d'abord, timidement, puis tu te dis que c'est ridicule d'être timide à cet instant précis. « J'ai pas eu beaucoup de copains en réalité non plus. » Soirée confidence. « Enfin tu savais que je n'avais embrassé aucune femme, tu m'as cramé direct dans le bar, oh que ça remonte à loin dans la soirée. » Un flash sur votre rencontre jaillit devant tes yeux et tu souris, vous êtes allées loin. « Merci en tout cas de m'avoir fait découvrir tout ça, si j'avais su... » Tu ris doucement, qu'est-ce qui se serait passé si tu avais su ? Tu es incapable de le dire, ce que tu sais en revanche c'est que si c'était à refaire, tu foncerais sans même hésiter. « J'ai le droit de te reposer la question ? » Le rouge te monte délicieusement aux joues malgré toi.