Univers fétiche : Vie réelle / HP / Twilight / University
Préférence de jeu : Femme
Elsy Lullaby
Dim 10 Juin - 16:33
Alice Farclay
J'ai 32 ans et je vis à Le Caire quand je ne suis pas sur un bateau. Dans la vie, je suis serveuse sur un bateau de croisière et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Informations supplémentaires ici.
La demoiselle tourne légèrement la tête comme on s'adresse à elle et adresse un sourire à son interlocutrice. Certes c'est magnifique mais c'est une chose à laquelle la jeune femme est habituée pour sa part, alors qu'elle est employée sur le bateau et a donc fait cette croisière plusieurs fois déjà pour le travail, profitant des paysages au passage. Même si elle a demandé à être mutée ailleurs pour changer d'air et voir d'autres paysages, elle admet que c'est beau, en effet.
"- Assurément. J'espère que votre séjour à bord de notre compagnie vous est agréable ?" demande la brunette sans se départir, même en civile, de son ton professionnel.
Invité
Lun 11 Juin - 16:59
Eun-bi Myeong
J'ai 18 ans et je vivais à Seoul, Corée du Sud, mais plus maintenant parce que je viens de m'enfuir. Dans la vie, je suis chanteuse et danseuse et je m'en sors mal. Sinon, grâce aux manigances des managers, je suis célibataire et ça n'a pas d'importance pour le moment. Eun-bi (alias Dani) est chanteuse et danseuse dans SevenSuns, un girls' band de K-pop. Elle y partage la vedette avec six autres filles. De loin, tout paraît parfait, mais à l'intérieur c'est l'enfer. Tout ce qu'elle mange, respire, fait est contrôlé par ses managers. Pire, l'un d'eux a même abusé d'elle. Alors, elle a pris le premier avion et elle s'est enfuie de Corée. En arrivant en Egypte, elle est tombée par hasard sur cette croisière et a acheté la dernière place.
Les remous du fleuve font légèrement tanguer le bateau. Tu n'es pas très à l'aise dans cet environnement flottant, mais c'est toujours mieux que là-bas. Tu tournes et retournes dans ton lit, en te demandant ce que tu feras après. Tout le monde doit être en train de te chercher, mais ici, tu te sens libre. Personne ne te trouvera sur le Nil. Tu te lèves finalement et ouvres les rideaux de ta cabine. Le soleil t'aveugle un instant, puis tu t'habitues à sa lumière et regarde par la fenêtre. Tout est calme dehors. C'est très étrange pour toi. Tu es habituée aux rires et cris des autres filles, au son très fort de la musique, aux bruits des projecteurs et appareils photos... Pas à ça.
Ton ventre gargouille et tu te décides à enfin sortir de ta chambre. Tu n'as pas mangé hier, ni aujourd'hui. Alors tu enfiles un énorme chapeau, ainsi qu'une paire de lunettes de soleil -- on ne sait jamais, quelqu'un pourrait te reconnaître --, et tu te diriges vers le buffet. Tu restes un moment devant, pensive, perdue face à l'abondance de produits tous différents.
Invité
Lun 11 Juin - 18:20
Alkis Corgou
J'ai 51 ans et je vis en Egypte. Dans la vie, je suis mécanicien à bord du Steam Ship Sudan et je m'en sors puisque je suis encore là. Sinon, grâce à mes erreurs, je suis célibataire et je le vis plutôt comme une punition. J'ai tué ma femme et l'enfant qu'elle portait. Je me suis abandonné à la route. Clandestin. J'ai fui. J'ai fait le chemin inverse des migrants qui fuient ce côté de Méditerranée. J'ai fini à la nage. J'ai abordé sur une côte. J'ai marché jusqu'à un fleuve. J'ai changé d'identité. J'ai trouvé un travail. J'ai trouvé une vie.
Prendre l’air. Cela se nomme “faire une pause”. Je remonte jusqu’au premier pont. Prendre une cigarette. La fumée s’enfuit au gré de la brise. Mes pensées l’accompagnent. Comme toujours en cette période de l’année. Je compte les mois, les jours d’un anniversaire qui n’existe pas. Je sens une ombre effleurer le bois de la rambarde où je suis accoudé tel un courant d’air qui remonterait le long de mon cou. Je tourne la tête par réflex. Le temps d’apercevoir un chapeau. Le temps d’apercevoir une silhouette qui tourne à l’angle de la coursive et pénètre dans la salle à manger. Je me déleste du mégot. Il profite du courant deux secondes puis sombre dans le Nil. J’avance jusqu’à la porte ouverte, sans entrer. Je n’ai pas le costume. Je suis l’homme en bleu. Je l’observe de loin. J’imagine son âge. J’imagine qu’elle pourrait avoir le même que celle qui n’a jamais vu le jour.
J'ai 18 ans et je vivais à Seoul, Corée du Sud, mais plus maintenant parce que je viens de m'enfuir. Dans la vie, je suis chanteuse et danseuse et je m'en sors mal. Sinon, grâce aux manigances des managers, je suis célibataire et ça n'a pas d'importance pour le moment. Eun-bi (alias Dani) est chanteuse et danseuse dans SevenSuns, un girls' band de K-pop. Elle y partage la vedette avec six autres filles. De loin, tout paraît parfait, mais à l'intérieur c'est l'enfer. Tout ce qu'elle mange, respire, fait est contrôlé par ses managers. Pire, l'un d'eux a même abusé d'elle. Alors, elle a pris le premier avion et elle s'est enfuie de Corée. En arrivant en Egypte, elle est tombée par hasard sur cette croisière et a acheté la dernière place.
Ce n'est pas la richesse qui te perd, mais c'est plutôt le choix. Tu as perdu l'habitude de prendre le temps d'écouter tes envies. Tu attrapes un yaourt aux fruits et un brownie, par défaut. Puis tu t'arrêtes. Tu sens une présence dans ton dos. Tu frissonnes. Derrière toi, à l'entrée de la salle, un homme semble te fixer. Un employé du bateau. Est-ce qu'il t'a reconnue ?
Tu regardes à nouveau ton assiette. Faire comme si tout allait bien. Tu prends place à une petite table. Peut-être que l'homme ne te regardait pas. Peut-être qu'il regardait le buffet. Tu inspires et tu expires. La fuite t'as rendue méfiante, presque paranoïaque.
J'ai 28 ans et je vis là où les vieux riches m'accueillent. Dans la vie, je suis profiteuse et je m'en sors très bien ou très mal, pas de juste milieu. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire (enfin, mon sugar daddy pense surement que nous sommes ensemble et exclusifs, mais bon) et je le vis plutôt bien. tu aimes l'argent mais tu n'en as pas, et tu as beau te débattre avec la vie, elle te fait comprendre que tout est contre toi. il n'y a qu'une chose qui joue en ta faveur : t'es belle, t'es bonne. alors, t'as fini par arrêter de te débattre et t'as décidé d'en profiter. tu te moques des hommes qui profitent de ton corps : toi, tu profites de leur or, et tu passes au suivant quand ils deviennent trop encombrants. t'es sur la croisière avec l'un d'eux, ravie de découvrir l'égypte, pays qui t'a toujours fait rêvé, bien décidée à profiter de tous les plaisirs disponibles ici et à ne te refuser aucun luxe. après tout, c'est lui qui paie.
sourcil arqué, ton sourire se fait presque moqueur. la demoiselle sur laquelle tu as jeté ton dévolu semble faire partie de l'équipage du bateau. son ton professionnel ne fait qu'attiser ton excitation joueuse. oh, c'est très agréable! ta main trouve le chemin de sa peau, juste là, au bout de son bras : son poignet fin, gonflé par la chaleur et le travail qu'elle a probablement effectué dans la matinée. merci à vous. tu fonds ton regard malicieux dans ses iris brunes, tu tentes de noyer tes angles durs dans le moelleux de son regard doux. ça doit être dur de travailler dans cette chaleur...
you loved me suffering but i could take the pain sorry, i broke the chain hate to tell you things are better
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Univers fétiche : Vie réelle / HP / Twilight / University
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Elsy Lullaby
Mar 12 Juin - 10:11
Alice Farclay
J'ai 32 ans et je vis à Le Caire quand je ne suis pas sur un bateau. Dans la vie, je suis serveuse sur un bateau de croisière et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Informations supplémentaires ici.
La jeune femme est un peu surprise par son interlocutrice, retirant délicatement sa main, sans se départir d'un sourire qu'elle offre à cette demoiselle. Remettant une mèche de cheveux derrière son oreille, Alice a un petit air gêné. Mais bien vite cependant, elle tâche de retrouver une mine plus ou moins professionnelle, bien qu'elle ne soit actuellement pas en service.
«- Ce n'est pas si dur que ça. Pas plus qu'un autre travail. Et le fait d'être sur un bateau a quelque chose de... léger. On ne pense pas au travail, quand on a la chance de voir de tels paysages, de rencontrer des gens de tout les points du globe. Quand on aime voyager en tout cas.»
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Préférence de jeu : Homme
Dracoola
Mer 13 Juin - 16:35
Calum Anderson
J'ai 27 ans et je vis à Héliopolis, quand je ne suis pas sur le Ship Sudan, Égypte. Dans la vie, je suis ingénieur et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à mon style de vie nomade, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Calum est Néo-Zélandais ou Kiwi comme il aime bien appeler. C’est un type discret qui n’aime pas vraiment attirer l’attention. Il a décroché un poste sur ce navire par coup de boule. Il n’avait jamais pensé que sa candidature puisse être retenue. Maintenant, il travaille depuis trois ans pour un mec qui le traite comme de la merde. Il gagne un bon salaire malgré le fait que sa position n’a rien de bien prestigieux. Il aime bien s’aventurer sur les ponts durant ses pauses, le soleil, la chaleur, ça lui rappelle son pays d’origine.
Il avait mauvaise haleine. C’était à croire que ce type ne brossait jamais les quatre dents qu’il lui restait. Je n’avais pas vraiment pris la peine d’écouter son discours. Il ne changeait jamais de toute façon. Je savais que mon supérieur aimait bien se défouler sur les « sales bleus ». Même si j’étais loin d’être un bleu j’y avais droit moi aussi. Samir. L’ingénieur en chef qui s’occupait de l’inspection régulière de la salle des machines, avec moi et les deux autres ingénieurs. Une fois son sermon terminé, j’étais sortie de la pièce. J’en avais marre, de travailler pour un vieux con aigri qui n’avait rien de mieux à faire que râler sans arrêt. J’étais sorti sur le pont supérieur, l’air salin caressait mon visage. J’avais fermé les yeux et inspiré goulûment. La beauté du Nil était singulière. Un véritable trésor pour les yeux. Je comprenais les nombreux touristes qui se bousculaient pour avoir une place sur le navire. Du regard, j’avais balayé les alentours, le monde s’agitait. J’aimais bien observer les passagers. Ils avaient tous une vie, un travail, une histoire. Ça me changeait des crises de nerfs de mon patron.
Une vie de luxe et de rêves, mon cul ...
LA MORT DES AMANTS
Usant à l'envie leurs chaleurs dernières | Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux | Qui réfléchiront leurs doubles lumières | Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. | FRIMELDA
Invité
Ven 15 Juin - 0:02
Alkis Corgou
J'ai 51 ans et je vis en Egypte. Dans la vie, je suis mécanicien à bord du Steam Ship Sudan et je m'en sors puisque je suis encore là. Sinon, grâce à mes erreurs, je suis célibataire et je le vis plutôt comme une punition. J'ai tué ma femme et l'enfant qu'elle portait. Je me suis abandonné à la route. Clandestin. J'ai fui. J'ai fait le chemin inverse des migrants qui fuient ce côté de Méditerranée. J'ai fini à la nage. J'ai abordé sur une côte. J'ai marché jusqu'à un fleuve. J'ai changé d'identité. J'ai trouvé un travail. J'ai trouvé une vie.
Son choix lacté, yaourt, et plus consistant, brownie. La délicatesse des femmes, de la jeunesse, que sais-je ? J’ai su leur délicatesse, il y a longtemps. J’ai partagé la vie de l’une d’entre elle, il y a longtemps. Je l’observe. Mon regard l’aurait-il blessée ? Je le crains quand je vois les hésitations de ses gestes. Je ferme les yeux. Je ne peux pas me permettre un souvenir. Un homme ne pleure pas dans les coursives d’un bateau de luxe quand il est machiniste. Je soupire en ravalant ce qui est monté de peine et de souffrance. Quand je pose de nouveau les yeux sur elle, je lui souris avec la bienveillance qu’un père aurait sur son enfant. Je me fais protecteur pour apaiser ses craintes. Je n’ai pas le costume pour franchir la porte, aller à elle, la saluer, lui souhaiter un bon séjour. Je baisse la tête. La cigarette est finie. La pause...
Univers fétiche : Harry Potter et les séries en général <3
Préférence de jeu : Homme
.excelsior
Ven 15 Juin - 0:26
Matthew Harlow
J'ai 26 ans et je vis à New-York, USA. Dans la vie, je suis futur pdg d'une multinationale dans les cosmétiques et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Futur pdg, la vie de Matthew était toute tracée. C'est sans compté le décès de sa fiancée, il y a un an. Depuis, Matthew n'est plus que l'ombre de lui-même. Il s'est renfermé et ses parents décident de le mettre sur le bateau dans l'espoir qu'il arrive à passer outre son traumatisme.
Tu te demandes comment tu as pu accepter de mettre les pieds sur cette embarcation. Les mains accrochés à la rambarde tu essayes d'empêcher tes tripes de t'échapper. Les yeux à moitié clos, tu ne sens pas que quelqu'un s'approche de toi. Pourtant, une voix t'arraches à ton mal de mer. Tu tournes la tête vers la personne et tu poses les yeux sur le flacon qu'il te tend. Tu te saisis du flacon et le détail. « Vous n'essayez pas de profiter de ma faiblesse pour me droguer ou quelque chose comme ça ? » non, parce que tu as la télé chez toi, tu as eu l'occasion de voir toutes ces histoires de personnes qui se retrouve dépouillé simplement parce qu'elles ont acceptés un verre ou une connerie du genre.
J'ai 46 ans et je vis à Bruxelles, Belgique. Dans la vie, je suis photographe pour le National Geographic et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis marié et père de deux enfants et je le vis très bien. Je pense être dans les meilleures années de ma vie. Je suis mariée depuis 12 ans avec une femme magnifique et mes deux belles filles sont maintenant en âge de faire des choix dans leur vie. J'ai atteint mon plus grand rêve à l'age de trente ans. Je suis devenu l'un des principaux photographe de la faune dans le très célèbre National Geographic. Ma vie va pour le mieux. Je suis très heureux dans ma quarantaine.
Tu étais bien content d'avoir réussi ta vie. Tu aimais ta femmes et tes deux belles filles. Ton salaire était au dessus de la moyenne car ton visage était connu chez National Geographic. Ces vacances, tu les avais bien méritées. Et tu comptais bien en profiter chaque seconde. Ce n'était pas dans tes habitudes d'approcher les étrangers, mais, tu te sentais d'humeur bienveillante, aujourd'hui. Le teint vert de ce jeune homme t'avait frappé. Alors, le cordon de ta caméra autour de ton cou, tu fronças les sourcils à la réponse de ton interlocuteur. « Vous habitez dans quel coin pour penser à ce genre de choses ? » Puis, pour montrer que tu n'avais que de bonnes intentions, tu usas de ton humour. « Si j'avais voulu droguer quelqu'un, j'aurais choisi lui. Il m'aurait rapporté bien plus. » Tu pointas un homme qui semblait bien plus riche que le garçon. Il portait à son poignet une montre en or et le cuire de ses souliers n'était probablement pas du faux.