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Date d'inscription : 26/04/2018
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Préférence de jeu : Homme
[quote="Manhattan Redlish"] Nolan CampbellJ'ai 43 ans et je vis à Brooklyn, New York. Dans la vie, je suis chef de chantier et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma poisse, je suis divorcé et je le vis plutôt bien parce que j'ai rencontré une femme qui a tout pour plaire. Nolan n’avait qu’un souhait : Devenir architecte. Il passait la majeure partie de son temps entre le lycée et les chantiers sur lesquels travaillaient son oncle. Chaque dollar durement gagné était mis de côté pour l’université. Mais le destin en décida autrement… Il fut projeté soudainement dans une autre vie lorsque son père tomba gravement malade, engendrant des frais médicaux insurmontables pour sa mère. Pour la soulager financièrement, il s’engagea donc dans l’armée et envoya la majeure partie de son salaire à cette dernière. Après avoir passé les trois-quarts de son temps au front, et son contrat enfin terminé, Nolan revint au pays. Il s’autorisa un temps de recul pour s’adapter de nouveau à la vie civile et retourna travailler pour son oncle. Ce qui aurait dû être une solution de quelques mois, dura davantage de temps. Nolan rencontra sa première femme, acheta sa première maison, et eut son premier divorce. Il se remaria une seconde fois, eut un enfant, et divorça une fois encore. Au fil des tumultes de son existence, son rêve de devenir architecte disparu, ne lui laissant que d’autres choix que d’évoluer autrement, et cela, jusqu’à devenir chef de chantier. Exécutant les ordres des hommes et des femmes qu’il aurait pu être dans une autre vie… crédit : :copyright:littlewildling-rpg
Oui, Nolan aurait pu s’arrêter là. Il aurait pu s’allonger à ses côtés et poursuivre leur conversation ou encore rejoindre les bras de Morphée. Toutefois, la voir ainsi à sa merci, la sentir se contracter de plaisir sous ce qu’il était en train d’entreprendre au niveau de sa féminité… Cela avait éveillé son désir pour elle, son envie de poursuivre dans leur élan, dans ce nouveau pas qu’ils étaient en train de franchir ensemble, dans l’intimité. Il apprécia la voir se mordre la lèvre inférieure quand il lui demanda de se retourner, et de nouveau, elle fut complètement à sa merci. Nolan s’occupait de tout. De son propre plaisir, ainsi que celui de Maggie dont il savoura de l’entendre gémir sous ses coups de reins alors qu’il ne pouvait pas retenir ses propres gémissements. Mais ce qu’il aima le plus, ce fut de l’entendre crier son plaisir, la sentant perdre totalement pied tout contre lui, sentir ses mains sur sa peau, comme pour le maintenir encore contre elle, et à son tour, le chef de chantier ne tarda pas longtemps à sentir le plaisir l’envahir, se contractant à son tour sous le plaisir qu’il exprima lui aussi à sa manière.
Le cœur battant encore à tout rompt dans sa poitrine, la respiration haletante, Nolan peinait à reprendre ses esprits ce soir tellement que ça avait été bon. Plus que bon même. Il parvint tout de même à se tourner sur le côté, l’embrassant avant de lui demander si elle avait aimé ce qu’il lui avait fait. Sa réponse fut sans appel, et se mit à rire à son tour, encore sur un petit nuage en cet instant « Je te retourne le compliment » alors que son corps était toujours en émoi. Un petit rire et fit un signe négatif de la tête, précisant sa pensée et fronça les sourcils « Moi ? ». Il baissa ses yeux sur son index, puis les releva lentement sur elle, croisant ses prunelles claires « C’est ce que je voulais ». Oui, Nolan souhaitait qu’elle se laisse complètement aller avec lui. Plus de barrières, plus de retenues. Il la voulait complètement à sa merci, libre de savourer son plaisir et de l’exprimer comme elle l’entendait « J’ai aimé t’entendre crier » lui murmura-t-il comme un secret.
Un nouveau rire alors qu’elle présenta sa féminité du doigt, hésitant entre deux possibilités et Nolan précisa alors sa pensée « Je pensais à ça » en désignant du regard l’intimité de la jeune femme « Mais te voir jouir comme ça… Aussi ». Cette nuit avait été la meilleure qu’ils avaient eu sexuellement parlant. A mettre en tête de la liste, et il espérait que ce n’était qu’une première d’une longue série d’autres fois de cette manière. Nolan ne s’était pas attendu à un tel compliment de la part de la jolie rousse et l’embrassa avant de lui répondre « Je vais tout faire pour le rester » et ajouta « Cette nuit a été… » et son regard termina la phrase pour lui. Son meilleur coup restait Julie encore à ce jour, même si la jolie rousse ne tarderait pas à la dépasser. Il le savait. Mais c’était un peu la seule chose sur laquelle ils s’accordaient avec la mère de son fils lorsqu’ils étaient ensemble : Le sexe. Toutefois, Maggie n’était pas loin, d’autant plus qu’avec elle, il y avait aussi cet amour, cette alchimie qui leur était propre et qui se ressentait aussi dans leur manière de se faire l’amour, comme ce soir. Nolan se mit de nouveau à rire alors qu’il embrassait l’épaule nue de son amante, puis se recula en l’entendant, souriant avec amusement et tendresse à la fois « Je ne te promets pas ça à chaque fois, mais j’essaierais » et approcha ses lèvres de son oreille « Parce que j’aime te voir ainsi, encore tout en émoi et folle de moi » et déposa ses lèvres dans son cou « Tu y es aussi pour beaucoup à ce qui s’est passé, à cette manière de te faire l’amour » et déposa ses lèvres sur les siennes « C’est aussi parce que c’est toi ». Parce qu’il avait envie de lui montrer qu’elle pouvait s’épanouir dans sa vie sexuelle, qu’ils pouvaient encore découvrir leurs corps mutuels, qu’elle pouvait avoir pleinement confiance en lui. Il posa sa tête sur l’oreiller, son visage à quelques centimètres à peine de celui de Maggie, posant sa main sur sa joue avec douceur « Fais moi confiance comme tu l’as fait là, et je peux t’assurer que ça ne sera pas la dernière fois que tu finiras dans un tel état mon cœur » en esquissant un sourire qui en disait long « Mais pas ce soir. Tu m’as épuisé de la meilleure des manières », et se cala contre la jolie rousse, son bras autour de son corps nu et ferma les yeux, sa tête contre la sienne « Je tiens tellement à toi Maggie… » et tomba presque aussitôt dans les bras de Morphée.
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