“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Manhattan Redlish
Mar 28 Déc - 21:57
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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En la voyant sursauter à son arrivée, Elijah ne put s’empêcher d’esquisser un sourire amusé et rétorqua avec aplomb « Non » avant de lui déposer une tasse de café chaude. Il fit ensuite pivoter son fauteuil, posant ses mains dessus afin d’être au plus près de sa belle inconnue d’une nuit « Je suis du genre perspicace » sans la quitter du regard, un sourire taquin sur les lèvres qui en agaçait plus d’un parce qu’il donnait l’impression de se foutre de la gueule de tout le monde. Mais en réalité, ce n’était pas toujours qu’une impression. Elijah n’était pas le genre d’homme qui se préoccupait de l’opinion que l’on pouvait avoir de lui, et c’était sûrement pour cela qu’il n’éprouvait pas la moindre culpabilité à l’encontre de Madison. Et puis, de toute manière, si les rôles avaient été inversés, elle en aurait sûrement fait de même. Elle ne répondit rien, et se mit à balancer la tête de droite à gauche, comme pour peser le pour et le contre, avant de lui répondre droit dans les yeux « Tu peux te mentir autant que tu veux, tu as crié jusqu’à en perdre voix tellement tu as aimé que je te prenne cette nuit-là » et déposa ses lèvres dans son cou, comme pour lui remémorer quelques souvenirs d’une nuit d’orgasmes, puis s’éloigna dans le but de quitter son bureau. Il se mit à rire doucement toute en relevant la tête vers elle « Pas besoin. Je pense avoir été assez clair comme ça » puis quitta le bureau pour rejoindre le sien, et se mettre au travail.
Comme bien souvent lorsqu’il travaillait ainsi, Elijah ne vit pas le temps s’écouler et ne releva la tête de son ordinateur qu’au moment où Madison entra dans son bureau « On ne t’as jamais appris à frapper ? » tout en désignant sa porte du doigt. En réalité, le journaliste lui disait cela que dans l’unique but de la faire chier, parce que personne du département ne frappait à son bureau, à moins qu’il soit déjà en pleine conversation. Il se saisit des papiers, les survola rapidement du regard, tout en relevant ses yeux sur elle de temps à autre, appréciant la vue qu’elle lui offrait sur son décolleté en se tenant ainsi devant lui « Je suis capricorne ascendant salopard » et afficha de nouveau son sourire nonchalant avant de baisser à nouveau son regard sur le travail de Madison. Il releva de nouveau ses prunelles claires sur elle, et s’appuya contre le dossier de son siège, ses coudes posés sur les poses-bras et croisa les mains devant lui. Elijah l’écouta avec attention, non sans se départir de son sourire « Tu ne te plaignais pas pourtant de mes baisers cinq ans auparavant » et lui fit un signe de main « Bonne nuit ». Il hésita un bref instant, puis finalement, contourna son bureau pour la rattraper.
Restant au milieu du couloir, à une certaine distance de son ancienne conquête d’une nuit, il rétorqua « Si tu crois que tu vas me faire culpabiliser avec un tel discours, c’est bien mal me connaître. Ensuite, je reste ton patron, va falloir que tu l’enregistres quand tu t’adresseras à moi la prochaine fois » et tourna les talons, avant de se raviser « Ne sois pas en retard demain. Huit heures et ensuite, tu pars sur le terrain. Tu as un reportage à faire sur les mères des transsexuels dans les cérémonies de Miss » et écarta les bras « Tu vas adorer ! », puis retourna dans son bureau. Si elle pensait pouvoir lui gâcher la vie, elle ne savait pas encore à qui elle avait à faire la demoiselle.
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Charly
Mer 29 Déc - 16:47
Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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C'était… amusant. Et déstabilisant à la fois de constater qu'Elijah n'avait pas oublié leur unique nuit ensemble. Cela remontait à cinq ans ! Il avait du en voir d'autres des paires de fesses. Et pourtant, il mettait ça sur le tapis, comme si c'était la première chose à laquelle Maddy lui faisait penser. Il avait pensé au sexe. Pas à l'article, ni au vol qu'il avait commis. Non. Le sexe. Alors oui, forcément elle trouvait cela intrigant. Un petit haussement d'épaules : « -oui, c'est vrai. » elle n’allait pas nier. Si elle fouillait dans ses souvenirs, oui elle avait adoré coucher avec lui. Mais ça n'avait, d'après elle, rien avoir avec leur limites ou tabou. Bref rien avoir.
Quelques heures plus tard, elle débarquait dans son bureau pour lui coller ses papiers sous le nez. Elle ne releva pas les mots qu'il lui avait repris, et donna ses conditions. Si il s'attendait à ce qu'elle se prosterne, ou qu'elle joue les stagiaires effarouchées, il se plantait. Elle n'était pas comme ça, s'agissait pas comme ça. Elle ne l'avait jamais fait. « -c'est du pareil au même. » trancha Maddy en balayant l’air d'un revers de main. « -oui, mais c'était avant que tu me baises la gueule. » ton cassant, sourire de connasse, avant de chantonner un bonne nuit tel un va te faire foutre.
Maddy s'arrêta en chemin, son sac à la main, son portable dans l'autre. Elle regarda les messages. Un jurons entre ses dents, avant de relever le regard sur Elijah au milieu du couloir. « -hum ? » elle avait entendu seulement d'une oreille et avait envie de le faire chier. « -ouais, c'est ça parfait. A demain. Bisous. » et elle passa à côté de lui sans lui adresser le moindre intérêt. Bien entendu elle lui fit un beau doigt d'honneur alors que les portes de l'ascenseur se refermait peu à peu sur elle, accompagné d'un petit sourire forcé. La tout de suite elle avait d'autre chose à penser. Composa le numéro de son ex et laissa un message. Le lendemain matin, Maddy se réveilla en sueur. Putain de rêve érotique… putain d'Elijah… en plus de ça, elle se retrouva dans l'ascenseur en compagnie de la blonde d'Elijah. Magnifique ! La journée commençait merveilleusement bien. Heureusement son téléphone sonna au moment où l'autre allait ouvrir la bouche. Elle décrocha tout en se rendant à son bureau, duquel elle ferma la porte pour pouvoir avoir une conversation privée.
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Manhattan Redlish
Mer 29 Déc - 20:35
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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En l’espace de quelques heures, Elijah découvrait le caractère sulfureux qui se cachait derrière ce corps aux courbes affriolantes, et sa belle inconnue allait lui donner du fil à retordre. Mais si elle pensait que son franc-parler et le sourire insolent qui l’accompagnait allaient avoir raison du journaliste, c’était mal connaître ce dernier. S’il évoluait dans le monde de la presse people, c’était parce qu’il n’éprouvait pas le moindre ressentiment lorsqu’il détruisait une carrière ou un mariage, alors il ne risquait pas d’en éprouver à l’encontre de Madison, peu importe s’il avait pris son pied en s’envoyant en l’air avec cette dernière cinq ans auparavant. Lui aussi savait se montrer insolent avec son regard amusé et son sourire en coin alors qu’elle lui tenait tête de l’autre côté de son bureau « Tu m’en veux encore cinq ans après ? Il faut arrêter de ressasser le passé et avancer ! » rétorqua-t-il en s’avançant sur le rebord de son siège, comme pour se rapprocher d’elle. Il la laissa finalement partir, pour la rattraper quelques minutes après. Il avait beau lui parler, Madison semblait en avoir rien à foutre de ce qu’il pouvait lui dire, semblablement plus intéressé par son portable que par lui. Lorsqu’elle lui fit le doigt d’honneur, Elijah pencha la tête tout en la saluant de la main, sourire aux lèvres, avant de retourner à son bureau où il resta jusqu’aux premières heures du matin. Enfin, jusqu’à ce qu’il reçoive l’appel de Brittany, un peu trop alcoolisée, qui l’attendait devant la porte close de son appartement. Pas de parties de jambes en l’air, elle s’endormie au moment même où elle posa sa tête sur l’oreiller. Il avait alors recouvert de la couverture et avait dormi dans le canapé pour ne pas sentir les relents d’alcool qui émanaient d’elle.
Comme bien souvent, il était arrivé dans les premiers le lendemain matin, et travaillait tranquillement dans son bureau, tasse de café fumante à ses côtés et jazz en fond sonore, quand l’ascenseur s’ouvrit sur Madison et Brittany. Il les observa un instant, s’interrogeant sur la probable conversation qu’elles auraient pu avoir, mais il vit la belle brune passer devant son bureau, en pleine conversation téléphonique. Quant à Brittany, elle semblait aussi fraiche que la rosée du matin, même s’il devinait ses cernes derrière tout son maquillage « Pas trop la gueule de bois ? » « Si, une horreur ! Je n’avalerais plus une seule goutte d’alcool de ma vie ! » rétorqua cette dernière en se laissant tomber sur l’un des deux sièges devant le bureau d’Elijah qui fixait le bureau de Madison « Jusqu’à ta prochaine sortie. Tu m’excuses cinq minutes ? Je reviens » et se saisit des papiers posés dans un coin de son bureau, et franchit les quelques mètres qui le séparait du bureau de sa nouvelle recrue « Un souci ? » puis fit un signe de main « Je m’en fiche en fait. Tiens, ton boulot de la matinée et n’oublie pas ton reportage à 14 heures » et déposa les dossiers sur le clavier de Madison, et fit demi-tour, rejoignant son propre bureau où l’attendait la jolie blonde « Ta nouvelle recrue a l’air sympa » « Juste l’air » répondit du tac ô tac le journaliste en prenant place derrière son bureau quand Jeffrey entra à son tour « Salut Eli’, Brittany » ce qui tira un soupir de la bouche du journaliste qui tenta de se concentrer « Ce n’est pas un moulin ici. S’il n’y a rien d’important, oust ! » en faisant un signe de main sans quitter ses papiers des yeux « J’y vais alors, à tout à l’heure » rétorqua la jeune femme, laissant les deux hommes seuls. Elijah releva son regard sur ce dernier qui prit la place encore chaude de Brittany « Quoi ? » « Rien » alors que son regard trahissait sa curiosité. Il avait envie de savoir comment son chef connaissait la petite nouvelle, mais Elijah préféra l’ignorer « Alors dégage » « Ok ! » et Jeffrey s’en alla, presque en sautillant, sentant l’affaire croustillante derrière tout ça. Le journaliste poussa un nouveau soupir d’exaspération et releva son regard sur Madison, l’observant de son bureau, se demandant pourquoi il avait fallu que Jeffrey l’embauche elle…
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Charly
Jeu 30 Déc - 13:18
Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Arrêter de penser au passé et avancer. Facile à dire. C'était lui que toute cette histoire avait arrangé. C'était sa vie à lui qui avait prit un beau virage. Maddy s'était mordue la langue pour ne rien répondre. Elle n'avait pas envie de lui parler de sa vie, des conséquences qu'avaient engendré son acte. Il ne comprendrait pas. Et elle ne voulait pas lui ouvrir les portes de sa vie privée. Hors de question. Alors elle avait préféré couper court et enfin rentrer chez elle.
Maddy n'avait pas besoin de beaucoup d'heures de sommeil, et c'était pour cela qu'elle était en forme en arrivant au bureau, malgré un visage légèrement fermé à cause de la conversation qu'elle avait avec Roy, son ex. Elle passa devant le bureau d’Elijah sans un regard, et ferma la porte de son bureau avec le pied. Le téléphone coincé entre l'oreille et l'épaule, elle retira sa veste tant bien que mal tout en essayant de ne pas s'énerver.
« -oh non de dieu… » jura la belle brune lorsqu'elle se retourna, surprise de voir Elijah dans son bureau. Elle mis sa main sur le téléphone et dit : « -je vais te mettre une clochette ! » au moins elle serait prévenu de son arrivée ! Monsieur qui ne savait pas frapper. Qu'est ce qu'il foutait déjà dans son bureau d'ailleurs ? Elle se pencha légèrement et pas forcément discrètement pour voir si la blonde était toujours là. Oui. Alors qu'est ce que lui il foutait là ? « -ok ça marche merci, et non j'oublie pas. » puis elle se dirigea vers la porte pour la fermer avant de très vite raccrocher.
Elle se laissa tomber dans son fauteuil, le nez vers le plafond. Puis elle se redressa, inspira et remis ses cheveux derrière ses épaules, avant de regarder ce que son patron lui avait donné comme boulot. Elle lu, et trouva ça classique. C'était du déjà vu. Elle avait des idées à apporter à ce magazine, elle y avait déjà réfléchit. Mais maintenant qu'elle savait qui était son patron et qu'elle n'allait pas rester longtemps… autant les garder. Pour elle. Ou pour un autre. Elle mis de la musique et commença à travailler, sans grand entrain. Au bout d'une heure, elle se leva pour aller chercher un café, évitant avec soin de regarder chez Elijah. Idem au retour. Maddy se remis à bosser en tentant de s'intéresser au mieux au vernis de tel star et à la mini jupe de celle-ci. A 13h30, elle ouvrit de grands yeux. Merde ! Les miss ! Elle se leva d'un bon, prit ses affaires et quitta son bureau en courant sur ses talons, appuya vingt mille fois sur le bouton de l'ascenseur qui finit par s'ouvrir sur Elijah. Roh mais il était partout ce con !
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Manhattan Redlish
Jeu 30 Déc - 14:25
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Un petit sourire se glissa sur les lèvres du journaliste quand il l’entendit presque jurer lorsqu’il entra silencieusement dans son bureau. C’était une habitude qu’il avait institué dans le département. Elijah voulait que tout le monde puisse entrer dans son bureau comme il le souhaitait, et il en faisait de même avec ses collaborateurs. Apparemment, Madison n’était pas coutumière de cela, mais elle finirait bien par s’y faire de toute manière. A moins qu’elle quitte le magazine avant. « Si c’est un nouveau jeu sexuel, faudra me montrer parce que je ne le connais pas » tout en lui donnant son travail, et quitta ensuite le bureau, non sans se retourner en refermant la porte et rejoignit ensuite son bureau dans lequel il passa l’entièreté de sa matinée. Il ne put s’empêcher de lui jeter quelques regards et il se surpris même à sourire en la voyant revenir avec une tasse de café à son bureau. Finalement, elle avait fini par dompter la machine à café. Il ne quitta son bureau que pour aller déjeuner en extérieur afin de succomber à son petit plaisir hebdomadaire qui était des sushis de chez Lee, le japonais d’en face du building du magazine. En plein repas, il reçut un appel de son caméraman qui lui indiqua que le concours de Miss était annulé en raison d’une intoxication alimentaire chez les concurrentes. Il prit note de l’information et hésita à continuer de déjeuner soudainement en imaginant les candidates vomir dans les toilettes du lieu de réception. Il réprima un frisson, se concentra sur autre chose et décida de poursuivre tranquillement son repas en tête à tête avec la baie vitrée donnant sur la rue. Il sortit un « Anata wa watashi no memo ni sore o okudeshou (Tu mettras ça sur ma note) » dans un japonais approximatif car c’étaient les seuls mots qu’il avait appris avec Lee au fil des années.
Le nez dans son portable, il releva soudainement la porte en entendant les portes s’ouvrirent et se mit à sourire en voyant que Madison se trouvait face à lui « On dirait que tu as oublié ton reportage » et sorti de l’ascenseur, se retourna vers elle « Amuse-toi bien là-bas » tout en lui faisant un bref signe de main, et continua d’écrire son message en avançant jusqu’à son bureau à l’aveugle jusqu’à ce que Jeffrey ne l’interpelle « C’est Madison qui vient de partir ? » en désignant du doigt les portes de l’ascenseur qui se refermaient. Elijah termina d’écrire son message sans répondre, rangea son portable dans la poche de son jean et se tourna vers l’ascenseur un bref instant « Oui. Pourquoi ? » « Le caméraman a appelé, le concours est annulé pour intoxication alimentaire » « Je sais » « Et tu ne lui as rien dit ? » « Hum… Non » et ouvrit la porte vitrée de son bureau « Pourquoi tu as fait ça ? » « Pour lui montrer qui est le patron » « Elle va juste voir que tu es un connard » « C’est déjà chose faite » rétorqua Elijah en se laissant tomber dans son fauteuil « Arrête de t’inquiéter pour elle. C’est une sorte de bizutage. Elle va s’en remettre. Où en est l’article sur Britney Spears et la tutelle de son père ? » « Il arrive… Elle va te détester à faire ça, tu sais » « Elle me déteste déjà. Va me le chercher » « De ? » « L’article Jeffrey, l’article » « Ah oui ! » et laissa Jeffrey partir. Quant à Elijah, il posa son regard sur le bureau vide de Madison, puis se saisit de son portable, hésita un instant et se résigna à l’appeler. Ça lui fera les pieds.
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Ven 31 Déc - 15:56
Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Maddy fit un pas en avant dans la cage d'ascenseur et gratifia Elijah de son sourire forcé, exactement le même qu'elle lui avait adressé le matin dans son bureau. « -j'ai pas oublié, j'étais trop absorbée par les dernières tendances capillaires de nos stars. » et comme si ça allait devenir une habitude, elle lui adressa un doigt d'honneur à mesure que les portes se fermaient. Amuses toi bien. Elle savait très bien pourquoi c'était elle qui se tapait se reportage.
Enfin elle tenta au mieux de chasser Eli de sa tête, parce qu'il lui tapait trop sur le système. Et elle se fixa comme objectif de faire en sorte que ce reportage soit top et épate son boss, juste histoire de lui faire fermer sa gueule. Sa motivation s'envola quelque peu en arrivant sur place. « -comment ça annulé ? Non je n'ai pas été prévenu… toutes les candidates sont malades ? Il dois bien en rester une qui n'a pas la tête dans les toilettes ! » serrant les dents, elle maudit mentalement, elle était certaine qu'il était au courant. Le fils de… mais elle se recoiffa et décida de rester professionnelle malgré tout. Elle réussis à obtenir un entretien avec l'organisateur du concours. Les malades avaient été renvoyé chez elles. Les autres avaient une répétition. Maddy improvisa. Comme souvent. Maquillage, coiffure, maillot de bain, sélection, finalement elle en appris pas mal. Elle se prit au jeu et elle défila aussi, prenant les conseils, riant beaucoup. Finalement elle avait de quoi le faire cet article, et en plus elle avait passé une belle après midi.
Lorsqu'elle revint au bureau, elle afficha un beau sourire et un signe de la main de reine à Elijah. Ça lui ferait trop plaisir qu'elle reviennent en colère contre lui. Maddy sortie de son sac une sucette, en retira le papier et la porta à sa bouche avant de sortir son magnétophone. C'était son petit truc… casque sur les oreilles, elle se repassa ce qu'elle avait enregistré en faisant tourner son fauteuil. Puis elle se mis enfin à écrire, durant deux bonnes heures. Une petite pause pour le café, puis retour derrière son bureau pour finaliser. Elle avait tout de même bien du mal à accrocher avec ces critères de sélections et de beautés. Mais elle tourna son papier un peu comme un conte de princesse : se dépasser, croire en ses rêves, tous faire pour qu'ils se réalisent. Et dire que de son côté elle avait seulement été élu miss t shirt mouillé au camping lorsqu'elle avait 20ans. Elle envoya un mail à Elijah : comment ça marche, tu filtres tout ? Ou j'envoie mon papier à Jeffrey. Maddy appuya sur entrer et leva les yeux pour voir la blonde entrer dans le bureau d'Elijah. Maddy posa son dos dans son fauteuil, sa tasse de café entre les mains. Qu'est ce qu'il lui trouvait ? D'accord elle était bien foutue…
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Ven 31 Déc - 16:48
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Tout en sortant de la cage d’ascenseur, il se mit à esquisser un sourire amusé face à l’insolence de sa nouvelle recrue qui ne perdait pas une opportunité de lui répondre « Je vois que tu te cultives » et se mit à rire doucement en voyant son doigt d’honneur, et remis le nez dans son portable, continuant d’écrire son message. Il aurait pu se montrer bienveillant et la prévenir que le reportage était annulé, mais c’était une manière comme une autre de la pousser vers la sortie au plus vite. Il ne la voulait plus dans ses pattes. Evidemment, ce n’était pas pour plaire à Jeffrey qui tenta d’intervenir en lui faisant comprendre que ce n’était pas vraiment la marche à suivre s’il voulait attirer la sympathie de la nouvelle. Or, ce n’était pas ce qu’il souhaitait. Elijah ne désirait qu’une chose, qu’elle s’éloigne au plus vite de lui et de son département. Il n’avait pas envie que ses collaborateurs et supérieurs apprennent que son ascension fulgurante, il la devait au vol d’un article dont l’auteure n’était nulle autre que Madison, et que de surcroît, ils s’étaient envoyés en l’air toute la nuit. Non, ce n’était pas le genre de publicité qu’il souhaitait au sein du magazine, et pour cela, il devait pousser Madison vers la sortie en faisant en sorte qu’elle soit lassée de travailler pour un connard tel que lui.
Mais apparemment, ça ne serait pas pour aujourd’hui parce que cette dernière affichait un franc sourire et n’hésita pas à lui faire un signe de main digne de la Reine Elizabeth II. Elijah ne put s’empêcher de froncer les sourcils, ne comprenant pas vraiment ce qui se passait. Elle aurait dû normalement débouler dans son bureau et lui balancer dans la gueule que ce n’était qu’un connard de l’avoir envoyé sur un reportage qui avait été annulé et qu’en tant que supérieur, il avait le devoir de l’en informer. Mais non. Au contraire, elle semblait même ravie de son excursion… Il aurait pu se lever pour aller à sa rencontre, mais au lieu de ça, il siffla lorsque Jeffrey passa devant son bureau, puis lui fit signe d’entrer « Le reportage était bien annulé ? » « Euh… Oui. Pourquoi ? » « Et Madison ne t’a rien dit ? » « Je ne l’ai pas encore croisé… Pourquoi ? » « Rien. Merci » et le laissa quitter son bureau, ignorant son regard perplexe. Quant à Elijah, il l’observa de son bureau durant quelques minutes, puis se remit au travail. Il ne releva les yeux de son ordinateur qu’à l’arrivée de Brittany qui semblait en bien meilleure forme que ce matin. Il se recula dans son siège quand elle vint prendre place à ses côtés, tout contre son bureau « Tu rentres avec moi ce soir ? » « Je ne pense pas » « Dommage » tout en se penchant pour venir l’embrasser avec envie. Il lui rendit son baiser, sa main se glissant sous sa jupe « Ce n’est que reculer pour mieux te sauter… Enfin sauter » ce qui fit rire la jeune femme « N’hésite pas à me réveiller » « J’en prends bonne note ». Il lui sourit alors qu’elle continuait de l’observer sans mot dire « Quoi ? » « Rien… Je te trouve juste beau » « Merci. Tu n’es pas mal non plus » et se leva de son siège, lui volant un dernier baiser, avant de tourner la tête vers Madison, esquissant un sourire en la voyant les observer, puis se pencha vers son ordinateur « J’ai du travail… » « J’ai compris. Je te laisse » et la jeune femme quitta son bureau non sans un dernier regard pour son petit-ami qui s’était déjà remis au travail.
Au lieu de répondre directement au courriel de Madison, le quarantenaire décida d’aller directement à sa rencontre sans prendre le soin de frapper à la porte. Parce qu’elle détestait ça tout simplement. Il se laissa choir dans le siège face à elle « Donne-moi ton papier » et se pencha pour saisir la feuille, lisant l’article en accéléré et releva son regard sur la belle brune devant lui « Je vois que tu as su rebondir… Tu peux l’envoyer à Jeffrey pour qu’il le publie » et se leva de son siège, se dirigea vers la porte, et s’arrêta avant de franchir le seuil « Au fait... Bravo » et quitta le bureau. Pour le coup, sa recrue l’avait impressionné et même s’il était du genre sans pitié, il n’était pas moins honnête quant à la qualité du travail de ses collaborateurs et pour le coup, sa jeune recrue l’avait impressionné.
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Charly
Sam 1 Jan - 21:32
Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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En arrivant sur place, Maddy avait bien compris que son nouveau boss s'était plu à se foutre de sa gueule, et surtout à la prendre pour une conne. Visiblement, il avait été prévenu que le reportage était annulé. Ils s'étaient croisés. Et il ne lui avait pas donné l'info. Sur le coup, elle avait mal encaissé et mentalement elle l'avait traité de tout les noms. Et puis finalement, elle s'était dit qu'elle n'allait pas lui donné ce qu'il attendait. Ça lui ferait trop plaisir de la voir sortir de ses gongs. Adopter la bonne tactique pour encore mieux le faire chier. C'était ça qu'elle devait faire.
Elle avait donc rédigé son article après être revenu enchantée et radieuse. Elle envoya un mail histoire de savoir comment procéder avant d'observer Elijah et sa blonde, s'interrogeant sur les motivations de ce couple. Lorsque son regard croisa le sien, elle fit bouger sa langue contre sa joue, mimant ainsi ce qu'elle lui avait fait cinq ans plus tôt, par pur esprit de provocation. Puis elle termina sa tasse de café et mis la touche finale à son article.
« -voila patron. » répondit la jeune femme sur un ton sarcastique, non sans un sourire charmant. Elle attendit avec patience qu'il termine de lire avant de répondre un : « -très bien. » lorsqu'il la félicita, elle resta interdite, et le laissa partir sans rien répondre. Ce ne fut qu'au soir, seulement lorsque tout le monde fut parti qu'elle se permis d'aller jusqu'au bureau d'Elijah. « -je vais pas rester. » son épaule contre le montant de ma porte, les bras croisés. « -je vais pas rester plus d'un mois, alors si ça t'amuses les petits coups comme aujourd'hui, d'accord. Pas de soucis. Mais t'attends pas à ce que je reste passive. » un bonne soirée et elle fit volt face pour quitter l'étage.
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Sam 1 Jan - 21:58
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah était resté perplexe face au comportement de sa recrue lorsque cette dernière revint du reportage qui n’avait pu avoir lieu. Pas d’éclats de voix, pas de regards noirs. Au lieu de ça, elle était passée devant son bureau en souriant, le saluant même. Pendant plusieurs heures, le journaliste avait tenté de comprendre la raison de son comportement si enthousiasme alors qu’elle aurait dû seulement lui en vouloir ne l’avoir laissé se rendre sur le terrain pour rien, à part perdre son temps. Au lieu de ça, elle semblait satisfaite de son après-midi en extérieur. Madison se montra même provocatrice lorsque leurs regards se croisèrent et qu’elle mima une gâterie qu’elle lui avait fait plus d’une fois lors de cette nuit passée ensemble cinq ans auparavant. Il ne put s’empêcher de sourire devant son geste, notant par la même occasion qu’elle avait gardé quelques souvenirs de leur nuit d’extase, puis se remit au travail que très brièvement. En voyant le mail de cette dernière, il décida d’aller directement à sa rencontre.
Elijah s’installa donc dans le siège face à elle, croisa les jambes et commença à lire l’article. Elle était parvenue à faire avec les moyens du bord, et était parvenue à rédiger un article de qualité. Il l’autorisa donc à le publier et se leva pour quitter le bureau de Madison, non sans la complimenter avant de partir pour son propre antre. Il porta sa tasse de café presque froide à ses lèvres, et commença à pianoter sur le clavier de son ordinateur quand la porte de son bureau s’ouvrit, l’arrêtant dans son élan. Il releva son regard sur Madison qui restait à l’encadrement de la porte, et se laissa choir contre le dossier de son siège en cuir. Elle ne restait pas… Etonnement, il aurait dû sauter de joie sur place, mais une part de lui fut presque déçue d’entendre cela. Peut-être parce que ça l’amusait de l’emmerder comme il le faisait. Il n’en savait trop rien, et répondit simplement un « Ok » suivit d’un « Bonne soirée » et s’avança sur le rebord de son fauteuil, reprenant son travail. Finalement, une dizaine de secondes après, il l’a rattrapé dans le couloir menant à l’ascenseur « Attends » tout en avançant tranquillement jusqu’à elle « Pourquoi tu attends un mois ? » avant de faire une légère grimace « Ce n’est pas ce que je voulais dire… Si tu souhaites vraiment partir, pourquoi tu ne le fais pas maintenant ? ». Il glissa ses mains dans les poches arrière de son jean « Je ne vais pas te le cacher, ta présence m’emmerde à cause de cette histoire d’article que je t’ai volé et puis de nous deux. Je n’ai pas envie que les autres sachent, autant pour l’un que pour l’autre, et plus vite tu seras partie, et moins longtemps j’aurais cette épée de Damoclès au-dessus de la tête » et fit demi-tour pour rejoindre son bureau, puis s’arrêta en chemin, se retournant vers elle à nouveau « Mais je faisais aussi ça parce que j’aime bien t’emmerder, tout simplement ». Il lui sourit avec presque douceur « Bonne nuit Maddie » et retourna vraiment à son bureau.
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Charly
Dim 2 Jan - 12:24
Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Madison était quelqu'un de franc. Lorsqu'elle avait merde à dire à quelqu'un, elle ne passait généralement pas par quatre chemin. Elle avait finement joué cet après midi. Elle était fière de son attitude face à tout ça. Après tout, elle était parvenue à avoir des félicitations de la part d'Elijah. Non pas que ça la flattait, mais ça lui faisait surtout plaisir parce que ça avait du lui écorchée la bouche de dire ces mots. Surtout à elle ! Néanmoins, avant de quitter les bureaux, elle décida de mettre quelque peu les choses au clair. Alors elle annonça direct la couleur, avant de partir en direction de l'ascenseur.
Elle venait d'appuyer sur le bouton lorsqu’elle entendit la voix d'Elijah. Maddy posa son regard sur lui, et haussa les sourcils. Wahou… il voulait vraiment, vraiment qu’elle dégage au plus vite. Ça n'était pas ce qu'avait dit Jeffrey. « - J'ai pas envie de partir. Je le veux ce job. Et tu sais très bien que j'ai toutes les compétences requises pour. Je ne peux pas rester. C'est totalement différent. Je reste un mois, histoire de faire une ligne dans mon cv et quelques contacts dans le milieu. » et surtout pour la lettre de Jeffrey mais au vu de la conversation, elle commençait à avoir un doute à ce sujet.
Ce qu'il avoua ensuite la fit sourire, avant qu'elle ne baisse les yeux pour regarder ses talons. « -d'accord. T'es un joueur de poker à chier. Non parce que… t'es au courant qu’en gros tu viens de le dire que je suis une menace pour toi ? » elle regarda les chiffres défiler : « -je vois pas ce que ça ferait si le monde entier était au courant qu'on a passé une nuit ensemble y'a cinq ans. A moins que Britney ? » elle avait du mal à retenir les prénoms, surtout ceux des autres femmes. « -sois jalouse. Mais bon ya prescription. » les portes s'ouvrirent et elle lança pour toute réponse : « -mais oui bien sur, c'est ça. » ne croyant pas trois secondes à ce qu'il venait de dire. Puis elle quitta l'immeuble pour rentrer chez elle. Longue journée, grosse fatigue… le lendemain matin, elle assista au briefing et elle ne pu s'empêcher encore une fois de se dire que tout ça, c'était du déjà vu. Et que c'était dommage. Une semaine passa, puis une autre…
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