“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Ven 4 Fév - 22:15
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah aurait pu se limiter à un simple message et rentrer chez lui après sa promenade nocturne, en compagnie de sa bouteille de scotch. Il aurait pu, mais n’en fit rien. Au contraire, le journaliste décida de se rendre jusqu’à l’appartement de Madison pour lui expliquer les raisons de son départ inopinée de la soirée, et cela, de vives voix. Après tout, il avait insisté pour qu’elle vienne à cette soirée et l’avait lâchement abandonné à la suite de dispute avec Brittany. Il lui devait donc des explications. Il n’avait plus réellement conscience de l’heure qu’il était et lui demanda l’hospitalité pour la nuit, parce qu’il ne souhaitait pas être seul ce soir. Madison aurait pu refuser, mais elle n’en fit rien et il souffla un « merci » sincère alors qu’il entrait chez elle, sa bouteille de scotch toujours à la main, mais dont il ne voulait plus. Un maigre sourire quand son hôte accepta de lui faire couler un café et s’approcha du comptoir, se délesta de son fardeau à peine entamé et leva son regard sur la belle brune, se rendant compte qu’elle était en tenue pour rejoindre les bras de Morphée. Il aurait dû penser qu’elle avait envie de dormir plutôt que de l’écouter, mais elle ne le mit pas à la porte pour autant, au contraire. Cela fit sourire le journaliste qui souffla tout de même « Désolé, je n’ai pas fait attention à l’heure… » parce qu’il n’avait eu de cesse de penser à cette fin de soirée catastrophique.
Sans attendre la moindre question de la belle brune, Elijah lui expliqua le déroulé de la fin de la soirée, et le premier commentaire de Madison fut piquant pour le quadragénaire qui rétorqua « Tu sais que je suis resté avec elle presque huit mois… ». Une gorgée de café et poursuivit son monologue, entrecoupé par les réactions de Madison « Parce qu’elle pensait qu’on avait une aventure et que c’était pour cela qu’elle s’est envoyée en l’air avec Carl. J’avais envie de lui rabattre son caquet » et il y était parvenu, d’une certaine manière. Parce qu’entre eux deux, Elijah n’était pas le plus salaud. Ce statut revenait amplement à Brittany après sa brève aventure dans les toilettes des hommes. « Elle ne boit pas excessivement… Je pense juste qu’elle a vu ce qu’elle avait envie de voir pour se rassurer ou je ne sais trop ». Dans tous les cas, il n’était pas amoureux de la belle brune. C’était seulement son amie. Rien de plus. Rien de moins. Mais en attendant, il avait mal de la tromperie de Brittany et il se sentait stupide d’éprouver cela alors qu’il ne l’aimait même pas. Il était peut-être temps de partir finalement et de laisser Madison dormir. Il récupéra donc son fardeau et se dirigea jusqu’à la porte d’entrée, jusqu’à ce que Madison ne le retienne « Mais… » et se résigna à poursuivre sa phrase, lui laissant prendre la bouteille, et fronça les sourcils « Maddy… », mais se laissa conduire jusqu’à sa chambre malgré tout, sa main dans la sienne.
Elijah quitta ses chaussures ainsi que sa veste de costume, puis prit place au-dessus des couvertures, sa tête sur l’oreiller et ses mains croisées sur son abdomen. Il tourna la tête en direction de la belle brune et se mit à sourire devant sa tentative de le rassurer « Tu as raté ta vocation de psychothérapeute » et fixa le plafond brièvement et la laissa poursuivre. Il tourna à nouveau la tête vers Madison et acquiesça. C’était ça. Il venait d’être pris pour un con alors que de son côté, il avait résisté au nom de ses principes. Il poussa un soupir et ajouta « Le pire, c’est que quand je suis allé pisser, je les entendus baiser et j’ai souris en pensant que c’étaient d’autres collaborateurs… » il posa ses mains sur son visage un instant et les reposa sur son ventre « Je me demande bien à quoi ça sert d’avoir des principes quand, au final, tu es pris pour un con… ». Il tourna à nouveau la tête vers la belle brune et lui sourit « Tu dois être fatiguée et je t’embête avec mes histoires ». Il se redressa et ajouta « Je peux enlever mon costume. Enfin, je ne vais pas dormir nu, mais… Enfin tu vois » et retira sa veste et son gilet de costume, déposant le tout sur une chaise dans un coin, ainsi que son pantalon et sa chemise, se retrouvant en boxer et débardeur, puis regarda la belle brune « Je vais garder le pantalon tout fin de compte » et remis son pantalon, avant de se glisser sous les draps « Merci de ne pas m’avoir laissé sur ton palier ».
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Charly
Sam 5 Fév - 10:05
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Après le message qu’elle avait envoyé, Maddy avait attendu une réponse. Mais pas de voir Elijah planté devant sa porte d’entrer. Elle n’allait pas le laisser là et donc lui offrit le café qu’il demandait sans avoir le temps de poser la moindre question. La révélation fut un peu comme un choc. Et forcement elle ne fit pas dans la dentelle. « -oui pardon. » répliqua t elle sans la moindre sincérité. Huit mois ou pas, pour elle ça restait une relation de merde. Mais il avoua avoir balancé l’info qu’il ne fallait pas. Maintenant le monde entier allait être au courant pour eux deux. Et même si ça datait de cinq ans, pour tout le bureau, c’était le scoop de l’année ! Sur le coup, elle ressentit une certaine pointe de colère : « -et tu pouvais pas trouver un autre moyen de le faire ?! » rah oui, ça la contrariait. Jeffrey devait déjà se frotter les mains de savoir enfin ce qu’il y avait entre eux ! Elle se passa une main sur le front, qui termina dans ses cheveux, l’autre sur sa hanche, comme si elle réfléchissait aux conséquences que cela allait avoir. Pour elle surtout ! « -je t’avais dis d’aller lui parler. Tu as voulu attendre. » bon d’accord, ça n’était peut être pas le moment de lui dire que c’était bien fait pour lui. Cela faisait déjà au moins deux semaines qu’il aurait dû mettre fin à leur relation.
Forcement il voulu prendre la fuite mais même si elle savait qu’elle n’était pas la meilleure pour des conseils sur le sujet, elle ne préféra pas le laisser rentrer chez lui. Simplement parce qu’il y avait une sorte d’amitié entre eux maintenant et qu’elle se sentait mal pour lui. « -tu ne rentres pas chez toi. » ajouta la jeune femme sans se retourner, le traînant derrière elle. Bon il ne résista pas plus que ça non plus ! Un sourire après avoir remonter la couette sous son menton – autant éviter la tentation - « -ouais je sais, je suis pas douée pour ça. » un sourire amusé. Elle en avait un peu marre de le voir mal. Après tout il avait ce qu’il voulait non ? Il était libre ?! D’accord ça ne s’était pas fait de la façon qu’il souhaitait. Mais le résultat était presque le même. Elle fronça les sourcils et demanda : « -t’as pas reconnu que c’était elle ? » oui encore une fois la question était un peu déplacée, pas du tout réconfortante mais elle s’imaginait qu’après huit mois de relation basé sur le sexe, il savait reconnaître les soupires et les cris de bien être de Brittany. Mais peut être qu’elle se trompait. Maddy haussa les épaules toujours souriante : « -ça prouve que c’est toi le type bien dans l’histoire... » et ajouta : « -simple hypothèse. » un nouveau haussement d’épaules avant de froncer les sourcils et de se foutre de sa gueule : « -oh oui je meurs de fatigue et tu m’ennuie au plus haut point. » elle lui sourit à nouveau en ajoutant un : « -pas de souci. » et forcement, elle le regarda se déshabiller.
Enfin elle finit par s’allonger en regardant le plafond, en tentant se demandant pourquoi est ce qu’elle appréciait autant ce moment, de le voir chez elle… Ce qu’il avait dit au sujet de Brittany fit écho à sa mémoire. Amoureuse ?! Pff non !! ça arrivait aux autres ça. Et surtout pas à eux ! « -non enlève le c’est bon. Je vais pas te sauter dessus parce que tu es en boxer ! Tout comme je n'enfilerais pas une combinaison de ski!» mais elle évita tout de même de regarder, se tournant pour éteindre la lumière « -de rien. J’avais pas envie de t’entendre gratter à la porte toute la nuit. De la pitié. De la pure pitié. » les rideaux n’étaient pas tirés, ils se voyaient dans la pénombre. Alors il pouvait très bien voir qu’elle se foutait de lui à nouveau. Le lendemain ils ne bossaient pas. Deux jours de weekend pour prendre du recule, oublier, assimiler. Elijah irait mieux lundi. Mais elle finit par demandé parce que la curiosité était trop forte : « -y a du monde qui a entendu votre dispute ? Je veux dire… enfin non, forcement elle va le dire à tout le monde. » elle ferma les yeux et souffla un : « -fais chier... » plus pour elle même. Un léger silence et elle tourna à nouveau la tête vers Elijah : « -je suis désolée. Que ça se soit finit comme ça. C’est en partie à cause de moi donc… je suis désolée. » et qu’il ne dise pas le contraire. C’était clairement à cause d’elle et de la relation qu’ils entretenaient que Brittany avait finit par faire n’importe quoi.
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Sam 5 Fév - 14:51
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah pencha légèrement la tête alors que la belle brune lui reprochait de s’être montré peut-être un peu trop bavard les concernant, et rétorqua comme si ça coulait de source « Je venais d’apprendre que ma copine venait de me tromper à l’instant dans les toilettes pour homme. On va dire que ma capacité de réflexion en a pris un coup ». Il était juste amer et en colère qu’elle ait pu lui faire ça, et tout cela, parce qu’elle s’imaginait qu’il était allé voir ailleurs durant leur relation. Enfin, si l’on pouvait cela ainsi. Donc le journaliste n’avait pas vraiment réfléchi aux conséquences de ses paroles. Un soupir passa la barrière de ses lèvres alors qu’il posa ses mains sur le comptoir, la tête baissée entre ses épaules « Je sais… ». S’il lui avait parlé en temps et en heure, rien de tout cela n’aurait eu lieu. Il ne serait pas en train de s’apitoyer sur son sort dans la cuisine de Madison, et elle serait sûrement en train de dormir à poing fermé. Ou alors, ils seraient en train de s’envoyer en l’air dans toutes les pièces de l’appartement. Cette pensée lui tira un petit sourire et releva la tête vers la belle brune qu’il était venu déranger au beau milieu de la nuit. Néanmoins, ce n’était pas pour autant qu’il opposa la moindre résistance quand Madison lui demanda de rester avec elle cette nuit, et s’était laissé entraîner par cette dernière jusqu’à sa chambre à coucher.
Entièrement vêtu de son costume, Elijah prit place sur la couverture de Madison, et tourna la tête vers cette dernière « C’est gentil d’essayer » et fixa à nouveau le plafond blanc de la chambre. Il tourna de nouveau la tête vers la belle brune alors qu’ils poursuivaient la conversation, et se mit à rire doucement « ça fait longtemps que je ne l’ai pas entendu crier, si tu veux tout savoir et… Je pense que je n’avais pas envie de réfléchir à ça ». Après tout, Elijah était à milles lieux de penser que sa copine se faisait baiser par son collaborateur dans les toilettes pour homme du bar dans lequel ils étaient. De nouveau, son regard se dirigea vers le plafond, souriant avec douceur devant les paroles rassurantes de Madison, et posa ses yeux sur elle « Qui aurait cru cela possible ?! ». Lui qui avait construit sa réputation sur sa capacité à être un connard, c’était ironique qu’il se retrouve à être le type bien dans cette histoire. Un nouveau petit rire alors qu’il se levait du lit pour ôter ses vêtements « C’est toi qui as toujours aimé parler de Brittany ». Il le lui avait même fait remarquer plus d’une fois.
Elijah remit son pantalon, se disant que c’était peut être inappropriée de se retrouver en boxer et débardeur dans le même lit que la belle brune, et haussa les sourcils d’étonnement quand elle l’autorisa à le retirer. Il se mit ensuite à rire et retira son pantalon de costume « Et moi qui pensait que tu ne pourrais pas résister » et la rejoignit sous les draps. C’était étrange tout de même cette situation. Ils n’avaient pas bu à outrance comme la fois dernière. Ils avaient les idées claires et allaient se coucher comme un couple qui était ensemble depuis quelques temps maintenant. Il la laissa éteindre la lumière tout en riant doucement, rétorquant sur un ton léger « Je n’en attendais pas moins de toi » et fixa à nouveau le plafond, ses mains posées sur son ventre « Non. Elle n’ira pas se vanter de quoi que ce soit. Elle vient de tromper le patron avec Carl. Je pense qu’elle va se montrer discrète sur le sujet ». Il tourna la tête en direction de la jeune femme et refixa de nouveau le plafond, laissant un léger silence les envelopper, jusqu’à ce que Madison reprenne la parole, se sentant responsable de ce qui s’était passé. Le quadragénaire se retourna vers elle, enfonçant son coude dans l’oreiller et posa sa tête contre son poing, relevant légèrement sa tête au-dessus de celle de la belle brune « Arrête de dire des conneries. Tu m’as empêché de faire une connerie. On ne l’a pas poussé dans les toilettes avec cet abruti », et dégagea une mèche de cheveux du visage de Madison, ajoutant avec douceur « Tu n’as pas à te sentir responsable, et puis comme ça, c’est fait. J’aurais juste préféré que ça se déroule dans de meilleures conditions, mais l’issue est la même, je ne suis plus avec Brittany et c’est tout ce qui m’importe ». Il caressa sa joue du dos de sa main et se laissa tomber sur le dos, non sans continuer de fixer la belle brune « Je te laisse dormir sinon tu vas être grincheuse demain matin ».
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Sam 5 Fév - 20:31
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -je suis au max là... » ouais s’il voulait plus de compassion ou une épaule sur laquelle pleurer, il fallait qu’il aille voir quelqu’un d’autre. Parce que clairement elle ne savait pas vraiment s’y prendre pour tout ça. Surtout que ce qu’elle en pensait, était déjà sortie de sa bouche dans la cuisine. Elle lui avait dit d’aller parler à Brittany. Et il avait voulu attendre. Maintenant, il n’avait plus qu’à prendre son orgueil et son égo, et les mettre de côté. Ou leur dire d’arrêter de pleurer ! « -et moi je pense que ça fait longtemps que tu aurai dû la larguer. » comment remettre le couteau dans la plaie. « -mais ouais en même temps, j’imagine que tu t’y attendais pas. » une légère grimace en disant cela, complètement détaché. « -certainement un paquet de monde. » répondit Maddy du tac au tac en le fixant du regard quelques instants, voulant bien qu’il comprenne qu’elle n’avait pas cette opinion de lui. « -aimer ? Je suis pas certaine que ça soit le bon mot. » ils avaient toujours parlé d’elle parce que c’était… l’obstacle ? Entre eux. Le hic au milieu de leur retrouvaille.
« -c’est bon arrête, on est assez grands non ? » clairement ce soir, ils n’avaient pas la tête à ça. Et puis elle le prendrait certainement mal s’il tentait quoi que se soit. Elle n’était pas le lot de consolation ou un truc dans le genre. Pour le moment, elle lui offrait simplement un peu d’amitié. Rien de plus. Et elle était certaine qu’il avait très bien compris. « -qu’elle se vante ou non, je suis certaine que des oreilles ont entendu. Et puis ça va, Carl c’est pas non plus machin là de la compta. Tu sais celui qui a les cheveux gras et qui sent la transpiration. » une horreur ! En soit Carl était dans la moyenne. Même si il n’était pas du tout au goût de Maddy. « -en soit y’a prescription. C’était y’a cinq ans. Et puis on les emmerde les gens. Ouais on les emmerde. » elle se parlait toute seule. Histoire de se convaincre que ça n’allait pas faire effet boule de neige.
Puis elle tenta de montrer un peu de compassion, sachant qu’elle était en partie responsable de tout ça. « -je te parle pas de ça. Je te parle de la dégradation de la relation avec elle, de vos prises de têtes, de sa jalousie et de ton désir absent. » évitant de se focaliser sur la caresse de sa main sur sa joue. « -oui tout à fait… attends quoi ? Je suis pas grincheuse le matin ! N’importe quoi ! Et puis d’abord demain c’est repos donc… » elle ouvrit de grands yeux avant d’ajouter : « -donc je vais pouvoir me reposer ! » ahah ! l’argument de choc ! Cela lui fit aussi prendre conscience que demain, ils n’avaient aucune raison valable de sortir d’ici. « -bonne nuit. » ajouta t elle sans pour autant fermer les yeux.
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Sam 5 Fév - 21:01
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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« Je ne veux pas de ta pitié de toute manière » rétorqua-t-il avec un sourire amusé sur les lèvres. Cela faisait écho à leur conversation au mariage. Si Madison n’avait pas souhaité, à l’époque, de sa pitié, il en était de même pour lui aujourd’hui. Il n’avait jamais réellement apprécié ce sentiment, trouvant cela dévalorisant et dégradant. Elijah préférait la bienveillance mesurée de la belle brune à une compassion dégoulinante. « Tu sais que tu radotes ?! » et ajouta « Je sais bien que j’aurais dû la quitter depuis longtemps… C’est bien fait pour ma gueule à vouloir garder un plan cul sous la main ». Le journaliste poussa un soupir, se rendant compte que Madison avait raison. Il aurait dû la quitter depuis bien longtemps, s’ôter ses chaines encombrantes et reprendre sa vie de célibataire en tablant que sur des coups à court terme. Il tourna la tête vers la jeune femme à ses côtés et se mit à sourire « Pas vraiment, non ». Surtout que d’après les signes que Brittany lui avait envoyés, elle était tombée amoureuse de lui et généralement, on ne trompait pas les gens qu’on aimait. Finalement, ce n’était pas lui qui avait le mauvais rôle dans cette histoire, ce qui devait en étonner plus d’un comme le confirma Madison « Et toi ? ». Parce que l’opinion des autres, Elijah s’en moquait, mais c’était différent avec celle de la belle brune.
Il haussa les épaules et rétorqua « C’est une manière de parler. Je n’ai jamais vraiment compris pourquoi tu n’arrêtais pas de me parler d’elle en y pensant… » et tourna la tête vers Madison, se demandant si elle avait la réponse ou si c’était son subconscient qui souhaitait lui rappeler qu’il n’était pas seul. Il se leva ensuite du lit pour retirer son costume et se mit à rire doucement « Ça dépends des moments » et revint dans le lit, se glissant sous les draps de la belle brune « De toute manière, je n’ai pas la tête à quoi que ce soit ce soir » sauf à dormir. Il plissa les yeux en regardant fixement la jeune femme « Tu as vraiment un problème avec les prénoms. Il s’appelle Fred ». Et en effet, elle aurait pu trouver pire que Carl. Ou elle aurait pu rien trouver du tout et laisser le journaliste la quitter comme c’était initialement prévu « En tout cas, si les gens ont des oreilles comme tu le prétends, ça veut dire aussi qu’ils ont entendu qu’apparemment, nous sommes fous l’un de l’autre » et ça, ça ne l’arrangeait pas vraiment. Parce que c’était faux. Il n’était pas amoureux de Madison. Ce n’était pas parce qu’on aimait passer du temps avec une personne, qu’on souriait toujours en sa présence, et qu’on la désirait plus qu’une autre femme qu’on était amoureux. L’amitié, ça fonctionne aussi… « Tu essaies de te convaincre là ?! » répliqua-t-il en se foutant quelque peu de sa gueule alors qu’il tournait la tête vers elle.
Le journaliste se tourna sur le côté et suréleva légèrement sa tête lorsque Madison se fustigea presque de cette situation. Il n’était pas d’accord avec ce qu’elle pouvait raconter. Elle n’était pas responsable de la tromperie de Brittany « Je suis le seul responsable de mes actes. J’aurais dû la quitter depuis bien longtemps, comme tu l’as si bien dit et tout cela ne se serait jamais produit » et caressa sa joue avec douceur, comme pour atténuer les paroles de la belle brune « Je suis certain que tu peux l’être si tu ne dors pas assez ! » tout en retirant sa main, se laissant retomber sur le dos « Bonne nuit à toi aussi Maddy » et se tourna sur le côté, dos à la belle brune, et finalement se retourna face à la belle brune « Tu ne dors pas ? » murmura-t-il comme s’il craignait de réveiller quelqu’un alors qu’ils n’étaient que tous les deux. Il posa sa main sur ses yeux, pour lui faire fermer les paupières et se mit à rire doucement « Dors » et ferma ses propres paupières, tombant rapidement dans les bras de Morphée.
Elijah ouvrit les yeux qu’au petit matin en sentant quelque chose lui chatouiller les narines, et eut un léger recul, avant de se rendre compte qu’il s’était blottit tout contre le dos de Madison, ses bras autour de la jeune femme. Il se mit à sourire et se redressa à peine, sans bouger le reste de son corps. Elle dormait toujours. Un regard pour le réveil. Il était presque midi. Le quadragénaire hésita un instant à rester ainsi, puis décida de se lever tout en douceur. Il enfila rapidement son costume et ses chaussures et se rendit à la boulangerie du quartier pour ramener, comme la fois dernière, le petit-déjeuner. Il servit deux verres de jus d’orange, disposa les viennoiseries dans une corbeille et servi deux cafés chaud, tout en veillant à faire le moins de bruit possible. Lorsque le tout fut prêt, il se dirigea jusqu’à la chambre, pris place sur le rebord du lit et dégagea le visage de Madison de quelques cheveux avant de poser sa main sur son épaule, caressant sa peau de son pouce « Maddy… Eh… Maddy, réveille-toi. Le petit-déj’ est prêt » puis lui sourit avec douceur « Je suis sûr que tu as faim et tu ne dormiras pas ce soir si tu continues comme ça ».
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Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -oui je sais, mais c’est ta faute aussi, tu ne m’écoutes pas ! » si il l’avait fait, il ne serait pas là en train de se morfondre sur son sort et d’en vouloir à Brittany pour son acte. Même si d’accord c’était petit, et ça ne faisait jamais plaisir, techniquement ils n’avaient pas été blanc comme neige… « -tu peux pas non plus dire qu’elle est folle. Parce que y’a du vrai là dedans. » elle lui sourit amusée et ajouta pour le faire chier : « -t’es love de moi. » avant de se mettre à rire. « -oh ça va autant en rire de tout ça non ?! » parce qu’elle ne voulait surtout pas qu’il vienne pleurer comme un bébé sur son épaule. Stop ! Elle préférait de loin lorsqu’ils se foutaient l’un de l’autre voir même quand ils s’engueulaient ! La question suivante fut sérieuse. Enfin le ton qu’Eli venait de prendre était plus que sérieux. « -c’est important ? » demanda Maddy qui n’avait pas envie de se justifier ou de devoir lui confier à voix haute qu’elle avait changé d’opinion sur lui. Elle l’avait détesté pendant cinq ans, aujourd’hui… c’était bien différent.
« -peut être pour éviter que tu fasses de la merde. Et que justement tu deviennes le connard finit que tu ne voulais pas être. Parce que c’était elle la seule barrière entre nous. Et que finalement malgré tout ça tu te sens mal quand même ce soir ! » elle plissa les yeux : « -ça te va comme réponse ? » avant de tourner la tête vers le plafond. Étrange conversation alors qu’ils allaient partager le même lit. « -hé bien c’est parfait ! » ajouta Maddy alors qu’il disait ne pas avoir la tête à s’envoyer en l’air avec elle. Parce que oui, c’était de ça qu’il s’agissait. Et c’était tant mieux. Parce qu’elle ne voulait pas non plus. Ils allaient dormir. Point final. « -Fred ! Ouais c’est ça ! Fred la frite ! Parce que… parce qu’il a les cheveux gras. Enfin tu avais compris. » une petite grimace avant de revenir sur l’aveu qu’Elijah avait fait sur leur relation. « -oui mais ça on s’en fou c’est des conneries ! Moi j’en reviens toujours au fait qu’ils vont tous penser que j’ai eu mon poste pour une histoire de cul ! » elle tourna la tête vers lui : « -et oui je ramène tout à moi je sais ! » puis elle fixa le plafond et tenta de se convaincre que personne n’allait se faire des films. « -oui exactement. » chuchota Madison sans le regarder, mais souriante malgré tout.
« -je dis juste que si je n’étais pas revenue dans les parages, tu serais sans doute encore avec, tu n’aurai pas douté de votre relation, tu n’aurai pas eu envie d’une autre qu’elle, pas de souci de performance ni de frustration... » c’était la vérité. Elle était l’élément perturbateur dans sa vie. Alors c’était permis qu’il puisse lui en vouloir, même un tout petit peu. « -bon d’accord, si je ne dors pas assez oui… » elle lui souhaita une bonne nuit avant de rire lorsqu’il posa sa main sur ses yeux. « -dors bien Eli... » et elle se tourna sur le côté avant de s’endormir assez rapidement.
Au matin, elle eut du mal à ouvrir les yeux lorsqu’elle entendit la voix d’Elijah. « -hum… » marmonna t elle en levant les bras haut dessus de sa tête. « -le petit déj… tu... » elle pencha la tête sur le côté avant de se redresser sur les coudes. « -pourquoi quelle heure est il ? » mais là tout de suite, elle s’en foutait un peu… Parce qu’en le voyant là, avec sa tête du matin, elle ne trouva super sexy et elle souffla un : « -tu as raison je meurs de faim... » son esprit ne parlait pas de café ou de croissant, mais bien de lui. Après tout maintenant il n’y avait plus aucune raison de résister à quoi que se soit. Alors elle agrippa le col de sa chemise et l’attira à elle pour l’embrasser avec envie. Une envie trop longtemps refoulée. Pourtant pas de précipitation dans son geste, seulement une envie de ses lèvres, d’être proche de lui. C'était peut être trop tôt. Ou pas. Elle suivait juste son envie du moment.
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Dim 6 Fév - 13:35
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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S’il avait quitté Brittany au moment venu, tout aurait pu être différent, mais il avait souhaité attendre encore un peu, et cela, parce qu’il n’avait qu’un coup de fil à passer pour s’envoyer en l’air. Madison avait raison et il le savait. Alors il se mit à sourire, lui faisant ainsi comprendre qu’il était conscient qu’il avait merdé dans toute cette histoire. Il aurait dû tout arrêter lorsqu’elle avait montré les premiers signes de jalousie et que, de son côté, il avait montré un trop grand intérêt pour la jeune femme allongée à ses côtés. Il se mit à rire et tourna la tête vers elle « Tu as raison, je suis totalement amoureux de toi, tu es la femme de ma vie » et acquiesça « Oui, c’est mieux ». Il valait mieux rire de tout ça plutôt que de s’apitoyer sur son sort. C’était seulement son égo d’homme qui ne supportait pas d’être trahis, parce qu’il ne l’aimait même pas cette fille. Alors pourquoi finir dans un tel état si ce n’était pas seulement par fierté ?! Mais au moins, on ne pourrait pas le désigner comme le salopard de l’histoire, même si c’était l’opinion de beaucoup. Mais qu’en était-il de la belle brune ? Il lui demanda et lui répondit avec ce même sérieux qui l’habitait soudainement « Oui ». Étonnement, il se moquait bien de l’opinion des gens qui l’entourait, parce qu’il avait toujours mené sa vie sans y prêter la moindre attention, mais c’était différent avec Madison. Il n’avait pas envie qu’elle le voie comme les autres…
Elijah se mit à rire malgré le sérieux de leur conversation « Oui, ça me va ». Elle avait été son garde-fou contre son envie d’aller plus loin avec elle. Madison l’avait maintenu dans le droit chemin au nom de ses principes. Cela le fit sourire avec douceur alors qu’il se mettait en tenue pour dormir et acquiesça, tout en se glissant sous les draps. Il leva les yeux au ciel tout en entendant le surnom du type de la comptabilité, rétorquant avec amusement « Oui, oui, j’avais compris ». Il ne voulait pas plus de détail, parce qu’il n’était pas certain de remanger des frites avant un moment après cette conversation. « Tu n’auras qu’à leur rappeler le mois en enfer que je t’ai fait passer quand tu es arrivée dans la boite. Si c’était vraiment pour le sexe que je t’avais embauché, j’aurais mené mon entreprise différemment ». Il aurait tout fait pour qu’elle ait envie de lui à nouveau. Or, il n’avait souhaité qu’une chose ce premier mois, qu’elle quitte la boite au plus vite. Il se mit à rire doucement « Ne t’inquiète pour ta réputation, ils auront bien trop à faire avec Brittany et Carl de toute manière ». Enfin, il l’espérait. Et le cas contraire, Elijah ferait en sorte de faire cesser les ragots pour que Madison ne se sente pas opprimée par ces derniers.
« Oh ! Oh ! Tu t’entends un peu là ?! Tu n’es pas bien ! Douter de ma relation ? Non mais je n’allais pas fonder une famille ou la demander en mariage. On se limitait seulement à s’envoyer en l’air et c’est tout ». Elle parlait de sa relation avec la jeune femme comme si c’était du sérieux, et qu’ils envisageaient un futur à deux. Hors de question. Il reprit avec sérieux « Tu m’as ouvert les yeux sur notre relation et sur le fait que je n’allais que causer du tort à Brittany à continuer ainsi. Et pour ce qui est de ma frustration et mes performances, je saurais me rattraper » tout en échangeant un regard entendu avec la belle brune. Mais en attendant, il était temps de dormir « J’en étais sûr ! » rétorqua-t-il comme s’il avait trouvé la réponse à une question primordiale et posa sa main sur les yeux de Madison, ce qui la fit rire, et lui aussi, « Toi aussi Maddy » avant de rejoindre les bras de Morphée.
Au petit matin, le journaliste avait hésité entre rester blotti contre la belle brune ou préparer le petit-déjeuner, et opta pour la seconde option. Il avait préparé le tout sur la table à manger avant de rejoindre la jeune femme dans le lit, souriant avec douceur en la voyant se réveiller « Il est midi passé » en jetant un rapide regard au réveil sur la table de nuit. Il reporta son attention sur Madison et n’eut le temps de rétorquer quoi que ce soit sur son appétit, que la belle brune se saisit de son col de chemise et l’attira à elle pour l’embrasser. Le journaliste lui rendit son baiser avec douceur, posant sa main sur sa joue, et retira ses chaussures avant de monter sur le lit, se plaçant sur elle, sans quitter ses lèvres. De l’autre main, il dégagea la couverture du corps de Madison et posa son bassin contre le sien. Le quadragénaire approfondi le baiser et caresse sa cuisse de ses doigts qu’ils firent remonter sous la nuisette de la jeune femme.
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Charly
Dim 6 Fév - 14:30
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -quel romantisme pour me l’annoncer ! » il valait mieux en rire. Ça évitait de se sentir mal, ou de se poser des questions inutiles. Au final, Elijah était libre de faire ce qu’il voulait avec qui il voulait. Plus besoin de barrière, plus besoin de distance ou de faire attention. Encore moins de mentir. C’était ce qu’il voulait à la base. Malgré la façon dont tout ça c’était déroulé, la conclusion était la même. Pourtant il sembla vouloir savoir ce qu’elle pensait de lui. Et cela semblait avoir de l’importance. « -d’accord... » articula Madison avec lenteur. « -je pense que tu prétends être beaucoup de chose que tu n’es pas. Et sous tes faux airs, t’es pas un connard finit. » voilà il avait sa réponse.
La situation était étrange. Il venait de s’installer dans le lit de Maddy, comme s’ils étaient en couple, et que leur conversation était la plus naturelle du monde. Pourtant, elle était contente qu’il soit venu. Au moins ils pouvaient en parler, et éviter qu’il ne rumine ça toute la soirée tout seul. Comme elle l’avait dit, elle était loin d’être psy et douée dans ce domaine mais c’était parfois appréciable d’avoir un autre point de vu. « -hé bonne idée ça ! » s’exclama Madison en le pointant du doigt comme s’il était un génie. « -ouais enfin les cons comme Jeffrey ne vont sûrement pas marché dans la combine dans ce sens là... » non ça c’était plus que certain ! « -je les emmerde. » souffla t elle ensuite comme si c’était la meilleure chose à faire. Mais c’était en partie de sa faute et malgré les dire d’Elijah, elle avait du mal à penser autrement. « -c’est pas ce que j’ai dis ! Je dis seulement qu’avant que je débarque, tu avais pas envie de t’en taper une autre ! Qu’avec elle ça suffisait. » elle tourna la tête vers lui en énonçant tout cela, et sourit à ce qu’il ajouta en évitant de répondre un : j’espère bien. « -tu me connais tellement par coeur ! » surjoua la jeune femme en riant comme s’ils étaient vraiment ces deux personnes amoureuses l’une de l’autre.
Finalement ils avaient à nouveau passé une nuit sagement allongé l’un à côté de l’autre ! Qui l’eut cru ! Midi passé ! Il l’avait laissé dormir, et il lui avait fait le petit déjeuner ! Et il est super canon au saut du lit ! Et ça faisait bien trop longtemps qu’elle en avait envie. Et pourtant ! Pourtant lorsqu’il glissa sa main sous sa nuisette elle détacha ses lèvres des siennes et dit : « -non attends ! » elle se redressa sur les coudes et ajouta : « -je sais c’est cruel et je te demande pardon, c’est entièrement de ma faute mais nous deux ça peut… c’est pas ça ! Le petit déj’, les tu es bien dormi. » non ! Non ! Eux deux ça marchait pas comme ça. « -ce qui est certain c’est que le problème ne venait pas de toi par contre. » oh que oui. Elle sentait parfaitement son désir contre elle. Pourtant elle posa sa tête dans l’oreiller en râlant. « -je suis désolée mais je… je veux pas leur donner raison. Tu comprends. Non forcement tu comprends pas puisque c’est moi qui vient de t’embrasser. Roh et j’ai tellement envie de recommencer… » ses lèvres s’élargirent en un sourire alors qu’elle s’était redressé sur les coudes à nouveau pour lui parler.
« -tu as vu le film Inception ? Ok… ba je veux pas que ça fasse pareil. Ce qu’elle a dit à notre sujet, c’est un peu une graine d’idée. Et je veux pas qu’elle germe dans notre esprit et contamine tout. J’ai pas envie qu’à chaque fois qu’on s’enverra en l’air, parce que ça va arriver, je te le promets. J’ai pas envie qu’on se demande l’un ou l’autre si elle avait raison. Si c’est en train de nous arriver. On est d’accord. Je veux pas de ça, toi non plus. Donc… » elle réalisa qu’il pouvait clairement la prendre pour une folle. Mais en même temps, il commençait à savoir qu’elle avait un grain ! « -tu comprends ce que je veux dire ou pas ? » elle s’était redressée dans le lit, jambes en tailleurs sous les draps, jouant avec le bout de ses cheveux qu’elle avait regroupé sur le côté gauche de sa nuque.
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Dim 6 Fév - 15:28
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah préférait prendre cette conversation avec légèreté et nonchalance, comme lorsqu’il venait de dire que la belle brune à ses côtés était la femme de sa vie. De toute manière, la dispute avec Brittany avait eu lieu, des paroles avaient été prononcées. Ils ne pouvaient plus revenir en arrière. Maintenant, il ne restait plus qu’à voir, lundi matin, les conséquences que cela aura engendré au sein de l’équipe du magazine. Mais pour le moment, le quadragénaire voulait juste plaisanter et se détendre « Je suis le genre d’homme qui sait mettre les formes ». Le jour où il serait amené à prononcer ce genre de parole, enfin si ce jour arrivait un jour, il saurait se montrer plus romantique ou au moins plus convainquant que cette nuit. Néanmoins, la légèreté du moment laissa place à un peu plus de sérieux et le journaliste baissa les yeux lorsque la belle brune tenta de mettre des mots sur l’opinion qu’elle avait de lui. Il eut un petit sourire nerveux et rétorqua « Peut-être que je ne le suis pas seulement avec toi… ». Avec les autres, c’était une tout autre histoire.
Elijah tapota sa tempe quand la belle brune trouva son idée plutôt bonne. Elle semblait assez appréhender l’opinion qu’allait avoir les autres collaborateurs au sujet de son retour au sein du magazine et de sa promotion. C’était légitime, mais le journaliste souhaitait amoindrir ses craintes. Parce que c’était probable que ces derniers ne se souviennent plus vraiment de la soirée et de ce qui avait pu être dit. Il ajouta avec un certain sérieux « Jeffrey, j’en fais mon affaire » parce qu’il savait qu’il saurait lui faire entendre raison. Un nouveau petit rire et hocha positivement de la tête tout en fixant le plafond. Il tourna de nouveau la tête en sa direction quand Madison lui confia être responsable de l’échec de sa relation avec la jolie blonde. Un point sur lequel Elijah n’était pas d’accord « Tu sais, parfois tu aimes ton travail jusqu’à ce qu’on t’en propose un autre, et tu remarques que celui d’avant n’était pas si génial que ça, tout fin de compte ». C’était la sensation qu’il avait eu avec l’arrivée de Madison, et ce n’était pas purement sexuel. Il l’appréciait davantage, il aimait passer du temps avec elle. Mais ça, il le passa sous silence. Ce n’était pas le sujet. Et puis il était temps de dormir.
En venant extirper Madison des bras de Morphée, Elijah ne s’était pas attendu à ce que cette dernière l’attire à lui et l’embrasse. Il ne s’était pas fait prier et avait rendu son baiser, et s’était même hissé sur le lit, prenant place sur son corps qu’il désirait tant, depuis tant de temps. Il glissa ses doigts sur sa nuisette et puis plus rien. Madison détacha ses lèvres des siennes, mettant fin au moment de manière assez brusque. Elijah déposa alors ses lèvres dans son cou jusqu’à ce qu’elle lui demande d’arrêter. Il se recula, les sourcils froncés « J’ai fait quelque chose qui ne fallait pas ? », se tenant au-dessus d’elle, puis se laissa tomber sur le côté. Il se passa une main lasse sur le visage avant de poser ses prunelles claires sur Madison, ne comprenant plus rien « C’est juste un petit déj’… » en étant complètement perdu. Puis il baissa son regard sur sa virilité tendue et acquiesça, tout en cachant le tout avec un morceau de couverture « Juste pour ça apparemment… » en faisant référence au discours qu’elle tenait sur le reste. Elijah se redressa sur ses coudes, la tête tournée vers Madison qui continuait de lui expliquer les raisons qui venait de la pousser à tout arrêter brusquement. Alors qu’elle souriait, lui, ce n’était pas le cas. Elle était en train de le repousser parce qu’elle se souciait de l’avis des autres, mais aussi que l’idée de Brittany ne croît dans leurs esprits et changent leur relation.
Elijah se leva du lit, se repassa une main lasse sur le visage tout en récupérant son gilet de costume qu’il avait délaissé sur la chaise et se tourna vers la belle brune « Non, je ne comprends pas vraiment Maddy. Tu m’as clairement fait comprendre que tu avais envie de moi, et voilà que tu arrêtes tout parce que tu ne veux pas donner raison aux autres… » et s’avança vers le rebord du lit « Tu sais pourquoi je ne fais pas de projets, parce que c’est impossible de connaître l’avenir. Tu m’aurais dit, il y a de ça cinq ou six mois, qu’on deviendrait amis, je t’aurais ris au nez. Je vis l’instant présent et je vois ce que ça donne ensuite. Mais toi, tu te soucies davantage du regard des autres et tu appréhendes un futur qui n’aura peut-être jamais lieu ». Il glissa une main dans la poche de son pantalon de costume alors que l’autre tenait son vêtement « Tu sais où me trouver si tu changes d’avis Maddy » et se pencha, volant un dernier baiser à la jeune femme, et s’éloigna.
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Dim 6 Fév - 16:18
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -oui… non ! Non ! » rah mais merde ! Qu’est ce qui lui prenait ?! Ça venait d’où cette vieille angoisse soudainement ?! Pourquoi est ce qu’elle redoutait ce qui pouvait se passer et que son cerveau se mettait à fonctionner à plein régime en produisant des scénario catastrophe ?! En réalité, s’ils venaient à tomber amoureux ça n’était pas la fin du monde non ?! Mais en même temps ça voulait dire, lui avouer la vérité sur sa vie personnelle, sa fille, la garde qu’elle avait laisser à Roy… Et là c’était son opinion à lui qui allait changer du tout au tout ! Et voilà ! Elle était en train de flipper ! Et de le repousser alors qu’ils allaient enfin oui enfin coucher ensemble ! Deux mois qu’ils repoussaient ça ! Deux mois qu’ils se chauffaient pour mieux se refroidir et voilà qu’elle venait à nouveau de le faire. Brutalement en plus de ça.
Lorsqu’il se leva, elle posa un regard désolée sur lui. « -mais j’ai envie de toi. » souffla la jeune femme alors que ses épaules retombaient. Hé merde ! Elle le laissa parler en cherchant intérieurement à se calmer et à comprendre pourquoi est ce qu’elle était en train de saborder leur partie de jambes en l’air. Trois secondes à rester dans le lit alors qu’il venait de sortir de la pièce et elle couru pratiquement derrière lui en lançant : « -ok très bien je suis conne et je me fou la pression toute seule ! » elle prit le café qu’il était allé chercher et en avala une grande gorgée avant de poursuivre le comptoir de la cuisine entre eux : « -je l’avais dis on en a trop parlé ! Et maintenant je me dis que » elle ferma les yeux avec force en ouvrant les mains devant elle : « -et si j’avais perdu en niveau ! T’as une souvenir de fou de notre nuit ensemble et.. et… et moi ça fait... » elle se mis à rire nerveusement : « -et moi ça fait des mois que… » elle se pinça les lèvres. Il fallait vraiment qu’elle le dise. Elle finit par soupirer en passant ses deux mains dans ses cheveux, le visage vers le plafond. Merde de merde de merde ! « -je suis désolée... » lâcha t elle à nouveau. « -je suis désolée, vraiment. » c’était plus simple quand elle n’était que le fantasme finalement. Elle le regarda les deux bras ballant, n’ayant plus d’excuses à lui fournir. Le baiser qu’elle lui avait donné… c’était peut être trop facile ou alors elle aimait se compliquer la vie. Mais la dernière fois qu’elle avait vraiment profiter de l’instant présent, comme il le disait, ça lui avait coûté son job et sa carrière. Et en plus de ça, lorsqu’ils avaient couché ensemble, elle avait bu ! Elle était sous l’euphorie du moment. Ils ne se connaissaient pas. Aucune des conditions n’étaient les mêmes.
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“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]