“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Manhattan Redlish
Ven 11 Mar - 20:57
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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« Je n’y ai jamais pensé. Je suis content de voir que tu es bien plus douce avec mon propre entrejambe » rétorqua-t-il avec son petit sourire espiègle sur les lèvres alors qu’il n’avait aucun mal à imaginer Madison se défendre. La belle brune avait un caractère bien trempé pour ne pas se faire emmerder par un mec. Puis il se mit à hocher lentement de la tête en se rendant compte qu’il n’avait pas envisagé les conséquences de ses actes, contrairement à la jeune femme « Tu as raison… Je n’y avais pas pensé… Je voulais juste te protéger » termina-t-il en haussant les épaules, et se mit à sourire « J’ai tendance à laisser tomber quand il faut parler » tout en appuyant sur les mots qu’elle détestait entendre de sa bouche, non sans esquisser ce petit sourire espiègle qui laissait apparaître ses fossettes. Eh voilà qu’elle se moquait de lui en évoquant son romantisme qu’il martelait ne pas avoir, parce qu’il n’avait jamais aimé cela. Les films à l’eau de rose et tout cela. Très peu pour lui. Pourtant, Madison semblait le changer sur ce point peu à peu, et elle aimait cela de surcroît, ce qui lui fit pencher la tête sur le côté « C’est vrai ? » et lui jeta une fringue au visage alors qu’elle se moquait de lui « Tout m’as manqué ! » souffla-t-il en lui rendant son baiser. Que ça soit sa manière de se foutre de lui, de lui faire l’amour, de lui sourire, de l’embrasser. Tout ça, lui avait terriblement manqué.
Mais au vu de l’annonce de la belle brune, il n’aurait plus l’occasion de connaître ce manque avant un moment car elle était prête à officialiser leur relation. Madison était prête à faire ce pas en avant avec lui et il était plus que ravi d’apprendre cette nouvelle « Et j’aime ça aussi » souffla-t-il tout en la regardant fixement avant de se mettre à rire « Tu plaisantes ?! La fille la plus canon du bureau accepte de devenir ma copine ! Ah bas les fantasmes des collègues ». Oui, ça allait en faire taire certains, et ce n’était pas plus mal. « Heureusement que tu as de meilleurs goûts en mec » en se désignant de la main alors qu’il la laissa se saisir de son verre. Il laissa ensuite glisser son regard sur elle quand elle évoqua leur entente au lit, et croisa son regard « En effet ! Mais j’aime l’idée d’expérimenter de nouveaux endroits au bureau », sans le regard des collaborateurs, bien évidemment. Il porta ensuite son verre à ses lèvres et haussa les épaules pour seule réponse en attendant de finir sa gorgée et posa son verre sur le comptoir « Non, pas besoin de communiqué officiel, mais je souhaitais seulement faire une mise au point sur le fait que tu n’avais jamais eu de traitement de faveur ». Elijah souhaitait que ce point soit bien clair dans l’esprit de ses collaborateurs. Il baissa ses yeux sur ses lèvres en O et rétorqua « Tu sais que ça m’excite quand tu fais ça avec ta bouche » avant de rire « Bah quoi ?! C’est toi qui as dit que tu aimais les mecs romantiques. C’est joli non ? » en se moquant un peu d’elle alors qu’il avoua qu’il était tout de même ravi de sa décision « C’est parce que c’est sincère » et termina son verre avant de payer l’addition et de marcher avec elle dans le parc illuminé par les réverbères alors que la nuit tombait peu à peu. Il retira sa veste pour la poser sur ses épaules « Je ne pensais pas que ça s’était rafraichi autant » et glissa sa main dans la sienne « Il n’y a personne, j’ai regardé » en lui souriant avec douceur et ajouta « Bon… Maintenant qu’on a couché ensemble, et qu’on a décidé d’être officiellement en couple, j’ai besoin de savoir un truc : Est-ce que tu es vraiment née à LA ?! Parce que ta sœur qui se perd dans un ranch n’a aucune logique pour une nana qui nait en Californie ».
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Charly
Ven 11 Mar - 22:08
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -et bien dis moi, tu ne penses pas à grand-chose on dirait ! Heureusement que je suis là ! » oh c’était si bon de retrouver cette complicité. Tellement facile de se foutre de lui, surtout lorsqu’elle était sur sa lancée ! « -ah… ah… sauf que ça maintenant c’est exclus. Je ne veux plus entendre ça. En tout cas si tu t’adresses à moi. » oui parce que ça avait une nette tendance à la mettre hors d’elle. Il en avait fait les frais. Elle imaginait qu’il avait sans doute compris la leçon. Et de son côté, elle espérait vraiment que cela ne se reproduirait pas de si tôt. Parce qu’à cause de ça elle se mettait à bien trop cogiter, et puis ça lui créait des angoisses, des doutes. Enc conclusion ça n’aidait en rien la situation. « -arrête de croire que je me fou tout le temps de ta gueule, y’a du sérieux parfois dans ce que je dis ! » répliqua Maddy en riant en même temps. « -à moi aussi... » clairement elle avait l’impression de bien mieux respirer maintenant que les choses étaient réglées.
Enfin, il en restait une et elle s’employa rapidement à éclaircir le sujet. C’était un oui. Un oui pour eux deux. Un vrai eux deux. Au grand jour. Une véritable relation de couple. Peu importait les réactions, les bruits de couloirs ou ce que pouvait penser leurs collègues. Elle ferait avec. Elle ferait la sourde oreille, comme elle savait si bien le faire parfois. Madison avait envie d’écouter la voix de Maya dans sa tête. Elle s’autorisait le droit d’être heureuse avec Elijah. « -ta copine ? On est plus au lycée ! » se moqua gentiment la belle brune. « -ta… » mais elle ne trouva pas le mot qu’il fallait. « -je sais pas trop en fait… mais heu.. je vais chercher. » ajouta t elle alors en prenant sa paille entre les lèvres. « -n’importe quoi ! Laisse mon verre tranquille s’il te plais pas ! » avant d’ajouter : « -mais j’ai toujours eu bon goût. Pour les mecs. » enfin suivant son point de vu. Kim ne serait sans doute pas de cet avis. En critère de beauté oui, mais pour le reste… elle avait une nette tendance à choisir des hommes compliqués.
« -que tu fasses une mise au point où non, il y en aura toujours qui vont médire de toute manière. » conclue Madison avec un haussement d’épaules, même si elle trouvait très noble de la part d’Elijah de vouloir faire la lumière sur ce point. « -de quoi ? Ah ça ?! Je le fais souvent et s’en m’en rendre vraiment compte… mais je note... » un sourire en coin avant d’ajouter : « -bien sur ! J’ai pas dis que ça ne l’était pas. Au contraire. Je suis pas… » elle se pinça les lèvres avant d’ajouter : « -je suis seulement pas vraiment coutumière de ça. De pouvoir compter sur quelqu’un. » elle appréciait vraiment l’idée. Restait à voir si elle serait capable de se raccrocher à lui dans les moments compliqués. « -alors ça si c’est pas du romantique à l’état pur ! » claqua Maddy alors qu’il posait sa veste sur ses épaules. « -tu ne viendras pas te plaindre si tu prends froid ! » oui de son côté, elle ne l’était pas du tout ! Où bien était dû au fait qu’elle n’était pas habituée à tout cela. Elle baissa les yeux sur leurs mains, avant de sourire comme prise en faute. Elle allait s’y faire… puis elle leva uniquement les yeux sur Elijah, redoutant la question qui allait suivre. Pour toute première réponse, elle éclata de rire. « -tu l’as retiens depuis combien de temps celle là ? » demanda t elle en avançant toujours avec lenteur, main dans la main. Un léger silence plus tard, elle répondit, enfin non elle dit : « -est ça changerait quoi si c’était pas le cas ? » avec un petit sourire en coin.
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Sam 12 Mar - 13:38
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah pencha légèrement la tête tout en esquissant un petit sourire en coin « Je suis un homme, tu t’attendais à quoi ?! » en optant sur l’autodérision cette fois-ci. En revanche, ce qui était certain, c’était qu’elle s’attendait à ce qu’il ne reprononce plus jamais ces mots en sa présence, et il acquiesça de la tête « Promis ». Bon, il allait lui falloir du temps, mais le journaliste comptait fournir des efforts. Puis il se mit à hausser les sourcils en répondant du tac ô tac « Ah bon ?! » et lui confia qu’elle lui avait manqué, avant de sourire avec douceur à ses mots. Il allait tout faire pour que ça fonctionne entre eux, et Madison semblait avoir le même désir alors qu’elle était prête à rendre leur relation officielle aux yeux de tous. Elle aussi semblait en avoir marre de se cacher, alors qu’ils pourraient être bien plus heureux à être un véritable couple, à se tenir la main dans la rue et sortir de leurs appartements le soir pour dîner en extérieur. Il se mit à rire alors que la belle brune ne savait pas encore comment se désigner. Copine, elle ne voulait pas, alors le journaliste répondit en se penchant légèrement, comme s’il allait lui confier un secret « Petite-amie. Tu es ma petite-amie Maddy ». Et leva ensuite les mains pour obéir à cette dernière qui lui demanda de laisser son verre tranquille avant de sourire avec satisfaction « Je confirme ».
Un haussement d’épaule suivit « Si tu veux qu’on officialise de manière naturelle, ça me convient aussi » rétorqua-t-il en porta son verre à ses lèvres, et posa son regard sur elle avec taquinerie, lui demandant de ne plus faire ce geste avec ses lèvres en sa présence « Oui… Ça … » tout en plissant légèrement les yeux en voyant que l’information lui plaisait. Il sentait déjà qu’elle allait en jouer en sa présence, juste pour mettre le feu aux poudres. Il hocha ensuite lentement de la tête avec davantage de sérieux « Tu apprendras à le faire avec le temps ». Il saurait lui donner confiance en lui, et qu’elle apprenne à se reposer sur lui lorsque ça serait nécessaire. Pour le moment, elle avait besoin de temps, et le respectait. Ils terminèrent ensuite leurs verres pour rejoindre le parc. Elijah retira alors sa veste pour les poser sur les épaules de la jeune femme en sentant le vent frais qui s’était levé entre-temps, et se mit à rire en entendant la remarque de cette dernière « Ce n’est pas du romantisme, mais de l’altruisme » et haussa les épaules « Tu joueras les infirmières sexy pour moi si ça arrive » et glissa sa main dans celle de Madison, la rassurant en sentant qu’elle n’était pas encore bien à l’aise avec ce genre de gestes. Il se mit à sourire en l’entendant rire face à sa question, puis se mit à rire doucement à son tour « Quelques temps, je dois l’avouer » et glissa son autre main dans la poche de son jean tout en posant son regard sur elle « Pas grand-chose. J’ai juste envie d’apprendre à te connaître, d’en savoir plus sur toi » et rétorqua « Je n’en ai pas le droit ?! ».
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Charly
Sam 12 Mar - 18:06
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Petite amie… Mouais… étrangement ça sonnait encore une petit jeune fille. Mais elle allait sans doute s’y faire. Parce que conjointe ou compagne… hé bien ça faisait vraiment officielle on est ensemble depuis un millénaire ! « -ça fait un peu possessif non ?! » ironisa la jeune femme toujours sur sa lancée féministe. « -je rigole. Je vais m’y faire... » ajouta t elle avec un sourire. Il osa dire que ce qu’elle buvait, était dégueulasse. Elle rit de nouveau avant que la conversation ne devienne un peu plus sérieuse. Avant qu’elle ne dise : « -de manière naturelle ? T’entends quoi par là ? » dans son esprit elle les imaginait déjà nus en train de se faire surprendre au boulot. Mais ça n’était surement pas ça qu’il voulait dire. « -Jeffrey va nous gonfler ! Je le vois déjà tellement arriver en nous pointant du doigt en hurlant un : je le savais ! » elle pouffa de rire. S’ils arrivaient main dans la main ou qu’ils s’embrassaient en sortant de l’ascenseur, il y en avait quelque uns qui allaient faire une crise cardiaque. En soit elle s’en foutait de comment ça se faisait. Elle voulait seulement que ça se fasse. Elijah tenait à ça. Et elle voulait parvenir à avancer.
« quoi que je fasse je t’excite je crois non ? » s’amusa t elle à nouveau avant de répondre avec plus de sérieux. « -si tu es capable d’arrêter les laisse tomber, je peux aussi faire ça de mon côté. » oui, elle pouvait le faire ! Une fois dehors, elle ne perdit pas une occasion pour continuer à jouer avec cette complicité et rétorqua : « -ouais ouais blabla ! » en faisait bouger ses mains avant d’ajouter : « -oh non pas l’infirmière sexy pitié. » elle trouvait vraiment ce fantasme nul à chier. « -tu peux trouver mieux j’en suis sur ! » reprit elle d’un ton théâtrale. La suite de la conversation la surpris. Elle ne s’était pas du tout attendu à cette question. A ce qu’il se pose cette question surtout ! Ça faisait plus d’un an qu’ils avaient parlé de ça ! Et voilà que ça semblait lui torturer l’esprit. « -hein ?! Oh si si parfaitement. Je suis surprise de la question. Et de constaté également que je ne suis plus si bonne menteuse... » elle rit de nouveau avant d’avouer : « -bon ok… tu vas accéder à une info top secrète ! Même Roy n’est pas au courant de ça ! Du coup c’est une certaine forme de confiance j’imagine... » un petit haussement d’épaules avant de donner enfin la véritable info : « -et donc non, je ne suis pas née à L.A et oui, je te mens depuis le premier soir ! » après tout si ses souvenirs étaient exacts, ils en avaient parlé au bar, avant de passer cette folle nuit ensemble. En vérité, elle n’avait toujours pas donné la réponse qu’il attendait. Elle n’avait pas vraiment envie de la donner, plus pour le faire chier que pour cacher la vérité. C’était une grande première !
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Manhattan Redlish
Sam 12 Mar - 20:35
[quote="Manhattan Redlish"]
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Apparemment le statut de petite-amie sonnait étrangement à l’oreille de Madison, ce qui amusa plus Elijah qu’autre chose. Donc, tout en la regardant fixement, il lui répondit, dans un premier temps « Je le suis déjà avec toi, pas besoin que tu sois ma petite-amie pour ça » et se mit à réfléchir à une alternative « Ma femme ? Au sens humain du terme, et non au sens marital. Je suis ton homme, tu es ma femme », puis réfléchit encore un peu avant d’ajouter tout en se penchant un peu vers elle « Tu sais, je ne t’appellerai ma petite-amie pour t’appeler. C’est juste un statut, pas un surnom mignon comme ma puce, mon cœur, mon amour ou je-ne-sais-trop-quoi encore. Alors est-ce que ça a vraiment une quelconque importance ? ». Il voulait lui faire comprendre que peu importe leur statut, ça n’avait pas vraiment d’importance. Qu’elle n’avait pas à s’en soucier ou à se focaliser dessus. Ils étaient ce qu’ils étaient. C’était tout ce qui importait. Pour ce qui était de rendre leur relation officielle, là aussi, ça n'avait pas vraiment d’importance, et lui proposa de faire cela naturellement, ce qui intrigua la belle brune « Je ne sais pas. Un baiser voler devant les autres, une main dans le dos, un regard ou un sourire. Et un « oui » comme réponse si on nous demande si on est ensemble ». En tout cas, c’était comme cela qu’il percevait les choses. Il en était peut-être autrement pour la belle brune. S’en suivi un rire de la part du couple, alors que Madison évoqua Jeffrey et sa réaction vis-à-vis de leur relation « Il va vouloir tout savoir à notre sujet… ça me gonfle déjà ! ». Il allait l’interroger sur leur rencontre, sur comment ça s’était fait, etc.
Son regard changea du tout au tout à la question de la belle brune « Exactement ! Tu es un sujet de désir pour moi » et il allait devoir se refroidir un peu parce qu’ils étaient en séminaire, et que leurs collègues ne devaient pas savoir tout de suite pour eux deux. Il pencha légèrement la tête « J’ai envie que tu continues, mais dans un endroit où on peut s’envoyer en l’air ensuite » pour éviter de se sentir frustré ensuite, et de devoir attendre pour la faire sienne. Un nouveau rire et leva la tête vers le ciel brièvement « D’accord ! D’accord ! Je suis romantique, mais seulement avec toi. Je ne l’ai jamais été par le passé ». Brittany devait toujours penser à porter une petite laine lors des soirs de grands froids parce qu’Elijah n’avait jamais posé sa veste ainsi sur ses épaules. Il se mit à rire concernant l’idée de l’infirmière sexy « Ok ! Ok ! Toi, dans un porte-jarretelle, prête à me faire l’amour comme cette fois, dans le tipi… J’avais beaucoup aimé. Ou encore toi, nue sous une de mes chemises, au petit matin, en train de préparer des pancakes ». Oui, c’était bien mieux que l’infirmière sexy, et plus en adéquation avec ce qu’il voulait partager avec Madison.
Elijah posa ensuite son regard sur elle et se mit à rire doucement tout en baissant légèrement la tête, puis releva ses yeux clairs sur elle « Tu ne me rassures pas en me disant que tu es bonne menteuse. Tu t’en rends compte, j’espère ? » et ajouta « Ce qui m’a intrigué, c’est juste le choix de vie de ta sœur ». Qui quittait les plages de sables fins et le soleil de Californie pour un ranch dans le centre des États-Unis ?! Il avait hâte maintenant d’entendre la réponse, et fut touché de voir que même le père de sa fille ne savait pas cela sur la belle brune. Il se mit à rire tout en se tournant vers elle, continuant à marcher « Tu plaisantes ?! Ce n’est pas une réponse ça ! Tu me dis juste que tu n’es pas née à Los Angeles, ça veut tout dire et rien dire à la fois » et ajouta « Bon… Je suis né à Londres et j’ai grandi dans une famille pauvre des quartiers populaires de Londres. À toi maintenant Mademoiselle Carter ! ».
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Sam 12 Mar - 21:47
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -pas faux. » répliqua Maddy avant d’écouter la suite en ouvrant de grands yeux. « -ah ouais mais non, je préfère encore copine je crois. » ajouta t elle en ne s’imaginant pas du tout dire de lui qu’il était son homme. Elle sourit pour la suite et ajouta : « -ouais ba ça aussi j’ai du mal à m’y faire tu sais. Et oui, au final comme tu le dis, ça n’a aucune espèce d’importance. » tant qu’ils étaient tous les deux. Et bien ensemble. Pour le moment ils n’en étaient pas à devoir remplir des formulaires en mentionnant un statut du type mariée, fiancée, pascée, en concubinage ! Donc non, ça n’avait pas d’importance en soit. « -ouais, ouais c’est très bien ça. Parfait. » voilà pas d’annonce lors de la réunion lundi matin, pas de communiqué de presse, pas de mail de masse. Des petits gestes qui laisseraient voir que oui, ils étaient en couple. Que ça plaise ou non, que ça fasse parler ou pas. « -moi pareil ! Mais c’est ton pote donc c’est toi qui aura la douloureuse et ennuyeuse tache de lui raconter tout ça ! » le ton prit était enjoué, comme si elle jubilait déjà que ça ne soit pas à elle de se taper cette corvée.
« -ah oui mais non, je le calcule pas tu sais. » répliqua Madison qui voulait lui comprendre qu’elle était désolée d’avance si il se retrouvait frustrer de temps à autre. Une fois dehors, elle ne manqua pas de se foutre de lui à nouveau. Pourtant elle lui dit avec sérieux : « -je devrais me sentir flatter, mais en réalité, ça me fait un peu peur. » ils avaient décidé d’être sincère et de communiquer non ?! Lui avouer qu’il n’y avait qu’avec elle qu’il avait ce genre de comportement, c’était la placer dans une position de petite perfection ! D’unique ! D’élu ?! Alors oui, forcement, la peur était là. Elle n’était jamais bien loin cette connasse ! « -ah oui ba je vais écrire à Maya pour avoir la recette de son cocktail alors ! » humour toujours même si Madison savait parfaitement que le cocktail avait seulement servit à faire taire ses peurs et ses angoisses. « -ouais, ça j’aime bien... » en optant pour l’idée de la chemise et des pancakes.
« -pff n’importe quoi ! Comme si tu le savais pas ! » elle pensait pourtant que c’était une partie de sa personnalité qu’il avait cerné. « -tu crois pas que tu devrais entrer dans la police avec un instinct pareil ? » elle posait ça là, entre le sérieux et le foutage de gueule. « -ba quoi ?! » s’amusa Maddy en parlant en même temps que lui. Bien sur qu’elle savait que ça n’était pas une réponse : « -au Texas ! Je suis née au Texas ! Mes parents… enfin le ranch était à eux. Voilà t’es content ? » elle avait dit tout cela en souriant. « -je trouve que… ba que ça va pas avec la journaliste raffinée que je suis. J’ai jamais aimé ce ranch, du peu que je m’en souvienne. La poussière, l’odeur des chevaux… très peu pour moi. » elle ajouta ensuite : « -ça ne me définit pas, du coup, je le dis pas. Techniquement je t’ai pas vraiment menti parce que ma ville c’est L.A. Je vis ici depuis la mort de mes parents. Le Texas en soit, je pense que c’est un peu trop rattaché à ce passé douloureux de petite fille tu vois. » un haussement d’épaule.
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Dim 13 Mar - 13:17
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Un petit rire en la voyant réagir à son idée « Je m’en serais douté » et la rassura sur le fait que ça n’avait pas vraiment d’importance, c’était juste un statut, après tout « Vous n’aviez pas de surnoms avec Roy ? » alors qu’elle lui confiait qu’elle avait du mal à se faire à cette idée de petits noms au sein d’un couple. C’était un peu comme l’idée de rendre leur relation officielle, alors Elijah tenta de trouver une alternative, là aussi, pour ne pas angoisser davantage Madison et sourit en voyant que son idée lui plaisait « Parfait alors ». Tout se ferait naturellement entre eux deux. Un baiser voler, une caresse, et tout irait pour le mieux. Évidemment, ça risquait de soulever un certain nombre d’interrogations, mais Elijah était prêt à y répondre. De toute manière, il n’allait pas vraiment pouvoir y réchapper avec Jeffrey, dans un premier temps, et le reste des collaborateurs, dans un second temps « Je te remercie pour ton soutien » alors que ça semblait ravir Madison de déléguer ce rôle là à son supérieur. Le sujet dévia soudainement lorsqu’elle fit ce « O » avec ses lèvres qui avait tendance à faire monter la température chez Elijah et pencha légèrement la tête à sa réponse « Je l’ai remarqué ». Ça signifiait qu’il allait devoir réprimer son désir pour elle lorsqu’ils ne seraient pas dans un endroit pour succomber.
Lorsqu’ils sortirent dans le parc et qu’il déposa sa veste sur ses épaules, le journaliste n’eut d’autres choix que d’avouer que oui, il était peut-être romantique tout fin de compte, mais que c’était nouveau pour lui. Il n’aurait pas pensé que ça fasse remonter les peurs de Madison en lui confiant cela, et posa alors son regard sur elle et prit la parole avec davantage de sérieux pour faire taire ses craintes dans l’œuf « Je comprends, mais ce n’était pas l’objectif. Tu es la première femme de qui je suis tombé amoureux, donc je pense que mon souhait de m’occuper de toi vient de là » et osa un petit sourire espiègle et reprit « Les autres femmes ne faisaient que passer dans mon lit, et pas que, bref et repartaient ensuite. Brittany aussi. Le truc de se tenir la main dehors, de vouloir la protéger… ça n’existait pas entre nous ». Il se demandait encore comment elle avait pu tomber amoureuse de lui alors qu’il n’avait rien fait pour cela. Il lui sourit ensuite avec douceur et ajouta « Mais je peux arrêter si tu veux ». Après tout, il n’avait pas pour objectif de la faire fuir, bien au contraire. Puis ce fut avec plus de légèreté qu’ils abordèrent des idées de fantasmes d’Elijah et se mit à rire, sortant son portable « Appelle-là tout de suite alors » et rangea le petit appareil dans la poche arrière de son jean tout en poursuivant « Moi aussi… » et la voyait déjà faire, dans sa cuisine. Il allait être temps que ce séminaire se termine !
Elijah pencha ensuite la tête de droite à gauche, pesant le pour et le contre, et répondit « Je pensais que tu ne le faisais pas avec moi. Oui, je suis naïf, et alors ?! ça me rend très mignon » en exagérant son sourire avant de rire et fronça les sourcils « Je pense que l’uniforme m’irait à ravir, mais non. J’aime être bien payé » et leva les yeux au ciel en la voyant parler en même temps que lui, puis rétorqua avec enthousiasme « Voilà ! Tu vois, ce n’était pas si difficile ?! » tout en parlant en même temps qu’elle, se moquant un peu en route et l’écouta avec attention, et s’arrêta de marcher à la fin des paroles. Il l’attira à lui, lâchant sa main pour la poser sur sa joue « Je voulais juste savoir. Je sais que ça ne te définit pas et que tu avais besoin de t’éloigner de tout ça. Et puis j’ai énormément de difficulté à te voir avec des bottes de cow-boy, marchant dans la boue pour rejoindre ton cheval » et déposa ses lèvres sur les siennes, avant de se reculer « Ma petite Texane » tout en souriant avec taquinerie, et l’embrassa de nouveau, avant de se reculer « En tout cas, sache que tu es très douée pour chevaucher les hommes » avant de rire de sa connerie, puis reglissa sa main dans la sienne, et reprit la marche « Et ça fait longtemps que tu n’y es pas retournée ? ».
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Charly
Lun 14 Mar - 21:30
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -non. » répondit Maddy avec sincérité, avant d’ajouter pour justifier ça comme si ça n’avait rien de normal pour un couple : « -Amber a un peu précipité notre couple. Je te l’ai dis, si il n’y avait pas eu de bébé on ne serait pas resté ensemble. On tenait l’un à l’autre mais ça n’était pas une relation amoureuse au sens propre du terme. » donc non, elle n’avait jamais eut droit à ma puce, ma chérie mon amour. Encore moins des mon ange comme Elijah se plaisait l’appeler. Alors qu’à elle, ça ne lui plaisait pas. Enfin ça il se savait et forcement il la faisait chier avec. Ils en vinrent à conclure d’éviter d’annoncer publiquement par une véritable annonce, qu’ils étaient ensemble. Ils voulaient faire ça de façon naturelle. Que ça fasse parler les gens ou non. « -de rien ! » hors de question qu’elle s’occupe du cas Jeffrey ! Cette tâche revenait à Elijah. Même sil elle se doutait qu’elle allait devoir répondre tout de même à quelques questions. Tant qu’il ne remettait pas en cause l’obtention de son poste.
« -ah non mais ça va ! On a dit qu’on communiquait alors je te le dis c’est tout. Mais continue enfin reste naturel. Je vais m’habituer. C’est le genre de choses auxquels on dois s’habituer assez rapidement j’imagine. » pour le moment toutes ces intentions la surprenaient encore mais bientôt elle les apprécierait et arrêterait de se foutre de la gueule d’Eli. Ensuite elle deviendrait probablement accro à tout cela. A mesure que ses sentiments prendraient de l’ampleur. Elle rit en le voyant sortir son téléphone, avant d’avouer aimé cette image d’elle en chemise faisant la cuisine.
Madison avoua ensuite être une très bonne menteuse et sourit : « -oui c’est mignon mais sincèrement mise à par ce lieu de naissance et l’existence de ma fille, je ne t’ai mentis sur rien d’autre. » elle voulait vraiment le rassurer là dessus. Enfin… si il y avait peut être cette histoire de club libertin mais elle avait voulu jouer le jeu et surtout ne pas se montrer en dégonflée. C’était un demi mensonge. Et elle se garda bien d’en parler, espérant presque qu’il ait oublié.
Elle finit par lui révéler être née au Texas et lui expliquer pourquoi elle ne le disait pas. « -j’ai horreur des cheveux. » et c’était la stricte vérité. Ça n’avait jamais collé avec ses animaux là. Elle se demandait comment sa sœur pouvait supporter de sentir le cheval à longueur de temps. Après un rapide baiser elle répliqua : « -ah non ne commence pas ! » avant de rire des délires d’Elijah. « -ouais je sais mais sur un cv ça ne se mets pas paraît il ! » ils reprirent leur marche et elle demanda : « -où ça ? » comme si elle avait déjà oublié la conversation. « -ah au Texas ! Trois ans. » elle avait trouvé refuge un temps chez sa sœur après la naissance de sa fille, lorsqu’elle s’était séparé de Roy. Mais elle était bien vite revenue à la civilisation. « -on en a jamais parlé mais je... » commença Madison qui voulait abordé un autre sujet un peu merdique. « -ça ne te gênes pas que j’ai une fille ? » il était au courant mais maintenant qu’ils se projetait en tant que couple, c’était différent. Enfin pour elle en tout cas ça l’était. « -étant donné que ça va au magazine, que j’ai trouvé mes marques et que je me sens mieux, je vais… enfin j’ai vu avec Roy et je vais avoir Amber deux weekend par mois. » oui, elle se sentait prête à récupérer un peu sa fille. A mieux assumer son rôle de mère. « -du coup ba ces weekend là ba… je peux comprendre qu’on ne se vois pas. Toi et moi. » sous entendant qu’elle comprenait parfaitement qu’il n’ait pas envie de côtoyer sa fille.
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Lun 14 Mar - 21:54
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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La relation que la jeune femme avait partagé avec Roy était à l’image qu’il s’en était fait : Une relation contrainte par la naissance de l’enfant, et ne partageant qu’une affection que l’on pourrait éprouver pour un ami, peut-être. Il en eut la confirmation quand elle lui répondit sans fioriture concernant les surnoms qu’ils auraient pu se donner. C’était donc légitime, pour Madison, qu’elle ait du mal avec cela. Il acquiesça à l’explication qui suivit et lui sourit avec une certaine douceur « C’est donc tout nouveau pour toi aussi… On va prendre notre temps de toute manière ». Parce qu’il n’était pas familier non plus des relations sérieuses et encore moins des sentiments. Il tentait de donner l’impression de tout gérer, d’être apaisé face à tout cela, mais parce que pour le moment, rien n’était officiel. Le lundi matin, en arrivant aux bureaux, Elijah prendrait sûrement plus conscience de leur relation, et paniquerait sûrement un peu. Mais pour le moment, le quadragénaire se concentrait davantage sur ce côté romantique qui semblait s’exhorter au contact de Madison « Je n’en sais rien. Tu me diras » rétorqua-t-il donc, non sans un petit sourire en coin, signifiant qu’il se moquait un peu d’elle. Après tout, c’était une première pour lui de vouloir prendre soin d’une femme comme il le faisait.
Elijah vint à aborder les sources de Madison. Le Texas. Et sur sa capacité à mentir et fut soulagé d’entendre qu’elle ne lui avait pas menti sur d’autres sujets que ceux qu’il connaissait déjà « C’était plus de la protection que des mensonges » précisa-t-il en considérant qu’au vu de leur relation, c’était légitime pour la belle brune de vouloir lui cacher son enfant. Pour ce qui était du Texas, elle lui expliqua qu’elle avait quitté le ranch familial assez tôt et que de toute manière, L.A. lui collait bien mieux. Il ne pouvait qu’acquiescer à ce sujet. Il avait des difficultés à imaginer la jeune femme dans un ranch, montant les chevaux, avec tout l’attirail qui allait avec « Tu n’avais pas besoin de le préciser, je m’en suis douté » répondit-il quand elle avoua ne pas aimer ces bêtes-là. Puis il se mit à rire « C’est foutu mon ange » en sachant qu’elle détestait ce surnom « Tu es ma petite Texane maintenant » et se mit à sourire de manière plus taquine ensuite « Non, mais ton patron a pu te voir en pratique et il apprécie beaucoup tes compétences dans ce domaine-là », puis Elijah décida de reprendre son sérieux en lui demandant depuis combien de temps elle n’avait pas remis les pieds chez elle. Enfin chez ses parents. Il acquiesça doucement « Et ça ne te manque pas ? Je veux dire, ta sœur ? ». Oui, il était curieux, mais il était journaliste.
Un bref silence s’installa alors qu’ils continuèrent de marcher dans le parc, puis tourna la tête vers la belle brune, fronçant légèrement les sourcils, s’interrogeant sur la suite de sa phrase. Il regarda de nouveau l’horizon tout en l’écoutant parler et sourit avec douceur en apprenant que peu à peu elle était prête à reprendre son rôle de maman. « J’écumerais les bars ces soirs là, tant pis » et se mit à rire « Je plaisante » avant de tourner la tête à nouveau vers Madison et répondit avec un certain sérieux, mais aussi douceur dans la voix « Je sais que tu as une fille, et en tombant amoureux de toi, j’ai pris le package. L’enfant aussi. Si tu veux être seule avec ta fille le week-end, je comprendrais et si tu acceptes que je sois présent, alors ça sera avec plaisir. Ce n’est pas parce que je n’en veux pas que je n’aime pas les gosses » et reprit « Tu avais peur de ma réaction à ce sujet ? ».
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Charly
Mar 15 Mar - 21:16
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Ce genre de relation, ce genre d’attention vis à vis de sa personne, c’était nouveau. C’était aussi inattendu qu’effrayant en vérité. Cela lui donnait une importance qu’elle n’avait jamais occupé dans la vie de personne. Avec Roy tous était bien différent. Ils étaient restés ensemble pour leur fille. Mais cela n’avait pas conduit à la naissance de sentiment. Seulement d’un enfant. Elle n’avait jamais ressentit pour le père de sa fille, ce qu’elle éprouvait pour Eli. Ça elle en était certaine. Mais cela venait peut-être également de la complicité qu’ils avaient de base. « -si tu veux le voir comme ça. » avait répondu Madison au sujet de ses mensonges. C’était adorable de la part d’Elijah de tenter d’atténuer les mots. « -oh non ! Hors de question. » il était totalement exclus qu’il l’appelle ainsi. Tout autant que son ange qu’elle avait bien du mal à supporter. Elle savait parfaitement qu’il faisait cela pour la charrier. Et peut être qu’il ferait l’effort de trouver autre chose.
« -non. » elles avaient chacune leurs vies. N’avaient pas des tonnes de points communs et surtout n’étaient pas du genre à passer trois heures au téléphone pour se parler. Maddy s’en voulait de lui avoir autant pourrie la vie lorsqu’elles étaient plus jeunes, à la mort de leurs parents. Sa sœur avait le droit de vivre sa propre vie aujourd’hui, sans avoir à se coltiner les humeurs et les emmerdes de sa petite sœur. « -ça te choques ? » demanda t elle n’étant pas certaine qu’Eli soit un modèle de ce côté là vu la relation qu’il avait avec son frère. Enfin peut être qu’avec sa sœur c’était différent.
Puis Madison aborda un sujet qu’elle pensait délicat. Celui de sa fille. Ils semblaient vouloir construire une relation tous les deux, mais elle était maman et elle souhaitait savoir si cela lui posait problème. En tout cas savoir s’il y avait déjà réfléchit. « -il y a aussi de très bonnes séries télé tu sais. » répondit la jolie brune avant de lui sourire. Puis elle l’écouta en hochant lentement la tête. Elle ne pensait pas qu’il dirait cela. « -en soit je ne suis pas contre votre rencontre. Elle a cinq ans et elle est loin d’être bête. Lui mentir ne sert à rien. Elle sais très bien que son père et moi c’est plus que terminé. Alors… alors lui apprendre que j’ai rencontrer quelqu’un d’autre... » fin de phrase avec un haussement d’épaules. « -mais je… oui je me demandais si tu avais déjà réfléchis à ça. Et je… je suis agréablement surprise de ta réponse. » il pouvait très bien ne pas vouloir revoir Amber. Leur couple était tout récent, lui imposer sa fille… c’était complexe.
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“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]