“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Mar 8 Mar - 20:53
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Souriant avec espièglerie, Elijah pencha la tête de droite à gauche, comme pour peser le pour et le contre vis-à-vis de ce que lui disait la belle brune, puis rétorqua avec une certaine certitude dans la voix « Oui, au moins une fois par mois ». Pourtant, ça ne dérangeait pas pour autant le quadragénaire qui savait à quoi s’attendre en se mettant en couple avec la jeune femme. Depuis le début, ils vacillaient entre complicité et prises de tête. C’était presque devenue une habitude. Ça rythmait leur relation. Puis, Elijah considérait qu’il y avait notamment de bons côtés à se disputer comme ils le faisaient. Ainsi, ils auraient une excuse pour se réconcilier sur l’oreiller. Une manière de percevoir les choses que n’avait pas envisagé la belle brune, ce qui amusa davantage le quadragénaire « Je trouve que ça apporte un certain charme à nos disputes futures, tu ne trouves pas ? ». En tout cas, lui, il trouvait.
Puis il y avait eu ces trois mots que le journaliste avait prononcé, non sans une certaine retenue, parce qu’il n’était pas familier de l’amour. C’était un sentiment nouveau, mais ces trois petits mots sonnaient comme une évidence pour lui, là, face à Madison. Il l’aimait. En tout cas, c’était ce qu’il croyait. Il n’en était pas encore certain, mais faisait confiance en l’avenir pour lui donner raison. Sa manière de réagir le fit rire, et savoura le baiser empli de sentiments qu’elle lui donna. Un baiser qui voulait beaucoup dire pour Elijah qui précisa, avec humour, qu’il avait émis tout de même une certaine réserve. Cela ne semblait pas déranger la belle brune, à son grand soulagement « C’était pour être sûr ». En tout cas, le moment choisi pouvait être considéré comme romantique, et elle attesta « Je suis d’accord ! Et puis je sens meilleur que les fleurs » en riant presque pour masquer la vague d’émotions qu’il pouvait ressentir en cet instant. Il baissa ensuite son regard sur le bras de la belle brune et sourit avec tendresse « Je suis ravi de l’effet que mes mots ont sur toi » et lui rendit son baiser, ses bras autour de sa taille, comme une promesse de jours meilleurs…
Mais en attendant, ils ne pouvaient pas échapper continuellement aux activités du séminaire, mais ça attendrait demain. Ils s’autorisèrent encore quelques instants sur le bord de mer avant de rentrer à l’hôtel. Ils gardèrent leurs distances en public, et ce ne fut pas chose facile. Il se retenait de croiser son regard, de lui sourire ou de passer sa main dans son dos en passant près d’elle. Il s’était obligé à la distance, tout comme Madison, mais lui envoya quelques messages lorsqu’ils eurent rejoint leurs chambres. Le lendemain, ils eurent de nouveau le droit à l’intervention de Francesco qui n’avait pas apprécié leur esclandre de la veille. Elijah n’en avait rien à foutre, mais il risquait de ne pas être sourd si son chef l’apprenait. Il prit donc place sur la chaise non sans un regard noir pour l’organisateur et se retint de rire en entendant Madison maugréer. La savoir si proche sans la toucher était difficile, mais Elijah se fit violence et se concentra sur les paroles de la belle brune. Il releva ensuite son regard sur Francesco et rétorqua « Vous ne voulez pas lui donner une friandise pendant que vous y êtes ?! » en critiquant sa manière de s’adresser à elle. Un soupir d’exaspération et se lança « Personnellement, c’est tout ce séminaire qui m’emmerde parce que j’ai du travail. Pas que je ne vous apprécie pas tous à votre valeur, spéciale dédicace pour toi Carl, qui a sauté son ex-copine à ton anniversaire » tout en le désignant du doigt en lui faisant un clin d’œil et un grand sourire qui sonnait faux, et qui fit réagir tout le petit monde, puis le journaliste poursuivit « Si vous voulez gagner votre salaire, je dois aussi faire mon travail et ce séminaire va m’obliger à travailler tard le soir alors qu’il y a les Play Off… Et pour ce qui te concerne Madison… En effet, je voulais juste te blesser et… » Il leva les yeux au ciel, faisant semblant que ça le faisait chier d’avouer ses torts « Tu m’as mis hors de moi avant de partir et j’avais envie de t’emmerder à mon tour. Je m’excuse pour ce que je t’ai dit. Je ne le pensais pas… Et j’essaierai d’éviter de passer mes nerfs sur toi à l’avenir », et se promis mentalement de préciser, par message, à Madison, que tout cela était faux. Il n’avait jamais cherché à lui faire du mal la veille, ne sachant pas s’il avait été assez clair sur la plage. Il releva son regard sur Francesco « Il est content le Hippie ? ».
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Charly
Mer 9 Mar - 14:08
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -ah mais parfaitement ! » ironisa Madison qui appréciait vraiment penser de cette façon. De toute façon, ils ne parvenaient pas à mettre les choses à plat autrement qu’en s’engueulant. Alors oui, forcement ça n’était pas la dernière prise de tête qu’ils avaient. Et oui, elle aimait bien l’idée de la réconciliation sur l’oreiller. Tout comme elle aima la bombe qu’il lui balança en pleine tronche sans prévenir. Il l’aimait ! Enfin il croyait l’aimer. Elle s’amusa du fait qu’il précise, intérieurement elle trouvait ça rassurant. Elle préférait de loin qu’il lui dise cela de cette façon plutôt qu’en mettant un genou au sol en clamant qu’elle était la femme de sa vie et que si jamais elle le quittait il en mourrait ! « -aucun problème. Ça me va ! » ajouta la jeune femme toujours avec ce ton qu’elle pourrait avoir avec un ami. Elle grimaça au sujet de l’odeur, avant de rire. Ça faisait du bien de se foutre de lui.
Madison avait dormi, bien plus légère que la veille, heureuse d’avoir arrangé les choses avec Elijah. Elle eut l’impression de faire un effort surhumain pour ne pas aller directement vers lui au petit déj. Mais ils n’avaient pas reparlé de cette histoire d’officialisation finalement. Oui, ça ils n’en avaient pas parlé et pour l’instant, c’était distance obligatoire. Et participation aux exercices avec le reste du groupe. « -on s’en fou réponds. » avait coupé Madison histoire que ça s’arrête au plus vite. Elle écouta alors qu’Elijah avait à dire, les bras croisés. Elle intervint à la fin de sa petite tirade : « -est ce que quelqu’un à filmé ? Enregistré ? Pris des notes ? Histoire que je puisse lui ressortir quand il aura oublié ? » puis elle ajouta rapidement en souriant : « -je déconne. Ok excuses acceptées. » avant de retenir un rire. Le hippie. Sympa le surnom.
Mais il ne semblait pas avoir envie de s’arrêter là. « -putain y’a encore trois jours ! » râla Maddy au moment du déjeuner. « -je... » elle fit signe à Mike qu’elle ne mangerait pas avec lui, préférant aller rejoindre Elijah. « -salut... » souffla la jeune femme en s’installant en face de lui. « -mieux dormi ? » demanda t elle alors qu’elle avait déjà sa réponse. Il avait les traits bien moins tirés. Ils discutèrent du séminaire, de boulot, comme s’ils faisaient des efforts aux yeux de tous pour que les choses se passe mieux. « -non mais dites moi que je rêve... » râla t elle à nouveau alors qu’une fois de plus on leur avait demandé des tenus de sport. « -c’est quoi leur problème avec le linge propre ? On va pas se rouler dans la boue toute les cinq minutes ! » La moustache prit la parole. Espit d’equipe blablabla. Milieu pro, compétition, savoir reconnaître sa défaite, féliciter l’autre. On fit deux équipes. Bon elle se prit au jeu clairement. Après tout autant s’amuser non ?! Elle se revis sur le banc, durant les match de basket à la fac… Ils devaient franchir les obstacles le plus vite possible, en affrontant une personne de l’autre équipe. « -aller bouge toi ! » cria Mike juste à côté d’elle. La moustache le reprit tout de suite : « -le but est d’encourager les autres comme si vous étiez au travail. Tu peux le faire, on crois en toi… vous voyez ? » Madison échangea un regard amusé avec Mike, avant de voir qu’Elijah allait se retrouver à affronter Carl. Ça promettait ! Le seul conseil qu’elle lui donna fut : « -défonce le ! » avant de lui donner une tape dans le dos qu’elle termina par une caresse.
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Mer 9 Mar - 15:01
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Ce séminaire commençait à peser à Elijah, et tout particulièrement Francesco qui se comportait comme un gourou de la pensée positive, vivant dans un monde sans conflit, où tout le monde devait être en paix, communiquer, etc. Et voilà qu’il se retrouvait dos à Madison pour faire la paix avec cette dernière. S’il savait… Le pauvre. Il se sentirait inutile soudainement. Un sentiment qu’il aurait apprécié de lui faire ressentir en cet instant alors qu’ils devaient faire la paix avec Madison devant tous leurs collaborateurs. Quel intérêt ?! Évidemment, il maugréa à son tour avant de se faire reprendre par la belle brune qui lui demanda de répondre. Un regard noir pour Francesco avant de se plier au jeu. Il présenta donc ses excuses à voix haute à la jeune femme qui ne put s’en empêcher de plaisanter à ce sujet. Il leva les yeux au ciel tout en répondant « Oh ! Comme si tu avais besoin d’une vidéo pour me le rappeler ?! » en se retournant légèrement vers Madison et sourit « Merci » et s’adressa ensuite à Francesco dont le surnom ne fut pas à son goût. Dommage. Ça lui allait comme un gant pourtant.
Un regard pour son portable alors qu’il était seul à sa table, il vérifiait les actualités du jour lorsque Madison prit place face à lui. Il se mit à sourire tout en rangeant son portable, ravi de la voir déjeuner avec lui « Salut… » et acquiesça « Bien mieux, même si j’aurais préféré ne pas dormir seul » en sous-entendant qu’il aurait préféré passer la nuit avec elle dans ses bras, et ajouta « Et toi ? » avant de poursuivre sur des sujets assez généraux. Il aurait voulu prendre sa main, parler d’autre chose que du travail et du séminaire, mais ils étaient en publics, alors ils fournissaient des efforts. Un soupir en comprenant qu’ils allaient devoir encore se dépenser physiquement cet après-midi. Il osa un regard en coin pour Madison quand elle parla de se rouler dans la boue « Pas besoin d’une tenue de sport pour ça », puis se reprit en prenant conscience qu’ils n’étaient pas seuls.
Parce qu’ils n’avaient pas vraiment la liberté de protester face aux consignes, Elijah se retrouva en tenue de sport, attendant son tour pour la compétition. Installé sur le banc, il apprécia le spectacle que lui offrait Madison dans sa petite tenue de sport qui mettait ses formes en valeur. Il tenta de faire abstraction de quelques commentaires de ses collaborateurs masculins assis à ses côtés tels que « Elle me donne envie de courir ! » « Je ne serais pas contre l’idée d’un sport de contact avec elle » « Vu comment elle bouge sur le terrain, ça doit donner au lit », et cela, avec une certaine difficulté, bouillant de l’intérieur. Puis ce fut à son tour et il affronta Carl. Un sourire à Madison, alors qu’il se rendit sur la ligne de départ « Prêt ?! On va voir si tu es aussi bon en sport que pour baiser les copines des autres » « Demande à Brittany » et ils se mirent à partir à toute vitesse pour franchir les obstacles. Elijah arriva quelques secondes après son adversaire qui semblait en bien meilleure forme que lui. Après tout, il était journaliste sportif, ce n’était pas pour rien. Ils échangèrent un simple regard, mais pas le moindre mot et s’approcha de Madison « Je réussirais à faire de sa vie un enfer au travail ». Commentaire qu’entendit Francesco « Ce n’est pas la bonne attitude Monsieur Roberts » « On vous a sonné vous ?! » et se reconcentra sur Madison « J’ai besoin d’une bonne douche ». Un regard sur les deux collaborateurs sur le banc qui appréciaient semblablement la vue qu’offrait la jeune femme de dos et contracta la mâchoire tout en s’approchant de la belle brune sans la regarder « Je me retiens de leur foutre mon poing dans la gueule aux deux comptables… » et releva son regard sur la jeune femme, hésitant un moment avant de s’éloigner vers les deux hommes « Encore un mot ! Un seul mot à propos de n’importe quelle femme ici, et je vais faire de votre vie un enfer, compris ?! Maintenant, dégagez de là et plus vite que ça ! » en désignant l’hôtel du doigt « Monsieur Roberts, vous n’avez pas l’air d’avoir compris l’objectif de ce séminaire ? » « Vous plaisantez j’espère ?! Ils considéraient ma c… Madison comme un bout de viande et… Oh laisser tomber » et s’éloigna de ce dernier, et ajouta, en passant devant Madison « Lui, je peux lui dire de laisser tomber, non ? » tout en esquissant un petit sourire en coin.
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Mer 9 Mar - 15:52
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -oh crois moi j’aurai adoré dormir seul ! Gemma ronfle c’est une horreur ! » elle commença à manger avant d’ajouter : « -profites s’en parce qu’après... » sous entendant qu’il était hors de question qu’il passe une seule autre nuit sans elle la semaine suivant le séminaire. C’était compliqué pour Elijah de rester professionnel. Elle le voyait dans son attitude. Il fallait vraiment qu’ils discutent de cette histoire d’officialisation. Depuis leur engueulade, elle avait eut le temps de réfléchir sur le sujet. Mais pour le moment, il était encore question de confiance et de cohésion de groupe. Et pour cela, ils avaient droit à une sorte de parcours du combattant.
Maddy avait l’habitude d’entendre le genre de commentaire déplacé qu’étaient en train de s’échanger certain des hommes ici. Alors elle fit comme la plus part du temps, elle les ignora. Parce que sinon, elle passerait son temps à casser la gueule aux mecs. Elijah avait droit à Carl comme adversaire. En soit, elle espérait qu’il le battrait, juste pour son égo. Elle l’encouragea au possible et lui adressa un sourire lorsqu’il revint vers elle. Puis un regard de travers à la moustache. « -pas moi. » elle n’était pas encore passée, et avait prit soin de dire cela à voix basse histoire qu’on ne remarque pas qu’elle ne s’était pas encore roulée dans la boue.
Lorsqu’elle souffla à son oreille, elle garda les mains sur les hanches, le regard fixé sur le reste de la course et répondit : « -t’es pas le seul. » un petit ton détaché et un sourire faussement ravis. « -pas la p... » mais elle parlait toute seule, il était déjà parti réglé ses comptes. Maddy le regarda et lâcha un soupire. En soit, elle savait que ça ne servait à rien. C’était des abrutis. Rien de plus. La réaction de la moustache par contre… « -oh non ! Surtout pas ! » s’emporta la jeune femme qui s’approcha et qui n’avait pas l’intention de se laisser faire : « -je crois qu’il y a un véritable problème dans votre formation, mais surtout dans votre attitude. Vous laissez passer ça ? Pourquoi ? Parce que se sont des hommes ? Parce que je suis bien roulée ? Et alors ?! Je suis une femme, une de leur collègues, quelqu’un qu’ils sont censés respecter n’est ce pas ? Enfin j’ai pas été très présente à vos cours mais bon. Ça semble logique. Elijah est mon supérieur, il s’est son droit, même son devoir de reprendre et réprimander ce genre de comportement. Et croyez moi, il vaut mieux que ça soit lui que moi. » elle surjouait son petit rôle, et clairement elle adorait faire la moral à ce con de moustache. Ça lui faisait un bien fou. « -je passe mon temps à faire des articles pour les femmes, pour qu’elles se sentent mieux dans leurs vies et dans leurs peaux. J’adorerais leur proposer un article : j’ai testé pour vous un monde sans con, un monde sans misogyne, sans sexiste. Le souci c’est que c’est impossible. Impossible tant qu’on apprendra pas aux hommes à savoir se tenir. » cela faisait plusieurs fois qu’elle enfonça son doigt dans le torse du prof, comme pour qu’il imprègne bien ce qu’elle lui disait. « -vous devriez consacré une journée complète pour ça. Dans votre formation. » puis elle se tourna vers les deux autres : « -quant à vous, je m’envoie pas en l’air avec n’importe qui. Et surtout pas des mecs comme vous. Si vous voulez rencontrer des femmes, évolués. » puis elle se tira du terrain, direction sa chambre à coucher où elle entreprit de faire son sac pour se tirer. Ce séminaire ne lui apportait rien.
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Mer 9 Mar - 16:27
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Lors du déjeuner, le journaliste échangea un simple regard face à son sous-entendu que laissa planer Madison pour ne pas attirer davantage l’attention sur eux. Dans d’autres circonstances, il aurait sûrement renchéri, jusqu’à succomber, mais ils ne pouvaient se le permettre ici-même. Il était donc resté silencieux, mais nourrissait une certaine hâte à l’idée que le séminaire se termine. Ce qui n’était pas encore pour aujourd’hui. Nouvelle activité en extérieur, et par chance, ce fut au tour d’Elijah de se rendre sur le parcours avant de flanquer son poing dans la gueule des deux comptables qui se montraient plus qu’irrespectueux envers la belle brune. Un comportement qui n’était pas passé inaperçu aux yeux de la jeune femme qui ne parvint pas à le retenir de les affronter. Évidemment, Francesco n’apprécia pas son attitude alors qu’il ne faisait que défendre Madison, et les autres femmes de son équipe par la même occasion. Il tenta de le contredire, mais laissa tomber, ce qui n’était pas de l’avis de la belle brune qui renchérit face à l’organisateur. Quant à Elijah, il resta non loin, et salua les paroles de cette dernière, esquissant un sourire quand elle l’évoqua. En réalité, il n’avait pas réellement agi en tant que supérieur, mais c’était un détail sans importance.
En la voyant se hâter jusqu’à l’hôtel, le quadragénaire lança un regard noir aux deux collaborateurs « Je vous veux dans mon bureau à notre retour. On parlera de votre comportement envers les femmes » et regarda Francesco « Je vais aller lui parler » et se hâta derrière elle. Il frappa à la porte et n’attendit pas sa réponse qu’il se glissa à l’intérieur de la chambre, dos contre la porte, en la voyant faire son sac. Il s’approcha de cette dernière, se plaça entre son sac et la belle brune « Reste… Il ne reste que quelques jours et ensuite, ça sera terminé » et posa ses mains sur ses joues « S’il te plaît » et déposa ses lèvres sur les siennes avec douceur, puis se recula à peine « Suis-moi » tout en glissant l’une de ses mains dans la sienne, puis l’attira jusqu’à la salle de bain qu’il ferma à clef derrière eux, et lui retira sa tenue de sport « J’ai envie de toi » et posa ses lèvres avec envie contre les siennes, caressant sa peau de ses mains salies par la boue, puis à l’aveugle, actionna l’eau chaude, et termina de retirer ses vêtements et ceux de Madison en entendant que l’eau chauffe, puis se glissèrent dessous « Pense juste à moi » puis se mit à genou devant elle, bien décidé à lui faire du bien et qu’elle ne pense plus à l’altercation de tout à l’heure. Il laissa sa langue jouer avec sa féminité avant de l’entendre jouir, puis se redressa, et la souleva du sol, la faisant sienne dans un coup de rein, écoutant ses demandes à chaque vas-et-viens, jusqu’à atteindre la jouissance. Il la laissa reposer les pieds sur le carrelage et l’embrassa tendrement, avant d’ancrer son regard dans le sien ses mains plaçant les cheveux de Maddy en arrière « Je viens de penser que j’allais devoir traverser le couloir en serviette de bain » et se mit à rire, l’embrassant de nouveau, puis termina de se doucher.
Elijah enroula ensuite une serviette autour de sa taille, et se précipita jusqu’à sa chambre à l’autre bout du couloir et enfila une tenue décontractée avant de revenir dans la chambre de Madison « Qu'est-ce que tu veux faire ? Partir maintenant ? Tu sais maintenant - et désigna la salle de bain de la tête - que je peux rendre ton séjour un peu plus agréable quand tu en auras envie » et esquissa un sourire en coin. Il ajouta « Ce séminaire ne m'enchante pas vraiment non plus, tu sais, mais si on part, je vais avoir des comptes à rendre, et ça va m'emmerder aussi »
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Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Madison avait décidé de mettre fin à l’activité prévue pour l’après midi. Non pas parce qu’elle aimait sécher les cours, mais à cause du comportement des deux types de la compta et surtout face à l’attitude de la super moustache. Elle trouvait cela révoltant que tout cela ne le fasse pas réagir. Confiance et respect en équipe ?! Il fallait forcement parler de l’égalité homme femme, du sexisme aussi. Alors qu’elle faisait ses valises, elle était en colère contre tout ça. Un regard lorsque la porte de la chambre s’ouvrit, avant de détourner la tête en ayant constaté qu’il s’agissait d’Elijah. « -j’en ai marre d’être ici. Ce qui vient de ce passer, c’est la goutte d’eau ! L’attitude du formateur face à tout ça, je... » rhh ! Elle grogna en serrant ses mains comme si elle avait l’intention d’étrangler la moustache. « -Eli... » souffla t elle alors qu’il la suppliait de rester.
« -qu’est ce que... » s’interrogea la jeune femme alors qu’il fermait à clé derrière eux. « -j’ai vraiment pas... » elle allait dire la tête à ça, mais elle n’obtempéra pas lorsqu’il lui retira son t shirt. Elle poussa un soupire et se mis à le regarder en souriant malgré elle. Ok… ça lui changerait peut être les idées. Alors elle lui rendit son baiser et l’aida à virer ses vêtements sales avant de le rejoindre sous la douche. Elle ferma les yeux quelques secondes en laissant l’eau couler sur sa peau, puis elle l’observa descendre plus bas. Le dos contre le mur, elle décida de se laisser aller, savourant ce que son amant lui faisait, et cela jusqu’à la jouissance qu’elle eut bien du mal à garder silencieuse. Puis elle passa ses bras autour du cou d’Elijah et gémit lorsqu’il entra en elle. « -ça m’a manqué... » avant d’ajouter : « -tu m’as manqué... » la voix pleine de plaisir. Un léger rire à la remarque d’Elijah alors qu’elle prenait le savon. « -c’est toi qui l’a cherché. » oui, elle n’y était pour rien dans ce qu’il venait de se passer. C’était lui l’investigateur de tout ça !
Elle sourit en le voyant partir en serviette, avant de prendre le temps de s’habiller de son côté puis de rester debout devant sa valise à moitié faite. « -je te rappelle que je parte ma chambre avec Gemma. Et que si elle nous trouve dans la salle de bain... » ça allait compliquer les choses. « -tu n’auras qu’à dire que c’était de ma faute. Et puis tu penses vraiment que si tu expliques ce qui vient de ce passer, je ne parle pas de la douche hein… tu penses vraiment que la direction le prendra mal ? » elle prit place sur le bout du lit et ajouta : « -je ne sais pas ce qui m’énerve le plus. La débilité de nos collègues ou la non réactivité de l’encadrant du séminaire. Enfin je sais pas, ça me choque tout de même. Pas toi ? » elle regarda sa valise puis Elijah et ajouta : « -je vais allée lui parler. Je veux qu’il revois son programme. Il se démerde comme il veut, il demande un autre intervenant mais je pense vraiment que la question d’égalité des sexes au travail, et le respect de ça dans l’équipe, c’est quelque chose d’important. » au bout de quelques secondes elle haussa les épaules. « -j’en ai marre. J’ai envie de rentrer. » un regard pour Elijah et elle ajouta : « -mais je vais faire un effort pour que tu sois trop emmerdé par la direction. » elle se leva en disant cela, et embrassa Elijah avec douceur. Ce fut à ce moment là que Gemma décida d’entrer sans frapper. Elle se confondit en excuses. Ça n’était pas quelqu’un qui faisait des vagues ou parlait trop. Plus le genre de femme qui avait besoin d’aide et de lire les articles que Madison écrivait. « -bon ba voilà… comme ça tu es au courant. » elle regarda Elijah puis Gemma et décida de dire : « -gardes ça pour toi s’il te plais. On ne veut pas que ça soit révélé par des bruits de couloirs. Et si c’est le cas, on saura que ça vient de toi. » la petite touche de menace à la fin qui passait bien. Un regard pour Eli : « -on se vois tout à l’heure ? » avant de le regarder partir et de décider de parler avec sa colocataire. Si elle jouait les bonnes copines, peut être que ça aiderait le silence. Quelques heures plus tard, elle rejoignait Elijah au bar de l'hôtel. "-ok je veux qu'on officialise." lâcha la jeune femme après avoir commandé une margarita. "-et c'est pas à cause de Gemma. C'est bon maintenant c'est ma copine. On en a pas reparlé mais j'ai eu le temps d'y réfléchir. Et je... je veux que ça devienne officiel. qu'on arrête de se cacher au taf. Et ailleurs. Je me disais qu'on pouvait faire ça la semaine prochaine." pas ici, pas après l'embrouille de cette après midi ni leur petit jeu de rôle des jours précédant.
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Manhattan Redlish
Mer 9 Mar - 21:41
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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En la voyant partir aussi vite après son altercation avec les trois hommes au sujet de leur comportement primaire, Elijah avait décidé de la talonner pour lui parler. Il connaissait le côté impulsif de la belle brune, et ne fut pas vraiment étonné de la voir faire sa valise, prête à rentrer à Los Angeles. Le journaliste s’approcha donc d’elle, la laissant déverser sa colère, en répondant simplement un « Je comprends… » sincère, puis se plaça entre elle et son bagage. Il voulait qu’elle reste, pas pour le sermon qu’il risquait d’avoir de la part de son supérieur, mais parce qu’il ne se voyait pas poursuivre le séminaire sans elle. C’était déjà assez difficile avec cette distance qu’ils s’imposaient, alors la savoir à plusieurs kilomètres de lui. Non, il ne le souhaitait pas. Il décida donc de faire en sorte qu’elle se détende et l’attira jusque dans la salle de bain, fermant la porte à clef pour ne pas être surpris en pleins ébats. Parce que c’était bien ce qu’il avait prévu. Il avait envie d’elle et sourit alors qu’elle tentait de le contrer. Il lui retira tout de même ses vêtements et poursuivit en la voyant sourire « Si tu ne veux pas, on peut s’arrêter là, mais ça serait dommage. Je t’ai prévu quelque chose que tu aimes vraiment beaucoup » et déposa ses lèvres sur les siennes avant d’entrer sous l’eau chaude. Il se concentra sur l’unique plaisir de Madison dans un premier temps avant de la faire sienne, souriant en entendant les mots de son amante « Toi aussi » et lui fit l’amour jusqu’à atteindre l’orgasme.
Ce fut qu’en reprenant pleinement ses esprits qu’il se rendit compte que sa petite partie de jambes en l’air improvisée se déroulait dans la chambre de Madison et de sa colocataire, et qu’il allait devoir traverser le couloir pour trouver des vêtements propres. Au moins, cela eut pour effet de faire rire la belle brune et c’était tout ce qui comptait « Je ne regrette pas. C’était vraiment bon » et se hâta jusqu’à sa chambre pour se vêtir correctement. Lorsqu’Elijah revint dans la chambre, il tenta de la convaincre de rester, et se mit à rire « J’ai toujours ma chambre au bout du couloir » en haussant les épaules. Puis son sourire disparu en voyant qu’elle semblait décidée. Il s’approcha de cette dernière qui venait de prendre place sur le rebord du lit et s’accroupit devant elle, posant ses mains sur ses genoux. Elle lui extirpa tout de même un bref sourire en évoquant la douche avant qu’il ne reprenne son sérieux « Tu me poses sérieusement la question ?! Je me suis retenue de balancer mon poing dans la gueule des deux abrutis… Tu n’as pas idée à quel point ça a été difficile pour moi de me retenir aussi longtemps alors qu’il parlait de toi, la femme à qui je tiens, comme si tu étais une voiture chez un concessionnaire. Mais si ma réaction était trop forte, ils auraient tous su pour nous ou aurait considéré ma réaction disproportionnée pour un simple patron » et se redressa sur ses jambes « Je pense que c’est une bonne idée et je viendrais avec toi pour appuyer ton idée ». Même si après la petite prise de tête de tout à l’heure, Francesco n’allait sûrement rien refuser à la belle brune. « Si tu veux vraiment rentrer, vas-y. Je me démerderais avec la direction. C’est juste que… » et haussa les épaules timidement « Je n’ai pas envie que tu rentres. Même si on est obligé d’être discret, tu es quand même là et ça rend tout ça quand un peu plus agréable » en lui souriant avec douceur. Il lui rendit ensuite son baiser en posant sa main sur sa joue, avant d’être interrompue par Gemma, ce qui fit reculer Elijah d’un pas, comme un adolescent prit en faute. Il fut presque interloqué par la réaction de Madison qui était si… décontractée. Il se retint de sourire devant la petite menace implicite, puis la regarda et acquiesça « Oui, pas de souci » et quitta la chambre tout en saluant Gemma d’un signe de main presque mal à l’aise.
Quelques heures plus tard, Elijah s’était autorisé un fond de scotch après cette journée pour le moins mouvementé et tourna la tête vers Madison qui venait de le rejoindre. Il haussa les sourcils, surpris par ses mots, puis se mit à sourire « C’est vrai ? » et ajouta, en parlant en même temps qu’elle « On appelle ça le syndrome de Stockholm » et acquiesça, riant plus par surprise par la décision de Madison qu’autre chose. Il prit une gorgée de son verre et reporta son attention sur la jeune femme « On franchit une nouvelle étape, tu t’en rends compte ? Je veux dire, ce n’est pas rien » avant d’ajouter aussitôt « Ne crois pas que je fasse marche arrière. Au contraire, je suis heureux que tu ais pris cette décision » et vérifia qu’ils étaient seuls dans le bar. Ce qui était le cas et embrassa son cou, avant de prendre une gorgée du verre à Madison, grimaça sous le goût « Ok ! Comment tu fais pour boire ça ?! » et prit une gorgée de son propre liquide « Maintenant que Gemma est au courant, tu pourrais peut-être passer la nuit avec moi ? Eh non, je ne parle pas de sexe, je parle de dormir tous les deux. Enfin, on peut aussi s’envoyer en l’air juste avant, mais pas d’orgasme alors, sinon on va se faire avoir » en la taquinant un peu.
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Charly
Jeu 10 Mar - 21:06
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Madison avait un sourire sur les lèvres lorsqu’il quitta sa chambre avec seulement une serviette de bain autour de la taille. Tout en s’habillant de son côté, elle savourant l’instant qui venait de se passer, l’imprégnant dans son esprit. Sacrée réconciliation ! Comme elle lui avait dit, il lui avait manqué. Pas seulement le sexe ou les orgasmes divins qu’il était capable de lui offrir. Non, c’était la totalité de l’homme dont elle était en manque. Finalement elle n’avait pas prononcé des je t’aime comme lui sur la plage, mais les sentiments étaient bien là. Sinon, elle ne serait pas là en train de sourire comme une idiote. Et pourtant malgré tout ça, elle avait vraiment envie de partir. Ce séminaire était une sorte d’écran de fumée. Ils n’étaient pas complet et elle trouvait cela vraiment incroyable, surtout à l’air du metoo.
Un léger sourire face à la comparaison qu’il employa. « -je comprends... » il n’avait pas réagit tout de suite à cause de cette confidentialité qu’ils tenaient à garder. Enfin qu’elle tenait. Parce que lui, il en avait marre du secret. Il avait été claire sur la question. « -ok ça me va. » ajouta la jeune femme quant à aller parler du souci de la formation et de demander une mise à jour. Puis elle le fixa du regard quelques instants, avant de sourire avec douceur. Et puis bien entendu de se foutre de sa gueule : « -mais à part ça t’es pas du tout romantique comme garçon ! » reste c’est moins douloureux lorsque je te vois ! Ça la faisait rire, même si en réalité, elle trouvait adorable. Elle lui confia rester : « -pas pour toi, juste pour voir la moustache me faire des excuses et ramper. » précisa t elle avant de l’embrasser en souriant.
Quelques heures plus tard, c’était son tour d’envoyé sa bombe. Elijah voulait avancer, voulait pouvoir lui tenir la main où l’inviter au resto. Elle comprenait. Alors elle avait prit le temps de réfléchir à la question. « -non je déconne ! » répliqua Maddy avant d’ajouter en prenant son verre : « -bien sur que je suis sérieuse ! » elle ne serait pas revenu sur le sujet sinon. « -n’importe quoi ! T’es pas mon ravisseur ! Toi tu es ravisant ! Ouais ok elle était nulle, j’avoue. » qu’est ce qu’elle aimait lorsqu’ils parlaient en même temps pour dire des conneries. « -oui j’en suis bien consciente. Tu me fais quoi ? Tu veux m’en dissuadé ? Tu as changé d’avis ? » elle avait dit cela avec le sourire, sachant que ça n’était pas le cas.
« -pour éviter que tu me piques mon verre. » avait elle répondu en riant devant la grimace qu’il venait de faire. « -je sais pas. Elle avait besoin de discuter je crois. Tu savais qu’elle lisait mes articles religieusement ?! » ça avait été une belle surprise pour la journaliste. « -et heu… pour ce qui est de l’officialisation, je sais que c’est une étape importante. J’y ai beaucoup réfléchit. Je ne te cache pas que ça m’angoisse un peu. Parce que ça sonne un peu comme un truc de non retour. Enfin c’est pas les bons mots mais… je veux dire pas droit à l’erreur, pas de retour en arrière. Après la terre entière est au courant. » elle leva la main pour qu’il la laisse finir : « -et puis après… je me suis souvenu que tu as dis que le seul regard qui devait compter c’était le mien, et aussi un peu le tien. Donc… à partir de lundi on peut ouvertement coucher ensemble sur ton bureau ! » un trait d’humour pour finir, juste histoire de rendre ça moins important. Même si ça l’était. Vraiment.
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Jeu 10 Mar - 21:34
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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En tant qu’homme, Elijah n’avait jamais connu les remarques déplacées, le harcèlement sexuel ou encore le sexisme. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de comprendre le ressenti de la jeune femme qui voulait partir de ce séminaire face au comportement de ses collègues, et de l’organisateur du séminaire. Lui-même s’était offusqué du comportement de ces hommes, et s’ils n’avaient pas le nez en sang, c’était pour garder leur relation secrète, comme le souhaitait Madison. Parce que ça n’avait pas été l’envie qui lui avait manqué. Évidemment, dès leur retour au bureau, Elijah allait tenter de convaincre son PDG pour licencier ces derniers et ne plus collaborer avec le troisième à l’avenir. Telle était sa réaction en tant que supérieur, à défaut de pouvoir exprimer celle de petit-ami aux yeux de tous « S’ils avaient insisté ou auraient eu un geste malencontreux, comprends bien que relation secrète ou non, ils seraient à l’hosto » rétorqua-t-il en souriant d’une manière à faire comprendre à la belle brune que le secret de leur relation serait passé en second. En tout cas, il était décidé à accompagner la jeune femme pour parler à Francesco et faire une mise au point sur la suite du séminaire, et acquiesça lentement de la tête en voyant que la belle brune n’était pas contre l’idée. Ensuite, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle se moque de lui, le faisant rire tout en détournant le regard « Raaahh ! Je ne suis pas romantique, j’aime juste quand tu es avec moi » et prit un vêtement pour lui jeter au visage « Tu as fini de te foutre de ma gueule ? ». Il haussa ensuite les sourcils « Je ne sais pas si je dois me vexer pour le coup ? » et lui rendit son baiser en souriant.
En attendant patiemment l’arrivée de Madison devant son scotch, il n’aurait pas envisagé une seule seconde qu’elle accepte d’officialiser leur relation alors même qu’elle avait à peine poser ses fesses sur le tabouret. Il passa ensuite par toutes les émotions alors qu’elle précisa, dans un premier temps, que c’était une plaisanterie, avant, dans un second temps, de confirmer que oui, elle avait pris sa décision. Dans un autre endroit, Elijah l’aurait serré dans ses bras en l’embrassant, mais ils n’avaient pas le droit ici. Il rétorqua donc « Tu aimes jouer avec mon cœur fragile de quadragénaire ?! » en plissant les yeux, puis sourit et reprit tout en prenant conscience de ce qu’elle venait de lui annoncer « Je n’en reviens pas » et se mit ensuite à parler en même temps qu’elle, avant de rire « Non, c’était très mignon » et porta son verre à ses lèvres. Il fronça ensuite les sourcils en s’exclamant « Non ! Bien sûr que non ! Je veux juste être sûr que tu prends conscience des enjeux » et qu’elle ne regrette pas sa décision à l’issue.
Le sujet dévia un bref instant alors qu’Elijah goûta la boisson alcoolisée de sa petite-amie, puis grimaça « Tu as réussi ! C’est dégueulasse » et se rinça le gosier à coup de scotch dix ans d’âge, avant de revenir sur le sujet principal de leur conversation. Il fit un signe négatif de la tête « Non. J’en n’avais pas la moindre idée ». Mais il était ravi de voir que Madison parvenait à inspirer des femmes, même au sein du bureau, par le biais de ses articles. Il la laissa ensuite prendre la parole, et n’eut même pas l’opportunité de répondre quoi que ce soit qu’elle le devança d’un signe de main. Elijah se mit donc à sourire avec douceur au fur et à mesure des paroles de la jeune femme, puis se mit même à rire à ces derniers mots « J’aime beaucoup l’idée de m’envoyer en l’air sur mon bureau avec toi ». Puis il observa rapidement les alentours. Ils étaient véritablement seuls dans ce bar. Il glissa alors sa main sur sa cuisse et approcha son visage du sien « On a le droit à l’erreur. Il y aura des hauts et des bas. Des moments difficiles, et des moments de bonheur absolus. Le principal, c’est nous deux. D’accord ?! Et si tu angoisses au moment venu, on pourra toujours reporter. Je veux juste que tu sois en paix avec ta décision. Personnellement, je le suis. Et si jamais on le fait, alors tu n’auras qu’à me voir comme ton point d’ancrage » et posa ses doigts sur son menton pour l’attirer à lui et l’embrasser avec tendresse. Il se recula légèrement et la couva du regard « Je suis très heureux de ta décision ». Il se leva ensuite de son siège, paya la note et caressa le dos de Madison « J’ai envie de faire un tour dans le parc, tu viens ? ».
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Charly
Ven 11 Mar - 12:05
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Un léger sourire. La réaction d’Elijah l’attendrissait. Pourtant elle répondit : « -tu penses sincèrement que je n’ai jamais mis mon genou dans l’entre jambe d’un mec ? » en penchant légèrement la tête sur le côté. Ça n’était pas la première fois que ça arrivait. Ça ne serait pas la dernière. « -tu te serais retrouvé en prison et ça aurait foutu en l’air notre séminaire si sympathique. » ajouta t elle encore en lui souriant plus tendrement. « -j’apprécie l’idée… crois moi… mais les mots c’est mieux que les actes parfois. » elle ne tenait pas à ce qu’il casse la gueule à qui que se soit. Elle enchaîna en se foutant de lui parce qu’elle adorait ça et que l’occasion était trop belle. « -j’ai pas dis que j’aime pas ça... » précisa Maddy alors qu’il clamait à nouveau ne pas être un romantique. Elle se mis à rire en récupérant ses affaires : « -roh ça va tu adores ça et je suis certaine que ça t’as manqué ! »
Gemma les avait surpris ensuite. Maddy avait prit le temps de discuter avec elle, de lui expliquer que c’était important qu’elle garde le secret. Que pour le moment c’était mieux ainsi. Elle lui avait demandé si elle pouvait lui faire confiance. Et puis sans savoir comment, elles en étaient venus à parler de ses articles, des femmes, de l’attitude déplacé des hommes durant l’exercice. Et finalement Madison avait rejoint Elijah au bar en ayant la certitude que sa colloc de chambre ne dirait rien. Parce contre de son coté, elle avait à parlé à Elijah et elle le fit d’entrer, avant même d’avoir posé ses fesses sur le tabouret. « -n’importe quoi ! J’aime me foutre de toi, tu le sais assez bien ! » elle lui sourit tout en prenant une gorgée du cocktail et râla : « -oui ba ça va, c’est pas non la nouvelle du siècle ! On s’est bien compliqué la vie en tout cas. » ils devaient apprendre à communiquer convenablement !
« -c’est bon, j’ai réfléchis et j’ai pris ma décision. Alors ne me parle pas d’enjeux parce que j’ai pas envie de faire marche arrière. » non sa décision était prise pour de bon. Alors elle ne voulait pas y réfléchir de nouveau. Elijah semblait bien trop heureux qu’elle ait dit oui ! « -comment ça dégueulasse ?! Abuses pas ! Et puis chacun ses gouts d’abord ! » elle lui tira la langue avant de reprendre son verre entre les mains. « -et bien c’est parfait ça ! Mais pour ce qui est du sexe, on a jamais trop de souci pour être d’accord et s’entendre. » c’était un constat et une vérité. « -hein ? Non ! Et puis de toute façon tu vas pas annoncé ça en faisant une présentation de dix pages ! Y’a même pas besoin de communiqué officiel si ? » en fait elle n’y avait pas réfléchit à ça. Elle s’était dit que ça allait se faire tout seul. Elle fit ensuite ce O parfait avec ses lèvres : « -mon point d’ancrage, rien que ça ! » elle sourit en plissant le nez avant de lui rendre son baiser. « -je sais, ça se vois. » puis elle hocha la tête en se levant, finissant rapidement le fond de son verre pour le suivre.
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