Rien n'est jamais trop tard, même pour l'amour ft. Monkeymama
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Mar 29 Mar - 13:24
Chuck Hamilton
J'ai 26 ans et je vis dans les Hamptons, USA. Dans la vie, je suis paumé et je m'en sors très bien grâce à papa et maman. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
« You asked me to dance and I said, dancing is a dangerous game. »
Chuck Hamilton n’a jamais su quoi faire de sa vie. Il a tenté de faire des études, il les a abandonnées. Il a tenté d’avoir un boulot, il a démissionné. Il a fait un tour du monde, il est rentré à mi-parcours. Et il est de retour chez ses parents, tout penaud, les poches vides. Heureusement, les parents Hamilton sont patients avec lui. Faut dire qu’ils l’aiment beaucoup leur petit dernier et que c’est toujours un plaisir de l’avoir à la maison pour le traiter comme un petit garçon. C’est pas un mauvais bougre mais ce traitement de faveur l’agace. Il se sent privilégié sans jamais l’avoir mérité, il n’a jamais eu le sentiment de s’accomplir en tant qu’homme. Plutôt réservé, Chuck cache en réalité un vrai talent pour l’écriture. Il couche sur le papier régulièrement ce qu’il ressent sous forme de poèmes et même de nouvelles. S’il croyait en lui, il se lancerait dans un roman mais, le problème, c’est que Chuck n’a jamais cru en lui. Il ne se déplace presque jamais sans son appareil photo, qu’il utilise avec brio pour capturer des moments de la vie. Il est gâté dans la vie, Chuck, il le sait, mais il ne sait pas comment en profiter. Alors il brule tout par les deux bouts et ça lui vaut des grosses sessions de déprime qu’il exorcise en faisant la fête. De temps en temps, il lui arrive de se poser dans une relation amoureuse mais ça ne dure jamais bien longtemps. Il est d’une douceur folle et d’une grande tendresse quand ce n’est pas gâché par son impulsivité.
Et il y a peu de choses pour lesquelles Chuck se donne les moyens. L’amour en fait définitivement parti. Il serait prêt à tout et ne reculerait devant aucune concession. Alors, évidemment, il n’était pas prête de la lâcher Holly. Le jeune homme a cette fâcheuse manie de voir loin, de projeter ses attentes haut. C’est tout ou rien. Sans demi-mesure. L’amourette de vacances, ce n’est pas pour lui et il avait bien l’impression que Holly l’avait compris. Il l’avait dit… Dès leur première rencontre dans cette boite de nuit, il le lui avait dit. Par amour, il pouvait aller loin et se montrer patient. Sauf que dans ce cas précis, sa patience n’a pas réellement été mise à mal. Comme si Holly non plus ne pouvait plus attendre, ils avaient accéléré les choses entre eux et pour rien au monde le jeune Hamilton ne s’en plaindrait. C’était parfait. Il en avait des étoiles dans les yeux et des papillons dans le ventre. C’était infiniment rare mais il se sentait à sa place. Il était précisément là où il devait être. Chuck s’était mis à rire quand Holly avait dit qu’elle allait leur organiser une séance de yoga en couple. C’était toujours absolument ahurissant de s’imaginer en faire mais il avait bel et bien fini par accepter. « Moi je crois, qu’au contraire, je suis vraiment prêt… » qu’il avait soufflé, laissant planer un sous-entendu à peine voilé. Non, Chuck ne parlait pas que du yoga. Il parlait également de tout le reste. Ce que la jolie décoratrice d’intérieur pouvait lui donner, il prendrait. Il se doutait que ce ne serait pas si simple. Après tout, elle a été toute sa vie avec un autre type qui l’a lamentablement planté il y a six mois. Mais… Oui, il y croyait férocement quand même. Le jeune homme fait une petite moue quand elle lui dit qu’elle retourne à New-York en septembre. Ce n’est qu’une heure de route, c’est pas la mort… Mais ce serait tout de même vachement moins pratique que d’avoir qu’une rue à traverser. Et d’un autre côté… Vivre cette idylle loin du regard de ses parents, ce n’était sans doute pas plus mal. Sans compter que si elle se projetait jusqu’à septembre avec lui, c’était très bon signe. La moue se transforma alors en sourire. Ca ira. « Madame la New-Yorkaise. » qu’il la taquina en frôlant le bout de son nez dans ses cheveux. L’espace d’un instant, Chuck imagina la vie que sa belle avait à New-York. Etait-ce une vie sous pression avec un agenda bien rempli ? Sa vie serait alors à l’opposé de la sienne. Est-ce qu’elle lui en tiendrait rigueur un jour. Elle semblait penser que non aujourd’hui mais dans les faits… Elle pourrait très bien se lasser du manque d’ambition de son partenaire. Pour l’heure, elle se montrait plutôt rassurante et Chuck appréciait ça. « Je crois que j’aimerais juste être passionné. C’est un peu bête sûrement. » Chuck le savait, peu de gens pouvaient se payer le luxe d’être passionnés par leur travail. Si son problème en était un, c’était celui d’un enfant de privilégiés. Holly s’était écartée et, main dans la main, ils avaient rejoint leurs affaires. Chuck s’installa et prit de quoi boire dans un premier temps pour servir Holly et se servir au passage. Et c’est là que l’info cruciale était arrivée, à savoir l’âge de Holly. Trente-six ans… Ok. Il l’avait située plus proche des trente ans mais ça ne le dérangeait en rien. Neuf ans de différence donc puisque Chuck allait fêter lui-même ses vingt-sept ans d’ici peu. « Bien sûr ! » qu’il avait répondu sans même réfléchir. « Je louperais ça pour rien au monde. Tu attends du monde ? » qu’il avait tout de même demandé, légèrement anxieux à l’idée de devoir paraitre bien devant trop de monde.
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Dim 3 Avr - 15:24
Holly Sullivan
J'ai 36 ans et je vis à dans les Hamptons pour le moment, Long Island, New-York. Dans la vie, je suis décoratrice d’intérieur et je m'en sors vraiment très bien, même si je suis en pause pour le moment. Sinon grâce à ma malchance je suis divorcée et je le vis très mal, je ne parvins pas à faire le deuil de vingt ans de relation.. Après son divorce, Holly décide d'aller se ressourcer dans les Hamptons afin de faire le point sur sa vie, mais aussi de tenter de faire le deuil de sa relation de presque vingt ans avec Paul. Celui qui est devenu il y a quelques mois son ex-mari. Dans sa maison de vacances des Hamptons, elle fait la rencontre de Chuck dans une boite de nuit du coin et ce qu'on peux dire s'est qu'ils ont vite accrochés au point d'échanger un baiser. Mais malade à cause de l'alcool, Holly prends la fuite un peu gênée de ce qu'il s'est passé entre eux. Ils se retrouvent un peu par hasard dans la maison de Chuck, car surprise, Holly est la voisine de la famille du jeune homme et après une dispute à table, la brunette reçoit une invitation au mariage de son ex mari, mettant fin à la guerre froide avec le fils Hamilton. Un peu plus tard, Chuck vient lui rendre un carnet de croquis qu'elle avait oublié et chacun présente ses excuses à l'autre. Viens une douce soirée entre elle et lui, ou il est maintenant plus que clair qu'une idylle est en train de naitre.
"Certains sourires sont des promesses d'avenir..."
Minka Kelly
Remettre le yoga sur le tapis n’était peut-être pas la meilleure chose à faire finalement. Surtout après le sous-entendu à peine voilé de Chuck, lui révélant qu’il est plus prêt qu’elle ne l’imaginait. Et il y a avait de quoi se demander à quoi il était prêt, tout en sachant qu’elle avait, il y a quelques minutes, explicité que la pratique du yoga en couple avait certains bénéfices. Holly ne peut donc s’empêcher de jeter un coup d'œil au jeune homme, les joues un peu roses, même si elle se doute qu’il ne devait pas faire référence qu’aux rapports physiques qu’il finirait par y avoir entre eux. Mais tout de même, c’est un petit peu troublant tout ça. Cependant, selon elle ce n’est pas le moment de penser à ça. Pas alors qu’ils sont collés l’un à l’autre, avec peu de tissus recouvrant leur corps.
— J’ai hâte de te voir dans la position du lotus alors, répond-t-elle en riant même si sa voix part un peu dans les aigus sur la fin.
Elle poursuit ensuite sur le futur et notamment en expliquant qu’en septembre elle va devoir retourner à New-York ou toute sa vie se trouve. C’est donc vraiment une aubaine que Chuck vive dans les Hamptons. Certes, une heure de route est un peu plus contraignant que de traverser la rue, mais c’est toujours mieux que l’autre bout du pays. Et puis, ce sera aussi l’occasion pour eux de poursuivre leur relation avec la vie de tous les jours et voir comment ils tiennent face à la réalité du quotidien, loin de cette parenthèse enchantée à la mer. Surtout qu’elle risque d’être pas mal occupée avec son travail, ses loisirs et ses autres obligations de fille de riches, notamment avec les innombrables gala de charité auxquels elle participe le reste de l’année. La jolie brunette aura donc moins de temps pour lui contrairement à maintenant, mieux vaut donc en profiter tant qu’ils le peuvent. Elle rit en l’entendant la taquiner sur sa vie à New-York.
— Jusqu’au bout des ongles. Tellement que je vis même dans l’Upper East side. Rends toi compte !
En effet, on ne peut pas faire plus cliché que ça. Elle tente ensuite de rassurer Chuck au sujet de son avenir professionnel, il semble inquiet de ne pas avoir encore trouvé sa voix. Ce qu’elle peut tout à fait comprendre et doit être la cause de nombreuses interrogations, mais il est encore jeune, il a encore du temps devant lui. En plus, elle ne sait pas pourquoi elle a ce genre de certitude à son propos, mais Miss Sullivan sait qu’il trouvera sa voix et quand ce jour arrivera, il brillera comme jamais.
— Non ce n’est pas bête, au contraire, il n’y a pas meilleur moteur que la passion pour nous faire avancer dans la vie. Et je suis sûr que tu dois en avoir, peut-être creuser de ce côté-là non ?
Retournant à leurs serviettes, la décoratrice d'intérieur évoque son anniversaire et propose à Chuck d’y venir, parce que ça lui ferait plaisir et leur permettrait de se voir dans un autre cadre que les Hamptons. Comme un avant-goût de New-York.
— Ça me fait drôlement plaisir que tu veuilles venir ! S'exclame-t-elle joyeusement après qu’il eut accepté. Holly dépose un baiser sur la joue du jeune homme, avant de sortir de quoi piquer-niquer le sourire aux lèvres et de lui tendre ses california maki.
— Je ne sais pas trop, avoue-t-elle en faisant la moue et en rougissant à vue d'œil. Ce sont mes parents qui organisent les festivités, ne me demande pas pourquoi. Je suis bientôt quarantenaire et ils continuent d’organiser mon anniversaire.
La brunette secoue la tête en grimaçant légèrement, pas faute de leur avoir demandé pourtant, mais ça leur fait tellement plaisir.
— Sache juste que ce sera très chic et qu’il faudra venir en costume.
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Mar 12 Avr - 17:32
Chuck Hamilton
J'ai 26 ans et je vis dans les Hamptons, USA. Dans la vie, je suis paumé et je m'en sors très bien grâce à papa et maman. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
« You asked me to dance and I said, dancing is a dangerous game. »
Chuck Hamilton n’a jamais su quoi faire de sa vie. Il a tenté de faire des études, il les a abandonnées. Il a tenté d’avoir un boulot, il a démissionné. Il a fait un tour du monde, il est rentré à mi-parcours. Et il est de retour chez ses parents, tout penaud, les poches vides. Heureusement, les parents Hamilton sont patients avec lui. Faut dire qu’ils l’aiment beaucoup leur petit dernier et que c’est toujours un plaisir de l’avoir à la maison pour le traiter comme un petit garçon. C’est pas un mauvais bougre mais ce traitement de faveur l’agace. Il se sent privilégié sans jamais l’avoir mérité, il n’a jamais eu le sentiment de s’accomplir en tant qu’homme. Plutôt réservé, Chuck cache en réalité un vrai talent pour l’écriture. Il couche sur le papier régulièrement ce qu’il ressent sous forme de poèmes et même de nouvelles. S’il croyait en lui, il se lancerait dans un roman mais, le problème, c’est que Chuck n’a jamais cru en lui. Il ne se déplace presque jamais sans son appareil photo, qu’il utilise avec brio pour capturer des moments de la vie. Il est gâté dans la vie, Chuck, il le sait, mais il ne sait pas comment en profiter. Alors il brule tout par les deux bouts et ça lui vaut des grosses sessions de déprime qu’il exorcise en faisant la fête. De temps en temps, il lui arrive de se poser dans une relation amoureuse mais ça ne dure jamais bien longtemps. Il est d’une douceur folle et d’une grande tendresse quand ce n’est pas gâché par son impulsivité.
La position du lotus ? Chuck avait plissé les yeux. Il n’avait aucune idée en quoi ça consistait mais, franchement, il s’y voyait déjà très mal. Il le voyait venir à des kilomètres : il serait ridicule. Seulement, pour les beaux yeux de Holly… Il était bien capable de prendre le risque de se ridiculiser. Et dans un sens il l’avait déjà été… ridicule. Il avait des souvenirs d’une petite gueguerre en plein milieu d’un repas avec ses parents qui lui rappelait à quel point il n’avait rien à perdre tout compte fait. « Tu ne sera pas déçue. » qu’il gloussa à son tour, sans doute aussi amusé qu’elle de s’imaginer en train de faire du yoga. Chuck avait cette capacité, celle de ne pas se prendre au sérieux. Ça venait sûrement de pair avec le fait qu’il était incapable de croire un peu en lui. La conversation dévia sur la vie de Holly à New-York. Chuck aimait bien la grosse pomme mais ce qu’il aimait vraiment à propos de la ville, c’était de pouvoir la quitter et rentrer chez lui. Il n’était pas certain d’être fait pour ce train de vie là. Tout allait trop vite, tout le temps, il aurait sans doute l’impression d’être laissé sur le carreau. Et pourtant, il allait devoir faire des efforts à ce sujet s’il voulait qu’une relation avec Holly marche. L’Upper East Side. Chuck avait sourit. Evidemment. Où aurait-elle pu habiter sinon ? Heureusement, quand on porte le nom Hamilton l’argent n’a rien d’impressionnant. « Je me rends bien compte. Vous n’êtes pas n’importe qui madame Sullivan. » qu’il avait dit en feignant un grand sérieux avant d’éclater de rire à nouveau. Il la taquinait mais il ne se moquait pas. Son univers n’était sans doute pas si loin du sien pour ce qui était de son aspect financier uniquement. Peut-être qu’un jour ils en parleraient… Pour l’instant, c’était peut-être un peu trop tôt. Même cette conversation sur ce qui le passionnait lui paraissait d’un coup un peu trop soudaine. Il n’était pas sûr d’avoir vraiment envie d’en parler, il n’avait pas vraiment envie de la décevoir si tôt dans la relation. Bien sûr que Chuck avait des passions… Il ne croyait simplement pas en ses talents pour décider d’en faire son métier. Alors, d’un geste désinvolte de la main, il esquiva : « Tu as raison. » Et si son ton s’était fais distrait, il demeura totalement impliqué quand la question de l’anniversaire de Holly arriva sur le tapis. Bien sûr qu’il y serait. Le baiser qu’il avait reçu sur la joue, preuve manifeste que Holly était ravie qu’il ait accepté son invitation, avait eu le mérite de lui donner l’air béas d’un adolescent à son tout premier rendez-vous amoureux. Et, très vite, la béatitude fut remplacée par la surprise. Une fête organisée par ses parents… Donc ils seraient là ? Un costume ? Wow, Chuck ressentait d’un coup une grosse pression qui ne manqua pas de le faire rougir légèrement. « Ok… Je veux dire, oui, c’est génial. Ok ! » qu’il avait dit en évitant de laisser paraitre son anxiété. Ses parents, ses amis, ça ferait beaucoup d’un coup… Mais c’était Holly, Chuck s’y était attendu. Pour espérer avoir une femme pareille dans sa vie, il allait devoir se surpasser. « Et toi, tu viendras habillée comment ? » qu’il demanda ensuite, plus jovial, en clignant des yeux pour feindre l’innocence. Il attaqua ensuite ses précieux sushis avec appétit.
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Dim 17 Avr - 14:53
Holly Sullivan
J'ai 36 ans et je vis à dans les Hamptons pour le moment, Long Island, New-York. Dans la vie, je suis décoratrice d’intérieur et je m'en sors vraiment très bien, même si je suis en pause pour le moment. Sinon grâce à ma malchance je suis divorcée et je le vis très mal, je ne parvins pas à faire le deuil de vingt ans de relation.. Après son divorce, Holly décide d'aller se ressourcer dans les Hamptons afin de faire le point sur sa vie, mais aussi de tenter de faire le deuil de sa relation de presque vingt ans avec Paul. Celui qui est devenu il y a quelques mois son ex-mari. Dans sa maison de vacances des Hamptons, elle fait la rencontre de Chuck dans une boite de nuit du coin et ce qu'on peux dire s'est qu'ils ont vite accrochés au point d'échanger un baiser. Mais malade à cause de l'alcool, Holly prends la fuite un peu gênée de ce qu'il s'est passé entre eux. Ils se retrouvent un peu par hasard dans la maison de Chuck, car surprise, Holly est la voisine de la famille du jeune homme et après une dispute à table, la brunette reçoit une invitation au mariage de son ex mari, mettant fin à la guerre froide avec le fils Hamilton. Un peu plus tard, Chuck vient lui rendre un carnet de croquis qu'elle avait oublié et chacun présente ses excuses à l'autre. Viens une douce soirée entre elle et lui, ou il est maintenant plus que clair qu'une idylle est en train de naitre.
"Certains sourires sont des promesses d'avenir..."
Minka Kelly
Difficile pour Holly de rester sérieuse face au visage de Chuck, mais surtout à cause de ses yeux se plissant, alors qu'ils échangent sur leurs futures séances de Yoga. C'est sûr que lorsqu'on a jamais pratiqué, c'est une pratique qui peut sembler un peu ridicule pour certains. Mais la gêne finit toujours pas s'effacer, parce qu'au final, les autres participants sont également dans une position aussi incongrue que soi-même. De sorte qu'on finit par se concentrer uniquement sur ses mouvements et les sensations qui se produisent en son for intérieur, en plus de ça, la sensation de bien être est telle que le soir, s'endormir devient presque un jeu d'enfant. Que du bon en somme.
— Je sais et je sais aussi que ça va te plaire, ne serait qu'à me regarder pratiquer n'est-ce pas ?
La brunette hausse un sourcil et un sourire en coin se dessine sur ses lèvres. Le jeune homme saura très bien à quoi elle fait référence, puisqu'il y a tout juste deux heures, il était en train de l'observer faire du Yoga avec ses amis. Bien sûr, la presque quarantenaire ne sait pas s'il matait, ou regardait de façon tout à fait neutre, mais elle trouve ça amusant de le taquiner un peu. Holly en vient ensuite à lui parler de sa vie à New-York, mais aussi du quartier iconique de la grande pomme où elle vit et cette fois, c'est Chuck qui l'embête gentiment avec ça. Même si à bien y réfléchir, c'est elle qui lui a tendu la perche.
— Je n'irais quand même pas jusque-là, répond-t-elle en riant. Certes, les Sullivan ont de l'argent...
Beaucoup d'argent devrait-elle dire.
— Mais il y a des gens qui pèsent bien plus lourd que nous à New-York, reprend la jolie brune. Dooooonnncccc... Pas besoin de me servir du “vous”, jeune homme.
Elle lui pince doucement la joue en faisant une petite moue, avant qu'ils n'échangent sur les choses qui les passionnent tous les deux. Bien que Chuck semble plutôt réservée sur ce point, même si elle ne saurait dire exactement pourquoi, c'est plus comme un ressenti que comme une certitude. De sorte que Holly ne creuse pas plus loin la question, du moins pour le moment, car elle reviendra indubitablement à la charge, parce qu'elle aimerait en découvrir plus sur lui et que les choses qui l'animent en font partie. Elle sait déjà qu'il fait de la photo et d'ailleurs à ce propos...
— J'aimerais bien voir tes photos s'il te plait !
Holly tend les mains pour qu'il lui donne son appareil et qu'elle puisse voir les images qu'il a pu capturer, mais elle lui offre aussi un sourire un brin séducteur histoire qu'il n'y réfléchisse pas à deux fois. Ce n'est absolument pas un piège, mais une façon de l'encourager à lui montrer ce qu'il fait. Rien de plus ! La décoratrice en vient également à lui proposer de venir à son anniversaire qui aura bientôt lieu et alors qu'elle explique un peu le déroulé de l'événement, son petit-ami, parce c'est ce qu'il est en train de devenir, semble soudainement s'alarmer de certains point qu'elle vient d'évoquer.
— Relax Chuck, c'est juste mon anniversaire et pas une présentation officielle à mes parents et mes amis...
La brunette marque une pause et masse doucement sa nuque, elle ne veut absolument pas que le jeune homme vive ça comme un moment stressant. Ce n'est pas le but d'un anniversaire après tout.
— Je peux te présenter comme un bon ami si tu préfères ? Je comprends tout à fait que rencontrer mes parents dans un tel contexte et après plusieurs jours de relation puisse être anxiogène. Enfin, dis moi ce que tu veux que je fasse pour que tu te sentes aussi à l'aise que possible ok ?
Holly imite ensuite Chuck et commence à grignoter quelques biscuits salés, tout en méditant la question. Qu'est-ce qu'elle va mettre ce jour-là ? Elle doit avoir pleins de robes, mais elle sait très bien que le moment venu, rien ne sera à son goût, bonjour les problèmes de riches.
— Hum, si tu veux, on ira faire du shopping ensemble et c'est toi qui choisira ma robe ? Ça peut être amusant et ensuite, on ira dans ma boutique de glace préférée !
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Jeu 28 Avr - 7:07
Chuck Hamilton
J'ai 26 ans et je vis dans les Hamptons, USA. Dans la vie, je suis paumé et je m'en sors très bien grâce à papa et maman. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
« You asked me to dance and I said, dancing is a dangerous game. »
Chuck Hamilton n’a jamais su quoi faire de sa vie. Il a tenté de faire des études, il les a abandonnées. Il a tenté d’avoir un boulot, il a démissionné. Il a fait un tour du monde, il est rentré à mi-parcours. Et il est de retour chez ses parents, tout penaud, les poches vides. Heureusement, les parents Hamilton sont patients avec lui. Faut dire qu’ils l’aiment beaucoup leur petit dernier et que c’est toujours un plaisir de l’avoir à la maison pour le traiter comme un petit garçon. C’est pas un mauvais bougre mais ce traitement de faveur l’agace. Il se sent privilégié sans jamais l’avoir mérité, il n’a jamais eu le sentiment de s’accomplir en tant qu’homme. Plutôt réservé, Chuck cache en réalité un vrai talent pour l’écriture. Il couche sur le papier régulièrement ce qu’il ressent sous forme de poèmes et même de nouvelles. S’il croyait en lui, il se lancerait dans un roman mais, le problème, c’est que Chuck n’a jamais cru en lui. Il ne se déplace presque jamais sans son appareil photo, qu’il utilise avec brio pour capturer des moments de la vie. Il est gâté dans la vie, Chuck, il le sait, mais il ne sait pas comment en profiter. Alors il brule tout par les deux bouts et ça lui vaut des grosses sessions de déprime qu’il exorcise en faisant la fête. De temps en temps, il lui arrive de se poser dans une relation amoureuse mais ça ne dure jamais bien longtemps. Il est d’une douceur folle et d’une grande tendresse quand ce n’est pas gâché par son impulsivité.
Quand Holly avait affirmé qu’elle était certaine que le yoga allait lui plaire, Chuck avait eu un doute. Mais quand elle avait rajouté qu’il aurait au moins la satisfaction de la regarder faire, tous ses doutes s’étaient effacés. Holly, en tenue de yoga parfaitement moulée de la tête aux pieds ? Mon Dieu, bien sûr qu’il allait adorer la regarder faire. Le jeune homme avait à vrai dire déjà eu un très bon aperçu quelques heures auparavant. La belle brune avait beau être accompagnée, Chuck n’avait eu d’yeux que pour elle. Elle marquait donc un point : la contempler, ça faisait une très bonne raison de se réjouir d’être à ces fameux cours de yoga. « Tu veux dire que moi, je prendrais du plaisir à te regarder pratiquer le yoga comme un affreux pervers ? » Chuck prit un air faussement pensif avant d’éclater de rire et de rajouter : « Oui, peut-être bien. » Et à ça, il avait apposé un sourire complice. Parce que c’est ce qui était en train de se dessiner entre eux : la complicité. Plus le temps passait, plus ils semblaient s’être bien trouvés. Tellement que la décoratrice d’intérieur n’eut aucun mal à inviter Chuck à son anniversaire. Et si l’invitation lui faisait plaisir, ça avait autant le don de le déstabiliser. Il allait rencontrer ses parents, ses amis… En tant que couple ? Il n’en savait même rien. Les Sullivan ont de l’argent. Voilà un point commun qu’ils avaient : des familles aux comptes en banque bien garnis. Chez les Hamilton, la fortune s’est étendue de génération en génération. Ses grands-parents étaient fortunés de naissance, ses parents le sont et lui… Eh bien, lui, il l’était par extension mais il n’en tirait aucun mérite. Il n’avait pas un métier qui le passionnait comme Holly. Ses parents avaient la bienveillance de le laisser se chercher et de financer son train de vie en attendant mais c’était une situation qui pesait le jeune homme. « Y’a des gens qui pèsent bien plus lourd, c’est certain mais… Il n’y a personne comme toi. » qu’il avait dit en souriant. Il n’avait pas besoin de parcourir tout New-York pour le savoir. Holly était exceptionnelle et il l’avait su peut-être à l’instant même où il avait posé les yeux sur elle la toute première fois. Aujourd’hui, elle ne faisait que confirmer ce qu’il semblait avoir aperçu en elle dès le premier jour. « Voir mes photos ? » qu’il avait répété, un brin surpris. Ça n’était pas prévu au programme ça. La belle Holly tendait les bras vers son appareil photo, sourire enjôleur aux lèvres, et Chuck hésitait. C’est qu’il y en avait beaucoup des photos dans cet appareil… « Euh… Ok. » qu’il avait balbutié en lui donnant son précieux appareil. S’ils devaient vraiment engager une relation sérieuse, Chuck ferait mieux de s’habituer à ce genre de partage. Cependant, Chuck manquait tellement de confiance en lui qu’il craignait son jugement. Et si ça ne lui plaisait pas ? Ou pire. Et si elle faisait semblant d’aimer ? Avec un peu d’appréhension, il la regardait manipuler l’appareil avant qu’elle ne détourne son attention en revenant sur sa fête d’anniversaire. Relax, Chuck. Relax. Il avait beau se répéter ses quelques mots, ils ne faisaient pas écho dans son esprit. Ce n’était pas relaxant. Clairement, il se mettait déjà une pression énorme pour que ça se passe au mieux. A cet anniversaire, il y avait beaucoup en jeu. « Parce que tu voulais me présenter comment ? » Il s’était mordu rapidement la lèvre. « Comme ton petit-ami ? » qu’il avait rajouté, hésitant sur chaque mot. Ses sushis continuaient à lui faire de l’oeil mais Chuck faisait une pause, sûrement trop préoccupé par le sujet de l’anniversaire de Holly. « Je suis partant, à une seule condition : tu es obligée de prendre la robe que je choisis sans avoir ton mot à dire ! » qu’il avait lancé, plus enjoué que jamais à l’idée de trouver sa robe à Holly.
Invité
Mer 4 Mai - 18:16
Holly Sullivan
J'ai 36 ans et je vis à dans les Hamptons pour le moment, Long Island, New-York. Dans la vie, je suis décoratrice d’intérieur et je m'en sors vraiment très bien, même si je suis en pause pour le moment. Sinon grâce à ma malchance je suis divorcée et je le vis très mal, je ne parvins pas à faire le deuil de vingt ans de relation.. Après son divorce, Holly décide d'aller se ressourcer dans les Hamptons afin de faire le point sur sa vie, mais aussi de tenter de faire le deuil de sa relation de presque vingt ans avec Paul. Celui qui est devenu il y a quelques mois son ex-mari. Dans sa maison de vacances des Hamptons, elle fait la rencontre de Chuck dans une boite de nuit du coin et ce qu'on peux dire s'est qu'ils ont vite accrochés au point d'échanger un baiser. Mais malade à cause de l'alcool, Holly prends la fuite un peu gênée de ce qu'il s'est passé entre eux. Ils se retrouvent un peu par hasard dans la maison de Chuck, car surprise, Holly est la voisine de la famille du jeune homme et après une dispute à table, la brunette reçoit une invitation au mariage de son ex mari, mettant fin à la guerre froide avec le fils Hamilton. Un peu plus tard, Chuck vient lui rendre un carnet de croquis qu'elle avait oublié et chacun présente ses excuses à l'autre. Viens une douce soirée entre elle et lui, ou il est maintenant plus que clair qu'une idylle est en train de naitre.
"Certains sourires sont des promesses d'avenir..."
Minka Kelly
Holly rejette la tête en arrière et éclate de rire, bien sûr le contraire l’aurait étonnée, de son point de vu à lui, ça doit être clairement plus sympa de la regarder faire que pratiquer. Mais même si Chuck ne portera pas de vêtements moulants pour le yoga, en dépit d’une légende urbaine disant le contraire, elle aussi aimerait bien pouvoir se rincer l'œil. Certaines positions sont plutôt pas mal pour mouler ou galber certaines parties du corps. La brunette lui jette donc un coup d'œil appréciateur, l’air de dire, moi aussi je compte bien te regarder faire.
— Je n’aurais pas employé le terme pervers, parce qu’il ne me semble pas que tu en sois un, enfin… Arrête-moi si je me trompe hein.
Elle rit doucement avant de reprendre.
— Mais plutôt regarder d’un œil appréciateur non ?
Miss Sullivan lui rend son sourire complice, venant même brièvement serrer sa main contre la sienne. Plus ça va, plus elle se sent bien avec lui, comme un genre d’alchimie, à moins que ça ne soit magique. Toujours est-il que la décoratrice d’intérieur ce sens vraiment bien avec lui, Chuck est absolument adorable, gentil, drôle, doux comme pas permis, il n’y a pas à dire, elle ne pouvait pas tomber sur meilleur homme que lui. Alors certes, ils ont encore beaucoup à apprendre l’un de l’autre, mais la brunette senn un très bon feeling. Au point qu’elle l’invite à son anniversaire qui aura lieu dans quelques jours. Et s’il semble un peu décontenancé, voire stressé à l’idée de rencontrer ses parents et ses amis, il n’en reste pas moins qu’il sera présent pour elle. Holly lui parle ensuite un peu de sa vie à New-York et le jeune homme en vient à la surprendre et la faire rougir, avec une déclaration qui ne pouvait la laisser indifférente. Difficile de répondre à cela avec une phrase, alors après un tendre sourire pour lui, la jolie brune dépose un doux baiser contre ses lèvres. C’est sûr, elle aurait préféré lui offrir un baiser brûlant et passionné, mais, mieux éviter de s’échauffer sur la plage avec un peu de monde autour.
Toujours très curieuse de lui, Miss Sullivan finit par lui demander son appareil photo, car elle aimerait beaucoup voir les images qu’il a prises. Si elle ne peut pas voir ses poèmes, elle espère qu’il sera au moins d'accord pour partager cela avec elle, car ça compte beaucoup. Chuck est surpris, il hésite, sans doute pèse t-il le pour et le contre, mais le sourire de la belle et ses yeux de biche semble le faire capituler.
— Merci de partager ça avec moi.
Elle lui offre un sourire plus que ravie, avant de s’emparer avec délicatesse et de manipuler l’appareil de la même façon. Les photos défilent devant ses yeux, la plupart sont vraiment très réussies et il y a beaucoup de clichés intéressants, alors certes ce n’est pas une experte, mais il est sûr que Chuck à l'œil et à un vrai talent. Pendant que Holly continue de regarder les photos du jeune homme, la conversation se poursuit et revient sur l’anniversaire prochain de la trentenaire bien entamé. Et comme Chuck semble plutôt anxieux par cet événement à venir, la décoratrice d'intérieur tente de le rassurer, c’est juste un anniversaire et pas une présentation officielle après une demande en mariage.
— Hum l’important n’est-il pas la façon dont tu souhaites que je te présente et non l’inverse ? Pour mon anniversaire je veux juste que tu te sentes à l’aise, que tu t'amuses, que tu passes un bon moment sans pression aucune. Alors je te présenterais de la manière dont tu préfères.
Elle serait heureuse, quoi qu’un peu stressée de le présenter comme son petit-ami, mais elle ne lui tiendrait pas rigueur s’il préfère qu’ils n’en parlent pas pour le moment. Mieux encore, comme elle veut qu’il soit vraiment à l’aise avec tout ça, elle lui propose même qu’ils aillent faire du shopping et qu’il choisisse sa robe.
— Deal, tant que je ne me retrouve pas à moitié nue, ça me va. Gardons la nudité pour la chambre si tu veux bien.
Holly hausse un sourcil avant de rire et de manger quelques-uns de ses biscuits à la cacahuète.
Invité
Jeu 12 Mai - 22:34
Chuck Hamilton
J'ai 26 ans et je vis dans les Hamptons, USA. Dans la vie, je suis paumé et je m'en sors très bien grâce à papa et maman. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
« You asked me to dance and I said, dancing is a dangerous game. »
Chuck Hamilton n’a jamais su quoi faire de sa vie. Il a tenté de faire des études, il les a abandonnées. Il a tenté d’avoir un boulot, il a démissionné. Il a fait un tour du monde, il est rentré à mi-parcours. Et il est de retour chez ses parents, tout penaud, les poches vides. Heureusement, les parents Hamilton sont patients avec lui. Faut dire qu’ils l’aiment beaucoup leur petit dernier et que c’est toujours un plaisir de l’avoir à la maison pour le traiter comme un petit garçon. C’est pas un mauvais bougre mais ce traitement de faveur l’agace. Il se sent privilégié sans jamais l’avoir mérité, il n’a jamais eu le sentiment de s’accomplir en tant qu’homme. Plutôt réservé, Chuck cache en réalité un vrai talent pour l’écriture. Il couche sur le papier régulièrement ce qu’il ressent sous forme de poèmes et même de nouvelles. S’il croyait en lui, il se lancerait dans un roman mais, le problème, c’est que Chuck n’a jamais cru en lui. Il ne se déplace presque jamais sans son appareil photo, qu’il utilise avec brio pour capturer des moments de la vie. Il est gâté dans la vie, Chuck, il le sait, mais il ne sait pas comment en profiter. Alors il brule tout par les deux bouts et ça lui vaut des grosses sessions de déprime qu’il exorcise en faisant la fête. De temps en temps, il lui arrive de se poser dans une relation amoureuse mais ça ne dure jamais bien longtemps. Il est d’une douceur folle et d’une grande tendresse quand ce n’est pas gâché par son impulsivité.
L’alchimie opérait. Chuck laissait entrevoir ses véritables couleurs. Sa douceur, cette manière qu’il a si particulière de prendre soin des gens qu’il aime… Et il rit. Beaucoup. Parce que Holly, même si elle est tout fraichement arrivée dans sa vie, a le pouvoir extraordinaire de le rendre heureux rien qu’avec un regard. « Je ne dirais pas que je te regarde, non. » Sourire complice alors que la trentenaire serre doucement sa main. Chuck, lui, replace une mèche de cheveux de la jolie brune derrière son oreille. « Je dirais que je te contemple… Non ! Je t’admire ! Comme on admire une oeuvre d’art… Que dis-je ! Un chef d’oeuvre. » Et s’il disait tout ça sur le ton de la blague, il n’en était pas moins sérieux. C’était l’effet qu’elle lui faisait. Comment un homme avait pu avoir une femme pareille dans sa vie et décider de s’en séparer ? Ça lui paraissait complètement insensé. Un poil nerveux, il observait la New-Yorkaise parcourir son appareil photo alors qu’elle continuait de lui parler de son anniversaire. Pourvu qu’elle aime, c’était tout ce qu’il avait en tête. Et qu’elle aime vraiment. Il ne supporterait pas de la voir dire poliment que c’était réussi sans le penser. Il guettait sa réaction, tout signe d’approbation sur son visage, mais pour l’heure il n’arrivait pas à la déchiffrer. « Comment je souhaite que tu me présentes ? » qu’il avait répété à voix haute en se mettant à réfléchir à la question. Bien sûr qu’être présenté comme un simple ami rendrait les choses moins stressantes. Mais était-ce ce qu’il voulait vraiment ? Et elle, ne voyait-elle aucun mal à accélérer les choses entre eux ? « Eh bien… La casquette du petit-ami m’irait bien. Je crois. Si tu as envie. » Et il avait appuyé sur ces derniers mots, soucieux d’avoir le consentement de sa belle. Il pouvait attendre. Pas parce qu’il en aurait envie… Mais parce que ça en vaudrait la peine. Eclat de rire quand elle lui demande de garder la nudité pour la chambre. Clairement, Chuck n’avait pas pour projet de partager ce genre de visions avec le reste du monde. Et cette projection qui avait suivi, celle de partager une chambre lui avait donné un peu chaud tout à coup. Alors il avait mangé un sushi, peut-être la seconde chose qu’il préférait sur cette Terre après Holly. Une fois qu’il l’avait avalé tout rond, il avait repris : « T’en fais pas pour ça. Je compte bien garder le suspens intact. » Et par là, il sous-entendait qu’il prévoyait de la voir nue. Parce qu’il aurait menti s’il avait fait mine de ne pas y avoir pensé.
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