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LE TEMPS D'UN RP

"La vengeance ne répare pas un tort, mais elle en prévient cent autres."

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Jeu 7 Avr - 14:52
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Leur conversation de la veille fut brève. La serveuse avait fini par l’envoyer chier, au sens propre, avant de quitter son bâtiment. Alors, au petit matin, lorsqu’il avait appris que la voiture, ou plutôt l’épave, qu’elle conduisait, était toujours garée devant son immeuble, il avait demandé à Fabien d’appeler la fourrière. Elle lui piquait 200$, finissait par lui manquer de respect à l’issue de leur conversation, et elle pensait que cela n’aurait aucune connaissance ? C’était mal connaître l’avocat qui monta dans sa voiture, laissant au gardien de l’immeuble la mission de faire retirer la voiture de la jeune femme de la rue. En arrivant, il fit aussi dégager le propriétaire de son affaire pro-bono avec tout autant de hâte que la voiture de la serveuse ce matin. Une carte de visite d’un autre confrère et l’affaire était résolue. Il retourna à des affaires bien plus reluisante et qui ne gâchait pas son talent d’avocat d’affaire. Concentré, il sursauta en voyant Donna entrer dans son bureau, un large sourire aux lèvres, tout en étant accompagné d’un homme dont le physique aurait pu facilement lui ouvrir les portes des magazines de mode « Oui Donna ? » « Je vous présente Jules Estovi. Apparemment vous avez passé commande pour un Escort boy. Une soirée masquée ce soir… ». David fronça les sourcils alors que tout cela semblait beaucoup amuser son assistante. Il se leva de son siège, avant de rétorquer un « Je n’ai…Oh la garce ! » en percutant au même moment.

David fit le tour de son bureau, passant devant la secrétaire et la gravure de mode « Vous, vous pouvez rentrer chez vous et Donna, prenez mes appels, je dois passer à la banque de toute urgence » « Qu’est-ce qui se passe ? » « Une serveuse m’a volé mon portefeuille, et elle n'a pas aimé l'idée que je fasse embarquer son tas de ferraille ce matin » « Hum… Elle est jolie ? » « Quoi ?! Oui… Non. Je n’en sais rien » « En tout cas, elle vous fait tourner en bourrique. Je l’aime déjà ». David pencha la tête sur le côté en regardant cette dernière « Vous pouvez me dire pourquoi je vous ai engagée ? » « Parce que je suis Donna » « Ce n’est pas argument » « Bien sûr que si. Je me suffis à moi seule ! » précisa-t-il en se désignant de la main avec élégance. David plissa légèrement les yeux, et se hâta aussitôt jusqu’à la banque, demandant à parler à son conseiller immédiatement. Étonnamment, lorsqu’on pesait un certain prix, on passait plus rapidement que l’américain moyen. « Qu’est-ce qui vous arrive Monsieur McArthur ? » « On m’a volé ma carte bancaire. Enfin mes coordonnées bancaires ». Le banquier fit quelques recherches et haussa les sourcils « Je vois que votre bourreau prend plaisir à dépenser votre argent ». David fit tourner l’écran vers lui et rétorqua un « La garce ! » ce qui tira un sourire à son conseiller qui fit opposition à la carte.

Quant à David, il se rendit jusqu’au restaurant, pour se retrouver nez à nez avec la collègue de Mac « Elle est où ? » « Qui ça ? » « Ne jouez pas à la plus fine avec moi. Je cherche Mac » « Elle ne bosse pas aujourd’hui » « Vous avez où je peux la trouver ? » « Aucune idée ». David se mit à rire nerveusement, s’approcha davantage de la serveuse qui mâchait toujours aussi vulgairement son chewing-gum « Bien… Solidarité féminine à la con. Donnez-lui ma carte, et dites-lui de passer avant 14 heures. Si elle ne vient pas, je laisserais les flics se charger d’elle », et quitta le restaurant.


Charly
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Charly
Jeu 7 Avr - 15:34
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Mac détestait les jours de congés ! Peut être encore plus que les jours travaillés. Simplement parce que quand on n’a pas de canapé ou de télé pour y passé la journée entière en pyjama, et bien la journée pouvait être longue. Alors depuis deux semaines, elle avait commencé à faire du bénévolat. Un truc vraiment mais alors vraiment pas compliqué. Elle devait passer quelques heures à faire des câlins aux bébés prématurés. Ou encore passé une heure ou deux à jouer avec les gosses qui se trouvaient en pédiatrie. Elle adorait les gosses ! Elle avait imagination débordante pour les jeux. Alors c’était le bon plan. Ça faisait bien dans son cv, même si elle en avait pas. Ça apportait des sourires aux momes et en plus de ça elle était au chaud et mangeait gratos !

Elle venait d’arriver à l’accueil de la pédiatrie et rêvait déjà de mettre la pâté au petit Dean à une partie de cache cache lorsque son téléphone vibra. Mac hésita à éviter l’appel mais c’était Diana. Alors elle décrocha et l’écouta avec attention. « -il commence à me faire chier ce con. Hein ? Mais tu n’as pas à t’en faire pourquoi j’aurai des ennuis ?! Merci pour l’appel. A demain. Bisous ! » bisous ! Non mais elle se ramollissait vraiment ! La jolie brune regarda son portable, l’heure, puis elle soupira. Merde pourquoi ça commençait à lui plaire d’être devenu une sorte de caillou dans la chaussure de ce con ? Ça la faisait bien rire en tout cas. Quelques minutes plus tard, elle pianota avec ses doigts sur le comptoir du service et s’excusa. Une urgence. On lui permis de prendre un café et un bagel si elle passait une demi heure avec Dean. Elle se tata, puis accepta. Elle ne disait jamais non quand il s’agissait de bouffe. Enfin le petit aussi comptait bien sur.

Après un gros câlin, elle râla de nouveau contre sa voiture qui fit des siennes. « -je sais tu veux pas allée le voir, moi non plus crois moi. Mais si on y va pas, on va finir séparé. Tu sais avec ce genre de connard… ah ba voilà ma grande ! » la voiture avait démarré et elle fila à l’adresse du bureau d’avocat. Elle se regarda vite fait dans le retro, avant de quitta sa voiture et de prendre l’ascenseur ultra classe. Mac se pointa alors à l’étage indiqué, les deux mains dans les poches. « -salut… Donna... » commença t elle en regardant la nom de la jolie miss de l’accueil. Mac cala son coude contre la banc et sourit en voyant le sourire de l’assistante. « -j’adore votre tailleur. Et sinon, je voulais savoir s’il était possible de voir David… et non bien entendu j’ai pas rendez vous, mais c’est lui qui m’a demandé de passer. » elle mis une main près de sa bouche et ajouta : « -je crois qu’il n’a pas apprécié mon petit cadeau de ce matin. » comme une confidence. Cela fit sourire de plus belle Donna qui lui répondit de la même façon : « -c’était vous ? Oh qu’est ce que j’ai ris ! Vous auriez vu sa tête ! » et voilà, elles étaient copines. « -vous n’avez pas filmé ? » demanda Mac en poussant la confiance. Elle était douée pour ça. Se faire apprécier des gens en quelques secondes. En utilisant la plus part du temps des techniques de dragues de mecs ! « -vous pouvez me l’appeler ? » Donna hocha la tête, toujours tout sourire en se levant pour rejoindre le bureau de McArthur. Mac se permis de faire quelques pas dans l’espace d’accueil, à nouveau les deux mains dans les poches de sa veste, l’air totalement zen et détachée.
Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Jeu 7 Avr - 20:39
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Comment une simple serveuse travaillant, de surcroît, dans un restaurant qui ne devrait pas porter ce nom, pouvait autant lui pourrir l’existence en deux jours ?! Cette dernière semblait s’être donné comme objectif de vie de faire de son existence un enfer. Si tel était le cas, alors elle allait être servie ! Il avait les moyens et le pouvoir d’inverser les rôles. Il ne s’était jamais fait marcher dessus par quiconque, alors ça n’allait pas être aujourd’hui que ça allait commencer. Après sa visite inopinée au restaurant, David savait pertinemment que la serveuse allait appeler son amie pour la prévenir de sa visite. Il était ensuite retourné au cabinet après un petit détour dans un restaurant digne de ce nom pour déjeuner. Lorsqu’il était rentré au bureau, son assistante n’avait pas pu s’empêcher de l’interroger « Alors ?! Vous avez mis la main sur votre nouvelle amie ? ». David s’arrêta dans son élan, se retournant vers cette dernière « Vous devriez peut-être arrêtez les produits coiffants, ça altère votre perception des choses ». La jolie rousse sourit tout en se penchant en avant « Vous lui plaisez peut-être et elle essaie d’attirer votre attention ». L’avocat se pencha donc à son tour au-dessus du bureau « Si c’est le cas, vous, la gente féminine, vous avez une drôle de manière de montrer aux hommes qu’ils vous plaisent ». Donna posa ses mains sur sa cravate pour la resserrer. Un geste habituel entre eux lorsqu’elle trouvait que sa tenue n’était pas parfaite, et le fit tout en répondant « Rencontrez une femme qui prend soin de vous ne vous ferez pas de mal David ». Ce dernier se mit à sourire en répondant « Je vous ai vous ». Donna pencha alors légèrement la tête avec ce petit sourire en coin « Je parlais d’une femme qui le ferait aussi en rentrant chez vous ». L’avocat hocha lentement de la tête et se redressa, reprenant son air sérieux soudainement « C’est compliqué et vous le savez » « Ça ne vous ferait pas de mal quand même » précisa Donna en se tournant vers son ordinateur.

L’avocat l’observa quelques secondes et se rendit dans son bureau, pour finalement en ressortir afin de trouver un collaborateur pour s’occuper des statuts d’une nouvelle société. Il n’aimait pas réellement rédiger ce genre de papiers, et était donc parti désigner une jeune recrue pour le faire. Lorsqu’il revint, il fronça les sourcils en voyant Donna lui faire un signe de tête en direction de la nouvelle arrivée. Il la remercia d’un regard et s’approcha vers la serveuse « Mac. Entrez dans mon bureau » en désignant le bureau vitrée sur la droite. Il referma la porte derrière eux, prit place dans le siège après avoir convié la jeune femme d’en faire de même face à lui « Je ne sais pas ce que je vous ai fait, mais votre petit jeu à la con commence à me peser sur le système ! Je jouis d’une réputation, et faire venir un escorte boy à mon cabinet est intolérable. Au même titre que dépensait des sommes astronomiques pour des conneries ». Il croisa ses mains sur son bureau, tentant de reprendre contenance « Qu’est-ce que j’ai bien pu vous faire pour que vous décidiez de vous acharner de la sorte sur moi ?! ». Oui, il était ouï sur son explication. Qu’avait-il bien pu faire à cette femme dont il ignorait tout pour qu’elle décide de lui pourrir l’existence de la sorte « Je ne sais pas ce qui me retiens d’appeler les autorités pour vous faire embarquer dans l’heure ».


Charly
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Jeu 7 Avr - 21:25
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J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Les deux mains dans les poches de sa veste, Mac s’approcha de la baie vitrée. Wahou la vie était d’enfer ! Elle était prête à parier que l’avocat ne prenait même pas la peine de la savourer au moins une fois par jour. Bien trop occupé à compter ses billets ou à faire du mal à d’autres gens. Lorsqu’elle sentit une présence derrière elle, la jolie brune se retourna presque avec nonchalance et hocha la tête, non sans un sourire en coin. Qu’est ce qu’il était coincé ! Et qu’est ce que ça la faisait jubiler de l’emmerder à ce point ! Ça se lisait sur son visage. C’était puérile, et surtout ça n’avait pas le pouvoir de réparer ce qu’il avait entraîner comme emmerdes dans sa vie, mais c’était une petite consolation qu’elle appréciait.

La serveuse suivit donc l’homme d’affaire et pénétra dans le bureau grande classe de monsieur. Pff ça puait le fric. Ça avait presque une saveur qui donnait la nausée. Elle jugea la siège, et préféra rester debout, faisant le tour du proprio. Elle l’écouta en souriant, sans le regarder et marmonna : « -et bien c’est sans doute la seule chose qui vous fait jouir... » avant de poser enfin son regard sur lui. « -roh ça va ! Détendez vous un peu ! C’était drôle. » en tout cas ça avait fait rire son assistante. Et oui, c’était super drôle de voir à quel point ça l’avait contrarié lui. « -astronomique ? Déconnez pas. C’est quoi pour vous 500 balles ? » oui, elle était prête à parier que ça n’allait pas le faire boiter ! « -c’est marrant hein... » elle sourit en se foutant de sa gueule : « -ce mélange de genre dont vous êtes capable. Des mots vulgaires et puis des grands mots bien pompeux. » elle avait décidé de le faire chier. Peu lui importait les conséquences, elle n’avait rien à perdre. Avant de faire ses petits achats sur le net avec la carte de crédit de Mcarthur, Mac avait pesé le pour et le contre. Finir en prison au final, qu’est ce que ça allait changer ? Limite ça rimait avec vie à l’hôtel ! Bien plus plaisant que dormir dehors. Surtout avec l’hiver qui allait arriver. Il ne pouvait rien lui prendre parce qu’elle n’avait rien. Même de la dignité il lui en restait trop peu.

« -m’acharner ? C’est un autre bien grand mot ça vous ne trouvez pas ? » elle n’avait pas non plus vidé ses comptes. Elle avait acheté quoi ? Deux skateboards, des puzzle de 1500 pièces et encore quelques trucs totalement inutiles pour lui mais pas pour d’autres. Il était hors de question qu’elle lui explique qui elle était et ce qu’il avait fait. Il allait devoir trouver tout seul. Pour le moment elle savourait de jouer les connasses. « -et bien c’est une bonne question. » répliqua t elle en faisant mine de réfléchir. « -et du coup ? Qu’est ce que je fou là, si ce n’est pour vous entendre vous plaindre ? Là tout de suite, je peux pas vous rendre votre tune, parce qu’un connard à fait embarquer ma voiture ce matin. » un haussement d’épaules et elle ajouta en prenant la direction de la porte pour mettre fin à leur petit entretien : « -ah et pour les petits cadeaux, vous pouvez en faire don aux services de pédiatrie de l’hôpital. Certaines que les gamins seront ravis. » elle pointa la porte et demanda : « -du coup je peux y aller ou vous avez trouvé la réponse à votre question concernant les flics ? » maintenant qu’elle était lancée dans le foutage de gueule, elle avait du mal à faire autrement.
Manhattan Redlish
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Jeu 7 Avr - 22:06
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
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L’apparente nonchalance de la serveuse avait le don d’agacer l’avocat qui la convia, malgré tout, à entamer leur conversation dans l’intimité de son bureau. Évidemment, elle déclina son invitation à prendre place face à lui. Typique. Elle voulait garder le contrôle de la situation en restant debout. Il n’avait pas envie de rire à son humour presque limite, et rétorqua un « Quand c’est drôle, on n’a pas besoin de préciser qu’en effet, c’est drôle ». C’était pour cela qu’il n’avait pas envie de rire. Ce n’était pas drôle. La situation ne l’amusait pas. Il avait déjà bien assez de souci à gérer comme cela pour ne pas devoir subir les inepties d’une serveuse en manque d’attention. « Pour le moment ! Si je ne vous avais pas arrêté, ça aurait été bien plus conséquent ! ». De toute manière, ce n’était pas le sujet. Le sujet était que la jeune femme semblait avoir une dent contre lui et qu’il n’en comprenait pas les raisons. Il fronça les sourcils et s’appuya contre le dossier de sa chaise « J’essaie de m’adapter à vous, mais mon éducation me rappelle à l’ordre à la moindre dérive. C’est peut-être ce qui fait que j’en suis arrivé là, et que vous, vous servez des plats immangeables dans un restaurant minable ». Pourquoi serait-il bienveillant avec elle ?! Elle ne l’était pas. Et puis de toute manière, la bienveillance, l’altruisme ou encore l’empathie ne faisait pas partie de son vocabulaire, sauf lorsque ça plaidait en la faveur de son client. En ce qui le concernait, il en était totalement dénué.

« Vous me volez mon portefeuille, mon argent et mes coordonnées bancaires, et vous faites venir un escorte boy à mon cabinet. Et tout cela, seulement en 24 heures ! Vous appelez ça comment vous ?! » parce que si elle avait un synonyme, il était preneur. Et quand lui demanda pourquoi elle faisait tout cela, Mac ne lui répondit pas. Il se doutait bien que ce n’était pas parce qu’il avait renvoyé son plat froid en cuisine qu’elle agissait ainsi avec lui… Ou sinon, cette ville était vraiment pleine de timbrés en tout genre, et il venait de s’en trouver une de qualité. « Un prêté pour un rendu chère Mac » rétorqua-t-il avec un sourire suffisant sur les lèvres. Et ajouta « Vous pourriez peut-être vous excuser et me dire que vous allez trouver une nouvelle victime, non ? » proposa David qui avait envie que la jeune femme trouve un autre avocat à martyriser. Il avait bien d’autres préoccupations que cette dernière. Il fronça à nouveau les sourcils quand elle évoqua le service pédiatrique de l’hôpital, puis fit tourner légèrement le siège vers elle, ses mains croisées sur son abdomen « Allez-y » tout en tendant la main pour l’inviter à sortir. Lorsqu’elle fut partie, Donna fit irruption dans son bureau « Je l’aime beaucoup ». Un soupir de la part de l’avocat « Elle me malmène et vous l’appréciez ?! Faites-moi penser à embaucher une nouvelle assistante ». Donna quitta le bureau, sourire aux lèvres, ce qui fit lever les yeux au ciel à David, qui se leva pour se rendre au centre pédiatrique de l’hôpital. Au bout de trois hôpitaux, il parvint enfin à trouver une infirmière qui accepta de répondre à ces questions « Je suis Maître McArthur, je suis à la recherche de cette femme » en déposant une photo, prise par les caméras de surveillance de son cabinet, sur le comptoir « C’est Mackenzie Foster. Elle est bénévole ici auprès des enfants ». David était resté interdit devant le nom. McKenzie Foster… Voilà pourquoi elle s’acharnait sur lui ! Voilà pourquoi son visage lui était familier ! Il remercia l’infirmière après lui avoir demandé une adresse, mais cette dernière lui répondit qu’elle n’en avait jamais communiqué. Il retourna ensuite au cabinet et rouvrit le dossier Foster, même s’il ne le connaissait que trop bien… Puis il décida de rappeler le propriétaire pour les six mois de loyers en retard, décidant de s’occuper finalement de son affaire. Elle voulait le faire chier, eh bien elle allait être servie en retour.

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J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -ah ba quand les gens n’ont pas de sens de l’humour, si on est bien obligé de préciser. » répliqua la jeune femme en montrant ses dents tout en souriant. Ouais, elle parlait bien de lui. Pince cul de première. Il devait se marrer quand il avait bien pourrie la vie des gens. Il lui était clairement antipathique. Même s’il n’avait pas été le responsable du merdier familiale et de la mise en prison de ses parents, il était totalement le genre de mec qu’elle ne pouvait pas encadrer. Il avait un égo qui ne passait pas le porte, se trouvait sans doute haut dessus de la moyen mentalement parlant. Peut être qu’il avait bossé dur pour en arriver là, mais elle en doutait fortement. Et elle s’en foutait.

« -oh c’est tellement gentil à vous. » répondit Mac sur un petit ton théâtral. Les types dans son genre, elle en avait croisé à la pelle. Rien que pendant ses études. Une femme en cuisine, s’était sa place lorsqu’il s’agissait d’un foyer. Mais dans le monde du travail, aussi débile que se soit, et bien elle devait encore et toujours se faire sa place. Alors les gros lourds, elle connaissait et les gros cons aussi. « -et oui peut être... » avait elle ajouté avec un haussement d’épaules, n’ayant pas la moindre envie de rentrer dans son jeu de provocation et de sortir de ses gongs. Non, elle adoptait la zen attitude, parce que c’était visiblement ce qui le faisait le plus chier. Mais elle prenait sur elle, parce que dans le fond, elle avait envie de lui coller une droite et de lui faire bouffer son attaché case. « -et on est d’accord sur un point, les plats sont immangeables mais comme je vous l’ai dis, c’est pas moi qui cuisine. » oh non ! Sinon le resto aurait déjà des étoiles à son actif.

« -vous avez fait embarqué ma voiture. » répliqua Mac pour seule réponse, comme si elle se suffisait à elle même. Comme si c’était un prêté pour un rendu. « -et en sois, je pouvais faire pire que ça avec votre carte. » ouais ça il n’y avait peut être pas pensé. Siphonner ses comptes et se tirer au Fidji ! Il ne l’aurait jamais retrouvé. Elle n’était rien ni personne. Donc au final il s’en tirait plutôt bien. Limite il pouvait la remercier d’avoir été sympa. « -ha ba bien tiens, c’est exactement ce que je me disais ! » avait elle répondu en le pointant du doigt, sourire aux lèvres. Trou du cul. « -encore des biens grands mots David ! » s’amusa Mac alors qu’il employait victime et qu’il souhaitait qu’elle lui présente des excuses. Même pas en rêve ! En sortant elle lança un : « -aller bisou ! » et quitta les locaux après avoir saluée Donna en lui ayant soufflé qu’elle le trouvait tout de même bien tendu !

Mac poussa un long soupire en sortant de l’immeuble, heureuse finalement de s’en sortir comme ça. Elle récupéra sa voiture et fila bien vite, passant le reste de la journée à tenter de trouver une place dans un foyer d’hébergement pour la nuit.
Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Ven 8 Avr - 14:15
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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« Cela est peut-être dû au fait que votre humour ne convient pas à tout le monde ». Après tout, depuis ces dernières 24 heures, en aucun cas David ne l’avait trouvé drôle. Agaçante, immature, mal fagoté… Oui. C’étaient des traits de sa personnalité qui l’avaient accablé presque immédiatement en la voyant, mais pas drôle, non. Un peu comme elle lorsqu’elle surjouait son compliment à son encontre. Gentil. Il ne l’avait jamais été et ne le serait jamais. Cela ne faisait pas parti de son ADN et la gentillesse était davantage un poids à porter qu’une véritable qualité de toute manière. Il répondit alors froidement « Je ne le suis pas. Je le fais plus par pitié » tout en la regardant fixement. Elle avait un don certain pour l’agacer, et il n’aimait pas cela. David faisait toujours en sorte d’avoir le contrôle, sauf ces derniers jours. La marque sur le visage de son supérieur en témoignait. « Si votre cuisine a d’égal votre amabilité, un conseil : abstenez-vous ». Mac avait de la chance, généralement ces conseils étaient facturés plus de 1000 $ de l’heure. Finalement, il était peut-être gentil ?! Il prit appui contre le dossier de son siège tout en esquissant un sourire fier de lui « Vous avez volé mon portefeuille et les 200$ qui sont dedans ». Elle aurait agi autrement, il en aurait sûrement fait autrement. Voilà qu’il se mit à rire presque jaune devant les mots de Mac avant de lui répondre froidement « Et je dois vous remercier pour ça ?! Mais dans quel monde vivez-vous ?! Vous cumulez infractions après infractions sans jamais en être inquiétée. Vous croyez quoi ?! Que vous allez passer entre les mails du filets indéfiniment ? Et que quoi ? Je devrais vous remercier de ne pas avoir vider mes comptes ? Vous n’êtes pas saine d’esprit ma petite ». Et puis quoi encore ?! Il allait lui donner une prime parce qu’elle n’avait pas été une super garce avec lui ?! « Remerciez-moi de ne pas avoir encore fait de votre vie un enfer ». Un soupir alors qu’elle ne semblait prendre en compte aucune de ses paroles « Vous voulez que je simplifie pour que ça soit davantage à votre niveau intellectuel ?! » tout en arborant un air suffisant.

David la laissa ensuite partir puis mena sa petite enquête. La Mac qui compliquait sa vie depuis ces dernières heures n’était nulle autre que McKenzie Foster, issue de la famille Foster. Un procès médiatique qui avait réduit à néant la richesse pourtant bien établi de cette famille. Le responsable ?! Eux. Mais pour leur fille, ça ne pouvait être que lui, le méchant avocat qui avait embauché par des victimes et qui avait fait en sorte de les poursuivre afin qu’il verse le dernier centimes à leur possession à ces pauvres gens. Il aurait pu lâcher l’affaire, mais au lieu de ça, il décida de lui rendre l’appareil en rappelant le propriétaire. Lorsque ce fut chose faite, il se pointa au restaurant le lendemain, souriant en la voyant arriver « Mademoiselle McKenzie Foster. Je savais bien que votre visage m’était familier, mais on va dire que le contexte est bien différent de notre dernière rencontre » en désignant ledit restaurant de la main « Votre propriétaire vous réclame un retard de six loyers. J’avais transmis l’affaire, puis je me suis dit que tout le monde a droit au meilleur, même un propriétaire » et se mit à sourire « Vous avez voulu jouer, vous assumez ! » et lui tendit une convocation avec un sourire satisfait « Cadeau ! » et ajouta « Cette fois-ci, on va jouer sur mon terrain Mademoiselle Foster, j’espère que vous êtes prête » rétorqua-t-il tout en se dirigeant vers la porte, et se retournant en ajoutant « Je vous rappelle que si jamais vous ne veniez pas à la convocation au tribunal, je ferais intervenir les autorités », et quitta le restaurant.

Charly
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Sam 9 Avr - 20:57
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -pas d'humour et incapable de voir l'ironie… » elle s'était fait ce constat à voix haute, avec une petite moue du bout des lèvres, comme si elle en prenait note. En même temps, il n'y avait rien d'étonnant. Elle avait bien du mal à l'imaginer rire. Déjà sourire cela semblait être un effort sur humain. Mais est ce qu'il était humain ? Oh ba ouais, il n'y avait qu'un humain pour être aussi con. Elle haussa les sourcils, comme étonnée de ses propos. C'était petit. C'était juste là pour être blessant. Et surtout c'était totalement faux. Elle cuisinait à merveille, et elle était quelqu'un d'aimable. Il n'avait qu'à demander à son assistante. D'accord parfois elle pouvait se montrer un peu rude, un peu sans cœur et sans filtre. Comme avec Zack le matin même. Mais elle se faisait facilement apprécier des autres. Ce qui n'était sûrement pas le cas de Mcarthur. « -dommage pour vous. » avait elle souffler sans le regarder, haussant les épaules. « Ça aussi c'est une très bonne question n'est ce pas ? » avait lancé Mac en riant presque, juste histoire de laisser planer lute sur le fait d'être seine d'esprit. Et pour le faire chier aussi évidemment. Ensuite elle demanda si elle pouvait disposer comme si elle avait un emploi du temps des plus chargé. Mais juste avant de partir elle lui dit tout de même : « -vous êtes quelqu'un de prétentieux. A ce stade, ça n'est plus de la confiance en soi. Et pourtant, vous vous sentez le besoin de me rabaisser. C'est intéressant. Vous avez un petit complexe ? » en montrant un petit espace entre son pouce et son index, avant de rire devant sa connerie et de se tirer. Finalement, la jouet cool et détachée avec ce con, c'était vraiment drôle.

« -ma chérie, y'a ton pot de colle qui est revenu. » clama Diana en arrivant dans la cuisine. « -quoi ? Qui ? » Mac observa par la passe plat. « -oh merde… » souffla t elle avant de regarder ses collègues qui semblaient tous vouloir une explication. Elle ouvrit de grands yeux comme si elle ne voyait pas ce qu'ils attendaient et prit son courage pour aller voir Mcarthur. Mac resta de marbre en l'écoutant, puis elle regarda le papier et lâcha en souriant : « -je vous manquais déjà tant que ça David, pour que vous veniez m'apporter ça vous-même ? » en repliant la lettre. « -merci pour les précisions, trop aimable. Je meurs déjà d'impatience de vous revoir. Attendez, vous ne voulez pas un café ? Aller ! » mais il était sorti du resto et clairement elle se retrouvait bien dans la merde. Diana et Zack se pointèrent pour en savoir plus. Il lu le papier. « -t'es dans la merde Mac ! » « -non sans blague ! » répliqua la jolie brune avant que Diana n'ajoute : « -pourquoi tu nous à rien dit ma belle ? » « -parce que ça va aller. C'est pas bien grave. Je vais payer… » mais elle ne se pointerait pas à l'audience qui était dans deux semaines.

Mac tenta de trouvé l'argent qu'il fallait mais comment trouver une somme pareil si ce n'était en jouant ou en trempant dans des affaires louches. Et forcement elle avait décidé de conjuguer les deux. Une soirée de poker clandestin sur font de trafic de drogue. Les flics avaient débarqué et elle s'était fait embarquer. « -votre avocat est là ! » venait on de lui crier alors qu'elle tenait de dormir un peu. « -comment ça mon avocat ? » elle ne comprenait plus rien.

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Sam 9 Avr - 21:36
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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« Que de défaut en un seul homme » répondit-il avec une pointe théâtrale dans la voix sans la quitter des yeux. Des défauts, il en avait plus que de qualités. La jeune femme en avait eu un avant-goût amer le jour de leur rencontre, et ça ne faisait que se confirmer à chacune de leurs rencontres. Elle finirait par s’habituer, ou peut-être que ça la pousserait à quitter le paysage un peu plus vite que prévu. Pas que sa présence lui déplaisait… En fait si, elle lui déplaisait grandement et il n’avait aucune hâte, qu’elle déguerpisse au plus vite. Parce qu’elle l’agaçait par son comportement nonchalant et ses réponses qui sonnaient explicitement comme un : Je n’en ai rien à foutre de vous et de ce que vous dites. Ce qui insupportait davantage l’avocat qui cachait son ressenti derrière un visage dès plus neutre et un regard noir « Pas vraiment, non » avait-il finalement rétorquer avant de l’inviter à partir. Apparemment, la jeune femme aimait sa compagnie ou la chaleur de son bureau car elle s’arrêta non loin de la porte pour critiquer son assurance qui serait sûrement là pour compenser, ou surcompenser une masculinité peut-être trop petite. Il se mit à sourire « Ne le prenez par pour vous. C’est une habitude chez moi que d’écraser les gens qui se dressent sur ma route ». Il ne souleva pas le petit espace qu’elle laissa entre ses doigts pour évoquer implicitement sa virilité. Elle pouvait bien penser ce qu’elle voulait. S’il commettait l’erreur de réagir, ça ne ferait que lui donner raison et l’encourager dans ses vices.

Au lieu de ça, David décida plus tôt de mener sa petite enquête. Une enquête qui lui indiqua rapidement que la serveuse n’était nulle autre que la descendante d’une riche famille de la ville et qui était notamment d’importants criminels. L’avocat avait participé à la chute de la famille Foster, et McKenzie lui en voulait sûrement. Peu importe. Il aurait pu la prendre en pitié et la laisser tranquille, mais au lieu de ça, David se rendit au restaurant le lendemain pour lui apporter une convocation à se rendre au tribunal afin qu’elle paie la somme dû à son ancien propriétaire. Un sourire quand elle arriva « Non, j’avais juste envie de voir l’expression de votre visage » et lui tendit le papier avant de préciser les risques qu’elle encourait si elle venait à omettre ce rendez-vous « Je n’en doute pas une seconde » et quitta le restaurant en faisant un signe de main pour lui dire au revoir. Il retourna ensuite à son bureau et y resta jusqu’à tard le soir. Ce fut la sonnerie de son portable qui l’extirpa de ses dossiers. Un froncement de sourcil, surpris par l’heure d’appel, mais répondit malgré tout. L’appel fut bref. L’officier de police venait de le prévenir que McKenzie Foster avait été arrêtée dans une espèce d’entrepôt où se déroulait des parties de poker clandestin sur fond de trafic de stupéfiant. Elle avait sa carte dans la poche. Un soupir et précisa qu’il arrivait. Elle le pourchassait, ce n’était pas possible autrement.

David fit tâche auprès des quelques autres commis d’office qui vinrent aux commissariats avec son costume hors de prix. Il se présenta comme l’avocat de Foster, et fit signe à Brett qui passa par-là et qui vint rapidement à sa rencontre « Qu’est-ce que tu fais ici ? » « Une de mes clientes, McKenzie Foster a été arrêtée ce soir lors de l’une de vos descentes » « Oui, elle y étai sûrement pour se faire de l’argent. Elle n’a aucune adresse connue, et dispose d’un portable prépayé… On pense qu’elle était là-bas pour arrondir ses fins de mois ». David hocha lentement de la tête avant de se laisser conduire jusqu’à sa cellule « Bonsoir Mademoiselle Foster » rétorqua-t-il en arrivant derrière l’officier de police, souriant en la voyant « Pas un mot. Votre caution a été payée. Vous n’avez plus qu’à récupérer vos effets personnels et me suivre ». Il remercia l’officier, avant d’attendre McKenzie à l’extérieur du commissariat après avoir signé les papiers relatifs à sa liberté sous caution. Il inspira l’air frais avant de se retourner vers la serveuse « Vous passez en comparution dans trois jours. Je serais votre avocat ». Le taxi qu’il avait commandé arriva et il ouvrit la portière « Je vous en prie » puis donna l’adresse de son appartement. Il paya la course, puis d’un signe de tête invita la jeune femme à le suivre « Venez » et passa devant Fabien sans un mot, comme souvent lorsqu’il rentrait le soir. En arrivant à son appartement, il referma la porte derrière McKenzie, puis quitta son manteau qu’il déposa sur le porte-manteau de l’entrée, ainsi que sa mallette. David fit quelques pas « Suivez-moi » et lui présenta les pièces une par une avant de rétorquer en ouvrant une dernière porte « Vous dormirez ici cette nuit. La salle de bain est juste à côté », puis retourna dans la cuisine pour servir deux verres de vin, et en tendit un à la jeune femme « Mon ami qui est Lieutenant à la police de New York m’a expliqué que vous n’aviez aucune adresse connue. Je présume donc que votre logement est votre voiture… Et vu que vous êtes sous ma responsabilité dorénavant, et ce, jusqu’au procès, je me suis dit que dormir dans des draps propres, prendre une douche chaude et avoir de quoi manger, vous donnerez un peu de répit ». Il prit une gorgée de son verre en s’avançant pour récupérer sa mallette « Ne pensez pas que c’est de la pitié ou de la gentillesse. Je n’éprouve aucun de ces deux sentiments. C’est professionnel. Vous êtes ma cliente ce soir, et je prends soin de mes clients. Signez ici, c’est pour dire que je suis votre avocat » tout en lui posant la feuille sur la table et un stylo.


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Mar 12 Avr - 16:16
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -mon visage. » avait répondu Mac avec son petit sourire irritant : « -voir mon visage. » elle lui adressa un petit clin d’oeil comme si c’était entendu, qu’elle comprenait parfaitement qu’il ne voulait pas le dire à voix haute, mais qu’elle avait compris. Merde c’était qu’elle y prenait goût de le faire chier ! Et elle en rajouta une couche avant qu’il ne quitte les lieux. Elle était clairement dans la merde. Comment trouver tout cet argent ? Zack lui proposa de l’aider, mais elle refusa en lui mettant bien sous le nez que si elle lui devait du blé, ils ne seraient plus amis. Et elle ne voulait pas perdre ça. Sa dignité et son honneur, elle n’en avait rien à secouer. Mais Zack c’était un peu comme sa bouée de secours. Elle ne voulait pas d’histoire d’argent entre eux. Elle lui demandé seulement de ne pas changer. L’héberger quand elle en avait vraiment besoin, venir la chercher à trois heures du mat si elle était dans la merde, lui payer une clope de temps en temps. Mac lui promis qu’elle allait trouver l’argent et régler tout ça.

Et à la base, c’était avec cette idée en tête qu’elle s’était rendue à cette soirée clandestine. Techniquement tout aurait dû se passer convenablement. Elle devait invoquer la chance, ramasser le fric et se tirer. Rien de plus. En deux ou trois heures le tour était joué. Mais c’était sans compte sur l’intervention des flics. Elle n’avait pas eu le temps de se tirer, et voilà qu’elle était en cellule. Mac ne comprit pas de qui on lui parlait. Elle n’avait pas d’avocat et surtout pas les finances pour s’en payer un bon. Le seul qu’elle connaissait c’était… Et alors qu’elle sortait avec ses chaussures à la main, elle lâcha un soupire mêlé d’un petit rire. « -c’est une blague ? » elle se tourna vers les flics et lança : « -non non les mecs, y’a erreur ! Remettez moi au chaud merci ! » mais David se mis à lui parler et elle ouvrit de grands yeux. « -pardon ? Ma caution a quoi ? Qui ? Vous ? Non ? » elle était en plein rêve là ? C’était du vrai délire. « -vous suivre ? » où ? Pourquoi ?! Non ! Tout le monde mais pas lui ?! D’où il sortait d’ailleurs ? Comment il avait su qu’elle était ici ? Il la faisait suivre où quoi ?

Une fois dehors, elle remonta le col de sa veste et l’écouta ouvrant à nouveau de grands yeux. Son avocat ? « -c’est possible ça ? Que vous soyez mon avocat alors que vous venez de balancer une assignation à comparaître dans l’après midi ? Et puis d’abord vous sortez d’où ? Comment vous avez su que j’étais ici ? » oui vraiment ça l’intriguait ! « -n’en faites pas trop. » râla Mac en le voyant lui ouvrir la portière. Elle fronça les sourcils en entendant l’adresse. Mais elle finit par battre des cils et se dire : peu importe. Mac le suivit ensuite dans le hall d’entrer, jetant un regard à Fabien qu’elle avait menacé la dernière fois qu’ils s’étaient vu. Puis elle soupira en rentrant chez David, en se demandant bien ce qu’il voulait. Elle garda sa veste, les deux mains dans les poches et le suivit après un petit raclement de gorge. « -ok super chouette château et ensuite ? » commença la jeune femme qui commença à trouver la visite longue et barbante. « -ah ah dormir ici, elle est bien bonne celle là. » mais en le voyant tourner les talons elle ajouta : « -attendez vous êtes sérieux ? Non, hors de question. Mais quelle mouche vous à piqué ce soir ? » elle regarda la verre de vin et cligna des yeux, hallucinant de plus en plus. Elle ne toucha pas le contenu du verre, le tenant seulement, écoutant la suite.

Elle détourna la visage en l’écoutant, sa langue coincée entre ses dents arrière. Bon… Il savait. Mais Mac l’observa à nouveau alors qu’il lui expliquait qu’il voulait prendre soin d’elle parce qu’elle était sa cliente. « -non attendez wow stop. » elle n’allait pas signer ça. « -je signe aucun papier sans avoir lu. Et je… vous n’êtes pas mon avocat. Vous n’allez pas me défendre là alors que dans quinze jours vous allez me détruire à nouveau ? » c’était totalement absurde. Elle regarda le verre de vin. Et puis merde. Elle le porta à ses lèvres mais comme à chaque fois, elle huma le parfum, fit tourné le liquide et le goûta en connaisseuse. Puis elle s’approcha pour regarder la bouteille comme si il n’y avait plus que ça qui avait de l’importance. « -vous savez qui je suis n’est ce pas ? » avait elle finit par demandé en relevant les yeux, sur un ton neutre.

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