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LE TEMPS D'UN RP

La vie, c'est parfois avoir le souffle coupé. feat Caleb

Charly
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Charly
Ven 23 Sep - 22:20

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandit dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Crédits: tearflight / tumblr


Judy était heureuse qu’il ait demandé. Elle savait que ça ne devait pas se passer ainsi avec ses autres conquêtes. Que ces femmes étaient dans les bras de Caleb pour jouir encore et encore, parce qu’ils ne disposaient que d’une nuit ensemble. Mais eux, là ensemble, c’était différent. Ils n’avaient pas prévu de se quitter dans une heure, pas prévu non plus d’arrêter de se voir. Ils avaient décidé de prendre leur temps, d’aller à la vitesse que souhaitait la jolie rousse. Et là tout de suite, non, elle n’était pas prête pour ce qu’il proposait. Cela ne voulait pas dire qu’elle voulait s’arrêter là. Seulement pas ça. La réponse que lui donna Caleb la rassura et lui permis de lâcher un peu plus prise sur la situation.

Il était compréhensif et patient. Ça avait une grande importance aux yeux de la jolie rousse. Ses lèvres cherchant les siennes, elle adora ses caresses sur sa peau. Lentement, elle se permis de le toucher un peu plus. D’elle aussi caresser sa peau, d’embrasser son cou, son menton. Ils s’allongèrent de nouveau et elle sentit son souffle gagner en vitesse lorsqu’il lui demanda de se laisser aller. Elle hocha lentement la tête, sans le quitter des yeux. Mais bien vite elle ferma les paupières alors qu’il embrassait de nouveau son cou. Elle glissa ses doigts dans ses cheveux comme si elle voulait qu’il reste là, dans son cou parce que cela avait le pouvoir de l’électriser. Et puis elle poussa un soupire, se laissant faire, comme il le lui avait demandé. Totalement en confiance entre ses bras, elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir. « -un peu plus bas… » souffla-t-elle à son oreille, le visage renversé vers l’arrière. Cette fois-ci elle laissa passer un gémissement de plaisir.

Un léger moment de stress lorsqu’il retira son boxer. Stress qui fut bien vite oublié lorsqu’il entra en elle. Cette sensation… Elle avait presque oublié depuis six ans… Elle sourit à son commentaire. Elle savait qu’il se voulait rassurant. Elle posa ses mains sur ses épaules, resserrant ses cuisses autour de sa taille. Son regard la gênait presque. Et s’il n’aimait pas ce qu’il voyait ? Et pourtant ce n’était pas ce qu’elle venait de lire dans ses yeux. « -comme ça c’est bien… » souffla Judy avant d’embrasser son menton, puis son cou. Quelques minutes plus tard, elle lui demanda d’accélérer d’une voix pleine de plaisir. « -encore… » le supplia-t-elle alors qu’il lui faisait tourner la tête, perdre pieds. Elle se cambra sous un orgasme qui la fit crier. Ça ne lui était jamais arrivé avant. Pas comme ça. Le souffla court, il lui fallu quelques secondes pour revenir sur terre et laisser doucement ses cuisses retomber. Peu à peu un sourire se dessina sur ses lèvres…
Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Sam 24 Sep - 9:43

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Caleb agissait de manière diamétralement opposée avec Judy qu’avec les autres femmes qui passaient entre ses bras. Parce que c’était Judy, tout simplement. C’était son amie, mais c’était aussi une femme qui n’était pas en accord avec son corps, qui manquait cruellement de confiance en elle, et ce, dans tous les domaines dont le sexe. Ce pour cela qu’il lui demanda son autorisation pour aller plus loin. Est-ce qu’elle était prête ? Sa réponse ne l’étonna guère. Pas encore. Il accepta, la rassura. Ils avaient tout le temps pour ça. Pour explorer sa féminité, pour lui faire comprendre qu’elle pouvait avoir confiance en elle avec un homme. Que c’était avant tout un moment d’échanges, de sensualité, de plaisir. C’était se donner l’un à l’autre. Caleb comptait le lui faire comprendre, à défaut des autres hommes que Judy avait pu rencontrer dans sa vie. Ses lèvres contre les siennes, il frissonna sous ses caresses. Peu à peu, elle s’autorisait à le toucher, à embrasser sa peau et il aimait ça. Il aimait la sensation que cela lui prodiguait. Puis il porta ses lèvres à son oreille alors que sa main glissait lentement jusqu’à sa féminité et sourit en la voyant fermer les yeux alors qu’il s’attardait sur son cou, jouant de sa langue contre sa peau et à la main qu’elle posa dans ses cheveux, il comprit qu’elle aimait ça. Puis il y eut ce soupir de plaisir qui lui fit poser son regard sur elle. Elle écoutait ses consignes. Elle se laissait aller. Elle prenait plaisir sous ses caresses. Ça n’empêchait pas Caleb de lui demander de le diriger et obéit en descendant ses doigts et la regarda gémir de plaisir, savourant de la voir ainsi, libérée et en confiance avec lui.

De son côté, Caleb avait envie d’elle. Terriblement envie d’elle. Sa virilité tendue en témoignait pour lui alors qu’il fit tomber son boxer au sol et vint entrer en elle en douceur, tout en la rassurant sur le fait qu’ils n’allaient pas diversifier les positions ce matin. Non, il voulait seulement qu’elle se sente en confiance avec lui, qu’elle savoure, qu’elle reprenne goût au sexe également étape par étape. Il ne la quittait pas du regard alors qu’il ondulait langoureusement le bassin et ferma les yeux sous les baisers de Judy et après quelques minutes, il sourit en écoutant la demande de son amante en accélérant, et davantage lorsqu’elle le lui demanda de nouveau. Une main sur sa cuisse, il accéléra donc les vas-et-viens avec une certaine fougue, et ce, jusqu’à l’entendre crier sur l’orgasme, suivit de peu par Caleb qui exprima lui aussi son plaisir sans retenue. Il laissa retomber sa tête contre le cou de Judy, restant en elle, et embrassa son cou, remontant lentement sa main de sa cuisse jusqu’à ses hanches, alors qu’il tentait de calmer sa respiration haletante et les battements saccadés de son cœur. Il se laissa ensuite glisser sur le côté et se mit à sourire de bien-être avant de tourner la tête vers Judy, et de se tourner sur le côté sans pour autant la toucher, la caresser ou lui demander de se blottir contre lui. Il ne l’avait jamais fait. Ce n’était pas naturel pour lui. Ça ne lui traversait même pas l’esprit en cet instant alors qu’il laissait glisser son regard sur le corps entièrement nue de son amante pour croiser son regard « J’ai aimé t’entendre crier ». Il voulait la rassurer sur le fait qu’elle avait le droit d’exprimer son plaisir de la manière dont elle le désirait sans crainte. Puis se glissa hors du lit et chercha du regard son boxer et l’enfila tout en se tournant vers Judy « Tu doutais de toi ? Eh bien tu peux te dire que tu n’as pas besoin, et ce n’est que le commencement » en esquissant un sourire en coin « Je vais me resservir un café. Tu en veux un ? » demanda-t-il tout en terminant de se rhabiller « Ensuite, je vais devoir y aller, ma sœur m’attends pour trouver le cadeau d’anniversaire de mon beau-frère. Tu pourras appeler Frankie comme ça ».

Charly
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Charly
Sam 24 Sep - 12:18

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandit dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Allongée là, complètement nue, son corps moulé à celui de Caleb qui avait la tête posé dans son cou, Judy se sentait terriblement bien. Elle caressa la nuque du beau brun tout en reprenant son souffle, les paupières closes et le sourire aux lèvres. Un léger frisson lorsqu’il se décala sur le côté. Elle avait soudainement froid sans lui. Elle tourna la tête pour le regarder. Se demanda à quoi il pensait. Puis elle baissa les yeux sur son propres corps, exposé là devant lui. Ce corps qu’il avait touché, caresser. Judy se tourna face à lui plus par pudeur que pour se rapprocher. Un sourire amusé : « -je crois que c’est la première fois que ça m’arrive de cette façon… » confia la jolie rousse. Peut être parce que c’était avec lui, ou grâce à lui… Quoi qu’il en soit, ce qui venait de se passer avait été délicieux. Elle le détailla du regard lorsqu’il se leva, posa sa tête l’oreiller. Elle hésita à le remercier, mais se résigna. Non, ils avaient dit pas de gêne après. Alors si elle lui disait merci, ça faisait service rendu et ça n’était pas ce qu’ils avaient conclu.

Elle leva de nouveau son regard sur Caleb qui se voulait rassurant. « -c’est grâce à toi je pense… » bon ça ne comptait pas comme un merci. Mais il avait su être patient, compréhensif aussi. Il était parvenu à lui faire lâcher prise, à prendre les commandes sans lui faire peur. Et c’était tout ça qui les avaient conduit à une telle conclusion. Un orgasme comme ça faisait une éternité qu’elle n’en avait pas eu. Mais aussi la surprise de l’éveil des sens, l’écoute de son corps et du plaisir. « -ouais je veux bien. J’arrive. » avait répondu Judy avec un sourire, le laissant quitta la chambre. Elle se leva, et enfila de nouveau son tshirt et sa petite culotte. « -elle a besoin de toi pour trouver un cadeau à son mari ? » demanda Judy en arrivant dans la cuisine, retirant ses cheveux du col de son tshirt. « -merci. » souffla la jeune femme lorsqu’il lui tendit un café.

Elle resta silencieuse, pas encore tout à fait sortie de l’état de bien être que procure l’orgasme. Le regard légèrement dans le vide, assise sur le canapé en tailleur, sa tasse entre les mains, elle cligna des yeux lorsqu’il décida de partir. « -ok… » souffla Judy en se levant pour l’accompagner jusqu’à la porte. « -on s’appelle. » elle n’avait pas envie de parler de planning ou d’emploi du temps. Parce qu’elle ne souhaitait pas que cela fasse uniquement allusion au sexe. A la base ils avaient parlé d’autres projets. « -j’ai une audition mardi après-midi… du coup ça décale un peu mon programme avec les gamins. » donc ils se tenaient au courant. « -passe le bonjour à ta sœur. » elle grimaça : « -enfin non, je sais pas. Comme tu le sens. » elle ne tenait pas à ce que qui se que soit se mêle de leur relation. Un salut et elle le laissa quitter l’appartement, revenant à sa tasse de café en souriant doucement. Wahou… c’était quand même un truc de dingue ce qui venait de se passer.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Sam 24 Sep - 13:39

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Complètement nus sur les draps qu’ils avaient fini de froisser par leurs ébats, ils profitaient de ce moment de flottement après le sexe. Tournés l’un vers l’autre, il n’y avait aucune gêne entre eux et ça rassura le beau brun qui ne voulait pas que le fait qu’ils couchent dorénavant ensemble altère leur amitié. Il voulait considérer cela comme un bonus à leur relation. Un avantage en plus dans leur amitié et leur collaboration. Un sacré avantage même. Il n’allait pas dire qu’il avait été surpris de cette première fois avec Judy, parce qu’il savait pertinemment qu’elle sous-estimait ses capacités en la matière, et qu’elle avait seulement besoin d’un amant à son écoute, qui sache la toucher, la caresser là où il fallait. C’était ce qui s’était produit ce matin, dans la chambre de Judy. Il l’avait écouté, il avait répondu à ses attentes, il avait su lui donner envie d’écouter son corps, de se concentrer sur son plaisir, et peu à peu, elle savait lâché prise et avait juste savourer. De son côté, Caleb découvrait le sexe avec une personne pour qui il éprouvait des sentiments, qu’il connaissait, avec qui il aimait passer du temps. Il avait frissonné sous ses caresses, sous ses baisers. Il avait aimé la regarder quand il laissait ses doigts jouer avec elle, il avait aimé la regarder durant l’acte, avec cette envie sincère de vouloir lui faire comprendre qu’il aimait partager ce moment avec elle, qu’il la désirait réellement et sincèrement, qu’il la trouvait belle nue, dans ses bras. Ce qu’il ne faisait jamais avec une conquête d’une nuit. Généralement, il n’était pas là pour leur faire comprendre qu’elles étaient belles. En effet, les femmes avec qui il avait des aventures le savait pertinemment. Elle en jouait même durant la soirée avant de le rejoindre dans son appartement, et avec elles, s’étaient uniquement du sexe. C’était physique, et uniquement cela. Alors qu’avec Judy, s’était bien plus profond. Il l’aidait également à se reconstruire en tant que femme. Ce fut pour cela qu’il lui avoua avoir aimé l’entendre crier sous l’orgasme, et ça lui avait permis d’en faire de même également. Avec ses aventures d’un soir, il évitait de se montrer aussi expressif à l’issue. Il tenait un rôle différent, plus viril, plus masculin avec ces dernières. Alors qu’avec la jolie rousse, il pouvait être lui-même. Cela signifiait sensible, timide, réservé, expressif aussi. Pas de surplus de testostérone pour l’impressionnée. Il savait qu’avec elle, il n’en avait pas besoin. Un sourire timide se glissa sur ses lèvres face à l’aveu de cette dernière « C’est parce que nous nous sommes écoutés ». Elle avait osé lui dire ce qu’elle voulait, et il avait fait en sorte de l’écouter pour la mener à la jouissance avec lui.

Caleb se leva ensuite du lit et se rhabilla tout en continuant de regarder la jolie rousse nue dans le lit. Il devait avouer que la vue était des plus agréable. Il la rassura sur ses compétences au lit et se mit à rire doucement « C’est surtout parce que tu t’es sentie en confiance ». Elle n’avait pas peur de ce qu’il pensait ou pouvait penser. Alors ça aidait. En tout cas, c’était ce que pensait Caleb qui considérait que ce qui s’était passé là, dans ce lit, c’était grâce à eux deux. Il lui proposa ensuite de boire un café et se rendit dans la cuisine où il préparait les deux tasses de café « Oui… Enfin non. Je pense que c’est une excuse pour voir comment je vais » et leva ses yeux bleus sur la jeune femme « La semaine n’a pas été facile pour moi et elle s’est inquiétée ». Alors elle avait trouvé cette excuse de cadeau d’anniversaire pour le voir et parler de tout ça ouvertement. La dégustation du café se fit presque dans le silence. Pas un silence de gêne, mais plutôt parce qu’ils étaient encore sur un petit nuage. Caleb jeta un regard à sa montre, et se leva « Bien sûr » et passa la porte, restant sur le seuil « Tu veux que je t’accompagne ? Je pourrais te voir danser comme ça » Sourit-il. Il avait envie de revenir à leur relation telle qu’elle était avant cette semaine de distance, et leur dispute. Un petit rire « Tu me fais rire, tu sais » tout en lui lançant un regard complice et quitta l’appartement en chantonnant presque. Quand il rejoignit sa sœur, elle haussa les sourcils de surprise « Eh bien ! On dirait que tu as eu une bonne nouvelle ce matin » « On peut dire ça » « Tu as reparlé avec Judy ? ». Il acquiesça, lui racontant l’appel de Frankie, le fait qu’il soit allée la chercher en boite de nuit. Il omit bien évidemment le haut qu’elle avait fait tomber, le nouveau tournant de leur relation, ou encore leurs ébats de la matinée qui l’avait placé sur un petit nuage pour toute la journée. Cette dernière fut relativement sceptique de voir son frère aussi content pour une réconciliation, mais soit. En début de semaine, il envoya un message à Judy : Cours de cuisine ce soir ? On prépare des tagliatelles aux crevettes et sauce coco. Le chef souhaite nous faire faire un crumble aux poires chocolat pour le dessert, mais je voulais changer ce point-là pour te proposer une mousse chocolat blanc sur une autre mousse chocolat au lait, avec un supplément chantilly. En sous-entendant qu’il avait envie d’elle : Dégustation à domicile.

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Sam 24 Sep - 14:50

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandit dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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« -j’aime bien quand on s’écoute… » s’amusa Judy qui n’avait pas la moindre envie de voir s’installer de la gêne entre eux. Mettre une petite touche d’humour, c’était toujours utile. Elle le regarda se lever, lui souriant avec douceur lorsqu’il voulu la rassurer. « -c’est vrai… » elle tenait à ce qu’il imprime bien ça dans sa tête. Elle ne s’était pas forcée. Elle avait totalement lâché prise, elle s’était remise à lui, le laissant la guider et prendre les rênes de leur ébats. Elle ne s’était pas posée plus de questions que ça. Et en lui faisant confiance, elle s’était libérée de beaucoup d’appréhension. Elle s’était aussi sentit belle et désirable dans ses yeux. Et ça comptait beaucoup aussi.

En arrivant dans la cuisine Judy fit un : « oh… » d’ordinaire c’était lui qui faisait ça. « -elle est courant que c’est ma faute ? » oui ba autant dire les mots. S’il avait passé sa semaine avec le moral au plus bas, c’était à cause d’elle et de leur dispute. Ça avait été la même chose de son côté. Et maintenant Amélia et Franky étaient au courant. Quelques minutes plus tard, après avoir bu leur café dans une sorte de silence apaisé et consentit. Judy réfléchit quelques instants à la demande de Caleb avant de lui dire : « -je veux bien oui… » avec un petit sourire, heureuse qu’il ai proposé. Il l’aiderait surement à ne pas trop stresser. Elle sourit un peu plus lorsqu’il se moqua gentiment d’elle, avant de le laisser partir.

Elle passa le reste de la journée dans le canapé à regarder une série. Simplement parce qu’elle était fatiguée de la soirée, et qu’elle n’avait pas envie de faire autre chose. En début de soirée elle appela Franky pour la remercier. Celle-ci se montra curieuse tout en respectant la vie privée de son amie. Elle ne poussait jamais à trop savoir. Et Judy appréciait ça. Elle précisa cependant que oui, Caleb était canon et qu’il avait l’air d’un type bien. « -il l’est… » avait répondu Judy en souriant pour elle-même en pensant à lui. En recevant le message de Caleb, Judy manqua de cracher le café qu’elle avait dans le bouche. Elle cacha son sourire derrière sa main, avant de répondre : ça me va, on se retrouve là-bas ? puis un second message : j’adore ton idée de dessert. Etrangement elle avait eu du mal à se concentrer durant toute la journée.

Le soir venu, elle arriva en retard. Le souffle cours, elle s’excusa au prêt du chef, et prit place à côté de Caleb aussi discrètement que possible. « -salut… je suis désolée j’ai eu un contre temps. Le père d’une des filles qui participe à mon atelier de danse. » elle avait tenté de rester cordiale au départ mais lorsque le sujet en était venu à une histoire de tenue adapté pour sa fille, à la vision d’une femme blanche qui ne comprenait rien à leurs vies… Judy avait tiqué et elle avait mis les choses au clair. Elle s’était d’ailleurs étonnée d’avoir eut autant d’aplomb. « -du coup j’ai pas eu le temps de me changer rien. » elle qui aurait voulu prendre une douche, se faire belle… c’était un peu loupé. Elle se lava les mains et passa son tablier autour de son cou. « -attends mais tagliatelle ? On fait les pâtes non même ? On les balance pas seulement dans l’eau ? » s’étonna la jeune femme en voyant les ingrédients devant Caleb. « -ok je suis prête. Ça va toi ? »

Manhattan Redlish
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Sam 24 Sep - 15:31

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Caleb n’avait pas été au mieux de sa forme durant toute la semaine, et Trish l’avait remarqué en se rendant chez lui pour récupérer son mixeur afin de préparer des crêpes pour les enfants. Elle l’avait retrouvé devant une série humoristique, en pyjama, avec son chat sur les genoux. Il n’avait même pas pris la peine de se lever du canapé ce jour-là. Elle l’avait alors interrogé et il avait fini par expliquer qu’il s’était disputé avec Judy, en omettant volontaire l’épisode plus intime de leur dispute. Alors quand il expliqua que sa sœur voulait de son aide pour le cadeau d’anniversaire de son mari, c’était uniquement une excuse pour s’assurer qu’il allait mieux. En entendant la question de la jolie rousse, il rétorqua un « Oui » tout en baissant son regard sur sa tasse de café, et releva ses yeux bleus sur elle « Enfin… Elle n’est pas au courant de l’épisode dans ma chambre. Je te rassure. Juste qu’on s’est disputé au speed-dating ». Sa sœur jumelle avait la délicatesse de n’accuser personne. Elle savait que son frère n’était pas l’homme parfait, mais qu’il était bienveillant, et de ce qu’il avait pu voir de Judy, elle restait convaincue qu’elle était la femme qui conviendrait à Caleb. Il était donc hors de question de ruiner toute sa théorie en accusant l’un ou l’autre. Elle ne s’en était pas mêlée en fait. Elle l’avait juste écouté. Il sourit ensuite à la jeune femme « Mais c’est de l’histoire ancienne maintenant. Ça n’a plus aucune espèce d’importance » et elle devait bien le savoir au vu de ce qui venait de se passer entre eux deux un peu plus tôt. Ils prirent ensuite place sur le canapé et quand Judy évoqua son audition, ce fut tout naturellement qu’il lui proposa de l’accompagner. Un sourire alors qu’elle acceptait, et un « Bien » timide avant de rejoindre sa sœur en centre-ville où il n’échappa pas vraiment à l’interrogatoire.

Le beau brun laissa le week-end passé sans envoyer de message, passant le samedi après-midi à faire les achats pour l’anniversaire qu’ils fêtèrent le lendemain en famille. Ce ne fut pas pour autant qu’il n’avait pas été gagné par une envie constante de lui envoyer un message, mais s’était abstenu jusqu’au lundi matin. Il avait pianoté l’invitation à le rejoindre le soir-même au cours de cuisine tout en se brossant les dents et avait souri en voyant sa réponse : On se retrouve à 19 heures , et répondit au second : Tu l’aimeras encore plus à la dégustation. C’était une première pour le beau brun que d’envoyer un message ainsi à la jeune femme, en imaginant déjà ses mains caressant sa peau halée. Le soir venu, Caleb avait opté pour une chemise blanche, un jean et un blazer. Il avait souhaité se faire beau pour elle. Ça, ce n’était pas une première pour lui. Un regard pour l’heure en voyant qu’elle n’était pas arrivée et alors qu’il se saisissait du portable pour lui envoyer un message, il reconnut sa voix et se mit à sourire, rangeant le petit appareil dans la poche intérieure de sa veste de costume « Qu’est-ce qui s’est passée ? » demanda-t-il quelque peu préoccupé par son excuse « Tu es très bien comme ça » la rassura-t-il ensuite, en le pensant sincèrement et l’aida ensuite à nouer son tablier dans le dos, puis jeta un regard sur les ingrédients et se mit à rire « Bien sûr ! C’est un cours de cuisine, pas un cours de survie » et acquiesça « Oui, très bien », et bien plus maintenant qu’elle était là « Enfin… Le seul souci, c’est que je n’ai pas arrêté de penser à toi et moi, avec de la chantilly sur le corps, toute la journée ! J’ai même écrit « chantilly » sur mon carnet de rendez-vous au lieu de de Sophie » et précisa « C’est pour un article dans un magazine. Je ne suis pas convaincue de l’idée, mais pourquoi pas » et s’arrêta de parler en sentant un regard pesant sur lui. Caleb tourna alors lentement la tête vers le chef « Je vous dérange tous les deux ? » « Eh bien maintenant que vous le dites… » « Au travail Caleb ! Et vous aussi jeune fille ! » en désignant les ingrédients du doigt. Caleb fit une grimace à Judy « Tu me déconcentres ! ».

Charly
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Charly
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Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandit dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Ils n’avaient pas vraiment convenu de s’envoyer de pareil message, d’où la surprise de Judy en le lisant. Agréable surprise. Mais surprise tout de même. Elle prit conscience au bout d’un moment que les mots écrit par Caleb ne cessait de revenir à son esprit, et que son imagination divaguait assez facilement. Le soir venu, elle arriva en retard, n’ayant pas perdu plus de temps à envoyer un message à Caleb. Elle présenta des excuses au chef, mais bon après tout c’était un cours, pas le service militaire. « -oh heu… une petite divergence d’opinion sur le statut de la femme et sa possibilité à mener sa vie comme elle l’entends. » elle soupira en énonçant la suite, comme si elle reprenait enfin son souffle après cette course contre la montre. « -il a également voulu me faire comprendre qu’en tant que blanche, j’étais mal placé pour comprendre sa fille. Grosso modo que j’avais presque une mauvaise influence sur elle… » Judy s’attacha les cheveux rapidement, avant de se lever les mains : « -j’ai pas vraiment apprécié… » une légère grimace avant de s’excuser pour sa tenue. Clairement là elle ne se sentait pas hyper partante pour la suite du programme qu’ils avaient prévu. Elle aurait aimé prendre une douche avant de… enfin voilà. Être un peu plus présentable.

Elle se mis à rire à la réponse de Caleb : « -j’avais pas vu ça ainsi. » non vraiment elle n’avait pas imaginé faire des pâtes ce soir. « -je me suis dis aussi que ça avait l’air trop simple… » puis elle fronça les sourcils en tourna la tête vers lui lorsqu’il parla de souci. Mais elle se mis bien vite à sourire en écoutant la suite. Puis elle regarda le chef qui semblait vouloir qu’ils soient un peu plus concentré. « -j’ai rien fais du tout ! » râla la jeune femme en souriant, prenant la farine et les œufs. « -c’était quoi les consignes ? » demanda Judy. « -me regarde pas comme ça, t’étais là avant moi ! » il était censé savoir ce qu’ils devaient faire. « -c’est quoi cette histoire de magazine ? Un article sur toi ? » enfin sur ce qu’il faisait comme métier en tout cas. « -Hitch lui il a pas vraiment aimé avoir un article sur lui… » commenta Judy en cassant les œufs, essayant de ne pas en mettre de partout. « -j’ai déjà faim… » souffla t elle en regardant la photo de ce que ça devait donner. « -tu sais… » reprit elle en pesant la farine : « -ton message m’a… m’a légèrement perturbé. » un regard rapide, un sourire et elle ajouta : « -je dis pas que j’ai pas aimé… loin de là… » elle ferma le sachet de farine : « -c’est un peu nouveau aussi, c’est tout. » et oui, elle n’avait jamais envoyé de message de ce genre à Jeffrey. Lorsque le cours toucha à sa fin, elle demanda: "-est ce que ça te gêne si on va manger chez moi? j'ai eu une longue journée, j'aimerais me changer et me doucher aussi." une légère grimace, alors que dans sa tête ça disait: clairement je voudrais faire les choses bien...

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Sam 24 Sep - 17:53

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Caleb s’était presque inquiété de ne pas voir arriver la jolie rousse au cours de cuisine, mais à peine eut-il le temps de se saisir de son portable pour lui envoyer un message qu’elle débarqua. Il rangea donc le petit appareil dans la poche de sa veste de costume et adressa un sourire à la jeune femme qui arriva à sa hauteur. Quand elle expliqua les raisons de son retard, Caleb perdit son sourire. On évoquait souvent la discrimination des blancs envers sa communauté, mais parfois, l’inverse pouvait également se produire, comme en témoigna les propos de la jeune femme qui voulait juste expliquer à une jeune femme qu’elle était libre de mener sa vie comme elle l’entendait « Tu veux que je t’accompagne la prochaine fois ? Le dialogue sera plus facile avec moi. On va parler entre hommes ». Cela ne sonnait pas comme un effort de médiation, mais davantage comme une menace. Il voulait expliquer à ce père de famille qu’il n’avait pas apprécié le retard de son amie au cours de cuisine parce qu’un père de famille n’acceptait pas qu’une femme blanche explique à son enfant qu’elle était libre de ses choix « Je vais faire en sorte que la suite de la soirée soit plus agréable » en esquissant un petit sourire en coin qui voulait en dire beaucoup sur le fil de ses pensées en cet instant. Enfin pour le moment, ils devaient cuisiner des pâtes et Judy était surprise de voir qu’il fallait également fabriquer lesdites pâtes, et se mit à rire doucement « J’aime ta naïveté dans ce cours ». Il était sincère. Il trouvait cela adorable « Après, je te laisse venir avec des pâtes toute prêtes par une boite industrielle. Mais à tes risques et périls » en désignant le chef d’un signe de tête avec amusement. Il n'était pas certain que ce dernier apprécie la plaisanterie. Chef qui n’hésita pas à les rappeler à l’ordre pour leur demander d’être plus attentif « Attention Monsieur Hamilton ! » en désignant ce dernier du doigt alors que Judy se disait innocente. Quand ce dernier s’éloigna, Caleb pointa son doigt sur elle « Attends-toi ! Ma vengeance sera terrible » et se mit à rire en échangeant un regard complice avec cette dernière.

« Qu’est-ce que j’en sais moi ?! » rétorqua-t-il en regardant autour de lui, et posa son regard sur Caleb « Je n’écoute plus rien depuis que tu es arrivée, et avant, il parlait juste du menu ». Il s’approcha d’un des autres participants qui lui expliqua ce qu’ils devaient faire et le remercia avant de transmettre les dites consignes à Judy et se mit au travail tout en poursuivant la conversation « Non, sur mon métier de consultant. J’ai demandé à rester anonyme » et se mit à rire en écoutant sa référence au film Hitch « Oui, mais parce que ça a foutu en l’air sa relation avec la journaliste, ce qui n’est pas mon cas », même si au vu de sa voix pour le moins agréable, il n’était pas contre l’idée de finir l’article en beauté en lui montrant les dessous du créateur de l’entreprise. Il posa son regard sur Judy et demanda « Faim de pâte ou de moi ? » en la taquinant un peu et lui tendit un œuf « Tu peux le manger cru si tu veux » et se mit à rire de sa connerie. Il se concentra un peu sur la préparation quand la jeune femme reprit la parole pour évoquer les messages envoyés ce matin. Il tourna la tête vers elle tout en continuant de travailler sa préparation « Je n’ai jamais fait ça avant. Envoyer des messages ainsi à une femme ». Parce qu’il les trouvait dans un bar et qu’elles disparaissaient au petit matin « J’ai pensé à toi et j’avais envie de jouer un peu… Mais je peux éviter la prochaine fois si tu veux. Je voulais juste essayer » rétorqua-t-il en haussant les épaules avec un sourire à l’attention de Judy. Il n’était pas vexé. Il comprenait.

Le cours toucha à sa fin et comme la fois précédente, ils avaient demandé à déguster à domicile. Le chef n’y voyait pas d’inconvénient. Un regard pour Judy qui marchait à ses côtés « Non, ça me va ! Je dresserais les assiettes en attendant que tu te prépares » rétorqua-t-il tout en posant sa main dans son dos alors qu’ils s’avançaient jusqu’au taxi. En arrivant chez Judy, Caleb salua le chat qui était venu à ses jambes « Toi, tu sens la nourriture » et posa le sac sur l’établi de la cuisine « Je fais comme chez moi, tu ne m’en veux pas ? » et commença à sortir les assiettes, jusqu’à ce qu’il entende l’eau de la douche. Il imaginait la jeune femme sous l’eau chaude, complètement nue et une soudaine envie l’accabla. Il n’était pas certain d’avoir envie d’attendre le dessert finalement. Enfin, ça ne les empêchait pas de recommencer après. Il rangea le sac dans le frigo et retira ses vêtements tout en se dirigeant vers la salle de bain. La porte était ouverte. Un sourire alors qu’il tournait la poignée. Il déposa ses effets personnels au sol, dans un coin de la pièce, et ouvrit la porte de la douche, se glissant derrière elle sous l’eau chaude « Je me suis dit que ça serait plus écologique de la prendre à deux » et embrassa son cou, en sachant qu’elle aimait beaucoup ça. Il passa ses bras autour d’elle, et vint caresser sa poitrine tout en continuant d’embrasser sa peau trempée et chaude, et se glissa en elle, son torse contre son dos. Il fit glisser une de ses mains jusqu’à sa féminité pour venir croître son plaisir tout en commençant ses vas-et-viens langoureux, alors que son autre main continuait de caresser sa poitrine « Comme ça ? Tu aimes ? » demanda-t-il d’une voix rauque par le plaisir.

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Sam 24 Sep - 21:50

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandit dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Judy avait reculé le menton et plissé les yeux : « -ça veut dire quoi ça ? Parler entre hommes ? Tu penses que je me suis laissée marcher sur les pieds ? » oui en même temps, il y avait de grandes chances qu’il ait pensé ça. Forcement. « -bon d’accord au départ je n’ai pas dis grand-chose, j’ai surtout écouté, mais ensuite… » une légère grimace. « -je crois qu’il a compris qu’il ne fallait pas trop me chercher sur le droit des femmes. Blanche ou pas. » elle avait eut la sensation d’être comme une testatrice, une personne malveillante qui était là pour pousser les filles sur le mauvais chemin. Or ça n'était pas du tout le cas ! Elle ne cherchait qu’à leur permettre de s’exprimer. « -mais c’est gentil de me proposer ton aide. » oui, vraiment elle appréciait. Un léger sourire en coin en comprenant où il voulait en venir, avant de passer son tablier.

« -ne commence pas à te foutre de moi tu veux ! » râla gentiment la jeune femme. Elle n’avait pas vraiment pensé aux pâtes qu’ils devaient préparer ce soir. C’était l’idée du dessert qui l’intéressait plus. Un joli rire avant de répliquer : « -ba va s’y dit que c’est ma faute ! » comme s’il était du genre concentré à la base. « -hum… intéressant. Ça peut être un plus pour trouver des clients. Enfin ça dépends ce qu’elle va raconter dedans. » oui cela dépendait de la journaliste. Pour cela la gêna quelques secondes qu’il s’agisse d’une femme d’ailleurs ?! « -les deux… » répondit Judy sans lever les yeux de la préparation. Elle avait repensé plus d’une fois à ce qui s’était passé chez elle, dans sa chambre. Et clairement elle avait envie de recommencer. « -rah non beurk ! » dans quelque temps peut être que se permettrait de lui dire que c’était lui qu’elle allait mangé tout cru. Mais pour le moment, Judy restait encore pudique sur bien des points. Elle avoua d’ailleurs avoir été surprise du message. « -oh non ! » répondit Judy avec un peu trop de précipitation. « -j’ai mis trop de farine… » se justifia la jeune femme alors que le binôme de devant se retournait en se demandant ce qui se passait. Un sourire et elle regarda à nouveau Caleb. « -tu… tu peux continuer. J’aime bien. Et c’est largement plus sympa que demain 16h chez toi. »

En sortant du cours de cuisine, elle lui demanda si cela ne le gênait pas de changer leurs plans. D’aller chez elle plutôt que chez lui. « -ok merci… » avait elle répondu avant de monter dans le taxi. « -non non ne t’en fais pas, aucun souci ! » avait crié Judy en s’éloignant jusqu’à la salle de bain, attenante à sa chambre. Elle n’en avait pas pour longtemps mais elle se sentirait bien mieux. Elle n’avait pas fermé la porte, simplement parce qu’elle ne la fermait jamais. Elle vivait seule, pas besoin de s’enfermer à double tour pour prendre une douche. Et puis sa mère lui avait toujours dit que s’il lui arrivait quelque chose, c’était plus facile de la secourir si la porte était ouverte.

L’eau chaude lui fit du bien, avant qu’elle n’ait un léger sursaut en sentant la présence de Caleb juste dans son dos. « -qu’est ce que tu… » c’était quoi cette question idiote ? Elle savait parfaitement ce qu’il faisait là ! Judy ferma les yeux lorsqu’il l’embrassa dans le cou. Un léger gémissement lorsqu’il entra en elle. Judy colla ses deux mains contre le mur, cambrant les reins en arrière. Elle répondit dans un gémissement : « -oh oui… » Elle aima cette effet de surprise, cette initiative de la part de Caleb. Elle aimait aussi cette position et les coups de reins de plus en plus saccadé que donnait Caleb. C’était fort et langoureux à la fois. Bientôt elle chavira, se laissant envahir totalement par le plaisir.

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Dim 25 Sep - 9:35

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Pour avoir grandi dans ces quartiers, Caleb savait que certains habitants n’appréciaient pas la venue des blancs avec une certaine situation financière et qui viennent dans l’espoir de les sauver de leur condition alors que généralement, leur quartier est indiqué comme à éviter sur les sites touristiques. C’était pour cela que l’entremetteur proposait de venir parler au père de famille. Ils étaient issus des mêmes quartiers défavorisés et gagnés par la criminalité, mais il savait aussi Judy sincère avec ces jeunes et qu’elles n’étaient là que pour les aider. Il rétorqua un « Eh bien… » avec hésitation et la laissa lui répondre. Peu à peu un sourire se glissa sur ses lèvres, et rétorqua un « Je suis fier de toi » naturel et sincère. Oui, il était fier qu’elle ait tenu tête à cet homme et qu’elle ait su s’imposer « C’est que je connais ce genre de type ». Par chance, son père n’en faisait pas parti. C’était sûrement dû au fait qu’il voyait tout le monde comme des gens bons et bienveillants. Il se mit ensuite à rire tout en se moquant gentiment de la jolie rousse « Tu m’as tendu le bâton pour te faire battre » et se rendirent compte qu’en réalité, depuis le début du cours, aucun d’eux n’avait écouté, et plus particulièrement Caleb qui s’était inquiété de ne pas la voir avant et qui était plus concentré sur son portable que sur les consignes du chef « C’est de faute ! » répéta-t-il à sa demande, non sans un petit sourire espiègle.

Concernant l’article dont il lui fit part sans que ça soit le sujet principal de la conversation, Judy semblait optimiste concernant l’influence que ça pourrait avoir sur son entreprise de consulting, tout en émettant une réserve malgré tout « Je vais rester assez évasif. Il y a des choses qu’elle n’a pas à savoir, aux mêmes titres que ses lecteurs. Comme, pourquoi cette entreprise. Pour être devenu consultant… C’est personnel. Je vais juste expliquer en quoi ça consiste et elle se débrouillera avec ». Il était hors de question pour lui d’évoquer la tentative de suicide de sa sœur, de son métier de thérapeute, puis ce qui l’avait mené jusque-là. Seule sa famille et Judy étaient au courant. Un petit sourire et un regard pour Judy quand elle évoqua avoir faim et aima sa réponse. Pour le moment, il ne pouvait pas être au menu. Pas devant tout le monde. Il lui proposa des pâtes crues et se mit à rire à sa réaction ? Puis son rire s’estompa quand elle évoqua les messages et le fait que c’était une première pour elle aussi. Elle n’avait jamais échangé ainsi avec Jeffrey donc. C’était dommage. Il sourit en l’entendant répondre avec précipitation, et rétorqua un « Ok ! » amusé avant de baisser son regard sur la farine « Tu as un souci avec cet ingrédient. Je pense m’en occuper dorénavant » et lui donna un petit coup d’épaule tout en continuant de la regarder « Je préfère aussi… ». Il n’avait pas envie qu’ils finissent par prendre des rendez-vous d’affaires pour du sexe. Il aimait que ça se fassent naturellement entre eux.

Comme lorsqu’il vint se glisser derrière elle sous la douche au lieu de dresser les assiettes comme promis. Il se blottit dans son dos, embrassa son cou, caressa sa peau et la fit sienne. Rien de calculé. Juste une envie soudaine d’elle, de son corps. Il fit glisser ses mains jusqu’à ses hanches quand elle se cambra un peu plus vers lui et se montra plus fort et langoureux dans ses coups de reins, jusqu’à la jouissance qui lui fit tourner la tête. Il resta un instant ainsi, juste derrière elle, puis la fit se retourner vers lui et l’embrassa « Je vais peut-être préparer les dîner maintenant. Ne t’habille pas trop. J’en ai pas fini avec toi » tout en sortant de la douche. Un regard pour son corps nu, se mordillant la lèvre inférieure avec envie et retourna dans la cuisine pour chauffer et dresser le dîner. Il leva ensuite les yeux vers elle quand elle arriva et lui sourit "J'espère que ta journée s'est quand même bien passée ?" et ajouta "Au fait... Qu'est-ce que tu as dit à Frankie quand je suis parti ? Qu'on s'était réconcilié ?"


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