Un troisième round. Yes. Bon après, elle fait la maligne, mais des rounds comme ceux-là, ça ne va pas être aussi simple à multiplier que ça. Mais. Challenge accepted. Largement. Enfin, pour l’instant elle grogne juste pour signaler que ouaaiiiisssss elle va prendre le temps de se lever. T’façon, t’sais ce qu’on dit. Si madame est apte à faire un sandwich à monsieur après une partie de jambes en l’air. C’est que monsieur ne mérite pas son sandwich, héhé. Maki reste donc allongée sur le matelas et faire courir le bout de ses doigts sur son corps pour récupérer toutes ses sensations et se réexplorer tranquillement. En se redressant, elle remarque le suçon entre ses seins, et la différence de couleur entre ses mamelons. Et elle se dit qu’il faudrait peut-être qu’elle le marque, lui aussi, héhé.

“Nan c’est bon, merci ! Par contre, j'veux bien un verre de rhum ! On coûte cher en rhum nous, les pirates.”

Une sorte de tradition ancestrale. Son préféré, c’est le spécial Capitaine Sparrow (:P), mais il coûte un rein. Elle finit par se lever, s’étire en faisant craquer ses articulations. Preuve de plus, s’il en fallait vraiment une supplémentaire, que c’était vraiment une baise incroyable. Maki ne se défait pas de son petit sourire de satisfaction. Elle sort nue de la chambre et ses yeux se posent sur Warren. Nu. Mais en tablier. Hell yes. Elle reste un peu appuyée contre l’embrasure de la porte, à le regarder (son cul surtout erm) un moment, les bras croisés sous ses seins. Il a de la chance qu’elle a la dalle. Sinon … !

“C’est vrai qu’il y a une belle vue chez toi.”

Elle se marre toute seule Maki, et puis son regard échoue sur ses fringues abandonnés par terre dans le salon. Oups. Chez elle, elle a l’habitude du bordel (ou parce que désordre c’est un euphémisme) mais elle n’est pas chez elle. Alors la jeune femme réccupère ses affaires abandonnées là, et aussi la chemise de Warren, erm, elle va les balancer dans la chambre d’amis sur son sac toujours resté là. Bon, ok, c’est juste déplacé du bordel, c’est pas ranger, mais, zut. Et puis Maki passe la chemise du lightning sur elle. Eh. Ça ne lui va pas si mal. Surtout de ne porter que ça. Elle aime beaucoup. Ca lui rappelle la première photo qu’elle a envoyée à Warren, tiens (sauf qu’elle avait un bas), avec le tissu qui couvre juste ses tétons. Sauf que contrairement à la photo, bah en vrai elle bouge, et du coup, le tissu glisse, hehe.

La jeune femme rejoint ainsi Warren dans la cuisine, attrape le verre qu’il lui a préparé et se plante devant lui pour en boire une gorgée en le regardant bien dans les yeux. Et puis elle se détourne, et s’en va. Se délectant quelques secondes de cette sensation très très nouvelle d’un combo marbre froid sous les pieds, appartement de rêve avec deux vues très intéressantes, un bon rhum, à poil dans la chemise du capitaine des lightning qui l’a fait jouir … quatre fois ? Cinq fois ? C’est un combo très très intéressant.

“On mange dans la salle à manger ?”

Ça sonne comme une question, mais ça n’en est pas une. Maki s’installe derrière la table. Une jambe ramenée sous elle, lui faisant légèrement mal aux fesses (oui, non, elle n’est pas vu les petites traces bleues qui y fleurissent, héhé). Elle regarde Warren avec un sourire en coin en faisant tourner l’alcool au fond de son verre.

“Tu sais que j’suis pas une petite garce qui aime se faire servir, hein ? Mais pour ce soir ça me fait rire.”

La bonne excuse, héhé.