J'ai 45 ans et je vis près de Londres, en Angleterre. Dans la vie, je suis Directeur d'une société d'import/ export et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis à nouveau marié et je le vis plutôt très bien. A été marié avec Sophie Witeaker son amour de jeunesse avant Katherine Crowley.
Aime: la chasse, les fleurs exotiques, les romans horrifiques, le thé avec du miel, les cigarettes et relater ses recherches dans son journal.
Déteste: Les cerises, les histoires de femmes, qu'on l'interrompe quand il parle, l'impolitesse, les chats, qu'on aille dans sa serre.
Il va voir Sophie à l'hôpital psychiatrique de temps en temps seul sans le dire a personne."
Christabella "Chris" Sibley
J'ai 9 ans et je vis près de Londres, en Angleterre. Dans la vie, je suis une gamine en primaire et je m'en sors seule. Sinon, grâce à ma malchance,ma mère est malade psychiatrique et je vis avec ma belle mère et je le vis plutôt mal car elle me déteste. Sophie l'appelait "Bella".
Aime: Son père, faire flipper Katherine, les animaux, rester dehors, la pluie, la lecture et le dessin mais aussi le chocolat chaud.
Déteste: Les niaiseries, qu'on parle de Sophie, son psychologue, qu'on trouve ses cachettes, qu'on la suive, les extra terrestres, les trucs roses.
Sa couleur préféré est le kaki et elle est très frileuse.
Elle n'a pas vu Sophie depuis ses 4 ans et elle lui manque beaucoup...
Content qu'elle lui réponde et réagisse à sa démarche pour la détendre il revint devant elle tout en restant là tout contre elle caressant son visage dans ses cheveux et venant caresser ses joues. Quand il la vit plus expansive et souriante il se souvenait de la femme qui lui avait volé son cœur à la bibliothèque. Ce moment le rendait tout chose, il avait des envies qui lui montèrent à la tête, mais les filles qui discutait à travers la porte le rappelère à la mesure. Il se contenta alors de humer son parfum délicat qui se déversais dans l'air.
-Oui tout à fait, j'espère qu'elles seront heureuse que tu les emmène à la piscine.
Il souriait face à cette femme, il n'arrivait à faire que ça pour vaincre son air de dame si sérieuse. Voir que cela marchait était une nouvelle victoire pour l'homme qui en trépignait presque sur place. Finissant de l'écouter dans une romantique étreinte son visage se pava de sérieux lorsqu'elle commença à aborder les sujets qui fâche...Il mis son front contre le sien l'air un peu triste et concédant à la réalité de ce qu'elle annonçait. Il se souvenait encore de la fois ou il lui avait annoncé qu'il avait une fille et qu'elle avait regardé et pris l'enfant dans ses bras comme si c'était le sien... Cela lui avait fait chaud au cœur et c'est vrai qu'avec ce si bon début de relation qu'elles avaient eu il regrettait qu'aujourd'hui les choses ai changé. Mais Emerald était loin d'être aveugle, il voyait bien que Chris ressemblait beaucoup à Sophie aussi bien physiquement que dans son fonctionnement psychique et ça, ça ne pouvait que mettre Katherine dans un désarroi certain.
-Humph... Je suis certains que les choses s’arrangeront avec le temps Kat. Poursuit tes efforts, elle en fera autant. J'y veillerais
Dit-il, paternaliste sans même s'en rendre réellement compte.Tout ce qu'il souhaitait c'était l'encourager mais il restait un homme maladroit avec le sentimentalisme. Défaisant doucement son étreinte il l'embrassa avec amour, puis il descendit à reculons les escaliers pour garder en visu Katherine en lui souriant.
-Ça va aller... C'est une formidable idée le pique-nique à Hyde Park.
La rassurait-il ou se rassurait-il ? Descendant les escaliers pour rejoindre son bureau et y récupérer quelques documents il parla fort pour qu'elle l'entende même loin.
-Je m'occupe d'appeler miss Glover ! A tout à l'heure !
Fit-il accompagné d'un geste et d'un grand sourire, cependant il ne rajoutera pas de Je t'aime considérant que cette phrase c'était approprié que dans des cas très particuliers et pas de simple au revoir provisoire. Il passa la porte et en la refermant soupira un peu de soulagement avant d'allumer enfin sa cigarette du matin... D'ordinaire il fumait a l'intérieur mais il savais que Katherine n'approuvait pas même si elle ne le disais pas clairement. Il l'avait remarqué à cause des réticences qu'elle avait au devoir conjugale quand il fumait dans la maison et faisait des choses typiquement masculines qu'elle trouvait grotesque. Sans oublier les filles... Chris lui volait son tabac et Marjorie grimaçait a chaque fois que son nez en percevait que l'infime odeur. Néanmoins, dehors il pouvait enfin respirer et laisser ses poumons se remplir de fumer pour la recracher dans un souffle silencieux. Il alla au garage et il pris sa vieille Mercedes d'un marron bordeaux très classe. Les sièges étaient en intérieur cuir beige et le volant aussi. Comme tout homme il aimait l'automobile pour galvaniser sa masculinité mais appréciait se convaincre du contraire lorsqu'il était dans sa famille de femmes.
***
L'oreille collée contre la porte elle écoutait si Marjorie s'était éloigné et regarda même sous la porte pour voir ses pieds. Elle ne voulait pas la bousculer en ouvrant la porte, en fait. C'était surtout ça. Quand elles étaient plus jeunes elles jouaient parfois ensemble et il arrivait que par accident Chris casse des petits meubles en bois de sa jeune sœur et à cette époque celle-ci n'avait pas les idées assez claires pour cacher ces faits à Katherine. Chris était donc disputé ce qui lui faisait toujours un drôle d'effet dans l'estomac quand elle estimait qu'elle ne le méritait pas car c'était un accident. Depuis cela la jeune fille était de nature prudente en ce qui concernait sa petite sœur... C'était difficile car parfois c'était Marjorie qui faisait de dangereuse choses... Mais comme Chris était la plus grande c'est sur elle que retombait la responsabilité. Elle détestait ça... Alors elle adoptais cette posture démissionnaire face a sa petite sœur qui en plus d'incarner la perfection qu'elle ne serait jamais la mettait régulièrement dans le beau draps sans même forcément le vouloir...
-Non tu regarde même pas mes pieds ! Cira un peu sans trop de méchanceté la petite pudique en fronçant les sourcils car elle trouvait la question bizarre... Repassant un regard sous la porte elle vit qu'elle s'était décalée et qu'elle ne s'arrêtait plus de poser des questions. Levant encore un peu les yeux au ciel d'agacement Chris se préparait à sortir de la salle de bain.
-Parce que c'est comme ça laisse moi tranquille... C'est pas parce que toi tu t'en fiche qu'on voit tes tétons que moi aussi !
Si Chris ne se sentait pas à l'aise toute nue c'est d'abord parce qu'elle se sentais vulnérable comme ça mais aussi qu'elle avait très très froid et quand c'était le cas son corps s'emplissait de chair de poule qu'elle trouvait monstrueuse. Ouvrant la porte elle attendit deux secondes avant de courir jusqu'à sa chambre en grelottant sous sa serviette au passage. Se tournant elle vérifia que Marjorie ne regardait pas et s'enferma dans sa chambre. Après avoir vécu cette horrible sensation de froid elle grommela presque de la question idiote de sa sœur.
-Parce que nous on a pas de fourrure ! Et puis les animaux ressente pas la chaleur comme nous moucheron.
Finissant de dire cela elle ouvrit son placard qui était désordonné et d’où pleins de vêtements dégoulinait. Elle tira un pantalon en jeans bleu foncé et un sweat-shirt à col rond qui lui était un peu trop grand. C'était un pull pour garçon qu'elle avait eu quand la famille était partie dans un chalet de montagne il y a peut-être un an. Enfin au chaud elle pris soin de remettre sous son oreiller la photo de Sophie, l'embrassant avant au passage avant de chuchoter.
-Je t'aime maman...
« Elle ne te remplacera jamais... » se promis t-elle dans sa tête. Elle repensa à la femme dans le petit étang du manoir et frissonna un peu en y pensant recroquevillé sur son lit elle était persuadée. Persuadée que sa maman n'était pas vraiment malade. Sans savoir ce qu'il s'était passé avec Sophie quand elle était encore un bébé on lui avait juste dit que sa mère avait le cerveau qui était tombé malade. Mais sa petite chair, elle , se souvenait et la laissa émettre cette hypothèse.
-C'est la femme du lac hein maman... c'est elle qui ta fait dérailler le cerveau ?
Fit-elle a la photo avant de la mettre sous son oreiller.
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Clionestra
Ven 5 Mai - 13:32
Katherine Sibley
J'ai 43 ans et je vis à Londres, en Angleterre. Dans la vie, je suis femme au foyer et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis marié à l'homme que j'aime et je le vis plutôt bien même si je doute.
> Elle aime lire des romans d'amour et à l'eau de rose depuis toujours. > Elle adore broder, et le fait sur tout ce qui peut lui passer par la main, ça la détends et lui permet d'exprimer sa créativité > Elle a perdu ses parents jeunes et a été élève par sa tante avec ses sept cousine. Sa tante lui a appris a être une femme au foyer, une mère, une épouse et Katherine a beaucoup de mal à déroger à certains principes. > Pourtant elle essaie d'élever sa fille avec les principes de sa mère, qui était la joie, la famille et l'amour. > Elle a peur de Sophie, l'ex de son mari, et de sa fille. > Tout comme sa fille, sa couleur préféré est le orange. > Discrète, elle ne dit rarement ce qu'elle pense vraiment pour éviter de froisser.
Katherine sourit à son mari. Elle comptait poursuivre ses efforts, bien sûr. Elle ne voyait pas comment faire autrement de toute façon. C’était ce qu’on lui avait inculqué. Et même sans l’éducation de sa tante, elle aurait envie de le faire. Chris… Ses mains contre son corsage alors qu’elle grelottait… L’image s’implanta dans son esprit avec la même force que celle de Sophie lui crachant au visage ce qu’elle ne serait jamais. Elle était ici, elle. Elle était dehors pendant que Sophie était loin. Katherine pouvait … elle pouvait avoir un impact sur l’enfant. Continuer à avoir peur, continuer à faire attention à ce que Chris ne blesse pas Marjorie, mais changer tout ça. Elle sourit à son mari. Elle était au plus mal, elle avait envie de pleurer et de se cacher à l’image d’une enfant apeuré… mais elle ne le ferait pas. Elle lui sourit. Ils allaient avoir une semaine sympathique, ensemble, et tout ira bien. Sans araignée. Elle le laissa partir à regret, tout de même.
- Reviens-nous vite, dit-elle plus fort et avec un sourire.
Il lui manquait déjà. C’était incroyable mais cet homme lui manquait toujours. Comme au premier jour, quand elle allait travaillé avec l’espoir qu’il soit là, dans la bibliothèque, en train d’attendre ou de regarder les ouvrages. Il était là. Il aimait les livres d’horreur, elle aimait les histoires d’amour, et pourtant il lui manquait. Elle ne pouvait pas dire quand elle était tombé amoureuse de lui. Quand plus rien n’avait d’importance. Sa tante refusait un homme déjà marié, sans être veuf, pour sa nièce. Elle n’avait pas eu le choix d’accepter. C’était une des rares fois où Katherine c’était rebellé. Elle avait refusé d’être la bonne « fille » à sa tante. Ramassant le drap, elle se demandait ce qu’elle pourrait faire de plus. Elle traversa le couloir pour voir Marjorie à la porte de Chris. Katherine s’avança, se stoppa et tourna les talons alors qu’elle vit sa petite fille sourire à rien dans le couloir, comme si elle écoutait. Avoir un ami imaginaire, c’était normal à son âge. Elle en avait eu un aussi. Peut-être. Elle se retourna dans le salon et chercha un livre qu’elle avait délaissé, ouvrant la page où le marque page se trouver. Elle pouvait encore entendre sa fille parler à sa soeur. Lisant un peu, finissant le chapitre qu’elle n’avait pas le temps de finir à cause de tout ça (// N EST CE PAS ?), elle finit par se lever pour commencer à préparer à manger. Elle fit un repas que Chris aimait, tout comme Marjorie. Mais Marjorie était une enfant facile. Elle aimait tout manger, même si ce n’était pas du chocolat. Elle aimait tout et tous choses… Et elle avait un ami imaginaire. Katherine eut un frisson. Elle préférait encore plus que sa fille fasse un élevage d’araignée que le risque qu’elle soit atteinte de folie, elle aussi.
- Leș filles je vais chercher des oeufs, pas de bêtises.
Elle pouvait laisser les filles peu de temps, il ne se passerait rien. Il fallait juste qu’elle mette un manteau et traverse la cours pour rejoindre le petit poulailler où poules et un coq se trouvaient. Elle sourit aux animaux en se penchant pour caresser la tête d’une poule qu’elle aimait tout particulièrement. Même si elle ne donnait plus d’oeufs depuis longtemps, et qu’elle aurait dû être mangé, Katherine ne pouvait se résoudre à la laisser mourir. Et à la manger. Non. Elle s’assit et profita d’un peu de tranquillité. Rien n’allait se passer à la maison.
Marjorie Sibley-Crowley
J'ai 7 ans et je vis avec mon papa, ma maman et ma grande-soeur, à Londres. Dans la vie, je suis une princesse et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis aimé par presque tout le monde sauf par ma soeur, mais j'y arriverais aussi, c'est une promesse.
> Petite fille de 7 ans toujours souriante et aimant tout le monde > Possède beaucoup d'empathie pour les gens et les choses. Ne supporte pas de voir quelqu'un pleurer ou mal. Prends toujours l'objet le plus abimé par peur qu'il ne se sente seul, sinon. > Adore danser, prends des cours depuis peu. > Aime le orange, bien que tout le monde continue de lui offrir du rose > Aime lire même si elle y arrive mal > A un "ami imaginaire", Allan, un jardinier qu'il dit et qui la protège des ennemis imaginaires > Veut désespérément que sa soeur l'aime. > Elle adore le chocolat, au point où elle peut s'en rendre malade si on ne l'arrête pas.
Marjorie avait suivit sa soeur en écoutant les conseils d’Allan. On pourrait croire, sans savoir qu’on lui soufflait les réponses, qu’elle avait les yeux ouverts. Elle fit même un pas de côté pour éviter une flaque qui rester entre elle et la chambre de sa soeur. Elle se stoppa à la porte. Cela ne la dérangeait pas de parler à la porte, puisqu’elle savait que sa soeur était de l’autre côté. Quand elle pu rouvrit les yeux, la petite enleva son haut de pyjama et observa son corps, surtout son ventre où son nombril était ressorti et ses tétons. Pourquoi c’était grave qu’on voit ça ? La petite n’avait pas de graisse pour faire des seins et ne comprenait pas en quoi il était grave de les voir. Sa soeur avait-elle honte ? Elle pencha la tête vers Allan, qui avait plaqué les mains sur son visage pour ne pas voir le corps de l’enfant. A nouveau, elle prit son bras et fit une croix. Question : pourquoi c’était mal d’être tout nu ? Nue ou pas, c’était pareil.
- Je pense que j’aimerais bien être un chat, fit la petite en se mettant assit devant la porte sans avoir vu sa mère dans le couloir. Les chats, ça ronronne. Je serais comme un chat, et ronronron, tout le temps. Et en plus je pourrais me glisser dans tes bras. Comme je serais toute douce, tu ne pourrais pas me repousser et je pourrais faire ronronron encore plus.
D’un coup. Une illumination la pris. Et si sa soeur, qui aimait les araignées et pas les poupées, voulaient faire vivre les araignées dans sa maison de poupée ? Si elle lui offrait une maison d’araignée ?
- J’ai une idée de cadeau ! Je reviens !
Cela pourrait être sympas et c’était ce qu’elle aime. Allan secoua la tête en voyant la petite partir en courant pour rejoindre la cave en trainant son lapin. Elle ouvrit la porte et s’enfonça à l’intérieur sans la moindre peur. Le fait que la porte claque et qu’elle se trouve enfermer ne lui fit pas peur. Il lui fallait une araignée. Elle chercha, n’en trouva pas et remonta les marches avant de voir qu’elle était enfermé.
- Chris ? Fit la petite fille sans peur, c’est toi qui a fermé ?
D’un coup, elle ressentit une respiration dans son cou, s’attendant à voir Allan, elle se retourna pour tomber devant une femme étrange, donc les yeux froids et la bouche cousue fit pencher la tête sur le côté à Marjorie. Clairement pas la réaction à laquelle s’attendait le fantôme. Il voulait des cris, des larmes, de la peur. Le fantôme approcha la main et Marjorie fit un pas pour s’approcher aussi.
- Pourquoi tu as la bouche comme ça ? Tu as mal ? Tu veux l’enlever ? Tu crois que tu pourrais appeler ma soeur ? je suis coincée.
Ce qu’elle ne savait pas, c’était qu’Allan était déjà en train d’essayer de faire ça. Lui, bien plus paniqué que pouvait l’être Marjorie. Il s’avança dans la chambre et essaya de trouver comment faire pour que la petite l’entente sans avoir peur. Il se mit devant la porte et essaya de toutes ses forces d’imiter la voix de Marjorie. Cependant, si Marjorie n’avait pas peur, la voix d’Allan donnait l’impression d’être paniqué et apeuré.
- Chris, au secours, dit-il à travers la porte en espérant voir la soeur accourir.
Marjorie ne le savait pas, mais les fantômes ne lui voulaient pas tous du bien. Allan observa aussi la mère de l’enfant, trop loin pour entendre ou comprendre. S’il n’était pas déjà mort, il aurait fait une crise cardiaque. Et ce n’était que le matin. Il observa la date du jour dans son esprit. C’était la date de la tragédie. Une tragédie qu’il n’avait même pas connu. Des centaines d’années plus tôt, il y avait une hécatombe ici. Toute la famille était morte. Lui n’était même pas encore né. On lui avait raconté l’histoire. Et aujourd’hui était la date de la mort de tout ce beau monde. Il fallait sauver Marjorie de la cave avant que la cave ne l’engloutisse.
J'ai 9 ans et je vis près de Londres, en Angleterre. Dans la vie, je suis une gamine en primaire et je m'en sors seule. Sinon, grâce à ma malchance,ma mère est malade psychiatrique et je vis avec ma belle mère et je le vis plutôt mal car elle me déteste. Sophie l'appelait "Bella".
Aime: Son père, faire flipper Katherine, les animaux, rester dehors, la pluie, la lecture et le dessin mais aussi le chocolat chaud.
Déteste: Les niaiseries, qu'on parle de Sophie, son psychologue, qu'on trouve ses cachettes, qu'on la suive, les extra terrestres, les trucs roses.
Sa couleur préféré est le kaki et elle est très frileuse.
Elle n'a pas vu Sophie depuis ses 4 ans et elle lui manque beaucoup...
Entendant un moteur gronder dans la cours, Christabella vit son attention happé par le bruit significatif qu'elle reconnaissait mieux que tous. Néanmoins, elle sentit son estomac se tordre car si elle entendait ce bruit maintenant c'est que son père allait travailler... Se levant soudainement elle rejoignit sa fenêtre les deux mains contre le carreaux pour regarder partir son père. Le bruit du caoutchouc des pneus sur le graviers faisant un bruit particulier. Encore une journée avec Katherine... Quel enfer. Qu'est-ce que cette femme allait encore trouver à lui reprocher aujourd'hui ? Elle se le demandait et croisait les bras l'air fâchée... Écoutant à moitié sa sœur, celle-ci l'agaçait de toujours se coller à sa porte pour lui dire des choses dégoulinantes de niaiseries. Soupirant en l'entendant dire qu'elle voulait être un chat pour qu'elle ne résiste pas a l'idée de la câliner une vague de colère la submergea.
-Je déteste les chats Marjorie...
Répliqua t-elle alors qu'elle s'était glissé dans un fauteuil pour continuer à lire son histoire. C'était Bambi, rien de bien dingue mais elle aimait cette histoire. Ça lui faisait penser à sa mère chassée par Katherine... Elle simplifiait les choses mais dans sa tête c'est comme ça que les choses prenait de la logique. Ce n'est pas qu'elle n'aimait pas Katherine, au contraire elle avait envie que ce soit sa mère mais ça ne l'était pas et ça ne le serait jamais. Et puis quand elle était aller voir Sophie quand elle avait 4 ans celle-ci c'était plongée dans une colère noir en entendant Chris prononcer « maman » en ce qui concernait Katherine alors que celle-ci n'avait jamais demandé ce titre. Mais ça Sophie ne le savait pas... Elle avait pleurer milles larmes de ce fait là. La petite fille se souvenait de son visage prostré dans la tristesse de sa voix sanglotantes au fond de sa gorge. A cette âge là elle n'avait pas compris tout ce qui s'était dit mais elle avait vu sa vraie maman, sentit l'odeur qui la rassurait tant. C'est a partir de là que les choses était devenue compliqué. Katherine avait pris ses distance de Christabella et Christabella, elle, s'était sentit abandonnée pour la deuxième fois.
Rien que d'y penser elle voulait pleurer et encore davantage et voir Sophie. Elle ne pensait qu'a elle.. Est-ce qu'elle allait bien ? Est-ce que les gens étaient gentils avec elle ? Est-ce qu'elle pensait à elle ? Elle avait besoin de savoir... Refermant son livre sur la page ou Bambi était blottit contre sa mère elle sortie enfin de sa chambre et fut surprise de ne plus y voir Marjorie. Elle haussa les épaules et passa simplement. Elle était tellement dans ses pensées que le souffle d'au secours qu'elle avait entendu ne l'avait pas effleurée. Descendant à pas de loup en vérifiant que Katherine n'était pas dans le coin, elle se glissa dans le bureau de son père qui était bien rangé mais dans le noir absolue. Personne a part lui n'avait le droit d'entrer et ne pouvait entrer. D'ordinaire Emerald fermait à clé mais en étant partie précipitamment il avait oublié... Pour le plus grand bonheur de sa fille. En montant sur le fauteuil du bureau elle alluma la lumière et fut tout de suite happée par une décoration... Elle vit alors un cadre avec une photo de lui et Sophie qui tenait Chris dans ses bras alors qu'ils revenait de l'hôpital. Elle était belle et elle souriait. A coté, il y avait deux petits cadre dans lesquelles il y avait une photo de Katherine avec Marjorie dans les bras et une autre de Chris quand elle était plus jeune. Cela fit plaisir à la petite mais planta une graine d'espoir dangereuse dans son cœur. Fouillant partout elle cherchait le numéro de téléphone de l'hôpital ou sa mère séjournait...
Pendant ce temps la dame à la bouche cousu jouait des tours à Marjorie dans la cave. Comme si fermer la porte a clé ne suffisait pas, elle fit sauter les plombs de la maison plongeant Chris à son tour dans le noir. Cela la surpris mais elle avait l'habitude que ça arrive... Quand ça arrivait papa allait dans la cave pour appuyer sur un bouton.
S'y dirigeant elle vit la porte trembler un peu comme si quelqu'un était derrière. Fronçant les sourcils interrogative elle pris son courage a deux mains et alla essayer d'ouvrir. Bientôt elle entendit la petit voix miaulante de Marjorie qui implorait son aide. Sursautant elle sentit l'adrénaline augmenter son courage et elle se jeta plus fort sur la porte tirant sur le poignet de toutes ses forces.
-Marjorie ! ROH c'est pas vrai...
Elle avait l'impression d'être dans un cauchemar... Pourquoi cette gamine se mettait toujours dans de beaux draps qui allait coûter à Chris. Où était donc Katherine ?! Elle n'avait pas entendu ? Chris stressait a l'idée qu'elle la surprenne pendue a la porte de la cave derrière laquelle sa gamine était.
-Ouvre toi bon sang !
Les fantômes de la cave étaient plusieurs, il n'y avait rien a faire qu'attendre qu'il soit rassasié du malheur qu'il causait pour se venger de leur tragique mort de la peste... Effectivement pendant un temps le manoir avait était récupéré comme hospice pendant la grande peste noire... Beaucoup de gens était décédé ici et ils était entassé dans la cave avant d'être brûlé. Il leur cousait la bouche pour ne pas que les rat aille dans leur entrailles pour se reproduire en attendant leur crémation... Une mère de famille n'avait pas accepté le sort de ses enfants et gardait la cave comme lieu à maudire le jour où elle était décédée... Tirant sur la porte jusqu'à s'en tirer les larmes Katherine surpris la scène son petit panier de fer contenant quelques œufs...
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Clionestra
Ven 5 Mai - 17:08
Katherine Sibley
J'ai 43 ans et je vis à Londres, en Angleterre. Dans la vie, je suis femme au foyer et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis marié à l'homme que j'aime et je le vis plutôt bien même si je doute.
> Elle aime lire des romans d'amour et à l'eau de rose depuis toujours. > Elle adore broder, et le fait sur tout ce qui peut lui passer par la main, ça la détends et lui permet d'exprimer sa créativité > Elle a perdu ses parents jeunes et a été élève par sa tante avec ses sept cousine. Sa tante lui a appris a être une femme au foyer, une mère, une épouse et Katherine a beaucoup de mal à déroger à certains principes. > Pourtant elle essaie d'élever sa fille avec les principes de sa mère, qui était la joie, la famille et l'amour. > Elle a peur de Sophie, l'ex de son mari, et de sa fille. > Tout comme sa fille, sa couleur préféré est le orange. > Discrète, elle ne dit rarement ce qu'elle pense vraiment pour éviter de froisser.
Katherine regarda la situation. Bloqué à nouveau dans cette étrange peur qui lui remontait les entrailles. Premièrement, elle savait que Chris était en train de tirer sur la porte. Ce qui voulait dire qu’elle était en train d’essayer de l’ouvrir… et non d’enfermer sa soeur à l’intérieur. Deuxièmement, elle entendait la voix de sa fille … et elle connaissait sa fille. Elle y avait même pensée un tout petit peu avant. Les araignées. C’était les araignées. C’était toujours les araignées. Point. Sa fille avait du se dire que c’était bien comme sujet de rapprochement avec sa soeur. Katherine était à nouveau blanche. Après ça, elle prends ses filles et les kidnappe dans le lit et plus personne n’en sort avant le retour d’Emerald. Point. Elle en sortira peut-être pour faire à manger. Voilà. Mieux.
Elle posa son panier avant de ne le faire tomber, elle observa les larmes qui semblait vouloir venir dans le regard de Chris. Elle lui mit la main sur la sienne, doucement, bien que blanche et froide par la peur. Cette maison était … Non. NON. Elle n’était pas sa tante à croire au malin et au Diable. Elle ne pouvait pas penser que la maison avait quoi que ce soit. Cette maison. Sa maison. Elle prit la main de Chris et la poussa à peine.
- Marjorie, tu m’entends ma chérie ? - Maman ! La porte elle s’ouvre plus, fit la petite voix de la fillette, et il y a…
Marjorie se tut, consciente que si elle parlait de la femme étrange qui voulait la faire tomber, et qui essayait de lui tirer les cheveux, et qui lui disait des vilaines choses sur sa soeur… Alors sa maman elle n’apprécierait pas. Non. Marjorie était contre la porte. Elle avait mis un peu de temps à ressentir la peur. Et même encore, elle avait plus peur que la femme puisse avoir raison. Elle avait peur de ne pas revoir sa maman et son papa et sa soeur. Plus que la peur de se faire avaler par les ombres, c’était l’idée de ne jamais pouvoir avoir un câlin qui lui faisait secouer la poignée.
Katherine essaya de tourner la poignée mais voyant bien que cela ne servait à rien, lâcha la porte. Elle n’avait pas lâcher la main de Chris pour autant. L’enfant serait incapable de la quitter tout de suite, mais elle ne lui faisait pas mal pour autant. Elle respira. Difficilement.
- Maman ? Entendit-elle depuis l’autre côté de la porte. - On est là ma chérie. - Je pense que j’aime pas tous mes amis imaginaires, avoua-t-elle tout bas pour essayer de remplir l’espace de la peur par quelque chose de plus. - Moi non plus, je ne les aime pas.
Elle ne voulait pas entendre parler des amis imaginaires de sa fille. Elle ne voulait même pas que Chris le sache. Si elle venait à le dire à son père ? Innocemment bien sur mais tout de même. Elle respira à nouveau. Faisant une prière à un Dieu qu’elle avait délaissé depuis longtemps. Elle tira à nouveau sur la porte et un clic se fit entendre quand Marjorie tomba à la renverse. Les ombres avaient disparus. Katherine ne voyait rien et prit sa fille dans ses bras, sans lâcher Chris.
- Bon. Toutes les trois on va … aller faire quelque chose et ne plus jamais retourner dans la cave, compris ? Parce que …
Elle eut un frisson alors qu’elle pouvait SENTIR quelque chose sur sa main. Non. Elle ne pouvait pas avoir une araignée sur son poignet … pas maintenant alors qu’elle avait sa fille et qu’elle n’avait aucune idée de sa réaction face à une créature pareille sur son corps tout de suite. Elle en avait marre de cette journée.
- Chris… S’il te plait …., fit-elle la voix blanche, tu peux … vérifier sur mon poignet.
Elle était prête à supplier alors qu’elle gardait les yeux fermés, une fille dans sa main, l’autre dans ses bras, et la sensation bien trop forte du monstre velu contre sa peau. Elle serra un peu plus ses mains contre les filles, avec l’espoir que tout ça ne disparaisse. Elle voulait recommencer la journée depuis ce matin. Elle ne prendrait pas la théière avec les roses dessus. Elle choisirait une autre, ou même choisirait de prendre du lait. C’était bien ça aussi. Il y avait tellement de choses que l’on pouvait faire avec du lait. Cette journée était maudite. Et elle n’avait aucune idée de quoi faire pour conjurer le sort.
- On va faire une cabane dans le salon, d’accord ? Continua-t-elle de la même voix paniqué alors que sa fille fit un oui de la tête.
Une cabane dans le salon. Elle en avait déjà fait plusieurs avec Chris petite, et avec sa fille. Elle rangeait tout avant que cela ne se voit. C’était une forteresse protégé de la journée. Une manière de ne rien faire alors qu’on se couchait à lire et c’est tout. Katherine avait vraiment besoin de plus que des vacances. Même si elle adorait sa fille, là, elle avait besoin de se couper de tout le monde. Mais elle ne pouvait pas laisser Chris seule non plus. Surtout pas avec Marjorie qui faisait autant de bêtise que possible de sa logique d’enfant.
J'ai 9 ans et je vis près de Londres, en Angleterre. Dans la vie, je suis une gamine en primaire et je m'en sors seule. Sinon, grâce à ma malchance,ma mère est malade psychiatrique et je vis avec ma belle mère et je le vis plutôt mal car elle me déteste. Sophie l'appelait "Bella".
Aime: Son père, faire flipper Katherine, les animaux, rester dehors, la pluie, la lecture et le dessin mais aussi le chocolat chaud.
Déteste: Les niaiseries, qu'on parle de Sophie, son psychologue, qu'on trouve ses cachettes, qu'on la suive, les extra terrestres, les trucs roses.
Sa couleur préféré est le kaki et elle est très frileuse.
Elle n'a pas vu Sophie depuis ses 4 ans et elle lui manque beaucoup...
Elle aurait pu se faire dessus en voyant le regard surpris de Katherine. Elle mis un moment à réagir surement choqué par ce qu’elle voyait, il lui avait fallu du temps pour enfin pouvoir agir. Christabella en la voyant se réavancer vers elle ferma les yeux d’instinct par peur de se faire disputer et repoussée comme une malpropre. Dans les yeux de cette femme elle avait peur d’être la coupable de tous les maux… Cependant elle prit sa main et l’aida dans son geste pour libérer la petite sœur qui parlait d’une voix bien peu rassurée derrière la porte. Cette voix faisait gargouiller le ventre de Christabella qui se sentait pas tellement coupable mais plus effrayée de ce qu’il se passait…
La réaction tout a coup bien plus positive de Katherine l’interpella mais sur le feu de l’action la jeune fillette n’eut pas le temps d’y réfléchir à tête reposée. Néanmoins ce geste la perturbait, elle était persuadée qu’elle serait vu comme la coupable comme à chaque fois qu’il arrivait quelque chose a Marjorie… Perturbée par cette réaction elle mettait dans l’inconfort la fillette car au final elle n’était jamais vraiment sûr de si elle pouvait faire confiance à Katherine ou non… Autant ne pas tenter le diable se disait t-elle inconsciemment, autant rester là ou elle ne pourrait plus la blesser : loin d’elle… C’était trop dur de la voir lui refuser des gestes puis lui en concéder d’autres juste après peut-être parce qu’elle s’en voulait. C’était trop facile.
Enfin, dans cette histoire ce qui importait c’était Marjorie et quand cette maudite porte accepta finalement de s’ouvrir les mauvais esprits rassasié de malheur, la petite fille était toujours là bien vivante pour le bonheur de sa maman et le soulagement de Christabella qui n’aurait pas voulu en-pâtir pour cette injure. Marjorie semblait se porter au mieux et se câliner contre sa mère d’dorénavant rassuré d’être dans les bras chaud de sa mère. La proposition de Katherine fit sourire les filles qui étaient toutes pour cette idée formidable. Quand Katherine se figea Chris ne mis pas longtemps à comprendre qu’elle avait une araignée sur le poignet. Quand elle la vit elle souri et la pris dans ses mains délicatement la protégeant. Ensuite elle se leva et avant de partir relâcher l’araignée elle regarda Marjorie dans les yeux l’air un peu fâché comme pouvait l’être une petite fille.
-Marjorie c’était vraiment pas bien de faire ça ! Tu nous a fait peur ! Refait jamais des trucs dangereux comme ça !
Tournant rapidement ses talons sans attendre de réponses, Chris avait vraiment eu peur, autant pour elle que pour sa petite sœur mais sur le coup son égoïsme naturel d’enfant avait pris le dessus et elle en avait marre des bêtises de sa sœur car en tant que grande sœur la faute lui reviendrais toujours dessus…Elle avait eu de la chance quant à Katherine pour cette fois mais qui dit que cela durerait ? Ca ne durait jamais ce n’était que des moments moins dur parmi les plus durs… Se dépêchant d’aller au grenier de l’étage elle alla poser la petite araignée près de la toile de Tula. Tula n’était pas derrière sa toile elle devait être partie chasser. La petite fille laissa un dessin d’excuse a l’araignée sur le planché puis se dépêcha de redescendre avant d’aller chercher un plaid, son doudou et son livre. Tout ce dont elle avait besoin pour survivre… Son doudou était un tigre qui avait été débourré car quand elle était bébé Sophie avait peur qu’elle s’étrangle si le doudou se perçait… Sophie avait acheté cette peluche et comme si l’enfant le savait elle l’avait choisis comme doudou. Le plaid sur elle formant une cape alors qu’elle marchait en chaussettes elle avait son livre sous le bras et son doudou sous le nez.
Dévalant les escaliers elle fut bientôt au salon attendant que Katherine vienne pour mettre des draps pour construire la cabane. En attendant la petite brune se recroquevilla dans son plaid tremblotant un peu frileuse de toujours qu’elle était. Son doudou et son livre contre son cœur elle revoyait la porte du bureau de son père et repensait a la photo qu’elle avait vu sur le bureau de son père. Papa aimait toujours sa mère. Il était toujours amoureux de Sophie il fallait juste qu’elle guérisse… Chris lui ferait plus de dessin encore pour la motiver si il le fallait. Au passage en étant aller chercher la trinité de ses reliques personnelles Chris avait trouvé le lapin de Marjorie devant sa porte, celui avec le nœuds orange. Elle lui avait pris et quand elle la vit elle le sortie de dessous son plaid pour le lui donner l’air toujours ronchon.
-Tiens. Ne laisse aucun ami imaginaire te le prendre. C’est lui qui te protège, pas eux.
C’est ce que son père lui disait : « Tu ne risque rien tant que ton doudou est là toujours vers toi, il te protègerais des plus grands et méchants monstres. » Se repliant dans son plaid elle se réchauffait comme elle pouvait en regardant un peu le temps qu’il faisait dehors pour ne surtout pas voir la mine surement attendrie de sa petite sœur…
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Sam 6 Mai - 2:10
Marjorie Sibley-Crowley
J'ai 7 ans et je vis avec mon papa, ma maman et ma grande-soeur, à Londres. Dans la vie, je suis une princesse et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis aimé par presque tout le monde sauf par ma soeur, mais j'y arriverais aussi, c'est une promesse.
> Petite fille de 7 ans toujours souriante et aimant tout le monde > Possède beaucoup d'empathie pour les gens et les choses. Ne supporte pas de voir quelqu'un pleurer ou mal. Prends toujours l'objet le plus abimé par peur qu'il ne se sente seul, sinon. > Adore danser, prends des cours depuis peu. > Aime le orange, bien que tout le monde continue de lui offrir du rose > Aime lire même si elle y arrive mal > A un "ami imaginaire", Allan, un jardinier qu'il dit et qui la protège des ennemis imaginaires > Veut désespérément que sa soeur l'aime. > Elle adore le chocolat, au point où elle peut s'en rendre malade si on ne l'arrête pas.
Marjorie avait eu peur de perdre l’opportunité d’être dans les bras de sa mère, de voir sa soeur, de parler à son père. C’était terrifiant. Le monstre avait dit qu’elle ne ressortirait plus jamais, et qu’elle ne pourrait plus les revoir. C’était TE. RRI. FIANT. L’idée de ne plus pouvoir leur parler, leur apporter de l’amour, leur dire qu’elle les aime encore et encore. D’ailleurs pendant que Chris sauver sa mère (oui oui) elle souffla dans le cou de sa mère qu’elle l’aime plus gros que le ciel. Chris était partit, mais elle comptait lui dire aussi. Qu’elle l’aimait plus gros que la mer. Et son père, elle l’aimait plus gros la forêt. Elle se déplaça pour rejoindre le salon une fois que sa mère lui aider à se changer.
Katherine était blanche mais respirer mieux. Elle avait ses filles. Elle se stoppa. Ses filles ? Mais pourquoi était-elle comme ça ? Elle se mordit la lèvre et reprit les oeufs pour laisser partir Marjorie vers le salon, où était sa soeur. Katherine avait bien compris ce qui avait fait peur à Chris, plus que tout le reste. Elle le comprenait. Pendant les oeufs, elle finit de faire le repas qu’elle comptait préparer pour le midi, mettant tout en place pour que cela soit rapide.
Pendant ce temps, Marjorie rejoignit sa soeur. Elle lui fit un large sourire en voyant son lapin qu’elle prit dans ses bras pour lui faire un gros câlin. Le genre gros câlin qu’elle voulait faire en réalité à Chris mais savait ne pas avoir le droit.
- Je t’aime gros comme l’océan, dit-elle vers Chris avec un grand sourire avant de se mettre au milieu de la pièce.
Doucement, elle se mordit les lèvres. Elle voulait parler à Chris d’Allan. Lui dire que lui, il la protégeait tout le temps. Lui il était gentil avec elle. Mais elle ne savait pas si cela ne risquait pas de mettre en colère sa mère. Elle décida que, après tout, parti comme c’était parti, elle n’était plus à ça prés.
- Allan, il est gentil. Il m’aide. Il est venu aussi te voir pour te demander de l’aide mais tu l’as pas entendu, murmura-t-elle vers Chris, Maman n’aime pas que je parle de lui, elle dit que je l’imagine.
Parfois, elle se disait que peut-être, c’était vrai. Elle devait l’imaginer parce qu’elle se sentait seule. Elle avait besoin de jouer. Alors qu’elle allait rependre la parole, elle entendit la voix de sa mère qui demandait à ce que les filles mettent les chaises en place. Marjorie sourit. Il fallait mettre les chaises comme un rectangle, pour pouvoir mettre un drap avec un élastique dessus qui, tendu, donner l’impression d’être sous une tente. Katherine revient avec le premier drap qu’elle tendit entre les chaises, dévoilant à contre lumière des dessins qu’elle avait brodé, des soleils, des nuages, des étoiles, des coeurs, tout plein de chose en vrac. Elle repartit encore et apporta une grande couette qu’elle jeta aux filles sous le drap pour qu’elles l’étalent sur le sol pendant qu’elle envoyait plusieurs oreillers à l’intérieur. Marjorie le faisait avec plaisir.
Et à un moment, elle n’arriva pas à résister. Alors que Chris l’aidait, elle s’approcha et lui fit un bisou sur la joue avant de sourire.
- Merci, d’être venu m’aider. J’ai pas besoin de nounours ou d’ami imaginaire quand tu es là.
Même si elle savait être en tort, elle n’avait jamais considéré Chris coupable de quoi que ce soit elle. Pour elle, l’âge n’avait pas de raison d’être dans l’histoire. Marjorie ne pouvait pas comprendre qu’on dispute Chris pour elle.
- Et je chercherais plus à te mettre des araignées dans ta maison de poupée pour te faire plaisir. Je pense que si maman voit une araignée dans les prochains jours, elle ne tombe dans les pommes. - Et si on en parle aussi, fit Katherine en ramenant sous la tente du chocolat chaud, des chamallows -ce qui fit grimacer Marjorie préférant le chocolat pur- et un livre d’image et un livre romantique pour elle. Vous êtes allés faire pipi ? Que quand je fermerais on ne sortira pas avant le retour d’Emerald !
J'ai 9 ans et je vis près de Londres, en Angleterre. Dans la vie, je suis une gamine en primaire et je m'en sors seule. Sinon, grâce à ma malchance,ma mère est malade psychiatrique et je vis avec ma belle mère et je le vis plutôt mal car elle me déteste. Sophie l'appelait "Bella".
Aime: Son père, faire flipper Katherine, les animaux, rester dehors, la pluie, la lecture et le dessin mais aussi le chocolat chaud.
Déteste: Les niaiseries, qu'on parle de Sophie, son psychologue, qu'on trouve ses cachettes, qu'on la suive, les extra terrestres, les trucs roses.
Sa couleur préféré est le kaki et elle est très frileuse.
Elle n'a pas vu Sophie depuis ses 4 ans et elle lui manque beaucoup...
Souriant un peu gêné par les effusion émotive de sa petite sœur elle était toujours très mal a l’aise quand elle lui parlait de ce qu’elle ressentait pour elle parce qu’en réalité elle ne savait pas vraiment quoi répondre… Tout ce qu’elle savait c’est qu’elle ne pouvait pas mentir sur quelque chose d’aussi important que l’amour. Alors à chaque fois que Marjorie s’emportait dans ce qu’elle ressentait désespérément pour sa sœur chérie eh bien elle avait tendance à changer de sujet et être parfois plus piquante que d’autres tout ça pour peut-être la décourager à l’appréciait. Christabelle ne détestait pas sa sœur. Elle la jalousait et c’était bien pire. Mais dans sa tête si elle était à la place de Marjorie, elle n’aimerait pas la sœur bâtarde du premier mariage, ça elle en était sûre et certaine. De ce fait dans son esprit elle ne comprenais juste pas l’amour que Marjorie avait pour elle. Elle était pourtant infecte avec elle pour l’en dissuadé mais rien n’y faisait…
-Nan tu peux dire ça moucheron. C’est pas correcte grammaticalement parlant… Fit-elle une petite grimace sur le front cherchant la petite bête pour changer de sujet. Tu peux dire je t’aime aussi fort que le roquefort plaisanta-t-elle en riant un peu avant de poursuivre son explication. Mais l’océan… eh bha tu peux plutôt dire … « Mon amour pour toi est aussi grand que l’océan. » Ca marche mieux comme ça…
Perdue dans la réflexion qu’accompagnait sa remarque elle en avait oublié la gêne que lui causait le regard admiratif de Marjorie. Puis en redescendant son regard sur elle, elle la vit lui sourire toujours niaisement. Presque sursautant elle refronça les sourcils les joues un peu rouge car elle ne pensait pas que sa petite sœur l’écoutait vraiment…Elle ajouta alors en marmonnant et se serrant dans son plaid.
-Puis de toute façon… tu sais même pas si t’aime l’océan on y a jamais été…
Acheva t-elle avant d’écouter sa sœur lui parler de son ami imaginaire. Ce qu’elle disait n’inspirait rien de bon à Chris qui avait l’impression d’entendre parler de Sophie. Tout a coup son cœur se serra et son ventre lui fit mal .Une vague d’émotion la submergea… Et si c’était pareil pour Sophie ? Et si en arrivant ici Sophie avait eu un ami imaginaire mais qu’elle ne l’imaginait pas … Non . La pensé s’évanoui dans son esprit encore trop jeune pour vraiment comprendre. Elle ne fit pas le lien avec la femme dans l’étang ne sachant même pas ce que lui avait fait réellement Sophie quand elle était encore qu’un bébé. Emerald lui avait juste expliqué qu’elle l’avait mis en danger parce qu’elle avait la tête dans les nuages a cause de la maladie de sa tête. C’était abstrait et elle ne pouvait pas vraiment lui en vouloir car pour Chris ce n’était pas la faute de sa mère. Elle tourna se regard vers Marjorie et lui parla sérieusement en la regardant dans les yeux.
-Ecoute… tu sais moi aussi je les vois… il y en a beaucoup ici des gens comme Allan. Tu ne les imagine pas. Mais plus tu leur parlera plus ils seront nombreux… Et il ne sont pas tous gentils… Elle repensait à l’horreur qui venait de leur tomber sur le coin du nez mais aussi à la femme dans le l’étang… Non elle ne les imaginait pas. D’ordinaire Christabella n’aimait pas parler de ça mais là son instinct inconscient de protection avait pris le dessus. Et puis si Marjorie arrêtait d’elle-même de se mettre en danger on lui ficherais la paix…
-Mëme si il est gentil… arrête de lui parler car ça va finir par t’attirer des problèmes…
Fit-elle en pensant à sa maman qui en disant ce qu’elle voyait et en se battant pour qu’on la croit avait finis dans un hôpital forcé…Après avoir dis cela elle se recroquevilla dans un coin en reniflant son doudou. Christabella avait toujours eu une grand aisance à réfléchir aux choses, elle était très intelligente. En plaçant les chaises, Chris sursauta quand Marjorie vint lui faire un bisous et fit un pas en arrière… Elle grommela un peu et s’essuya la joue.
-Rah Marjorie ! J’aime pas les bisous, c’est baveux…
La petite n’avait pas bavé mais Christabella aimait exagérer les choses… Devant la rédemption de sa petite sœur elle rigola et la regarda avec un petit sourire malicieux et lui intima avant que Katherine n’arrive.
- Owh je sais pas si ce serait si grave de ça alors !
Elle rigola taquine attendant de voir si Marjorie allait comprendre. Laissant Katherine entrer dans la tente Chris souriait en voyant le chocolat et les shamallow. Souriant elle posa son livre de bambi et sa peluche restant quand même sous son plaid, pressée de boire le chocolat chaud qui lui ferait peut-être oublier son mal de ventre…
-Moi c’est bon ! Puis j’ai pas peur des fantômes…
Se vanta-t-elle alors que c’était parfaitement faux… Mais au moins elle avait fait pipi dans la baignoire quand elle s’était douché, en tout cas elle ne notifia pas qu’elle avait fait cela pensant que Katherine la disputerais encore… Enfin, au moins quand elle la disputait elle la regardait… S’installant dans son plaid elle ouvrit son livre qu’elle reprit depuis le début, volant un shamallow sur le plateau.
-Mais… Papa rentre dans très longtemps… On va devoir rester là toute la journée ?
Christabella s’inquiétait pour les chiens de chasse de son père elle aimait bien aller les voir et les câliner. Son préféré c’était le plus moche et abimé. Il avait quelques cicatrices de sanglier et n’était pas commode. Il se laissait toucher que par Chris et Emerald.
-Il va pas repartir en voyage … hein … ?
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Clionestra
Sam 6 Mai - 14:35
Marjorie Sibley-Crowley
J'ai 7 ans et je vis avec mon papa, ma maman et ma grande-soeur, à Londres. Dans la vie, je suis une princesse et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis aimé par presque tout le monde sauf par ma soeur, mais j'y arriverais aussi, c'est une promesse.
> Petite fille de 7 ans toujours souriante et aimant tout le monde > Possède beaucoup d'empathie pour les gens et les choses. Ne supporte pas de voir quelqu'un pleurer ou mal. Prends toujours l'objet le plus abimé par peur qu'il ne se sente seul, sinon. > Adore danser, prends des cours depuis peu. > Aime le orange, bien que tout le monde continue de lui offrir du rose > Aime lire même si elle y arrive mal > A un "ami imaginaire", Allan, un jardinier qu'il dit et qui la protège des ennemis imaginaires > Veut désespérément que sa soeur l'aime. > Elle adore le chocolat, au point où elle peut s'en rendre malade si on ne l'arrête pas.
Marjorie était heureuse. Elle avait sa soeur. Elle avait sa mère. Elle avait Allan. Elle avait son doudou. Il ne manquait plus que son père pour compléter le tableau. Alors, elle souriait. Elle souriait de toutes ses dents d’enfants trop heureuse. Et elle l’était. Marjorie était souvent heureuse. Une particularité venant d’elle-même. Elle était contente parce que le fait qu’elle lui dise « je t’aime » même si c’était pour un exemple … bah c’était un « je t’aime » tout de même. Marjorie réfléchit. Si elle ne pouvait pas dire qu’elle aimait sa soeur autant que l’océan parce qu’elle n’y était jamais allé.
- Mon amour pour toi est aussi grand que le chocolat, décide-t-elle alors.
Parce que pour la petite pas de doute possible, elle aimait plus sa soeur que ce qu’elle pouvait aimer le chocolat. Et tout le monde savait que l’amour de Marjorie pour le chocolat dépassait l’entendement. Elle aimait sa soeur encore plus que ça. Elle était fasciné par sa soeur. Elle voulait se blottir dans ses bras et ronronnait encore. Non. Elle a dit qu’elle n’aimait pas les chats. Elles faisaient quoi les araignées quand elles étaient contentes d’avoir un câlin de leur maman ? Marjorie voulait faire ça dans les bras de sa soeur. Marjorie écouta sa soeur encore. Parce que oui, elle l’écoutait toujours. Passionnément. Mais elle fit une petite moue triste en pensant à Allan. Les autres … Les autres n’étaient pas forcément gentils, mais Allan la protégeait toujours. Elle n’avait pas envie d’arrêter de parler à Allan, surtout parce que sinon, elle se retrouverait bien seule à devoir jouer. Elle mordit ses petites lèvres, comme le faisait sa mère quand elle réfléchissait à comment proposer quelque chose.
- Tu joueras à la dinette avec moi à sa place ? Tenta-t-elle.
Parce qu’on avait un ami imaginaire quand on était seul. Même si elle adorait ses parents, elle ne s’amusait pas avec eux. Sa soeur ne jouait jamais avec elle. Sa mère avait des choses à faire et son père travaillait. Elle restait donc seule et Allan comblait le vide de son existence… Mais si Chris acceptait de jouer avec elle à la place d’Allan, le fantôme n’en serait pas vexé, elle le savait. Elle observa sa soeur. Même si elle l’écoutait, elle ne comprenait pas tout … comme le soleil qui est bleu. Elle fronça les sourcils et choisi d’en sourire. C’était mieux de sourire.
Katherine lui tendit la tasse en lui disant de faire attention avant d’entourer sa fille d’un torchon pour lui passer une plus petite tasse. Elle fit un regard vers Chris. La jeune fille n’avait pas trop de risque d’en mettre partout, en comparaison à sa fille qui était plus proche de la bombe à chocolat qu’était sa fille. Elle lui tendit un torchon si elle en voulait.
- Au cas où tu te sali...
C’était pour Chris qu’elle avait parlé, mais elle n’avait pas eu le temps de finir sa phrase que sa fille venait d’atchoumer dans sa tasse. Elle l'avait dit sa fille était une bombe de chocolat. D’ailleurs, il y avait une goutte de chocolat qui lui sortait du nez. Katherine sourit et lâcha un regard amusé vers Chris en se mettant à l'essuyer.
- Moi, cela ne me dérangerait pas de rester toute la journée ici. Et non, si tout se passe bien, il sera revenu cette après-midi, expliqua-t-elle, nous devons toujours aller à la librairie et il restera avec nous cette semaine. - juste avant la rentrée ? - Et oui, juste pour être avec ses deux princesses !
Une chose que Katherine savait, sans avoir à besoin de le demander à Emerald, c’était que ses filles passeraient toujours avant tout. Même avant elle ou Sophie. Une petite fierté de se dire que si elle n’était alors que troisième, Sophie devenait la seconde. Puisque les filles étaient à égalité mais passerait avant tout. Elle lâcha un regard encore un peu peiné vers Chris avant de papillonner des yeux. Elle n’était pas sa fille. Chris l’avait dit. Katherine n’était pas sa mère. Elle ne pouvait pas faire passer Chris avant sa fille. Marjorie suivait les yeux de sa maman et prit une main à Chris et une main à sa mère pour s’étaler pleine de chocolat sur la couette et regarder les broderies de sa maman comme elle observerait les nuages dans le ciel.
- Je vous aime , fit-elle en baillant pour se caler entre deux oreilles.
Elle avait prévenue, elle détestait lire Cela l’ennuyait tout de suite et elle se sentait fatigué. Alors elle se cala et s’endormit rapidement alors qu’elle tenait fermement les deux mains. Katherine fit un sourire en repoussant des mèches et récupérant sa main doucement.
- Merci pour tout à l’heure, sourit-elle doucement en se rappelant avoir oublier tout à l'heure pour le monstre velu, Ton ventre va mieux ? Tu as massé ?
J'ai 9 ans et je vis près de Londres, en Angleterre. Dans la vie, je suis une gamine en primaire et je m'en sors seule. Sinon, grâce à ma malchance,ma mère est malade psychiatrique et je vis avec ma belle mère et je le vis plutôt mal car elle me déteste. Sophie l'appelait "Bella".
Aime: Son père, faire flipper Katherine, les animaux, rester dehors, la pluie, la lecture et le dessin mais aussi le chocolat chaud.
Déteste: Les niaiseries, qu'on parle de Sophie, son psychologue, qu'on trouve ses cachettes, qu'on la suive, les extra terrestres, les trucs roses.
Sa couleur préféré est le kaki et elle est très frileuse.
Elle n'a pas vu Sophie depuis ses 4 ans et elle lui manque beaucoup...
Pas vraiment étonné de la rhétorique simplette de sa petite sœur Christabella se retint de lever une nouvelle fois les yeux au ciel, elle lâcha simplement un soupire à la place. La voyant réfléchir elle n’avait pas pensé qu’en lui interdisant quelque chose elle allait devoir en payer les bavures d’une certaine façon. Pourquoi donc il n’était pas possible de conseil, protéger et être une grande sœur sans se coltiner des bavures. Quand elle proposa l’impensable pour Chris, elle se raidit et sentit sa nuque être parsemée d’un frisson froid et désagréable. Il fallait bien que ça tombe. Tout l’été elle avait réussi a éviter de passer trop de temps avec elle mais là… l’échéance semblait dépassé et cette fois-ci la proposition impossible à contourner.
-Rawh…la dînette c’est ennuyant… tu ne peux pas y jouer seule avec tes nounours ?
Devant la cruauté de ses mots Chris ne se rendait compte de rien, depuis qu’elle était petite elle était habituée a faire les choses seules et a jouer seules, en fait elle ne savait pas vraiment comment faire autrement… Pour elle jouer avec quelqu’un d’autre devait être actif. Peut-être que si elle lui proposait de faire quelque chose qu’elle aimait bien elle changerait enfin d’avis sur le fait de passer du temps avec elle. Elle ajouta alors pour se dédouaner toujours plus par peur qu’elle ne l’emmène dans de plus gros problèmes.
-Tu te feras pleins de copines a l’école elle n’auront qu’a venir boire le thé avec tes poupées et toi.
Prenant la tasse que Katherine lui tendais elle la remercia d’u sourire pour la serviette et la mis sur ses genoux avant de boire le chocolat chaud doucement en soufflant au préalable dessus. Rien que l’odeur lui donnait du baume au cœur et l’aida à sourire plus sincèrement. Elle adorait ça le chocolat chaud depuis qu’elle était petite… Le lait ne passait pas tout seul alors saupoudré de chocolat… il passait tout de suite beaucoup mieux. C’était Sophie qui avait eu l’idée d’essayer tandis qu’Emerald paniquait qu’elle ne prenne pas de poids. Chris grimaça quand sa petite sœur éternua sur sa tasse. Elle était écœurante et toujours là pour commencer à faire une bêtise. -Bouah … Marjorie… t’es vraiment écœurante …
S’éloignant d’une fesse ou deux d’elle elle bu tranquillement son chocolat de son coté avant d’entendre la bonne nouvelle sortir de la bouche de Katherine. Papa allait rester toute la semaine a la maison ! Vraiment c’était vrai ?! C’était formidable. Chris ne pu contenir sa joie si bien qu’elle se releva sur ses genoux sous la tante relevant sa tasse comme la torche de la statue de la liberté. Elle souriait et finis de boire son chocolat précipitamment… Puisqu’il était là peut-être accepterais-t-il de l’emmener voir Sophie…
-C’est vrai ! Oh wow ! Trop bien j’espère qu’il voudra bien m’emmener à la chasse avec lui !
Chris dans toute sa splendeur ne se satisfaisait pas à rester dans les activités ou on l’attendait en tant que femme… La broderie, la couture, le tricot le crochet toutes ces choses lui donnait envie de vomir… Tous ces fils qui s’emmêlent se remêlent à l’infinis cela demandait une patience et une concentration de longue duré que la jeune fille ne possédait pas. Si elle pouvait rester concentrée des heures sur un livres, elle ne pouvait pas sur une activité qui lui demandait dextérité, réflexion et minutie. C’était trop, trop féminin, trop typique… trop Katherine… en voyant les broderie qu’elle faisait. C’était très jolie, Chris trouvait ses paysage apaisant et appréciait pouvoir utiliser de tels draps mais jamais son objectif ne serait de ressembler à Katherine. Jamais.
Encore écœurée par les saletés que faisait Marjorie mais aussi ce qu’elle disait Chris soupira un peu mais fut soulagée de la voir s’endormir un peu. Au moins quand elle dormait, elle ne faisait pas de bêtises pensa t-elle avec un petit sourire jouasse. Se retrouvant seule avec Katherine la jeune fille se recroquevilla un peu dans son plaid et contre son doudou regardant les images de son livre. Elle n’osait pas la regarder cette fois-ci comme gênée de la situation. Lorsqu’elle la remercia Chris tortilla la bouche ne savant pas trop quoi dire.
-Comme ça je me suis rachetée…
Fit-il a demi voix un peu timide tout à coup. Elle regarda son ventre à sa question et boire quelque chose de chaud lui avait fait du bien. Cela remplaçait le fait de masser car elle ne l’avait pas fait. Elle haussa un peu les épaules avant de masser un peu son ventre pour voir ce que ça faisait.
-Pour l’instant ça va un petit peu mieux…
Elle restait prudente sur le fait d’aller mieux. Elle était encore mal a l’aise de l’été et de ce matin. Un silence s’installa sous la tente de tissus et Christabella lisait son livre pour la énième fois. Quand elle en arriva à la mort de la maman de Bambi elle repensa instantanément à Sophie et l’envie irrépressible de la voir bientôt. Mais là seule avait Katherine lui brulait tout à coup l’envie de lui poser des questions a propos de sa mère car beaucoup de choses lui avait été caché.
-Dis… Katherine… tu sais pourquoi maman ne peut pas prendre soin de moi ?
Fit-elle d’une petite voix un peu timide mais surtout pleine d’espoir qu’elle apprenne enfin quelque chose, qu’on lui dise une chose qui la fasse avancer qui lui permette de répondre à cette infâme question : devait-elle aimer Sophie ou la détester ? Et surtout devait-elle vouloir considérer Katherine comme sa mère ? Est-ce que c’était possible ? Oui, en réalité beaucoup de questions subsistait pour la jeune fille.
-J’ai envie d’aller la voir cette semaine… elle me manque…
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Dim 7 Mai - 1:07
Sophie Witeaker
J'ai 41 ans et je vis à Londres , en Angleterre . Dans la vie, je suis internée et je m'en sors pas bien du tout. Sinon, grâce à ma chance , je suis mère et je le vis plutôt bien . - Elle a été sous l’influence de la dame de l’étang -Elle à l’esprit ouverts aux esprits -Sophie est manipulable et son séjour à l’hôpital la rendue plus enfantine et un peu agressive comme on ne l'écoute pas; -Elle ne comprend pas qu’Emerald l’ai remplacée -Elle ne supporte pas que Christabella appelle quelqu’un d’autre qu’elle maman. - subit une thérapie par électrochocs qui lui réussi
-Chargé. Délivré. Quelques secondes passe, le corps de la jeune femme est pris de violent spasmes et une fois que le corps attaché ne remue plus le médecin reprend. Chargé. Délivré Dit-il une dernière fois en abaissant le petit bouton de la machine. Celui-ci remontait significa-tivement au bout de 5 secondes en faisant un clac. La patiente attachée convulsa un peu, un protège dent en plastique moue entre les dents. Finissant sa convulsion au bout de quelques minutes le docteur regarda les infirmiers leur intimant de s’occuper d’elle tandis qu’il partait continuer son travail, ailleurs. Les yeux à moitié ouvert sur le plafond, la jeune femme voyait tout flou. Elle se sentait comme sur un nuage et avait le cerveau en coton. Tout comme son corps. Après le traitement tout son corps devenait du coton… A moitié consciente sur la table elle n’arriva même pas à fermer la bouche quand on lui retira le protège langue.
-Rah c’est dingue de ce dire qu’une aussi belle femme puisse être assez zinzin pour être ici. Comme quoi ma mère avait raison en me disant de me méfier des apparences…
-Ca se voit que t’es nouveau toi… Et franchement je ne vois pas ce que tu lui trouve. De toute façon si elle est là c’est qu’elle a pas fait des trucs jobard…
Fit le second infirmier en retirant les électrodes accrochée à ses tempes tandis que le premier était en train de défaire les sangles. La jeune femme était habillé de blanc, un pantalon large et un espèce de chandaï en coton large sous lequel elle portait un t-shirt manche longue blanc lui aussi.
-Qu’est-ce qu’elle a fait, elle qu’est-ce que je dois savoir ?
-Celle-là c’est Witeaker. Il y a environ 8 ans elle à essayé de tuer sa gamine qui était bébé, un truc comme ça. Elle est plutôt calme en général mais elle reste sujette aux crises d’hystérie alors fait attention a toi quand même.
Ils étaient chacuns d’un coté et se regardèrent pour se donner le top. Quand ils le firent ils soulevèrent la jeune femme qui bafouillait dans son semi sommeil. Il la placèrent dans un fauteuil roulant sur lequel ils l’attachèrent plus pour ne pas qu’elle tombe que pour l’empêcher de bouger et il l’emmenèrent dans sa chambre. On entendait dans les couloirs des cris, des voix et même juste des rire. Il n’y avait pas forcément que du malheur.
-Mais du coup de quoi elle est atteinte concrètement ?
-Troubles dissociatif de l’identité, elles entend des voix et se prend pour quelqu’un d’autres par-fois. M’enfin là elle va faire un gros dodo déjà donc on est tranquille avec elle pour la mâtiné au moins. Sa thérapie la met K.O. sur le coup.
La mettant sur son lit et la couvrant un peu dans sa chambre qui ne contenait qu’un lit ils l’enfermèrent et la laissèrent tranquille. L’hôpital ou se trouvait Sophie n’avait rien à voir avec les hô-pitaux psychiatrique sordides qu’on commençait à utiliser comme sujet pour faire des films d’horreur. Elle y était relativement bien traitée mais privé de liberté, ici sa voix, ce qu’elle disait ou pensait n’avait pas d’importance. Elle n’était plus totalement une personne, elle était une folle, une patiente. Sa chambre d’hôpital n’avait rien de bien dingue : des murs blancs, un plafonniers lumineux dans une cage, un lit des draps blanc, une table de chevet et un fauteuil. Tout était baigné dans la lumière vive du plafonnier et sur la porte se trouvait une fenêtre et une trappe. Juste a coté de la porte se trouvait une vitre sans teint. Elle ne voyait pas l’extérieur de sa chambre mais les infirmier pouvait la voir de l’extérieur. Sur les murs étaient collé de dessins de Chris, qu’elle lui envoyait dès qu’elle pouvait… Elle les aimait de tout son cœur et les chérissait même si des fois elle ne pouvait s’empêcher de les déchirer quand la voix lui ordonnait…
Allongée là elle ne dormait pas vraiment et fixait un peu le plafond, son cerveau redescendant lente-ment sur terre et dans la pleine conscience. En réalité c’est comme si son cerveau et elle étaient deux choses distinctes et qu’elle était réveillée alors que lui dormait et l’empêchait de vraiment penser, par-ler ou bien faire le moindre geste… Alors elle regardait le plafond comme ça pendant quelques heures et progressivement elle reprenait conscience. Se réveillant au final comme après une très grosse cuite. Elle n’avait rien sentit à vrai dire. Elle n’avait pas souffert et ne se souviendrais même pas de ce qu’on avait bien pu lui faire quand on l’avait emmené dans la salle 17. Toujours un peu dans le coletard elle n’appelait qu’une personne inlassablement…