Extinction is the rule. Survival is the exception [ft. Gäa]
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Ismerie
Sam 1 Juil - 22:16
Le contexte du RP
Mise en situation
La situation Depuis le début de la pandémie mondiale qui a éteint une grande partie de l'humanité, Laura survit en compagnie de Saïd, son ami d'enfance, et Elsa, l'ex-femme de son père et unique survivante de sa famille proche. Installés dans un château fortifié aux abords d'une plage, le trio vit en harmonie avec la communauté qui s'y est installé. Mais l'arrivée d'un nouveau groupe de survivants en quête d'une nouvelle base vient chambouler leur tranquillité. Jérôme et ses hommes, sous prétexte de d'une alliance potentielle, tendent un guet-apens au groupe de Laura. Séparée des siens, seule, la jeune femme tente de retrouver le chemin de la maison, mais la découverte d'un homme sur la plage lui fait ralentir sa progression, elle ignore que cet inconnu vient de très loin, et qu'il s'agit d'un homme redoutable qu'elle ferait mieux d'avoir comme allié : Daryl Dixon.
J'ai 33 ans et je vis à Pirou, en Normandie, France. Dans la vie, je suis membre d'une communauté installée dans un château fortifié et je m'en sors assez bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis une survivante et je le vis plutôt étrangement.
-Laura n'avait que 20 ans lors du début de la pandémie -Son père, remariée à une autre femme suite au décès de sa femme, est mort en essayant de sauver ses parents, déjà perdus, lors de la fuite de la famille de Rouen -Elle a survécu sur les routes en compagnie d'Elsa, sa belle-mère, et Saïd, un ami d'enfance qu'elle avait retrouvé dans un camp de réfugiés lorsque ces derniers fonctionnaient encore -Elle est très douée pour le tir, mais est moins à l'aise avec la proximité des armes blanches -Elle joue de la guitare et anime souvent les veillées de la communauté en plus de travailler comme éclaireuse
Elle avait couru, longtemps, très longtemps, en tenant la blessure que lui avait faite la balle qui avait effleuré son bras. Elle ne savait pas où étaient les autres, mais elle n'avait qu'une unique certitude désormais, c'était qu'elle devait trouver le chemin du retour jusqu'au château, et sonner l'alerte, aller trouver des meilleures armes aussi, pour ne pas laisser cette histoire impunie. Elle n'avait pour unique moyen de défense qu'un petit pistolet fait pour dissuader «venez sans armes lourdes» on leur avait dit «pour qu'on puisse se faire confiance mutuellement», et on les avait roulés, bien sûr ! Ils possédaient quelque chose que tout le monde convoitait ici, pourtant ces abrutis n'avaient qu'à faire dix kilomètres pour trouver d'autres infrastructures raisonnables, mais non, c'était bien leur communauté, leur place, leur endroit à eux, qu'ils convoitaient. Ils en étaient obsédés, à un point tel que Laura s'était demandé s'ils ne désiraient pas plus que le château. Mais elle n'avait jamais poussé ses spéculations plus loin. Désormais elle courrait, elle courrait, jusqu'à atteindre la plage. Elle avait repéré une tache noire au loin, et grâce aux jumelles qu'elle avait conservées autour de son cou, elle put observer qu'il s'agissait du corps inerte d'un homme. Était-il mort ? Elle l'ignorait, mais il était possible qu'il soit avec le groupe de Jérôme, alors, elle se hâta dans sa direction. S'il était mort, nul besoin de se presser, mais dans le cas contraire, elle devait en avoir le cœur net. Arme en main, elle mit en joue l'inconnu alors qu'elle arrivait à proximité de ce dernier. Et elle prit la parole, d'une façon suffisamment audible et furieuse pour qu'il l'entende.
-T'es l'un d'entre eux ?! Réponds ! T'es de ces connards qui ont essayé de nous doubler ? Vous l'aurez pas ce putain de château, va le dire à ton chef avant que je t'explose la cervelle !
Exploser des cervelles... combien en avait-elle fait exploser depuis le début ? Elle ne saurait dire, beaucoup, ça c'était certain, et des cervelles en parfait état de marche aussi, moins nombreuses que celles des cadavres ambulants, mais elle n'avait pas à rougir de son score. Ouais, c'était ça, la légende qu'on lui avait demandé de raconter, une légende à moitié vrai, moitié mythe, parce qu'en réalité... le traumatisme de tuer un être humain ne l'avait jamais quitté, elle avait fait ce qu'elle avait à faire pour survivre, mais elle devait en être fière face aux inconnus, le revendiquer, parler comme la dernière des sans âme, pour effrayer, pour qu'on la redoute. C'était ce que faisait sa communauté, pour quel résultat maintenant ? Une embuscade leur avait été tendue, et elle devait être la seule survivante. Et maintenant elle n'avait plus le temps, elle se devait rentrer, aller prévenir les autres de l'ultimatum qui leur avait été fait, mais avant... qu'est ce qu'elle en faisait, de ce mec ? Allait-elle le tuer, l'attacher, le laisser là, à moitié comateux sur la plage ? Elle n'en savait rien, c'était pas elle qui prenait les décisions d'habitude, mais Saïd, ou Elsa. Et ils n'étaient pas là, eux étaient restés au château, ils l'avaient laissé avec Laurent, Imany, Enrique, et Mathilde. Et où se trouvait-ils maintenant ? Ils étaient morts probablement, mais ça elle n'en savait rien non plus, elle avait juste couru, couru pour se retrouver seule, à pointer une arme sur un mec inconnu. Et il lui restait vingt minutes de marche avant de rentrer. Quelle belle journée.
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Gäa
Lun 11 Sep - 22:43
Daryl Dixon
J'ai 51 ans et je vis au Commonwealth, Amérique. Dans la vie, je suis survivant et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, j'ai fini prisonnier, à présent en fuite dans autre pays et je le vis plutôt moyen. -Daryl Dixon est parti à la recherche de Rick Grimes -Enfant il était battu par son père -Daryl est un survivant, il a toujours appris à survivre seul -Merle Dixon son frère ainé, vendez le sang de son frère, Daryl étant donneur universel.
Depuis que Judith m'avait dit que Rick était en vie, j'avais à la fois ressenti du soulagement, mais aussi de la culpabilité, de ne pas l'avoir retrouver plus tôt, pour le ramener auprès de sa famille ... Michonne était parti à sa recherche, visiblement, elle était sur une piste mais Judith n'avait rien voulut me dire, de peur que je ne parte à mon tour, comment lui en vouloir ? Elle n'avait plus de mère, elle avait grandi en croyant son père mort, pour elle, j'étais comme une figure paternel, même si jamais, je ne mettais imaginer entant que "père" et surtout, j'étais loin d'être un exemple. Dès que l'ordre fut rétabli au Commonwealth, je parti à la recherche de mon frère de coeur, celui qui m'avait quelque part, sauver de moi même. J'étais parti en moto et je devais admettre, que j'en avais fait des kilomètres, j'avais pour espoir de retrouver Rick en direction de Washington voir New-York, alors j'étais parti vers l'est ... Je ne pourrais pas compter les jours et les nuits, ou j'avais rouler seul, ou j'avais chercher de l'essence, chasser pour trouver de quoi manger, la solitude était si pesante ... Judith me manqué, ce petit bout de femme qui m'avait dit "papa", ce moment ou j'avais ou si peur de la perdre, évidemment Judith était une dur à cuire, comme j'aimais le dire. Je savais qu'elle était entre des bonnes mains. J'avais cesser de compter les jours en solitaire depuis un moment, lorsque j'ai fais la rencontre, si on pouvait nommer ça une "rencontre" , avec un groupe qui avait pour projet de se rendre en Europe. Quand on ne partage pas des points de vue communs, disons que ça pouvait vite déraper... J'avais fait des dégâts, mais disons qu'ils étaient en nombre supérieur, alors j'avais été maîtriser, avant que tout ne devienne noir. Je ne mettais pas attendu, à me retrouver prisonnier à bord de leur bateau, de plus, je n'étais pas le seul ... Mais pourquoi ? Je sais que j'ai réussi à m'échapper, mais sur un bateau, on ne pouvait aller bien loin ... Je mettais battu, mais ça n'avait pas suffit, tout ce que je me rappel, c'est d'un coup violent au niveau du crâne, puis de l'eau glaciale. A nouveau, tout c'était passé très bien vite, le mer m'avait emporter, j'avais eu le temps de récupérer de l'oxygène tout en luttant contre les vagues, avant de sentir le sol ... J'étais enfin hors de l'eau, mais bien trop étourdi et épuisé pour bouger, je me sentais geler sur place, mais peu importe, je voulais reprendre mon souffle, je devais reprendre mon souffle, ma tête me faisant souffrir.
Tout en continuant de reprendre difficilement mon souffle, j'entendis des pas et je voulus me redresser, seulement j'en avais pas la force, je ne mettais contenter que de ramper, levant les mains, en guise de paix. Je ne comprenais pas sa langue, alors je me contentais de secouer la tête, lui disant "Je ne comprend pas ce que vous dites" , même ma gorge était douloureuse, j'avais soif, je regardais autour de moi "Ou je suis ?" dis je à la femme.
I’m a lowlife
I tried to outrun my addiction But all I found was a new one I’m a lowlife tryna get my head right Stuck inside a dream Kicking ketamine I’m a lowlife tryna get my head right
anaphore
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Ismerie
Jeu 9 Nov - 9:44
Laura Dumont
J'ai 33 ans et je vis à Pirou, en Normandie, France. Dans la vie, je suis membre d'une communauté installée dans un château fortifié et je m'en sors assez bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis une survivante et je le vis plutôt étrangement.
-Laura n'avait que 20 ans lors du début de la pandémie -Son père, remariée à une autre femme suite au décès de sa femme, est mort en essayant de sauver ses parents, déjà perdus, lors de la fuite de la famille de Rouen -Elle a survécu sur les routes en compagnie d'Elsa, sa belle-mère, et Saïd, un ami d'enfance qu'elle avait retrouvé dans un camp de réfugiés lorsque ces derniers fonctionnaient encore -Elle est très douée pour le tir, mais est moins à l'aise avec la proximité des armes blanches -Elle joue de la guitare et anime souvent les veillées de la communauté en plus de travailler comme éclaireuse
Laura demeurait sur ses gardes, tandis que cet homme quittait son inconscience, et semblait reprendre ses esprits. Il rampait, trop faible pour lui faire face, ou peut-être faisait-il semblant ? Elle l'ignorait. Et surtout, la chose qui lui sautait aux yeux, c'était sa langue, son accent, cette façon de s'exprimer. Il était étranger ? Ou jouait-il le fameux 'I'm sorry I don't speak your langage' pour mieux lui sauter à la gorge par la suite ? Elle était devenue totalement paranoïaque oui, mais mieux valait l'être trop que pas assez, mais s'il était vraiment étranger, peut-être... vivait-il en France avant l'épidémie ? Venait-il d'ailleurs ? Si oui, du Royaume-Uni ? Non, son accent était Américain. Américain. En France, ici ? Sans doute s'était-il retrouvé coincé ici avec le début de la fin du monde, loin des siens. Cela aurait presque pu émouvoir la jeune femme, d'imaginer cet homme seul, incapable de communiquer avec les autres. Mais n'aurait-il pas appris la langue depuis tout ce temps ? Elle en avait mal à la tête, elle s'embrouillait seule, ce n'était pas bon signe pour sa concentration.
-Tu... tu viens d’où toi ?
Elle soupirait. Elle savait parler anglais, elle n'avait pas eu la possibilité de pratiquer la langue depuis la fin des séries américaines sur Netflix et les applications duolingo, donc elle n'était pas certaine de ses capacités linguistiques. Néanmoins, elle se devait bien de pouvoir communiquer avec cet homme si elle souhaitait des réponses. Le tenant toujours en joue, à l’affût sur son environnement, elle reprit la parole.
-T'es à Pirou, en Normandie, en France quoi, tu dois le savoir non ? J'imagine que t'es resté coincé ici avec le début de la pandémie, mais c'est pas en te noyant dans la mer que t’arrivera à rentrer chez toi
Elle demeurait prudente, à bonne distance, pourtant elle avait bien du mal à penser que cet homme jouait véritablement la comédie. Il avait l'air véritablement épuisé, vidé de toutes ses forces, et il semblait avoir besoin d'aide aussi. Du moins, d'être mis en sécurité le temps de reprendre des forces, sans que des survivants ou des bouffeurs de chair ne viennent essayer de mettre fin à ses jours. Après un autre soupire frustré, la jeune femme tira la gourde qu'elle avait sécurisée autour de sa ceinture avant de l'observer un instant. Elle hésita, avant de finalement la jeter près de l'homme afin de ne pas se risquer à lui donner en main propre.
-Tiens, tes lèvres sont si sèches que j'ai l'impression qu'elles vont craquer. Bois un peu, et après lève-toi. On est à découvert ici et c'est dangereux de rester là, mais avant de partir il faut que je sache si t'es armé, et quelles sont tes armes. Et ne t'avise pas de me mentir ou de me cacher des choses
Laura redoutait autant les forces pouvant surgir de l'extérieur que cet homme en face d'elle, et cela la plongeait dans une situation de stress à laquelle elle souhaitait mettre fin aussi rapidement que possible. Une fois certaine que cet homme ne représentait plus aucun danger, alors elle pourrait l'aider s'il en avait besoin, et se débarrasser ensuite de lui en le laissant continuer son chemin. Elle pouvait se montrer empathique, mais pas au point de se montrer idiote.
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