J'ai 38 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis agent de la CIA et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien .
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Oui, Seth aurait pu mourir ce jour-là et elle n’en aurait rien su. Sa réponse brève et détachée banalisait presque la mort. La sienne, tout du moins, et elle le lui reprocha implicitement. L’agent de terrain prit conscience qu’ils vivaient dans deux réalités distinctes. L’Épée de Damoclès au-dessus de sa tête était quotidienne. Il avait conscience qu’elle pouvait s’abattre sur lui à tout moment. Pour Abigail, tout cela était insensée et elle se retrouvait à aimer un homme qui pouvait servir son pays jusqu’au sacrifice ultime. Pour seule réponse, il resta silencieux tout en maintenant son regard, et décida de poursuivre. Évidemment la destination l’interpella. Les États-Unis avaient été en guerre contre l’Irak des années durant, et voilà que le professeur de géopolitique qu’il était se rendait sur le territoire pour accompagner un diplomate au nom de ses recherches universitaires. Il acquiesça tout en poursuivant sans s’interrompre et prit conscience, aux mots qui suivirent, que la conversation allait s’avérer plus sinueuse qu’il ne l’aurait envisagé. « Oui » fut sa première réponse. Comment justifier l’acte de cet inconnu sans dévoiler son métier d’agent de la CIA ?! Les paroles qui suivirent furent un indicateur pertinent sur l’état d’agacement dans lequel se trouvait Abigail en cet instant. Elle ne comprenait pas les raisons de cette agression. Un bref regard pour ses mains tremblantes qu’elle cacha en croisant les bras et releva son regard sur elle alors qu’elle s’excusa du ton employé. Il souffla un « Ce n’est rien ». Les rôles inversés, il aurait été également fou de rage à la simple pensée qu’elle puisse mourir ainsi. Pour autant, Seth ne répondit pas à ses interrogations et la laissa poursuivre.
Le trentenaire resta interdit quelques secondes en apprenant qu’elle avait rêvé de sa mort, et souffla un « C’est presque romantique ». Elle avait senti qu’il était en train de périr à l’autre bout du monde, alors qu’elle ignorait l’endroit où il se trouvait et le risque qu’il encourrait à se rendre là-bas. Comme si l’amour qu’ils se portaient avait créé une espèce de pont de connexion imaginaire entre leurs deux cœurs, et elle avait sentit le sien arrêter de battre… Il l’observa se laisser tomber sur le dos alors qu’elle lui reprochait son absence d’appel, ne serait-ce que pour la prévenir « Je ne pouvais pas ». Pas certain que sa réponse la satisfait. Il sentit son cœur se serra à sa confidence « Je ne veux pas te laisser non plus… ». Il tenait bien trop à elle pour envisager que leur histoire se termine ainsi, si dramatiquement, alors qu’ils n’avaient encore rien vécu de ce bonheur à deux. Il la fixa ensuite quelques secondes, puis rétorqua « Je ne suis pas professeur ». Un soupir en posant sa tête contre le mur, levant les yeux au plafond, et finit par la fixer après quelques instants de silence « Je suis un agent de la CIA. Je suis à New York pour une mission qui met en péril la sécurité intérieure, et de temps à autre, lorsque Langley considère que cela est nécessaire, ils m’envoient sur d’autres théâtre d’opérations en soutien. La fois dernière, j’étais au Yémen et cette fois-ci, j’étais bel et bien en Irak, et je me suis fait poignardé par un agent d’Al-Qaïda », il ajouta avec plus de dureté dans la voix « Un mot Abigail. Un seul mot sur tout ça, et il en va de notre sécurité à tous, et de la tienne également, et l’idée même de te perdre… par ma faute… » il serra les dents, la gorge nouée par cette pensée « J’ai déjà perdu la femme que j’aimais ainsi. Je ne veux pas revivre ça. Pas avec toi. Je ne le supporterais pas. Alors je t’en prie, pas un mot à quiconque… ». Il n’hésiterait pas à tuer de sang froid pour la protéger elle.
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Charly
Jeu 24 Aoû - 19:50
Abby Davis
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« -romantique ? » questionna Abby. « -romantique ? Tu trouves ça romantique ? » non mais elle était en train d’halluciner ! « -moi je trouve ça horrible ! » ajouta Abby en sentant sa gorge de nouer. Elle s’était allongée, fixant le plafond, avant d’ajouter encore quelques questions. Elle avait besoin de ces réponses. Jusque-là elle n’avait jamais dérogé à la règle. Mais il était passé à deux doigts de mourir ! Donc ça lui donnait le droit de savoir non ? Elle serra les dents en entendant sa réponse. Il ne pouvait pas. Mais pourquoi ? Comment ? « -si tu avais passé l’arme à gauche, tu t’en foutais toi ! T’étais tranquille pénard là bas ! Sur un petit nuage à siroter des margaritas ! Et moi ?! Moi je restais là, seule, à croire que tu t’étais barrée avec une pétasse brune avec des jambes de rêve ! » Il était prof pas super héros ! Toujours allongée, elle se passa les deux mains sur le visage en soupirant. Ça ne servait à rien qu’elle passe ses nerfs sur lui. Il devait déjà atrocement souffrir. Lorsqu’il lâcha l’info, Abby fit glisser ses deux mains, levant uniquement les yeux sur Seth. Comment ça il n’était pas prof ? Son imagination ne fit qu’un tour. C’était ça ?! La brune avec les grandes jambes ? Elle avait vu juste ?
Abby eut un petit rire jaune. « -ahah très drôle. » agent de la CIA. Il savait parfaitement que son cerveau baignait là-dedans avec l’écriture de son roman. Mais lorsqu’il donna des détails, elle le fixa à nouveau du regard, se sentant pâlir. Elle le détailla, cherchant à savoir s’il était vraiment sérieux. Lorsqu’il la menaça, parce que oui c’était un genre de menace, Abby fronça les sourcils. La jolie blonde se redressa pour lui faire face, se grattant les sourcils. Elle avait bien sentit que c’était douloureux. « -ok…ok… alors de un : tu veux que j’en parle à qui ? A Tom ? » elle sourit avant de bloquer : « -oh… » Tom aussi. C’était logique. « -de… de deux : j’ai du mal à avaler ça. Mais en même temps, ça explique beaucoup de chose. » elle recula le visage : « -de trois… pourquoi tu fais ce boulot ? » elle avait besoin de savoir pourquoi il avait besoin d’aller en risquer sa vie ainsi. « -en l’espace de même pas six mois tu es… » elle se pinça les lèvres. Il était rentré dans un sale état.
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Manhattan Redlish
Jeu 24 Aoû - 20:19
Seth Hobbes
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Seth venait de faire un impair en comparant son rêve aux allures de prémonition de romantique, et il le comprit rapidement en entendant Abigail le réprimander implicitement d’avoir osé employer un tel mot pour désigner son cauchemar. Horrible était, à ses yeux, plus en adéquation avec ce qu’elle éprouvait cette nuit-là « Je n’ai pas dit le contraire Abigail. Seulement… C’est comme si nous étions connecté et que tu as ressenti le moment où mon cœur a cessé de … » et resta soudainement silencieux, prenant conscience du poids de ses mots en cet instant. Ce qui était un quotidien pour lui, ne l’était pas pour elle. Elle venait d’apprendre que son cauchemar était devenu réel, et qu’elle aurait pu le perdre à jamais ce jour-là. Il souffla alors un « Pardon… Tu as raison… » empreint de culpabilité. C’était horrible. En fait, toute cette situation l’était. Il partait risquer sa vie pendant qu’Abigail ignorait où il se trouvait et s’il respirait encore. Toutefois, la CIA lui interdisait tout contact avec l’extérieur. Il s’était retrouvé dans l’impossibilité de l’appeler, d’entendre sa voix, de la rassurer. Le trentenaire comprenait la colère qu’éprouvait Abigail face à tout cela, face aux silences et aux secrets qu’engendraient son travail, toutefois, il rétorqua « C’est ce que tu as pensé ? Que j’étais avec une autre femme ? » et renchérit « Si un jour je ne reviens pas, ça ne sera pas à cause d’une autre femme. Tu combles sur tous les plans Abby » et elle devait le savoir. Il était heureux, pleinement heureux, au quotidien tant que dans l’intimité. Envisager une liaison avec une autre femme ne lui avait jamais traversé l’esprit, même après un mois loin de la jeune femme. Il décida donc de mettre fin aux angoisses d’Abigail en lui dévoilant qu’il n’était pas un professeur, mais un agent de terrain de la CIA.
Évidemment, la jolie blonde se mit à rire en ne croyant pas un mot de ce qu’il avait pu lui confier. Mais il sentit également sa réaction changer au fil de ses explications. Toutefois, il sut que la menace était la plus convaincante. Seth ne voulait pas la perdre. Pas elle. Il avait souffert après la mort d’Inaya, et ses sentiments n’étaient pas aussi forts que ceux qu’il pouvait éprouver pour la femme devant lui. Alors envisager sa mort… Cela relevait de l’inconcevable pour le trentenaire. Seth resta silencieux lorsqu’elle évoqua Tom et pu constater que la logique venait de faire son chemin dans l’esprit de la jeune femme. Thomas était également un agent. « Quelles raisons aurais-je de te mentir là ?! Alors qu’on discute sérieusement ». Il n’en voyait aucune. « J’ai failli mourir deux fois » conclut-il pour elle et décida de répondre « Parce que j’ai été formé à cela depuis que je suis venu vivre chez mon oncle. La plongée, les arts martiaux, le saut en parachute, le tir sportif, les voyages, les langues étrangères, la géopolitique… Pour moi, ce sont devenus plus que des hobbies. Je me suis rendu compte que je pouvais servir mon pays, alors à l’issue de mes études, j’ai déposé ma candidature. Je n’avais aucune attache, je pouvais donc m’investir corps et âme dans mes missions. Quant à l’idée de mourir, elle ne m’a jamais dérangé ». Après tout, à qui aurait-il manqué ? « Puis tu es arrivée… Et ça m’a changé. Ça a changé beaucoup de choses. C’est pour cela que j’ai pris de la distance. Pour te protéger, et pour ne pas perdre de vue ma mission ». Finalement, il avait failli.
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Charly
Jeu 24 Aoû - 21:49
Abby Davis
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« -je t’en prie tais-toi… » supplia Abby alors qu’il venait d’avouer avoir fait un arrêt cardiaque. Elle ne voulait pas entendre ça. Jusqu’à présent, elle avait assimilé qu’il avait prit deux coups de couteaux. Pas qu’il avait été mort et qu’on l’avait réanimé. Il était mort ! L’espace de quelques secondes, d’une ou deux minutes ?! Il était mort ! Et elle, de son côté, elle s’était réveillée en sursaut, en sueur, le cœur dans un étau avec une énorme angoisse au creux du ventre. Elle ne voulait pas en entendre plus. Lorsqu’il s’excusa, elle demanda, des larmes pleins les yeux : « -tu as fait… un arrêt… » comment pouvait-elle prendre la nouvelle ?! Et après ça, il n’avait pu qu’espérer le revoir. Impossible de passer un appel ?! « -Quoi ?! Non ! » râla Abby, comme s’il ne faisait aucun effort. « -bien sur que non je n’ai pas penser ça ! Je te fais confiance et je… » elle ferma les yeux. Contrôler sa colère. Sa douleur et sa peur surtout. « -je dis seulement que sans la moindre nouvelles de toi durant des mois, l’idée serait peut-être venu ! » elle ne s’était jamais posé la moindre question sur sa fidélité.
« -je sais pas… » souffla Abby avant d’énoncer à voix haute qu’il aurait pu mourir par deux fois. Enfin… ce fut Seth qui termina sa phrase. Une question arriva alors. Pourquoi ? Pourquoi risquer sa vie ainsi ? Abby hocha la tête machinalement tout en l’écoutant lui parler de ce travail pour lequel il était tailler. De ce travail qui était la véritable raison de leur éloignement. « -pas… pas perdre de vu ta mission… ça veut dire que… » elle eut du mal à retenir ses larmes. C’était plus fort quelle. « -ça veut dire que je te… le fait qu’on soit ensemble ça te… perturbe ? Que ça… » elle le désigna pour parler de la blessure : « -c’est à cause de moi ? » ça faisait trop d’information pour elle. Abby avait besoin de prendre l’air. « -écoute je… » elle se leva avec lenteur, titubant légèrement. « -je vais aller prendre l’air… une petite heure je pense… » elle fit des moulinet avec ses bras. « -j’en… j’en ai besoin. » oui, là il le fallait. Elle prit le pull de Seth, celui qu’elle portait en son absence, et l’enfila rapidement. « -on va en reparler… mais j’ai besoin de… de prendre l’air. » elle ajouta : « -seule. » un mois qu’elle l’était, une nuit qu’il était revenu et elle avait besoin de s’éloigner. Elle le regarda quelques secondes, avant de quitter la chambre, puis l’appartement. Juste une petite heure pour assimiler. Agent de la CIA… danger de mort… top secret… pas censé être au courant…
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Manhattan Redlish
Jeu 24 Aoû - 22:22
Seth Hobbes
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Son cœur avait cessé de battre un peu plus d’une minute avant d’être réanimé par les secours sur place, mais ce ne fut qu’en entendant la supplique de celle qu’il aimait qu’il comprit. Il était mort. Il eut une soudaine envie de la serrer dans ses bras, mais n’en fit rien, soufflant un « Oui… » presque inaudible. Seth était en train de la faire souffrir en se confiant sur son agression à Bagdad. Il mettait Abigail face à une réalité dont elle ignorait tout et pour laquelle, elle n’était pas préparée. Et s’il avait péri ce jour-là, sur cette place du marché, elle n’en aurait rien su avant plusieurs jours, si ce n’était plus. La CIA aurait menti pour protéger les intérêts des États-Unis avant ceux de son agent, et elle n’aurait jamais rien su de son meurtre. Alors elle se mit à évoquer une autre femme. Un point sur lequel Seth rebondit presque aussitôt en balayant le moindre doute d’un revers de main. Il n’avait jamais fantasmer sur le corps d’une autre femme depuis qu’ils étaient ensemble, et il souhaitait que ce point soit aussi clair que l’eau de roche « Tu sauras maintenant que si je ne rentre pas, ce n’est pas pour une autre femme ». Ce n’était pas envisageable pour le trentenaire. Mais la laisser dans le secret, c’était également ouvrir une porte béante sur ce genre de théorie, et il ne le souhaitait pas. Alors, lorsqu’Abigail ouvrit une brèche en évoquant son métier de professeur, il s’immisça dans la fente et lui avoua ne pas être un professeur d’université, mais un agent de la CIA.
Sans grand étonnement, la jolie blonde eut quelques difficultés à l’entendre, à accepter cet aveu. Un espion. Il n’était pas James Bond. Il était un agent de terrain qui passait plus de nuit dans les grottes avec la faune locale, que dans de luxueuses chambre d’hôtel avec des brunes aux jambes élancées. Maintenant qu’elle connaissait son métier, il parvint à évoquer cette distance qu’il leur avait imposé pour rester focalisé sur sa mission. Toutefois, il n’avait pas envisagé une seconde qu’Abigail puisse interpréter différemment ses paroles. Il fronça alors le sourcil, puis posa sa main sur son bandage, et releva bien vite son regard sur elle en rétorquant aussitôt un « Non ! » avec aplomb, mais n’eut le temps de rétorquer quoi que ce soit de plus que la jeune femme se leva du lit « Abby…S’il te plaît… » tout en se penchant pour la retenir, mais le mouvement le fit grimacer et se résigna à la retenir à lui. Lorsque la porte se referma, le trentenaire laissa reposer sa tête contre le mur « Tu as tout gâché ! » et il entendit frapper à la porte, Tom entrant sans y avoir été convié « Tout va bien ? » « Je lui ai tout dit » « Tu as bien fait apparemment » « Épargne-moi tes sarcasmes ». Thomas vint prendre place sur le rebord du lit « Les relations entre espion et civil, ça ne marche que dans les romans. Tu devrais le savoir mieux que personne » « Si j’étais mort à Bagdad, elle ne souffrirait pas ainsi par… » « Tu racontes des conneries ! Elle serait morte de chagrin si tu étais mort là-bas alors prend ton mal en patience, elle reviendra » et se leva « Elle a toutes ses affaires ici » « Va te faire foutre » et laissa Thomas quitter la chambre avec ce petit sourire en coin qui lui donnait envie de lui balancer son poing dans la gueule. Durant l’heure qui suivit, Seth prit une douche et demanda de l’aide à son collègue pour lui prodiguer les premiers soins, avant de débarrasser le plateau jusque dans la cuisine, et se rendit ensuite sur la terrasse du toit pour patienter le retour de la jeune femme.
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Ven 25 Aoû - 13:42
Abby Davis
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ça faisait beaucoup à encaisser pour Abby. Elle qui s’était réjouit de le voir enfin de retour, voilà qu’elle décidait de fuir la chambre, l’appartement pour respirer. Comme d’habitude lorsqu’elle était sous l’effet du stress et d’une angoisse grandissante, elle parla vite, de façon hachée, sans écouter ce que pouvait répondre son interlocuteur, sans même savoir s’il l’écoutait. Là tout de suite, elle avait besoin d’air, de sortir, de s’éloigner. Elle avait précisé que ça ne serait que pour une petite heure. Qu’elle allait revenir. Et surtout qu’ils reparleraient de tout ça. Juste une petite heure. Il avait dit non. Avec conviction. S’il s’était fait agressé ce n’était pas parce qu’il était distrait. Abby voulu le croire. Non, elle avait besoin de le croire.
Sans attendre plus, elle était sortie, claquant la porte derrière elle. Claquant également celle de l’entrer. Les deux mains dans les poches du sweet de Set, capuche sur la tête, Abby dévala les marches des escaliers à une vitesse folle. Une fois dehors, elle eut l’impression de respirer à nouveau. Elle prit le temps de marcher pendant une longue heure, méditant sur la situation, leur relation, ce secret qu’il avait porté, qui avait également engendré des mensonges. Depuis le début, Seth lui mentait… Pour sa sécurité. La sienne également. Quand elle revint aux pieds de l’immeuble, elle était bien plus calme. La jeune femme souffla un grand coup pour se donner du courage, avant de monter. Elle prit le temps de prendre une douche et de se changer. Comme si ça pouvait effacer certaine chose. Puis elle croisa Tom. Il lui indiqua le toit de l’index. Un merci et elle gagna la terrasse.
Il était là, les coudes contre la barrière, dos à la porte. La jolie blonde l’observa sans rien dire. Puis elle avança à pas de loup, et vint se blottir avec tendresse et une grande délicatesse, dans son dos. Ses bras autour de sa taille, sa joue contre son omoplate. Elle resta ainsi de longues minutes, les yeux fermés, savourant seulement les battements de cœur de Seth, le rythme lent de sa respiration, son odeur… « -excuses moi pour tout à l’heure… » souffla enfin Abby. « -j’ai… j’ai un peu paniqué je crois… » elle sourit nerveusement en disant cela. « -merci aussi… » elle n’avait toujours pas bougé : « -merci de m’avoir dit la vérité. Je dirais rien. Je te le promets. » mais il y avait des détails dont ils devaient parler. Abby se détacha lentement, venant caresser la joue de Seth : « -comment tu te sens ? » avant de parler, elle voulait savoir si physiquement ça allait.
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Ven 25 Aoû - 14:25
Seth Hobbes
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Les coudes posés sur la rambarde de la terrasse, Seth observait les allers et venues des New-yorkais sans vraiment songer à leur déplacement. En cet instant, il n’avait qu’Abigail à l’esprit. Elle était partie, elle s’était éloignée de lui parce qu’elle ne parvenait plus à assimiler la vérité. Plus d’une fois, il s’interrogea sur la pertinence de son aveu. Avait-il fait le bon choix en lui confiant être un agent de la CIA ?! N’allait-il pas la perdre après un tel aveu ?! Un soupir et baissa la tête tout en étirant légèrement son dos, grimaçant sous la douleur et se redressa en fixant de nouveau les passants quelques mètres plus bas. Et si Abigail ne revenait pas ? Ou qu’elle le quittait parce que l’idée même de le perdre au cours d’une mission lui était impossible à surmonter ? Tous ces tiraillements psychologiques cessèrent soudainement en sentant les bras de cette dernière entourer sa taille, venant se blottir délicatement contre son dos. Elle n’avait pas idée à quel point il était soulagé de la sentir ainsi tout contre lui. « Tu n’as pas à t’excuser… Ça faisait beaucoup ». Pour lui, c’était son quotidien. Pour la jeune femme, il en était autrement. N’importe qui aurait prit la fuite tôt ou tard pour faire le point. Tout ce qui importait à Seth, c’était qu’elle soit revenue à lui. « Je suis désolé… » souffla-t-il alors qu’il était conscient de ne pas avoir su mettre les formes dans ses paroles. « Je sais » rétorqua-t-il ensuite alors qu’il se tourna pour lui faire face et apprécia la caresse de ses doigts sur sa joue « J’ai connu mieux » puis se mit à sourire « J’ai connu pire aussi ».
Seth lui saisit sa main posée sur sa joue et l’attira à lui, la serrant dans ses bras « Tu n’es responsable de rien Abby. J’ai manqué de vigilance ». Une fois encore. « Je dois seulement me reprendre pour éviter de me … Je dois me reprendre ». Le trentenaire n’avait pas envie d’envisager, à voix haute, qu’il risquait de se faire tuer à continuer ainsi. Il se détacha légèrement et entoura son visage, caressant sa peau de ses pouces « Je n’avais personne qui m’attendais avant, alors… Perdre la vie ne me faisait pas peur. Mais je t’ai maintenant, alors je te promets de redoubler de vigilance pour te revenir à chaque fois. Ok ?! » et déposa ses lèvres sur son front, la serrant de nouveau tout contre lui. Puis, au bout de quelques minutes, il se recula « On peut aller s’asseoir s’il te plaît » alors qu’il se sentait encore bien faible. Il glissa sa main dans celle de la jeune femme et se rendirent jusqu’à la banquette, prenant place d’un geste lent, puis ajouta « Tu comprends maintenant l’histoire de ton roman. L’espion qui tombe amoureux de sa voisine de palier » et se mit à sourire « La femme, c’était toi », et s’enfonça dans la banquette, ses chaussures sur la table basse, dans un soupir, et souffla « J’ai eu le temps de réfléchir sur mon lit d’hôpital cette semaine et… J’envisage de quitter la CIA après cette mission… », et réprima un petit frisson sous l’air frais de ce début d’hiver « Noël approche. Tu vas le fêter avec ta famille ? ». La question tombait un peu comme un cheveu sur la soupe, mais ce vent glacial lui avait fait penser aux fêtes de fin d’années.
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Ven 25 Aoû - 15:21
Abby Davis
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« -ouais… un peu trop pour moi en tout cas… » souffla la jeune femme, coller dans le dos de l’agent de terrain. Puis que c’était ce qu’il était… Le ton de sa la voix d’Abby était légèrement différent. Elle avait calmé son angoisse, était revenue à la raison. Elle avait envie de penser qu’ils allaient surmonter ça ensemble. Que Seth avait besoin d’elle là tout de suite, blessé, fatigué… sans doute perdu suite au fait qu’elle lui ai faussé compagnie. Cia ou pas, il était l’homme qu’elle aimait. Même si pas mal de chose avait été basé sur des mensonges. Elle avait prit conscience durant sa promenade, qu’elle ne lui en voulait pas. Question de sécurité, question de devoir, question d’amour… il avait menti pour la protéger. C’était une preuve d’amour en soit. « -le soit pas. » ça ne servait à rien. « -c’est passé. » oui, voilà, elle avait de nouveau les pieds sur terre. « -ok… » souffla ensuite Abby en lui adressant un tendre sourire, une fois face à lui. Comme il lui avait manqué…
Elle le laissa la prendre dans ses bras, savourant à nouveau d’entendre son cœur battre. « -ça va aller… » souffla la jeune femme. « -t’es largement capable de le faire. » ajouta-t-elle en souriant, ne voulant plus penser à l’éventualité de sa mort. « -le prochain qui te touche, c’est moi qui lui fait sa fête… » avait elle ajouté pour tenter de le faire sourire et surtout pour ne pas revenir dans cette angoisse. « -attention sinon j’ai mon Abby qui va vous faire la peau ! ohoho ! » ajouta-t-elle en tentant d’imiter Seth, avant de rire légèrement. « -je t’aime. » avait elle ajouté comme un cheveu sur la soupe. Il fallait qu’elle le dise. Qu’il en soit bien sur et certain. « -t’as plutôt intérêt oui… » avait-elle ajouté en se blottissant dans son cou. « -bien sur… » oui bien sur qu’ils pouvaient s’asseoir quelle question ?!
Une fois assise, elle regarda Seth pendant une longue minute, sans comprendre. Puis il donna l’explication. « -oh ! » lança Abby en captant. « -oh… » en changeant d’intonation, comme si cela venait de lui ouvrir les yeux sur certaine chose. « -attends… t’étais déjà amoureux de moi ? » puis elle fronça les sourcils en essayant de se souvenir ce qu’il avait dit pour cette femme. « -t’as raison en fait… je comprends jamais les sous-entendu… » un sourire, puis un léger rire. « -je comprends aussi pourquoi tu étais si bien renseigné ! » oui, ceci expliquait cela. « -attends… quoi ? » demanda Abby alors qu’il enchainait sur noël. « -et c’est moi qui pose cinq mille question la minute. Pas toi ! » elle balaya l’air : « -Noël on s’en fou. Enfin pour le moment. Parce que j’adore noël et que on va devoir en reparler. Mais ! » elle leva son index et se tourna un peu plus vers Seth. « -j’ai passé la première partie de ma petite balade à me dire que je pouvais te demander ça. Un truc du genre : si tu m’aimes tu arrêtes ! » elle fit un moulinet avec ses bras : « -ou bien c’est soit la CIA soit moi ! » un nouvel index en l’air : « -ou encore je t’aime, je veux pas te perdre, sans toi je… » une légère grimace. « -bref… toutes les options étaient nazes. Et j’en suis venue à la conclusion que je pouvais pas te demander ça. Parce que c’était un métier que tu avais choisi, et qui devait te tenir à cœur pour risquer ta vie pour lui. » elle avait donc décidé de se taire sur tout ça. Mais il abordait le sujet : « -je vais pas te dire que je ne suis pas soulagée de t’entendre dire ça. Seulement… seulement je veux que tu es ai bien réfléchit. Pas seulement en me mettant moi dans la balance… Mais aussi le reste de ta vie. » elle se traita de folle ou d’idiote intérieurement. Alors elle ajouta rapidement : « -mais si t’as décision est prise, alors ça me va ! hein ! »
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Ven 25 Aoû - 15:48
Seth Hobbes
J'ai 38 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis agent de la CIA et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien .
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La présence d’Abigail dans son dos était rassurante, elle signifiait tant pour lui alors qu’il souffla un « Je sais ». Et pourtant, elle était revenue jusqu’à lui, alors qu’elle aurait pu faire un choix bien différent… Une option qu’il avait craint durant cette heure au cours de laquelle la jeune femme s’était absentée. Il ne voulait pas envisager sa vie sans elle à ses côtés. Il savoura donc sa présence dans son dos avant qu’il ne se retourne et lui adresse un doux sourire. Abby comprenait. Seth l’attira alors à lui pour la serrer dans ses bras, parce que c’était tout de ce dont il avait besoin en cet instant. De son corps contre le sien, de sa chaleur, de sa douceur. Il prit aussi le temps de la rassurer, se considérant comme seul responsable de sa tentative de meurtre. Parce que c’était bel et bien ce que c’était. On avait intenté à sa vie. Il resta silencieux à ses mots. Ça va aller. Aujourd’hui, il n’était plus certain de rien. Cela faisait deux fois qu’il frôlait la mort de plus en plus près. Qu’en serait-il la fois prochaine ? Parviendrait-il à revenir auprès de la femme blottie actuellement dans le creux de ses bras ? C’était aujourd’hui sa plus grande crainte. Pour cela, il allait devoir se montrer plus vigilant et croisa le regard de la jeune femme qui semblait tant croire en lui et en ses capacités « J’ai toutes les raisons de le faire ». Elle était cette raison. Seth émit un petit rire alors qu’Abigail était prête à monter au front pour le protéger, et caressa sa joue en soufflant un « Je suis certain de les faire frémir de peur » alors qu’il la couva du regard avec tendresse. Son cœur se gonfla en entendant ces trois petits mots « Moi aussi ». Oui, il l’aimait. Il n’éprouvait aucun doute là-dessus. Et pour ne pas la faire souffrir, Seth allait devoir faire preuve de vigilance afin de lui revenir et déposa ses lèvres sur les siennes pour seule réponse. Il s’en fit la promesse. Mais en attendant, le trentenaire avait encore besoin de repos pour se rétablir. Ils rejoignirent donc la banquette dans laquelle il s’enfonça confortablement.
Maintenant qu’il lui avait confié être un agent du Gouvernement, il put justifier de son imagination concernant le roman pour lequel il l’avait aidé. Un regard amusé à son attention en entendant ses onomatopées, avant qu’elle ne l’interroge sur ses sentiments « Je commençais. Pas toi ? » et émit un petit rire « Je sais ». Un regard pour cette dernière « Tu sais tout maintenant » et ajouta « Enfin presque ». Il y avait encore quelques ajustements à faire parce qu’il n’avait eu d’autres choix que de mentir ou de déformer la vérité à certains moments pour la protéger, et lui aussi. Seth se mit ensuite à faire une succession de questions à laquelle Abigail mit rapidement fin en lui rappelant que c’était son talent à elle, et non à lui. Un nouveau petit rire à cette remarque et la laissa choisir à quoi elle devait répondre en premier. Peu à peu, Seth se redressa dans la banquette, posant sa main sur la cuisse de la jeune femme, lui prêtant une oreille sur le conflit intérieur qui l’avait accablé durant sa petite promenade dans New York. Elle avait souhaité qu’il quitte la CIA. Un choix entre elle et sa carrière. Il ne la quittait pas du regard, la couvant même avec tendresse alors qu’elle parlait encore et encore. Un sourire étira les lèvres de l’agent qui se pencha pour l’embrasser et se recula légèrement « Tu parles pour deux » et l’embrassa une dernière fois avant de passer son bras autour de ses épaules et posa son regard sur elle « Toi. Je te choisis toi » et ajouta « Ma couverture est réelle. J’enseigne bel et bien à l’Université de New York et je dois dire que j’aime réellement ce que je fais. Je termine donc cette mission » en espérant qu’il s’en sortirait indemne « Et j’arrête d’être un espion. Tu n’auras plus à avoir peur pour moi et je n’aurais plus autant de travail ». Cela leur permettrait même de trouver un certain équilibre au quotidien « Soulagée ? ».
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Charly
Ven 25 Aoû - 17:41
Abby Davis
J'ai 35xx ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis dépanneuse informatique et je m'en sors plutôt moyen. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien (enfin mieux que ma mère en tout cas) . crédit: Samounette
Avec tendresse, elle avait plissé les yeux comme si elle se voulait menaçante et avait ajouté : « -est ce que tu moques de moi ? » avant de rire. « -t’es raison… je serais pas des plus utile. Même si j’ai le profil insoupçonnable ! La petite blonde innocente ! » si jamais un jour elle se retrouvait à devoir faire face à un moment de crise, Abby savait qu’elle serait incapable d’agir. Parce que ce n’était pas dans sa nature. Elle déclara l’aimer. C’était la stricte vérité. Elle avait besoin de lui dire. Besoin qu’il l’entende encore. Qu’il n’en doute pas. Même après ce qu’il lui avait avoué. Rien n’avait changé. Elle devait seulement s’adapter aux nouveaux paramètres.
« -si… si… mais je pense que j’en ai pas consciente. » une légère grimace. « -après tout ce jour là, je t’ai sauté au cou, sous la pluie, après mettre embrouillée comme jamais avec ma famille. Et si mes souvenir son bon, je t’ai embrasser comme j’ai jamais embrassé aucun autre homme. » elle le regarda. « -donc oui. Mais je me voilais la face ! » voilà ! Elle lui lança un regard noir, penchant légèrement la tête. « -ça veut dire quoi ça… j’ai mis une heure à me calmer, alors doucement tu veux… » ouais, s’il avait encore une annonce de fou, ça serait sympa qu’il mette les formes, ou attende encore un peu.
Il lui annonça avoir réfléchit et vouloir quitter la CIA. Abby fit du Abby et se mit à parler encore et encore, expliquant ce qui s’était passé dans sa tête. Les idées débiles comme celle plus censée de la fin de promenade. Elle ne pouvait pas lui demander ça. Mais si sa décision était déjà prise… c’était différent. Il la fit taire à sa façon. « -comme toujours. » répliqua Abby. Avant de lui rendre son baiser et de lui adresser un sourire. Elle passa ses jambes au-dessus des genoux de Seth, tournée vers lui. « -whou ! » cria Abby en levant les deux bras. « -prends ça dans tes dents la C… » puis à voix basse : « -la CIA… » elle écouta la suite en le couvant du regard. « -tu me vends du rêve… plus de danger ET plus de temps libre ! » elle posa sa tête contre le bras de Seth : « -oui… » mais, il y avait un mais… « -mais ça veut dire quand, la fin de la mission ? Dans trois jours ? Deux mois ? Un an ? » elle écouta la réponse avant de sourire avec douceur. « -c’est marrant… c’est pas si glamour que ça d’apprendre que l’homme que tu aimes, est un espion du gouvernement… » elle caressa la joue de Seth : « -c’est plus flippant qu’autre chose. » un léger silence. « -mais du coup ça fonctionne comment ? Tes… supérieurs… savent pour nous ? Qui je suis et ce que je fais ? » puis un truc la frappa : « -attends… tu t’es renseigné sur moi quand je suis arrivée ici ? » le ton était suspicieux et plein d’humour à la fois.