J'ai 23 ans et je vis à Séoul, Corée. Dans la vie, je suis étudiant en graphisme ainsi qu'un employé de la compagnie de mon "oncle" et je m'en sors parfaitement. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et c'est bien mieux ainsi. → Né Liam Smith, de sa mère Dong-Chul Yerin (coréen) et de son père Lucas Smith. → Adopté par son oncle Dong-Chul Kim, qui le fait passé pour son enfant car pour lui les étrangers sont à dégagés → A une mémoire absolue → Sait très bien dessiner car ses parents lui ont appris. → Travaille avec son oncle en même temps d'étudier → Déteste tout le monde, de base → N'a eu le droit à aucun souvenir matériel de ses parents, bien que ses parents lui a tout léguer. Son oncle a laissé tous leurs biens dans un box.
fc = Do kyung-soo
Il la regarde, un œil relevé. Si quelque pouvait répondre aux questions sur la classe ouvrière, comme dirait son oncle, c’était la jeune femme. Elle semblait ne pas être riche, et elle le dit en plus de ça. Il la regarde et s’enfonce dans son siège. Il ne peut pas caresser la gravure faite par sa mère. Cela le détend. Il est détendu proche de sa mère. Ainsi proche, sans personne qui ne le remarque réellement, son cœur est apaisé. Mais il ne pouvait pas … Il y avait cette fille insupportable et ce devoir qui allait lui prendre bien trop de temps à mettre en place. Il pourrait le faire en une heure, s’il avait tous les droits. Il pourrait le faire en une demi-heure, s’il pouvait faire ce qu’il voulait. Mais non. Et ça l’agace un peu. Il fait alors simplement un hochement de tête. OK. Il la croit pour la classe ouvrière … mais. - C’est parce que tu es passionnée de peinture, que cette édition limitée t’intéresse. C’est comme moi pour …, il se coupe avant de dévoiler quelque chose sur lui qu’il ne voulait partager, donc ça ne serait que pour des personnes qui s’en intéresse. Il faudra trouver le juste milieu. Je pourrais faire une étude de marcher, avec des statistiques.
Il aimait les mathématiques. Il l’avait dit. Pour lui, ici c’était de l’amusement. Rien de plus que de l’amusement. Il ne faisait que penser à des mathématiques, alors fait une étude de marcher serait assez rapide. Il pourrait le faire sans que cela ne lui prenne trop de temps. D’ailleurs, c’était ce qu’il avait failli dire. Il aimait les calculatrices. Et il achetait souvent des calculatrices de plus en plus performante. Parfois pour des prix exorbitant. Mais c’était parce qu’il le savait, qu’il suivait les informations, et qu’il cherchait à le savoir. Des cartes de tarots ? Il dirait qu’il s’en fou copieusement. Il écoute la suite, prends toutes les informations qu’elle lui propose. La boîte doit être en plus, donc. Cela lui allait très bien. Il fallait que les cartes ne soient pas oubliées… Cependant, il aimait bien l’idée d’avoir en réalité deux produits en un. La boîte et les cartes. Mais, il devait avouer que l’idée de départ était plus simple. S’ils commençaient à partir dans tous les sens, ça allait être compliqué.
Il se penche vers elle, il regarde le carnet et les esquisses qu’elle était en train de faire. Il voit le genre. Il faudrait aussi pouvoir le colorier la boîte avec de la peinture. Il aimait bien faire ça aussi, peindre sur du bois. Il fallait donc quelque chose qui colle avec …. Il fit un nouveau dessin, arrachant la page pour mettre le dessin dans sa poche. S’il laisse ses dessins dans son carnet, parce que c’était SON carnet et SES dessins, il jetait toujours les esquisses qui n’étaient pas validés. Il le mit dans sa poche pour le mettre au feu plus tard. Il reste un moment dans le silence avant de lui montrer une nouvelle boîte à la jeune femme, plus sombre, il avait rajouté 4 faces rectangulaires qui suivaient le design environ de la jeune femme. Il avait réussi à copier son style en quelques regards sur sa feuille et créer des arabesques en 3D sur le devant, en laissant toujours l’horloge stellaire sur le haut.
- Cela serait mieux comme ça ? D’ailleurs, je pense à le faire en bois, cela permettrait d’avoir la main d’un artisan du bois.
Clairement quelque chose qu’il pouvait faire aussi. Travailler le bois. Son père lui avait appris pour s’amuser. Rien de joli… mais il avait envie de faire des choses qui le rapproche. Il voulait être proche de ses parents… Il voulait tellement être comme eux, mais il devait être comme son oncle. Il n’en avait pas le droit.
Univers fétiche : City, fantasy, licence (Mass Effect, Dragon Age, Detroit Become Human, A plague tale, Cyberpunk 2077, FF7), fantastique, SF
Préférence de jeu : Femme
Ananas
Mar 3 Oct - 20:20
Jordan Jane Reis
J'ai 23 ans et je vis à actuellement à Séoul, Corée du Sud. Dans la vie, je suis étudiante en graphisme et je m'en sors vraiment très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis pas toujours bien. * On la surnomme JJ la plupart du temps à cause de ses deux prénoms Jordan Jane * Sa vie n’a pas été facile à cause de ses parents, drogués et toujours plongés dans des affaires louches. Mr et Mrs Reis ne s’occupaient pas trop de leurs enfants * Elle a 10 ans quand elle est retirée à la garde de ses parents (elle n’aura d’ailleurs plus de contact avec eux) et confiée avec son frère aîné à leur grand-mère. Quand cette dernière décède, ils sont confiés à une tante. Que ce soit avec sa mamie ou sa tante, Jordan à enfin la possibilité de vivre et non de survivre comme lorsqu’elle vivait encore chez ses parents. * Jordan se découvre une passion pour le patin à glace, les fleurs, la Corée du sud (ou elle va apprendre la langue en autodidacte), l’ésotérisme, mais aussi le graphisme * Après le lycée elle rejoint une école de graphisme très réputée grâce à une bourse et l’aide financière de sa tante, école dans laquelle elle excelle. Elle va même avoir la chance de partir en Corée du Sud pour un an pour un échange entre les meilleurs étudiants de sa promo, puisque son école existe aussi dans le pays du matin calme. Une opportunité en or pour elle * Jordan est une jeune femme déterminée, débrouillarde, joviale, sociable, mais aussi boudeuse, solitaire, malpoli, bruyante
Young avait beau l’air d’écouter ce qu’elle dit, bien qu’elle n’en soit pas vraiment sûr, le jeune homme étant aussi expressif qu’un mur de prison. Jordan a tout de même l’impression persistante qu’il aimerait mille fois être ailleurs, est-ce que c’est elle le problème, ou juste que le jeune homme n’aime pas les gens en général ? Difficile à dire, encore une fois il n’y a pas beaucoup de sentiment qui transparaît sur le visage ou dans les yeux du brun. Bon, elle va devoir faire avec de toute façon, pas trop le choix et puis, ce travail à deux ne va pas durer éternellement, bientôt ils pourront reprendre tranquillement le cours de leur vie et s’ignorer à nouveau. Sauf si le prof décide de les mettre à nouveau ensemble. En tout cas, Dong-chul cause un minimum et rebondit un peu sur ses propos. D’ailleurs, il semble vouloir se confier sur quelque chose avant de se raviser et de poursuivre comme si de rien n’était. La brunette pourrait creuser davantage, mais elle n’en fait rien, car elle sait très bien qu’au vu du caractère de Young, elle n’obtiendra pas de réponse.
— Une étude de marché ? Hum ça va nous faire creuser plus loin que ce qui est demandé, mais si tu penses que ça peut nous aider à faire un choix cohérent pourquoi pas.
En tout cas, les choses avancent plus vite qu’elle ne le pensait, quand JJ jette un coup d'œil aux autres groupes, ils semblent être encore en train de chercher des idées pour leur marque. C’est sûr qu’ils ont déjà une belle longueur d’avance en ayant déjà réalisé quelques esquisses en ayant également une bonne idée du produit qu’ils veulent vendre. D’ailleurs maintenant qu’elle y pense.
— Il nous faudra réfléchir à un nom pour votre marque, même si elle est éphémère c’est un point essentiel à ne pas négliger.
Ils ont ensuite un bref échange sur le design de la boîte, enfin, échange est un grand mot, c’est plus elle qui cause qu’autre chose, mais le brun semble avoir saisi ou elle veut en venir. Jordan reprend alors ses esquisses et voit du coin de l'œil Young se pencher vers elle pour regarder ce qu’elle fait, très certainement pour s’inspirer et que leur projet soit cohérent autant pour le jeu de cartes que pour la boite. Le bruit du papier qui se déchire attire forcément le regard de JJ, qui tourne donc la tête et voit Young glisser son premier dessin dans sa poche. Drôle de type vraiment. Mais elle ne dit rien, reprenant ce qu’elle était en train de faire jusqu’à ce que Dong-chul lui montre une nouvelle esquisse la boîte qu’il a imaginée et qui reste dans le même style que les cartes imaginées par Jordan.
— Oui c’est parfait, beaucoup plus sobre tout en restant esthétique et à l’image du design des cartes. C’est une bonne idée de faire la boite en bois, mais on est juste censé imaginer une marque et produire des illustrations, pas faire prendre vie à nos produits.
Ça risque de leur coûter cher s’ils doivent passer par des sous-traitants, un artisan pour la boite et un imprimeur pour les cartes, Jordan n’a pas les moyens pour ça contrairement à Young. C’est alors que la cloche annonçant la fin des cours se met à retentir.
— Tu as un numéro ou une adresse mail ou te joindre, se serait bien de pouvoir bosser en dehors des cours histoire d’avancer.
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Crédits : Moi
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Lun 9 Oct - 23:30
Dong-chul Young
J'ai 23 ans et je vis à Séoul, Corée. Dans la vie, je suis étudiant en graphisme ainsi qu'un employé de la compagnie de mon "oncle" et je m'en sors parfaitement. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et c'est bien mieux ainsi. → Né Liam Smith, de sa mère Dong-Chul Yerin (coréen) et de son père Lucas Smith. → Adopté par son oncle Dong-Chul Kim, qui le fait passé pour son enfant car pour lui les étrangers sont à dégagés → A une mémoire absolue → Sait très bien dessiner car ses parents lui ont appris. → Travaille avec son oncle en même temps d'étudier → Déteste tout le monde, de base → N'a eu le droit à aucun souvenir matériel de ses parents, bien que ses parents lui a tout léguer. Son oncle a laissé tous leurs biens dans un box.
fc = Do kyung-soo
- Les études de marché sont des outils statistiques, répondit-il penché sur son dessin et ne la regardant pas, elles permettent de mettre en avant l’offre et la demande, ainsi que des pronostics pour différentes questions que nous pourrions nous poser sur le projet. Si on sort une robe pour Noël, par exemple, on doit pouvoir prévoir la demande pour une robe légère avec une météo plus fraiche.
Pour lui, il ne s’imaginait pas faire quoi que ce soit sans étude de marché. D’ailleurs, il le faisait souvent pour le plaisir. Parce que ce sont des maths. Il en revenait toujours au math. Et tout ce qu’il faisait, de lui-même puisque son partenariat avec la jeune femme n’était pas prévu, il le faisait en utilisant les probabilités. Comment de chance pour qu’on reconnaisse les traits de son père sur son visage ? Peu. Il ressemblait à sa mère. Combien de risque qu’on reconnaisse sa mère sur son visage ? Plus. Mais il fallait prendre en compte le temps entre les deux apparitions, le fait qu’il soit un homme et en plus qu’il ne sourit pas. Il avait noté à 21% de risques qu’on se pose la question. Et quand il avait rencontré son professeur, cela avait augmenté. Mais pas plus que 23% ce qui restait encore raisonnable. Pour le nom de la marque, il releva les yeux vers elle. Il avait envie de dire « Yerim ». Il ne savait même pas pourquoi il avait envie de dire le prénom de sa mère. Mais selon les signes utilisés, ce nom pouvait signifier « la clarté de la forêt ». Il n’était pas doué avec les mots. Il n’aimait pas les mots. Les phrases étaient si compliqués. Et en manipulant les mots, on pouvait dire à une autre personne ce qu’elle désirait entendre.
- Ephémère, proposa-t-il.
Clairement le nom qu’il aurait prit, lui, s’il aurait dû faire le travail tout seul. C’était direct, compréhensible, net, précis. Le mot était le plus proche de la sensation des mathématiques. Pas besoin de « Papillon d’un jour et mourant au soleil ». Ephémère. Comme ce travail qui disparaîtra ensuite. Il se désole simplement qu’il ne puisse pas l’oublier. Malgré toute sa bonne volonté, cette stupide femme allait rester dans ses souvenirs, sans qu’il puisse la pousser ailleurs. Il la regarde encore, cligne des yeux.
- Je n’aime pas travailler pour rien, expliqua-t-il.
Alors même si ça sera en un seul exemplaire, ses cartes existeront. Et il sait qu’il s’en tape copieusement d’en garder une trace. Lui, il mettrait tout au feu avec ses dessins. Mais la jeune femme avait dessiné, et elle semblait aimer ce qu’elle faisait. Cela serait stupide de ne pas aller jusqu’au bout. D’ailleurs, il ne voit pas pourquoi ils n’iraient pas jusqu’au bout. Jusqu’à les faire pour les vendre sur le campus. Il la regarde quand elle se lève à la cloche. Comme toujours il sera le dernier à partir de SA chaise, pour rejoindre SON banc.
- Dis moi juste ton numéro, je t’enverrais un message, fit-il mais sans prendre son téléphone, ranger dans son sac, pour autant.
Il allait simplement retenir. D’ailleurs… Il n’y avait aucun numéro enregistré sur son téléphone. Pas un. Il se souvenait des numéros, et ne répondait que quand il voulait. L’idée de voir la jeune femme « ailleurs » et « hors des cours » ça le dérange beaucoup. Mais il n’a pas le choix. S’il veut réussir dans le temps imparti à faire ce qu’il doit pour la marque, alors il allait devoir la revoir plus souvent … Mhhhh … Il hésite bien entre ne faire quelque chose pour « rien » ou la revoir. Cela le saoule déjà.
HRP – Après lui avoir donné son numéro, il lui enverra certainement un message avec son numéro, sans rien juste le numéro. Et si elle lui donne un autre rendez-vous, il laissera des vues mais sera au rendez-vous en avance.