“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Sam 26 Fév - 22:04
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Voilà ce qu’il aimait, notamment, chez Madison : Cette capacité à tout prendre avec légèreté, sans jamais s’offusquer de ses mots, et cela ne l’encourageait qu’à renchérir « Ça sera notre petit secret », avant de lui mentir ouvertement sur ce qui occupait réellement ses pensées. Tout simplement parce qu’elle aurait sûrement pris la vérité avec moins de légèreté qu’elle prenait sa réponse en cet instant. Il ne souhaitait pas l’effrayer pour rien. Ce n’était que des interrogations après tout. Ça ne signifiait rien. « Tu serais triste si je changeais réellement » répondit-il en souriant avec espièglerie et reprit « Je constate que, finalement, j’aime ça » avant d’ajouter « Les vacances. Pour le sexe, je le savais depuis longtemps » et d’autant plus lorsque c’était avec elle. Mais ça, elle le savait déjà. Son regard s’attarda un peu plus sur la belle brune, et souffla un « Je comptais y venir ». Parce qu’un simple massage des pieds, ça ne pouvait pas exister entre eux. Il aurait fini par délaisser ces derniers pour remonter le long de ses jambes, et s’attarder sur une autre partie, bien plus à son goût, de son anatomie. Même si la fois prochaine, c’était à lui d’être à la merci de Madison, et se mit à rire légèrement « Léger détail sans importance ?! Tu me dis que tu vas te faire pardonner, alors tout de suite, je pense au sexe, et à partir de là, c’est gravé dans le marbre. Je ne pense plus qu’à ça depuis ce matin » mentit-il avec son petit sourire insolent qui laissait apparaître ses fossettes.
Demain, ils seraient sûrement moins enthousiasme, parce qu’apparemment, ils allaient avoir le droit à une espèce de séance de psychothérapie à la chamane. Ça promettait… Il posa son regard sur Madison et hocha lentement de la tête « Donc il n’y a plus vraiment grand-chose à dire ». Á moins que la petite séance exhorte d’autres choses dont aucun d’eux n’avait conscience et qui pourrait chambouler davantage leur relation. Après tout, il commençait avoir l’esprit en vrac alors que ce n’était que leur première journée ici. Il préféra ne pas penser davantage à demain, ou encore aux mots de Maya, et se concentra plutôt sur le couple dont Madison lui compta l’histoire et se mit à rire « Pardon » et ajouta « S’il est capable de la tromper, alors autant la quitter » rétorqua-t-il avec plus d’élégance et se mit à jouer au jeu, avant de froncer les sourcils « Pourquoi ça ? » en se sentant plus visé que ce couple au loin par les mots de la belle brune. Maya et ses phrases énigmatiques brisa quelque peu l’ambiance, mais n’empêcha pas Elijah de reprendre un cocktail, même s’il était drogué, répondant un « Je ne sais pas » à la belle brune, avant de dire, qu’après tout, ils n’avaient qu’une vie. Un sourire en voyant qu’elle était d’accord, et prit ce nouveau cocktail, puis un troisième.
Évidemment, même l’alcool ne parvint pas à faire taire les nouvelles interrogations que le discours de leur hôte souleva dans l’esprit d’Elijah, mais il tenta de ne pas y prêter attention. Il se concentra uniquement sur Madison, et uniquement elle. Comme il le lui avait dit dans le jacuzzi, il n’avait d’yeux que pour elle, et ça semblait réciproque ce soir. Le comportement de son amante avait changé au fur et à mesure de la soirée. Elle s’était montrée plus tactile avec lui, plus proche. Un comportement qu’il ne lui connaissait pas, et il avait apprécié cela. Cela l’avait même surpris d’aimer cela. D’aimer la sentir plus proche de lui, plus encline à la proximité. Tout était devenu soudainement différent, comme sa manière de lui faire l’amour sur le tipi, en prenant les devants avec sensualité, le laissant à sa merci, en le chevauchant comme elle l’avait fait. Elijah s’était délecté de chaque instant, de chaque seconde, et cela, jusqu’à la jouissance, puis il était tombé dans les bras de Morphée à la suite.
Ce ne fut qu’au milieu de la nuit que le quadragénaire ouvrit les yeux, réveillé par le petit vent frais qui se glissait jusqu’à leurs corps nus. Il s’était donc détaché lentement de la belle brune pour récupérer la couverture de leur lit et avait recouvert leurs corps, avant de se blottir tout contre elle, la tenant au chaud dans le creux de ses bras, son visage niché dans son cou. De nouveau, ces interrogations le submergèrent et ferma les yeux avec force, resserra son étreinte, et laissa Morphée l’emporter une nouvelle fois jusqu’au lever du jour, se réveillant, cette fois-ci, par le bruit des bavardages des couples passant devant leurs tipis pour se rendre, sûrement, au buffet du petit-déjeuner. Le journaliste soupira avant de regarder l’heure, puis embrassa le cou de la belle brune dans ses bras « Hey... Tu es réveillée ? ».
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Charly
Dim 27 Fév - 9:20
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Lorsqu’il avoua aimé les vacances elle lui souffla comme pour jeter un sort : « -Bora Bora... » oui la prochaine fois elle espérait nettement qu’ils seraient sur une plage de sable fin. Et surtout pas besoin de tout ces trucs de chaman perché et étrange. « -vacances et sexe : méga vacances ! » ajouta Madison avec enthousiasme avant que la conversation ne dérive et elle le rassura en venant se coller contre lui : « -je me ferais pardonnée... » détachant chacun de ses mots comme pour bien insisté sur le fait que ça allait arriver. Et elle s’autorisa un rapide baiser du bout des lèvres. Chose qu’elle ne faisait jamais ou qu’il ne faisait jamais lorsqu’ils étaient en dehors de la chambre.
Ils s’employèrent à passer une bonne soirée, buvant sans doute plus que de raison. Surtout qu’ils étaient aussi là pour le travail techniquement. Mais au bout de trois verres, elle avait lâché prise sur tout, et avait laissé l’ambiance de la soirée faire le reste. Elle ne s’était pas poser de questions une seule fois. Et ça avait été très agréable. Seulement apprécier le moment présent, ce temps passé avec Eli sans avoir à se cacher ou faire semblant. Ils avaient ris, ils avaient dansé, ils avaient bu et ils avaient finit par rejoindre leur tipi en se tenant par la main, riant encore, avant que Madison ne l’embrasse, collant son corps à celui d’Eli, entourant son visage de ses mains.
Durant la nuit, alors qu’elle dormait et qu’il prenait soin de les couvrir, elle avait soupiré de bien être. Elle avait prit la main d’Elijah et s’était blottit un peu plus encore dans ses bras. Au matin, elle ronronna lorsqu’il lui parla, la sortant de son sommeil. « -pas tout à fait... » souffla t elle d’une voix pleine de sommeil. Elle recula quelques peu ses fesses, adorant cette sensation de se savoir désirée des le matin. Elle se fit plus sensuelle, l’invitant sans le moindre mot à venir se glisser entre ses cuisses. Elle aima la douceur de l’étreinte, le plaisir qu’il lui donna autant par ses baisers que par ses mouvements de hanches. Maddy gémit en parvenant à l’orgasme, puis elle se retourna enfin vers Elijah, lui souriant, entourant son visage de ses mains, elle l’embrassa avec souffla un tendre : « -salut... » avant de l’embrasser à nouveau comme si c’était plus fort qu’elle. « -tu as bien dormi ? » finit elle par lui demandé en caressant sa joue avant faire mine de s’étirer. Qu’est ce qui lui prenait ?! Un regard neuf avait dit Maya ? Elle tenta de fouiller sa mémoire, de se souvenir ce qu’ils s’étaient dit durant la soirée. Est ce que… est ce que c’était un véritable souvenir ou un effet de l’alcool ou un truc qu’elle avait rêvé ?! Elle se voyant courant avec lui, se tenant par la main, il l’avait retenu pour l’embrassé et elle lui avait soufflé en riant : « -je crois que je suis déjà amoureuse... » bon elle se voyait se mettre à rire après quelques secondes à bloquer sur l'info. Elle avait rit aussi. Et après tout il était toujours là, avec elle dans ce lit. Ils venaient de coucher ensemble... c'était peut être seulement un rêve?
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Dim 27 Fév - 11:32
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah se mit à rire doucement, en baissant la tête, et la remuant de droite à gauche, avant de relever ses prunelles claires sur elle « Promis, la fois prochaine, je t’emmène à Bora Bora » vu qu’apparemment, c’était l’endroit rêvé pour des vacances en tête-à-tête. Et il se surpris lui-même à souhaiter partir en vacances à nouveau avec la belle brune, rien que tous les deux, sans avoir besoin de se cacher à la vue de tous. Un nouveau rire résonna et acquiesça « Vacances paradisiaques » avant de la laisser se blottir tout contre lui et acquiesça « Bien » et lui rendit son bref baiser qui le surpris plus qu’autre chose. Jamais elle n’avait fait cela auparavant… Il resta interdit un bref instant, avant de reprendre le fil de leur conversation, puis de leur soirée. Une soirée plus ou moins étrange, mais dont il avait savouré chaque seconde. Une soirée où Madison ne s’était pas laissé guider par ses craintes ou le jugement des autres. Elle s’était seulement laissé guider par l’instant présent, pour le plus grand plaisir d’Elijah qui avait décidé d’en faire de même. Il avait fait taire les questions sans réponse qui résonnaient dans son esprit, et avait juste profiter de l’instant. Il avait dansé avec elle, avait bu aussi, l’avait embrassé, avait posé ses mains sur son corps, aux yeux de tous, comme si tout cela était naturel.
Peut-être parce que c’était en train de le devenir, comme lorsqu’elle vint chercher sa main pour se blottir davantage contre lui, alors qu’elle était encore endormie, ou cette dernière de réagir à ses mots de bons matins qui tira un sourire tendre au journaliste. Un sourire qui changea et accompagna cette lueur d’envie qui habita ses prunelles claires de bon matin, lorsqu’elle recula ses fesses contre sa virilité durcie. Le journaliste ne se fit pas prier, et la fit sienne avec douceur, mais ça n’en fut pas moins bon pour autant, bien au contraire et atteignirent l’orgasme tour à tour qu’il tenta de faire taire contre la peau de la belle brune qui se retourna ensuite vers lui. Le quadragénaire lui rendit son baiser, se mit à sourire avec tendresse, et lui rendit son « Salut », puis lui rendit son second baiser tout en acquiesçant « Oui et toi ? » alors qu’il caressait sa peau sous la couverture d’une main, et qu’il replia son autre bras sous sa tête. Il observa chaque trait du visage de Madison, la trouvant belle au petit matin, alors que cette dernière caressait son visage avant de s’étirer sous le regard du journaliste qui se pencha pour l’embrasser de nouveau de nouveau « On va prendre une douche ? » et se leva, puis tendit les mains à Madison, qu’il ne lâcha pas jusqu’à sous la douche où ils réitérèrent leurs ébats.
Elijah sortit de la salle de bain en premier, enfilant un short en jean, un t-shirt léger et une paire de basket, puis ramassa la couverture au sol non sans un sourire au souvenir de cette nuit, de cette manière qu’elle lui avait fait l’amour, puis la déposa sur le lit sur lequel il prit place en sentant les souvenirs de la soirée lui revenir à l’esprit. Il repensa à cette course, main dans la main, jusqu’au tipi. Puis se souvint de l’avoir retenu pour l’embrasser, et il y avait eu ces mots aussi… Elijah releva son regard sur la porte de la salle de bain qui venait de s’ouvrir sur Madison et lui sourit. Elle était amoureuse de lui… Ou tout du moins, elle le croyait… La dernière fois que ça s’était produit, Elijah avait mis fin à sa relation avec ladite femme. Il avait fui tout simplement. Parce qu’il était incapable d’aimer, d’être le genre d’homme avec qui il était possible de créer quoi que ce soit. Continuant de fixer Madison, il se demanda s’il avait envie de fuir, de s’éloigner d’elle, et se leva du rebord du lit, s’approcha d’elle et l’embrassa avec tendresse, glissant sa main sur sa joue, puis se recula avec lenteur « J’avais envie » et lui sourit, glissant sa main dans celle de la belle brune « On va prendre le petit-déj’ ? », puis baissa son regard sur leur main et relâcha celle de la jeune femme, souriant, en rétorquant un « Désolé… », en sachant qu’elle n’était pas une adepte des gestes comme celui-ci, puis donna un coup de tête en direction de la sortie du tipi « On y va ? ». Il n’avait pas envie de fuir cette fois-ci, et c’était peut-être une erreur. Mais il n’avait pas envie d’y penser pour le moment.
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Dim 27 Fév - 12:46
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Maddy ne savait pas dire si elle voyait leur relation d’un œil différent ou neuf, comme l’avait dit la maîtresse des lieux, mais ce qui était certain, c’était que cette nuit avait changé quelque chose entre eux. Rien que leur façon de faire l’amour, cette douceur, cette tendresse, cette façon de savourer ses baiser et ses caresses, de souhaiter que jamais ça ne s’arrête. Ça n’était pas une partie de jambes en l’air, pas un coup vite fait, pas un désire à assouvir dans l’urgence. Non, c’était totalement différent… Et alors qu’elle venait de lui répondre qu’elle avait également bien dormi, Madison réalisa qu’elle aimait ça… Cette proximité, cette douceur… Sauf que… sauf que techniquement ça n’était pas ce qu’ils avaient prévu entre eux. Ce qu’ils avaient convenu. Les souvenirs firent surface et elle fut incapable de savoir si c’était un rêve ou bien si elle lui avait réellement dit ces mots. Mais il se colla à elle, et l’embrassa avec envie. Alors elle lui rendit son baiser, voulant savourer encore ce moment. Avant de revenir à la réalité, avant d’ouvrir la porte du tipi et de se faire rattraper par les doutes et les questions flippantes. Elle se mordit les lèvres en le détaillant des yeux, avant de prendre la main qu’il lui tendait pour l’accompagner.
Un regard, un sourire en le regardant quitter la salle de bain. Puis son regard changea. Etrangement elle fut presque projetée cinq ans plus tôt. Lorsqu’il l’avait quitté dans une salle de bain, emportant avec lui ce qui allait faire vriller sa vie. Elle se regarda quelques secondes dans le miroir après avoir chassée la buée d’une main. Elle cligna des paupières pour chasser tout ça, avant de sortir de là en tressant ses cheveux. Un sourire avant d’enfiler ses chaussures silencieusement. Elle était prête. Un nouveau sourire en le voyant s’approcher, s’apprêtant à lui dire qu’elle le trouvait canon en mode détente. Mais elle lui rendit son baiser, fermant les yeux pour savourer le goût de ses lèvres, posant sa main sur la sienne comme pour le retenir. Elle sourit quand il se justifia et haussa les épaules avant de répondre sur un ton espiègle : « -j’aime bien ce genre d’envie... » sa main dans celle d’Elijah elle lança un : « -je meurs de faim, j’ai pas mangé grand-chose hier soir... » puis elle posa un regard interrogateur sur Elijah, passant de lui à leur main, réalisant qu’elle n’avait pas été gêné le moins du monde par ce geste. Elle joignit ses mains parce que du coup, elle ne savait plus quoi en faire avant de hocher la tête et de le suivre pour le petit déj’.
Elle marcha avec lenteur aux côtés d’Elijah, appréciant le soleil. « -je suis pas convaincue que parler de la soirée dans mon article soit une bonne idée. Ça laissera un peu de surprise… et puis je… » elle fit une petite moue du bout des lèvres comme si elle fouillait dans sa mémoire : « -et je me souviens pas de tout. Ça fait un peu comme des flashs. La danse, les lumières des feux… ton corps… tes baisers… je ne sais pas si ça viens des cocktails, mais cette nuit et ce matin c’était... » est ce qu’elle faisait bien d’en parler ? « -vraiment bon... » oui voilà ça suffirait… non elle en rajouta une couche pour revenir à la norme, avec un petit coup d’épaule : « -bon d’accord vraiment super bon... » un sourire et ils arrivèrent au petit déjeuner. Elle salua les autres couples présent à la grande table et Madison se dirigea vers le buffet. Première chose : café ! Une grande tasse. Qu’elle porta à ses lèvres avant de regarder ce qu’il y avait à manger. « -oh lala y’a des pancakes... » souffla t elle à l’oreille d’Eli. Les fruits étaient taillés en fleurs, il y avait du jus de fruits frais, des viennoiseries, différentes sorte de confitures… Enfin un petit déjeuner de rêve ! Parfait pour son ventre à moitié vide.
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Dim 27 Fév - 13:12
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Assis sur le rebord du lit qu’ils avaient délaissé cette nuit pour le tapis au sol, les souvenirs de la soirée lui revinrent peu à peu en mémoire, dont cet instant particulier où elle lui avait confié tomber amoureuse de lui, ou du moins, c’était ce qu’elle soupçonnait. Il avait quitté Brittany pour éviter cela, et l’histoire se répétait avec Madison. Madison. Nulle autre que cette femme qui lui avait comprendre qu’elle craignait ce genre de sentiments, au point que ça en avait altéré leur relation quelques mois. Alors durant cet instant où il fut seul, il se demandait quelle attitude adopter : Devait-il fuir comme il l’avait fait avec la jolie blonde quelques mois auparavant ? Puis elle avait franchi la porte qui les séparait et se mit à sourire en sentant la réponse s’imposait d’elle-même. Il n’avait pas envie de fuir. Pas cette fois-ci. Il se leva alors du lit, s’approcha de la belle brune et l’embrassa, et en sentant la main de Madison sur la sienne, il comprit qu’il avait pris la bonne décision. Il se recula lentement et sourit « Parfait… » et glissa sa main dans celle de cette dernière avant de se rendre compte que la veille, elle avait retiré sa main de la sienne alors qu’ils n’avaient pas fait deux mètres. Il en avait donc conclu qu’elle n’aimait pas cela. Les gestes en public. Il retira donc sa main de la sienne tout en lui répondant comme si de rien n’était « Il doit y avoir de quoi te satisfaire » et jeta un bref regard aux mains de Madison, et se claqua mentalement d’avoir retiré sa main de la sienne…
Elijah glissa donc ses mains dans son short en jean, marchant lentement aux côtés de la belle brune, appréciant la chaleur du soleil et tourna la tête vers la jeune femme quand elle prit la parole « J’ai envie que ça reste juste un moment à nous » compléta-t-il face à sa phrase en suspens. Elijah n’avait pas envie que cette soirée, qui était synonyme de beaucoup de choses pour lui, soit publié dans le magazine. Il baissa son regard sur le sentier pendant le bref silence qui suivit, et releva à nouveau son regard sur elle lorsqu’elle reprit la parole. Elle ne se souvenait pas de toute la soirée… Il exprima un petit rire quand elle évoqua son corps et ses baisers, et la laissa poursuivre avant de froncer les sourcils sans se départir de son petit sourire en coin, et sourit davantage quand elle lui donna un coup d’épaule « Et différent… » précisa-t-il avant d’ajouter « C’est mon ressenti » en haussant les épaules, comme pour lui faire comprendre que ça ne tenait qu’à lui de penser cela.
Ils arrivèrent ensuite au buffet du petit-déjeuner et se mit à sourire stupidement en entendant les mots de Madison à son oreille, et vint caresser son dos tout en acquiesçant « Tu as de quoi rattraper ton jeûne d’hier » et retira sa main avec lenteur pour se prendre une assiette, et prit place à l’une des tables. Une bonne gorgée de café avant tout et resta silencieux un moment, puis se lança « Tu ne te souviens rien de plus de la soirée ? » demanda-t-il avec curiosité et une certaine appréhension, puis ajouta « Laisse tomber. Mange » en souriant alors qu’il désigna l’assiette de cette dernière du regard, et changea de sujet « Je ne connais pas le programme de ce matin, mais je me disais que l’on pourrait se promener aux alentours, qu’en penses-tu ? » et commença à petit-déjeuner, jetant quelques regards à Madison, en repensant aux mots qu’elle avait prononcé la veille au soir, mais n’évoqua pas le sujet. Se résignant. Elle lui en parlerait si elle le souhaitait. « Tout à l’heure, tu aurais voulu que je te tienne la main ? » demanda-t-il en fixant son café le début de sa phrase, puis en relevant son regard sur elle à la fin « J’ai pensé que tu n’aimais pas ça, parce qu’hier matin, quand je l’ai fait… Je ne sais pas. J’en ai déduit que tu n’aimais pas ça… ».
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Dim 27 Fév - 14:21
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Ok… bon elle était fixée. Rien n’était comme la veille. Un truc avait changé. Clairement. Dans leurs attitudes. Dans leurs façons de se regarder. Et… et bordel ça la faisait flipper ! Parce que… parce que ça pouvait vouloir dire que ces mots prononcés, n’étaient pas un rêve, et qu’Elijah s’en souvenait ? A nouveau elle se rassura : oui mais il était là ! Donc c’était un rêve. Oui conclusion rapide et erronée. Mais pour faire taire sa peur, elle était capable d’inventer pas mal de chose.
La transition dedans dehors lui fit du bien. Le soleil brillait, chauffait la peau, chassait les idées tordues. Cela lui permis de mettre une conversation en route, et d’éviter de penser à cette main qu’il avait retirer de la sienne. « -ah heu… je comptais pas donner de détails sur ce qui c’est passé de toute façon. Encore moins ton nom. » pourquoi est ce qu’elle parlait vite d’un coup ? Elle plissa les yeux et dit avec plus de sérieux : « -c’était étrange quand même hein... » puis pour le faire rire elle balança : « -enfin au moins on porte pas de pantalon en tissu qui font des gros culs, c’est déjà ça ! Et oui j’ai aussi du mal avec le nom des pantalons de hippies ! » elle ne voulait pas le perdre, elle ne voulait surtout pas perdre ce qu’ils avaient. Alors elle s’employa à être la plus naturelle possible. Puis elle avoua toute de même en lui souriant : « -oui bon d’accord c’était ce mot que je voulais dire mais j’avais peur que tu t’imagines que ça voulait dire moins bien ou autre chose de négatif. » ce qui n’était pas du tout le cas. Ce qu’elle s’empressa de préciser : « -ce qui n’était pas le cas. J’ai heu... » mais pourquoi est ce qu’elle avait ouvert à sa bouche à nouveau ! « -enfin t’as compris ! » ajouta Madison en riant, histoire conclure le truc rapidement.
Elle ajouta taquine à son oreille, d’une voix plus basse : « -tout à fait, le sexe c’est bien mais ça nourrit pas… » elle fit grimper deux doigts sur le torse d’Elijah et ajouta en détachant ses mots : « et… tu… m’as… épuisée... » sur un ton taquin, tout sourire. Elle se servit et rejoignti Elijah quelques minutes après, avec une assiette bien remplis. Jambe croisée avec élégance, elle ne se fit pas prier pour prendre rapidement une bouchée de ses pancakes et commenter la bouche pleine : « -divin ! » elle prit une gorgée de café et recula doucement dans sa chaise lorsqu’elle entendit la question d’Eli. Merde… et pourtant elle s’entendit répondre en riant : « -pourquoi ? On était trois cette nuit ? » humour ! Quand tu nous sauves ! Mais visiblement ça n’était vraiment pas ce qu’avait voulu dire Elijah lorsqu’il lui dit de laisser tomber. D’ordinaire elle creusait pour savoir mais là, jocker ! C’était pas plus mal comme ça. « -ouais, ça me va. Visiblement il y a tout un circuit de balade avec une cascade à voir… ça peut être sympa. » elle avala une nouvelle bouchée de ses pancakes, puis elle fronça les sourcils avant de regarder la main d’Elijah sur la table en souriant. « -tu te poses beaucoup de questions je trouve ce matin… non ? » d’ordinaire c’était son rôle à elle ça ! « -si tu m’avais tenu la main, c’était pas grave. Tu l’as lâché, c’est pas grave non plus. Depuis quand c’est moi qui suit obligé de te dire de te détendre et d’éviter de te poser cent mille questions ? » elle posa sa main sur la sienne, mêla ses doigts aux siens et ajouta : « -la vraie question est plutôt : est ce que toi tu avais envi de ça ? »
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Manhattan Redlish
Dim 27 Fév - 14:58
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Le soleil haut dans le ciel, la chaleur qui en émanait et venait caresser leurs peaux, le chant des oiseaux au loin, et les questions silencieuses d’Elijah qui le torturait de bon matin. Voilà comment commencer la journée pour le journaliste qui marchait lentement aux côtés de la belle brune, mains dans les poches et le regard rivé, de temps à autre, sur le sentier qu’ils arpentaient. Ne le relevant qu’au moment de lui répondre, comme en cet instant « Bien sûr… C’est un secret… Mais tu as raison, tu devrais leur laisser la surprise des cocktails » et des effets qu’ils pouvaient engendrer chez ceux qui se laissaient tenter par le breuvage coloré. Un petit hochement de tête pour confirmer les mots de Madison « Assez, oui » avant de rire doucement en repensant à leur conversation à leur arrivée dans ce coin reculé « Des sarouels » et ajouta « Je crois bien que le seul nom que tu n’as jamais oublié, c’est le mien ». En tout cas, dans ses souvenirs de cette nuit cinq ans auparavant, il ne lui semblait pas qu’elle avait oublié son prénom. D’un côté, comment oublier le visage et le nom de celui qui avait foutu votre vie en l’air en l’espace de quelques minutes ?! « Ce qui est compréhensible » tout en affichant une légère moue « Ce n’est pas tous les jours qu’un mec te fait jouir toute la nuit et recommence au petit matin » en échangeant un regard entendu, pour tenter d’apporter un peu de légèreté à cette ambiance lui semblait soudainement différente de d’habitude, et qui reprit rapidement ses droits lorsque Madison évoqua cette nuit ou encore ce matin. C’était différent… Il sourit en tournant la tête vers elle alors qu’elle lui confia que c’était ce mot-là qu’elle voulait employer. Il se mit à rire doucement en la voyant s’empêtrer dans ses justifications « C’était différent et très bon. L’un n’empêche pas l’autre » en souriant davantage et ajouta pour la rassurer « J’ai aimé ça » en lui donnant un petit coup d’épaule.
Elijah posa un regard qui en disait long en l’entendant évoquer le sexe de bon matin « Dommage, parce que c’est à volonté et bon pour la santé » et ajouta sans la quitter du regard « Moi ?! Et toi donc » en se penchant pour embrasser son cou, et se concentra sur le buffet avant de rejoindre leur table. Un petit rire quand Madison complimenta la qualité de son repas, puis reprit rapidement son sérieux en évoquant la soirée, et fronça les sourcils, réprimant un rire timide, presque nerveux « Non, non. On était que tous les deux », puis se résigna. Peut-être qu’elle ne s’en souvenait pas, ou qu’elle ne voulait pas s’en souvenir. Cette dernière pensée lui serra le cœur, à son grand étonnement. Il commença plutôt à manger avant de lui proposer une promenade et sourit avec douceur quand elle accepta « On verra avec Maya pour prendre de quoi déjeuner sur place » et ainsi, profiter du paysage. Il délaissa finalement son déjeuner pour prendre une gorgée de café et s’appuya contre le dossier de son siège, riant presque à la remarque de sa belle brune « Je crois que c’est cet endroit qui me perturbe ou les cocktails d’hier soir » et se rapprocha sur le rebord de sa chaise, haussant les épaules « Oui, c’est vrai ça ! Depuis quand c’est moi qui me pose les questions et toi qui ne t’en pose aucune ? » en se mettant à sourire avec amusement, puis baissa ses prunelles claires sur leurs doigts que Madison venait d’entrelacer et resserra son emprise sur ces derniers, avant de relever les yeux vers elle « Oui… » et ajouta « C’est juste que… » puis poussa un soupir. C’était dingue comment il se torturait l’esprit depuis qu’ils étaient arrivés ici « Je ne veux pas que ça te fasse fuir ou que tu prennes peur parce que… » puis se mit à rire nerveusement et passa sa main libre sur le visage, et tourna la tête vers la belle brune « Je ne veux pas te perdre pour des futilités de ce genre, parce que j’ai envie de tenir la main ou t’embrasser, et que ça te fasse flipper et que tu décides de tout arrêté ». Voilà, c’était dit. En partie.
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Charly
Dim 27 Fév - 16:15
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -quoi ?! Non abuses pas ! Je suis capable d’avoir de la mémoire pour certaines choses. J’encombre pas mon cerveau avec n’importe quoi c’est tout et... » elle se pinça les lèvres pour arrêter de parler en entendant la phrase d’Eli. Elle avait très bien compris de quoi il voulait vraiment parlé, même s’il avait enjolivé les choses pour éviter d’assombrir le moment. « -le meilleur coup de sa vie… ça s’oublie pas facilement. » ajouta la jolie brune avec une sorte de tendresse dans la voix en plus de sa sincérité. « -oui l’un n’empêche pas l’autre mais avoue quand même que tu te saurais posé de questions si je l’avais formulé directement ainsi. C’était différent. » sa voix partie dans les aiguës et elle fit des guillemets avec ses doigts. un léger rire et elle ajouta : « -ça sonne un peu comme un : je sais que tu peux faire mieux que ça non ? Et c’était pas du tout ce que je voulais dire par là. C’était différent, et c’était super et j’ai aimé cette comment elle a dit hier soir : communion des êtres ! » un sourire en coin et elle reprit : « -je sais pas vraiment comment l’expliquer en fait. C’était pas… c’était pas juste du sexe… et je… et je vais me taire parce que j’ai pas encore bu une goutte de café et que je parle déjà beaucoup trop. » elle lui sourit, et heureusement ils arrivèrent au petit déjeuner. Fin de la conversation. Ça lui éviterait de s’enfoncer plus encore.
« -ouais enfin à volonté, on peut pas non plus consommer où on veut quand on veut. Et la machine à besoin de repos de temps en temps... » et voilà là ça redevenait comme avant. « -n’importe quoi tu étais en forme y’a peine une heure. » elle sourit à une des femmes d’un couple qu’ils avaient critiqués la veille, qui avait visiblement tout entendu. « -on se retrouve après une longue séparation... » lui souffla t elle comme si elle avait besoin de se justifier. « -et heu… il est à moi. Désolée... » ce qui sous entendait qu’il fallait qu’elle arrête de baver. Maddy se retint de lui dire de reprendre du cocktail, qui ne devait pas être assez dosé pour elle la veille.
« -ouf… même si j’imagine qu’on aurait pas eut de mal à trouver une autre femme... » en jetant désignant l’autre femme du menton. Elle fut d’accord pour la balade, et elle lui renvoya la balle, le poussant à se poser les bonnes questions. Elle poussa la chose jusqu’à se foutre de lui et lui souffler comme une complotiste : « -peut être qu’on a échanger nos corps... » haussant plusieurs fois les sourcils. Mais elle redevint plus que sérieuse en prenant sa main. Elle l’écouta avec attention puis elle dit : « -tu veux bien qu’on termine de manger et on en reparle après ? » parce qu’elle n’avait pas envie d’avoir cette discussion ici. Il y avait trop d’oreilles autour d’eux. Maddy retira sa main dans une caresse, en lui souriant avec douceur. Pour le rassurer. Elle prit le temps de finir ses pancakes parce qu’ils étaient clairement trop bons, puis ils quittèrent les lieux avec ce qu’il fallait pour le repas de midi. Tout en marchant, elle reprit alors leur conversation : « -je te l’ai dis, je vais pas fuir. Si jamais tu as un geste que je trouve déplacé ou qui ne me plais pas, je te le dirais. Tu me l’as dis une fois : arrête de penser à ma place d’accord ? » puis elle lui adressa un sourire et ajouta d’un ton plus léger : « -je crois que c’était peut être un peu trop tôt pour un weekend de la sorte. Je veux dire vis à vis de notre relation. » si on pouvait appeler ça ainsi. « -c’est pas facile de jouer les couples sans en être un ou tenter d’en devenir un. Le lieu, le sujet du weekend, je pense que ça embrouille l’esprit. Autant que leur cocktail. » puis elle se mis à rire et elle avoua enfin : « -tout à l’heure tu m’as demandé pour la soirée, mes souvenirs et je... » elle haussa les épaules avant de pousser un cri : « -oh bordel ! Je ne passerais pas ici ! Regarde ce monstre ! » devant eux, au milieu du chemin se dressait une toile d’araignée énorme avec sa monstrueuse habitante. Maddy se cacha derrière Elijah. « -oh putain je déteste ça ! On fait demi tour ! » comme ça il avait de la matière pour se foutre de sa gueule !
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Manhattan Redlish
Dim 27 Fév - 16:52
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Un sourire devant sa réaction avant de répondre « Ravi d’apprendre que je ne suis pas n’importe quoi » étant donné qu’elle se souvenait parfaitement bien de son prénom. Évidemment, elle s’était sûrement souvenue de son prénom, dans un premier temps, en raison du désordre qu’il avait engendré dans sa vie puis, par la suite, pour cette nuit d’orgasmes qu’ils s’étaient donnés mutuellement. Et c’était plutôt de cela qu’il voulait qu’elle se souvienne même si, en la voyant se pincer les lèvres, ce fut la première raison qui lui revint en mémoire immédiatement… Il sourit avec douceur en l’entendant parler, malgré tout, de cette première nuit ensemble avec une certaine tendresse dans la voix et confirma à son tour par un « En effet ». Après tout, il ne l’avait pas oublié durant ces cinq dernières années… six maintenant. Et cette nuit, et même ce matin, était bien différent ce qu’ils avaient vécu lors de cette première nuit. Ça avait été différent, mais tout aussi bon. Un regard pour Madison qui ne le connaissait que trop bien « Oui… Je me serais demandé si tu avais tout autant aimé que d’habitude » avant de se mettre à rire avec elle « Un peu, oui » en parlant en même temps qu’elle, puis la laissa poursuivre, rassuré d’entendre qu’elle avait réellement aimé ce qui s’était passé entre eux. Elijah resta ensuite un moment interdit devant ce qu’elle sous-entendait, et se mit à sourire timidement « C’était plus que du sexe… » confirma-t-il comme pour lui donner raison, pour lui faire comprendre qu’il l’avait ressenti ainsi aussi « Ton café arrive » en désignant le buffet du regard.
Son corps presque blotti contre celui-ci de Madison, il sentait son regard s’allumait d’une lueur de désir en l’écoutant « Je ne suis pas du genre pudique » mais lui donna raison sur un point « La machine ?! Je vais prendre ça pour un compliment, et pour ton information, la machine a continuellement envie de toi » en approchant davantage son visage du sien, comme s’ils n’étaient que tous les deux « Toi aussi si mes souvenirs sont bons » en laissant glisser ses yeux sur son corps avec envie, puis se retint de rire en entendant Madison qui mentait ouvertement à l’une des femmes qui avait tout entendu. Apparemment, elle aurait aimé goûter la machine au vu du regard qu’elle portait sur lui. Il posa son regard sur Madison quand elle précisa qu’il était à elle, et la fixa avec tendresse, aimant la voir aussi possessive à son encontre et se rendit à leur table sans rien ajouter.
Il suivit le regard de Madison quand elle évoqua un plan à trois, et croisa le regard d’une femme au fond, et reporta son attention sur la belle brune « Son mari peut d’ores et déjà s’interroger sur la fidélité de son épouse » pour réussir à le dévorer du regard de la sorte alors qu’il était accompagné. Cette brève conversation n’empêcha l’esprit d’Elijah de fonctionner et de s’interroger sur tout un tas de sujets, mais elle parvint tout de même à le faire rire timidement quand elle évoqua la possibilité d’avoir échanger leurs corps « Seulement nos esprits, parce que si j’étais dans ton corps, je n’aurais pas quitté le tipi » répondit-il avec légèreté, puis posa son regard sur leurs doigts entrelacés « Oui… Bien sûr » et laissa Madison retirer sa main de la sienne, et terminèrent le petit-déjeuner en prenant leur temps. Après tout, ils étaient en vacances. Ensuite, ils avaient réquisitionné de la nourriture auprès de Maya pour le pique-nique et s’étaient mis en route. Madison avait abordé le sujet sans ménagement et il s’était mis à sourire « Tu as raison… Je ne sais pas ce qui me prends depuis hier… ». Si. Il le savait. Mais il se tut sur ce point et laissa la belle brune poursuivre. Son cœur se serra quand elle évoqua le fait qu’ils n’auraient peut-être pas dû partir en week-end ensemble au risque de vouloir devenir un couple… Il la laissa rire, baissant le regard sur le sentier qu’ils empruntaient et la laissa poursuivre, jusqu’à ce qu’ils soient interrompus par une toile d’araignée. Elijah haussa soudainement les sourcils par surprise. Non pas surpris par l’araignée, mais par la réaction de la belle brune qui trouva refuge derrière lui. Il se mit à rire doucement, puis sincèrement ensuite « C’est une araignée. Les petites bêtes ne mangent pas les grosses aussi canon soient-elles » et posa son sac à dos au sol, s’éloigna pour récupérer une branche, et dégagea la toile à coup de plusieurs coups de bâtons, puis revint vers la belle brune. Il la regarda et resta devant elle, son sac entre eux deux « Tu le penses vraiment ? Qu’on n’aurait pas dû faire ce week-end tous les deux ? » et se pencha pour saisir le sac à dos qu’il remit sur ses épaules « Laisse tomber. Ne réponds pas. On devrait reprendre notre route et je garde le bâton au cas où une de ces grandes sœurs souhaitent nous manger tout cru sur la route » et reprit la route.
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Charly
Dim 27 Fév - 20:20
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Madison avait penché la tête sur le côté, comme pour lui dire : tu as finis ? Comme s’il n’avait pas compris ce qu’elle voulait dire ! Bien sur qu’elle n’avait pas oublié son nom ! Et sincèrement, elle aurait préféré le retenir pour d’autres raisons. Enfin du moins pour la raison qu’elle évoqua plutôt que pour la partie qui faisait mal. Encore mal parfois… « -ah ba tu vois j’ai bien fais ! » lança Maddy en essayant de se convaincre que c’était pour cette raison qu’elle n’avait rien dit à voix haute et non par crainte de bien d’autres choses. Puis elle décida qu’il était temps de la fermer et que c’était mieux pour eux qu’elle le fasse. Parce qu’elle n’avait pas envie de gâcher cette matinée qui avait si bien commencée.
« -ah ba moi si un peu quand même… » grimaça la jolie brune pour la taquiner. « -roh mais non je parlais pas de toi à proprement parlé. Du mécanisme ou je sais pas comment dire ça et… oh c’est vrai ? A ce point là ? » comme si ça venait de lui monter au cerveau et qu’elle en était surprise. « -je me souviens plus vraiment… tu sais j’oublie assez vite... » pour faire allusion à ses soucis de mémoire de prénoms. Et pour lui faire comprendre qu’il faudrait vite remettre ça. Une fois à table elle râla : « -attends c’est quoi ce bordel, pourquoi y’a que toi qu’on regarde ? Ils sont où les hommes ? » elle fit mine de chercher avant de rire joyeusement. Rire qui reprit lorsqu’elle ajouta : « -oui c’est ce que je voulais dire ! » en imaginant Elijah dans son corps, jouant avec sa poitrine et adoré ça ! La suite de la conversation, elle préféra la différer de quelques minutes, histoire qu’ils soient vraiment seuls pour en parler.
Elle eut d’ailleurs l’impression de faire un monologue et elle n’aima pas du tout voir Elijah aussi pensif. Ce genre de comportement là pouvait la faire fuir. Si. Clairement. Mais une araignée leur barra la route, faisant reculer Madison qui avait des frissons de dégoût. « -tu vas la défendre elle ? Avec ses pattes poilues et son gros cul ?! » elle tira la langue presque avec un haut le coeur alors qu’il bougeait le bâton pour leur faire un chemin. Puis elle resta interdite devant la question, surtout devant le sérieux d’Elijah et devant le manque de foutage de gueule. Elle aurait pu tenté de le rassurer, lui expliquer mais il lâcha à nouveau un laisse tomber qui… et bien qui l’agaça vraiment.
« -non attends stop. » claqua la jeune femme en restant plantée là. « -tu peux pas balancer une question comme ça pour ensuite lâcher un laisse tomber. C’est ton attitude depuis le petit déj’ qui est étrange. D’accord cette nuit c’était particulier et après ? Ça change quoi ? Pourquoi ou plutôt qu’est ce qui te prends la tête, expliques toi. Parce que ça… » elle fit un petit moulinet avec la main : « -parce que ça commence à me gonfler. Tu as peur que je prenne la fuite mais c’est toi qui le fait alors qu’on tente de communiquer. Donc arrêtes. C’est chiant. » elle chassa un moustique ou une abeille enfin un truc qui vole et qui pique, en battant des mains, pas du tout dans son élément. Finalement ils devraient peut être faire demi tour et s’accorder un moment loin l’un de l’autre.
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