“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Mer 23 Fév - 17:12
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Son regard, brillant d’une lueur d’envie certaine, était posé sur la belle brune qui confirmait que le sexe était semblable à de la méditation. Il finit par hausser les sourcils, surpris par sa comparaison, ainsi que par sa réponse, et fit un signe négatif de la tête avant de joindre la parole au geste « Non, jamais… » et approcha ses lèvres de son oreille, comme pour lui murmurer un secret « Et je sais que tu préfères de loin que je te prenne, plutôt que de faire une séance de méditation » et se recula légèrement, effleurant ses lèvres sans la quitter des yeux, puis se mit à sourire et se recula. Il avait faim. D’elle. De nourriture aussi. Il était plus sage de se rendre au buffet plutôt que de retourner au tipi pour s’envoyer en l’air. Le message, quant à lui, eu raison du peu d’énergie qui lui restait et la sieste fut plus réparatrice que le massage. Ou peut-être était-ce le mélange des deux. Peu importe. Le principal était qu’il était bien plus en forme qu’à son arrivée dans l’endroit reculé, et qu’il avait envie de profiter du reste de l’après-midi avec la belle brune, dans ce jacuzzi.
Son petit sourire se dessina sur le coin de ses lèvres alors que la jeune femme réagissait au quart de tour, et se mit à rire quand elle comprit qu’il se moquait d’elle, rétorquant ensuite « Je parlais plus de ton corps que de ton cœur ». Il n’avait d’yeux que pour elle, pour son corps, ses caresses, ses baisers. Mais il prit conscience que malgré la mise au point de cette dernière, elle restait tout de même inquiète face à certains de ses propos. Elle craignait toujours autant l’idée qu’il puisse tomber amoureux d’elle. Il ne souleva pas cette pensée, et répondit plutôt positivement à son idée de créer un magazine rien qu’avec elle. Un petit sourire amusé quand il comprit à son regard que sa réponse ne lui suffisait pas. Il pencha légèrement la tête tout en la fixant « Non… Je pense que tu partiras bien avant ». Oui, il était certain que sa peur de l’attachement, ou sa peur de tomber amoureuse à lui finirait par la faire fuir et mettre fin à cette relation qu’ils entretenaient tous les deux. Mais pour le moment, elle n’était pas encore lassée de lui et ça lui fit du bien d’entendre cela, sans vraiment en connaître les raisons « C’est parce que ce n’est que le début que tu n’es pas encore lassée de moi » et ajouta « Je pense qu’il serait préférable de garder certains sujets pour notre projet » et l’observa se redresser alors qu’il jouait avec l’eau machinalement. Il fronça les sourcils en entendant Madison, puis sursauta légèrement en entendant une voix extérieure leur parvenir.
Par réflexe, Elijah avait posé ses mains sur le corps de la belle brune qui s’était rapprochée de lui sous la peur et regarda tour à tour Maya, qui venait de les interrompre en pleine conversation, et Maddy. Et si c’était la femme de ses rêves ?! Il ne s’était jamais réellement posé la question, mais si c’était le cas ? Il laissa glisser ses mains du corps de la belle brune et sourit timidement pour confirmer les dires de la jeune femme. Il fronça ensuite les sourcils, n’étant pas au courant de la soirée. Il acquiesça sans mot dire et laissa Maya s’éclipser, puis se mit à rire doucement à la remarque de Madison « Un peu, oui » et ajouta « Tu ne m’avais pas parlé d’un dîner ce soir mademoiselle ! » en posant son doigt sur la poitrine de la jeune femme, puis le retira, laissant sa main retomber dans l’eau. Il laissa passer un petit silence et reprit « Tu aimerais qu’on… » puis les paroles de Maya lui revinrent en tête. Il secoua légèrement la tête et fixa la jeune femme « Qu’on créer ce magazine quand ? Parce que je n’avais pas prévu de partir de la boite avant deux ans, au moins » et ajouta « Et qu’est-ce qui te fait penser que tu es la femme de mes rêves ? Je t’ai dit que tu aurais peut-être envie de refaire ta vie. Ce qui sous-entend que tu tomberas peut-être amoureuse d’un type qui te conviendras à toi et ta fille, que tu auras envie d’acheter une jolie maison sur le bord de mer, et que toutes les chansons d’amour prendront un sens nouveau » en se mettant à sourire de nouveau. Il se pencha ensuite vers Madison et déposa ses lèvres sur les siennes avec envie quand des voix approchant se firent entendre. Il se mit à rire et ajouta « Tant pis ».
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Charly
Mer 23 Fév - 21:23
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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En même temps, vu le nombre de nanas qui avaient défilé dans son lit ces derniers mois, elle s’imaginait qu’il n’avait pas besoin de s’asseoir en tailleur par terre et faire ohmmm pendant trois heures pour se sentir détendu. « -exactement ! » claqua Madison d’une voix envoûtante pour toute réponse à son petit secret de provocateur, sans le quitter des yeux. Elle adorait tellement quand ils jouaient ainsi. Mais le jeu repris autrement lorsqu’ils furent dans l’eau chaude. Elijah ne semblaient pas se rendre compte des mots qu’il employait, et de l’impact que cela pouvait avoir sur elle. « -ah oui… beaucoup moins romantique soudainement... » le charia t elle avant d’ajouter : « -mais du coup, ça fait pas de toi le seul homme au monde. » ne pas se prendre la tête. Léger, léger… elle n’avait pas envie de tout compliquer. Vraiment pas. « -pourquoi tu... » mais elle se pinça les lèvres et décida de la fermer. « -non tu sais quoi, je veux pas savoir. » non, elle n’avait pas envie de parler de ça, d’approfondir la question. Pas maintenant. Cela lui semblait judicieux.
Elle préféra lui dire haut et fort qu’elle n’était pas encore lassé de lui, et forcement elle fronça à nouveau les sourcils. « -attends mais pourquoi tu… on dirait que tu as déjà envisagé le pire des scénarios et que ça te déprime d’avance. » et elle enchaîna en parlant de femme de ses rêves avant de faire crise cardiaque. « -ouais non, je suis désolée, j’avais zappé. Oui je sais, point de vu emploi du temps, je suis pas terrible... » grimaça Maddy. « -enfin va pas t’imaginer que c’est smoking obligé. » loin de là même. Puis elle plissa les yeux en n’étant pas tout à fait convaincu de la fin de la phrase d’Eli, comme si il n’avait pas dit vraiment ce qu’il voulait dire. « -oh heu… je sais pas. C’est ton idée à la base. Deux ans ça fait super loin… Il peut se passer une milliard de truc en deux ans. » oh oui ! Sa vie avait été ruinée en l’espace de de cinq minutes. Alors deux ans… Déjà clairement ça laissait le temps qu’ils se soient lassé justement, ou qu’ils se soient engueulé.
Elle se mis à parler en même temps que lui et répondit : « -non mais c’est toi qui balances des trucs en mode déprime là ! Tu vas te lasser, tu vas rencontrer quelqu’un d’autre... » puis elle fronça à nouveau les sourcils : « -tu as finis de dire des conneries ? » elle n’avait pas l’intention de tomber amoureuse de lui ou de quelqu’un d’autre. La maison sur la plage et les chansons d’amour aussi étaient exclus ! Elle mis quelques secondes à lui rendre son baiser, mais elle le fit, avec envie. « -on s’en fou... » souffla Madison en l’attirant à elle, passant ses bras autour de son cou, l’embrassant à nouveau, se disant que les gens qui se pointaient, allaient faire marche arrière en les voyant collé serré dans le jacuzzi. Elle avait envi de lui… Là… maintenant… elle guida son visage dans son cou, et les voix s’éloignèrent, ce qui la fit sourire avant qu’elle ne souffle à l’oreille d’Eli : « -prends moi… maintenant... » à la limite de la supplique.
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Mer 23 Fév - 21:56
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah pensait avoir trouvé les mots qu’il fallait quand il avoua n’avoir d’yeux que pour son corps pour ne pas la faire fuir en courant, mais quand il entendit cette hésitation dans la voix en lui répondant, il fut accablé d’un doute. Est-ce qu’elle aurait souhaité entendre autre chose de sa bouche ? Il balaya tout cela d’un revers de main pour lui sourire « Beaucoup moins » et haussa les épaules « Tu as un large choix d’homme à ta disposition, mais n’oublie pas que je suis le seul à te faire crier » et il savait que c’était un argument de choix. Elle le lui avait dit. Il était son meilleur coup. Il fronça les sourcils en la voyant hésiter, puis il sourit faiblement en la voyant se résigner à approfondir ce point « Comme tu veux ». Après tout, il n’allait pas la forcer à aborder un sujet qu’elle ne souhaitait pas aborder. Elle préféra le contredire sur ce point, même s’il savait, au fond de lui, qu’elle finirait par partir tôt ou tard. Il fronça à nouveau les sourcils avant de rire doucement, mais n’eut le temps de rétorquer quoi que ce soit qu’ils furent dérangés par l’arrivée de Maya qui leur rappela qu’ils étaient conviés à une soirée le soir-même. Ce n’était pas vraiment ce qui avait perturbé Elijah, mais plutôt le fait qu’elle dise que Madison était la femme de ses rêves. Et si c’était réellement le cas ? Encore une fois, il balaya tout cela d’un revers de main pour se concentrer sur le dîner « Tu ferais une piètre secrétaire » et se mit à rire doucement « Tant mieux, je n’en ai pas pris ». Parce qu’au vu de l’endroit, il aurait fait tâche.
« On peut aussi le créer plus tôt si tu le souhaites… Je veux dire, je suis ouvert à toutes les opportunités ». Après tout, il s’était dit dans deux ans, mais au vu de la tournure des évènements, de l’investissement de Madison, peut-être qu’ils pourraient avancer le projet et le lancer prochainement ?! Après tout, ils connaissaient les ficelles du métier, avaient les idées. Il ne manquait plus que de faire le premier pas. Et voilà qu’ils se mirent à parler en même temps. Une habitude chez eux. « Pourquoi ça te déprime ? Ce n’est que du sexe entre nous, non ? » et se mit à sourire, presque rire pour alléger tout cela « Tu ne devrais pas déprimer à l’idée que nous deux, ça puisse s’arrêter un jour. On ne gardera pas cette relation indéfiniment ». Après tout, ils n’allaient pas passer des années à être seulement des plans culs l’un pour l’autre. Ce n’était pas le genre de relation qui pouvait perdurer dans le temps. Un jour ou l’autre, l’un d’eux se lasserait ou aspirait à autre chose, ou même ferait une rencontre, et tout s’arrêtera.
Il sentit que ce qu’il venait de lui dire l’avait perturbé car elle ne répondit pas immédiatement à son baiser, mais il ne se recula pas pour autant. Il avait envie d’elle et savait que c’était réciproque, parce qu’elle l’attira à lui, bien décidé à s’envoyer en l’air quand ils entendirent des voix au loin. Ses bras autour de sa taille, ses lèvres dans son cou, il sourit en l’entendant le supplier de la prendre là, maintenant. Il ne se fit pas prier davantage, retirant les dernières barrières de leur intimité et se plaça dans son dos avant de la faire sienne. Ses mains tenant ses hanches, il ondula langoureusement le bassin, puis accéléra les mouvements, devenant plus vigoureux, jusqu’à atteindre la jouissance. Il remonta ses bras jusqu’à sa taille, la serrant tout contre lui, et embrassa son cou, puis ses lèvres, et souffla « Mieux que la méditation ? » et se mit à rire doucement contre sa peau trempée et ajouta « Et si on allait se préparer pour ce soir ? Je prendrais bien une douche… à deux… J’ai encore envie de toi » et l’embrassa de nouveau avec envie.
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Jeu 24 Fév - 9:36
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -non je… je sais pas… j’en sais rien… Parce deux ans c’est hyper loin. Il peut se passer tout un tas de trucs en deux ans. Et en même temps, ça fait un peine un an que j’ai repris le boulot, alors niveau crédibilité… » une légère grimace. Pouvaient ils compter seulement sur son nom à lui ? « -enfin je sais pas… c’est certain qu’on va pas prendre la décision ici, alors que tu es en short de bain. » elle lui sourit taquine et ajouta : « - il faut qu’on prenne le temps de bien réfléchir à tous. » elle n’avait pas envie d’être à son tour le point noir de sa carrière. Et encore une fois, c’était cette confiance en elle détruite et recollée à la glu à paillette qui parlait.
« -non c’est pas moi que ça déprime ! C’est toi qui semble déprimer en disant cela, à l’idée que ça, toi et moi, ça puisse s’arrêter un jour parce que tu imagines que je puisse tomber amoureuse de quelqu’un d’autre que toi ! » mais encore une fois elle avait parlé en même temps que lui, et elle enchaîna : « -mais je ne déprime pas ! C’est toi qui envisage que ça puisse s’arrêter, qui fait des projection d’avenir. Moi j’essaie seulement de profiter de ce qu’on a là. Et de pas me prendre la tête. Alors… » la fin de la phrase silencieuse voulait dire, s’il te plais, on parle pas de ça. Pas de potentiel amoureux, de maison sur la plage ou de leur relation qui allait se détériorer.
Alors pour appliquer ce qu’elle venait de lui demander, elle finit par lui rendre son baiser et céder rapidement à l’envie de lui. Sans vraiment savoir si c’était le lieu naturel ou la conversation qu’ils venaient d’avoir, Madison apprécia encore plus de sentir la chaleur de son corps contre le sien, ses mains sur ses hanches, ses baisers dans son cou… Elle apprécia également les coups de reins bien évidement mais… mais ça avait été quelque peu différent dans son esprit. Elle avait jouit son dos coller au torse d’Elijha, son visage à côté du sien, sa joue coller à la sienne. Mady sourit avant de rire avec lui : « -j’en suis convaincu. » avant de l’embrasser et de sourire. « -ça me va... » et de l’embrasser à nouveau.
Ils avaient à nouveau couché ensemble sous la douche, puis s’étaient préparés pour la soirée, décidant de se balader dans le lieu avant de s’y rendre. Ils avaient un peu de temps devant eux. « -je trouve que ça marche plutôt bien ce lieu. Je me trouve… détendue. Zen… pas toi ? » demanda la jeune femme en marchant à ses côtés, dans sa robe longue. « -j’ai même hésité à rester pieds nus ! » lança t elle en riant.
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Jeu 24 Fév - 22:05
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Attendre deux ans avant de lancer ce que magazine qu’il souhaitait créer avec Madison ?! Il n’en savait trop rien. En réalité, il n’y avait que brièvement pensé durant les quelques semaines de froid entre eux, et encore moins cette dernière semaine. C’était Maddy qui lui avait rappelé qu’ils avaient eu cette conversation à l’instant même, et Elijah ne pouvait s’empêcher de sourire en voyant qu’elle avait envie de s’investir dans ce nouveau projet, avec lui. Il baissa ensuite son regard sur son short de bain, et se mit à rire doucement avant de relever ses yeux clairs sur elle « On a tout un week-end loin de tout pour en parler » et ajouta après un bref silence « Et pour ce qui est de la crédibilité, on ne va pas bosser au New York Times, tu sais. On créé notre propre magazine féminin/masculin. Tout ce qui importe, c’est la qualité de notre travail et j’ai toute confiance en toi à ce sujet ». Il savait que la belle brune, derrière son apparente assurance, n’avait pas confiance en elle. Il en avait donc assez pour eux deux et il connaissait sa valeur, que ça soit au travail ou en dehors. C’était peut-être pour cela qu’il savait, qu’un jour ou l’autre, elle finirait par trouver quelqu’un qui prendrait conscience, à son tour, de cette valeur et qui pourrait lui offrir une vie différente qu’un plan cul… Et quand ils abordèrent le sujet, ils finirent par parler en même temps, comme bien souvent « Je ne suis pas déprimé. J’apprécie juste ce qu’on a tous les deux maintenant, et je n’ai pas envie que ça s’arrête maintenant ».
Et pour le lui prouver, il l’embrassa avec envie avant de la faire sienne, dans ce jacuzzi perdu au milieu de la nature, savourant la jouissance qui l’envahit à l’issue et sourit à la réponse de Madison « Bien » et lui proposa de réitérer leurs ébats sous la douche, ce qu’ils firent en rentrant au tipi. Elijah enfila ensuite une tenue pour la soirée : Pantalon et chemise en lin, couleur crème, et une paire de sandales en cuir ouverte. La décontraction hippie à l’état pur. Ils se décidèrent ensuite de faire un tour en attendant l’heure de réception. Les mains dans les poches de son pantalon, le regard perdu à contempler les environs, il tourna la tête vers la belle brune « Hum… oui. Peut-être. Je n’en sais trop rien, en fait » avant de rire légèrement, et davantage quand elle évoqua ses pieds « On est tous les deux. Tu peux marcher pieds nus je pense » et ajouta « Tu es très jolie en tout cas » en lui donnant un petit coup d’épaule. Il s’éloigna ensuite momentanément pour cueillir une fleur blanche et se rapprocha de la belle brune « Ne bouge pas » et la glissa dans ses cheveux « J’aime beaucoup. Ça accentue ton côté zen, et normalement, les abeilles dorment à cette heure-ci » en souriant avec taquinerie, puis reprit sa marche aux côtés de la jeune femme.
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Ven 25 Fév - 21:24
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Ça devenait… ça devenait presque naturel qu’Elijah parvienne à trouver les mots qu’il fallait pour la rassurer. Il était pratiquement devenu expert en déminage mentale ! Oui, c’est vrai, ils avaient largement le temps d’en parler. Et oui, il n’avait pas tord, ils n’avaient pas besoin de jouer dans la cours des grands tout de suite. Ça viendrait bien assez vite. Parce que ça, elle n’en doutait pas, l’idée du magazine, masculin féminin, ça pouvait marcher. Très bien marcher. Elle se contenta de sourire en baissant quelques secondes les yeux, avant de souffler : « -tu as raison, on a tous les temps pour en parler. » Puis il y eut l’intervention de Maya, et une discussion particulière sur leur relation et ce qu’Elijah voyait de leur avenir. « -bien parfait alors ! Moi non plus j’ai pas envie que ça s’arrête. » pourquoi est ce qu’ils en étaient venu à parler de ça ?
Et finalement ils avaient justement profité de ce que leur offrait cette relation particulière. Elle le détailla du regard quelques instants, appréciant le style décontracté qui lui allait bien. Et puis ils décidèrent de se balader un peu, avant de rejoindre la soirée. « -ah ba si clairement ça marche, tu étais totalement ailleurs là ! » se moqua Maddy avant de répondre : « -non ça va aller… parce que j’imagine qu’il y a des fourmis, et plein d’autre truc dans le genre… et donc non… je vais garder mes chaussures. » pour le moment ils marchaient sur un sentier. Dans l’herbe peut être… Enfin non… elle n’en savait rien. « -merci. » répliqua Madison en lui rendant son coup d’épaule avant de froncer les sourcils. Elle leva les yeux comme si elle pouvait voir ce qu’il était en train de faire dans ses cheveux. « -et après ça t’es pas un romantique… laisses moi rire. » répliqua t elle à nouveau. Maddy reprit sa marche aux côtés d’Elijah, appréciant le cadre du lieu. « -demain, il y un atelier séparé. Un truc d’extériorisation. C’est pour les couples qui ont des soucis, qui viennent ici pour se retrouver et gérer leur problème dans leur relation. Je me suis dis que ça pouvait être intéressant de voir en quoi ça consistait, pour l’article. » un sourire et elle ajouta : « -j’ai dis à Macha, non Maya qu’on avait passé des moments compliqués. » en soit ça n’était pas si éloigné de la réalité. « -ça dur une petite heure. » rien de bien méchant en soit. Au loin, ils commençaient à apercevoir le lieu de la soirée. Il semblait y avoir des braséros, et des gens étaient déjà rassemblé.
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Ven 25 Fév - 21:47
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Un doux sourire se dessina sur les lèvres d’Elijah alors qu’il prit conscience qu’il était parvenu à apaiser les craintes de sa belle brune au sujet de ce projet qui était devenu rapidement le leur. Il n’avait pas envie de s’inquiéter à ce sujet. Il voulait seulement essayer et voir. Un peu comme leur relation. Il voulait simplement profiter de l’instant présent, et adviendra ce qu’il adviendra dans le futur. Même si les paroles de Maya le hantait presque. Il n’en dit rien à la belle brune, et fit même taire cette petite voix intérieure à deux reprises, durant leurs ébats. Elle ne refit son apparition qu’ensuite. Lorsque l’effervescence du moment s’était en allée. Lorsqu’il avait posé son regard sur elle, vêtue de cette jolie robe longue. Et si c’était la femme de ses rêves ?! Et s’il finissait par tomber amoureux d’elle ? Non. Il ne pouvait pas. Parce que Madison prendrait la fuite aussitôt qu’elle le saurait. Voilà ce qu’il se martela, même durant leur promenade en tête-à-tête, dans cet endroit reculé de tout, pour rejoindre le lieu de réception. Perdu dans ses pensées et dans la contemplation de l’endroit qui les entourait, il se mit à sourire, voire presque à rire alors que la belle brune lui fit remarquer qu’il était plus apaisé, lui aussi, depuis qu’ils étaient ici. « Je réfléchissais » se justifia-t-il avant de lui proposer de marcher pieds nus.
Une nouvelle fois, Elijah se mit à rire doucement en observant le sol qu’ils arpentaient avant de relever ses prunelles claires sur Madison « Tu as raison. Vaut mieux prendre aucun risque. Après tout, on connait tous la dangerosité des fourmis aux États-Unis. Leur nom indien est même : Dévoreuse d’Homme » en se foutant ouvertement de sa belle brune, tout arborant son petit sourire en coin insolent. Un bref silence et lui donna un petit coup d’épaule pour faire passer son compliment avec légèreté, et lui sourit à son remerciement. Après tout, leur relation ne l’empêchait pas de lui dire qu’il la trouvait jolie. Il s’éloigna ensuite pour cueillir une fleur et la glisser dans ses cheveux avant de baisser son regard sur la jeune femme « Pfff ! Ce n’est pas du romantisme… C’est juste une fleur qui m’a fait penser à toi » en se sentant soudainement mal à l’aise. Et si elle n’aimait pas le voir romantique ?! Et puis, depuis quand il était romantique déjà ?! Il glissa ses mains à nouveau dans ses poches de son pantalon en lin et reprit sa marche. Son regard rivé sur le sentier, il releva son regard sur elle quand elle se trompa de prénom, ce qui l’amusa « Tu as vraiment un souci avec les prénoms » et ajouta avec légèreté « Ce n’est peu dire… Je veux dire, au sujet des moments difficiles que nous avons traversé ». Après tout, ce n’était pas mentir. Leur relation était pire que les montagnes russes. Il hocha lentement de la tête en souriant avec douceur « D’accord » et releva son regard sur l’horizon. Ils arrivaient.
Elijah échangea des sourires et des salutations avec les autres convives, et se dirigea presque immédiatement vers le bar pour commander deux cocktails et en tendit un à Madison « On doit faire quoi là ? Discuter avec les gens ? ».
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Charly
Sam 26 Fév - 14:33
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Madison recula son visage et renchérit sur le foutage de gueule : « -tu réfléchissais ? » ce mot dit avec lenteur comme si c’était incompatible avec lui. « -et je peux savoir à quoi ? » ajouta t elle parce qu’elle était curieuse tout simplement. « -fou toi de moi ! J’aime pas… je suis pas fan des pieds, qu’on les touche, qu’on les chatouille… et clairement oui que ça soit une balade ou une attaque de fourmis ne m’enchante pas du tout. » elle grimaça rien qu’en pensant à cela. A nouveau à son tour de se foutre de lui lorsqu’il mêla cette fleur à ses cheveux. « -oh non ! c’est sur que c’est pas du tout le genre de truc qu’on vois dans les films à l’eau de rose. Bien plus dans les films d’horreurs ! » elle renchérit : « -et ils se font buter tous les deux trois minutes plus tard, bien entendu. » elle n’allait pas en faire tout une affaire, c’était seulement une fleur. Et surtout, oui surtout elle ne voulait pas que la petite gaine du doute germe dans son esprit. Hors de question. Sinon, ça prouverait qu’il avait raison. Elle mettrait fin à tout ça.
« -oui ça va je sais. » répliqua Maddy tout en lui expliquant ce qui était prévu le lendemain. « -ouais… du coup... » elle hocha la tête et poursuit : « -en soit, ça peut pas nous faire de mal. » elle pensait à ce qu’ils avaient enfin s’étaient fait vivre durant les mois qui venaient de passer, mais aussi au début de l’histoire. A tout ce qu’elle avait ressentit et enduré à cause de lui. Ils étaient visiblement en paix avec ça, ils en avaient parlé, le temps avait passé… Mais peut être que Maya avec une méthode miracle pour effacer la mémoire à jamais.
Madison apprécia la déco du lieu. Les braseros, les guirlandes lumineuses, les tables de buffets, celles pour s’installer devant. La jolie brune prit le verre que lui tendait Elijah et elle souffla, collant son épaule contre la sienne : « -non. On essai de deviner pourquoi ils sont là... » un sourire en coin, un petit regard de garce il fallait bien l’avouer, et elle commença : « -eux là bas c’est facile… il ne la désir plus. Et elle tente le tout pour le tout pour recoller les morceaux. Deux ou trois enfants. Qui lui prennent tous son temps. Elle ne se sent plus femme. Une future lectrice ! Clairement ! Il faut qu’on lui glisse un mot sur le magazine. » tout cela dit à mi voix, portant de temps à autre la paille du cocktail à ses lèvres. « -c’est super bon ce truc ! » commenta la jolie brune avant de dire : « -à ton tour. » il y avait autour d’eux six ou huit couples. Elle ne pensait pas qu’il y avait autant de monde. "-et j'ajoute que c'est possible qu'il l'a trompe."
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Sam 26 Fév - 15:43
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Rien qu’à l’intonation qu’elle mit dans son interrogation, Elijah comprit immédiatement qu’elle se foutait de sa gueule. Il pencha alors légèrement la tête et afficha ce petit sourire en coin qui l’encourageait dans son travers, et répondit avec naturel « Oui. Je t’expliquerais comment on fait à l’occasion ». Un prêté pour un rendu. Il la regarda ensuite un moment sans mot dire, hésitant à se montrer honnête et lui avouer qu’il était déstabilisé par les mots prononcés par Maya un peu plus tôt dans la journée. Finalement, il opta pour un haussement d’épaule « Au fait de prendre des vacances ». Puis le sujet dévia et il se mit à rire de plus belle en entendant le raisonnement de Madison « Et moi qui voulait te proposer un massage des pieds après la soirée ». Il avait compris lors du massage en couple, qu’elle n’aimait pas cela. Il s’éloigna ensuite pour récupérer une fleur qu’il glissa dans les cheveux de Madison. Un geste qu’elle décrivit de romantique et se mit à la contredire aussitôt, sans la moindre conviction dans la voix « Je n’espère pas. Tu dois te faire pardonner de ta grimace de ce matin quand tu m’as désigné comme ton compagnon », et ajouta en haussant les épaules « C’était juste une envie subite. Rien de réfléchi ». Ou comment ne pas l’inquiéter outre mesure.
Les mains dans les poches, le regard rivé sur le sentier, il hocha de la tête pour donner raison à la belle brune « Je ne suis pas sûre qu’une heure soit suffisant » en se mettant à sourire avec taquinerie alors qu’il relevait les yeux vers elle. Après tout, il lui avait causé beaucoup de tort, lui avait bien du mal, et elle en portait encore les stigmates aujourd’hui. Il n’était donc pas certain qu’une heure suffise à réparer tout cela. Mais il verrait cela demain. Ce soir, ils étaient conviés, tous ensemble, à une espèce de réception New Age. La première chose que fit le journaliste, ce fit de se diriger vers le bar pour commander deux cocktails et en tendre un à la jeune femme qui cala son épaule contre la sienne. Il posa donc machinalement la main dans son dos et fronça les sourcils non sans sourire, alors qu’il observait les autres couples « Hum… Si tu veux » et la laissa démarrer le petit jeu tout en dégustant le breuvage. Elijah se mit à rire légèrement pour ne pas attirer l’attention alors que Madison lui peignait le portrait d’un couple qui aurait besoin davantage d’un avocat spécialiste en divorce qu’un week-end dans un endroit reculé. « Je suis d’accord » confirma Elijah concernant le breuvage et ajouta « Possible ? C’est une certitude. S’il ne baise pas sa femme, il s’en tape une autre. Il doit bien décharger quelque part » et glissa sa paille entre ses lèvres pour prendre une gorgée et observa les différents couple avant de jeter son dévolu sur l’un d’eux.
« Les deux là-bas. Elle, je la vois en ménagère parfaite, avec leurs trois enfants et lui, enfermé dans une vie qu’il ne veut pas… Il préférait voyager à travers le monde avec Julio, un latino de vingt-cinq ans, qui est aussi son portier. Il y a bien eu ce baiser avec Lee, un transsexuel lors de son voyage à Bangkok, mais il n’est jamais allé plus loin. Mais cette excitation, cette effervescence qu’il a connu ce jour-là, il ne la retrouve pas avec sa femme qui se doute bien que son mari ne joue pas dans la même équipe. Mais il lui offre un confort de vie qu’elle ne veut pas perdre, alors elle garde ce squelette dans le placard, et le laisse mater le cul de Julio en fermant les yeux » et reprit une gorgée de cocktail et ajouta « Ils sont ici en espérant que ça ranimera la flamme disparu… - puis posa son regard sur Madison - Ou que ça leur ouvrira les yeux sur ce qu’ils sont vraiment l’un pour l’autre – et fixa à nouveau le couple au loin – De bons amis qui ont, par chance, de jolis jouets dans le tiroir de la table de nuit pour avoir un semblant de vie sexuelle avec un objet sûrement fabriqués par des amis de Lee en Thaïlande » et se mit à sourire avec amusement « A ton tour ». Mais Maya arriva à leur hauteur « Vous êtes venus… Vous appréciez l’ambiance et le cocktail ? Vous verrez tout d’un regard neuf après ce soir, vous verrez » et posa chacune de ces deux mains sur leurs épaules avant de s’éloigner voir les autres convives. Elijah baissa son regard sur le cocktail et ajouta « Elle nous a drogué ? » puis termina son verre cul sec et en demanda un autre « On a qu’une vie après tout ».
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Charly
Sam 26 Fév - 21:30
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -oh c’est vrai ? Merci ça me rendrait vraiment service ! » s’exclama Maddy en rentrant dans son jeu. « -wahou… ce weekend va te changer en profondeur… j’en suis certaine. » ajouta Madison en enfonçant son doigt dans le torse d’Eli. « -en soit y’a quoi à réfléchir là dessus ? Mise à part que les vacances c’est top et que ça fait du bien ? Un peu comme le sexe d’ailleurs... » oui, pas besoin de méditer pendant cent sept ans là dessus. Mais bon elle lança que l’endroit faisait du bien, ils parlèrent de marcher pieds nus et de fourmis carnivores. « -crois moi j’ai bien d’autres zones à masser. » elle jouait, mais après tout leur relation était totalement basé sur ça. « -comment ça je dois me faire pardonner ? T’oublie jamais rien toi, je pensais que t’avais zappé ce léger détail sans la moindre importance. » elle leva les yeux avec innocence et pour finir et clore le sujet de la fleur, elle déposa ses lèvres sur sa joue et dit : « -merci. » tout simplement. Parce que c’était mignon, et attentionné et drôle aussi par la même occasion.
« -ouais je me suis dis pareil, mais en soit ça peut être intéressant et je le fais plus pour l’article que pour nous au final. Parce que nous… on a déjà pas mal discuté sur le sujet, donc... » un haussement d’épaules. Voilà quoi. Elle ne s’attendait pas à des merveilles. Encore une fois, elle voulait tester pour son article, pour voir ce que ça donnait, pour pouvoir donner envie aux couples de venir faire un tour ici. Ou pas… elle se laissait la possibilité de dire que Maya était une folle et que clairement ce genre de weekend, ça n’était pas le meilleur délire pour sauver son couple.
Couple d’ailleurs qu’elle décida d’analyser à leur façon, juste par jeu. Et parce qu’ils n’étaient pas là pour se faire des amis. « -roh quelle délicatesse dans tes propos ! » râla Madison qui le trouvait parfois un peu trop cash. Elle écouta l’analyse d’Elijah sur le second couple, analyse qui était bien plus poussé que la sienne. Un poil trop cynique d’ailleurs. « -les pauvres... » souffla la jeune femme en baissant les yeux sur son verre. Elle haussa les sourcils pour la phrase qu’il dit en le regardant, avant de regarder à nouveau de couple. Puis l’autre couple et cela la fit sourire. « -moins déprimant tout de même. » Mais elle n’eut pas le temps de dire quoi que se soit que la maitresse des lieux vint à leur rencontre avec sa petite phrase énigmatique qui fit sourire Madison. « -rien que ça... » marmonna la jeune femme en reprenant une gorgée de son verre avant de regarder ce qu’il en restait après les dire d’Elijah. « -tu crois ? » avant de hausser les épaules et d’ajouter : « -tu as raison. »
Maya fit un discours sur l’amour, la nature, la connexion entre les êtres vivants et leur souhaita à tous une belle soirée. Le son de la musique fut montée et Maddy prit un autre verre, trouvant le cocktail vraiment délicieux. Au bout du troisième, elle se sentit d’humeur à danser, et entraîna Elijah avec elle. Rien avoir avec la musique dont ils avaient l’habitude, mais elle s’en fichait, se laissant aller sur le rythme presque tribal, envoûter par l’alcool, les flammes des braseros… Deux heures plus tard, en regardant Elijah, elle le trouva beau. Elle s’attarda sur son sourire, ces fossettes, devint plus tactile, plus proche. Deux nouvelles heures plus tard, ils faisaient l’amour dans le tipis qui était le leur. Elle avait prit les devant, avait laissé tomber sa robe sur le sol et l’avait chevauché telle une amazone.
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