“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Dim 27 Fév - 20:54
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright: moi-même / Tumblr
Tout proche de Madison, comme s’ils n’étaient que tous les deux à ce buffet de petit-déjeuner, il lui rétorqua « C’est comme tout, ça s’apprend » avec un petit sourire en coin qui signifiait qu’il n’était pas contre l’idée de lui faire découvrir d’autres horizons. Il pencha légèrement la tête en la voyant se dépatouiller avec ses propres mots, et se mit à sourire de plus bel en suivant le fil de ses pensées, jusqu’à ce qu’elle prenne conscience qu’il avait encore envie d’elle malgré leurs ébats de ce matin « Si ce n’était que de moi, je te prendrais ici même. Pourquoi ?! Pas toi ?! » en plissant légèrement les yeux. Bon, elle l’avait épuisé il y a une heure, mais maintenant, il était remis de ses émotions et n’était pas contre l’idée de réitérer. Il se mit à rire quand Madison feignit l’amnésie soudaine « Tu as donc oublié que je me suis glissé entre tes cuisses à deux reprises ce matin et que tu as aimé ça ? Non parce que si c’est le cas, je dois à tout prix t’aider à te rappeler » en sous-entendant qu’ils allaient devoir recommencer une fois encore ce matin. Leur conversation fut interrompue par une autre résidante du lieu qui aurait souhaité être à la place de Madison au vu du regard qu’elle lui lança, et qu’elle ne changea pas pour autant malgré la mise au point de Madison ou qu’ils s’étaient installés tous les deux à table pour petit-déjeuner. « Je les ai tous mis en garde en arrivant. Hors de question de t’approcher. Tu es à moi. C’est bien ce que tu as dit à la femme de tout à l’heure : Tu es à moi » en souriant avec une certaine insolence.
Mais cette légèreté de début de déjeuner ne se pérennisa pas davantage parce qu’Elijah ne cessait de s’interroger, encore et encore, que même la belle brune venait à se demander s’ils n’avaient pas changé de corps, ou plutôt d’esprit. Un sourire pour seule réponse lorsqu’elle se rattrapa. Pour le reste de la conversation, ils ne la reprirent que sur le chemin qu’ils avaient emprunté pour rejoindre la cascade. Enfin, plutôt le monologue de la belle brune, parce qu’Elijah ne broncha pas le moindre mot, et s’était plutôt saisi d’un bâton, tout en rappelant que ce n’était qu’une petite bête, et fit disparaître la toile d’araignée et son habitante, se retournant momentanément pour répondre à la jeune femme « Oui. Elle ne t’a rien fait » et revint ensuite à hauteur de Madison. Plus de sourire sur les lèvres. Le visage presque fermé, il revint sur le monologue de la belle brune, pour finalement se résigner, et se saisit du sac à dos, décidé à poursuivre la marché à défaut de poursuivre la conversation.
Enfin… C’était ce qu’il pensait, mais la jeune femme en décida autrement et l’arrêta dans son élan. Il se retourna vers cette dernière qui semblait passablement énervée par son comportement. Plus elle parlait, plus il sentait la tension monter chez lui. Elijah détourna le regard en émettant un petit rire nerveux, puis posa ses mains sur ses hanches et la regarda à nouveau « Tu fais comme si de rien n’était, comme si tout était redevenu normal entre nous, alors que ce n’est pas le cas Maddy. Hier soir, tu m’as dit que tu pensais être tombée amoureuse de moi, puis il y a eu cette manière de me faire l’amour à la suite, et ce matin aussi… Bien sûr que mon attitude est étrange face à tout cela ! Je ne sais plus comment agir avec toi ! Et là, tu me sors que finalement, on n’aurait pas dû partir ensemble ce week-end, parce que c’est difficile de jouer un couple, et que ça donnerait peut-être même envie d’en devenir un ! ». Un nouveau rire nerveux, une main lasse sur le bas de son visage qu’il reposa ensuite sur sa hanche et reprit aussitôt qu’il venait de finir son monologue « Oui ce week-end est étrange. Oui, je le suis aussi, et tu sais pourquoi Maddy ?! Parce que je crois aussi que je suis en train de tomber amoureux de toi et ça me fait flipper comme jamais ! Parce que je ne sais pas si tu vas vouloir partir en courant » et désigna le chemin derrière eux de la main « Ou m’en coller une parce que tu trouves que je débite trop de conneries, et je ne sais pas si j’ai envie d’être un couple, puis je pense au fait de ne pas l’être, et ça me fait un truc là » et désigna son cœur « et ici » et désigna son ventre « Et ça fait beaucoup pour un seul homme ! J’ai quitté Brittany parce qu’elle était tombée amoureuse de moi, et je nous voyais, toi et moi, comme les oubliés de Cupidon et je me rends compte que non. Il nous a bien baisé avec sa flèche et maintenant » et maintenant, Elijah était à bout de souffle par sa tirade qu’il avait débité et reprit « Et maintenant, je pense à ce film-là, celui avec Will Smith qui aide les hommes à parler aux femmes dont ils sont amoureux, et quand je te vois, je pense à cette citation débile qui dit un truc du genre « Il n’y a qu’une personne qui me donne l’impression d’avoir des ailes et de planer, et c’est toi » et ça me fout encore plus ch’tons Maddy ! » puis reprit « Maintenant, si tu veux partir, tu peux, vas-y ! Parce que là, même moi, j’ai envie de me fuir parce que… » et tapa contre son bras « Je viens de me faire piquer ! Non mais quel enculé de moustique ».
Elijah poussa un soupir, laissa tomber ses bras le long de son corps et baissa la tête, puis posa ensuite ses mains dans sa nuque tout en soupirant, et laissa retomber ses mains quand il releva la tête vers Madison, rétorquant avec légèreté « Sacré week-end, hein ?! ».
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Lun 28 Fév - 11:20
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
crédit : tumblr, Cranberry
Ça avait été plus fort qu’elle. Elle s’était laissée emporter. Mais depuis qu’ils avaient quitté le tipi non depuis qu’elle était sortie de la salle de bain, il y avait quelque chose qui clochait ! Ils oscillaient entre conversation sérieux et conneries. Comme lorsqu’il lui avait clairement suggéré de faire l’amour là, sur la table, rien à foutre des autres. Ou encore lorsqu’il avait plaisanté sur le fait qu’il avait mis en garde les autres hommes présent ici. Tu es à moi. Ces mots résonnaient soudainement en elle alors qu’elle venait de hausser le ton et de lui demandé d’arrêter de ne pas assumer ses questions. En même temps, ça n’était pas exceptionnelle qu’ils se prennent la tête. C’était même plutôt d’ailleurs un retour à la normal au final !
Lorsqu’il commença à parler, elle croisa les bras et s’employa à le fixer du regard. Mais elle eut bien vite du mal à déglutir. Ça n’était pas un rêve ou un effet des cocktails étranges. Elle avait vraiment dit ça. Maddy ferma les yeux avec force en passant ses deux mains dans ses cheveux, exposant son visage au soleil comme si ça pouvait l’aider. Puis elle fit glisser ses mains jusqu’à sa gorge un peu comme si cela pouvait effacer tout le reste, écoutant pourtant d’une oreille attentive ce que disait Elijah. Que devait elle répondre ? Mentir ? Démentir ? Accuser la boisson ou le lieu ? Assumer ? Mais assumer quoi ? Est ce qu’elle était vraiment amoureuse ? C’était elle bordel qui avait imposé la règle ! Elle qui ne voulait pas de sentiment. Et voilà qu’elle était la première à foutre le merdier ! Elijah ne lui laissa pas le temps d’en placer une, et pour une fois, elle resta muette, ses mains toujours autour de son cou, ses doigts sur sa nuque.
Elle écouta, et écouta encore et au bout d’un moment, elle se pinça les lèvres parce qu’elle avait besoin de rire de tout ça. Pour éviter de flipper ou de partir en courant justement. Alors elle se retint de rire commentant seulement : « -le petit con... » en parlant de cupidon. Ce fut le fait qu’Eli était à bout de souffle qui la fit vraiment rire. « -tu as finis ? » demanda t elle un sourire jusqu’aux oreilles, sachant très bien qu’il pouvait prendre mal sa réaction. Elle ne connaissait pas le film, mais la phrase la fit sourire en fronçant les sourcils cependant. A ce point là ? Et il avait des doutes au sujet de ses sentiments ? Le moustique termina d’achever Madison qui pouffa de rire. « -c’est la nature qu’on devrait fuir ! » répliqua la jeune femme.
« -on fait demi tour ou on avance ? » demanda la jolie brune avec une pointe de douceur dans la voix. « -je parle du chemin » elle désigna le sentier du doigt. Parce que finalement sa question pouvait s’appliquer à eux aussi. « -est ce qu’on peut avancer et... » elle fit des moulinets avec ses mains : « -et laisser décanter un peu tout ça. » histoire qu’elle ne dise pas de connerie. « -j’ai très bien entendu tout ce que tu viens de dire. Et je… je faisais pas comme si de rien n’était. J’étais pas… j’étais pas certaine de l’avoir dit. Je savais pas si c’était un rêve ou que… » elle le regarda les deux mains ouvertes devant elle. Quelques choses bougea dans les herbes à côté d’elle, ce qui lui fit faire un bon jusqu’à Elijah. « -on peut avancer s’il te plais. » elle était certaine que prêt de la cascade ça serait plus sympa !
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Lun 28 Fév - 13:22
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright: moi-même / Tumblr
Voilà ! C’était fait ! Il avait déblatéré encore et encore, sans parvenir à s’arrêter, et cela, même jusqu’à perdre haleine, mais il l’avait fait. Il lui avait avoué que lui aussi était en train de tomber amoureux d’elle. Une part de lui aurait aimé qu’il en soit autrement. Qu’ils continuent cette relation sans prise de tête, parce qu’il avait moins de chance de la voir déguerpir au lever du jour. Puis l’autre part, lui martelait qu’il aspirait à davantage avec Madison, et qu’il n’était peut-être pas le seul après ce qu’elle lui avait avoué la veille au soir… Pour autant, Elijah ne se sentait pas libéré d’un poids. Il ne se sentait plus léger du fait qu’il avait mis des mots sur ce qu’il soupçonnait être de l’amour. Après tout, il n’y connaissait pas grand-chose. C’était une première pour lui. Mais lorsque les paroles des chansons prennent soudainement un sens nouveau, qu’une effluve dans l’air lui fait penser à cette dernière, ou qu’il a envie de passer plus de temps avec la belle brune qu’au bureau, il se dit que ça ne peut pas prendre un autre nom que celui-ci. Il était bel et bien en train de tomber amoureux de Madison et ça lui filer une trouille pas possible. C’était comme sauter dans le vide sans parachute… Et la seule personne qui pouvait le secourir dans sa descente, c’était la femme qui était devant lui et qui ne prononçait pas le moindre mot, sauf pour critiquer, avec lui, Cupidon et le moustique qui venait de le sucer sans l’inviter à dîner.
Á bout de souffle et à bout de force de lutter contre tout ça, Elijah releva son regard sur la belle brune et se mit à sourire, malgré le tourbillon de sentiments contraire qui sévissait à l’intérieur de lui, tout simplement parce qu’elle s’était mise à rire à la piqûre de l’insecte. Il pencha légèrement la tête sans se départir de son sourire « Nous sommes des souris des villes ». La nature, ce n’était pas vraiment leur fort. Puis son sourire disparu en l’entendant. Demi-tour ?! Avancer ?! Elijah était incapable de prendre la moindre décision, mais quand Madison précisa, il se mit à rire nerveusement, se grattant le front de son pouce. Il était parfois stupide. « On peut » répondit-il. Ça lui ferait le plus grand bien à lui aussi de marcher un peu et de reprendre son souffle et le contrôle de ses émotions. Les mains tenant le sac à dos posé sur ses épaules, il tourna la tête vers elle et lui sourit avec douceur « Les cocktails… ça embrouille l’esprit », lui faisant ainsi comprendre qu’il comprenait, et qu’il ne lui en voulait pas. Dans une situation contraire, il aurait sûrement gardé le silence aussi.
Puis Elijah suivit le regard de Madison qui se tourna brusquement vers l’herbe qui se mouvait sans l’aide du vent, et se mit à rire en voyant Madison se précipiter vers lui. Au moins, elle se sentait toujours en sécurité et en confiance avec lui. Il posa sa main dans son dos et rétorqua « Oui et n’ait crainte, je te protège » et la fit avancer devant lui, tapant le bâton au sol plusieurs fois pour faire fuir les probables serpents qui séjournaient dans le coin. Après quelques mètres, il marcha de nouveau à côté de Madison, ses mains dans les poches, et le regard rivé sur le sentier « Tu sais, ce n’était pas prévu » et releva son regard sur la jeune femme « Que je succombe… Si j’avais su, je me serais éloigné, je t’aurais laissé tranquille » avant de se rendre compte que ses mots pouvaient porter à confusion « Pas que je ne suis pas bien avec toi, hein ! Au contraire. Mais je sais que tu avais insisté sur ce point, et que ça semblait te tenir à cœur. Enfin d’un autre côté, c’est toi qui l’as avoué en première, donc ça compense, non ? » en affichant un sourire amusé alors qu’il donna un petit coup d’épaule à la belle brune « Tu as pris un maillot de bain ? » demanda-t-il en changeant radicalement de sujet.
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Lun 28 Fév - 14:20
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
crédit : tumblr, Cranberry
Elle s’était mise à rire, et cela avait fait sourire Elijah. Ouf… « -la plage y’a que ça de vrai ! » clama Madison. Le soleil, le sable, les cocotiers ! Pas de hautes herbes avec des bestioles qui piques, qui grattent et qui rampent. Alors elle proposa soit d’avancer soit de faire demi tour et en voyant qu’Eli était vraiment, mais alors vraiment perturbé par tout ça, elle précisa qu’elle parlait du chemin. Pas de eux ou de leur relation. Elle avoua au passage qu’elle ne savait plus vraiment décerné le vrai du faux ce matin quant à sa déclaration sentimentale. « -ou ça fait voir d’un œil neuf… suivant les points de vu... » raya la jeune femme en reprenant les mots de Maya. La nature se mêla à nouveau à la conversation et prise par surprise, Maddy fit encore preuve de beaucoup de courage.
Elle ne se fit pas prier pour avancer avant de dire avec humour : « -et c’est pour ça que je passe devant ? C’est pas celui qui passe devant qui meurt dans les films ? » un regard en arrière, un sourire et elle avança à nouveau. Petit à petit le sentier changea, adieu les hautes herbes. Elle se sentit un peu mieux et ils purent à nouveau marcher côte à côte. « -j’avais compris... » répondit Madison en le regardant quelques secondes. « -et je sais... » elle pensait le connaître assez pour s’imaginer que oui, il n’avait pas du tout prévu que ça tourne ainsi. Elel le laissa parler à nouveau, avant de sourire en hochant la tête. « -ouais… c’est moi qui l’est dit en premier... » c’était un peu le bordel dans son esprit. Mais ils allaient trouver une solution. Il y avait toujours une solution. Si pas de solution, pas de problème. Est ce que c’était vraiment un problème en soit qu’ils aient des sentiments l’un pour l’autre ? Est ce que ça n’était une certaine forme de suite logique ? « -hum... » elle s’était perdue quelques secondes dans ses pensées. « -ah heu non. Je m’étais clairement dit que si on allait se baigner, je le ferais nue pour être en parfaite communion avec la nature ! » un haussement d’épaules avant de se mettre à rire : « -tu verrais ta tête. Bien sur que j’ai un maillot de bain ! » d’accord, elle s’était plutôt imaginée qu’elle ne le garderait pas longtemps.
Enfin ils arrivèrent à la cascade et elle ne put s’empêcher de dire : « -on se croirait dans le roi lion. » elle savait qu’ils devaient vraiment parler mais elle repoussait encore ce moment de quelques minutes. Le temps d’admirer le paysage, et de poser les affaires. Elle reporta son attention sur Elijah et lui dit en retirant sa robe. « -tu veux bien qu’on s’envoie en l’air avant de parler ? Parce que… après cette conversation je me dis qu’il n’y aura peut être plus d’occasion de s’envoyer en l’air ou que lorsqu’on le fera ça sera différent donc… » c’était un peu particulier comme demande mais elle n’avait pas tord dans sa façon de penser. Elle avait envie de lui, depuis un moment déjà et cela malgré ce qu’il avait pu dire, malgré les sentiments ou l’espèce d’angoisse qu’elle ressentait vis à vis de tout ça. « -je te promets qu’on va parler de tout ça, qu’on va éclaircir les choses et… tenter de se rassurer… et je ne fuis pas la situation, je veux vraiment qu’on en parle parce que c’est important, parce que j’ai bien vu ton comportement et que j’ai pas envie de ça tout le temps... » et pourquoi est ce qu’elle se mettait à parler autant d’un coup ?
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Lun 28 Fév - 14:58
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright: moi-même / Tumblr
Son rire l’avait fait rire, tout autant que sa précision qu’il renchérit par un « Bora Bora » alors qu’il faisait un effort pour apporter un peu de légèreté après son monologue sûrement lourd de conséquences, et qui lui embrouillait encore l’esprit pour ne pas parvenir à comprendre, tout de suite, qu’elle parlait du chemin à prendre et non de leur relation. Il avait apprécié que Madison justifie, sûrement en raison de l’expression de son visage, et reprirent la route, non sans sourire avec douceur à la précision de la belle brune « Je préfère cette version » lui avoua-t-il. Voir tout d’un œil neuf… C’était un peu ce qui s’était passé entre eux. Maintenant, il restait à voir ce qui allait advenir d’eux deux, de leur relation. Et pour cela, il n’était pas encore certain de vouloir y penser, parce que ça lui faisait peur. Toute cette histoire lui faisait peur de toute manière. Un peu comme les insectes effrayaient la belle brune qui trouvait refuge auprès de lui presque aussitôt qu’elle avait vu l’herbe se mouvoir sans raison « Tu es trop canon pour mourir en premier dans les films, et je surveille tes arrières. Tu ne t’en plains pas d’habitude que je sois derrière ton cul » en échangeant un regard complice avec Madison. Le quadragénaire ne voulait pas perdre ça avec la belle brune. Cette complicité. Ces conversations emplis de sous-entendus qui faisaient monter la température entre eux, jusqu’au point de non-retour où ils succombaient. Il resta donc derrière elle un petit moment pour s’assurer qu’il n’y ait aucun serpent ou autre bestiole du genre aux alentours, et lorsque le terrain fut dégagé, il rattrapa Madison pour reprendre le chemin à ses côtés.
Elijah se montra plus sérieux cette fois-ci en lui faisant comprendre qu’il n’aurait pas pensé tomber amoureux. Ça n’avait jamais été dans le programme. Ils étaient juste censés s’envoyer en l’air quand l’envie se présentait et point barre. Mais Cupidon en avait décidé autrement et ça leur était tombé dessus malgré eux. Il fut presque soulagé de voir que Maddy avait conscience que ce n’était en rien calculé, et apprécia son sourire à la suite quand elle lui avoua que oui, elle était la première à l’avoir avoué. Il continua de parler et se mit à sourire à nouveau en voyant qu’elle avait eu un moment d’absence. Il haussa les sourcils, la bouche presque entrouverte, avec une envie très soudaine de se téléporter jusqu’à la cascade et referma la bouche quand la belle brune lui fit remarquer l’expression qu’il affichait sur son visage « Désolé. Je t’imaginais complètement nue sous la cascade, plaquant tes cheveux en arrière sur une musique de Sade… » et se racla la gorge avant de reprendre avec sérieux « Tu dois vraiment garder ton maillot de bain ? » en sous-entendant qu’il préférait la version où elle était nue dans l’eau.
En arrivant à la cascade, Elijah resta bouche bée un bref moment devant la beauté du paysage, avant de froncer les sourcils tout en affichant un sourire en coin, tournant la tête vers la belle brune « Le Roi Lion ?! » en se foutant presque de sa gueule et reporta son attention sur le paysage un instant avant de poser le sac au sol, de sortir la couverture et retira ensuite ses vêtements non sans regarder la jeune femme en faire de même. Le journaliste haussa à nouveau les sourcils devant une telle demande, alors qu’il se mettait à sourire, presque à rire, puis plissa le regard en tentant de comprendre le sens des mots de Madison, et se redressa lorsqu’il fut en short de bain, et posa ses mains sur ses hanches, l’écoutant parler encore et encore. Il s’approcha de cette dernière et l’embrassa tout en entourant son visage de ses mains, et se recula « Tu parles trop ! » et l’embrassa à nouveau « Utilise ta bouche pour autre chose pour le moment » et reprit possession de ses lèvres, faisant glisser ses mains sur sa peau pour lui retirer son maillot de bain dont il ne voulait pas, et en fit de même avec le sien, et ils prirent place sur la couverture qui aurait dû servir de table pour le pique-nique, et tout en déposant des baisers sur sa peau, il descendit jusqu’à sa féminité dont il prit possession, jouant habilement de sa langue jusqu’à la sentir se contracter sous le plaisir. Il refit ensuite le chemin inverse pour l’embrasser à nouveau avec envie, guidant les doigts de Madison jusqu’à sa virilité durcie, soupirant de plaisir sous ses caresses, avant d’entrer en elle. Son regard dans le sien, il ondula langoureusement le bassin, puis se redressa sur ses genoux, plaçant les jambes de Maddy sur ses épaules, et accentua les coups de reins sans la quitter des yeux. Il se retira le temps de la faire se retourner dos à lui, et la pénétra à nouveau, alors qu’elle était à quatre pattes, et se montra plus vigoureux. Pas de sentiments en cet instant. Juste du sexe. Il accéléra les vas-et-viens en écoutant pratiquement que ses instincts primaires, et cela, jusqu’à sentir l’orgasme l’accabler et qu’il cria sans avoir besoin de se soucier des voisins. Il resta en elle un instant, puis se laissa finalement tomber sur le côté, à bout de souffle, et le cœur battant à tout rompt, et tourna la tête vers la belle brune, rétorquant essoufflé « Laisse-moi un moment et on recommence dans l’eau » puis se pencha pour embrasser sa peau avec une certaine sensualité dans le geste et reprit possession de ses lèvres, mêlant sa langue à la sienne, puis se recula « J’aurais toujours envie de te baiser comme je viens de le faire, compris ?! Il y a des chose qui ne vont pas changer ».
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Lun 28 Fév - 15:42
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
crédit : tumblr, Cranberry
Un joli rire était sortie de la gorge de Madison. « -oui t’as pas tord ! » ça n’était jamais la nana canon qui mourrait en premier. Et puis heureusement ils n’étaient pas dans un film de toute façon. « -non c’est vrai, j’aime beaucoup ça d’ailleurs. » renchérit la jeune femme qui tenait vraiment à poursuivre sur cette note d’échange classique entre eux. « -c’est pour ça que tu restes derrière : pour mater mon cul. » un haussement d’épaules devant l’évidence des faits, avant de lui jeter un regard aguicheur par dessus son épaule. Ça il ne fallait pas que ça change ! Jamais ! Sentiments ou pas, elle ne voulait pas perdre ça. C’était elle qui avait balancé la première bombe, elle devait bien assumer les mots qu’elle avait dit la veille au soir, même si elle ne s’en souvenait pas vaguement. « -avant que je hurle parce qu’un truc m’a frôler la cheville ! » renchérit Maddy en riant avant de répondre du tac au tac : « -non pas forcement. » avec un aplomb déconcertant.
« -ba quoi, j’ai une gamine de cinq ans je te rappelle. Donc oui j’ai déjà vu et revu et rerevu le roi lion. Et oui ça m’a fait penser à ça. » répliqua Madison en ouvrant grand les bras devant le paysage des plus sympathique. Et puis, elle lui fit une demande claire. Elle voulait qu’ils s’envoient en l’air, là maintenant, tout de suite. Comme ils le faisaient depuis quelques temps. Sans se poser de questions, sans avoir les idées embrouillées. Ils allaient parlé, c’était certain, il le fallait. Mais là tout de suite, alors qu’il venait de retirer sa chemise et bien… ouais, elle avait envie de lui. De son corps et de ses coups de reins. Elle resta interdite devant son baiser, avant d’y répondre et de dire : « -ouais je me suis dis pareil ! » et de l’embrasser à nouveau en souriant, complice.
Très vite ils furent nus, tel Adam et Eve au paradis ou au jardin de truc… enfin la différence était qu’il n’était pas question de pommes. La tentation était tout autre et elle comptait bien y céder. Lorsqu’elle s’allongea sur la couverture, les mots de Maya, ceux du premier jour lui remontèrent en mémoire. Ça n’était pas dérangeant de s’envoyer en l’air ici ! Alors rien à foutre si d’autres touristes se baladaient dans les parages ! Ils se diraient simplement qu’elle avait de la chance d’avoir un homme capable de la faire jouir de la sorte rien qu’avec sa langue. Le souffle court, elle l’embrassa avec toujours autant d’envie et ne se fit pas prier pour prendre en main son membre. Elle se promis de s’en occuper véritablement ce soir. Parce qu’elle savait très bien qu’il adorait ça. Mais là tout de suite, elle voulait le sentir en elle. Et il lui arracha un : oh oui, lorsqu’il se glissa entre ses cuisses et la fit sienne.
Une fois à quatre pattes, elle exprima tout son désir pour lui, l’encourageant avec des va s’y et des c’est bon avant de crier son plaisir, la peau moite et le souffle court. « -ok… ok… ça me va... » parvint elle à articuler, en posant le dos de sa main sur le torse d’Elijah, tournant la tête vers lui, souriante. Elle lui rendit son baiser avant de rire. « -j’espère bien. Sinon je te quitte. » elle regarda le ciel quelques instants avant d’ajouter : « -sincèrement, je pense qu’il n’y a plus un serpent à la ronde. » les animaux avaient dû fuir en les entendant. « -aller viens… on doit parler. » lança la jeune femme en se redressant, avec pour objectif d’aller dans l’eau. Les lieux n’étaient visiblement pas si sauvage que ça puisqu’une source chaude semblait les accueillir. Elle y entra et s’installa, prenant le temps de revenir totalement sur terre. Après un long silence elle dit : « -plus j’y pense, plus je me pose la question et plus je me dis que… que j’ai des sentiments pour toi depuis le premier soir. Enfin le premier matin. Je crois que… je pense que quand on s’est rencontré, j’ai eu une sorte de coup de coeur pour toi. » ils devaient parler. Alors autant le faire !
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Lun 28 Fév - 16:17
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright: moi-même / Tumblr
La discussion qu’ils venaient d’avoir semblait être un lointain souvenir soudainement, alors qu’ils plaisantaient sur le fait qu’Elijah restait en arrière pour veiller sur les arrières de la belle brune qui se demandait si c’était la meilleure idée qui soit. « J’ai toujours raison » rétorqua-t-il en haussant les épaules comme si ça coulait de source, avant de soulever le fait que d’habitude elle ne se plaignait pas lorsqu’il était dans son dos, et apprécia son regard en cet instant qui ne faisait qu’attiser son envie d’elle qui revenait crescendo malgré la situation de leur relation « Je sais bien » répondit-il tout en gardant cette lueur dans le regard quand il la regardait. « Pour quelle autre raison sinon ?! » en souriant, comme si c’était la seule hypothèse sensée pour laquelle il restait en arrière, d’autant plus qu’elle avait un très joli cul, et il n’avait pas envie de le voir dans un maillot de bain. Il se mit à rire et haussa les épaules « La seule chose qui va te toucher dans cette eau, c’est moi » et lui demanda tout de même si elle était obligée de porter son bikini et posa un regard enchanté sur Madison qui confirma que non, elle n’était pas obligée. Parfait.
En arrivant devant la cascade et le paysage sublime qu’elle offrait, Elijah ne put que s’amuser de la comparaison qu’en fit Madison avec un dessin-animé pour enfant « Je sais, mais ce n’est pas vraiment la première pensée qui me vient. Pocahontas au pire, ou encore Frère des Ours, mais le Roi Lion ?! » et précisa « J’ai une ribambelle de neveux et nièces » pour justifier le fait qu’ils connaissent les titres de dessin-animés. Cela mis de côté, ils se mirent à ôter leurs vêtements chacun de leurs côtés, non sans se regarder mutuellement, alors que Madison parlait encore et encore. Il décida donc de le faire taire en l’embrassant, ce qui avait semblablement surpris son amante, avant qu’elle n’y réponde. Un sourire à sa réponse, et reprit de plus belle, bien décidée à laisser sa bouche libre seulement pour la faire crier de plaisir. Pour cela, il prit son temps avec sa féminité, sans se soucier de leur environnement, et lorsqu’elle eut jouit sous sa langue habile, il la fit sienne, se laissant guider par Madison qui en demandait encore et encore, jusqu’à la jouissance. Á bout de souffle, et allongé sur la couverture, en tenue d’Adam, il lui promit de réitérer cela dans l’eau cette fois-ci. C’était dommage d’être dans un tel paysage et de ne pas en profiter pour prendre son pied une nouvelle fois. Il se pencha pour l’embrasser en la rassurant sur un point : Il ne cesserait pas de lui faire l’amour de la sorte, même si leur relation venait à changer. Un petit rire et posa sa main sur sa joue dans une caresse, touché par les mots de cette dernière « Promis » et fixa le ciel avec elle, avant de se redresser sur ses coudes pour observer les alentours en entendant Madison, et tourna la tête vers elle « Le seul serpent présent, c’est celui qui se trouve entre mes jambes » en désignant sa virilité.
Á la demande de la belle brune, Elijah se leva et la suivit dans l’eau chaude de la cascade, s’enfonçant dans l’eau jusqu’à la tête et plaqua ses cheveux en arrière, puis s’amusa à flotter dessus un instant, jusqu’à ce que la voix de la jeune femme lui parvienne. Il se redressa sur ses pieds et posa son regard sur Madison qui venait de lui avouer, ouvertement, que ses sentiments n’étaient pas récents. Il resta là, au milieu de l’eau, son regard posé sur elle, silencieux face à une telle révélation. Elle avait eu un coup de cœur pour lui. Il en fut touché tout autant qu’il se mit à culpabiliser « Ce que je t’ai fait a dû te faire encore plus mal que ce que je peux imaginer… » tout en posant sa main sur sa joue, et ajouta en se raclant légèrement la gorge, comme mal face à cette pensée « La haine n’est jamais bien éloignée de l’amour… » précisa-t-il en souriant, et ajouta « J’ai eu un coup de cœur pour toi aussi ce soir-là, sinon je n’aurais pas pris le petit-déjeuner en ta compagnie, mais j’ai commencé à tomber amoureux de toi au moment du décès de mon père… Enfin je crois. Ta manière de t’occuper de moi, de prendre soin de moi, je ne sais pas. Là-bas, j’avais juste envie d’entendre ta voix, que tu sois avec moi. Je pensais que c’était juste dû au fait que tu étais la seule à pouvoir me faire rire, mais en y repensant... » et afficha une légère grimace qui voulait dire qu’il s’était fourvoyé. Il resta silencieux un moment, jouant avec l’eau et ajouta « C’est pour ça que tu n’es pas tombée amoureuse de Roy ? ».
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Lun 28 Fév - 21:15
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
crédit : tumblr, Cranberry
« -permets moi d’en douter. » ironisa Maddy quand à son aptitude à toujours avoir raison. « -tu es censé me protéger de la faune sauvage des lieux ! » drama queen attitude ! Comme s’ils étaient en train d’évoluer dans une jungle terrifiante et pleine de danger. « -intéressant... » ajouta la jolie brune en s’imaginant leur ébat dans l’eau clair de la cascade. La référence au dessin animé la fit rire autant que la justification que lui donna Elijah. « -ba oui, l’amour brille sous les étoiles tout ça tout ça. Je vais quand même pas être obligée de la chanter ? » même si elle la connaissait par coeur et qu’elle adorait cette chanson.
Elle lui fit ensuite une demande singulière commençant à parler encore et encore. Mot qu’elle soupira ensuite alors qu’il allait et venait en elle, agrippant ses hanches sur cette couverture qui leur évitait de faire ce genre d’activité dans l’herbe. D’autres auraient pu s’offusquer de la façon de parler d’Elijah concernant leurs ébats. Pas elle. Ils avaient toujours eut ce genre de langage concernant leurs corps à corps. Et elle espérait qu’il disait vrai. Que malgré ce qu’ils venaient de se dire une demi heure plus tôt, le sexe serait toujours aussi intense et délicieux. « -hé crois moi c’est le seul que j’apprécie même s’il me fait crier. » un regard entendu, un sourire taquin et elle se leva pour rejoindre l’eau qui leur tendait les bras.
Oui mais voilà, ils devaient parlé et le moment était venu. Il avait été patient, avait respecté sa demande de différer cette discussion, alors elle devait prendre son courage à deux mains et lui avouer la suite. « -je crois que c’est en parti à cause de ça que je t’ai autant détesté. » elle ne le comprenait que maintenant. « -exactement... » souffla t elle un sourire aux lèvres avant de baisser les yeux. De l’eau jusqu’à la poitrine, elle écouta ce qu’il avait à dire en retour, méditant quelques instants sur ces mots. Un petit rire : « -et dire qu’on se croyait au dessus de tout ça. Ça nous est bien tomber sur la gueule sans prévenir. » oui parce qu’en réalité, au moment de sa demande, alors qu’ils venaient de coucher ensemble, d’à nouveau coucher ensemble après ces cinq années, les sentiments étaient déjà là. Tapis dans l’ombre, évitant de faire trop de vague, mais pourtant déjà bien présent.
« -je sais pas… » répliqua Maddy en réfléchissant : « -je pourrais pas dire que je suis tombée amoureuse en une nuit avec toi. Mais tu me plaisais. Vraiment… je te l’ai dis, je m’étais dis que ça pouvait vraiment donner quelque chose de sympa. J’ai pas passé cinq ans à mourir d’amour pour toi, faut pas déconner. » non parce que ça n’était vraiment pas le cas. Et elle ne s’était pas attendue à ce que leur relation prenne cette tournure. « -Avec Roy c’était… » un haussement d’épaules : « -totalement différent. Je pense que si je n’étais pas tombée enceinte, notre relation n’aurait pas duré. » c’était la triste réalité. Un soupire en ajouta : « -enfin quoi qu’il en soit, toi et moi on en est là… et je vais être franche, je n’ai pas envie que ça s’arrête parce qu’on a peur de nos sentiments. Techniquement c’est bien non, de tomber amoureux de quelqu’un ? Surtout de quelqu’un avec qui ont à déjà de l’affinité. J’ai pas envie qu’on s’éloigne, j’ai pas envie d’arrêter le sexe avec toi. Mais je n’ai pas non plus envie qu’on se balade main dans la main en arrivant au boulot. Parce que c’est trop tôt. Vis à vis de mon poste, du tien, mais aussi de ta rupture avec Brittany. Alors... » elle haussa les épaules en disant cela : « -alors je te propose qu’on poursuive ça, sans se prendre la tête. Qu’on continue comme on l’avait dit, sauf que ba ouais y’a des sentiments. Faudra faire avec. » ça faisait un peu je minimise les choses mais elle tenait à ce qu’ils gardent leur relation. Vraiment.
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Lun 28 Fév - 21:50
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright: moi-même / Tumblr
Elijah ne put que rire de la réponse de la belle brune avant de confirmer par un « Tu as raison » qui pouvait paraître presque ironique au vu de la conversation. Plus d’une fois, le journaliste lui avait prouvé qu’il était bien loin d’avoir la science infuse, et encore moins d’avoir continuellement raison. Puis il pencha la tête de côté en voyant son amante jouer les Drama Queen face à la faune peu sauvage du coin « Nous ne sommes pas en Australie ma belle, on se détends. Le seul prédateur que tu dois craindre tout de suite, c’est moi », parce qu’il avait faim d’elle, de son corps, de ses caresses, et qu’il n’allait pas attendre ce soir pour goûter sa peau et ses lèvres, ce qu’il n’hésita pas à lui faire comprendre, et elle ne semblait pas contre l’idée. Puis ils se mirent à parler de Walt Disney, ce qui apaisa quelque peu la tension sexuelle entre eux. C’était souvent ce qu’engendraient les dessin-animés « Non, ça ira pour le moment » en souriant, riant presque. Pour le moment, le seul son qu’il voulait entendre sortir de sa gorge, c’était celui qui trahissait son plaisir lorsqu’il lui fit l’amour sur la couverture près de la cascade. Ce qu’il parvint à faire, pour son plus grand plaisir à lui. Elijah se mit à rire alors que Madison ne semblait pas effrayée par le serpent qui se trouvait entre les jambes du journaliste, bien au contraire « Oui, mais tu aimes crier de cette manière-là », parce qu’elle en redemandait encore et encore. Oui, c’était un mot qu’elle aimait bien prononcer lors de leurs ébats.
Dans l’eau, la conversation fut bien différente parce qu’ils devaient parler d’eux, de ce qui leur était tombé dessus et que les gens appelés communément : L’amour. Lui qui se pensait immunisé, il s’était bien fourvoyé ! Et pour Madison, le coup de cœur était arrivé bien plus tôt, ce qui accentua la culpabilité qu’il éprouvait vis-à-vis de ce qu’il lui avait fait presque six ans auparavant « Je suis désolé… » souffla-t-il avec sincérité. En ce qui le concernait, il avait été attiré par elle ce fameux soir, mais les sentiments étaient arrivés bien plus tard, et dans une période difficile pour le quadragénaire qui était bien trop préoccupé par les évènements qui lui tombaient dessus que par les sentiments qu’il éprouvait pour la jolie brune. Il se mit à rire quand Madison mis en exergue l’ironie de la situation « Oui… Et tu ne vas peut-être pas me croire, mais je ne lui en veux pas à Cupidon… Parce que c’est bon, tu ne trouves pas ? » en penchant légèrement la tête, sourire aux lèvres. Finalement, lorsque l’on retirait la pression, les craintes de voir leur relation s’arrêter-là, c’était agréable, non ?!
Elijah se mit à rire de nouveau alors que Madison le ramena sur Terre en lui précisant qu’elle n’était pas non plus tombée amoureuse de lui ce jour-là, et qu’il n’avait pas hanté ses pensées pendant cinq ans… Enfin si, mais pas pour les mêmes raisons « J’avais bien compris que tu n’étais pas transit d’amour pour moi ! Enfin aujourd’hui si, évidemment. Je veux dire, comment en faire autrement » rétorqua-t-il en se désignant de la main et reprit « Mais l’homme pour qui tu as eu un coup de cœur, peut-être un premier coup de cœur, s’en fuit en brisant toute ta carrière et ta confiance en toi. Ça laisse des séquelles, et ça créer une armure, je me trompe ? » en la regardant avec davantage de sérieux. Quand elle précisa que sans l’enfant, elle serait sûrement partie, il hocha lentement de la tête avant d’ajouter « Surtout que l’enfant est arrivée au tout début de votre relation… Je veux dire, ça accélère les décisions » et elles ne sont pas toujours les meilleures.
Alors que la belle brune mettait une mise au point presque officielle de leur relation, il avança lentement jusqu’à elle, ses mains posées sur le dessus de l’eau claire et acquiesça à ses questions, non sans sourire davantage, et s’arrêta devant elle tout en continuant d’acquiescer « Faudra faire avec ?! Vraiment ?! C’est comme ça que tu vois les choses ? » en se foutant d’elle en cet instant. Il continua d’hocher la tête tout en baissant ses yeux sur l’eau clair, puis après quelques secondes, releva ses prunelles bleues sur la jolie brune « Je n’ai pas envie que tout ça s’arrête non plus. Je tiens à toi, je tiens au sexe avec toi, je tiens à nos conversations, et nos sentiments doivent juste cimenter le tout ensemble, et non le diviser » tout en formant un bloc avec ses mains, puis reposa ses doigts sur la surface de l’eau « Au travail, je ne veux pas non plus que l’on s’affiche. Je n’ai pas envie d’alimenter les ragots… En revanche, j’aimerais qu’on lâche prise, qu’on ne se retienne pas dans nos gestes, quand on est tous les deux, en week-end, et qu’on n’a aucun risque de rencontrer qui que ce soit qui nous ait familier… » et leva les yeux vers le paysage environnant « Un peu comme ici » puis reposa son regard sur elle « Ça te conviens ? ».
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Mar 1 Mar - 14:52
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
crédit : tumblr, Cranberry
Ils étaient là, dans l’eau, nus, en train d’entamer cette conversation les concernant. Cette conversation qu’elle n’avait cessé de repousser jusqu’à présent. Simplement parce que c’était délicat et flippant. Maddy avait bien compris les craintes d’Elijah face à ses sentiments. Ils étaient pourtant réciproque et de son côté à elle, la jolie brune trouvait cela rassurant. Parce qu’elle ne se retrouvait pas seule à éprouver plus qu’une attirance physique. Parce qu’elle n’était pas seule à le coeur qui se mettait à battre plus fort parfois, pas la seule avoir envie d’un peu plus que du sexe entre eux. Alors elle avait ouvert la bouche et avoué prendre conscience que ses sentiments, ils étaient là depuis déjà bien longtemps. Que s’il n’était pas parti comme un voleur avec son idée d’article, il y aurait pu avoir quelque chose entre eux. Au lieu de ça, elle l’avait détesté durant toutes ses années, lui souhaitant le pire. Le maudissant même parfois d’être à l’origine de tous ses malheurs et de sa vie merdique. « -ne le soit pas. C’est du passé. » aujourd’hui ils s’étaient retrouvé, elle lui avait pardonné. Et aujourd’hui, ils en étaient là. Amoureux ?
Elle répondit à son sourire par un sourire tendre. « -nouveau et plutôt effrayant aussi je trouve. » avoua t elle. Simplement parce qu’ils redoutaient l’un comme l’autre ce genre de sentiments, qu’ils n’étaient pas habitué à y faire face. Elle rit à son tour : « -et voilà il faut forcement que tu amplifies le truc. » ce qu’elle ressentait ça n’était pas un amour fou comme on pouvait le voir dans les films ou le lire dans les romans. Elle ne pensait pas à lui à longueur de temps, son coeur ne sautait pas à battement lorsqu’elle le voyait, et si on lui demandait, elle ne donnerait sûrement pas sa vie pour lui. C’était tendre, c’était doux, c’était plus que ce qui était prévu au départ. Puis elle baissa les yeux en souriant toujours avec douceur. « -ouais... » c’était la seule réponse qu’elle pouvait lui donner. Elle n’avait pas barricadé son coeur, n’était pas devenu méchante et cruelle avec les hommes. Non, elle avait seulement souffert. Et comme elle l’avait dit un peu plus tôt, c’était du passé. Même s’il en résultait une certaine retenue. Elle précisa qu’avec Roy c’était différent, que sans leur fille, ils ne seraient pas rester ensemble. « -oui, même si d’autres décisions pouvaient être prise. Ne pas avoir cette enfant, ne pas vouloir assumer son rôle de père… mais j’ai décidé de garder le bébé et il a décidé de rester. Aujourd’hui, on est bien mieux séparé. Et je vais bien mieux qu’à l’époque. » Elijah avait la chance ne pas l’avoir vu au fond du trou. De ne pas l’avoir connu totalement dépressive, submergée par sa maternité, effondrée devant son incompétence dans tous les domaines. Lorsqu’ils s’étaient revu, elle avait fait le choix de remonter la pente, de penser à elle, de reprendre sa vie en main.
« -quoi ?! » s’amusa Madison qui savait parfaitement que ses mots étaient peut être un peu abruptes. Elle écouta la suite, contente d’entendre qu’il partageait son point de vu. « -ça me va. On ne précipite rien, on profite de tout ça. Et on verra bien ce que ça donne. » c’était le mieux à faire. Sur ces mots ils firent à nouveau l’amour, ils arrivèrent en retard pour les séances prévues l’après midi. Mais ce tête à tête avec Maya lui fit un bien fou. Elle s’était retrouvée dans un sauna naturelle, en compagnie des autres femmes. Petit à petit chacune leur tour, elles avaient extériorisé ce qui leur faisait mal dans leur couple. Ce qui était gardé à l’intérieur depuis trop longtemps. Maya les invita à chanter, crier, hurler si elles le souhaitaient, afin de tout faire sortir. En sortant de là, Madison se sentit épuisée, mais étrangement soulagée. Elle avait hurlé la trahison d’Elijah, le fait qu’il profite de sa faiblesse, l’abandon qu’elle avait ressentit, mais également toute cette haine envers elle même qu’elle avait éprouvé durant toutes ses années. Elle était rentrée avant Elijah au tipi, avait prit le temps de prendre une douche puis s’était allongée. Épuisée elle s’était endormie.
Contenu sponsorisé
“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]