“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Manhattan Redlish
Dim 6 Mar - 15:28
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah aurait pu continuer de rester distant toute la durée du séminaire, restant enfermé dans sa chambre d’hôtel lors du temps libre qui leur était octroyé. Mais il avait eu besoin de ce verre, et de marcher un peu. C’étaient ses pas qui l’avaient mené jusqu’à elle, assise sur un banc, avec son propre verre d’alcool. Il aurait pu poursuivre son chemin, comme si de rien n’était. Mais il avait entendu sa conversation et ne pouvait se résigner à continuer de marcher en l’ignorant. Elijah avait donc pris place sur le banc, à ses côtés. Un moment de silence les enveloppa avant que le journaliste ne décide de le briser. Madison lui avait reproché de ne pas communiquer. Il allait donc lui prouver qu’il en était capable. Pour elle. Pour eux deux. Évidemment, la belle brune ne put s’empêcher de prendre la parole, mais il la coupa dans son élan. Elijah voulait pouvoir mettre des mots sur leur situation sans être coupée par la belle brune. Finalement, elle ne résista pas longtemps et le coupa dans sa tirade. Il baissa les yeux alors que Madison lui fit par de ces torts à lui dans cette histoire. Il ouvrit la bouche et la referma aussitôt. S’interrogeant lui-même. Pourquoi cette retenue ?! Et la réponse s’imposait d’elle-même « Parce que j’ai peur que tu penses que j’en demande trop. Parce que j’ai l’impression d’être le seul à vouloir davantage entre nous, et que ça te fasse peur. Comprends-moi, tu m’as repoussé par peur que je découvre la vérité pour ta fille, ensuite tu as craint les sentiments que tu as éprouvé pour moi en souhaitant une relation purement physique entre nous, et voilà qu’on s’est rendu compte qu’il y avait plus. Ça nous a fait paniquer tous les deux… Il n’y a que de la peur dans notre relation. Peur d’aimer, peur de se tromper, peur d’aller plus loin ensemble… » et poussa un soupir en détournant brièvement le regard avant de reprendre le fil de la conversation.
Après tout, Madison lui avait donné des arguments qui avait fait douter Elijah sur la suite de leur relation et ça semblait surprendre la belle brune, alors il tenta de lui répondre en la citant presque « Tu m’as dit que ça ne pouvait pas marcher comme ça, qu’on n’allait pas faire ça. Tu m’as demandé de partir au risque de prendre les mauvaises décisions sous la colère… Comment veux-tu que je le prenne ?! » et poussa un nouveau soupir, terminant son verre d’une traite et releva son regard sur elle « Je ne partirais pas Madison » alors qu’elle ne parvenait pas à répondre correctement à sa question. Il n'avait pas envie de la quitter, de partir au petit matin. Elle l’avait changé. Elle lui donnait envie de s’investir dans leur relation. Quand elle s’excusa, il souffla un « Moi aussi » parce qu’il lui avait fait autant de mal qu’elle…
À nouveau, le silence les enveloppa et Elijah le respecta. Assis sur le banc, le verre de scotch vide posé sur son genou, il observa les alentours, les gens se promenant dans le parc, avant de tourner la tête vers la belle brune qui reprenait la parole. Il ne la quitta pas du regard, et sourit quand elle lui confia tenir réellement et vraiment à lui, ainsi que lorsqu’elle avoua que ses arguments avaient du charme. Il émit même un petit rire quand elle fit remarquer que leur relation n’avait jamais été simple. C’était un fait. Eux deux, ça n’avait jamais été simple, et cela, depuis le début. Il répondit un « Oui, ça me convient » avant de veiller à ce qu’ils soient seuls aux alentours et s’approcha d’elle, passant son bras autour de ses épaules pour la serrer contre lui, déposant un baiser sur sa tempe « Je tiens vraiment, vraiment beaucoup à toi aussi Maddy et je suis désolé aussi de ne pas avoir su mettre les mots sur ce que je voulais pour nous deux… ». Il se recula, retirant son bras de ses épaules dans une caresse et ajouta « Après le séminaire, je pourrais peut-être te faire à dîner à mon appartement ? » et donna un coup de menton en direction du verre de la belle brune « Tu me fait goûter ? ».
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Dim 6 Mar - 21:11
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -ne penses pas à ma place. » répliqua Madison avant d’écouter la suite de ce qu’il avait à dire. Il n’avait pas tord. Bien sur qu’elle avait peur. Elle souffla alors un : « -je comprends… et tu as raison. » oui leur relation étaient pleine de peur. C’était une évidence. « -je ne veux pas que tu passes sous silence ce que tu ressens ou ce que tu aimerais. Oui d’accord j’ai peur. J’ai peur de nous, j’ai peur du bonheur que cela pour m’apporter, j’ai peur de me réveiller et qu’en réalité tout cela ne soit d’un rêve. Sauf que… » elle se pinça les lèvres avant de le regarder à nouveau : « -sauf que si tu ne me parles pas, si tu me dis de laisser tomber à chaque fois, je… je peux pas savoir ce qui se passe là – elle désigna le front d’Elijah – et là – puis son coeur. » elle n’était pas devin, et n’avait pas la capacité de lire en lui avec facilité. Surtout pas lorsqu’il s’agissait de ses sentiments.
« -je sais ! J’ai bien compris que tu avais mal interprété mes mots. Et je te demande encore pardon pour ça. Je voulais parler de notre engueulade, de cette sorte mise au point pleine de colère alors qu’il s’agissait de nous. De notre avenir de couple. Je voulais pas... » un soupire en regardant son verre presque vide : « -je voulais pas que la peur prenne le dessus justement. Je voulais pas dire stop alors que je veux que ça continue. Tu comprends ? » oui c’était peut être un peu tordu comme mode de fonctionnement mais elle avait besoin de prendre du recule. Il valait mieux une distance de deux jours plutôt qu’un arrêt définitif non ?
« -ok... » souffla la jeune femme avec un petit sourire timide. Elle le laissa l’attirer à lui, adorant se retrouver à nouveau tout contre lui. Deux jours à peine et ça lui avait terriblement manqué. Lorsqu’elle s’éloigna elle ajouta pour conclure tout ça : « -on apprends… » avec un petit haussement d’épaules. Ils avaient tous les deux des caractères compliqués, ils étaient capable de très facilement se comprendre, comme de ne rien piger à ce que l’autre pouvait dire ou ressentir. Alors c’était une relation complexe, mais petit à petit ils allaient parvenir à s’apprivoiser. « -j’aime beaucoup l’idée. » répondit Maddy avant de regarder son verre et d’en finir la dernière goût sous les yeux d’Elijah : « -les mélanges c’est pas bon. » avec un sourire en coin.
Ils se levèrent et rejoignirent les autres pour le déjeuner, prenant soin de ne pas être à la même table. Pas la peine que tous le monde se pose des questions sur leur attitude du matin et sur une probable réconciliation. Alors elle déjeuna avec Mike, Gemma et deux autres qu’elle ne connaissait que très peu. Ils parlèrent principalement boulot, enfin elle écouta plus qu’elle ne parla. En début d’après midi ils eurent droit à un nouvel exercice de confiance. Pas de binôme attitré cette fois ci. Et tant mieux. Une personne se mettait de dos et devait se laisser tomber dans les bras des autres. Elle observa le truc de loin, sans vraiment participer, espérant qu’elle ne serait pas obligé d’y passer. Simplement parce qu’elle trouvait ça débile, et aussi parce que clairement, elle trouvait ça très hypocrite. Comme s’ils se faisaient tous confiance !
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Dim 6 Mar - 21:33
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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C’était relativement difficile de ne pas penser à sa place, étant donné que Madison n’était pas le genre de femme à se confier à quiconque, et notamment lui. Après tout, il avait appris l’existence parce que Roy était un père inconscient et qu’il lui avait laissé son enfant sans savoir qui il était. Eh bien il en était presque de même en ce qui concernait leur relation. Elijah ne parvenait pas à savoir quelles étaient ses attentes, ce qu’elle souhaitait pour eux deux. Il se référait donc à cette peur qu’elle lui avait confié plus tôt et ça avait tendance à le paralyser dans ses mots et ses gestes. « J’ai besoin que tu te confies à moi pour savoir ce que tu penses, ce que tu souhaites. Tu me demandes de parler, mais tu ne te livres à personne, sur rien. Il faut qu’on apprenne à arrêter de vivre dans cette peur et qu’on apprenne à communiquer ». Même s’il savait d’avance que ça allait être compliqué à faire. Ou pas. Parce que Madison était finalement en train de se confier à lui en cet instant. Elle avait bel et bien peur. Peur de lui, du bonheur qui pourrait lui apporter, et que tout ça soit finalement illusion. Son cœur se serra à cette pensée, à ce que devait ressentir continuellement la belle brune. Il la coupa donc pour la rassurer « Tout ça est réel Maddy » alors qu’il posa sa main sur son genou un bref instant et suivit ensuite son doigt du regard. Sa tête. Son cœur. Un sourire se dessina alors sur ses lèvres alors qu’il baissa le regard presque timidement avant d’acquiescer, puis releva ses yeux sur elle pour lui répondre « Je vais faire des efforts. Je ne te promets rien, mais je vais essayer, si toi aussi tu essaies de me parler, de me dire ce que tu souhaites ou ne souhaites pas. On doit se parler et faire taire cette peur qui nous tue à petit feu ». Le journaliste ne souhaitait pas la perdre pour ce genre de stupidités.
Un nouvel hochement de tête alors qu’elle lui confia qu’elle voulait que ça se poursuive entre eux deux. Elle ne voulait pas la fin de leur relation, et ça le rassura « Oui… À notre prochaine dispute, je te laisserais le temps nécessaire, d’accord ?! Je vais quand même répondre et gueuler, ne crois pas une seconde que je vais fuir le conflit, mais si on atteint le point de non-retour, je partirais à ta demande ». En attendant, ils allaient devoir garder une relation purement professionnelle et poursuivre cette conversation à l’issue. Elijah profita d’un moment de solitude dans le parc pour l’attirer à lui, embrasser sa tempe, et la blottir contre lui. Un bref moment, mais qui lui faisait du bien, parce qu’elle lui avait terriblement manqué ces deux derniers jours. Il se recula ensuite, ne souhaitant pas être surpris par l’un de leur collaborateur, et lui proposa un rancard. Un dîner rien que tous les deux, dans son appartement et cuisinerait pour elle. Un sourire alors qu’elle accepta, et souffla un « Bien » et lui demanda de goûter à sa margarita « Tu as raison, surtout qu’il n’est pas encore midi » et se leva du banc avec Madison.
Ils restèrent à distance lors du déjeuner, et n’osa pas le moindre regard pour Madison. Leur réconciliation soudaine risquait d’engendrer des théories fumeuses, des ragots, et aucun d’eux ne le souhaitait. Il resta donc renfermé dans son mutisme, même durant le repas, et c’était toujours silencieux qu’il avait rejoint l’activité de l’après-midi. Suite à sa réaction du matin, aucun collaborateur ne se risqua à l’inviter à participer, et resta à l’écart, au même titre que Madison, jusqu’à ce que Francesco ne les interpelle tour à tour pour les faire participer. Un soupir de la part d’Elijah qui tentait de maintenir la même humeur que lui, et s’approcha de la belle brune, murmurant « Le soupir n’était pas pour toi » et ajouta « Je te propose qu’on se barre d’ici ?! On se créer une dispute, on s’engueule et on part comme si de rien n'était ?! » alors qu’il tentait de rester impassible face à son idée qui l’enthousiasmé.
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Lun 7 Mar - 15:41
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Maddy ouvrit la bouche pour la refermer et se pincer les lèvres à nouveau. Il avait raison. Elle lui demandait de s’exprimer alors qu’elle était parfaitement incapable de se confier à lui. Simplement par peur. Oui. C’était la stricte vérité. Et c’était ce qui freinait leur relation. Le manque de communication. Elle lui demandait de faire des efforts, mais elle devait en faire de même. « -je... » commença Madison assez déstabilisé par cette prise de conscience soudaine. « -je… je sais pas faire… j’ai toujours tout gardé pour moi. Ne rien laisse voir en extérieur, ça à toujours été ma méthode. Et je... » elle détourna les yeux pour cligner des paupières plusieurs fois, cherchant ses mots. « -je… je vais faire des efforts. Je te promets pas que je vais y parvenir tout de suite. Mais je vais faire des efforts pour… pour nous... » oui voilà peur eux. Parce qu’il y avait bien un eux deux maintenant. Même si elle ne voulait pas forcement se laisser aller à cette idée parce que ça la terrifiait, il existait ce nous. Et elle voulait que ça continue. Alors elle ferait des efforts pour ça. Pour communiquer et pour ne pas le perdre.
Elle hocha la tête en entendant qu’il en ferait de même et qu’ils pourraient ainsi lutter contre cette peur qui les paralysait. Madison prit le temps de lui expliquer sa réaction, ce besoin de distance et de remise en question. Ce besoin de temps pour ne pas fuir ce bonheur potentiel. « -merci... » souffla t elle en retour avec un sourire timide, baissant à nouveau les yeux. Ils conclurent tout cela en décidant de vivre ce séminaire qui pouvait peut être leur apporter quelque chose finalement. Et de reparler d’eux ensuite. Une sorte de nouveau départ pour leur relation.
Nouveau temps d’exercice collectif en début d’après midi. Malgré ce qu’ils s’étaient dit, elle n’avait pas la moindre envie de participer. Se laisser tomber comme une belle endormie dans les bras d’un collègue. Non. Pour elle ça ne prouvait pas la confiance. Et il y avait des gens ici en qui elle n’avait pas confiance justement. Parce qu’elle ne les connaissait pas assez pour ça. Tout simplement. Et puis ils restaient tous des collègues de travail à ses yeux. Même ceux avec qui elle s’entendait plutôt bien. Elle ne faisait pas confiance aussi facilement. Alors lorsque la moustache lui demanda d’avancer pour participer, elle leva les yeux sur Elijah et évita de sourire. « -ça me va. » souffla t elle en retour, vraiment enchantée par l’idée de se tirer au plus vite.
Alors elle prit place comme pour se laisser tomber et avant de le faire elle se ravisa et balança un : « -non ! Non je peux pas ! C’est des conneries tout ça ! » Francky, non Fran quelque chose s’avança et lui demanda de s’expliquer : « -y’a qu’un endroit où je me laisse tomber comme ça et c’est dans mon lit, le soir. Pas dans les bras de mes collègues. Désolé les gars, c’est pas contre vous, mais pour moi ça sert à rien tout ça. Non, merci mais non merci je passe mon tour. » voilà elle avait joué son rôle, elle attendait rapidement une réponse de la part d’Elijah, qui allait sûrement prendre son rôle de patron.
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Lun 7 Mar - 16:06
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Les sentiments ? C’était nouveau. Une relation de couple ? Davantage pour lui que pour elle. La communication ? C’était nouveau aussi. Apprendre à s’appréhender mutuellement ? C’était nécessaire. Mais tout cela ne se ferait pas en un jour. Il allait leur falloir du temps, de la patience des deux côtés. Toutefois, Elijah avait envie d’y croire. Il avait de se dire qu’ils pouvaient avoir un avenir tous les deux. Et pour cela, ils devaient apprendre à se confier l’un à l’autre sur ce qu’ils voulaient, sur ce qu’ils désiraient, parce qu’elle lui demandait de le faire, mais était incapable de se soumettre à l’exercice de son côté. Apparemment, ses mots eurent un impact dans l’esprit de Madison qui fut déstabilisée un court instant. Un doux sourire se glissa sur ses lèvres et acquiesça « Rien ne presse. On a tout le temps devant nous pour apprendre, d’accord ?! » et se mirent d’accord sur le fait de reparler de tout cela après le séminaire. Ce n’était ni le moment, ni le lieu pour envisager d’approfondir davantage la conversation. Et de toute manière, ils étaient attendus au déjeuner, puis à l’activité de l’après-midi et dont aucun d’eux ne souhaitait se soumettre. Alors Elijah évoqua la possibilité de déclencher une dispute pour pouvoir se faufiler hors de la pièce pour le reste de l’après-midi. Un regard entendu avec Madison et la laissa démarrer les hostilités. Les mains sur ses hanches, il reprit son rôle de patron et fronça les sourcils « Tu crois qu’on a le choix des exercices ?! Notre Président nous a organisé ce séminaire pour renforcer nos liens, et ça signifie aussi se faire confiance ! Tu crois que ça m’enchante de perdre mon temps ici alors que je pourrais le passer à travailler réellement ?! » et ajouta « Écoute, je suis fatigué de vivre les montagnes russes avec toi. Un coup tu es optimiste, et de l’autre, tu envoies tout valdinguer comme si plus rien n’avait d’importance. Eh bien soit ! Vas-y ! Barre-toi, tu sais faire ça » et se claqua mentalement devant les mots qu’il avait choisi. Il leva les mains en signe d’abdication et quitta l’endroit, malgré les revendications de Francesco.
Elijah s’avança jusqu’au carrefour des couloirs, tourna à droite et cala son dos contre le mur, patientant jusqu’à ce que Madison n’arrive. En la voyant passer, il lui saisit le poignet et l’attira à lui, la plaquant doucement contre le mur, et laissa sa main glisser jusqu’à la sienne, et entrelaça ses doigts aux siens. Un rapide regard vers le bout du couloir où se déroulait l’exercice : Personne. Il reporta alors son attention sur Madison et posa son autre main sur son visage et l’embrassa avec tendresse, puis se recula « Je ne pensais pas ce que je t’ai dit. C’était juste pour… Pour mettre des fioritures et partir au plus vite ». Il se recula, retirant sa main de la sienne et s’avança dans le couloir « J’ai pris mes clefs de voiture » et les sortis de sa poche pour le lui montrer « On va faire un tour sur le port ? » et ajouta « On aurait pu aller dans ma chambre… Mais je préfère qu’on mette tout à plat avant… Ça te va ? ». C’était un choix difficile pour Elijah qui aurait vraiment voulu saisir l’opportunité pour s’envoyer en l’air avec Madison, mais ils devaient tenter de faire les choses correctement pour une fois. Ils quittèrent donc l’hôtel et prirent la voiture, roulant jusqu’au port et lorsqu’il sorti de la voiture, le journaliste s’autorisa à glisser sa main dans celle de Madison pour se rendre jusqu’au bord de l’eau où se trouvaient les bateaux « Tu m’expliqueras un jour pourquoi on a quand même assisté à ce séminaire à la con ?! » et ajouta, en désignant la plage non loin « Ce n’est pas Bora Bora, je te l’accorde, mais ça te dit d’aller piquer une tête ? ».
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Lun 7 Mar - 17:01
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Comme elle savait si bien le faire, Madison se mis à parler en même temps que lui : « -oh facile de me faire ma morale alors que tes propos sont parfaitement calqué à ma façon de penser ! » elle non plus elle n’avait pas envie d’être ici. Elle évita soigneusement de regarder qui que se soit, restant fixé sur Elijah, les deux mains sur les hanches, jambes légèrement écartées. « -les montagnes russes ?! » s’emporta un peu plus la jolie brune comme si elle n’en revenait pas de ce qu’il osait dire. « -ça a de l’importance alors arrêtes de dire des conneries ! » mais elle encaissa la phrase suivant d’une façon différente, ses lèvres formant se parfait O avant qu’elle ne hoche la tête lentement en se mordant maintenant les lèvres. Elle retint un va te faire foutre, parce que c’était tout de même son boss et qu’ils étaient en train de faire une scène devant tout le reste de l’équipe. Elle le regarda partir en lui adressant un regard noir, avant de faire deux pas vers la porte et de pointer le doigt vers la moustache : « -vous on ne vous a pas sonné ! » et elle claqua la porte bien fort avant de rester coller contre quelques secondes, juste histoire de reprendre son souffle et de faire retomber la pression.
Maddy inspira un grand coup avant de se lancer dans le couloir. Elle fut surprise par la main qui venait de se saisir de la sienne à l’angle du couloir. Eli… Ok ce qu’il avait dit lui était allé droit au coeur. Et elle mis quelques secondes avant de le regarder et de mêler ses doigts aux siens. Puis elle lui rendit son baiser du bout des lèvres, avant de souffler un : « -d’accord... » oui elle était un peu chamboulée. Ça avait semblé amusant au départ comme idée, finalement… wahou… elle devait se convaincre que c’était juste du théâtre. Elle le regarda sans se décoller du mur, puis hocha la tête. « -ok… ça me va. » ouais la balade c’était mieux. Là tout de suite, elle n’avait pas la moindre envie de s’envoyer en l’air. Il lui fallait de l’air plutôt.
Elle resta silencieuse tout le long du trajet, regardant dehors, appréciant le soleil, ses lunettes sur le nez. La jolie brune descendit de la voiture. Elle regarda leurs mains, avant de relever les yeux sur Elijah et d’avancer avec lenteur à côté de lui. Un léger rire sans joie : « -je dirais pas assisté. Parce qu’on a pas fait grand-chose. Mise à part alimenter les commérages. » un nouveau sourire lorsqu’il évoqua Bora Bora. « -j’ai pas de maillot de bain. » répliqua t elle enfin pour décliner l’offre, avançant tout de même dans le sable avec lui. Après quelques minutes de silence elle demanda : « -tu pensais vraiment pas ce que tu as dis ? » un regard furtif. Il fallait qu’elle soit fixée. Parce que… parce que les mots qu’il avait choisi faisait vraiment écho à ce qu’ils vivaient. Alors… Elle émit un petit rire neveux et dit en lâchant la main d'Elijah pour la passer dans ses cheveux: "-je suis désolée. Je devrais rire de la situation et de la gueule des autres mais je... je pensais pas que..." que ça lui ferait mal d'entendre ça.
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Lun 7 Mar - 17:21
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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« Excepté que je suis ton patron et ça m’octroies des droits, et l’un d’eux, c’est de dire que ça me fait chier d’être ici » rétorqua-t-il en haussant le ton comme s’ils se disputaient réellement. Après tout, les collaborateurs avaient déjà eu un avant-goût de son humeur massacrante le matin même, et au vu de son comportement avec Madison, il ne fallait pas être un génie pour savoir qu’ils s’étaient disputés les précédents jours. Imprégné par son rôle, le quadragénaire poursuivit sa tirade tout en se rendant compte, après coup, que Madison pouvait mal prendre ce qu’il lui disait en cet instant. Leur réconciliation était récente, même encore fragile, et ses propos pouvaient porter à confusion « Montre-le moi alors ! » rétorqua-t-il avec aplomb, puis décida de partir avant que leur dispute factice ne dégénère en véritable dispute. Il s’éclipsa en premier, et resta dans un coin en attendant la belle brune qu’il attira à lui pour l’embrasser. A sa manière de lui rendre ses baisers, Elijah prit conscience que ça n’allait pas. Il tenta de la rassurer sur les mots qu’il avait prononcé, mais il resta sceptique quant à la compréhension de Madison qui se montra silencieuse tout le long du trajet.
Le journaliste glissa malgré tout sa main dans la sienne et sourit avec amusement « Ça ne sera pas une première nous concernant ». Il suffisait d’écouter les commentaires de Jeffrey à leur encontre. Si le fait qu’ils aient couché ensemble lui avait traversé l’esprit, il ne devait pas être le seul. Mais Elijah s’en moquait bien et préférait se concentrer sur l’instant présent en désignant la plage « Comme si ça t’empêchait de te baigner » en faisant référence à leur baignade dans la cascade quelques jours auparavant. Ils continuèrent de marcher jusqu’à mettre les pieds dans le sable fin du bord de mer, dans le silence le plus total à l’exception du flux des vagues venant s’écraser sur le bord. Elijah observa le spectacle jusqu’à ce que la voix de Madison ne lui parvienne. Il fronça les sourcils et tourna la tête vers elle en entendant sa question. Il n’eut le temps de répondre quoi que ce soit, qu’elle lâcha sa main dans un rire nerveux. Il glissa alors ses mains dans son jean et pencha légèrement la tête sans la quitter du regard « Je t’ai fait mal… ». Ça allait devenir une habitude à force. Le journaliste baissa la tête tout en s’avançant jusqu’à elle, pour relever ensuite ses yeux sur elle « Non. Je me suis rendu compte, qu’après coup, que ça pourrait te faire du mal et être mal interprété… Je suis sincèrement désolé Maddy, je ne voulais pas te faire du mal » et ajouta « En y pensant, ce sont les montagnes russes nous deux. Un coup on peut être complice comme jamais, et ensuite se disputer avec tout autant d’éclat, mais je n’ai jamais dit que je n’aimais pas ça » en esquissant un sourire en coin. Il caressa sa joue tout en l’observant et sourit avec douceur « On en a parlé tous les deux. On doit fournir des efforts pour communiquer. Mais sache que si j’ai quelque chose à te dire, je le ferais de manière directe et non comme ça. Et j’espère qu’il en sera de même pour toi ». Il retira sa main de son visage et la glissa dans sa poche de son jean sans la quitter du regard « Tu es belle… Et je crois bien que je t’aime » lâcha-t-il soudainement.
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Charly
Lun 7 Mar - 21:34
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Elle était restée silencieuse, prenant le temps de digérer ce qui avait été dit haut et fort devant tout le monde. Une belle engueulade comme ils savaient si bien le faire. Mais des mots qui pouvaient surtout se rapporter à ce qu’ils vivaient. Les montagnes russes… la fuite… laisser tomber… Elijah avait raison, elle savait faire. Mais après la conversation qu’ils avaient eu dans le parc, elle voulu exprimer ce qu’elle ressentait et lui demanda si il avait été sincère et qu’il ne pensait pas un traître mot de ce qu’il avait dit. Puis elle ironisa la situation et surtout ce qu’elle ressentait. « -je sais que c’était pas du tout ton intention… mais… » qu’est ce qu’elle avait à toujours se mordre les lèvres ?! Pourtant oui, elle avait eu mal. Peut être tout simplement parce que leur dispute était encore trop récente. Qu’elle avait eu la sensation qu’il n’avait pas tout dit, qu’il avait enrobé tout ça de douceur pour la faire revenir à lui. Et que là, dans cette salle au milieu de leur collègue, ça lui avait été plus facile de balancer ça.
Il parvint à la faire sourire en reprenant l’histoire des montagnes russes. « -enfin à trop faire du manèges, ça donne le tournis et aussi parfois l’envi de vomir. » en gros ça voulait dire qu’à force ça devenait compliqué de faire encore et encore des tours. « -ça donne mal au coeur... » ouais voilà c’était les meilleurs mots qu’elle pouvait trouver. « -et j’ai beau aimé les montagnes russes aussi, j’ai pas envie qu’on ait mal au coeur tout les deux. » bon elle avait finit avec ses métaphores ?! Enfin elle était certaines qu’il comprenait ce qu’elle voulait dire. Sinon il ne viendrait pas de poser sa main sur sa joue de cette façon. « -merci... » souffla t elle en lui adressant un petit sourire timide. Elle avait cette sensation de toujours tout compliquer.
Et clairement la réaction qu’elle eut ensuite ne fut pas celle d’une femme normale ! Parce qu’elle écarquilla les yeux en entendant les mots d’Elijah. Cela venait de lui procurer un frisson. Elle ferma ensuite les paupières avec force comme pour tenter de se réveiller avant de bafouiller un : « -attends tu… wahou... » elle se mis à rire. « -si ça c’est pas une bombe ! » ouais ça faisait cet effet là ! Elle riait mais ça n’était pas du tout contre lui ou méchant de sa part. Elle le regarda fixement durant quelques secondes, avant d’ajouter : « -c’était pour faire un test de lâcher cette info comme ça ? Tu t’es dis qu’avec ça, si je m’enfuyais pas en courant c’était que je voulais vraiment rester ? » un nouveau rire, sourire aux lèvres. C’était ça le sensation d’être véritablement aimé ? Elle entoura le visage d’Elijah de ses deux mains et l’embrassa à peine bouche. Voilà, c’était sa réponse. Elle n’était pas prête du tout à dire ces mots, là tout de suite maintenant mais ce baiser était une vraie preuve, selon elle en tout cas, qu’elle tenait vraiment à lui et que ce qu’il venait de dire lui allait droit au coeur.
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Lun 7 Mar - 21:55
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Leur dispute était encore trop récente, leur réconciliation encore trop fragile. Elijah en prit conscience en entendant les doutes de Madison au sujet des mots qu’il avait pu prononcer devant leurs collaborateurs. Des éclats de voix surjoués pour leur permettre de s’éclipser au plus vite de la salle. Il avait éprouvé de la culpabilité en prononçant ces mots qui auraient pu être mal interprétés par la belle brune, et encore plus en réalisant que c’était bel et bien le cas. Ce n’était pas l’attention recherché, mais il n’en restait pas moins qu’il lui avait fait mal, et souffla alors « Mais ça a été douloureux à entendre… ». Ce qu’il ne souhaitait pas. Il s’était seulement pris au jeu, avait haussé la voix pour donner l’impression d’une véritable dispute. Finalement, il avait causé plus de torts qu’autre chose. Il tenta donc de la rassurer sur les montagnes russes, et se mit à pencher légèrement la tête en souriant avec amusement, ainsi que douceur, en écoutant les métaphores de la belle brune « On peut se limiter à une montagne russe par mois, ou par an. Juste pour le plaisir de se réconcilier sur l’oreiller » rétorqua-t-il tout en haussant les épaules.
Elijah décida de se rapprocher d’elle, de poser sa main sur sa joue dans une caresse et tenta de trouver les paroles qui pourraient réellement la rassurer. Ce qu’il parvint à faire semblablement en l’entendant la remercier. Il déposa un baiser sur son front avant de reculer, glissant sa main dans sa poche cette fois-ci. Puis l’observa un instant avant de lui confier qu’il l’aimait. Enfin il le croyait. Il n’avait jamais aimé auparavant, mais ces trois mots semblaient être naturels pour lui. Comme une évidence. La réaction de Madison lui fit pencher la tête à nouveau, ne sachant pas si elle allait l’engueuler ou au contraire, lui sauter au cou. Peut-être fuir aussi. C’était une hypothèse. « J’espère juste que celle-ci ne fera pas trop de dégâts » tout en affichant un petit sourire en coin, presque nerveux, tout en trahissant sa nervosité lorsqu’il passa sa main dans le cou avant de la glisser dans la poche de son jean.
Au moins, ça avait le pouvoir de la faire rire. C’était toujours mieux que de la voir pleurer. Non ?! Il se mit à rire à son tour en entendant sa réponse, et haussa les épaules « Je n’y avais pas pensé pour tout t’avouer ! Mais apparemment, tu restes là, donc c’est plutôt bon signe » en la désignant de la main, avec un sourire sur les lèvres. Finalement, il avait raison. C’était plutôt bon signe. Il le comprit lorsqu’elle entoura son visage de ses mains et qu’elle l’embrassa à pleine bouche. Il entoura alors sa taille de ses bras tout en lui rendant son baiser, heureux de sa réaction qui signifiait beaucoup pour lui, et soulagé de ne pas la voir partir en courant. Il se recula à l’issue de leur baiser et caressa sa joue du dos de sa main, son regard ancré dans le sien « En revanche, j’ai dit « je crois » donc… » en la taquinant un peu, et ajouta « Je plaisante ! » et lui vola un rapide baiser, puis jeta un coup d’œil à sa montre. Ils avaient encore un peu de temps « Je dois donc comprendre que tu as aimé ma bombe ? C’est mieux que des fleurs, tu ne trouves pas ? Et tu ne peux pas me dire que je ne suis pas romantique, regarde ce décor » en désignant la plage d’une main, alors qu’il gardait son autre bras autour de la taille de Madison, puis l’entoura à nouveau de ses bras « Je ne suis pas romantique en fait. C’est venu comme ça. Je n’ai rien calculé. J’avais juste envie de te dire que je t’aimais et… » et il se mit à rire nerveusement, vacillant avec le soulagement « C’est la première fois que je prononce ces mots, ça me rend toute chose ! ».
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Charly
Mar 8 Mar - 15:32
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -ouais... » ajouta Madison un petit hochement de tête, comme si elle s’adressait à un pote. Elle venait de l’ajouter, elle était consciente que c’était très con de réagir ainsi. En plus elle était d’accord pour la petite scène de ménage en public ! Elle n’avait seulement pas pensé qu’Elijah choisirait ces mots. Ils en vinrent à parler de montagnes russes et de mal de coeur. Elle répondit avec un petit haussement de sourcils devant l’évidence : « -très sais très bien qu’avec nous ça sera au moins une fois par mois. » A cause de leurs caractère, à cause de leurs peurs aussi. Ils avaient choisi une vivre, enfin de tenter une relation de couple alors qu’ils bossaient ensemble. Tout le monde n’était pas fait pour ça ! Et tout le monde n’avait pas la facilité qu’ils avaient pour se prendre la tête. Puis elle pencha la tête de gauche à droite et répliqua : « -hum… si tu vois ça de cette façon… je l’avais pas envisager sous cet angle... » mais oui, s’il y avait réconciliation sur l’oreiller, alors c’était un peu moins compliqué à envisager que la dispute se reproduise.
La suite de la conversation fut presque sur réaliste ! Madison ne s’était pas attendu une seule seconde à ce qu’il dise ça, là comme ça. Elle frissonna en l’entendant. Avant de rire sous l’impact de l’annonce. Elle s’amusa ensuite à tenter de comprendre pourquoi il venait de dire ça, si c’était un crash test. Pour toute réponse alors qu’elle apprécia le fait qu’il se mette à rire également au lieu de bouder face à sa réaction enfantine, Maddy l’embrassa avec tout l’amour qu’elle avait pour lui. Parfois les gestes parlaient mieux que les mots ? Pas la peine de tenter de les dire si c’était pour qu’il reste coincé dans sa gorge. Un sourire tendre illumina le visage de la jeune femme : « -ouais je sais… j’ai bien entendu... » elle s’en foutait qu’il ait dit je crois. Elle préférait peut être ça d’ailleurs. Ça évitait de trop définir les choses.
Un nouveau rire lorsqu’il parla de romantisme : « -ouais.. ouais.. j’ai beaucoup aimé... » avoua la jeune femme sans cessé de sourire. « -et oui, les fleurs ça meurt en quelques jours. C’est nul. » elle retrouvait peu à peu cette capacité à plaisanter et ça lui faisait du bien. Elle le couva du regard quelques secondes ensuite, avant de lui souffler : « -regarde... » elle lui montra son bras qui avait encore la chaire de poule. « -y’a pas que toi qui est tout chose crois moi. » elle l’embrassa à nouveau, prenant son temps, ses bras autour de son cou. Wahou… ça c’était une grande avancé dans leur couple tout de même !
De retour à l’hôtel, se fut compliqué de prendre de la distance. La soirée fut longue, et Maddy alla se couché tôt, non sans envoyer quelques messages à Eli avant. Le lendemain matin pourtant Moustache leur avait réservé une belle surprise. « -bien vu que vous avez pourri l’exercice hier et que s’expliquer et se comprendre sont aussi des choses essentiels dans une épique, merci de bien vouloir prendre place. » il leur désigna deux chaises qui étaient dos à dos. « -c’est parfois plus facile de se parler lorsqu’on ne se regarde pas. Donc, on y va. Qui de vous deux veux commencer ? » étant donné qu’il la regardait avec insistance elle commença à râler : « -à ba oui voilà honneur aux dames c’est quand ça vous arrange. » puis elle leva une main et ajouta : « -ok ok c’est bon je vais le faire. » elle inspira avant de dire : « -je vais pas m’excuser pour mon attitude, parce que ça serait mentir. J’ai pas apprécié ce moment. J’ai du mal à communiquer, à faire confiance aux gens, surtout aux hommes… désolé les gars. C’est pas parce qu’on passe un an ensemble à se voir tout les jours qu’on se connaît. Et j’ai trouvé ça injuste que tu dises que je m’en foutais. Parce que tu sais très bien que c’est faux et que tu as seulement dit cela pour me blesser. » elle regarda la moustache comme pour savoir si ça allait. « -bien Madison ! Bien ! A vous maintenant... » en désignant Elijah. Etrangement Madison se sentait presque plus légère d’avoir dit ça.
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