“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Mar 11 Jan - 21:36
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Cela pouvait paraître un peu présomptueux de la part d’Elijah, mais en gardant l’entretien de la belle brune sous silence, il avait souhaité réaffirmer sa position de dirigeant. Ainsi, il rappelait à tous ses collaborateurs qu’il avait la capacité de licencier et d’embaucher selon son bon vouloir, et qu’il n’était influencé par quiconque dans cette entreprise. Une notion qu’avait semblablement oublié Jeffrey qui avait eu du mal à masquer sa surprise. Il était certes son ami en dehors de ces murs et son bras droit à l’intérieur. Toutefois, il restait son supérieur et dans le cas de Madison, l’histoire était bien trop complexe pour laisser s’immiscer qui que ce soit d’extérieur. Et puis ça leur permettait d’avoir une plus grande liberté sur sa future collaboration avec Madison, même s’il mit rapidement un holà concernant le salaire un peu trop exorbitant à ses yeux. Le nouveau salaire le fit grimacer, balancer la tête de droite à gauche en pesant le pour et le contre, puis son regard se perdit sur le CV de cette dernière et accepta, tout en précisant « Je veux un retour sur investissement » en sous-entendant que son travail devait être parfait, et faire augmenter les revenus du magazine. Pour ce qui était du reste, Elijah allait devoir convaincre son supérieur à lui, et sourit en fixant la belle brune « Je vais user de mon charme… comment tu as dit déjà ?! Ah oui, ravageur » tout en appuyant sur le dernier mot avec son petit sourire en coin qui faisait apparaître ses fossettes.
Et parce qu’il avait eu le temps de réfléchir tout seul dans sa chambre le soir du mariage, mais aussi sur le trajet du retour le lendemain, Elijah lui proposa le poste d’assistant. En d’autres termes, elle serait à la même hauteur que Jeffrey et aurait à gérer un certain nombre de collaborateur. Ainsi, elle n’aurait de compte à rendre qu’à lui. Il lui devait bien ça après les cinq années qu’il lui avait fait vivre par son ambition débordante… Il se mit à sourire en entendant la réponse de la belle brune « Cache ton enthousiasme surtout » et se leva, comme pour conclure l’entretien. Il aurait pu lui serrer la main tout de suite, mais il préféra faire du grand Elijah et la fixa non sans son sourire quelque peu insolent « Il n’est pas encore au courant » en entrant dans son jeu, puis lui serra la main « Dans une semaine ». Elijah devait régler quelques détails en amont, informer ses collaborateurs ainsi que Jeffrey et Brittany, mais aussi les ressources humaines pour qu’ils préparent son contrat afin qu’elle le signe dès son arrivée le lundi suivant.
Tout fin de compte, Elijah n’eut pas une minute à lui pour prévenir ses collaborateurs du retour de Madison, informant seulement son bras droit et sa petite-amie. Jeffrey avait souhaité une entrevue en tête-à-tête avec lui, et il l’avait obtenu en débarquant à l’improviste à son bureau, prenant place avec nonchalance dans les sièges face au bureau du journaliste « Qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis ? ». Le quadragénaire se laissa choir dans le fond de son siège, les coudes sur les accoudoirs, les mains croisées devant lui « On a discuté longuement ce week-end, sur ce qu’elle souhaitait faire pour dynamiser le magazine. J’ai aussi pris connaissance de son CV et j’aurais été stupide de la laisser partir » « Elle doit avoir des idées de génies pour lui donner le même poste qu’à moi » « C’est toi qui m’as encouragé à la poursuivre le jour de son départ pour la retenir » et s’approcha sur le rebord de son siège « Qu’est-ce qu’il y a Jeffrey, tu regrettes d’avoir mis le nez dans mes affaires ? ». L’intéressé resta silencieux un instant et reprit « Non. Je pensais juste que tu allais lui redonner son travail et c’est tout. Tu sais combien de temps j’ai trimé pour en arriver là où j’en suis ? » « Elle est douée dans ce qu’elle fait. Laisse-lui une chance de te prouver ce dont elle est capable. Elle a réussi à me convaincre, pourquoi pas toi ». Jeffrey observa son supérieur un instant, sans mot dire, avant de rétorquer « Bien… Il me faudra du temps pour accepter l’idée, mais d’accord » et se leva de son siège « Toujours ok pour le verre ce soir ? », ce à quoi Elijah répondit par un simple regard qui signifiait : Tu me poses vraiment la question, ce qui amusa son bras droit.
Le faux sourire de Jeffrey n’échappa pas au quadragénaire lorsque Madison arriva, mais ne fit pas le moindre commentaire. Ils en avaient parlé durant la semaine. Il allait lui falloir du temps et il allait lui en donner du temps. Il patienta un moment, les observant derrière les murs vitrés de son bureau, et décida de se lever lorsque Jeffrey la laissa seule. Il frappa contre la porte, puis posa son épaule contre l’encadrement « Salut. Tu es en retard » et ajouta « J’ai fait les présentations avec une photo de toi sur la télévision. Tu ne m’en voudras pas, j’ai fait avec les moyens du bord. Brittany était plus que ravie de ton retour et pour Jeffrey » en se tournant vers ce dernier qui se dirigeait vers son propre bureau « Il ne comprends pas encore bien pourquoi tu as ce poste alors que tu viens d’arriver. Il lui faudra du temps et toi, tu devras faire tes preuves ». Il se détacha de l’encadrement et ferma la porte derrière eux « J’ai quelque chose pour toi » et lui tendit le cadre avec l’article qu’il lui avait volé « Il doit revenir à son propriétaire » et haussa les épaules « J’en ai plein d’autres au mur. Ils ne verront pas la différence ».
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Charly
Mer 12 Jan - 8:54
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -tu l’aura. » avait elle répondu avec aplomb. Elle savait que ses idées ferait du bien au magazine, et elle savait également qu’elle était douée pour ce travail. Maddy n’allait cependant pas lui dire merci. Ils avaient déjà fait le tour de la question des désolés et des pardon durant le weekend. « -quand est ce que j’ai dis ça ? » demanda t elle en plissant les sourcils, sourire aux lèvres. Elle était ravie de l’accord, mais elle resta professionnelle, n’étant pas certaine de pouvoir le rester chaque jour en travaillant avec lui. « -ça serait déplacé que je te saute au cou en criant comme une furie. » un petit haussement d’épaule, son sourire espiègle sur les lèvres, avant de la quitter et de profiter de sa semaine de repos.
Maddy ne fut pas vraiment étonné du comportement de Jeffrey. En soit, il connaissait son cv, et savait très bien que cela faisait cinq ans qu’elle ramait pour travailler. S’ils avaient fait la course, elle serait bien loin derrière. Occuper le même poste que lui… Forcement il n’appréciait pas. Elle préféra le laisser assimiler, digérer à son rythme, et si ça n’allait toujours pas dans quelques semaines, elle irait mettre les choses au claire. Une fois dans son bureau, elle regarda la pièce et elle n’était pas encore assise qu’Elijah débarquait déjà. « -je sais je t’ai manqué… Une semaine c’est long. Mais t’as jamais demandé à ce que j’arrive à l’heure. » deux minutes et Madison relançait déjà le jeu. Elle fit le tour du bureau et cala ses fesses dessus, croisant les bras pour l’écouter : « -c’est la faute des RH. » finit elle par dire, avant de hocher la tête : « -parfait. » elle espérait seulement que Brittany n’allait pas débarquer tout de suite. Elle baissa les yeux lorsqu’il termina sa phrase en parlant de Jeffrey. « -je comprends… et je me doutais que ça se passerait comme ça. » un haussement d’épaules. Ça ne lui faisait pas peur. Jeffrey n’était pas quelqu’un de méchant. Il était seulement vexé.
« -un augmentation déjà ? » lança t elle enjoué, avant de se redresser en le voyant approcher. Le cadre entre les mains, la jolie brune regarda quelques secondes l’article avant de lever le visage. Puis elle tendit la main et lâcha la cadre dans la poubelle. La vitre se brisa en tombant et elle souffla en se disant qu’Elijah s’était un peu trop rapproché : « -c’est du passé. » en soit ça voulait dire qu’elle était bien décidé à faire la paix, à passer par dessus tout ça. Un nouveau départ, une nouvelle chance. Professionnellement. Pour ce qui était d’eux, c’était trop tard. Brittany était dans la place, et de son côté sa vie était un peu compliquée. « -et si crois moi… y’en a un qui va le remarquer. » elle posa sa main sur le torse d’Elijah et le força à reculer d’un pas. « -je sais que tu as beaucoup de mal à résister, mais évitons d’être proche physiquement. Je voudrais pas qu’on crois à une promotion canapé. » elle laissa glisser sa main pour la retirer. « -et je suis sérieuse. » elle trouva ça important de préciser. « -j’étais la bonne copine parce que je restais pas. Maintenant… je suis certainement la cible à abattre ou le profil idéal pour cracher dans son dos. Donc… ça m’aiderait. » elle se trouva soudainement un peu conne de demander ça et pourtant, elle savait parfaitement qu’il y avait une attirance entre eux. Et que ça leur plaisait à l’un comme à l’autre. Mais c’était surtout une très mauvaise idée. « -toi t’es intouchable, t’es le grand manitou des articles. Moi… » elle grimaça avant de soupirer. « -je vais m’installer et… et tu me dira quand tu sera dispo pour qu’on discute de mes idées. » en disant cela, elle fit deux pas de côté pour contourner le bureau.
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Mer 12 Jan - 11:47
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Un sourire en entendant la question de la jeune femme « Au mariage. Après quelques verres » et reprit contenance en continuant de parler du nouveau poste de la jeune femme au sein du magazine « On pourrait faire une exception » alors qu’il tendait les bras, l’invitant à lui sauter le cou, mais seulement pour plaisanter. Il était hors de question que leur comportement engendre des ragots au sein du magazine. Ils se serrèrent donc seulement la main avant qu’Elijah ne laisse la belle brune repartir pour une semaine de repos. Quant à lui, il reprit ses occupations au sein du magazine. Il ne fut pas vraiment étonné de ne pas la voir arriver à l’heure le premier jour de sa rentrée, mais ça ne l’empêcha pas de venir la taquiner à ce sujet lorsqu’il arriva dans son bureau « Terriblement, tu n’as pas idée ! » rétorqua-t-il en même temps qu’elle parlait et ajouta, en plissant les yeux « Je pensais que ça coulait de source ». Elle avait raison. Elle lui avait manqué. Surtout leurs joutes verbales à longueur de journée. « Tu aurais pu venir signer ton contrat hier soir afin de venir à l’heure ce matin » répondit-il comme si c’était une évidence. Il lui fit donc un point sur la réunion de ce matin en expliquant qu’il avait annoncé son retour au magazine ainsi que la place qu’elle allait occuper. Brittany avait été plus que ravie du retour de son amie. Jeffrey, c’était un tout autre problème. « Laisse-lui du temps et ça ira mieux d’ici quelques jours. Je ne me fais pas le moindre souci là-dessus ». Depuis quelques années à travailler maintenant avec ce dernier, Elijah avait appris à cerner le personnage et il finirait par s’adoucir dans quelques jours.
Elijah se détacha de l’encadrement de la porte, réduisant l’espace entre eux deux et lui tendit un présent, ou plutôt l’article qui l’avait emmené jusqu’ici et qu’il avait encadré durant tout ce temps. C’était son article. Il pencha la tête en l’entendant évoquer une augmentation, et lui tendit le cadre qu’elle jeta à la poubelle sans ménagement « Tu aurais pu aussi le ranger dans un tiroir tu sais » alors qu’il posait son regard sur le cadre brisé dans la corbeille. Il releva son regard sur elle et sourit en douceur, soufflant un « Bien » tout en continuant de la fixer « Tu parles du cadre ou de nous ? » alors qu’il baissa son regard sur la main qu’elle venait de poser sur son torse pour le faire reculer. Il réprima un petit rire amusé quand elle le fit reculer « C’est toi qui me touches. Je n’ai rien fait pour ma part sauf sentir ton parfum enivrant » en esquissant son sourire insolent qui se mariait parfaitement à son regard rieur en cet instant. Il ne la quitta pas des yeux quand il senti sa main se retirer dans une caresse et acquiesça « On ne fait rien de mal ». Toutefois, il savait qu’elle avait raison. Elijah glissa ses mains dans les poches de son pantalon de costume tout en acquiesçant « Tu arriveras à les séduire avec le temps. Tu as bien réussi avec moi » tout en prenant place dans la chaise à ses côtés. Il se mit à rire soudainement « Raison de plus de me critiquer par derrière ! Je suis le patron. On me déteste seulement par ma fonction. J’essaie d’installer une ambiance conviviale, mais il y a toujours des brebis galeuses du genre de Mick » par exemple. Il se leva de sa chaise « On déjeune ensemble. Je viens te chercher à midi » avant de quitter son bureau criant « On ne discute pas, c’est toi qui l’as dit, je suis le grand manitou ». Et comme prévu, Elijah vint la chercher à son bureau à midi tapante « On va déjeuner ? » et enfila sa veste tout en attendant que Madison le rejoigne. Il l’emmena dans un petit restaurant de quartier non loin de l’immeuble du magazine, où il avait ses habitudes « J’adore venir ici » et ajouta « Je t’écoute ».
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Mer 12 Jan - 13:57
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -je suis là maintenant… tu vas tout de suite te sentir mieux » et elle enchaîne en parlant en même temps que lui : « -oh ba oui bien sur, un dimanche soir, c’est certain qu’ils allaient tous m’attendre sagement avec mon contrat. » et elle ajouta : « -j’étais à l’heure, c’est eux qui ont traîné. » Maddy disait la vérité. Et elle n’était pas du genre à endosser les fautes. Même les siennes, elle savait la maquiller à la perfection ou les refiler aux voisins. « -oui, c’est exactement ce que je me suis dis. Et que si ça passait pas, j’irais faire une mise au point. » elle n’avait pas envie que ça se passe mal, mais si Jeffrey mettait trop longtemps à digérer, elle se chargerait de lui administrer un laxatif, histoire que ça descende plus vite.
La cadre qu’il venait de lui apporter finit à la poubelle. C’était presque symbolique. « -non. » répliqua Madison en le regardant droit dans les yeux. Le mettre dans un tiroir n’avait pas du tout le même effet. Il serait toujours là, comme une ombre au tableau. Nouveau départ ! Tirer un trait sur le passé. « -quel nous ? » demanda t elle avec un petit air innocent avant de lui demander de garder une certaine distance entre eux. « -oui mais tu es dans mon espace vitale, on s’approche pas si prêt des gens d’ordinaire, sauf si on a un certain lien. » à nouveau elle avait répondu cela alors qu’il parlait également. Avec un peu plus de sérieux, son sourire s’effaçant peu à peu elle lui répondit : « -je sais. » oui ça n’était rien, mais aux yeux d’un jaloux ça pouvait être beaucoup. Elle ne voulait pas d’ennuis. Ils viendraient bien assez vite tout seul, pas la peine qu’ils donnent des raisons supplémentaire de faire parler.
« -oh t’es mignon de dire ça. Sauf que je peux pas utiliser la même technique sur tout le monde ! » elle avait soufflé cela comme si c’était un secret, à voix basse, pourtant avec une pointe d’humour dans la voix. « -tu as des plus belles fesses que lui. C’est simplement pour ça qu’il t’aime pas. » finit elle par lâcher pour prendre la défense de Mick, qu’elle appréciait vraiment. « -ah heu… » avant de crier : « -j’ai pas discuté ! » tout en installant ses affaires, elle souriait. C’était plutôt un bon départ.
Un sursaut alors qu’il venait pour la chercher manger. Elle ferma les yeux en levant les mains de son clavier. « -j’arrive. » elle enregistra, et prit sa veste et son sac à main. « -efface ton petit sourire moqueur tu veux. » commenta la jeune femme alors qu’elle savait très bien qu’il était contant de son effet de surprise. Un regard des temps à autre alors qu’ils marchaient côte à côte, avant qu’ils ne prennent place à table dans un petit restaurant. La jeune femme croisa les jambes, et sourit. Il était directe. « -ok très bien. La moyenne d’âge de nos lectrices c’est les quarante ans et plus. Qu’est ce qui est en vogue en ce moment et qui intéresse les plus jeunes ? » elle pencha la tête pour lui laisser l’opportunité de répondre. « -le sexe. » elle pointa son index sur lui en disant ce mot. Sans la moindre arrière pensée. « -livres, films… c’est la libération de la parole là dessus. » elle commanda rapidement une salade et de l’eau avant d’ajouter sans même regarder le serveur : « -tu sais bosser sur le courrier des lectrices, finalement c’était intéressant. En classant les demande, il y en avait vraiment beaucoup, mais alors beaucoup qui parlait de sexe. Du coup, je pense sincèrement que de vrai article qui parle de ça, et bien ça peut intéressant. Et nous apporter des nouvelles lectrices. » elle se pinça les lèvres avant d’ajouter : « -et j’ai également envie de faire quelque chose de plus petit. Un j’ai testé pour vous. Les femmes se posent des tas de questions sur tous tout le temps, avant d’oser vraiment faire quelque chose. » elle leva un doigt : « -je parle pas forcement de sexe pour ça. J’en sais rien, là comme ça je pense au saut en parachute, au massage thaï... » elle s’était peut être un peu laissé emballé. Mais elle croyait vraiment à ses idées.
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Mer 12 Jan - 14:31
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Un sourire espiègle se dessina sur les lèvres du quadragénaire qui répondit aussitôt « Bien mieux » et voilà que la bienséance qui était de laisser parler l’autre avant de parler soi-même se rompit pour se mettre à parler tous les deux en même temps. Ce qui était devenue une habitude maintenant « Désolé, j’ai tellement travaillé cette semaine que je me suis perdu dans les jours » en se passant une main lasse sur le visage et ajouta « Tu feras un effort demain » en la désignant du doigt, formulant ces quelques mots comme une mise en garde qui n’en était pas une. Son sourire en coin en témoignait. Il adorait la taquiner. Dommage que Jeffrey gâché un peu cette journée avec son comportement, mais peu importe. Ce n’était qu’une question de temps « Je pourrais venir ? » demanda-t-il avec amusement, curieux de voir la conversation entre ses deux assistants. Il connaissait le caractère de chacun d’entre eux et ça pourrait donner quelque chose d’explosif qu’Elijah ne souhaitait surtout pas rater. Bref. Il mit fin à la conversation en se rapprochant de la belle brune pour lui tendre un cadre qu’elle jeta aussitôt dans la corbeille, et leva les mains devant sa contradiction « Très bien. Tu fais comme tu veux » et apparemment, cela signifiait de jeter le cadre dans la poubelle, comme un symbole pour signifier que c’était dorénavant le passé. Il pencha la tête en arborant ce regard qui disait : S’il te plaît, tu le sais bien. Et ajouta pour être sûr que ça soit clair entre eux deux « Je parle de notre nuit d’orgasme sur orgasme que nous avons passé ensemble » et redressa la tête « A moins que tu ais oublié et il serait grand temps de te rafraîchir la mémoire avec des travaux pratique». Oui, Elijah jouait avec le feu, mais il se considérait plus comme un charmeur de feu, qui ne se brûlait jamais, plutôt qu’un gosse de cinq ans jouant la boite d’allumette de papi.
Toutefois, Madison décida de le faire reculer d’un pas alors qu’il considérait ne rien faire de mal, et rétorqua tout en arborant son sourire insolent « Mais on a un certain lien Maddy » alors qu’ils se mettaient à parler en même temps, comme souvent. Toutefois, Elijah restait convaincu de ne rien faire de mal et elle semblait en accord avec sa position. Même s’il comprenait qu’elle ne souhaite pas de ragots à leur sujet, surtout pour son premier jour à ce poste. Il approcha son visage du sien, son regard dans le sien, et répondit doucement, à son tour « J’espère bien être le seul avec qui tu utilises cette technique » et se recula avant de faire une connerie. Ils étaient au travail, pas dans un bar ou au mariage de leurs amis. Il se mit à rire « Tu plaisantes ?! Et tu lui as dit quoi ? Qu’elles étaient toutes aussi belles sans pantalon ? » et décida de quitter le bureau tout en l’invitant à dîner, criant pour répondre à Maddy « Tu allais le faire ! » et rejoignit son bureau pour le reste de la matinée.
Comme prévu, Elijah se trouva dans le bureau de la belle brune à midi pétante, et esquissa un sourire en la voyant sursauter « Je ne peux pas, il est accroché » tout en désignant ses lèvres, et plus précisément ce sourire qui s’agrandissait. Ils quittèrent le bâtiment pour rejoindre le petit restaurant et comme souvent, Elijah se montra direct. Ils étaient là pour parler travail, ils parlaient donc travail. Il haussa les épaules en entendant la question de Madison et haussa les sourcils devant la réponse « Je croyais que c’était seulement pour le dessert, mais d’accord » en baissant ses mains jusqu’à sa ceinture, avant de rire doucement et l’invita à poursuivre « On remercie Games Of Thrones » avant de lever la tête vers le serveur, commandant à son tour une salade et de l’eau pétillante, avant de reporter son attention sur Madison, la laissant poursuivre jusqu’au bout, l’écoutant avec une attention certaine, ses bras croisés sur le rebord de la table. Il ouvrit la bouche, mais elle l’arrêta dans son élan, ce qui le fit sourire et la laissa poursuivre. Il se recula quand le serveur apporta leurs plats « Bon appétit » et après une première bouchée, donna son avis « Je trouve ça intéressant. Est-ce que tu continuerais à répondre aux questionnements de nos lectrices sur le sujet ? » et haussa les épaules « Tu pourrais les publier de manière anonyme sur une moitié de page avec tes réponses, et pour le reste, tu prendrais un sujet d’actualité sur le sexe et tu en parlerais à ta manière ». Il reprit une bouchée et ajouta après l’avoir avalée « Pour ce qui du « J’ai testé pour vous », il te faudrait quelqu’un pour t’accompagner ? Ou tu souhaites le faire seule ? ». En tout cas, Elijah était séduit par les idées de sa nouvelle recrue, et ça n’avait rien à voir avec le physique.
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Charly
Mer 12 Jan - 15:11
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -oui oui oui promis. » elle avait balancé ça sur le ton de : je m’en cogne et tu les sais. « -hein ? Oh non, ça risque de pas être super agréable. Je te raconterais. Ou il viendra se plaindre. » si elle avait à parlé à Jeffrey pour clarifier les choses, elle n’avait pas vraiment envie qu’Eli soit dans les parages. Il n’était pas son garde du corps, encore moins son filet de sauvetage. Et Jeffrey ne lui faisait pas peur. Elle jeta le cadre, Elijah ne sembla pas tout à fait en accord avec ça, mais elle lui fit comprendre indirectement qu’elle n’en voulait pas. Que c’était du passé. Et elle reprit : « -t’as plus besoin de ça non plus pour penser à moi, je suis là maintenant. » le petit jeu reprenait déjà. Comme si c’était plus fort qu’eux. Un haussement de sourcils comme si elle ne voyait vraiment pas de quoi il voulait parler. « -oh tu parles de ça. Et ça, ça forme un nous du coup pour toi ? » elle se foutait de sa gueule. Ouvertement. A mi voix pour éviter que des oreilles indiscrètes n’entendent quoi que se soit. « -désolée mais toute tes séances de travaux pratiques sont occupées par quelqu’un d’autre. » il comprendrait tout seul de qui elle voulait parlé.
Mais avec un peu plus de sérieux elle lui demanda une certaine distance entre eux. Juste histoire de ne pas s’attirer des ennuis trop vite et d’éviter également que Jeffrey ne soit trop tenté de creuser du côté du passé. « -arrêtes tu veux. » elle était sérieuse malgré le sourire qu’elle avait sur les lèvres. Elle plissa les yeux et répondit en approchant son visage à son tour : « -y a aucune raison que tu parles de ça au présent. Avoir été le seul. C’est plus cohérent. » et puis elle défendit Mick en ressentait un certain soulagement de sentir Elijah s’éloigner. Elle rit de sa réponse, avant de le laisser partir et de finir la conversation en criant à travers le couloir.
Madison annonça son idée et répondit presque naturellement : « on verra pour le dessert, soit sage. » avant de poursuivre sur sa lancé. « -oui tout à fait. Les séries, mais aussi 50 nuances ect... » elle pouvait en citer des tonnes. Un merci rapide au serveur. Elle espérait vraiment qu’Elijah sentait sa motivation, parce qu’elle était vraiment présente. Elle croyait à son idée, et savait que ça pouvait fonctionner. « -toi aussi. » une première bouchée avant de répondre en un hochement de tête : « oui. » elle était prête à le faire. C’était important de garder un lien avec les lecteurs. Enfin, c’était son point de vu. Elle l’écouta en portant son verre d’eau à ses lèvres. Elle finit par répondre : « -je pense que ça dépendra des sujets. Mais peut être qu’un point de vu masculin peut être aussi le bien venu. Je te dis ça comme ça vient hein.. » oui, là elle prenait les idées qui montait dans son esprit à mesure qu’ils parlaient. « -les massages par exemples, peut être que plein de femmes ont envie de faire ça en couple, un après midi duo mais elles doutent que leur hommes aient envie de ça. On pourrait les aider à franchir le pas. Après en soit, si on part sur cette idée, il me faut un point de vu d’homme hétéro classique. Histoire que ça colle au mieux avec les profils des femmes en couple qui nous lisent. » puis elle plissa les yeux : « -t’aimes vraiment mes idées ? » oh la confiance en elle venait de faire un petit tour ailleurs. Ou bien elle doutait de sa sincérité ?
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Mer 12 Jan - 20:54
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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« Tu me retires toute source de plaisir… Tu commences bien ton premier jour toi » en jouant les boudeurs, alors qu’il n’en était rien. Elle avait raison. S’ils devaient crever l’abcès, il était plus prudent qu’ils ne soient que tous les deux pour le faire. De surcroît, sa présence pourrait être mal interprétée par Jeffrey ou par Madison, l’un pensant qu’il faisait du favoritisme et l’autre, qu’il jouait les pères de substitution… Une image qu’il souhaitait éviter, surtout en repensant à leurs deux corps l’un contre l’autre, cinq ans auparavant. Mais c’était du passé. C’était elle-même qui l’avait dit en jetant le cadre dans la poubelle « Sauf que toi, je ne peux pas t’accrocher au mur, seulement te faire grimper au rideau ». Tout fin de compte, ils étaient incapables de rester professionnel, que ça soit l’un ou l’autre… Mais ce n’était pas pour leur déplaire, et Elijah en rajouta une couche en évoquant leur nuit ensemble et haussa les épaules, comme pour acquiescer à la question de Madison « Nous sommes liés par ce doux souvenirs » et lui proposa de lui rafraîchir la mémoire en réitérant cette nuit-là, tous les deux, mais la belle brune lui rappela qu’il n’était plus à cœur à prendre, ou dans son cas, à corps à prendre « Tu penses me calmer avec ce genre d’arguments ? Tu me vois comme un type fidèle ? » alors qu’il laissa ses prunelles claires glisser sur le corps de la jeune femme devant lui, pour revenir croiser le regard sombre de Madison.
Mais il s’avérait que la belle brune était plus sage que lui ou qu’elle avait plus à perdre que lui dans ce petit jeu qui était le leur. Après tout, elle venait d’arriver, elle devait se faire une place, et les commérages sur leur relation n’étaient pas envisageables. Sans se départir de son sourire, il rétorqua « Tu me dit d’arrêter, mais ton sourire me dit de continuer » et approcha son visage de celui de la jeune femme, avant qu’elle n’en fasse de même pour lui répondre « Je suis du genre optimiste comme gars. J’aspire à croire que ce n’est plus qu’une question de temps avant que nos deux corps » et croisa ses mains devant leurs visages « ne fusionnent de nouveau » et poursuivit leur conversation dans le couloir. Enfin, il était tout seul à poursuivre dans le couloir.
Au restaurant, Elijah ne fut pas plus emprunt à rester professionnel avec la jeune femme, y allant de son commentaire dès le début « Hum… Tu me fais espérer des choses délicieuses Maddy » et se concentra un peu sur leur conversation et sur l’avenir du magazine. Il acquiesça comme une évidence lorsqu’elle lista quelques autres titres et commencèrent à manger tout en poursuivant leur discussion « Bien, bien ». Maddison était prête à continuer de répondre aux lectrices qui lui exposeraient leurs problèmes de sexualité. Il acquiesça à l’idée de la jeune femme « On pourrait embaucher un sexologue ou une sexologue pour apporter une touche professionnelle aux réponses, non ? » alors qu’il devenait enthousiasme face aux idées de la femme devant lui. Un hochement de tête en attendant d’avaler sa bouchée et de répondre « En quelques sortes, des idées de sorties en couple ? Ça peut être intéressant… Faire du bateau aussi ou du jet-ski, des randonnées en VTT notamment, ou encore ces endroits atypiques où passer la nuit, comme des cabanes dans les arbres aménagés comme un hôtel ». Il se mit à sourire en entendant la question de Madison et surtout en voyant son regard presque inquisiteur, et lâcha donc avec nonchalance, tendant la main en sa direction alors qu’il posait son dos contre le dossier de sa chaise « Pas du tout, mais tu m’as dit de rester sage pour le dessert ». Il s’essuya la bouche avec sa serviette et s’approcha de la table, reprenant avec sérieux et professionnalisme « Oui. Tes idées me plaisent sincèrement Madison. Je pense que ça peut apporter un nouveau vent de fraicheur au magazine et ramener de nouveaux lecteurs ».
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Mer 12 Jan - 21:21
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -j’ai pas été engagé pour ça, y’a d’autres femmes pour ce genre de choses. » le seul plaisir qu’elle pouvait lui donner, c’était ces joutes verbales et ce petit jeu du chat et de la souris qu’ils étaient incapable de contrôler l’un comme l’autre. C’était presque plus fort qu’eux. Et encore une fois, elle adorait ça. « -ça tombe bien, il n’y a pas de rideau. » il fallait qu’il se calme. Sinon, elle allait commencer à croire à toutes ces conneries. D’accord, il lui avait avoué qu’elle était le meilleure coup de sa vie, mais il y avait Brittany. Et pour le moment Madison n’avait pas la moindre intention de coucher avec lui à nouveau. C’était son premier jour, elle n’avait pas envie de bruit de couloir. Il y en aurait déjà sans qu’il y ait quelque chose de vraiment sérieux à la base.
« -peut être que moi je le suis. » répondit la jeune femme en laissant sous entendre qu’elle avait potentiellement quelqu’un dans sa vie. Ce qui était faux. Ou bien était elle fidèle en amitié. Elle s’entendait très bien avec Brittany, et elle l’avait déjà dit une fois : on ne touche pas à ce qui appartient aux copines. Elle lui demanda donc d’arrêter cela, et surtout de garder une certaine distance entre eux. Pour éviter les emmerdes. « -alors écoutes mes mots pas mon sourire. » répliqua Madison alors qu’il avait vu juste. Il y avait quelque chose chez lui qui l’attirait. Sans compter les souvenirs de leur nuit ensemble qu’il ne cessait de raviver dés qu’il en avait l’occasion. « -c’est beau de croire en ses rêves. » elle aimait lui remettre les pieds sur terre, même si en soit elle mentait ouvertement. Elle le savait très bien, si la tentation devenait trop grande, elle céderait. Et l’un comme l’autre seraient incapable d’arrêter quoi que se soit.
Une fois à table, elle ne renchérit pas au sujet du dessert. Simplement parce que c’était un repas d’affaire et qu’elle tenait à lui exposer ses idées. « -oui ! Ça ferait bien plus sérieux. Un sexologue me semble bien. » un sourire en coin avant de manger. « -oui, voilà. Et pourquoi pas de temps à autre, un sujet plus tabou. La plus part des gens sont incapables de s’avouer leur fantasmes une fois en couple. » puis elle lui demanda s’il aimait vraiment ses idées. « -ahah, très drôle. Très bon comédien. » ironisa la jeune femme en terminant son assiette. La réponse suivante la soulagea bien plus. Elle était vraiment heureuse d’entendre ça. S’il y croyait aussi, alors il pourrait convaincre les sphère supérieure d’adhérer aux idées. Elle hésita à le remercier, mais elle n’en fit rien. Il allait prendre la grosse tête et se prendre pour son sauveur. Et elle lui avait dit qu’elle ne voulait pas de pitié ou de traitement de faveur. « -pour le binome, je ne connais pas encore vraiment les autres. Mick n’est pas un bon candidat, alors… je vais me fier à ton jugement pour trouver celui qui fera l’affaire. » elle termina son verre d’eau et ajouta : « -pas de mauvaise blague, tu me mets quelqu’un de compétent, de pas trop con et d’assez mignon. Hors de question que j’ai un boulet pour ce projet. » elle tenait vraiment à ce que cela fonctionne alors elle ne voulait pas qu’il choisisse quelqu’un dans le but de la faire chier.
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Mer 12 Jan - 21:51
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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« Je n’aime pas l’idée de payer pour le plaisir. Je trouve que ça ôte tout son charme » rétorqua-t-il comme s’il en avait fait un principe. Puis il se mit à rire doucement pour ne pas attirer l’attention sur eux tout en répondant, en regardant les fenêtres du bureau de Madison « On peut s’arranger » et reporta ses yeux bleus sur elle. A force de jouer avec le feu, le charmeur de feu qu’il était risqué bel et bien de se brûler. Pourtant, la pensée d’une brûlure au troisième degré ne l’effrayait pas vraiment, parce qu’il aimait cette tension entre eux. Ce petit jeu de joutes verbales qui n’engageait à rien, même si Madison trouva nécessaire de lui rappeler que, de son côté à lui, il était déjà engagé dans une relation. Il resta perplexe face à la réponse de cette dernière. Est-ce qu’elle était en couple ? « Tu ne m’avais pas dit que tu avais quelqu’un dans ta vie » et ajouta comme un secret « Et pour te répondre, je le suis. Fidèle ». Même si quiconque l’écoutait, pouvait en douter. Toutefois, Elijah n’avait pas pour objectif de faire souffrir la jeune femme qui partageait sa vie, même pour une nuit avec Madison. Ils jouaient. C’était tout. Il la désirait et n’était pas contre l’idée de redécouvrir son corps lors d’une nuit comme ils avaient passé, mais pas tant qu’il serait avec Brittany. Il se croyait assez fort pour résister à la tentation. Il devait peut-être écouter les mots de Madison et non sourire, mais elle devait, quant à elle, écouter ses actes et non ses mots. Il aimait taquiner la belle brune, mais de là à succomber… Non. « J’ai du mal. Tu sais, la branlette ça rend sourd » répondit-il doucement, comme un secret et esquissa son sourire en coin « Ma maman m’a dit la même chose chaque soir avant de m’endormir ».
Au restaurant, ils avaient une capacité toute autre pour reprendre leur contenance et se concentrer sur le sujet qui les avait amenés jusque-là « Il va falloir en trouver un… ou une… qui est bien installée à L.A. et, pourquoi pas, est familière des réseaux sociaux. Ça nous permettrait d’avoir une meilleur visibilité » et ajouta en réponse à l’idée de la jeune femme « Sur ce sujet, il va falloir être mesuré parce que, tu me croire, certains ont des fantasmes vraiment limites » grimaçant tout en souriant, pour exprimer qu’il avait déjà entendu des fantasmes qu’il n’aurait préféré ne jamais savoir. Il s’autorisa une petite taquinerie quand elle semblait perplexe à la pensée que ces idées puissent plaire au journaliste « J’ai voulu percer dans le métier, mais je suis trop beau » en désignant son visage et reprit avec davantage de sérieux. Il prit le silence de la belle brune comme une manière bien à elle d’être touchée par ce qu’il venait de dire. Il avait bien compris qu’elle n’était pas du genre à remercier ou tout autre geste de ce genre. Il avait donc appris à comprendre ses silences depuis quelques temps. Il haussa les sourcils en entendant la jeune femme lui laisser champ libre pour trouver l’homme qui l’accompagnerait aux différents tests pour le magazine « Mon jugement ?! » tout en posant sa main sur son torse « Je t’ai dit que j’allais changer sur ce point. Si je te fais ça, tu ne me feras plus confiance et ce n’est pas vraiment l’objectif Madison » tout en s’avançant vers elle en lui disant cela. Il se recula pour laisser le serveur prendre leurs assiettes et commanda le dessert, non sans un long regard pour la belle brune et reprit « J’ai quelques candidats à te soumettre ».
Et voilà que moins d’une semaine plus tard, le quadragénaire arriva à son bureau, les mains dans les poches de son jean, sourire aux lèvres « Je t’ai trouvé le type idéal. Hétérosexuel, pas trop con et… c’était quoi l’autre caractéristiques ? Ah oui ! Mignon ! » et prit place dans l’une des chaises devant le bureau de la jeune femme, ses coudes sur les accoudoirs et les mains croisées devant lui, croisant les jambes avec élégance « J’ai demandé à Carl, du service mode, de t’accompagner. Il a refusé. J’avais pensé à Jeffrey, mais il ne desserre toujours pas les dents celui-ci donc j’ai abandonné l’idée. Je te propose donc moi » tout en se montrant des deux mains, et justifia son choix en s’avançant sur sa chaise « Je t’ai déjà vue nue donc ça ne posera pas de souci pour les massages, ensuite je suis plutôt charmant dans mon genre, on s’entend bien et tu m’as dit que j’avais besoin de vacances et c’est l’idéal pour moi. Je prends des vacances en travaillant. N’est-ce pas merveilleux ?! » termina-t-il avec enthousiasme.
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Charly
Jeu 13 Jan - 9:23
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -tu n’as jamais posé la question et je suis ravie de l’apprendre. » laisser planer le doute, elle aimait bien ça. Et elle aimait également le fait que cela semblait presque le perturber qu’elle puisse avoir quelqu’un dans sa vie. Pour la fidélité, elle s’était clairement permis d’en douté. Depuis le mariage, il ne cessait de lui faire du rentre dedans. Il y avait aussi eut des moments de flottement, des moments d’envie. Elle l’avait vu dans ses yeux. Alors c’était une bonne chose qu’il affirme l’être. Ça mettait une distance et une barrière en plus. Jouer c’était amusant, mais ils savaient tous les deux ce que ça donnait ensemble dans une chambre à coucher. C’était plus que tentant. « -je te mettrais tout ça par écrit si tu préfères. Ça fera un nouveau cadre à accrocher. » un sourire en coin. Ça n’était qu’un jeu. Un jeu qui lui plaisait beaucoup. Et qui l’aidait à vraiment oublier le mal qu’il lui avait fait. Mais qui ravivait cette sensation qu’il avait gâché ce qui pouvait y avoir entre eux.
« -excellente idée ! Les réseaux sociaux ! Il manque peut être de ça aussi dans le magazine. Juste une petite pincée. » Maddy était coutumière des réseaux. Elle adorait son compte insta… Et d’ailleurs elle n’en parla pas. Simplement parce qu’elle ne tenait pas à ce qu’Elijah aille voir. Il y avait beaucoup de chose d’elle qu’il ignorait. Enfin en même temps, ça n’était pas top secret puisque sa page était publique. Mais bon… « -on verra, on ne va pas commencer par un sujet tabou. Ça sera pour le numéro suivant, pour créer la surprise. Et j’ai mes limites aussi. Je suis ouverte à pas mal de chose, mais pas à tout. » elle finit par lui demander s’il adhérait vraiment à ses idées. « -j’ai dis que je te faisais confiance ? Tu comprends vraiment ce que tu veux quand tu veux. » elle se foutait de sa gueule et c’était sa façon à elle de lui dire qu’il avait raison. Ça n’était pas le but. « -parfait alors ! »
Une main sur le coeur, elle venait de sursauter : « -merde Elijah ! » s’emporta Madison alors qu’il venait encore une fois de la couper dans le fil de ses pensées et de la faire sursauter. Elle coupa la musique avant de se lever pour fermer la porte et de venir poser ses fesses sur le rebord du bureau, juste à côté de lui. « -hein ? Pourquoi il a refusé ? C’est super intéressant et c’est allier l’utile à l’agréable. Heureusement qu’il a dit non, ça prouve qu’il est con. Attends quoi ?! » forcement elle avait parlé en même temps que lui, les bras croisés sous la poitrine, traitant ce pauvre type qu’elle ne connaissait pas. « -toi ? » elle prononça ce mot presque comme si c’était absurde. « -oh ba oui forcement c’est ton premier argument. Ça dépends des jours. Je n’aurai pas dis ça comme ça. » puis elle fronça les sourcils en le regardant de haut en bas. « -non. » finit elle par lâcher. Puis elle fit le tour du bureau pour revenir prendre place en face de son ordinateur. « -j’ai pas besoin d’un type qui veut juste faire ça pour le plaisir. Je veux quelqu’un qui ait bien compris que c’était pour le boulot. » elle se pencha pour le voir de derrière son écran : « -si tu veux passer du temps avec moi, invite moi à boire un verre. Mais trouve moi quelqu’un d’autre. » elle énonçait ça avec aplomb. Non, elle ne voulait pas de lui.
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“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]