“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Mer 9 Fév - 19:57
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Ils avaient été incapable de faire un pas en avant pour se réconcilier ces derniers mois, alors il était hors de question pour Elijah de laisser une nouvelle opportunité s’échapper. Lorsque Madison lui demanda de faire un pas en avant en venant l’embrasser, il s’était approché d’elle et s’était mis à sourire en entendant la réponse enfantine de sa belle brune « Hors de question de te jeter » et déposa ses lèvres sur les siennes à sa demande. Il n’avait plus envie de quitter ses lèvres et continua de l’embrasser jusqu’à rejoindre la chambre à coucher. Il sentait son cœur battre un peu plus vite alors que le désir continuait de croître. Il la laissa retirer son t-shirt et en fit de même avec elle. Des caresses, des baisers, le goût de sa peau, le temps d’ôter leurs vêtements, puis se glissa rapidement entre ses jambes, soupirant de plaisir en se sentant en elle. Les préliminaires attendraient. Pour le moment, Elijah avait juste envie de l’entendre crier son plaisir sous ses coups de reins. Il apprécia son sourire et son regard quand il pénétra en elle, et se mordit la lèvre inférieure, bien décidé à la faire grimper au rideau dès le premier essai. Parce que oui, il comptait bien passer la nuit à découvrir son corps sous toutes les coutures. Sa main caressa sa cuisse autour de ses hanches, et donna de langoureux, mais fougueux coups de reins alors qu’il déposait ses lèvres dans son cou, ou prenaient possession de sa bouche. Il aimait l’entendre l’encourager à chaque coups de reins, à chaque va-et-vient. Il se saisit de ses jambes et les posa sur ses épaules, les entoura de ses bras, et donna de longs coups de reins, et cela, jusqu’à ce qu’il laisse exprimer son plaisir à voix haute. Il se moquait bien des voisins.
Il laissa retomber les jambes de la belle brune sur les draps, puis posa sa tête contre la poitrine de cette dernière, embrassa sa peau, et remonta lentement jusqu’à ses lèvres, jouant de sa langue avec la sienne, alors qu’il tentait de reprendre ses esprits, et se laissa tomber sur le côté, à bout de souffle « Je pense qu’on peut mieux faire, mais c’était… Ouais, vraiment bon » en tournant la tête vers Madison, riant presque sous l’effervescence du moment. Il se leva du lit pour aller chercher un grand verre d’eau, buvant la moitié d’une traite et donna l’autre moitié à Madison « Hydrate-toi bien, parce que cette nuit, tu ne vas pas dormir » alors qu’il reprenait place dans le lit, embrassant déjà son cou « On va faire en sorte que ça soit meilleur que la fois dernière » et déposa un baiser sur son épaule, et remonta dans son cou, sa mâchoire et prit possession de ses lèvres, l’embrassant ainsi un moment, avant de prendre position au-dessus d’elle, et délaissa ses lèvres pour embrasser sa poitrine, jouant avec, et continua de descendre, son regard la fixant avec envie, et continua son ascension jusqu’à sa féminité où il décida de démontrer qu’il n’avait pas perdu la main… Ou la langue dans son cas, alors que ses mains tenaient fermement ses hanches. Il en joua habilement jusqu’à la sentir se contracter sous l’orgasme, et remonta lentement, embrassant sensuellement sa peau, pour revenir jusqu’à sa bouche « Apparemment, je suis toujours aussi habile » et approcha ses lèvres de son oreille « Je vais jouer les chefs et être derrière ton dos parce que je sais que tu aimes ça » en l’encourageant à se retourner dos à lui. A quatre pattes devant lui, il fit glisser ses doigts dans un effleurement, tout le long de sa colonne vertébrale, et cela, jusqu’à ses hanches dont il se saisit et entra en elle. Il laissa ensuite ses doigts glisser jusqu’à sa féminité, et commença les vas-et-viens, jusqu’à la jouissance qu’il cria, et se laissa tomber dans les draps froissés, une fois encore.
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Charly
Mer 9 Fév - 20:55
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Cela faisait une éternité que Maddy ne s’était pas sentie désirée de la sorte. Non pas qu’elle ne suscitait pas l’envie chez les hommes. Loin de là. Elle était le genre de femme sur qui on se retournait dans la rue. Mais là c’était différent. Elle le lisait dans ses yeux, elle le sentait dans son souffle, dans la pression de ses mains sur ses cuisses, dans la précipitation à lui retirer ses vêtements. L’envie était là, palpable, incontrôlable. Ils ne pouvaient plus la repousser encore et encore. C’était le moment. Ce moment dont Eli avait parlé. Ce moment qui devait se faire naturellement, celui où la tentation était si grande qu’ils ne pouvaient que céder.
Elijah l’avait déjà connu entre ses draps, elle n’avait pas envie de retenir quoi que se soit. Elle en était incapable de toute manière. Maddy retrouva les frissons, le goût de ses lèvres et de sa peau. C’était… c’était comme dans ses souvenirs. Enivrant, intense, plus que parfait… Lorsqu’il remonta ses jambes sur ses épaules, elle cambra les reins. Elle se sentait belle, désirable et désirée. D’où le petit sourire et ce regard avant qu’elle ferme les yeux quelque secondes en gémissant. Chaque coup de reins étaient divins. Et l’orgasme le fut tout autant. Comme s’ils n’en avaient pas encore assez l’un de l’autre, ils s’embrassèrent à pleine bouche juste après, avant qu’elle ne rit avec lui, tout autant essoufflé : « -ouais… c’était vraiment bon... » si pour lui ça faisait un mois seulement, ça n’était pas son cas. Et ce qui venait de se passer lui faisait beaucoup de bien. Autant physiquement que psychologiquement. Elle l’observa quitter le chambre, détaillant sur corps nu des yeux sans la moindre gêne. Puis elle se mis à rire en portant le verre d’eau à ses lèvres.
Elle tâtonna pour reposer le verre alors qu’il embrassait déjà son cou et que sa peau se couvrait de frissons. « -c’est possible ça ? » demanda la jolie brune en riant avant de lui rendre son baiser avec une envie certaine. Puis elle le sentit partir en exploration et elle le taquina alors qu’il ne la quittait pas des yeux : « -je risque pas de te dire stop... » oh que non. Parce que ce qu’il s’apprêtait à faire, de tous les hommes avec qui elle avait couché, c’était incontestablement lui le plus doué. Elle se laissa faire, se concentrant sur son plaisir, totalement offerte à lui. L’orgasme la fit chavirer, cambrant les reins, renversant la tête en arrière, criant son plaisir. « -ouais totalement… » parvint elle à articuler pour confirmer ces dires, rien à foutre de flatter son égo ! C’était la stricte vérité. Il était doué.
Un petit rire à sa phrase en lui volant un baiser, avant de s’exécuter. Ils n’avaient couché qu’une seule fois ensemble, cinq ans plus tôt, mais visiblement il n’avait pas mentit. Il se souvenait parfaitement de ce qu’elle aimait. A nouveau elle laissa s’échapper des ah oui… et des encore… jusqu’à ce qu’elle jouisse quelques secondes après lui avant de se laisser retomber sur le matelas avec lenteur, les reins toujours courber, Elijah toujours en elle. « -ah ce rythme là, il faudra que je dormes à un moment où à un autre… t’es au courant... » elle le laissa glisser à ses côtés, li souriant avec malice.
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Mer 9 Fév - 21:20
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Á l’issue de leur dispute quelques mois auparavant, Elijah s’était réfugié dans le sexe en cumulant les conquêtes d’une nuit. Des grandes, des petites, des blondes, des brunes, des aventureuses ou encore des introverties. Mais aucune n’était Madison. Avec la belle brune, il y avait cette complicité naturelle entre eux, cette liberté dans leurs ébats, cette confiance mutuelle, mais aussi cette capacité à transmettre, en un regard tout le désir qu’ils pouvaient éprouver l’un pour l’autre. Ils n’avaient pas besoin de se retenir dans l’expression de leur plaisir, ou encore dans leur manière de se le procurer. Elijah connaissait le corps de son amante malgré les cinq années qui s’étaient écoulées, et malgré tout, il se plaisait toujours autant à le redécouvrir, à le mettre en émoi sous ses caresses ou ses coups de reins. Il aimait l’entendre gémir sous ses coups de reins et crier à l’arrivée de l’orgasme. Puis le retour à la réalité était tout aussi agréable. Pas de précipitation pour se revêtir et disparaître, pas de gêne, ou encore de silence pesant. Non, avec la jeune femme, tout se faisait naturellement, même après cinq ans. Il s’autorisa même à complimenter leur première fois après tout ce temps, et apprécia l’entendre rire avec elle et confirmer ses dires. Il s’éclipsa ensuite, complètement nu, jusqu’à la cuisine, laissant Madison profiter du spectacle, et revint avec un verre d’eau et ne la laissa pas vraiment terminer, qu’il embrassait déjà sa peau, souriant tout contre, alors qu’il la voyait galérer avec son verre d’eau. Il haussa ensuite les épaules « Je te propose qu’on essaie et on comparera ensuite ».
Elijah délaissa les lèvres de Madison et savoura le goût de sa peau, descendant lentement jusqu’à sa féminité, et sourit à son commentaire « Tu es à ma merci » et continua son ascension, et joua habilement de sa langue contre son intimité, et cela, jusqu’à ce qu’il l’entende crier son plaisir. Sourire aux lèvres en sachant qu’il était parvenu à la faire jouir, il remonta sensuellement jusqu’à ses lèvres « J’aime entendre ça » et décida de remettre ça. Il n’était pas rassasié de se sentir en elle, de son corps, de ses caresses, et lui demanda de se mettre dos à lui, puis la pénétra et de nouveau, savourant ses encouragements, l’écoutant et accentuant ses coups de reins à sa demande, jusqu’à ce qu’ils atteignent la jouissance. Il embrassa son dos et se mit à rire tout contre sa peau, alors qu’il se glissa hors de ses cuisses pour se coucher à côté d’elle « J’espérais que tu dirais ça » et tourna la tête vers elle « J’avais oublié à quel point nous deux, ça pouvait être aussi intense » et épuisant notamment. Il s’allongea sur le ventre, et déposa un baiser sur l’épaule de la belle brune avant de lui voler un baiser, et d’une main dégagea une mèche de cheveux de son visage « Et puis, ce n’est pas comme si on n’avait pas d’occasion de recommencer après ». Après tout, cette fois-ci, il connaissait son prénom et son adresse. Plus timidement ensuite, il demanda « Tu vas flipper si je viens me blottir contre toi ou… » et fit un signe négatif de la tête « Laisse tomber » et se retourna, posa sa tête contre l’oreiller avant de la tourner en direction de la belle brune « Tu as encore envie de moi et de ma virilité entre tes cuisses fuselées ou tu veux dormir un peu ? » en esquissant un petit sourire en coin taquin.
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Jeu 10 Fév - 9:17
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Est ce que c’était parce qu’ils se connaissaient maintenant ? Maddy avait la sensation qu’ils faisaient un meilleur départ que cinq ans plus tôt. En l’espace de quoi, une petite heure et demi sans doute, elle avait déjà plus jouit qu’en un an ! Enfin avec un homme. Et pas n’importe lequel. Allongée sur le ventre, déjà épuisée par tout ça, elle évoqua le fait qu’il lui faudrait dormir. Un joli rire en le regardant : « -on a vieillie aussi ! Ça doit venir de ça. » proposa Maddy en guise d’excuse. Et puis ils avaient eut tous les deux une longue semaine, sans compter un paquet d’émotions de toutes sortes. Clairement elle était bien moins en forme que la dernière fois qu’ils s’étaient envoyé en l’air. Un hochement de tête sans le quitter des yeux : « -tout à fait… on a toute la nuit. » sous entendant que ça serait la dernière fois, se mettant à rire ensuite. Non, ça ne serait pas la seule nuit. C’était plus que certain. Ils en voulaient plus, l’un comme l’autre.
Les deux mains sous sa joue, elle l’observa lorsqu’il osa à peine lui demander s’il pouvait venir se blottir contre elle. Un léger sourire moqueur, sans bouger, sans rien dire. Elle bougea seulement après sa question, grimpa sur lui, l’embrassant toujours avec autant d’envie. « -j’en ai pas encore eu assez pour cette nuit… » elle l’embrassa à nouveau, avant d’ajouter : « -mais la nuit n’est pas finit… et... » une légère grimace et reprit : « -j’ai faim... » un baiser : « -de vrai nourriture. » un sourire et elle se laissa glisser de son côté du lit, afin d’enfiler son boxer en dentelle, et le tshirt d’Elijah. Elle n’allait pas enfiler son pantalon et son chemisier. C’était bien plus pratique ainsi. Et puis il pouvait s’en trouver un autre. Maddy dégagea ses cheveux du col, et se leva pour rejoindre le salon. Il fallait qu’elle mange un peu. Mais elle revint vers la chambre, passant seulement la tête : « -tu viens ? » dans l’idée elle s’était dit de ramener tout ça dans la chambre parce qu’elle n’avait pas envie de quitter le lit, mais elle n’était pas chez elle. « -à moins que… je peux... » il avait compris, il dit oui. Alors elle revint avec les deux verres de vin et la bouteille. Puis après un autre aller retour, elle déposa la boite de sushi sur le tapis. Pas dans les draps tout de même.
Maddy s’installa au sol, le dos contre le lit, sourit à Elijah lorsqu’il la rejoignit et porta son verre à ses lèvres. « -on est con… on passe notre temps à perdre du temps... » oui parce qu’ils pensaient trop. Elle parlait au sens large de l’être humain pas seulement d’eux. « -tu… tu voulais dire quoi par : elles n’étaient pas toi. Ou un truc comme ça. » ils avaient commencé à en parler, autant finir. « -après ce que tu viens de me faire vivre, je vais pas partir en courant... » un sourire en coin, histoire de le rassurer, et de lui faire comprendre qu’il pouvait parler librement. Elle ne prendrait pas la fuite. Mais elle voulait savoir le fond de sa pensée.
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Jeu 10 Fév - 15:47
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah se souvenait parfaitement de leur nuit ensemble cinq ans auparavant, et il ne s’était pas trompé en pensant que ça serait tout aussi bien s’ils recommençaient. Parce que oui, ça avait été plus que bon. Toutefois, il avait omis que c’était aussi intense entre eux deux. Alors, quand Madison évoqua la possibilité de dormir, le quadragénaire fut rassuré. Il n’était pas le seul à commencer à éprouver de la fatigue, et il craignait de le dire à voix haute, de crainte que la belle brune ne remarque qu’il avait fini par vieillir. Un petit rire quand elle souligna leur vieillissement « Je ne vois que cette hypothèse ». Ça ne l’empêchait pas pour autant d’éprouver toujours du désir, et d’avoir encore envie d’elle. Il leur fallait juste une pause. Elijah se mit à froncer les sourcils quand elle sous-entendit que ça ne serait qu’une nuit. Il n’était pas prêt à cette pensée « J’espérais que tu dirais qu’on avait plusieurs nuits devant nous » et lorsqu’il l’entendit rire, il comprit alors qu’elle s’était moquée de lui. Elijah se mit à rire à son tour et se pencha pour l’embrasser « Ne joue pas à ça avec moi, sinon je serais obligé de te punir comme il se le doit » en sous-entendant qu’il n’était pas encore assez fatigué pour ne pas réitérer leurs ébats.
Elijah se montra toutefois bien moins confiant quand il s’agissait d’évoquer la possibilité de se blottir contre elle, de la serrer dans ses bras. Après tout, ils n’avaient pas vraiment délimité ce qu’ils avaient le droit de faire et pas le droit de faire dans cette nouvelle relation d’amitié avec bénéfice mutuelle. Il lui demanda de laisser tomber finalement en se rendant compte que c’était stupide, et changea radicalement de sujet pour savoir s’il devait rejoindre les bras de Morphée ou ceux de Madison. Cette lueur d’envie vint éclairer les prunelles claires d’Elijah quand la belle brune monta sur lui et l’embrassa avec envie. Un baiser qu’il lui rendit avec tout autant de conviction, alors qu’il posait ses mains dans son dos « Moi non plus… » en se rendant compte que finalement, il n’était plus si fatigué que ça. Il lui rendit son baiser avec de sourire en coin « Je suis au menu. Buffet à volonté » puis se mit à rire quand elle évoqua le fait qu’elle désirait surtout de la vraie nourriture et la laissa quitter le lit. Elijah se redressa sur ses coudes en rétorquant « Donc tu grimpes sur moi, et puis plus rien ?! Tu vas devoir te rattraper après dîner » et se laissa tomber sur le lit, avant que Madison ne revienne dans la chambre et acquiesça à la question qui n’était pas formulée comme une question de cette dernière.
Alors que la belle brune faisait un nouvel aller-retour, le quadragénaire récupéra son boxer qu’il enfila rapidement, et prit place aux côtés de Madison, son dos contre le lit et porta son verre à ses lèvres « Raison de plus de rattraper le temps perdu » en lui souriant et prit un sushi, laissant son geste en suspens, le sushi dans la bouche à moitié ouverte et les baguettes tout près de son visage. Apparemment, sa réaction poussa la jeune femme à le rassurer sur le fait qu’il pouvait se confier, elle ne partirait pas. Il posa donc ses baguettes et avala son sushi « Et ce n’était que le début. Tu n'arriveras plus à marcher demain matin » en esquissant un sourire en coin, puis prit une gorgée de vin avant de répondre à sa première question « Il n’y a pas de retenue quand nous sommes ensemble, on exprime notre plaisir sans retenue, on sait comment se faire vibrer, on se sent libre de tout faire sans craindre le jugement de l’autre… puis tu as cette capacité à me donner envie de toi en un regard, en une parole. On se comprend sans parler et… Je me sens bien avec toi, j’ai toujours envie de te toucher, de t’embrasser. Ce n'est pas que sexuel. Je veux dire, regarde-nous, on mange des sushis au pied de mon lit juste après s’être envoyé en l’air… Lorsque c’était fini avec les autres femmes, on ne remettait pas le couvert. On se séparait et à une prochaine. Alors qu’avec toi… J’ai envie de passer chaque minute de la nuit avec toi, à te faire jouir, à te parler… » répondit-il tout en la regardant fixement, puis baissa soudainement les yeux, émit un petit rire en prenant un sushi et rétorqua « Pas sûr que tu n’es pas envie de partir en courant maintenant ».
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Jeu 10 Fév - 21:40
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -autant privilégier la qualité n’est ce pas ? » s’amusa Madison en constatant qu’elle n’était pas la seule à avoir dans l’idée de dormir un peu. Ils avaient toute la nuit, et il y en aurait d’autres au vu de l’échange qu’ils avaient eu dans le salon. Même si cela la fit bien rire de sous entendre le contraire juste histoire de voir la réaction d’Elijah. Rire qui redoubla en entendant sa menace qui était plus que tentante. La jeune femme joua un peu plus encore en venant coller son corps contre celui de son amant, avant de se lever parce qu’elle avait faim. « -je te garde pour le dessert ! » lui cria la jeune femme de l’autre bout de l’appartement, souriant pour elle même. Puis elle revint avec le reste du repas et s’installa au sol, sur le tapis. Un commentaire tout haut avant de sourire : « -et ba on a du boulot parce qu’on a cinq ans à rattraper ! » ils allaient peut être devoir prendre des congés spécialement pour ça !
Elle prit une gorgée de vin avant de poser sa question. « -ça me va. » répondit la jeune femme comme s’ils étaient en train de prendre un pari. Mais elle tenait à ce qu’il réponde à sa question, ça avait une certaine importance pour elle. Elle avala un peu de vin, avant de prendre un sushi, puis un autre tout en l’écoutant. A mesure qu’il parlait, elle opta plutôt pour son verre de vin, juste histoire de faire taire la petite voix dans sa tête. Elle n’avait pas envie de l’entendre, pas envie de l’écouter non plus. Seulement envie de lui dire la ferme. Parce que merde ! Elle se sentait bien là, assise sur ce tapis à manger de sushi après l’amour. Et ça lui faisait un bien fou de se sentir belle, désirable, femme, sensuelle. Mais pas que. Elle se sentait également comprise, et c’était un certain soulagement. Elle sourit en regardant son verre. « -je l’avoue c’est assez flatteur de savoir que je ne suis pas comme les autres. » elle n’avait pas du tout envie de rentrer dans quelque chose de mielleux. « -on essai de pas tomber amoureux d’accord ? Parce que les sentiments ça complique tout. » elle était en train de poser des conditions. « -et je… j’aimerais mieux qu’on garde notre relation pour nous. Je veux pas donner raison à Brittany. Je veux… je veux que ça reste entre nous, un peu comme un secret ou quelque chose de clandestin. » elle ne savait pas s’il comprenait. « -j’ai pas envie qu’on pense que je suis une de plus sur ta liste. Parce que… comme tu l’as dis c’est différent. J’aime à le croire en tout cas. »
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Jeu 10 Fév - 22:05
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Un sourire sur les lèvres tout en rétorquant « Exactement » en se retenant de préciser que dans son cas, il avait déjà donné dans la quantité, en couchant avec une fille différente chaque soir, et cela, pendant presque un mois, et qu’il était lassé de ce genre de relation purement physique, purement sexuelle. Et ce début de nuit avec Madison ne faisait que le convaincre de son choix, parce que comme il s’en souvenait, déjà plus orgasmique, plus exaltant avec sa belle brune, qu’avec toutes les autres femmes qui avaient pu passer dans son lit, parce que c’était intense et différent. Il ne saurait l’expliquer, et puis surtout, pour le moment, il n’avait pas envie d’y penser. D’autant plus que la belle brune se jouait de lui, autant par les mots que par les actes, alors qu’elle s’était retrouvée sur lui, l’embrassant avec envie, avant de s’extirper du lit pour ramener le reste de dîner « Tu es assez grande pour commencer par le dessert » cria-t-il en retour avant de rire et d’enfiler un boxer pour la rejoindre au sol, sur le tapis de sa chambre, le dos contre son lit.
Une gorgée de vin avant de croiser le regard de la belle brune, et se mit à sourire avec taquinerie « C’est pour cela qu’on ne peut pas se limiter à une seule et unique nuit » en faisant référence à sa petite plaisanterie quelques minutes plus tôt. De toute manière, Elijah avait déjà en projet, pour cette nuit, de ne pas dormir beaucoup, bien décidé à faire crier la belle brune encore et encore cette nuit, et haussa les sourcils quand elle acquiesça, puis se mit à rire doucement « Je ne m’attendais pas à cette réponse. Je vais devoir sacrément assuré pour tenir parole alors » et prit un sushi pour gagner du temps avant de répondre à la question de Madison. Une question sensible en sachant qu’elle l’avait déjà repoussé la fois dernière parce qu’elle craignait les sentiments qui pouvait naître entre eux, et sa réponse ne devait pas la rassurer en ce sens. Il se mit à sourire en voyant qu’elle ne cherchait pas à partir ou à changer de sujet brutalement, et hocha lentement de la tête pour confirmer qu’en effet, elle n’était pas comme toutes les autres. Il resta silencieux pour autant, continuant de manger tout en écoutant la jeune femme.
Ne pas tomber amoureux… Ils ne devaient pas tomber amoureux… Elijah releva les yeux sur elle et demanda « Pourquoi as-tu si peur de tomber amoureuse de moi ? Et non, l’argument de « ça complique tout » ne fonctionne pas. Je veux une vraie réponse » en se mettant à afficher ce petit sourire insolent qui lui allait si bien. Il n’était pas amoureux, et puis de toute manière, il n’était pas certain de reconnaître l’amour, même si ce dernier venait à le renverser en bagnole, mais il était curieux de savoir pourquoi Madison craignait tant que ça le leur arrive « Tu sens que tu peux tomber amoureuse de moi ? ». Après tout, elle non plus n’était jamais tombée amoureuse d’après ces dires. Est-ce que cette mise en garde, c’était parce qu’elle sentait qu’elle pouvait en être capable ? Capable de l’aimer lui ? Il prit une gorgée de vin et acquiesça à nouveau d’un signe de tête « Je ne comptais pas le crier sur tous les toits et je dois t’avouer que garder notre petit arrangement secret, ça a un côté dangereux, exaltant et très sexy ». Déjà qu’ils étaient habitués à jouer avec le feu jusqu’alors, alors maintenant qu’ils pouvaient coucher ensemble en toute liberté, sans contraintes de la petite-amie, Elijah savait déjà que ça allait être encore plus dur de résister à l’appel de son corps. Il mangea un sushi et répondit à la belle brune en la regardant fixement dans les yeux « C’est différent Maddy. Tu peux me faire confiance » et ajouta « Est-ce qu’on reste exclusif ? Je ne te demande pas ça parce que j’ai envie d’aller voir ailleurs, parce que ce n’est pas du tout le cas… Je parlais au sujet de Paul… ». Oui, le photographe lui posait toujours autant souci.
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Charly
Ven 11 Fév - 9:13
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -y’en aura pas qu’une... » répondit Madison avec bien plus de sérieux dans la voix, et un regard appuyé. Après tout les planètes étaient alignées ! Ils se voyaient régulièrement, s’entendaient bien et ils étaient célibataires l’un comme l’autre. Oui parce qu’elle n’était pas en couple avec Paul. Loin de là même ! Bon, elle n’avait pas dit à Eli qu’il l’avait embrassé. Mais ça en était resté là. Rien de plus. Et il n’y aurait rien de plus. Puis elle se monta taquine et sa réponse étonna Elijah. « -on est deux je te rappelle. » sous entendant qu’il n’avait pas à faire tout le boulot. Elle ne voulait pas d’ailleurs. Pas pour une histoire de lui rendre quoi que se soit. Mais parce qu’elle aimait ça. Enfin elle avait aimé ça cinq ans plus tôt. Et puis elle posa sa question. Et la réponse la laissa perplexe, sans pour autant qu’elle décide de prendre la fuite. Elle n’avait pas envie de le faire. Parce qu’elle se sentait à sa place ici, le dos contre ce lit, à manger des sushi avec l’homme avec qui elle venait de coucher. Elle n’avait pas la moindre envie d’être ailleurs.
Elle lui soumis quelques règles et cela souleva de nouvelles questions. Elle se pencha pour prendre un sushi et répondit : « -je sais pas ! » tout en haussant les épaules. « -j’en sais rien, mais oui, tu as raison ça me fait peur. » elle regarda le sushi avant de le mettre dans sa bouche, puis elle ajouta avec un petit rire, postant sa main devant ses lèvres : « -t’as fini avec tes questions ! Je sais que c’est moi qui ait commencé mais bon ! » elle glissa une mèche de cheveux derrière son oreille, et ajouta : « -peut être. Je sais pas. Et j’ai pas envie d’y penser. Parce que ça va seulement alimenter mes peurs et que j’ai pas envie de partir d’ici. Que j’ai pas envie de remettre de la distance entre toi et moi. Je… » un nouveau haussement d’épaules en riant presque nerveusement : « -je vais adopter ta méthode, profiter du moment présent et ne pas penser à l’avenir. Et on verra… » ouais voilà elle allait faire ça.
Par contre, elle tenait à ce que leur relation reste secrète. « -si en plus c’est sexy... » un sourire entendu, malicieux aussi. Elle aimait vraiment cette complicité qui était né entre eux. Et puis elle porta son verre à ses lèvres, avala une gorgée avant que ses lèvres ne fassent ce O parfait. Surprise de la question, elle attendit pourtant qu’il s’explique. Puis elle ferma les yeux en souriant. « -je ne suis pas avec Paul. On est aller prendre un verre, manger ensemble, il m’a embrassé une fois et ça s’est arrêté là. Et ça s’arrête là. Je… je n’avais pas prévu d’aller plus loin avec lui. Et t’es jaloux ? » elle plissa les yeux en le regardant quelques secondes. Mais enchaîna ensuite : « -et la réponse à la question est : oui » puis elle bougea pour venir s’installer sur lui, passant ses bras autour de son cou, son verre de vin toujours dans une main : « -rien que toi et moi… et personne d’autre. » avant de l’embrasser avec envie. « -j’espère que c’est la réponse que tu voulais parce que je ne changerais pas d’avis. » en l’embrassant à nouveau. « -enfin tant que tu assures quoi... » avec un sourire espiègle.
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Ven 11 Fév - 20:25
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Devant le sérieux de la confirmation de la belle brune, Elijah afficha un sourire presque timide sur ses lèvres, alors qu’il répondait avec la conviction d’un adolescent devant son premier flirte « Tant mieux ». Il ne s’était pas attendu à ce regard et à ce sérieux pour lui confirmer que leur relation ne se résumerait pas une seule et unique nuit dans les bras de l’autre. Maintenant qu’il avait goûté à nouveau au corps, à la peau de Madison, le journaliste ne souhaitait pas renoncer à cette dernière au levé du jour. Toutefois, il était bien décidé à lui faire vivre une nuit inoubliable pour marquer leurs retrouvailles sous les draps. Un petit sourire en coin quand Madison lui confia qu’il n’était pas tout seul, et se passa la langue sur les lèvres « Je suis tout à toi alors ». Parce que les souvenirs de cinq ans auparavant lui revinrent en mémoire, parce qu’il se souvenait de sa capacité à le faire gémir de plaisir, et qu’il avait soudainement envie d’arriver au dessert. Mais la jeune femme posa la question qui modifia l’ambiance du moment, et la réponse d’Elijah n’arrangera rien, comme les questions qu’il posa en retour.
Sa belle brune avait peur de ce qui pourrait advenir de leur relation, des sentiments qui pourraient naître au fur et à mesure, et sa réponse fit sourire le journaliste avec douceur « Moi aussi… ». Évidemment que ça lui faisait peur. Il n’était jamais tombé amoureux, et il sentait, au fond de lui, bien profondément, que ça serait possible que ça se produise avec Madison. Un petit rire devant la remarque de Madison « Tu assumes maintenant ! » avant de lui demander si elle pensait pouvoir l’aimer lui. Il avait besoin de savoir s’il n’était pas seul. Un mélange d’émotions contradictoires l’accabla. De l’appréhension, du soulagement et une certaine angoisse à la fin de sa réponse « Je n’ai pas envie que tu partes non plus… ». Ils avaient été assez éloignés comme ça. Elijah voulait retrouver son amie au bureau, retrouver cette décontraction, cette complicité qu’ils avaient habituellement. Il se mit à sourire en l’entendant rire, et posa ses doigts sur son menton pour l’attirer à lui et l’embrassa « C’était juste une question. Je ne suis pas amoureux de toi. Je voulais juste savoir. Tout ce que je désire, c’est qu’on se fasse mutuellement chier au travail, et ton cul dans mon lit ensuite ». Un baiser dans son cou cette fois-ci et prit un sushi avant de poursuivre la conversation.
« Je crois que tout ce qui touche à toi est sexy » avoua-t-il avec taquinerie alors qu’il portait son verre à ses lèvres et voilà qu’une question à la Elijah fit de nouveau son apparition. Il aimait la voir faire ce O avec ses lèvres alors qu’il évoquait Paul et une certaine exclusivité entre eux « Il t’a embrassé ? » demanda le journaliste qui n’avait retenu que ce détail, tout en parlant en même temps qu’elle, puis ouvrit la bouche pour la refermer ensuite, se mettant à rire nerveusement « N’importe quoi ! Je ne suis pas jaloux ! Qu’est-ce que tu racontes ?! » puis ajouta « Bon… Ok. Je le suis peut-être un peu, mais tu es mal placée pour me juger » répondit-il en la désignant du doigt qu’il baissa ensuite pour prendre son verre de vin. Il se mit à sourire avec contentement en l’entendant confirmer que ça serait exclusif entre eux. Il écarta les bras pour la laisser prendre place sur lui, posa son verre à ses côtés pour avoir les mains libres et entourer la taille de Madison de ses bras et lui rendit son baiser avec tout autant d’envie. L’heure du dessert avait sonné ! Il se mit à sourire « Je vais briser le cœur de bien des prétendantes, mais bon… » tout en baissant le regard, haussant les épaules comme s’il était désolé, puis se mit à sourire en regardant fixement la jeune femme qui l’embrassant avant de venir préciser que ça serait exclusif que tant qu’il assurerait au lit. Ce qui fit réagir le quadragénaire « Ah ! Je vois ! Tu vas voir si je n’assure pas » et glissa ses doigts dans le boxer en dentelle de son amante, et approcha ses lèvres des siennes sans l’embrasser « Et pour te répondre, c’est la réponse que je voulais » et joua habilement de ses doigts contre la féminité de Madison « Parce que je n’ai pas envie que d’autres doigts te caressent comme je le fais. Je veux être le seul à t’entendre gémir de plaisir comme tu le fais », et l’embrassant à pleine bouche, continuant de jouer avec elle jusqu’à ce qu’elle atteigne la jouissance. Le journaliste embrassa son cou avec sensualité et souffla à son oreille « J’espère que tu n’as pas sommeil, parce que je n’en ai pas fini avec toi ».
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Charly
Ven 11 Fév - 21:20
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Madison éclata de rire en entendant Elijah avouer que lui aussi il avait peur qu’une probable histoire d’amour naisse entre eux. « -à mon dieu tu me rassures ! Tu n’imagines même pas à quel point ! » oui si ils étaient deux, ça lui évitait de passer pour la cinglée qui avait peur que l’amour lui tombe sur le coin de la tronche. C’était délicat de parler de tout ça et pourtant elle trouvait ça bien, et important. Au moins ils pouvaient voir qu’ils étaient sur la même longueur d’ondes. Et c’était rassurant. « -oui ba oui j’assume ! » renchérit elle toujours tout sourire, amusée de tout ça. Qu’est ce que ça lui avait manqué qu’ils se taquinent ainsi. Et ça ne faisait que renforcer cette idée qu’ils avaient perdu cinq ans. Et qu’elle ne s’était pas trompée ce jour là. Que quelque chose de vraiment sympa pouvait voir le jour entre eux. « -me voilà doublement rassurée. Parce que me foutre à la porte maintenant, ça n’aurait pas été sympa du tout ! » à nouveau c’était de l’humour. Même si cela aurait pu arrivé. Il avait eu ce qu’il voulait. Une nouvelle partie de jambes en l’air ensemble. Alors… alors oui, elle était rassurée de savoir que ça ne s’arrêterait pas là, qu’il y aurait d’autres nuits ensemble, que cette complicité pouvait avoir sa place dans leurs vies.
Madison lui rendit son baiser avant d’ajouter : « -oui enfin je te promets pas mon cul dans ton lit tous les soirs. Parce que j’ai besoin de sommeil tu sais. Et puis je ne voudrais pas que tu te lasses. » après tout, il était un homme à femmes. Ils avaient enchaîné conquête sur conquête durant des mois. Et elle ne voulait pas que leur relation prennent la tournure d’un couple. Un nouveau rire : « -oh non, pas certaine d’avoir été hyper sexy en arrivant à moitié en pleure chez toi ce soir ! » même si elle avait bien fait au final. « -c’est tout ce que tu retiens ?! Tu veux qu’on en parle de ton défilé de nanas ? » en soit elle avait seulement embrassé un homme. Lui, il avait fait bien plus. Et tout en parlant en même temps que lui elle ajouta : « -oh que si ! Je suis certaine que tu l’apprécierais mais tu l’as classé dans la case je le déteste simplement parce qu’il me tourne autour. Ne mens pas ! Quoi ? Moi ? Je suis pas jalouse ? J’ai seulement eut peur que tu chopes une mst ! » ouais avec son défilé !
Puis elle vint s’installer sur ses genoux pour confirmer que oui, elle voulait une relation exclusive entre eux. « -m’en parle pas... » ajouta la jeune femme en levant les yeux au ciel, avant de le taquiner à nouveau. « -hum… oui je veux bien voir... » reprit Madison en le laissant faire, avalant ce qu’il restait de vin dans son verre, avant de le poser au sol. Un soupire de plaisir et elle articula presque avec difficulté : « -heureusement que j’ai donné la bonne réponse alors... » avant de lui adresser son petit sourire en coin aguicheur. « -continues... » souffla t elle ensuite tout en l’écoutant. Puis elle ajouta un : « -possessif... » avant de gémir et de lui rendre son baiser avec tout autant d’envie.
Maddy s’était laissée quelque peu glisser sur les cuisses d’Elijah, n’ayant pas dans l’idée de le laisser sur la touche. Elle s’était saisit de son membre et exerçait un va et vient lent histoire de préparer le terrain. Un cri de plaisir avant de rire contre la peau de son partenaire. « -moi non plus. Viens là... » et elle quitta ses genoux afin de rejoindre le lit. Lorsqu’il la rejoignit elle prit tout son temps pour s’occuper de lui. A son tour de jouer avec sa bouche et sa langue. Elle s’arrêta pourtant parce qu’elle en voulait plus. Et lorsqu’elle remonta pour l’embrasser elle lui susurra un : « -prends moi... » à nouveau elle se positionna à quatre patte, et soupira de plaisir en le sentant venir en elle. Après quelques va et viens, elle se redressa, collant son dos contre son torse, guidant l’une de ses mains sur ses seins. Lorsqu’elle retomba dans les draps, elle avait le souffle court et le coeur qui battait comme une dingue dans sa poitrine. Elle mêla ses jambes aux siennes, avant de tourner la tête vers lui. Un sourire et elle dit : « -je crois, non j’en suis certaine, je n’ai jamais jouis comme ça avec aucun autre homme. On dirait que tu lis dans mes pensées. » il savait trouvé sans qu’elle ait besoin de le guider, les zones et les mouvements qui la faisait frémir.
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“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]