"Il n'y a pas de hasards, que des rendez-vous" [ft Charly]
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Charly
Lun 15 Aoû - 14:48
Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.
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Mac n'était personne pour juger David. Surtout pas pour une consommation d'alcool excessive. Il avait vécu un drame, perdu sa femme et sa fille. Il était presque logique finalement qu'il ait perdu les pédales. Elle remerciait intérieurement Henri de l'avoir sauvé. Et c'était aussi en partie pour ça, qu'elle ne voulait pas, ne pouvait pas détruire ce qui unissait les deux frères. Peut importait ses sentiments envers David au final, elle ne supportait pas d'avoir détruit cela. David et Henri étaient proches, s'entendaient à merveille. Si seulement elle n'avait pas eu cette aventure avec Henri… mais c'était trop tard pour ça. Maintenant elle ne pouvait que réparer les dégâts qu'elle avait causé. Pour l'instant, elle tenta au mieux de rassurer David. Elle avoua également. A deux ils seraient plus fort. Finalement elle était presque heureuse de connaitre cette facette de la vie de David.
Elle continua sur sa lancée et avoua être en possession d'une arme à feu. Pas parce qu'elle aimait ça. C'était simplement une protection qui datait de sa vie dans la rue. « -laisse moi t'expliquer avant de me prendre la tête. » parce que c'était ce qui pouvait arriver. Elle avait prononcé ce mot sans hausser le ton, avec un certain calme. Puis elle avait évoqué sa vie d'avant. « -c'est rien. T'inquiète pas. » elle savait parfaitement pourquoi il réagissait ainsi. « -je sais que j'aurai dû m'en séparer. Mais… je savais pas vraiment comment. J'ai pas de permis de port d'arme et je pouvais juste laisser ce flingue dans une poubelle. Y'a mes empruntes dessus. Enfin… bref je l'ai rangé dans mon armoire, ça m'a semblé la meilleure solution sur le moment. » elle lui expliqua tout ça toujours sur le même ton tendre et posé. Elle n'avait pas envie d'une dispute. Surtout pas. Pas aujourd'hui. « -ouais… je commence à bien te connaître. » souffla Mac en oui souriant avec douceur. Elle savait parfaitement que c'était uniquement pour son bien qu'il parlait ainsi. « -Ça me va. T'en fais pas. » elle n'avait plus de raison de garder cette arme sous son oreiller pour dormir. Sa vie avait changé. Elle aussi.
Tellement changer qu'elle ne savait plus vraiment si ce vœux de célibat était encore d'actualité. Elle écouta David qui avait prit la parole en 1er. Enfin elle lui avait laissé prendre la parole parce que ça l'arrangerait aussi. Elle sourit en baissant le regard sur leurs mains. « -ce que j'ai dis à Henri est vrai. Ce que je t'ai dis cette nuit l'est tout autant. Je ne pensais pas que ça arriverait. Mais c'est arrivé. Ce n'est pas seulement une histoire de tension sexuelle. Il y a plus que ça et on le sais tout les deux. » elle leva le visage pour regarder David. « -tout ce qui me fait peur dans un couple, on le vit déjà ensemble finalement. On a apprit à se parler, à s'écouter. Mais aussi se comprendre, se laisser de la place quand il faut. » elle termina sa tasse de café en se levant pour la déposer dans l'évier. « -je tiens à toi. Énormément. De là à dire que je suis amoureuse, je ne sais pas… » toujours cette sincérité à toute épreuve. Elle s'approcha de nouveau de David et repris : « -si tu es d'accord, je le suis aussi. J'ai envie d'essayer. De voir ce que ça donne même si pour le moment, le monde extérieur est contre nous… » une légère grimace, avant de glisser ses mains dans les siennes.
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Manhattan Redlish
Lun 15 Aoû - 15:18
David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis veuf et je le vis plutôt bien parce que je réapprend à vivre.
David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés. Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…
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Apprendre que Mac détenait une arme dans leur appartement eut pour effet de le sortir momentanément de ses gongs. C’était l’avocat qui s’exprimait. Il n’avait pas envie d’effectuer des visites conjugales à la prison d’État parce que la jeune femme n’avait pas su lui confier sa sécurité. Puis, lorsque Mac lui expliqua les raisons qui l’avait poussé à détenir une arme à feu, David se sentit soudainement bien stupide face à elle. Avec des derniers mois passés l’un avec l’autre, le juriste avait presque oublié que Mac sortait de la rue, qu’elle n’avait eu d’autres choix que de se protéger du monde extérieur. Il s’excusa donc après réflexion et sourit avec douceur à la jeune femme qui accepta ses excuses. Un hochement de tête face aux arguments pertinents de sa colocataire « Tu as bien fait. Si jamais tu veux t’en débarrasser, je saurais faire appel à quelques contacts », comme il l’avait fait avec le médecin qui l’avait ausculté à son retour dans la vie de l’avocat. Son métier ne consistait pas seulement à défendre des innocents. Il était avocat d’affaires, et parfois, les affaires n’étaient pas vraiment en accord avec ses principes moraux, mais il avait prêté serment. Un nouveau sourire se glissa sur les lèvres de David « Merci de ne pas avoir haussé le ton… », parce qu’il savait, l’un comme l’autre, comme il était facile de se disputer lorsqu’il agissait de la sorte. Mac en avait fait les frais plus d’une fois. « On s’en occupera ce soir » précisa-t-il en signifiant que pour le moment, ils avaient plus important à faire, comme s’occuper d’eux deux.
Et c’était bel et bien au programme également pour Mac qui aborda seule le sujet de leur relation. David tenait à elle, il souhaitait construire une histoire avec elle. Toutefois, il connaissait son passif et si elle ne désirait pas aller plus loin, alors il respecterait son choix et reprendrait leur quotidien comme si de rien n’était. Néanmoins, il ne put s’empêcher de sourire avec douceur en entendant les paroles rassurantes de la jeune femme. Elle tenait à lui et ce qui s’était passé entre eux ne se résumait pas seulement à un besoin primaire de combler leur désir l’un de l’autre « Je le sais ». Il l’écouta avec attention, et l’observa s’éloigner pour poser sa tasse dans l’évier. Un autre sourire pour sa franchise. Elle n’était pas amoureuse. Il se leva à son tour pour se servir un autre café, et laissa Mac venir à lui « Je te propose qu’aujourd’hui, on se coupe du monde extérieur » tout en serrant ses mains dans les siennes. Il déposa ses lèvres sur les siennes avec douceur et posa son front contre le sien « Je tiens énormément à toi aussi, au fait » et sourit avant d’ajouter « Je vais appeler pour privatiser la piscine. Je te laisse te préparer, je ne vais pas tarder non plus ». Il termina donc son café, puis rassembla une serviette de bain, de quoi déjeuner et un livre, dans un sac à dos, et se glissa sous la douche, enfilant son maillot de bain sous un short en jean et un débardeur. Il rejoignit Mac près de l’entrée, enfila rapidement ses baskets et quittèrent l’appartement pour rejoindre le toit d’un gratte-ciel voisin. Ils avaient la piscine rien que pour eux, ainsi que le jacuzzi. David retira rapidement ses vêtements pour ne garder que son boxer de bain, installa sa serviette sur un transat à l’abri du soleil, et se passa de la crème solaire tout en observant… se délectant de voir Mac retirer ses vêtements à son tour. Il plongea ensuite la tête la première dans l’eau chaude, puis ressortie la tête de l’eau, pour revenir vers le bord, plaquant ses cheveux en arrière. Il fit signe à Mac d’approcher, avant de prendre place sur le rebord, laissant seulement ses jambes dans l’eau. Son épaule contre celle de Mac, il ajouta « Ôte le monde extérieur de tes pensées. D’accord ? J’ai envie d’une journée rien que toi et moi. J’ai envie d’être égoïste aujourd’hui et de ne me concentrer que sur nous, et de savourer un peu de bonheur. D’accord ? » et se pencha pour l’embrasser, sa main sur sa joue, avant de sourire contre ses lèvres avant de la pousser dans l’eau en riant. Il la rejoignit et entoura sa taille de ses bras, alors qu’il posait ses pieds au fond de la piscine « J’ai très envie que tu tombes amoureuse de moi » et l’embrassa à nouveau, avant d’approfondir le baiser avec envie, puis se recula en soufflant « Tu as déjà fait l’amour dans une piscine ? » avec spectateur dans leur cas.
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Charly
Mar 16 Aoû - 17:26
Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.
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Un sourire en coin, un regard taquin. « -c'est toujours un peu étrange quand tu dis ça… genre mafia… » truc un peu louche. Elle promis d'y réfléchir mais elle n'avait pas vraiment envie de se charger de son arme à feu maintenant. A la base le programme de la journée était tout autre. Lorsqu'il la remercia de ne pas avoir haussé le ton elle lui sourit avec douceur. Il n'avait pas conscience que c'était un peu grâce à lui qu'elle parvenait à mieux contrôler ses pulsions. Depuis qu'ils vivaient ensemble, elle se laissait moins surprendre par la colère. « -ok. » ils s'occupaient de ça ce soir. Parfait.
Exprimer ses sentiments n'était jamais chose facile. Mais Mac voulait mettre des mots sur leur relation. Et surtout être réaliste. Pour le moment elle n'était pas amoureuse. Enfin peut être pas au sens conventionnel de la chose. Ça n'avait pas été un coup de foudre, pas de papillon dans le ventre. C'était autre chose. Mais ça n'en était pas moins puissant. Jamais elle n’avait rencontré un homme qui l'avait poussé en avant ainsi. Qui voulait la voir heureuse et épanouie, reprendre sa vie en main aussi. Il connaissait tout d'elle et Mac s'était confiée sans crainte. Jamais. Avec David elle pouvait vraiment être elle-même. Assumer son nom de famille. Elle lui rendit son baiser, le premier de la matinée. Le premier du après… « -je veux bien oui… rien que toi et moi. » oublié Henri ou encore Donna. Elle n'osa d'ailleurs pas poser de questions à son sujet. Pas maintenant. « -Ça marche. » souffla Mac avant de partir en direction de sa chambre. Elle y resta debout au milieu de la pièce durant quelques minutes. Juste histoire de prendre un peu de temps pour réaliser.
Elle enfila ensuite maillot et robe par-dessus. Tout ce dont elle pouvait avoir besoin dans un sac et revint dans le salon. Elle détailla David du regard lorsqu'il arriva. Elle avait toujours aimé le voir en mode détente. Max ouvrit de grands yeux devant la piscine. Finalement, pas vraiment sûr que les gens des gratte-ciels autour vois quoi que se soit. La terrasse était ombragée, pergola et arbuste. Une merveille. Mac adora tout de suite l'endroit. Elle retira sa robe et demanda à David : « -tu veux de l'aide ? » avant de sourire en réalisant qu'il ne l'avait pas quitté des yeux. Elle étala de la crème solaire dans le dos de David, comme elle l'avait fait à la plage. Elle le laissa ensuite plongée, observant la scène du bord. Elle mis les pieds dans l'eau, s'installant sur le bord de la piscine. Son épaule touchant celle de David, Mac sourit : « Ça me va parfaitement. » c'était peut être la seule journée ou le monde n'allait les faire chier. Alors autant en profiter un maximum. De plus quand elle l'entendait parler de bonheur, ça ne pouvait que la faire sourire. Elle remisa Donna et Cheryl au fin fond de son esprit et se fit avoir comme une gamine. La chute dans la piscine ne fut pas des plus gracieuse, mais elle se mis à rire aux éclats en remontant à la surface. Mais elle répondit bêtement ou maladroitement par un : « -oh… » à ce que lui déclara David. Elle n'avait pas forcément de crainte quant à ses capacité à tomber amoureuse. Non, c'était le fantôme de Cheryl qui… qui bloquait quelque peu la vision idyllique d'un possible couple. Est-ce qu'elle serait capable de le rendre heureux ? Cheryl était appréciée de tous dans le monde de David. Clairement, ça n'était pas son cas… Mac préféra coller son corps à celui de David plutôt que de lancer ce sujet. Elle approfondit leur baiser à son tour avant de répondre : « -on va dire que non… »une légère grimace. Oui, ça lui était déjà arrivée. « -mais pas à New York et c'était pas avec toi alors… » elle haussa les épaules en souriant, sachant parfaitement que sa réponse n'avait rien de romantique et que ça n'était certainement pas celle que s'était imaginé David.
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Manhattan Redlish
Mar 16 Aoû - 17:29
David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis veuf et je le vis plutôt bien parce que je réapprend à vivre.
David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés. Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…
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David avait conscience que ses paroles pouvaient sous-entendre des liens avec des gens dénué de conscience ou de principes, des gens qui exerçaient hors des barrières de la loi. Parce que c'était le cas, tout simplement. Il avait été subsistut du Procureur, et avait fait des accords pour faire de tomber des poissons plus importants, libérant ainsi les plus petits d'une peine assurée de prison. Même encore aujourd'hui, dans sa spécialité d'affairiste, il ne rencontrait pas que des hommes et des femmes éthiques. Parfois ça le dérangeait, mais parfois, comme avec son ami médecin, il s'en accommodait sans peine. Un sourire toutefois se glissa sur les lèvres de l'avocat "Ça me donne un côté mauvais garçon sexy ?!". Puis ils en vinrent à parler d'eux et de sentiments. Elle n'était pas amoureuse de lui. Pas encore tout du moins. De son côté, il ne pouvait pas dire qu'il était amoureux non plus. La tournure qu'avait pris leur relation était soudaine, et il ne s'était pas encore posé réellement la question. Ce dont il était sûr, toutefois, c'était qu'il tenait énormément à elle, que cette dernière année, elle était devenue le centre de son univers, au détriment de son travail qu'il avait peu à peu délaissé pour elle, pour passer du temps à son contact, comme aujourd'hui. Il ne se sentait pas donc blessé par les paroles de Mac qui étaient légitimes.
Tout en poursuivant leur conversation, David s'approcha de cette dernière et l'embrassa, avant de lui demander d'oublier tout ça pour aujourd'hui au moins. Ils seraient assez rapidement rattrapé par la réalité... une fois encore. Pour le moment, il voulait profiter de cette journée et faire en sorte qu'elle se poursuive mieux qu'elle avait commencé. Un sourire "Exactement. Rien que toi et moi". Ils se préparèrent donc pour se rendre à la piscine, et tout en s'étalant de la crème, il ne quittait pas la jeune femme du regard qui se changeait devant lui "Hum..." et sourit en sentant qu'il s'était fait surprendre à l'observer "Pardon. Je... J'avais les souvenirs de cette nuit qui sont remontés. Oui, je veux bien" en lui tendant la crème et la laissa l'aider, avant de plonger dans la piscine. Trempé, il reprit place à ses côtés sur le bord de la piscine et sourit avec douceur "Parfait" avant de la pousser dans la piscine dans un rire. Il la rejoignit ensuite et lui avoua qu'il avait envie qu'elle tombe amoureuse de lui. Ce n'était pas réfléchis comme parole. Il les avait prononcé sur le moment et sourit à sa réaction, avant de s'approcher d'elle, ses bras autour de son corps et l'embrassa avec envie, puis se mit à rire doucement "Mac... C'était une question rhétorique" et le lui fit comprendre en l'embrassant à nouveau, cherchant sa langue alors que ses mains retiraient son boxer de la qu'il jeta hors de l'eau, puis en fit de même avec le maillot de bain de son amante. Il délaissa ses lèvres pour les approcher de l'oreille de la jeune femme "J'ai très envie de toi", puis embrassa sa peau humide. Il fit glisser ses mains jusqu'à ses cuisses, et la souleva pour qu'elle entoure sa taille de ses jambes. Un soupir de plaisir lui échappa en se sentant en elle. Il plaqua doucement la jeune femme contre le rebord de la piscine, puis tout en l'embrassant, commença les vas et viens. Pas d'appréhension sur ses capacités, c'était terminé. Il se montra langoureux dans ses coups de reins, et sentait le plaisir arriver. Ses lèvres contre les siennes, il ne put retenir un cri de plaisir, puis posa son front contre le sien "Oh Mac.." dans un soupir trahissant son bien-être après l'orgasme, et lui sourit "C'était comme ça que j'imaginais notre première journée tous les deux". Rien que tous les deux et libre de faire tout ce qu'ils souhaitaient sans être dérangés.
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Mer 17 Aoû - 18:13
Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.
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Piscine rien que David et elle. Que demander de mieux. Oublier Henri, oublier Donna… simplement se concentrer sur eux, sur ce qu'ils voulaient et passer du bon temps. Taquine elle avait répondu : « -de bons souvenirs on dirait… » avant de grimper derrière lui sur la chaise longue, et de laisser glisser ses mains sur son dos afin de le protéger du soleil. Une fois dans l'eau, grâce à David, Mac se mis à rire mais fut quelque peu déstabilisé par ce qu'il lui dit. Sa réponse n'avait sans doute pas été la meilleure. Loin de là, mais cela sembla amuser l'avocat. Tant mieux. Ce léger rire la ramena vraiment à la réalité. Elle se laissait porter à nouveau par la peur. Sauf que non ! Elle n'en avait pas envie ! S'ils en étaient là aujourd'hui, c'était bien parce que la veille elle avait décidé d'envoyer sa peur se faire voir. Alors elle se laissa aller au plaisir de sentir le corps de David contre le sien, et savoura ses baisers.
Elle le laissa lui retirer son maillot et souffla : « -j'adore déjà quand tu dis ça. » alors qu'elle ne s'était jamais imaginée entendre ces mots de la bouche de David. Et pourtant c'était bien de sa bouche dont elle avait envie, de ses baisers avides. Elle entoura sa taille de ses jambes et le laissa venir en elle, le laissant également prendre les commandes de leur ébats cette fois ci. Elle oublia bien vite les probable yeux rivés sur eux. Elle ne pensa qu'à lui et au plaisir qu'il lui donnait, là en allant et venant entre ses cuisses. Elle avait la sensation d'être ivre lorsqu'elle reprit ses esprits justes après l'orgasme. Un sourire aux lèvres elle répondit : « -parce que tu t'étais imaginé cette journée ? » elle le taquina en ajoutant : « -je me disais bien que mon idée hier soir sur la terrasse t'avais troublé. » elle était à mille lieu de s'imaginer qu'ils coucheraient vraiment ensemble dans cette piscine aujourd'hui.
Ils nagèrent, ils profitèrent du spa, et la matinée fut vraiment agréable. Pourtant il restait un ombre au tableau. Enfin deux… et Mac voulait vraiment qu'ils se lancent dans tout ça en ayant été sincère l'un envers l'autre. Assise sur le rebord de la piscine, les jambes bougeant dans l'eau, elle demanda : « -tu es certain que tu n'aura pas de regrets ? » elle regarda David et précisa : « -je ne serais jamais aussi bien que Cheryl. Je n’ait pas de belles manières, enfin je n'ai surtout pas envie de faire des efforts pour plaire à tous ces gens. Ta famille ne m'apprecira probablement jamais… » elle voulait qu'il prenne tout cela en compte. C'était important. « -Donna est certainement une meilleure candidate… » souffla Mac à contre cœur mais en se montrant réaliste.
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Mer 17 Aoû - 18:15
David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis veuf et je le vis plutôt bien parce que je réapprend à vivre.
David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés. Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…
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Son regard rivé sur elle avec un sourire qui laissait deviner sa réponse, il rétorqua tout de même « Le mot est faible », parce que ça avait été plus que bon cette nuit, et que ça lui donnait des idées pour la suite de la journée. La preuve en était, quelques minutes après, il lui souffla qu’il avait envie d'elle… Très envie d'elle, même. Un sourire en coin en entendant la remise de son amante et pris possession de ses lèvres, avant de prendre possession de son corps jusqu’à la jouissance. Il ne la quitta pas du regard, savourant de se sentir en elle. Il resta blottit contre elle à l’issue de leurs états et se mit à rire « Ce matin, oui. Enfin avait qu’Henri arrive inopinément et balaie tout d’un revers de main ». Oui, il avait imaginé qu’ils finiraient par refaire l’amour, peut-être après le petit-déjeuner. Leurs plans ayant étaient quelques peu bousculés, il trouva qu’ils s’étaient bien rattrapés finalement. Un nouveau petit rire et ajouta « On va dire que ton idée m’a séduit » et l’embrassa. Ils passèrent le reste de la matinée à vaciller entre piscine et jacuzzi. Tranquillité et quiétude étaient les maîtres mots. Enfin jusqu’à ce que Mac n’en décide autrement en souhaitant aborder un sujet des plus délicats pour l’avocat qui, nageant dans la piscine, cessa bien vite son activité pour s’approcher de la jeune femme. Les sourcils froncés, les mots de Mac lui firent mal. Des regrets… Il comprit bien vite son raisonnement quand elle évoqua Cheryl, puis Donna… « J’aurais préféré qu’on aborde le sujet demain… » rétorqua-t-il avec franchise. Ce n’était sûrement pas la réponse qu’elle voulait entendre, mais c’était un fait. Apparemment, c’était un point qui empêchait Mac de profiter de leur bonheur tous les deux, alors il posa ses mains sur ses cuisses et s’installa entre ses jambes, restant dans l’eau, face à elle, ses mains posées sur ses cuisses. « Tu me vois donc ce genre d’homme ? Celui qui choisi une femme parce qu’elle a le meilleur pedigree… » et ajouta « Tu as posée la même question à Henri quand il voulait sortir avec toi ? Ou elle n’est réservée qu’à moi ». Il se sentait quelque peu vexé qu’elle puisse le percevoir ainsi « Je n’ai pas de regrets et je n’en aurais pas. Tu peux d’ores et déjà te sortir ça de la tête, Mac », puis ajouta « Je me moque de savoir que tu as de bonnes manières, ou que tu plaise à ma famille… Je tiens énormément à toi Mac, suffisamment pour te laissait entrer pleinement dans ma vie, dans ce lit que j’ai partagé avec Cheryl. Si j’avais eu des doutes, je ne t’aurais pas embrassé hier, je ne t’aurais pas fait l’amour tout à l’heure. Tu n’es pas une passade. J’ai vraiment envie de construire une histoire avec toi » et ajouta « En ce qui concerne Donna… Je lui ai dit que je l’aimais et… Je suis un peu perdu ». Autant qu’il soit sincère avec Mac comme il l’avait toujours été jusque-là « Je ne peux pas lui dire que ce n’était rien. Pas après qu’elle m’ait avoué m’avoir aimé durant des années…Et puis je ne sais même pas si ce n’était rien ». Il releva son regard sur Mac en se rendant compte qu’il devait sûrement lui faire mal en cet instant « Pardon… Je… Je suis un idiot. Ne pense pas que j’hésite Mac. C’est seulement que… » puis poussa un soupir et posa son front contre celui de Mac « Je ne devais pas l’aimer assez si je suis en train de tomber amoureux de toi », et se recula lentement en posant son regard sur Mac. Cela ne voulait pas dire qu’il n'était pas en train de mener un combat intérieur pour autant, et cela n’avait rien à voir avec le fait que Donna convenait mieux à son entourage.
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Mer 17 Aoû - 18:16
Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.
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Elle avait sourit. Ce matin, elle avait seulement pensé à sortir Gus afin de laisser David profiter d'une grâce matinée. Elle l'avait regardé dormir, et avait ressentit une immense bouffée de tendresse. En se levant ce matin, elle n'avait pas pensé à la piscine ou à ce qui allait découler d'eux. Mac n'en avait pas eu le temps, coupé dans ses pensées par Henri et sa grande idée de venir féliciter son frère. Elle n'avait aucune idée de ce que ça allait donner tous les deux. Mais comme lui, elle avait envie de tenter quelque chose. De voir si ça pouvait donner quelques chose de beau.
Et pourtant, ce fut plus fort qu'elle, Mac devait savoir. Elle voulait qu'ils aillent au fond des choses. Donna, Cheryl… elles ne cessaient de lui venir en tête. « -je sais. Je suis désolée. » répondit la jeune femme en poussant un soupire. « -David… tu sais parfaitement que… » mais elle ne termina pas sa phrase. Elle baissa le regard en souriant. Ok… il était vexé. « -tu veux la réponse à ta question sournoise ? Non, je ne lui ai pas posé cette question. Et oui, elle est uniquement pour toi. Pour la simple et bonne raison qu’avec toi tout est différent David. Je tiens énormément à toi, mais on sais l'un comme l'autre que je ne suis pas vraiment la bienvenue dans ton entourage. J'ai… j'ai seulement besoin que tu me rassures. » oui, elle avait besoin de l'entendre, qu'il lui explique. Chose qu'il fit à la perfection. « -ok… » souffla la jeune femme avant qu'il n'aborde le sujet Donna.
Forcément, ça ne fut pas très plaisant à entendre, et en même temps, elle n'était pas idiote. De plus elle avait un niveau de tolérance vraiment élevé pour David. « -parce que ça n'était pas rien. Tout simplement… » lui répondit la jolie brune en caressant sa joue. Elle ne souhaitait pas une dispute. « -non, c'est bon, ne t'excuses pas. » en glissant ses doigts dans les cheveux mouillés de David. « -c'est le bordel… j'en suis bien consciente. » ajouta Mac avec un léger rire. « -je veux seulement éviter de souffrir. Je sais c'est très égoïste. » il connaissait son passé. Il savait que l'amour n'était pas sa priorité, n'était pas ce qu'elle recherchait à la base. Qu'elle tenait aussi à leur équilibre et qu'elle était consciente qu'ils venaient de tout faire basculer. « -on va.. on va prendre le temps de voir comment ça se déroule. Je te demande pas d'annoncer la nouvelle au monde entier. Pour vivre heureux vivons caché n'est ce pas ? » elle irait parler à Henri. Réparer la douleur qu'elle lui avait causé. Et elle laisserait à David le temps de faire le point. Peut être que ses sentiments pour Donna étaient seulement des vestiges. Qu’il avait mis trop de temps à ouvrir les yeux. Mais ça, il n'y avait que lui pour trouver la réponse. Avec lenteur Mac se laissa glisser dans l'eau, passant ses bras autour du cou de David. Elle encra son regard dans le sien avant de l'embrasser. « -je suis désolée pour cette conversation, je crois que… c'est mon complexe d'infériorité qui crée des doutes et des questionnements. » et si elle n'était pas aussi bien que.. cette petite phrase lui pourrissait la vie.
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Manhattan Redlish
Mer 17 Aoû - 19:58
David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis veuf et je le vis plutôt bien parce que je réapprend à vivre.
David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés. Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…
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Après six ans de deuil, David était parvenu à tourner la page et à accepter qu’une autre femme conquiert son cœur. Pourtant, la vie ne parvenait pas à lui offrir une journée de quiétude. Après l’intervention de son jeune frère au saut du lit pour l’accabler de reproches, voilà que c’était au tour de Mac d’émettre des doutes, et cela, avec une formulation de phrase mal choisie et qui vexa l’avocat. Ce ne fut pas pour autant qu’il se montra distant, réduisant même l’espace entre leurs corps pour venir se placer entre ses jambes, ses mains sur ses cuisses. Il ne tenta pas de masquer le fait d’avoir été vexé par les paroles de la jeune femme, se montrant même désobligeant avec la jeune femme, ce qui n’échappa pas à cette dernière qui le lui fit remarquer à sa manière « Je sais… Je… C’est seulement que ça m’a blessé que tu puisses penser, une seconde, que j’accorde de l’attention à ces futilités ». Il pensait qu’elle le connaissait bien mieux que ça, qu’elle savait qu’il tenait à elle, suffisamment pour passer outre son passé. Il comprenait également que Mac puisse aussi être inquiète face à la pression que pourrait faire peser sa famille sur les épaules de l’avocat par sa faute. Alors il tenta de se montrer aussi rassurant que possible. Toutefois, il ne parvint pas à l’être lorsque ça concerna Donna et ses probables sentiments à son encontre. Sur ce point, il était complètement perdu.
Toutefois, David ne s’attendait pas à ce que Mac se montre aussi compréhensive sur ce point. Elle acceptait qu’il puisse être perdu sur les sentiments qu’il pouvait éprouver à l’encontre de Donna, et cela, alors que cette nuit, ils venaient de faire l’amour, et qu’ils étaient en accord sur leur avenir à deux. Sa main sur sa joue, cette douceur à son encontre, David acquiesça lentement de la tête « Je sais… » et poursuivit en évoquant son assistante, sans pour autant effrayer Mac. Bien au contraire, elle laissa glisser ses mains dans ses cheveux mouillés, tout en se montrant d’une douceur infinie à son encontre. Cela le fit même sourire « Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter une femme comme toi ? Aussi compréhensive. Plus d’une femme aurait pris leurs jambes à leur cou en entendant un tel discours ». David ne savait pas comment il était parvenu à gagner une telle confiance, une telle dose de compréhension de la part de la jeune femme, mais il lui en était infiniment reconnaissant. Il se sentait libre de pouvoir s’exprimer sur ce sujet si délicat avec elle, comme si de rien n’avait changé entre eux. Elle en riait même, ce qui le fit sourire avec douceur « Le mot est faible ». Ce qu’elle ajouta fit disparaître le sourire sur les lèvres de l’avocat qui entoura son visage de ses mains « Eh ! Ça n’arrivera pas, tu m’entends ?! Mac, je ne te ferais pas souffrir. Tu peux avoir confiance en moi sur ce point. Si je suis là, avec toi, aujourd’hui, c’est parce que je suis certain de ce que je veux, et ce que je veux, c’est toi. Compris ?! » et déposa ses lèvres sur son front, tout en laissant ses mains se reposer sur ses cuisses. Il connaissait le passif sentimental de Mac, et le fait qu’elle avait voué sa vie à éviter l’amour. Elle acceptait qu’il rentre dans sa vie de cette manière, alors il était hors de question de la briser. Pas après avoir consacré son temps à l’aider à se reconstruire en tant que femme.
Un sourire doux alors que Mac lui demanda de ne rien annoncer à qui que ce soit, et David acquiesça « Cela sera notre petit secret, n’ait crainte » et en tant qu’avocat, il était plutôt doué pour garder les secrets. Il se recula légèrement alors que Mac se glissa dans l’eau de la piscine, et entoura sa taille de ses bras alors qu’elle en faisait de même avec son cou, son regard dans le sien, puis lui rendit son baiser avant de lui répondre « Tu es belle, tu es intelligente, tu me fais rire, tu m’as réappris à vivre et… et à aimer aussi… Tu m’as redonné goût à la vie elle-même Mac. Alors je pense que tu n’as pas le moindre doute à éprouver » et ajouta « Et en ce qui me concerne, je ne veux pas te voir douter non plus. Tu me rends heureux, et j’espère te rendre un peu heureuse aussi » tout en esquissant un sourire en coin « J’ai vraiment envie d’être avec toi, et je le réalise à chaque instant passé avec toi » et l’embrassa avant d’ajouter « Est-ce que je suis parvenu à faire taire cette petite voix ? » en se mettant à sourire avec espièglerie. Le soir venu, David avait profité que Mac soit sous la douche pour se rendre sur la terrasse et avait allumé des bougies qu’il avait disposé un peu partout, puis avait dressé une table pour deux sur la table basse où ils avaient leurs habitudes, et avait commandé chez un traiteur où ils avaient leurs habitudes lorsque le soir, ils ne voulaient pas s’atteler derrière les fourneaux. Il redescendit rapidement, enfila un jean, une chemise blanche qu’il laissa à l’extérieur de son pantalon, et une paire de basket. Décontracté, il frappa à la porte de la salle de bain « Tu as terminé ? » et sourit en voyant la porte s’ouvrir « Tu me suis » tout en glissant sa main dans la sienne et l’entraîna sur la terrasse, se glissa derrière elle et posa une main sur ses yeux en arrivant, puis la retira lentement « J’avais envie que notre première soirée ensemble soit… particulière » et embrassa son cou « Ça te plaît ? » avant d’ajouter « Tu me le dis si tu me trouves trop… Enfin… Tu vois ».
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Charly
Jeu 18 Aoû - 17:53
Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.
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« -oui j'avais bien compris que tu n'avais apprécié. » marmonna Mac en haussant les sourcils. « -c'est facile de dire que ça n'a pas d'importance… » mais quand il subirait les reproches de ses parents, la colère de son frère voir son mépris. Elle espérait arranger les choses avant d'en arriver là avec Henri. Qui sais peut être que Donna n'apprécierait pas non plus. Et bien d'autre encore. Sa réputation, une fois que les gens apprendrait qui elle était. C'était lourd à porter… alors oui, elle osait poser la question. David se montra rassurant, et cela suffit à Mac pour le moment. Elle avait seulement besoin de quelques mots pour parvenir à profiter de la journée. Le sujet Donna était plus complexe. Elle le savait. C'était en partie sa faute d'ailleurs puisque c'était elle qui l'avait poussé vers son assistante. Elle qui lui avait ouvert les yeux. Aujourd'hui, elle regrettait un peu. Et pourtant, elle se montra compréhensive. « -je crois que c'est parce qu'on a appris à bien se connaitre et qu'avant tout on est amis. » Ça n'était pas une amourette de passage ou un coup de foudre. Ce qui était en train de se produire entre eux était le résultat d'un long processus. D'une année de cohabitation et d'apprivoisement de l'autre. Ils se connaissaient, se comprenaient. Alors oui, elle comprenait que ça soit complexe pour lui.
« -ça c'est une promesse que tu ne peux pas me faire. Un engagement dur à tenir. Parce que parfois on fait du mal aux gens sans s'en rendre compte. Sans le vouloir. » elle n'avait cessé de lui sourire avec douceur en disant cela. Elle espérait de tout cœur que ça n'arriverait pas. Et c'était pour être certaine de s'engager dans cette histoire qu'elle avait besoin d'en parler, et qu'il la rassure. Elle proposa d'y aller en douceur, étape par étape et surtout de ne rien dire à personne pour le moment. « -je te l'ai déjà dis, j'aimerais me voir avec tes yeux… » maintenant qu'il disait tout cela, oui elle réalisait qu'elle avait clairement son importance. « -un peu… » le taquina Mac souriant, taquine. « - ouais.. elle est passée en off. » le rassura Mac. Ça allait mieux.
« -pratiquement ! » elle se sechait encore les cheveux donc la réponse n'était pas tout à fait honnête. Mais elle fit au plus vite pour rejoindre David. « -qu'est ce que tu… » demanda Mac lorsqu'il lui cacha la vue. Quant elle pu voir la terrasse la jolie brune sourit avec douceur. « -j'aime beaucoup » souffla Mac avant de se foutre de lui : « - trop ? Non ! 340 bougies c'est juste parfait voyons ! » elle embrassa sa joue comme elle le faisait souvent. « -c'est parfait. »
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Manhattan Redlish
Jeu 18 Aoû - 17:55
David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis veuf et je le vis plutôt bien parce que je réapprend à vivre.
David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés. Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…
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David avait presque oublié que Mac pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert, et il était évident, qu’au ton employé et à la formulation de sa question, il n’avait pas apprécié sa demande. Il la regarda fixement sans répondre. C’était sa manière à lui de baisser le regard quand il était pris en faute. Ce qui suivit ne lui fit pas détourner e regard et rétorqua « Tu ne me fait pas confiance ? ». Parce que c’était le fond du problème. Elle pensait qu’il allait craquer sous la pression familiale et de ses amis. Qu’il allait la quitter parce que ça serait trop dur à supporter. Or, ce n’était nullement le cas. Leur histoire s’était construite pas à pas. Il l’avait sortie de la rue, l’avait hébergé, l’avait aidé à se reconstruire. Si vraiment l’opinion de son entourage avait tant d’importance, il ne se serait pas laissé tenter à l’aventure. Mais il savait que peu importe ses mots, seuls ses actes compteraient aux yeux de Mac, alors il saurait lui prouver qu’il avait tenu parole sur ce point. Lorsque le sujet Donna fut abordé, il ne s’était pas attendu à tant de compréhension de la part de la jeune femme. Plus d’une femme n’aurait pas supporté et il apprécia sa réponse « Tu as raison ». Elle était sa confidente, son amie, sa constante, et maintenant, elle était en train de devenir tellement plus à ses yeux. Ce fut pour toutes ces raisons qu’il lui promit de ne pas la faire souffrir. Une promesse qu’elle ne voulait pas entendre, alors il se mit à sourire, caressant ses cuisses machinalement « Bon… Alors je te promets de ne pas te faire souffrir consciemment. Est-ce que c’est mieux ainsi très chère ? ». La dernière fois qu’il l’avait appelé ainsi, ça remontait à leurs retrouvailles dans ce restaurant minable. Ils en avaient parcourus du chemin depuis. Il n’avait pas envie de la faire souffrir, autant qu’il ne voulait plus entendre de telles inquiétudes. Il lui énuméra tout un tas de qualité et sourit avec tendresse « Tu n’as qu’à te laissait guider comme un aveugle par sa canne, son seul repère ». Il sourit à ce qu’elle ajouta et décidèrent de profiter encore un peu de la piscine avant de rentrer. David aurait pu prendre sa douche en compagnie de la jeune femme, mais il avait envie d’y aller doucement avec Mac, de prendre leur temps. S’il avait raison sur eux, ils auraient des années pour faire l’amour. Ce soir, il avait une autre idée en tête et l’entraîna jusqu’à la terrasse où il avait dispose plusieurs bougies. Une ambiance romantique dans un endroit qui comptait tant pour eux. Il passa sa main dans son dos en l'entendant le rassurer sur le fait qu’elle aimait et cela avant de pencher la tête sur le côté car elle se moquait de lui « Adorable ! Je me suis dit qu’à défaut de t’allumer, je pouvais le faire avec la terrasse. Allez sourit, c’était drôle ». Il apprécia son baiser sur la joue et se rendit sur leur banquette « J’ai commandé indien » et servit les assiettes, non sans quelques regards à l’attention de Mac. Juste comme ça. Parce qu’il la trouvait de plus en plus belle. « Depuis quand tu sais que ça arriverait. Je veux dire nous deux ».
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