"Il n'y a qu'une personne qui me donne l'impression d'avoir des ailes et de planer, et c'est toi." - Ft Charly
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Charly
Dim 27 Nov - 18:06
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle. Dans la vie, je suis sans emploi et je m'en sors pas terrible. Sinon, grâce à ma chance, je suis à nouveau avec l'homme de ma vie et je le vis plutôt bien. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -ouais ! Je m’en suis rendue compte toute seule ! » s’amusa Judy en souriant, passant une mèche de cheveux derrière son oreille : « -je passe trop de temps sur le chantier avec tes potes et ceux de Tyler. » clairement, ce n’était pas son langage de base. Elle avait envie de lui répondre : ok ok, c’est bon, je suis d’accord avec tout ça. Elle s’en foutait bien de savoir tout ça, ce qui comptait c’était qu’il ne voulait plus qu’elle soit loin. Judy ne voulait pas de larmes, pas de pardon interminable, plus de culpabilité. Alors elle s’autorisa à se foutre de lui, comme elle aimait le faire assez régulièrement. Elle montra un espace minuscule entre son pouce et son index, avec un sourire en coin. « -ba quoi, y’a toujours un risque ! » s’amusa de nouveau Judy alors qu’ils évoquaient l’idée folle de devenir parents. Ils n’en avaient pas envie, l’un comme l’autre. Elle le dévisagea, surprise de sa proposition. « -tu es sérieux ? » un léger froncement de sourcils. « -sincèrement… pour le moment j’ai eu ma dose d’opération, de stress et d’hôpital. Alors… on verra dans quelques temps d’accord ? » elle n’était pas contre l’idée. Ce qu’elle ne voulait pas c’était le voix à nouveau ici. Et puis il faudrait en parler avec le médecin. Avec le handicap, est ce que c’était possible ? Est-ce que les risques n’étaient pas plus élevé ?
Elle était d’accord pour le diner, d’accord pour l’aider également à s’habiller. « -chut ! Je ne veux pas en savoir plus ! » même si d’un côté c’était rassurant. Ça voulait dire que cette partie là de son anatomie fonctionnait. Alors bientôt les jambes en feraient de même. « -je sens qu’on va prendre des douches très très longues… » s’amusa Judy en le dévorant des yeux. Elle s’autorisa à plaisanter sur le fauteuil roulant, et apprécia que Caleb reste sur ce même ton. Judy ne savait pas pourquoi Ellen et Sam ne l’avaient pas prévenu que le fils devait sortir aujourd’hui. Il fallait qu’elle leur téléphone avant la fin de journée. Mais pour l’instant, elle avait seulement envie d’être plus proche de Caleb, alors elle demanda si elle pouvait prendre place sur ses genoux. « -c’est vrai ? Trop bien ! » réaction de gamine propre à Judy. Elle s’installa de côté, passant ses bras autour du cou du bel homme. Elle frissonna lorsqu’il embrassa son cou, et bien vite ses lèvres rejoignirent les siennes et elle l’embrassa avec envie. Sa langue chercha la sienne, approfondissant ce baiser de retrouvaille. Jusqu’à ce que la porte ne s’ouvre et que Tyler balance un : « -non ! Non ! Ne faites pas de bébé maintenant ! » Judy tourna la tête sans pour autant se décoller de Caleb. Un immense sourire et elle dit : « -félicitation ! » Elle se leva tout de même pour le prendre dans ses bras. « -comment va Rose ? Vous voulez qu’on repasse demain ? Elle a sans doute besoin de se reposer… » Tyler bougea la tête et finit par dire : « - ba c’est vrai que… non mais vous êtes là. » Judy regarda Caleb et elle ajouta : « -on repasse demain. Prends soin de tes femmes… attends c’est une fille au moins ? Tu nous as même pas dit le nom ! » Tyler se mit à rire et répondit : « -je suis… je suis encore un peu… enfin… oui, c’est une petite fille. Lauryn… » Judy se mis à sourire encore plus. « -t’es sérieux ? Pour la raison que tu m’as donné l’autre jour ? »« -oui ma sœur ! Lauryn Hill, i love you ! » Judy sera de nouveau Tyler dans ses bras, lui fit promettre d’embrasser Rose pour elle et ils reviendraient le lendemain, en début d’après midi.
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Dim 27 Nov - 20:12
Caleb Hamilton
J'ai 38 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis psychothérapeute dans un hôpital public et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle. Mais suite au suicide de l'un de ses patients, Caleb tomba dans une profonde dépression qui le poussa à revoir toute sa vie, y compris son travail. Aujourd'hui, il exerce en tant que psychothérapeute dans un hôpital public et a trouvé sa voie.
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Ils retrouvaient ce lien comme si de rien ne s’était passé. Comme s’il ne lui avait jamais demander de partir. Comme si la dernière fois qu’ils avaient parlé ensemble remontait à cette fameuse journée où tout avait basculé. Il aimait l’entendre parler sans filtre et la voir s’en amuser ainsi alors qu’elle s’en rendit compte par elle-même « Oh je vois ! La faute de mes potes » en appuyant sur le dernier mot qui, lui aussi, ne faisait pas parti du langage habituel de la jolie rousse. Finalement, elle allait s’intégrer à merveilles auprès des jeunes du quartier. Il n’en faisait aucun doute. Néanmoins, même s’ils aimaient tous les deux les adolescents, prenant goût à les aider à s’intégrer, il n’en restait pas moins qu’ils étaient hors de question pour eux d’être parents. Pour cela, Judy proposa d’arrêter le sexe, mais il en était hors de question pour Caleb et ne se fit pas prier pour le lui faire comprendre « On prend le risque, mais hors de question que je te fasse pas l’amour ». Ce n’était pas envisageable, autant pour l’un que pour l’autre. Alors le beau brun lui proposa de se faire opérer pour éviter le moindre risque de grossesse, ce qui surprit la jolie rousse « Oui, je le suis. C’est plus efficace et le moins risqué ». Il se mit à sourire en l’entendant évoquer sa lassitude des opérations et de l’angoisse qui en découlait « Je ne parlais pas pour tout de suite, je te rassure. Je ne suis pas encore prêt à repasser quelques jours de plus dans un hôpital » et puis il n’était pas certain que son corps accepte une nouvelle opération d’aussitôt. Il avait besoin de repos.
Caleb se mit à rire alors que la jeune femme lui demanda de se taire « Je voulais juste te rassurer sur le fait que ça avait été épargné » tout en la regardant avec une envie non-dissimulée, comme celle qu’il put voir dans le regard de Judy en évoquant leurs prochaines douches « Je ne les voyais pas autrement ». S’ils avaient été chez eux, Caleb aurait souhaité mette ces belles paroles à exécution, mais ils étaient dans le couloir dans un hôpital alors ils restèrent sages. Il la laissa prendre place sur ses jambes, amusé par l’enthousiasme enfantin de la jolie rousse « Je vois que Madame aime l’idée » et déposa ses lèvres dans son cou. Il ne connaissait que trop bien l’effet que ça pouvait avoir sur elle et il aimait ça. Ce fut Judy qui fut à l’initiative de leur premier baiser de réconciliation et le lui rendit avec tout autant d’envie qu’elle. L’une de ses mains s’aventura sous son haut, alors que sa langue cherchait la sienne. Il avait envie d’elle maintenant et tout de suite. Ils furent finalement séparés par l’arrivée de Tyler « Tu arrives toujours à point nommé toi dis-moi » ce qui amusa son ami d’enfance « Toutes mes félicitations papa ». Caleb se mit à rire en entendant le prénom de sa fille et la raison pour laquelle il l’avait appelé ainsi « Tu as conscience que quand tu vas lui expliquer la provenance de son prénom, elle ne saura pas qui elle est ?! » « Je vais faire son éducation voyons ! ». Il serra Tyler dans ses bras ou plutôt inversement et retourna dans sa chambre, accompagné de la jolie rousse « Ferme la porte à clef derrière toi » rétorqua-t-il alors qu’il attendit patiemment au milieu de sa chambre « J’ai envie de toi » souffla-t-il en se rapprochant de Judy « On va inaugurer ce nouveau fauteuil » alors qu’il commença à défaire sa ceinture en la regardant fixement.
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Charly
Dim 27 Nov - 21:03
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle. Dans la vie, je suis sans emploi et je m'en sors pas terrible. Sinon, grâce à ma chance, je suis à nouveau avec l'homme de ma vie et je le vis plutôt bien. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -exactement ! » s’amusa Judy avant de lui confier : « -aujourd’hui, on a fixé les miroirs… j’ai hâte que tu vois la salle ! On dirait qu’elle est encore plus grande ! J’adore le rendu ! » enfin, ça n’était pas pour tout de suite, étant donné qu’ils étaient là pour une naissance et que Caleb n’était pas encore sorti d’ici. Mais ça viendrait. En attendant ils évoquèrent les enfants, et le fait qu’ils n’en voulaient pas, l’un comme l’autre. Il parla d’opération et Judy déclina l’offre. Stop les salles blanches pour le moment. « -tu es bien renseigné dis-moi. » elle n’avait jamais songé à cela de son côté. Mais il avait raison, si c’était une possibilité d’être certain de ne pas avoir de surprise un beau matin, la tête dans la cuvette. « -alors on verra le moment venu. » conclue la jolie rousse qui gardait cela dans un coin de sa tête. Leur vie étaient déjà bien assez chamboulé pour que s’ajoute là au milieu une possible grossesse. Ils venaient de se retrouver, des épreuves étaient encore à venir, alors subir ce genre de surprise pas du tout programmé. C’était hors de question. « -oh ! » s’amusa de nouveau la jeune femme. « -me voilà rassurée alors. » Pour le moment ils en parlaient sur un ton léger, même si ils savaient l’un comme l’autre que toutes les douches ne seraient sans doute pas aussi agréable. Mais ça restait dans ce que voulait Judy, voir le positif où ils le pouvaient. Elle vint s’installer sur ses genoux, ravie de savoir qu’elle pouvait le faire. Passant ses bras autour de son cou, elle souffla alors qu’il embrassait sa peau : « -j’avais besoin d’être collé à toi. » il y avait eu trop de distance entre eux. Caleb lui avait manqué à longueur de journée. Aujourd’hui, c’était terminé. Elle l’embrassa avec une envie certaine, jusqu’à ce que Tyler ouvre la porte.
Judy n’avait pas prévenu Tyler et Rose de l’accident de Caleb. Mais ce n’était pas le moment de parler de ça. Leurs amis étaient fatiguée mais aussi comblé d’avoir donné naissance à une petite fille. Judy proposa qu’ils les laissent tranquille pour la soirée. Ils auraient tout le temps de voir la petite le lendemain et les jours suivants. Après une dernière accolade, elle passa derrière le fauteuil et poussa Caleb jusqu’à sa chambre. « -guide moi, je ne sais pas où on va. » c’était lui le GPS. « -enfin, si je sais où on va, mais pas comment on y va. » une fois dans la chambre, elle ferma la porte et se tourna pour regarder Caleb. « -tu… tu es sur ? » non pas qu’elle n’en avait pas envie. Mais c’était le lieu qui n'était pas vraiment propice à cela. Elle ferma la porte à clé, heureuse d’avoir mis une robe. Elle se pencha sur lui, les deux mains sur les accoudoirs. Un sourire amusé : « -on va mettre le frein… » oui c’était mieux… elle le fit et revint face à Caleb. Elle se pencha de nouveau et l’embrassa avec une envie non dissimulée. Elle l’aida à descendre quelque peu son pantalon. Puis elle s’installa sur lui, cherchant de nouveau ses lèvres. « -ça va comme ça ? » elle ne voulait pas qu’il soit mal installé. Ses lèvres trouvèrent les siennes et Judy le guida pour le laisser entrer en elle. Pas de longues préliminaires. Ils n’étaient pas chez eux. La jolie rousse maqua un mouvement de va et viens, s’accrochant aux épaules de Caleb. Peu à peu elle accéléra et contre toute attente, ils jouirent en même temps. Son front contre celui de Caleb, elle sourit : « -plutôt pas mal non ? » avant de l’embrasser.
Quelques minutes plus tard, elle l’avait aidé à se rhabiller, le moment de folie était passé. Mais cela leur avait fait un bien fou. « -tu as des papiers à signer ? Ils ont dit quoi pour la suite ? » forcement elle avait été absente de cette chambre durant près de deux semaines. Mais elle avait besoin de savoir comment allait se dérouler l’organisation des jours suivant. « -j’ai hâte de sortir d’ici… alors je n’imagine pas toi… » changer de décor lui ferait du bien. Ce qu’elle lui avait préparé l’aiderait peut être. Enfin… elle l’espérait.
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Dim 27 Nov - 21:29
Caleb Hamilton
J'ai 38 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis psychothérapeute dans un hôpital public et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle. Mais suite au suicide de l'un de ses patients, Caleb tomba dans une profonde dépression qui le poussa à revoir toute sa vie, y compris son travail. Aujourd'hui, il exerce en tant que psychothérapeute dans un hôpital public et a trouvé sa voie.
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C’était ça qu’il voulait entendre ! De son projet de studio de danse. Ce rêve qui lui tenait tant à cœur et qui, peu à peu, prenait forme. Il ne voulait pas la voir dans une salle de cours à enseigner l’art à des étudiants qui n’en avaient rien à faire. Il voulait voir cette étincelle dans ses yeux en rentrant le soir, lorsqu’elle lui racontera sa journée à donner des cours de danse aux jeunes du quartier. Pour ce qui était de vivre ensemble, rien ne pressait à la minute. Caleb était prêt à retourner chez ses parents si ça permettait à la jeune femme de vivre son rêve. Alors, sourire aux lèvres, il rétorqua un « Bientôt ! J’ai déjà hâte de venir te chercher le soir et de te voir danser » lui confia-t-il avec douceur. Ils ne feraient pas partis de ces couples qui rentrent le soir pour faire prendre le bain à leurs enfants ou leur préparer à manger. Non, ils feraient partis de ces couples qui se poseront devant la télévision, ou dans le canapé à lire un livre, enlacé l’un et l’autre, devant un feu de cheminée à soir d’hiver. Alors oui, Caleb s’était renseigné pour savoir quelle serait l’alternative la plus efficace et la plus sûre pour qu’ils n’aient pas de surprise « Je me suis renseigné au moment où Rose est tombée enceinte ». Un hochement de tête. Judy n’était pas contre l’idée, mais pas maintenant. C’était terminé les chambres d’hôpital quelques temps. Ils voulaient tous les deux retrouvés un semblant de normalité, et pour ce qui était du sexe, ils y parviendront sans trop de mal au vu de la réaction de sa masculinité de temps à autre « Je savais que la nouvelle te plairait ».
La jeune femme vint prendre place sur ses genoux et aussitôt, le beau brun entoura son corps de ses bras « Moi aussi, mais je voulais que tu fasses le premier pas » et bien vite, ils s’embrassèrent avec une envie bien présente, et ce, jusqu’à être interrompu par l’arrivée de Tyler. L’échange fut bref et ils laissèrent le jeune papa retourner auprès des deux femmes de sa vie pendant qu’ils retournèrent à la chambre de Caleb « Suis le maître des lieux » rétorqua-t-il en levant la tête vers elle alors que Judy poussait son fauteuil. En arrivant à destination, le beau brun lui demanda de fermer la porte à clef derrière elle et sourit en entendant son hésitation « Tu n’as pas idée à quel point j’ai envie de toi tout de suite et maintenant » que ça allait être difficile de rester sage jusqu’à ce qu’ils se retrouvent dans un lieu plus approprié. Il huma son parfum lorsqu’elle se pencha vers lui « C’est mieux, oui » et lui rendit son baiser, ses mains entourant son visage. Il la laissa baisser son pantalon, et devait avouer qu’il allait y prendre goût à ce genre de détails. Entre deux baisers, il rétorqua un « Ça sera mieux quand je serais en toi » répliqua-t-il avec un petit sourire en coin, et soupira de plaisir lorsqu’elle s’empala sur son membre tendu. Il souffla des « Continue » et des « Encore » alors qu’elle ondulait le bassin, accélérant peu à peu jusqu’à l’extase. Son front contre le sien, il sourit « Je sens que je vais commencer à beaucoup aimer ce fauteuil » avant de lui rendre son baiser.
« Oui, j’ai quelques papiers et une ordonnance que Toby doit m’apporter d’ici peu » rétorqua-t-il en regardant sa montre, puis posa son regard sur Judy « Je commence à tourner en rond ici » et lui sourit « Mais retourner chez mes parents ne m’enchantent pas vraiment… ». Caleb s’approcha de la jolie rousse « Mais je préfère ça plutôt que l’idée même que tu sacrifies ton rêve pour nous deux. J’ai discuté avec le directeur de l’hôpital. D’ici un mois, je pourrais revenir travailler. Alors on cherchera une maison ensuite. Ça te va ? » et saisit sa main qu’il porta à ses lèvres « Je t’aime tu sais, et je ne dis pas ça parce que tu m’as délicieusement fait l’amour dans cette chambre », il esquissa un sourire en coin et ajouta « Je vais me battre pour remarcher au plus vite et pour que tout ça soit derrière nous ».
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Dim 27 Nov - 22:12
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle. Dans la vie, je suis sans emploi et je m'en sors pas terrible. Sinon, grâce à ma chance, je suis à nouveau avec l'homme de ma vie et je le vis plutôt bien. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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Judy ne lui parla pas de la conversation qu’elle avait eu avec Mohamed. C’était son ami qui lui avait ouvert les yeux. Mettre de côté son projet, c’était faire un sacrifice. Et Caleb ne souhaitait pas ça. Alors elle avait oublié l’idée de retourner bosser dans un lycée, et avait continué d’avancer sur le projet du studio. Cela lui avait également permis d’éviter de trop se prendre la tête ou d’avoir le moral en baisse. « -bientôt… » avait soufflé la jeune femme avec un sourire tendre. Ils allaient retrouver une vie, une vie ensemble. Elle avait une surprise pour lui. Elle espérait que cela lui ferait plaisir. Elle avait une légère angoisse de ce côté-là. Mais elle verrait bien le moment venu.
Judy se mis à rire : « -tu as pris peur ?! » enfin pour leurs amis c’était totalement différent. L’enfant qui venait de voir le jour était désiré. Ils en avaient rêvé. Aujourd’hui, ils allaient connaitre les joies et les galères de la parentalité. Chose qui ne faisait pas envie à Caleb et Judy. Ils étaient d’accord là-dessus, comme sur le fait d’éviter une intervention chirurgicale pour le moment. La jolie rousse était heureuse et soulagée de la tournure que prenaient les choses entre eux. La complicité était de nouveau présente et c’était vraiment agréable. Ils allaient apprivoiser très vite le fauteuil, elle en était certaine. Rien que le fait de pouvoir venir s’asseoir sur les genoux de Caleb quand elle le voulait, c’était une merveilleuse nouvelle pour elle.
Une fois dans la chambre, Judy eut un moment d’hésitation. Ça n’était pas le lieu le plus glamour qui soit. Peut être que c’était trop tôt ? Mais Caleb semblait décidé alors elle se laissa guider par l’envie. Et ces retrouvailles furent parfaites. Pas de stress, pas de pression. Seulement de l’envie et du désir mêlé à leur amour. Quelques minutes plus tard, Judy posa des questions d’ordre technique. C’était moins sexy mais elle devait savoir. « -ok… » elle lui sourit : « -je comprends… crois moi je connais… » elle commençait à en avoir un peu marre d’être cher son père. « -ça me va. Et… je ne vais pas retourner bosser en lycée. Mohamed m’a ouvert les yeux. Et m’a clairement dit que c’était une idée de merde, et que ça allait à l’encontre du discours que je te tenais. » elle fixa Caleb du regard quelques secondes : « -il a raison. Et je n’ai pas la moindre envie de retourner dans un lycée. Le studio me tient bien trop cœur. Dans un mois, je vais ouvrir pour les premiers cours, j’espère pouvoir me sortir un petit salaire… » cela aiderait peut être à avoir un prêt ou du moins une location. « -je sais… » répondit Judy en serra les doigts de Caleb entre les siens : « -ça sera très vite derrière nous. » elle en était persuadée. « -tu crois que ton ou ta kiné serait ok pour m’apprendre à te masser ? J’ai envie de pouvoir le faire, mais correctement. » ça n’était pas son métier. Alors autant avoir quelque base.
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Lun 28 Nov - 19:40
Caleb Hamilton
J'ai 38 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis psychothérapeute dans un hôpital public et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle. Mais suite au suicide de l'un de ses patients, Caleb tomba dans une profonde dépression qui le poussa à revoir toute sa vie, y compris son travail. Aujourd'hui, il exerce en tant que psychothérapeute dans un hôpital public et a trouvé sa voie.
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Caleb haussa légèrement les épaules tout en souriant « Oui, un peu ». Il ne souhaitait pas être père. Le rôle de l’oncle lui suffisait amplement. Il n’avait ainsi que les bons côtés comme il le disait si bien à ses parents qui avaient fini par se faire à l’idée qu’il ne leur donnerait jamais de petits-enfants. Pour autant, il n’était pas prêt à tirer un trait sur le sexe et la preuve en fut qu’à peine furent-ils revenus dans sa chambre que Caleb lui demanda de fermer la porte à clef. Elle prit alors place sur ses jambes et ils firent l’amour. Ce fut rapide, comme un besoin urgent de faire taire ce désir qui lui brûlait les reins et ils atteignirent la jouissance ensemble. Sa première fois dans un hôpital, et il en était plus que satisfait. Quelques minutes plus tard, le beau brun termina de rassembler ses effets personnels, pas particulièrement ravi de retourner chez ses parents « Ce n’est que momentané. On va finir par avoir notre « chez nous » à nous » la rassura-t-il avec douceur. Caleb ne voulait pas que Judy sacrifie son rêve pour qu’ils aient une maison à deux et il ne fut pas le seul à penser ainsi. Mohamed aussi. « Je sens qu’on va finir par bien s’entendre tous les deux. On a la même manière de penser et le même goût en matière de femme ». Oui, il était prêt à en plaisanter aujourd’hui. « C’est pour ça que j’ai refusé qu’on vive ensemble Judy. Parce que j’en ai cruellement envie, ne pense pas une seconde que ce n’est pas le cas, mais j’aime voir tes yeux briller quand tu parles de ton studio de danse, et j’ai envie que ton regard brille autant le soir en rentrant, quand tu me raconteras ta journée. Notre chez nous peut encore attendre un peu ».
Le thérapeute serra son emprise sur les doigts de la jolie rousse, la rassurant sur le fait qu’il était prêt à se battre pour elle, pour eux deux, pour qu’ils aient enfin ce futur à deux qu’ils méritaient tant après toutes ces épreuves « Je te le promets » souffla-t-il en la couvant du regard avec tendresse. « C’est apparemment un homme, et il faudra voir cela avec lui. Mais je dois t’avouer que je préfère que ça soit toi qui me masse plutôt que lui » et ajouta sur un ton plus taquin « Puis je sais à quel point tu es douée avec tes mains ». Finalement, il n’avait pas encore eu assez de son corps, de ses caresses, de ses baisers. En entendant frapper, le beau brun vint ouvrir la porte sur Toby « La porte était fermée ? » « Oui. On voulait s’assurer que la mécanique fonctionne encore » « Et verdict ? ». Caleb jeta un regard vers son amante avant de regarder son chirurgien « Plus que bien je dirais » « J’en suis ravi, et Madame doit l’être encore davantage » ce qui amusa le beau brun qui connaissait bien son confrère et sa manière de s’exprimer sans filtre « Voici votre ordonnance. On reste sur la morphine et on réduira peu à peu la dose. Je ne veux pas d’un accro aux antidouleurs dans cet hôpital, compris Cal’ ? » « Ne vous en faites pas, j’y veillerais » « Bon, eh bien on se revoit semaine prochaine pour une petite visite de contrôle hebdomadaire et je vous présenterai à Kai, votre kiné tout droit arrivé d’Hawaii ». Cela signifiait qu’il faisait un bon mètre quatre-vingt, si ce n’était plus. Caleb saisit son sac pour le poser sur ses genoux et leva son regard vers Judy « On peut y aller joli cœur » et jeta un dernier regard pour cette chambre qui l’avait vu presque mourir, qui avait vu trop de larmes, entendu trop de prières et maintenu entre ses murs trop d’espoir.
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Lun 28 Nov - 21:01
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle. Dans la vie, je suis sans emploi et je m'en sors pas terrible. Sinon, grâce à ma chance, je suis à nouveau avec l'homme de ma vie et je le vis plutôt bien. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -je sais que tu en as envie aussi… » avait soufflé Judy avec douceur. Elle n’en doutait pas. Elle comprenait ses arguments également et pour le rassuré, elle évoqua le fait qu’elle ne retournerait pas travailler en lycée comme avant. « -et pour Mohamed… » commença-t-elle avec légère hésitation : « -je lui ai demandé si il serait d’accord pour venir m’aider au studio. Si jamais je manque de temps ou que je n’arrive pas à assurer tous les cours. » après tout c’était l’idée de Caleb à la base. « -il est partant. Donc verra dans un mois ce que ça donne… » Même si Caleb venait de plaisanter au sujet de Mohamed, Judy restait prudente sur ce terrain.
Elle demanda ensuite si il pensait que son kiné, serait d’accord pour lui apprendre à faire des massages. « -tant mieux. » répliqua la jolie rousse en apprenant qu’il s’agissait d’un homme. « -je ne pense pas pouvoir le remplacer, mais je me dis que le soir ou le weekend, cela pourrait être agréable. » il y avait certainement une procédure et elle imaginait que les muscles avaient besoin de stimulation pour éviter de s’atrophier. « -je pensais à tes jambes et ton dos… » répondit Judy avec un sourire amusé.
Lorsque le médecin entra, elle souffla un : « -Caleb… » alors qu’elle le trouvait un peu trop directe. Elle rougit en détournant les yeux face à la conversation des deux hommes. Comment ne pas être mal à l’aise ?! « -moi aussi j’y veillerais… » commenta Judy. Elle veillerait à ce qu’il prenne ces comprimés surtout. Elle le connaissait assez pour qu’il décide de ne pas les avaler. Sauf que le but n’était pas de souffrir. Mais d’avancer. Elle sourit timidement au médecin, avant de passer derrière le fauteuil et d’enfin quitter l’hôpital. Trouver un taxi permettant à Caleb de monter sans problème fut plus facile qu’elle ne l’avait imaginé. Elle demanda au conducteur sa carte, afin d’avoir son numéro. Par précaution. Puis donna l’adresse de l’appartement de Caleb. Elle aida Caleb à descendre, et remercia le chauffeur. Pas la peine qu’il attende. Une fois dans le hall, elle délaissa le fauteuil et avança jusqu’à l’ascenseur. Elle appuya sur le bouton, qui s’alluma pour faire descendre la cage en métal. « -surprise… » chantonna la jeune femme. « -j’ai menacé le proprio pour qu’il se bouge en temps et en heure." Elle poussa le fauteuil afin qu’ils puissent monter jusqu’à l’appartement.
Une fois devant la porte, elle tourna la clé et ouvrit la porte. De nouveau elle aida Caleb à avancer et resta silencieuse, le laissant découvrir la seconde partie de la surprise. Elle avait réaménagé le salon. Coupé la pièce en deux avec la bibliothèque, leur offrant ainsi un espèce chambre à coucher, tout en gardant le salon. Certains meubles avaient été monté à l’étage afin de faire plus de place. Elle avait également fait aménagé la salle de bain. « -je sais que ça n’est pas l’idéale mais ça t’évitera de rentrer chez tes parents. Enfin… si l’idée de plais bien sur… »
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Lun 28 Nov - 21:23
Caleb Hamilton
J'ai 38 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis psychothérapeute dans un hôpital public et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle. Mais suite au suicide de l'un de ses patients, Caleb tomba dans une profonde dépression qui le poussa à revoir toute sa vie, y compris son travail. Aujourd'hui, il exerce en tant que psychothérapeute dans un hôpital public et a trouvé sa voie.
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Bien sûr que Caleb souhaitait s’endormir chaque soir blottit contre la jolie rousse, comme il voulait se réveiller chaque matin à ses côtés. Toutefois, le sacrifice était bien trop grand aux yeux du thérapeute pour qu’ils concrétisent ce souhait. Il ne voulait pas qu’elle tire un trait sur son projet de studio de danse et qu’elle retourne dans une salle de cours. Elle ne voulait plus de ça, et il ne le souhaitait pas pour elle non plus. Alors Caleb était prêt à retourner chez ses parents le temps nécessaire, et lorsqu’ils seraient prêts financièrement, alors ils aménageraient ensemble. Il fut tout de même soulagé que Judy prenne conscience que ce n’était pas parce qu’il n’avait pas envie de cette vie à deux qu’il disait cela, mais uniquement pour qu’elle réalise son rêve. Il se mit à sourire avec douceur, puis ce dernier s’estompa quand il vit sa soudaine hésitation en prononçant le prénom du Français. « A la manière dont tu as commencé ta phrase, je me suis demandé si tu n’allais pas me quitter pour lui » plaisanta-t-il avant d’ajouter « Ça me rassure qu’il vienne t’aider. De savoir que tu ne seras pas seule dans le studio et dans le quartier… ». Il avait grandi dans ces quartiers malfamés et ils n’étaient pas tous portés de bonnes intentions. S’ils étaient considérés comme dangereux, c’étaient pour de bonnes raisons. Le beau brun n’était pas naïf concernant cette violence… Alors de savoir que le Français serait présent, ça lui ôta un certain poids de ses épaules. Ce n’était pas en fauteuil roulant qu’il allait pouvoir veiller sur elle physiquement.
Lorsqu’ils évoquèrent son kiné, le beau brun fronça les sourcils en entendant son commentaire, et ce, non sans un sourire « Pourquoi tant mieux ? ». Oui, il était curieux de connaitre la raison derrière ces deux petits mots. Il fut touché de voir que Judy souhaitait prendre soin de lui également de cette manière « J’aimerais beaucoup ». Ça serait l’occasion pour eux de partager un moment rien que tous les deux et sans qu’il se sente fragile ou qu’il ait besoin d’aide. Un petit rire suivit « On peut toujours trouver à s’arranger, et puis tu pourrais très bien le confondre avec ma jambe » répliqua-t-il sur un ton taquin. Il aimait ce retour à la normale avec la jolie rousse. Ils furent ensuite dérangés par son chirurgien qui vint lui apporter son ordonnance, et ce, après une discussion pour le moindre gênante au vu de la manière dont Judy prononça son prénom « Il est médecin » se justifia-t-il alors avant de lancer un regard à la jeune femme et lui adressa un sourire tendre.
Ils finirent par quitter cette chambre, ainsi que l’hôpital. Deux semaines entre ces murs. C’était bien assez pour Caleb qui monta dans le taxi sans difficultés. Cela le rassura pour l’avenir. En arrivant dans le hall, il surpris Judy s’approcher de l’ascenseur « Il ne fonctionne pas J… » mais n’eut le temps de terminer que l’ascenseur se mit en marche au moment où elle appuya sur le bouton « Tu… » et ne trouva pas les mots. Il la couva alors du regard avec une infinie tendresse, et finit par rétorquer un « Merci » qui venait du fond du cœur. Il posa sa main sur la paroi de la cage en métal, réalisant à peine ce qui se passait « Mon propriétaire a dû t’adorer ». Ils finirent par entrer dans son appartement et de nouveau, il ne trouva pas les mots… Judy avait pris le temps d’aménager tout son salon pour l’adapter à son handicap. Il posa ses mains sur les roues et fit avancer le fauteuil pour visiter son nouveau chez soi, et revint vers Judy, lui saisit la main et l’attira à lui pour l’embrasser avec amour, puis posa son front contre le sien « Tu n’as pas idée à quel point ça me touche… Merci, merci… » alors qu’il avait la gorge nouée par l’émotion. Il l’embrassa une nouvelle fois en soufflant un « Je t’aime tellement » et observa de nouveau son appartement « Maintenant que le lit est en bas… Tu pourrais peut-être emménager avec moi ? Qu’en penses-tu ? » demanda-t-il non sans une pointe d’hésitation dans la voix « Plus de marches à monter pour rejoindre la chambre et on a un balcon pour prendre notre petit-déjeuner le matin ».
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Charly
Mar 29 Nov - 13:02
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle. Dans la vie, je suis sans emploi et je m'en sors pas terrible. Sinon, grâce à ma chance, je suis à nouveau avec l'homme de ma vie et je le vis plutôt bien. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -quoi ?! Non ! Tu penses vraiment que je serais capable de te faire l’amour avant de… » elle recula le visage hallucinant, puis elle plissa les yeux. « -c’est pas drôle. » non, vraiment elle ne trouvait pas ça marrant. Puis elle sourit avec douceur, rassurée que Caleb soit en accord avec cette association. « -le fait qu’on soit deux me donnera plus de temps pour être avec toi. J’adore mon projet, mais je ne veux pas m’y perdre et oublier le reste. Je veux pouvoir passer certaines soirées de la semaine avec toi, rentrer plus tôt. Déléguer si besoin. » elle espérait que Caleb n’entende pas là de la pitié ou du sacrifice. Ça n’était pas le cas. C’était mettre des priorités. Travailler avec passion c’était bien… mais vivre c’était bien mieux. Et elle voulait vivre avec lui. Se construire de beaux moments.
Elle évoqua ensuite le kiné et sourit en penchant la tête : « -parce que tu vas passé un temps fou avec cette personne. Et que je ne veux pas que tu tombes amoureuses d’une autre parce qu’elle se penche au-dessus de toi. » oui voilà il avait la réponse à son pourquoi. « -et oui, je sais, je suis de plus en plus possessive à mesure que le temps passe. » elle en avait conscience. Cela venait sans doute de cette idée qu’elle avait toujours en tête, que Caleb pouvait avoir bien d’autres femmes quelle. Des femme bien mieux quelle. Elle voyait aussi là, la possibilité de créer du lien. Baseball, truc d’homme… Caleb se sentirait peut être mieux comprit. « -prétentieux… » s’amusa Judy heureuse que l’idée des messages plaise à Caleb. Et puis le médecin se pointa et Caleb se montra un peu trop explicite. « -oh ba oui, fais lui un dessin tant qu’on y est ! » ironisa Judy, souriante malgré sa gêne.
Une grosse demi heure plus tard, ils étaient devant l’ascenseur de l’immeuble de Caleb. Judy avait tout prévu. Cette fois-ci, c’était elle qui avait préparé une surprise. Judy se pencha pour embrasser Caleb dans le cou, tout en poussant le fauteuil vers l’ascenseur qui n’attendait qu’eux, porte grande ouverte. « -j’adore quand tes merci sonnent comme des je t’aime… » une fois à l’intérieur : « -oh et bien disons qu’il a appris à connaitre la petite rousse du troisième… » s’amusa Judy avec un sourire presque fière. « -c’est un service que tu payes dans ton loyer, alors… » un haussement d’épaule. Ok elle avait proféré quelques menaces. « -j’avais tes parents et ta sœur en soutien… » précisa la jeune femme pour ne pas s’attribuer tout les lauriers.
La suite laissa Caleb sans voix et Judy fut ravie de l’effet de surprise. « -je le lis dans tes yeux… » souffla la jeune femme après lui avoir rendu son baiser. « -on a pas mal discuter avec tes parents. Déjà ils ne voulaient pas de toi chez eux.. » elle sourit en la taquinant : « -on sais que tu aimes ton appartement… Fallait seulement quelques modifications. Je suis contente que ça te plaise… » même si ça n’était pas parfait. C’était toujours mieux que de retourner chez ses parents. La jeune femme fit deux pas dans l’appartement avant de revenir vers Caleb et se s’installer sur ses genoux. « -et bien maintenant que tu en parles… » elle pencha la tête de gauche à droite. « -j’ai pris la liberté de me réserver quelques tiroirs dans la penderie… » elle sourit en montrant ses deux comme si elle craignait la réaction de Caleb, amusée à la fois. « -et ça fait quinze jours que je vis ici… » cette fois ci elle baissa les paupières, caressant le torse de Caleb à travers son tshirt. « -tu me manquais trop… » elle releva le visage et ajouta : « -et Willy voulait pas que je parte, visiblement je suis plus généreuse que toi en matière de pâté. » elle passa ses bras autour du cou de Caleb et ajouta : « -donc si tu veux de moi, ma réponse est oui… »
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Manhattan Redlish
Mar 29 Nov - 19:13
Caleb Hamilton
J'ai 38 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis psychothérapeute dans un hôpital public et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle. Mais suite au suicide de l'un de ses patients, Caleb tomba dans une profonde dépression qui le poussa à revoir toute sa vie, y compris son travail. Aujourd'hui, il exerce en tant que psychothérapeute dans un hôpital public et a trouvé sa voie.
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« Je ne sais pas, un petit coup rapide histoire de clôturer notre histoire en beauté » rétorqua-t-il avec ce petit sourire en coin qui trahissait son état d’esprit, et ajouta en riant presque « Je trouve que si ». Il savait bien que la jolie rousse n’allait pas le quitter ainsi. Pas après tout le temps qu’elle avait passé à son chevet, pas après toutes les larmes qu’elle avait versées pour lui, et les mots qu’elle lui avait dit. Il ne connaissait que trop bien l’amour qu’elle lui portait, parce que ses sentiments à son égard étaient tout aussi fort. Contre toute attente, et parce qu’il savait que le sujet du Français était encore sensible pour Judy au vu de sa réaction passée, Caleb accepta l’idée que ce dernier vienne prêter main forte à la jeune femme. Il la saurait ainsi en sécurité aux côtés de Mohamed, et puis ils partageaient cette passion commune pour la danse. Un sourire en entendant les avantages de cette collaboration future « J’aime cette idée de t’avoir plus souvent avec moi » et ajouta « Il faudra seulement qu’on accorde nos emplois du temps lorsque j’aurais repris le travail » parce qu’il était hors de question qu’elle rentre plus tôt pour retrouver un appartement vide. Il voulait aussi profiter de ces moments avec elle. Il avait rapidement compris que la vie était trop courte et que tout pouvait s’arrêter soudainement, du jour au lendemain, et il ne voulait pas éprouver le moindre regret sur le temps qu’il n’avait pas passé aux côtés des gens qui lui était chers.
Concernant l’explication qui poussait Judy à se ravir d’apprendre que c’était un homme, le beau brun perdit son sourire avant de le laisser réapparaître brièvement au moment où elle avoua être de plus en plus positive le concernant « Tout d’abord, je tiens à préciser qu’il faut plus qu’une paire de seins pour que je tombe amoureux. Et je parle par expérience ». Il avait vu défiler un bon nombre de poitrines, de corps nus, sans tomber amoureux pour autant « Ensuite, c’est toi que j’aime. Je ne t’ai pas choisi par dépit, je t’ai choisi parce que tu es mon âme sœur, la femme avec qui je veux passer ma vie, tu as compris ?! Je me moque de savoir si mon kiné est un homme ou une femme, et si elle est bien roulée, avec une poitrine à damner un Saint. La seule que je veux, c’est toi » répliqua-t-il avec sérieux afin qu’elle prenne conscience de la sincérité de ses paroles. Il finit tout de même par sourire à nouveau « C’est parce que tu ne l’as pas vu assez souvent ces derniers temps » et se montra tout aussi explicite en présence de son chirurgien « Un peu de tenue tout de même Judy ! » répliqua-t-il en plaisantant.
En retournant à son immeuble à sa sortie de l’hôpital, Caleb n’avait pas imaginé un seul instant que Judy avait demandé à son propriétaire de réparer l’ascenseur. Ainsi, il allait pouvoir revenir de temps à autre dans son appartement pour s’y réfugier lorsque ça serait trop difficile de rester chez ses parents « Je pense que « je t’aime » n’est pas assez fort pour désigner ce que j’éprouve pour toi » et se mit à sourire « Je sens que mon bail va arriver soudainement à son terme » plaisanta-t-il et acquiesça « On pourrait les inviter à dîner pour que je les remercie également ». Après tout, ce n’était pas une si mauvaise idée que de se retrouver tous ensemble autour d’une table après les derniers évènements. En pénétrant chez lui, le beau brun resta sans voix face à l’aménagement qu’avait effectué la jolie rousse et se mit à sourire timidement « Sympa… » répliqua-t-il sur un ton amusé. Il ne leur en voulait pas. Lui non plus n’était pas bien enthousiaste à l’idée d’y retourner « Je ne sais pas comment te remercier Judy pour tout ça… » et ajouta « Quoi que… J’ai peut-être ma petite idée » et la laissa prendre place sur ses genoux. Il posa une main sur sa cuisse et l’autre dans son dos. Un regard pour son chat « Infidèle ! Traite ! » et se reconcentra sur la jeune femme « Je pensais que ma vie était foutue avec cet handicap, mais ce que tu as fait pour moi, et ta présence… Tu me rends heureux » et déposa ses lèvres sur les siennes « Je suis encore désolé de ne pas avoir été là pour toi ces derniers temps » et caressa sa joue « On vit donc officiellement ensemble ? » et reprit « Raison de plus d’aller au restaurant ce soir » puis l’embrassa à nouveau « Tu penses que Tom va apprécier la colocation ? ».
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