Sur Terre et sur Meridian. - 22 ans. - Serveuse et Princesse.

Princesse, c'est son titre, rien que ça. Sur Terre, elle n'est rien. Personne. Fille d'un avocat d'affaires et d'une attachée commerciale, elle vit toujours chez eux et travaille en temps que serveuse pour gagner son argent et apprendre la vie à côté de ses études en psychologie, qui ne la rassurent pas du tout quant aux humains.
Elle n'est pas sur Terre par hasard. Elle n'est pas la vraie fille de ces deux personnes. Kyran et Aislin sont des disciples du père d'Adrestia, Phobos, le souverain de l'autre monde, de Meridian.
Son père estime que les humains sont des parasites. Qu'il faut les éradiquer, pour le bien de son monde. Pour le bien de tous. C'est un projet à long terme, cela dit, et évidemment, une résistance s'est créée, contre lui. Résistance que ses gardes répriment, avec l'aide des disciples de Phobos qui oeuvrent également sur Terre, à la recherche des Gardiennes.
Kyran et Aislin sont donc des disciples, qui ont la tâche particulière de protéger Adrestia, la prunelle des yeux de Phobos. On pourrait croire qu'il n'a pas de coeur, vouloir décimer une population entière... Mais en réalité, sa fille représente presque tout pour lui. Ils entretiennent une relation assez fusionnelle, et il l'a envoyée sur Terre un peu à contre-coeur. Mais cachée au beau milieu des humains, elle sera bien plus en sécurité, d'autant qu'ils ne peuvent user de magie aussi facilement. Elle a 22 ans, et vit sur Terre depuis ses 13 ans. Elle est acclimatée à la vie avec les humains, elle a vu la Terre évoluer, et est du même avis que son père. Pourtant, elle essaye de les comprendre... Mais il n'y a décidément rien à sauver chez les humains.
Elle a subi du harcèlement, moral et physique. On l'a touchée sans son accord, on l'a abordée sans qu'elle ne le désire de façon presque quotidienne. On a essayé de l'intimider.
Evidemment, ces personnes ont souvent disparu sans laisser de trace... Mais ils n'ont fait que renforcer son opinion. Les humains sont mauvais et inutiles. Ils ne méritent pas d'exister.

Né à New-York - 20 ans - étudiant en arts dramatiques

- Adonis. Un nom à forte connotation, pour quiconque s’intéresse à la mythologie grecque. Mais sa mère a toujours été fascinée par les mythologies pré-chrétiennes, qu’elles soient celte, égyptienne, romaine ou grecque. Voilà ce qui explique d’ailleurs les noms de sa petite soeur et de son grand frère : Ariane et Hespéros. S’il a parfois été compliqué pour les garçons de porter leurs prénoms, ils en ont pourtant toujours tiré une grande fierté.

- Adonis est issu d’une famille assez aisée. Il ne s’en est jamais caché, bien qu’il ne s’en vante pas pour autant. Ca ne l’a jamais empêché d’être parmi les moins populaires des établissements dans lesquels il évoluait, contrairement à son frère et sa soeur. Il a toujours été complexé par cette histoire de popularité, parce qu’il voyait ses adelphes appréciés, alors qu’il était seul, ou presque seul. Pourtant, malgré le fait qu’ils se sont toujours tous les trois entendu, ils n’ont jamais mélangé leurs cercles d’amis.

- Il a longtemps souffert de cette solitude. Au collège, il a même subi des moqueries, des bousculades, qui l’ont mené à des soucis d’attention au collège, l’empêchant d’avoir les notes attendues par ses parents. Il n’en a jamais parlé, trop secret, se contentant de subir les foudres de son père, qui estimait qu’il ne travaillait pas assez, parce qu’il avait forcément les compétences pour réussir à l’école, comme son aîné. Hespéros était irréprochable, sur tous les points. Il était près à reprendre les rênes de l’entreprise familiale, ou plutôt il le serait, une fois adulte. Et Adonis a vécu toute son enfance à être comparé sans cesse à son grand frère… Déclenchant, là aussi, une forme de jalousie et d’envie. A l’école, il était seul. Chez lui, il était seul. Seul, et en plus on n’avait de cesse de le mettre sous pression.

- Il est atypique, calme, secret, timide, intelligent, mais fêtard et sportif aussi.

sur Terre ou dans un pays imaginaire - 23 ans - Pirate et cuisinière

Adroite. Lena se démarque par sa grande habileté. Elle danse, elle manie les couteaux à la perfection, si bien qu’ils pourraient aussi bien se transformer en armes si vous tentez de la contrarier un peu trop fort - mais entre nous, il est particulièrement difficile de lui faire perdre son calme. Elle vous le fera payer, mais quand vous aurez oublié. D’ailleurs, il peut être intéressant de garder à l’esprit que c’est elle qui s’occupe de vos assiettes...

Altruiste et bienveillante. Lena est avant tout quelqu’un qui pense aux autres, et principalement à son entourage direct. Sur un navire, elle pensera d’abord à l’équipage avec lequel elle évolue, quand bien même elle peut ne pas apprécier tout le monde. Elle sait reconnaître les qualités des autres, même si elle doit n’en trouver qu’une...

Caractérielle. Hors de question qu’elle se laisse marcher sur les pieds par qui que ce soit. Elle veut bien suivre des ordres, à condition qu’ils aient du sens. Autrement, elle fera entendre son désaccord.

Un brin insolente. Loin de la demoiselle sage qu’elle a l’air d’être, elle n’a pas la langue dans sa poche, et n’hésite pas à répliquer de façon cinglante s’il le faut, quitte à énerver son interlocuteur.

Rusée. Pas vraiment taillée pour le combat au corps-à-corps, Lena est une ombre enflammée qui surprend par sa discrétion et sa grande dextérité. Elle ne manie pas vraiment les armes, elle préfère la subtilité de la tactique, l’embrouille de l’esprit, l’infiltration. Elle peut même parfois se montrer fourbe, si la situation le nécessite - ou lui permet… Parce qu’elle aime bien faire preuve de fourberie, parfois.

Culottée et téméraire. Elle n’a pas peur du danger, reste encore à comprendre pourquoi la Mort ne l’effraie pas plus que ça. Elle ne prend pas particulièrement de plaisir à passer du côté des hors-la-loi, mais elle se sent vivante, quelque part, en faisant tout ça.

Réfléchie et méthodique. Elle n’agit jamais sur un coup de tête. Que ce soit dans le feu de l’action ou pour quelque chose qui arrivera au bout de plusieurs mois, elle pense à ce qu’elle fait, même si elle doit le faire en à peine trois secondes. Ses actions seront toujours faites de la manière la plus réfléchie et la plus logique possible.

Dynamique. Lena a beaucoup d’énergie, et cela se voit, depuis le moment où elle sort de la cabine jusqu’au moment où elle va enfin dormir quelques heures. Elle ne semble jamais avoir de baisse de régime, toujours prête à tout.

Souriante et sociable. Ses lèvres courbées en un éternel sourire, elle a toujours cet air avenant qui donne envie de l’approcher, de discuter. Elle ne le perd jamais, et a - au pire - un léger sourire en coin, qui peut se montrer agaçant dans certaines circonstances. Mais… Elle s’en fiche. Personne ne sait si elle cesse de sourire lorsqu’elle se retrouve seule dans sa cuisine ou dans son hamac, la nuit.

Tout ce qu’elle fait, elle le fait dans le seul et unique but d’être libre. Elle a besoin de ça. Naviguer sur les mers, loin des terres tellement restrictives. Sur l’eau, elle est libre, comme un oiseau dont le nid se déplace avec, libre comme un poisson dans l’eau.

N'importe où loin de chez elle - 26 ans - Fraîchement diplômée en médecine

Trop de choses enfouies en moi ont fait naître quelque chose de sombre. Quelque chose qui me fait peur. Des ressentis bizarres, quelque chose qui gratte parfois, comme s’il voulait sortir. Je ne sais pas ce que c’est. Je ne comprends pas. Ca me prend lorsque la colère m’envahit. Ca gronde, comme une bête sauvage, comme si un tigre puissant et énervé était excité par l’idée de verser du sang. J’essaie de la faire dormir. De la laisser ronfler. A moins qu’elle ait en réalité constamment un oeil ouvert, et que ce que je prends pour un ronflement n’est rien d’autre qu’un grondement sourd, pour me rappeler qu’elle est là, à l’affût, et qu’au moindre relâchement de ma part, elle attaquerait. Et que si je refuse de faire quelque chose, elle se chargera de tout. Mais ma rébellion incontrôlée ne m’aide pas à maintenir cette foutue rage somnolente au fond de moi. Elle s’accumule, toujours plus. Et le tigre ne fait que devenir plus fort.

Ah, Empathie quand tu nous tiens. Altruisme. Dévouement. Générosité. Attention. Apaisement. Tant de mots pour me définir. Mais si je suis si douée, si gentille, c’est bien parce que j’ai cette impression viscérale de comprendre les gens. On me dit sensible, simplement. Je suis une femme, voyons. C’est normal. Et je n’ai jamais remis ça en question. J’éprouve simplement de l’empathie et puisque je suis à l’écoute, je comprends. Je me mets à leur place. Explication tout à fait plausible.
Mais je n’ai jamais fait le lien avec le fait que je n’aime pas qu’on me touche. Lorsqu’on me touche, je me sens vulnérable. Je me sens soudain submergée par des choses que je ne ressentais pas une seconde avant. Et puis c’est comme si toute mon énergie s’envolait. C’est épuisant, les contacts physiques.

USA - 24 ans - papillon libre

Agée de 24 ans, Gabriella vient d’une famille très catholique pratiquante. Elle a une grande soeur de deux ans son aînée, qui est le parfait modèle selon ses parents, tandis que Gaby est plutôt un peu paria. Elle rêve d’aventures, de découvertes, pas de Paradis ou d’Enfer. Elle s’en fout un peu, de ces histoires de Dieu. S’il y en a un, il a sans doute mieux à faire que de juger le moindre acte des humains, non ?
Gabriella, elle a toujours posé beaucoup de questions, mettant parfois ses parents un peu en difficulté. Un peu créationnistes sur les bords, sa grande soeur est un peu sortie des sentiers battus grâce à ses études sur la théologie, adoucissant un peu leurs parents à ce sujet.
Mais Gabriella, les histoires là, elle en a un peu par-dessus la tête. Elle rêve d’autre chose, d’autres découvertes, et ses parents sont effrayés qu’elle puisse s’éloigner du chemin de la Foi.
Nécessairement, elle a grandi avec des idées très arrêtées et même si elle fait un sacré travail sur elle-même, elle a du mal à se détacher de ses a priori notamment autour de la sexualité de façon générale. Elle y travaille, mais c’est compliqué.
Malgré tout, c’est une petite un peu insolente, tête brûlée et qui n’a pas peur de grand chose, à part de la mauvaise image, de façon générale. Surtout de la sienne.
(Là, gros potentiel pour partir sur des trucs de démons et de magie, parce qu’elle y croit mais pas trop lol, mais sinon du réel tranquille c’est good aussi)

D'origine néerlandaise, elle voyage beaucoup - 27 ans - future gardienne d'une faille d'où viennent des créatures surnaturelles, pour l'instant elle s'occupe de les chasser, et travaille parfois avec un Ordre particulier dont sa famille était proche (détaillé dans la fiche complète, pour le coup parce que c'est complexe)

Une partie de sa famille a travaillé dans l'Ordre du Crépuscule, une organisation assez secrète qui s'occupe des entités, créatures et objets magiques qui risquent notamment de nuire aux humains. Des gnomes, des fées, des objets maudits, il y a de quoi faire. Elle a découvert ce côté de sa famille en recevant la lettre d'une cousine de sa grand-mère, au grand damne de l'une de ses mères. Oui, elle est issue d'une famille homoparentale.

Elle s'est lancée corps et âme dans cette découverte du monde magique, dont elle ne connaissait rien. Très, trop, curieuse, la peur ne fait pas partie de son vocabulaire. Elle est peut-être optimiste, extravertie et énergique, mais elle est aussi téméraire, tête de mule, arrogante et caractérielle. Elle ne recule devant rien, sans remords. Sans remords. On ne pourrait pas la définir plus justement. Eliza avait pour principe de ne jamais rien regretter. Aucune de ses actions. Une vie humaine n’était pas bien longue, alors toutes les expériences qu’elle avait, elle ne pouvait pas se permettre de les regretter. Toutes contribuaient à faire d’elle qui elle était, après tout. Et ce qui était fait était fait.

(La fiche est longue, donc si elle vous intrigue, y'a d'autres trucs héhéhé)

USA - 26 ans - des petits boulots à droite à gauche, la plupart du temps barman dans une boite de nuit

Jamy n’a jamais été un très bon élève. Dissipé, du genre à dessiner en classe, voire se renfermer à l’école. Parce qu’il n’a jamais été des plus appréciés. Grande gueule qui ne rentrait pas dans les codes, il se fichait de les casser, de venir habillé avec des fringues serrées. Un style bien à lui, parce qu’il ne se retrouvait pas dans les genres classiques. Ou plutôt il se retrouvait dans les deux… Ça dépendait des jours. Il aimait un peu tous les styles. Seulement, ça n’a jamais trop plu à ses camarades, et il s’est déjà retrouvé dans de sales draps.

En fait, il a toujours eu un don pour se mettre dans de sales draps. Mais heureusement, Zelena a toujours été là pour le sortir des situations improbables dans lesquelles il se mettait. Zelena, c’est la personne qui a toujours sauvé le cul de James. Il a été un peu lâché dans la nature dès ses sept ans, son père ne s’est jamais vraiment occupé de lui et sa mère est partie quand il était tout petit. Et son père s’est montré de plus en plus violent. Pourtant, James n’a jamais été quelqu’un de foncièrement violent malgré ça. Provocateur, oui. Et des fois, tant pis pour son intégrité physique… Forcément, quand on provoque jusqu’au bout, parfois il prend le risque de se faire tabasser. Mais Zelena est toujours là pour le soigner.

D’ailleurs, c’est en la fréquentant qu’il a trouvé son premier travail, quand il avait treize ans. Oui, c’est jeune… Il était devenu guetteur pour du trafic de drogue, avant de devenir dealer, dès quinze ans. Mais à dix-neuf ans, il s’enfuit avec Zelena pour New-York. Il laisse tout tomber, et franchement, c’est moins dangereux que de risquer de faire des bêtises et de se retrouver avec la mafia sur le dos. Quoique… Il en est capable même aussi loin.

Il est téméraire, je m’en foutiste, blagueur, extravagant, insouciant, tête en l’air et provocateur. Il se laisse porter par la vie, et ça lui réussit... Ou pas. Ca dépend des jours.
Dernière info utile : C’est un drogué. Café, cigarette, cannabis, et ectasy. Alcool, aussi. Mais il n'estime pas que c'est un souci, il le vit bien. Et il est hors de question qu'il touche à des drogues qu'il estime trop violentes. Celles-ci, elles sont ok.

Où ? - âge - occupation

Epic cheeseburgers come in all kinds of manifestations, but we want them in and around our mouth no matter what. Slide those smashed patties with the gently caramelized meat fat between a toasted brioche bun and pass it over. You fall in love with the cheeseburger itself but the journey ain’t half bad either.

They’re the childhood friend that knows your highest highs and lowest lows. They’ve been with you through thick and thin and they’re the best at keeping secrets. Whether it’s dressed up or informal, cheeseburgers have your back.

Sometimes we lose sight of what really matters in life. There’s something to be said for a gourmet brie and truffle burger paired with parmesan frites, but don’t let that make you forget about the ol’ faithful with American cheddar and a squishy bun. Lettuce remind you that cheeseburgers come in all forms - bun intended.

Pop quiz: what’s the greatest thing to happen to your mind, body, and soul in recent history? A cheeseburger, obviously. Cheeseburgers know that what you want can also be what you need.

Où ? - âge - occupation

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