Love isn't soft, like those poets say. ... (avec Gina)
Messages : 84
Date d'inscription : 18/04/2023
Crédits : .
Univers fétiche : Réel
Préférence de jeu : Femme
Gina
Ven 8 Nov - 21:05
< > Rafaela Dos Santos
J'ai 31 ans et je vis à New York, aux États-Unis. Dans la vie, je suis (étonnamment)collaboratrice de la police et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien, même si je n'ai pas l'habitude d'être aimée. -> Brésilienne, a grandi à Rio -> Parle couramment russe, anglais et portugais
- Tu n’as pas besoin de marquer ton territoire.
Le ton est sec, le regard ferme, et la voix maîtrisée. Les mots sortent les uns après les autres, sans laisser à Hunter le moindre espoir de plaider sa cause. En effet, même si elle a signé pour un petit-ami protecteur, poser ses limites était un besoin viscéral, impérieux… Il faut dire que, dans sa vie, l’indépendance a toujours été et demeure un principe clé ; elle se serait bien passée d’être directement définie - aux yeux de MacBest - comme la petite-amie de Wallace. Avec ou sans lui, du haut de ses 31 ans, elle est d’ores et déjà une “Madame”.
Quoiqu’il en soit, elle n’oublie par leur premier objectif, et faire de cérémonie ou attendre sa réponse, elle commence, tout en préparant un sac pour l’expédition à expliquer : - MacBest a raison, on devrait vraiment faire attention à nous. A l’époque où on créchait là-bas, on avait installé quelques pièges, au cas-où. Si sa paranoïa a vraiment empiré, Dimitri a dû en rajouter : il faudra faire attention à tout, et toujours garder l’oeil ouvert. D’ailleurs, la chasse et la forêt font partie des rares choses qui l’apaisent, donc je propose qu’on essaie plutôt de l’attirer dans les bois. Qu’en dis-tu ?
Messages : 4168
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : Moi
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Mer 13 Nov - 22:22
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
Hunter se sent mal, tout à coup. Il a l’impression d’être un homme des cavernes. C’est bien la première fois qu’il est en couple, il ne sait pas comment il peut démontrer son affection sans passer pour un petit bouffon. Il lâche un petit « désolé » penaud. Pouvait-elle imaginer qu’il tâtonne dans leur relation ? Il ne veut pas que le monde pense qu’il n’est pas à elle non plus… et il aimerait qu’elle montre sa dominance sur lui… ou sur une femme qui essayerait de l’avoir lui. Il se lève et l’aide à préparer leur affaire à sa suite. McBest à raison, même si Hunter aurait préféré trouver une solution qui n’envoie pas sa petite amie dans la gueule du loup du mec psychopathe qui veut la faire sienne. Il en a un frisson.
Même s’il l’aime, jamais il ne la séquestrera ou réagirait comme si elle lui appartenait. Cela n’aurait aucun sens pour lui. Un couple, c’est le partage non ? Des traumas mais surtout des bons moments. Il réfléchit.
- Attends attends…
Il la tourne pour qu’elle le regarde enfin. Il la tient.
- Il n’est pas question que l’on t’utilise comme appât ! C’est la seule chose qui le ferait sortir de sa tanière et tu le sais. On va trouver un moyen d’y rentrer et je le pulvériserais pour ce qu’il croit pouvoir te faire, mais on ne va pas te mettre en danger.
Il la regarde droit dans les yeux.
- Et c’est le petit ami ainsi que le flic en charge de ta protection qui dit ça ! La forêt à trop de paramètre alors que si on s’infiltre à l’intérieur, on pourra possiblement trouver un moyen de le faire sortir. Il n’a pas pu ne pas te laisser une chance de rentrer « chez vous » vue comment il est décidé à t’avoir.
J'ai 31 ans et je vis à New York, aux États-Unis. Dans la vie, je suis (étonnamment)collaboratrice de la police et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien, même si je n'ai pas l'habitude d'être aimée. -> Brésilienne, a grandi à Rio -> Parle couramment russe, anglais et portugais
Devant la mine désolée de son petit-ami, Rafaela hésite un temps ; doit-elle se radoucir ou continuer à le bouder, histoire de bien montrer sa désobéissance ? Le temps de prendre sa décision, elle décide de poursuivre son ouvrage comme si de rien n’était, comme si elle n’avait rien entendu. Cette stratégie est mise à mal lorsqu’il s’approche d’elle, la faisant légèrement sursauter, avant de la tourner.
Il y a quelques semaines, elle n’aurait jamais :laissé qui que ce soit, et encore moins un homme disposer d’elle ainsi. Il y a quelques semaines, elle avait le contrôle sur tout, tout le temps, et sans place pour l’imprévu. Mais ça, c’était avant qu’elle le rencontre.
Aujourd’hui, elle est là, plantée au milieu de cette planque paumée, à l’écouter attentivement lui interdire de se mettre en danger, comme si elle était une enfant, ou pire une femme fragile. Néanmoins, elle dompte vite ces pensées pour se focaliser sur la dernière partie de l’exposé de Hunter.
Elle aussi, elle a déjà pensé que Dimitri lui aurait laissé des indices pour retrouver le chemin de “leur” maison, mais avait abandonné cette hypothèse après la fête des mafieux : comment pouvait-il souhaiter qu’elle rentre et tenter de tuer Hunter ? A l’époque, cela ne faisait pas sens, car elle n’avait pas encore mesuré la folie de Dimitri.
A présent, tout semble plausible… et d’un coup, les pièces du puzzle se rassemblent. C’est pourquoi, comme frappée par la grâce, elle demande : - Hunter, est-ce que tu te souviens du tatouage que portait la victime tuée près du night-club ? Je crois qu’il veut que je rentre par la porte du renard, à l’arrière de la maison.
Contenu sponsorisé
Love isn't soft, like those poets say. ... (avec Gina)