Univers fétiche : Med-Fan, même si je peux jouer sur n'importe quel contexte
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Arthécate
Jeu 12 Oct - 14:07
Jane Wilson
J'ai 35 ans et je suis récemment de retour à McCall, USA. Dans la vie, je suis illustratrice et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Informations supplémentaires ici.
J'avais laissé de côté la douce contemplation des deux tourtereaux afin d'écouter ce que le jeune Max avait à me raconter sur son école. J'essayais de retenir les noms qu'il me livrait. Il y en avait certes peu, mais j'avais toujours un mal fou à enregistrer les noms de personnes que je n'avais pas encore rencontré. Je ne pus m'empêcher de sourire en l'entendant évoquer le directeur et la possibilité que ce dernier puisse être un super-vilain. Ce genre de chose ne se disait pas, il suffisait de voir la réaction de son père, mais moi, je trouvais la comparaison très amusante.
– Je remplace monsieur Lynch qui vient de prendre sa retraite. Je serais professeur d'art plastique. On se verra donc, sans aucun doute.
Un mouvement sur ma gauche attira mon attention. Cela venait des deux aînés amoureux et plus particulièrement de Larry qui s'était levé pour inviter Elizabeth à danser.
– Max, tu es un vrai petit cupidon. Regarde…
Ils étaient si mignons ces deux-là. J'aurais pu les observer durant des heures… Enfin, peut-être pas autant. Loin de moi l'idée de me montrer indiscrète.
– On dirait deux adolescents… déclarais-je en souriant. Je ne regrette pas d'être venue.
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Disney lover
Ven 13 Oct - 19:10
Adam Collins
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors de justesse. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et papa et je le vis plutôt moyen. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. Pour avoir le moins de dépenses possibles, il a un grand appart au-dessus de son gym. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents.
Max, mon fils, mon microbe
Max se faisait un plaisir d’énumérer ses professeurs, dont je ne connaissais pas la moitié. Oui bon Mme Appleton je la connaissais mais les autres c’était un peu vague. M. Lincoln était le directeur mais avant il avait été professeur et même professeur il n’était pas le plus souriant à croire que les enfants le faisaient chier mais au fond c’était un homme bon. Un peu strict mais bon. La question de Max était mignonne alors qu’il réfléchissait pour la placer dans l’école. À sa réponse, Max lui offrit le plus grand sourire de l’histoire des sourires. Il avait toujours aimé l’art plastique alors elle venait de s’en faire un allié en ce moment.
- Pour vrai vrai? Oh ouais! C’est trop cool!
M. Lynch, je pense qu’il avait enseigné à tous les gamins de McCall. Il était aimé parce qu’il avait toujours des projets super intéressants et quelque peu déjantés mais c’était ce qui plaisait aux enfants. Même moi qui n’avait pas la fibre artistique aimait son cours c’est pour vous dire! Il m’encourageait même en me disant que “Adam, l’art n’est pas de réussir à peindre un paysage comme une copie conforme. L’art c’est réussir à exprimer ce que l’on ressent.” Mais vu mes talents je devais être vachement torturé. Quand Jane interpella Max je me tournai alors que mon fils se redressa sur la banquette. Le spectacle de M. Miller et Elizabeth était tout simplement attendrissant. Ils étaient vraiment mignon ensembles! Je fis un petit sourire attendrit quand le regard illuminé et pétillant de mon fils se tourna vers moi.
- Mais je n’ai pas lancé de flèche de coeur papa… dit-il tout bas.
- Ouais euh… non c’est une expression Microbe. Parce que grâce à ta chanson, ils dansent.
Il fronça des sourcils et une autre chose du monde des adultes qu’il ne comprenaient pas totalement. Je fouillai dans ma poche pour trouver une autre pièce. Ils étaient tout simplement mignon. Max était toujours debout en les regardant alors que je tournai mon regard vers la rouquine.
- Ça fait un moment qu’ils se tournent autour… peut-être que ça prenait ta touche magique… dis-je doucement.
Sa touche magique… même maintenant je me sentais oui très content de la voir et un mélange d’émotion diverses qui allait de juste la regarder à calmer mon petit coeur qui s’accélérait au moindre de ses sourires. Je tapai sur l’épaule de Max et lui tendit une pièce et lui chuchotai à l’oreille.
- Tu penses que tu peux faire cette mission?
Comment illuminer sa petite bouille encore plus! Il se glissa de la banquette silencieusement et c’est à peine s’il ne marchait pas sur la pointe des pieds pour se rendre au jukebox. Il me fit rire tendrement et quand il arriva il se retourna vers moi. Je levai trois doigts vers lui et il se mit sur la pointe des pieds, glissa la pièce et revint tout aussi silencieusement alors que “Love me tender” commença.
- Papa… J’ai réussi ma mission. Tu penses qu’ils vont danser encore longtemps?
- J’en suis certain.
Je laissai Max grimper sur moi et les regarder par-dessus mon épaule. Mon regard remonta vers Jane et je lui fis un sourire.
- Donc si je comprends bien, tu vas rester ici? Je veux dire tu déménage définitivement à McCall?
Serait-ce ma chance d’un jour la croiser de nouveau et espérer que peut-être un jour elle et moi… Quoiqu’il se pouvait qu’elle ai un copain qui viendrait la rejoindre aussi. Je ne devais pas trop fonder d’espoir non plus. Jane était jolie, brillante et vachement rigolote alors il se pouvait qu’un homme vienne la rejoindre. Il se pouvait aussi qu’elle ne veuille rien retenter avec moi avec le bordel qu’était ma vie et surtout j’étais loin des rêves de grandeur de mes parents. Pas que j’étais un loser, j’étais même plutôt fier de mon gym et de mon boulot mais pour certain c’était quelque peu loser.
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Scarlett Thompson
Sam 14 Oct - 11:44
Elizabeth Williams
J'ai 61 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis serveuse du "Chez Carol" et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis divorcée et je le vis plutôt très bien. Elizabeth est une femme de 61 ans, divorcée depuis 12 ans. Son mari est parti de la ville juste après leur divorce, et personne n'a jamais trop connu les raisons de leur divorce. En revanche, tout le monde avait pu remarquer à quel point cette séparation avec soulagé Elizabeth. Depuis ce moment, il y a 12 ans, personne n'a jamais revu son mari à McCall... Il y a 5 ans, Elizabeth adoptait Wilson, un chat qu'elle n'avait jamais pu se résoudre à quitter. D'ailleurs, ce dernier ne la quittait pas non plus, et personne ne l'avait réclamé malgré les petites annonces postées sur Internet.
- La ville semble l’avoir un peu écorchée, mais je serais surpris qu’elle aille changer à ce point, dit-il tandis que je reportais mon regard sur lui à nouveau, tout en acquiesçant, partageant son sentiment. Vous et moi savons que nous restons les mêmes malgré les épreuves.
Cette dernière phrase me provoqua un long frisson, et je me redressais alors, perdant un peu mon sourire. Il avait raison, là n’était pas la question, mais mes souvenirs refaisaient surface d’un seul coup, m’étouffant tandis que j’essayais de m’en défaire. Il était toujours difficile de revenir sur un passé difficile, et à chaque fois, je repensais à mon ex-mari, et à tout ce qu’il m’avait fait vivre. Mon cœur se brisait à chaque fois que je me revoyais. Une scène en particulier me revenait sans cesse, celle où j’avais enfin pris mon courage à deux mains… Je m’étais regardée, un soir, dans le miroir, et je m’étais trouvée si laide que le choc fut douloureux. Ce soir-là, je m’étais rendue compte qu’il y avait deux responsables à mon état : moi, et mon ex-mari. La suite de cette fameuse soirée, je ne m’en souvenais qu’à moitié, et le médecin m’avait dit que c’était une bonne chose pour ma stabilité intérieure. Tout ce que j’en savais, c’était que j’en étais ressortie avec de nombreuses côtes cassées, des bleus un peu partout, et beaucoup de douleur, tant physique que psychologique. Je déglutissais difficilement, ce qui me prouvait que j’avais encore du chemin à parcourir…
- Elizabeth, vous êtes… rayonnante. Je voulais m’excuser de ne pas avoir répondu à vos avances. J’étais prisonnier de ma souffrance, mais je réalise que j’ai fait une bêtise, lançait-il finalement, brisant le silence qui m’avait tant terrorisée. Accepteriez-vous de danser avec moi ?
J’esquissais un sourire, et essuyais les petites larmes qui s’étaient formées dans mes yeux avant de hocher la tête. Décidément, Larry était toujours là pour venir à mon secours, même s' il n’en avait peut-être pas conscience…
- Bien-sûr, avec grand plaisir, répondais-je en levant la tête vers lui, tout en prenant sa main. Merci énormément pour cette invitation, je vous promets de faire de mon mieux pour ne pas vous écraser les pieds !
J’ajoutais cette dernière phrase avec un petit rire, tout en me levant. Le contact de ma main dans la sienne me réchauffait profondément le cœur, et je me sentais comme enveloppée par son aura bienveillante et réconfortante. Du coin de l’oeil, je voyais que Max relançait le Juke-Bok, grâce à M. Collins. J’adressais un petit clin d'œil au petit Max, avant de me reconcentrer sur Larry.
- Décidément, en plus d’être adorable, ce petit a de très bon goûts, lui dis-je avec un grand sourire.
P.S. : Désolée encore pour l'attente ! Comme certains le savent peut-être, je déménage de la France vers le Québec en décembre prochain, et ça me prend beaucoup de temps, pour toutes les démarches et recherches de logements, tout ça ! Breeeef, je risque d'être encore longue à répondre pour un certain temps, mais promis, je vous réponds au mieux !! <3
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Dracoola
Dim 22 Oct - 22:40
Larry Miller
J'ai 65 ans et je vis à McCall, États-Unis. Dans la vie, je suis retraité et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis veuf et je le vis plutôt pas bien.
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Sur le bord de mon cœur
y avait une chanson
Ma phrase semblait l’avoir touchée. Ses yeux s’étaient voilés et ses épaules semblaient tendues, comme si elle était submergée par une vague déferlante de souvenirs douloureux. La mémoire était une chose merveilleuse, elle me permettait de revoir ma Ruth durant ses plus beaux jours. Or, c’était cette même mémoire qui hantait mes nuits. J’entendais les sons mécaniques du moniteur attaché à son lit. Je la voyais avoir du mal à mâcher une bouchée de pain. Elizabeth avait ses démons et visiblement ceux-ci étaient très présents. Son regard était ourlé de perles de tristesse et je me demandais si justice était possible pour les gens comme elle. Ces femmes qui avaient souffert de la violence des hommes pouvaient-elles encore aimer ? Pouvaient-elles encore faire confiance ? Je voulais prendre sa peine sur mes épaules. L’aider à reprendre son souffle et peut-être plus si elle m’en donnait la chance. Je n’avais pas grand-chose, une moitié de ma vie s’était évaporée suite au départ de ma femme. Toutefois le peu que j’avais j’étais prêt à le partager avec elle. Je m’étais levé et dans un élan de courage je l’avais invité à danser. Et son sourire avait retrouvé le chemin de ses lèvres. Elle avait accepté mon invitation et enchanté, je la traînais jusqu’au centre de la piste. J’avais ri devant sa promesse de ne pas m’écraser les orteils. Je n’étais pas moi-même le plus habile des danseurs, mais je me débrouillais. Les mains sur ses hanches, je lui souriais avec tendresse lorsqu’elle mentionnait le petit Max. Sacré petiot, j’avais comme idée qu’il était de mèche avec son papa. Mais je ne pouvais pas leur en vouloir, après tout c’était leurs machinations qui nous avaient amenés à danser. Je bougeais au rythme de la musique, guidant ma partenaire avec douceur et savourant l’instant. Il y avait longtemps que mon cœur n’avait chanté une aussi belle mélodie. Je faisais tourner ma compagne et je souriais largement complètement chamboulé par sa beauté. C’était comme si la planète avait cessé de tourner pour nous deux. Il n’y avait qu’elle et moi, le reste importait peu.
LA MORT DES AMANTS
Usant à l'envie leurs chaleurs dernières | Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux | Qui réfléchiront leurs doubles lumières | Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. | FRIMELDA
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Arthécate
Lun 23 Oct - 9:53
Jane Wilson
J'ai 35 ans et je suis récemment de retour à McCall, USA. Dans la vie, je suis illustratrice et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Informations supplémentaires ici.
Je ne pus m'empêcher de sourire, attendrie par la vision des deux amoureux comme celle du petit garçon joyeux, content de pouvoir apporter sa jolie contribution. J'étais vraiment heureuse d'être rentrée chez moi et de pouvoir assister à autant de joie quelques minutes à peine après mon arrivée. McCall m'avait manqué, pour de très nombreuses raisons. L'une d'elle se trouvait assise en face de moi, les autres… Je les retrouverai bien assez tôt.
–Donc si je comprends bien, tu vas rester ici? Je veux dire tu déménage définitivement à McCall? me demanda-t-il. – Je ne sais pas si c'est définitif. Pour l'heure, j'ai signé un contrat de six mois renouvelable. Je verrai bien le moment venu. rétorquais-je en souriant.
Cela faisait bien longtemps que l'avenir ne m'importait plus. Je me contentais généralement de me focaliser sur le présent, même s'il m'arrivait encore, de temps à autre, de lancer quelques regards sur le passé.
– Je vais déjà essayer de me trouver un logement correct. C'est le plus compliqué avec les petites villes. Il n'y a pas tant de logements à louer. Heureusement, McCall possède un hôtel. C'est déjà pas mal en attendant de trouver mieux.
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Lun 6 Nov - 6:30
Adam Collins
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors de justesse. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et papa et je le vis plutôt moyen. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. Pour avoir le moins de dépenses possibles, il a un grand appart au-dessus de son gym. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents.
Max, mon fils, mon microbe
Larry et Elizabeth étaient beaux à voir et même attendrissant. Max les regardant debout sur la banquette ceci pu me donner le temps de parler à Jane. Donc si elle était revenue pour travailler à l’école c’est qu’elle déménageait définitivement non? Bon six mois c’était déjà ça mais rien ne dit qu’elle ne renouvellera pas son contrat, qui n’aimaient pas Jane? Enfin du souvenir que j’avais. Donc ce trouver un logement était déjà un bon point de départ, puis M. Miller lui avait déjà donné une bonne piste avec Clara la fleuriste.
- Si tu as besoin d'un coup de main, fais-moi signe. Je pourrais t’aider.
On discutait un peu encore un petit moment. On réussit même à parler un peu avec Larry et Elizabeth mais à voir les petites étoiles dans leur regard, on comprit rapidement qu’on était un peu de trop. Puis de mon côté j’avais une magnifique excuse de cinq ans à aller baigner et coucher. Max toujours aussi joyeux salua tout ce beau monde et on remonta le trottoir pour retourner à la maison.
Les semaines s’étaient écoulées lentement comme le flot d’une rivière. Max avait recommencé l’école, Cheryl était revenue m’empêchant de voir mon fils pour mieux repartir ensuite. J’en avais marre de voir Max sans cesse déchiré et d’avoir la trouille de ne plus me voir. Donc oui j’avais réussi à avoir un rencard avec Jane. qui c’était résulté en une pause pour préserver Max. Cependant cette pause je l’avais vachement mal prit étant assuré que la rouquine avait vu le bordel qu’était ma vie, ne reviendrait pas. Je m’étais royalement trompé! Max m’avait demandé pourquoi Jane n’était pas mon amoureuse et une lettre de ma part et une réponse de Jane quelques jours plus tard apportée par le petit Cupidon en chef. J’avais couru de mon gym à la place centrale pour l’embrasser là, devant tout le monde me foutant bien de qui était là. Je me foutais bien de ce qui se dirait le lendemain. Toujours est-il qu’avec Jane on avait décidé d’aller au parc avec Max et descendre le trottoir, main dans la main, pour aller manger Chez Carol. La seule exigence de Max: Manger au long comptoir au tabouret qui tourne. C’est donc en descendant le trottoir, comme je disais, Max devant sautant par-dessus les lignes de trottoir et ce jusqu’à la porte. Max entra avec son joyeux bonjour et je le pris pour le hisser sur le tabouret.
- Bonjour Elizabeth! Max se tourna vers Larry tout sourire, Oh bonjour M. Miller. Tu ne joue pas aujourd’hui?
Je me glissai sur un banc moi aussi, et sourit a Larry et Elizabeth.
- Bonjour à vous deux, ça fait plaisir de vous voir. Comment allez-vous?