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LE TEMPS D'UN RP

Help me, He's gone !

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Ven 15 Sep - 19:43

Jacob Reyes
J'ai 38 ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis marié et je le vis plutôt mal.

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« La question serait plutôt pourquoi vous vous obstinez à refuser mon aide ?! » rétorqua-t-il tout en se redressant sur ses jambes, laissant Victoria se relever seule. Il ne souhaitait pas qu’elle se saisisse de son arme ou encore qu’elle le gratifie d’un joli coup dans la mâchoire parce qu’elle aurait considéré son geste comme déplacé. Au lieu de ça, il la menotta le temps de son absence à l’hôpital, ainsi que pour toute la durée du trajet jusqu’à l’adresse de la jeune femme. Victoria lui demander de lui ôter les menottes, pour des questions de discrétions, mais ça souleva également des interrogations chez le lieutenant qu’il évoqua à voix haute « Vous pourriez aussi me mentir » alors qu’elle le prenait réellement pour le couteau le moins aiguisé du tiroir en cet instant. Un froncement de sourcils et se pencha dans sa voiture pour tenter de discerner un visage derrière les fenêtres des maisons avoisinantes, ou encore tapi derrière un rideau. Il finit par défaire les menottes des poignets de la jeune femme « J’avais compris », rétorqua-t-il alors qu’elle lui demanda de se montrer discret. C’était aussi dans son intérêt d’être discret. Il la suivit jusqu’à la maison de cette dernière, typique des quartiers défavorisés de Miami. Il la talonna alors que la latine avançait bien plus hâtivement que lui. Pour sa part, il observait les alentours, avant de pénétrer dans la demeure de cette dernière.

A peine fût-il entré que Jacob demanda à la jolie brune d’ôter ses vêtements. La formulation de sa phrase laissa Victoria perplexe et il précisa « Pas entièrement », comme si c’était ce qui allait faire la différence. Il suivit ensuite son regard sur son alliance qu’il fit tourner entre son pouce et son index, tout en émettant un petit rire « Je ne lui dit plus grand-chose à ma femme ». Son mariage battait de l’aile, et il n’était pas certain de se souvenir de la dernière fois où ils avaient fait l’amour. Il passait le plus clair de son temps à la brigade, ou lorsqu’il avait la chance de rentrer au domicile conjugal, c’était pour passer ses nuits sur le canapé, alors que Sharon se confortait dans l’idée qu’il avait une liaison avec sa coéquipière. Jacob releva son regard sur la jeune femme en la rassurant sur le fait qu’il était un ancien chirurgien, et que de ce fait, il ne lui ferait aucun mal. Un petit sourire étira les lèvres de ce dernier, appréciant sa perspicacité et souffla un « Bien ». Il considéra cela comme une invitation à rester, et peut-être à panser ses plaies. Il se dirigea donc vers la cuisine pour se nettoyer soigneusement les mains, et jeta un coup d’œil en arrière, à l’attention de Victoria qui trouva pertinent de lui préciser où se trouvait les choses. Une manière comme une autre de lui rappeler que tout était à sa place et organisé. Il acquiesça, et prit le temps de se laver soigneusement les mains. Il les essuya sur le torchon à proximité, sans déplacer quoi que ce soit, et revint vers la maîtresse de ces lieux.

Les sourcils au milieu du front, Jacob posa ses mains à hauteur de sa ceinture « Je le saurais et ça me dérangerait. J’ai prêté serment il y a quelques année, alors laissez-moi l’honorer ». Comme s’il craignait d’être condamné pour non-assistance à personne en danger. Cela lui importait peu. Ce qui n’était pas le cas de l’état de santé de cette dernière. C’était ça, sa préoccupation première. Il resta à proximité, puis l’observa se précipiter jusqu’à la salle de bain. Un soupir tout en levant la tête au plafond, soufflant un « Les femmes ! ». Toutes aussi butées l’une que l’autre ! Il la suivit jusqu’à la salle de bain, son épaule contre l’encadrement de la porte et la laissa expliquer son absence pour les jours à venir à ce qui semblerait être son employeur. Lorsqu’elle eut raccroché, il s’accroupit face à cette dernière « Vous n’allez pas bien. Alors je ne vous laisse plus le choix dorénavant ». Il la souleva du sol, et la ramena jusqu’au canapé, et lui retira son haut « Je sais que vous n’avez aucune confiance en moi, mais il faudra faire un effort là ». Il déposa proprement le haut à ses côtés, et enfila une paire de gant, avant de procéder aux premiers examens.


Charly
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Charly
Ven 15 Sep - 21:24

Victoria Ruiz
J'ai 33 ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis femme de ménage et nounou, histoire de joidnre les deux bouts et je m'en sors comme je peux. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt mal.

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« -vous m’avez plaqué au sol une fois, j’ai pas vraiment envie de revivre l’expérience merci. » avait répliqué la jeune femme. Non, elle ne mentait pas. Oui, elle habitait là. Elle lui demanda, enfin non, lui ordonna d’être discret. Sa voisine était une gentille petite vielle, mais elle avait la langue bien pendue. Sans compter qu’elle adorait Roberto qui lui tendait sa pelouse le samedi. « -ah ba oui, comme ça, c’est tout de suite moins flippant. » railla la jeune femme. « -ba forcement si vous dites ça à toutes les femmes que vous croisez… » elle pouvait comprendre sa femme. Sans compter la co équipière qui lui faisait du gringue. Mais en réalité, ce n’était pas les affaires de Vic. Il faisait ce qu’il voulait avec qui il voulait. C’était seulement horrible et surtout très triste puisqu’il était marié. Autant divorcer non ? Même si d’un point de vu religieux c’était bof…

Une fois assise sur le canapé, à tenter au mieux de contenir sa nausée, et la douleur, Vic lui demanda de la laisser. Que c’était pas grand-chose, qu’elle irait mieux demain. En réalité plus les heures passaient, plus elle se sentait mal. D’où l’idée d’aller dormir rapidement. La nausée fut plus forte et elle se retrouva penchée au-dessus de la cuvette des toilettes, à hurler sa douleur en vomissant. Elle avait une côte de cassé… pourquoi ça lui faisait aussi mal. Chaque respiration était une horreur. Elle décida qu’il était temps de prévenir qu’elle serait incapable de garder Oscar. De plus, elle ne voulait pas que la famille vois son visage. Elle allait passer pour quoi ? Vic ouvrit les yeux et pencha la tête sur le côté, toujours appuyé contre le mur. « -ok ça va, je vais pas bien. » avoua la jeune femme en ravalant sa fierté. Elle se leva avec difficultés, non sans l’aide de Reyes. Elle eut un mouvement de recule quand il lui souleva son haut. Alors elle regarda ailleurs.

« -faites vite et bien et ça ira. » avait elle répondu toujours en regardant ailleurs. Elle grimaça lorsqu’il toucha son abdomen. « -ok… j’ai mal quand je respire trop fort. Et là où vous venez d’appuyer. » autant l’aider ça irait plus vite. Elle tourna la tête pour regarder ce qu’il avait dans son sachet. « -vous avez des anti douleur ? Un somnifère aussi et ça ira. » elle n’en démordait pas. Ça allait passer. Dans le genre têtu elle se posait là, Vic le savait. Elle réprima un cri alors qu’il venait de lui faire mal. « -j’ai mal de partout. » souffla-t-elle. Après tout, elle avait prit des coups de pieds… Logique que son corps soit douloureux non ? « -Carlos Herera. » finit elle par lâcher. Elle regarda Reyes. « -vous m’avez demandé un nom tout à l’heure. Le voilà. » elle voulait penser à autre chose qu’à ses doigts sur sa peau meurtrie. Et elle enchaina avec un: "-qu'est ce qui va pas avec votre femme?"

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Sam 16 Sep - 12:02

Jacob Reyes
J'ai 38 ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis marié et je le vis plutôt mal.

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Victoria ne semblait pas vouloir réitérer la petite altercation du parking devant l’hôpital en tentant de se dérober à sa surveillance une fois encore. Jacob acquiesça donc d’un signe de la tête pour seule réponse, et décida de lui faire confiance lorsqu’elle lui confia qu’elle vivait ici. Il la suivit jusqu’à sa maison de quartier, et nota que tout avait une place entre ces murs, puis se concentra sur la maîtresse des lieux, lui demandant de se déshabiller « Je n’ai pas d’autres manières de vous demandez de retirer vos vêtements pour que je puisse vous ausculter ». Elle allait donc devoir faire avec sa maladresse. À sa remarque concernant sa femme, Jacob la détrompa sur ce point. Il ne lui demandait pas de se déshabiller. En fait, ils ne communiquaient plus vraiment depuis plusieurs mois maintenant « Et vous fondez votre jugement à mon encontre sur quoi ? Je suis latino, j’ai donc le sang chaud et je trompe ma femme à chaque coin de rue ? ». Ou peut-être était-ce seulement dû au fait qu’il était un homme, et que c’était bien connu, ils n’étaient pas particulièrement fidèles en amour. « Je trouve que pour quelqu’un qui ne veut pas qu’on range les gens dans des cases préétablies, vous l’avez fait rapidement avec moi » renchérit-il avec un sourire à l’attention de cette dernière. Le lieutenant la laissa prendre place sur le canapé, alors que Victoria pensait que le repos pouvait soigner tous les maux du monde, et ne quitta pas les lieux pour autant. Il ne pouvait pas la laisser seule en toute connaissance de cause. Il patienta et ce qu’il craignait se produisit. Jacob l’observa se précipiter jusqu’aux toilettes pour vider le peu que contenait son estomac, et il décida de venir jusqu’à elle. Elle finit par abdiquer en lui confiant qu’elle n’allait pas bien « Je vais m’occuper de vous » souffla-t-il en l’aidant à se relever et la ramena sur le canapé.

« Vous me dites encore comment faire mon travail. Ça devient une habitude ». Quand ça n’était pas sa manière de gérer l’enquête sur la disparition de son petit-ami, c’était sur sa manière de gérer les soins qu’il prodiguait. Il commença par son abdomen, parce que c’était ce qui l’inquiétait le plus en cet instant et Victoria confirma ses craintes. Silencieux, Jacob poursuivit son inspection, et releva son regard sur elle « Vous pourriez juste… Vous taire et me laissez m’occuper de vous correctement ?! ». C’était dingue qu’elle soit si impatiente sur tout. Un regard de nouveau pour la jeune femme, et fronça les sourcils en entendant un prénom et un nom sortirent de sa bouche comme un cheveu sur la soupe, et elle lui précisa que c’était le nom qu’il voulait entendre tout à l’heure « Merci », et poursuivit son auscultation en prenant soin de ne rien laisser passer, puis fronça les sourcils en esquissant un sourire « Vous êtes curieuse. Redressez-vous » et observa son dos tout en répondant « Elle pense que j’ai une liaison avec ma coéquipière » et précisa avec aplomb « Ce qui n’est pas le cas. Je n’ai jamais trompé ma femme. Seulement… Je lui ai promis une belle vie, et finalement au lieu d’épouser un chirurgien, elle a épousé un flic qui n’est jamais présent » et posa sa main sur l’épaule pour la faire s’allonger de nouveau avec douceur « Vous avez une côte brisée, je vais donc vous faire un bandage pour la maintenir au mieux » et s’afféra calmement et posément à lui prodiguer les premiers soins « Je ne sais pas comme renouer avec ma femme, alors on se supporte jusqu'au jour où l'un de nous demandera le divorce... ». Il lui sourit avec une certaine tristesse, puis ajouta « Comment vous vous sentez ? Ce n’est pas trop serré ? » alors qu’il faisait le tour de son abdomen avec le bandage.

Charly
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Charly
Sam 16 Sep - 14:27

Victoria Ruiz
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« -ba déjà, avec un s’il vous plait ça passe mieux. Et en précisant que c’est pour m’ausculter et non plus me violer. » une grimace ironique, le prenant pour un con encore une fois. C’était pourtant logique non. La politesse, ça faisait chier, mais ça ouvrait bien des portes. Elle l’avait très vite appris. « -je le suis aussi au cas où vous ne l’auriez pas remarqué. » avait-elle répliqué comme pour lui dire qu’il racontait de la merde encore une fois. Elle le dévisagea. Il avait raison. Elle le jugeait. Elle le jugeait sur ce geste de sa coéquipière qu’elle avait trouvé déplacé, encore plus parce qu’il était marié. Elle le faisait simplement parce qu’elle était en colère contre lui. Parce qu’il avait une gueule de bois monstrueuse la dernière fois qu’ils s’étaient vu, parce qu’il lui proposait son aide et quelle ne servait à rien. Roberto était toujours introuvable, et même si elle s’était fait casser la figure ce soir, Vic avait obtenue plus de réponse que Reyes en deux semaines.

Ce fut douloureux à admettre, mais oui, là elle devait se faire une raison, elle n’allait pas bien. Alors… alors elle décida d’accepter l’aide qu’il proposait. C’était visiblement gratuit et il avait été médecin. Alors… elle détourna les yeux pendant qu’il touchait son abdomen. « -et vous faites que râler à longueur de temps. » avait elle répliqué comme une évidence. Elle demanda des anti douleurs. « -pourquoi, vous savez pas réfléchir quand y’a du bruit ? » elle était loin d’être tendre avec lui, elle en était consciente. Mais elle ne l’était pas avec grand monde, surtout lorsqu’elle ne connaissait pas. Et puis il était flic. Alors ça n’aidait pas. Pour lui faire plaisir elle la ferma quelques minutes. Mais elle finit par lui donner un nom. Il arriverait peut-être à trouver quelque chose avec ça. « -j’essaie d’être sympa… » avait elle répondu après la question sur sa femme, tout en grimaçant en se redressant.

Dos à lui, elle pencha la tête sur le côté devant l’évidence de ce que pouvait penser sa femme. « -je me suis dis la même chose en vous ayant vu avec elle, seulement trois minutes… » ba quoi, autant dire la vérité. « -et c’est là-dessus que je me basais tout à l’heure. Sur l’espace de caresse qu’elle a fait en vous touchant le bras. » Oh, il n’avait pas couché avec… et bien à voir comme ça, sa coéquipière en mourrait d’envie. Les hommes ne voyaient rien… « -ce n’est pas parce que vous avez un job prenant que vous ne pouvez pas lui offrir une belle vie. » renchérit Vic avant de laisser passer un grognement en se rallongeant. Finalement parler l’aidait à ne pas penser à son mal de tête, et au reste de la douleur qui irradiait son corps. « -chier… » souffla la jeune femme lorsqu’il lui donna la nouvelle. Elle s’en doutait un peu mais bon… Vic le laissa faire tout en l’écoutant. « -vous avez essayer de lui parler au moins ? » demanda Vic qui ne le trouvait pas des plus doué pour ça. « -je peux plus respirer mais ça va… » souffla Vic avant de tourner la tête vers lui et de lui sourire. D’un vrai sourire. « -ça peut pas être plus douloureux. » avait elle ajouté avec bien plus de gentillesse. Le type lui parlait de son mal-être et de son probable divorce, elle était incapable de jouer les pestes encore longtemps. « -mais du coup, vous avez des anti douleur ? » demanda la jolie brune avec plus de sérieux.


Manhattan Redlish
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Sam 16 Sep - 15:11

Jacob Reyes
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Jacob oubliait presque qu’il pouvait se montrer maladroit avec les mots et se mit à sourire en entendant Victoria lui prodiguer des conseils avisés sur sa manière de s’adresser à elle. Il les mit aussitôt en application « Pourriez-vous vous déshabillez pour que je vous ausculte, et non pas pour vous violer » et renchérit, corrigeant ainsi la jeune femme « Au fait, les hommes ne s’y prennent pas ainsi pour violer leurs victimes ». Les demandes n’étaient rarement aussi polies que la sienne, aussi maladroite avait-elle pu être. Il avait reçu plusieurs fois des femmes à son bureau pour recueillir leurs témoignages, et ça avait été toujours violent, parfois soudain, parfois prévisible, mais la peur les paralysait. Alors Victoria pouvait être rassuré, il n’était pas un prédateur sexuel. Ou autre. Elle était en sécurité avec lui, même si elle en doutait très certainement. Cela ne l’empêcha pas pour autant d’émettre un jugement de valeur à son encontre « Vous me l’apprenez » rétorqua-t-il sur un ton ironique. Bien sûr qu’il était au courant qu’elle était issue d’Amérique du Sud également. Son nom n’avait laissé planer aucun doute. Ce fut la douleur qui finit par faire abdiquer la jeune femme, qui accepta son aide. Jacob renoua donc avec son ancien métier, auscultant soigneusement Victoria allongée sur le canapé.

La douleur ne parvenait pas à faire taire cette dernière qui y alla de son commentaire sur son travail, une fois encore et il se chargea de le lui faire remarquer. Cela ne fut pas au goût de Victoria au vu de sa réponse « Vous m’y contraignez à réagir ainsi ». À son habitude, le lieutenant ne maugréait pas autant, mais Victoria avait la mauvaise manie à l’irriter à sa manière. Il posa son regard sur cette dernière, puis se mit à sourire « On a qu’à dire que je suis un homme et que je ne suis pas capable de faire deux choses à la fois ». Il se montrait presque sarcastique, mais la jolie brune commençait à l’exaspérer quelque peu. Contre toute attente, Victoria décida de se montrer curieuse à l’encontre de sa vie sentimentale, ou de ce qu’il en restait néanmoins. Il répliqua un « Ok ! Ok ! » et lui répondit sans rien cacher aux difficultés rencontrées par son couple. La vie à deux était loin d’être un long fleuve tranquille. Jacob resta quelques secondes à fixer silencieusement la jeune femme qui lui confia que les mêmes pensées que Sharon lui avait traversées l’esprit en les voyant l’un avec l’autre. Cette main sur son bras. Ce n’était qu’un geste tactile parmi tant d’autres qu’ils s’autorisaient, et finit par avouer « On flirte de temps à autre, mais rien de bien méchant. Je connais les limites » et il n’était pas un homme infidèle. Seulement… Mia était différente. Elle était attirée par lui, un jeu de séduction s’était peu à peu instauré entre eux, et à défaut d’avoir la même complicité avec son épouse, il la trouvait avec sa coéquipière.

Tout en poursuivant les soins, il poursuivit également ses explications concernant son mariage qui battait de l’aile depuis trop longtemps maintenant « C’est difficile quand vous rentrez tard le soir et que vous constatez qu’elle est déjà couchée, et qu’elle vous laisse le canapé pour passer la nuit » et souffla un « Doucement » alors qu’elle grogna sous la douleur alors qu’il l’invita à se rallonger sur le canapé. C’était surprenant à quel point leur entente venait de prendre un tournant brutal et radical. Il y a encore une heure ou deux, elle tentait de s’enfuir de sa voiture, et maintenant, elle l’aidait dans sa relation avec Sharon « Oui, mais elle ne veut rien entendre. Elle… Elle n’a pas confiance en moi ». Un triste constat alors que Jacob savait qu’il n’avait pas été infidèle. Il l’interrogea sur le bandage « C’est l’objectif. Je tente de me débarrasser de vous » et lui rendit son sourire, réel et sincère. C’était agréable de voir que la hache de guerre était enterrée pour le moment « Si… Mais on va faire en sorte que ça ne le soit pas » et se concentra sur le visage de cette dernière, baissant son regard pour croiser les prunelles de Victoria « Vous êtes têtue dans votre genre. Oui, j’en ai Sherlock ! » et termina de désinfecter les plaies, passa de la pommade sur ses ecchymoses et referma les plaies avec des strips. Il retira ses gants, prit place sur le rebord du canapé et ajouta « Je vais rester ici cette nuit pour vous surveillez, pas pour vous violer » et appuya sur ce dernier mot, faisant écho à sa remarque préalable « Je partirais demain matin à la première heure. Faut seulement que… que j’appelle ma femme ». Ce qui n’allait pas être une mince affaire.


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Sam 16 Sep - 15:49

Victoria Ruiz
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« -moi je vous contrains ? » s’amusa Vic. Non mais alors là, elle aurait tout entendu. « -je vous ai pas demandé de m’aider, de jouer les baby sitter ou les gardes du corps. Si vous êtes ici à vous faire chier à avec moi, c’est parce que vous l’avez décidé. Alors dites pas que c’est ma faute. » non mais sérieux ?! Il faisait que ça râler ! Et pas seulement ce soir ! « -ah oui, vous marquez un point-là. » grimaça Vic en entrant dans son jeu. Elle n’allait surement pas le contre dire là-dessus. La jeune femme décida de revenir sur le sujet couple à la dérive. Elle n’avait aucun conseil à donner, mais elle restait une femme. Une femme amoureuse. Pas encore marié, certes. Mais toute de même. « -limites ou pas, jalousie ou pas, je suis votre femme, je vois ce geste, je sais que vous passez du temps avec elle en dehors du boulot et que y’a des choses tendancieuses, forcement je vous fais pas confiance et vous dormez sur le canapé. Quoi que vous disiez pour vous défendre. » oui, elle prenait le parti de sa femme. « -vous vous êtes marié et fidèle. Mais votre coéquipière, elle a rien à perdre. Et… » elle se pinça les lèvres. Mais ne termina pas sa phrase. Encore une fois, elle allait porter un jugement.

« -je me doute. Mais vous prenez le temps d’en reparler après ? Ou vous repartez bosser directement ? » ce genre de chose lui était déjà arrivé avec Roberto. Latino, sang chaud. Oui Reyes avait raison. Son petit ami avait passé la nuit sur le canapé, au matin, ils s’étaient prit la tête comme pas permis. Elle lui avait même envoyé ses chaussures dans la figure à travers la pièce. Le tout en criant dans sa langue d’origine. Les voisins avaient tout entendu. Roberto avait d’abord dit que ce n’était rien, qu’elle se faisait des films. Et puis il avait compris qu’il l’avait blessé. « -vous l’aimez encore ? » demanda-t-elle alors avant de faire un pointe d’humour été de lui adresser un vrai sourire. « -ah… faudra serrez plus fort alors… » avant de revenir sur les anti douleur. « -quoi ?! Si vous avez de quoi faire baisser la douleur, je veux bien les prendre ! Volontiers même ! » répliqua Victoria. « me voilà rassuré. » marmonna la jeune femme. « -écoutez Reyes… » rien à foutre du grade. « -restez pas ici pour moi. Rentrez chez vous. Prenez une douche et allez vous couchez avec votre femme. Vous vous collez dans son dos, vous embrassez son cou encore, encore et encore… et elle va finir par céder. » elle lui adressa un petit sourire, même si elle avait mal et qu’elle souhaitait se coucher. « -par contre assurer au pieux après hein… » comme si ça ne lui était pas venu à l’esprit.

Elle se leva en grimaçant de plus bel. « -ne cherchez pas. Rentrez. » elle le poussa gentiment vers la porte. « -ça va aller. Donnez moi juste ces putain d’anti douleur. » Elle promis de lui dire comme elle allait, et surtout si jamais ça n’allait pas. Quelques minutes plus tard, elle le foutait à la porte de chez elle. Quelques minutes plus tard, elle se nichait dans les draps de son lit. Après avoir prit les cachets, elle sombra rapidement dans un lourd sommeil. Deux jours plus tard, elle était toujours dans son lit, avec une fièvre de fou. Elle tremblait, suait, délirait. Bien entendu, elle n’avait pas envoyer le moindre message à Reyes. Quelques heures après qu’il soit parti, elle s’était mise à hurler. Une douleur fulgurante lui avait poignardé le bas ventre. Cette douleur elle la connaissait pour déjà l'avoir enduré une fois, bien plus jeune. C'était une fausse couche. ça arrivait. Pourtant cette fois-ci, lorsqu'elle s'était levée pour mettre les draps du lit à laver, un immense chagrin l'avait envahit. Elle venait de perdre le bébé de Roberto.
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Sam 16 Sep - 16:24

Jacob Reyes
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Les sourcils au milieu du front, Victoria lui reprochait de maugréer constamment à son contact, et tenta d’amenuir ses propos en lui rappelant qu’elle était l’unique cause à une telle réaction. C’était elle qui le poussait dans ses retranchements et qui le poussait à réagir ainsi. La jeune femme ne considérait pas être en tort, lui rappelant qu’il était à l’initiative de cette aide qui lui apporta, et il constata que c’était un réel quiproquo qui était en train de prendre forme entre eux en cet instant « Je ne parle pas de ma présence ici. C’est votre caractère à chaud qui m’oblige à râler constamment ! Je suis d’un naturel patient à mon habitude », et pas le genre à maugréer de la sorte au moindre comportement ou remarque déplaisante. Victoria avait seulement un talent certain pour mettre en exergue quelques aspects de sa personnalité bien enfouis. Par la suite, il lui demanda de se taire afin qu’il puisse se concentrer sur son auscultation, et une fois encore, elle trouva à redire. Jacob entra donc dans son jeu, à sa manière et elle en fit de même « Donc maintenant, taisez-vous ». Ce qu’elle ne fit pas bien longtemps, parce qu’ils en vinrent à évoquer son mariage qui battait de l’aile depuis des mois, sans qu’ils parviennent, l’un et l’autre, à trouver une issue à cette situation. Jacob se livra sur les difficultés qu’il rencontrait, sur sa relation avec sa coéquipière également et qui mettait en péril sa relation avec sa femme. Le point de vue purement féminin de Victoria l’intrigua et à ses yeux, peu importe qu’il ait franchi la limite, son comportement trahissait une certaine attirance qu’il pouvait éprouver pour Mia, et inversement. Toutefois, le lieutenant appréciait ce petit jeu qui s’était instauré entre lui et sa coéquipière. Seulement, il n’avait pas mesuré l’impact que cela pourrait avoir sur son mariage « Parfois on a seulement envie de se sentir désiré, et c’est le cas avec Mia. C’est agréable. Ce qui doit compter, c’est que je ne l’ai jamais embrassé ou quoi que ce soit d’autres ». Il fronça les sourcils alors que Victoria ne termina pas sa phrase « Et ? ». Il voulait connaître le fond de sa pensée.

« Vous voulez dire au petit-déjeuner ? » et se mit à réfléchir, et avoua « Non. Je repars travailler. Parce que c’est une conversation stérile à chaque fois que je fais une tentative » et qu’il était fatigué de se battre contre des moulins à vent. Parfois, il avait l’impression que Sharon voulait qu’il avoue qu’il avait une liaison avec Mia, même si c’était nullement le cas. Seulement pour lui donner raison, pour mettre fin à ses doutes, même si c’était de manière brutale. Mais il ne voulait pas lui mentir. La question que posa Victoria le laissa interdit quelques secondes, et il se mit à réfléchir, puis souffla un « Je ne sais plus vraiment. Je pense, oui ». Mais il n’était pas capable de l’affirmer textuellement. La distance qu’elle leur imposait n’était pas sans conséquences sur leur relation, sur l’amour qu’ils pouvaient se porter. Loin des yeux, près du cœur. C’était l’expression, mais en agissant ainsi, sa femme lui avait donné un sens nouveau. Près des yeux, mais loin du cœur. Jacob émit un petit rire en entendant le commentaire de cette dernière. Elle se détendait à son contact « Je savais que j’avais oublié un truc » et la rassura sur le fait qu’il avait des antidouleurs à lui fournir par la suite pour estomper la douleur, et ainsi lui permettre de dormir également « Quand j’aurais terminé » et laissa apparaître un petit sourire sur ses lèvres, avant de la corriger « Jacob ». Pas besoin de l’appeler par son grade ou son nom de famille. Pas après la conversation qu’ils venaient d’avoir. Dressé au pied du canapé, il l’observa lui prodiguer des conseils avisés sur la manière dont il devait renouer avec sa femme et se mit à sourire, puis à rire « Je vais faire au mieux ».

Jacob lui confia la boite d’antidouleurs et lui rappela qu’elle avait son numéro de téléphone si c’était nécessaire, et quitta la maison tel que demandé par la jeune femme. Il roula jusqu’à l’appartement, et au vu de l’heure tardive, il ne fut pas surprit de constater que le domicile était plongé dans le noir total. Il se délecta d’une longue douche chaude, et ne prit pas la peine de se vêtir à l’issue, qu’il se glissa sous les draps aux côtés de Sharon « Jacob… S’il te plaît… » « Chut » souffla-t-il et vint glisser sa main jusqu’à la féminité de cette dernière alors qu’il embrassa son cou avec envie, et lui murmura « Tu me manques ». Il sentit la main de cette dernière se poser sur la sienne, la conduisant un peu plus en elle, gémissant de plaisir. Elle l’accepta dans le lit qu’ils avaient partagé durant des années, et savoura leur étreinte, puis une seconde fois au petit matin, avant même que le réveil ne retentisse. Deux jours plus tard, son poing s’abattit contre la porte d’entrée de la maison de Victoria. Son silence inquiétait le lieutenant qui craignait le pire, alors qu’il rétorqua « C’est Jacob ! Victoria. Ouvrez, s’il vous plaît ! ».


Charly
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Charly
Sam 16 Sep - 17:35

Victoria Ruiz
J'ai 33 ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis femme de ménage et nounou, histoire de joidnre les deux bouts et je m'en sors comme je peux. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt mal.

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« -et bien rassurez-vous, je ne suis pas une chieuse à temps plein. » c’était sa faute. Il avait un certain don pour l’agacer. Elle l’imaginait patient, c’était ce qu’elle avait pu voir lors de leur première rencontre. C’était elle qui l’avait été bien moins depuis… Pour éviter de trop penser à la douleur, elle relança le sujet du mariage de Reyes. Ce n’était pas de la curiosité mal placée. Seulement éviter de penser à sa propre condition actuelle. « -vous avez pensé à ce que peux éprouver votre femme ? » une grimace parce qu’il venait de lui faire mal. « -vous vous êtes mis à sa place quelques secondes ? » Roberto n’appréciait pas qu’un homme regarde Vic. Ça pouvait même le faire devenir violent. Mais de son côté, elle détestait lorsqu’une femme lui tournait autour ou lui faisait de l’œil. « -sincèrement, si j’étais votre femme, je me sentirais très mal. Blessée. Et forcement en colère. » elle ne termina pas la phrase suivante. Et forcement il demanda : « -et je trouve ça dommage que votre collègue joue le jeu. » voilà c’était dit : « -hé oui je sais, je la juge. » pas la peine qu’il lui dise. « -elle est célibataire je suppose. Elle n’a rien à perdre elle… » lui par contre.

« -oui après lui avoir laissé le temps de boire un café bien sûr. » s’amusa la jeune femme. « -alors ne parlez pas, agissez. » elle lui demanda s’il aimait encore sa femme. « -vous devriez y réfléchir. » elle se prenait pour qui pour lui donner autant de conseil sur son couple ? Sa femme était peut-être une connasse après tout ! « -ok… » elle lui demanda de ne pas rester ici, et en rajouta une couche. Un froncement de sourcil. « -Jacob… » souffla Vic même si cela étrange. Un peu comme s’ils étaient devenus ami ou intime, alors que ce n’était pas le cas. Enfin, il y avait sans doute une certaine forme de confiance entre eux sinon, elle n’aurait pas finit pas accepter son aide, et lui de parler de son couple. Elle le poussa vers la sortie, et se dépêcha de rejoindre son lit.

Elle n’avait appelé, même pas envoyé un sms pour dire que tout allait bien, alors que ce n’était pas du tout le cas. Lorsqu’elle entendit frapper, elle eut bien du mal à sortir de sa sorte de léthargie. Vic se traina hors du lit, enfila un gros pull et ouvrit la porte. Juste un peu. « -je vais bien. Pourquoi vous criez ainsi ? » râla la jeune femme qui avait bien du mal à se tenir debout. Elle ferma les yeux. De toute manière ça devait se voir sur sa tête qu’elle était vraiment mal. Alors elle abdiqua tout de suite. « -non ok… je vais pas bien… » elle ouvrit la porte pour le laisser rentrer, se tenant au mur pour rejoindre le canapé. « -j’ai pas écris, je voulais pas vous déranger ou abuser de votre générosité. » elle avait le regard brillant, tremblait par moment. « -je… je crois que j’ai un peu de fièvre… » elle se pinça les lèvres. Elle avait soif. Alors elle se leva à nouveau, avec lenteur pour se rendre à la cuisine. L’appartement était déjà bien moins rangé que l’autre jour. Les draps de son lit séchaient au milieu du salon. Elle avala un grand vers d’eau. Les fesses contre l’évier, elle leva son visage défait sur Jacobs. « -j’ai fait une fausse couche. » pourquoi lui cacher. « -je savais pas que j’étais enceinte… »

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Sam 16 Sep - 19:32

Jacob Reyes
J'ai 38 ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis marié et je le vis plutôt mal.

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« M’en voilà rassuré » rétorqua-t-il donc en apprenant que son mauvais caractère n’était pas une constante chez la jeune femme. Parce que se maugréer ainsi, ne l’était pas non plus chez lui, et il ne souhaitait pas devenir ce genre d’homme. Sa patience naturelle, c’était ce qui lui permettait de prendre le temps avec les victimes, et de l’écouter avec attention, afin de mieux appréhender l’affaire qui allait découler de leur témoignage. C’était pour cet aspect-là que Jacob s’était engagé dans la police de Miami. Un travail qui était maintenant au cœur des tourments de son mariage, et plus particulièrement la relation ambigüe qu’il entretenait avec sa coéquipière. Généralement discret sur sa vie privée, il se confia malgré tout à Victoria sur son mariage. Cela permettait ainsi à Victoria de se focaliser sur tout sauf sa douleur, et en ce qui le concernait, ça lui faisait du bien d’évoquer tout cela avec une autre personne que Mia. Plus objective, il fut même surpris des conseils avisés de cette dernière et de sa manière de concevoir la situation. Cela lui permis de concevoir la situation d’un point de vue différent et de tout remettre en perspective. Et si les rôles avaient été inversés ?! Pendant une seconde, Jacob laissa son esprit divaguer en imaginant son épouse flirtait avec un autre homme que lui. Immédiatement, son cœur se serra et l’idée lui fut désagréable. Il souffla au milieu de tout cela un « Désolé » alors qu’il remarqua lui avoir fait mal dans ses gestes, et les adoucit pour la suite, tout en rétorquant « Je n’apprécierais pas ». Cela sonnait même une évidence. Il se sentirait… blessé et en colère. Comme l’évoqua à voix haute Victoria « Je… Je n’avais pas pensé ainsi. Je me disais que tant que je ne franchissais pas le pas, alors aucun mal n’était fait… », mais il s’était fourvoyé dans sa manière de penser.

En ce qui concernait le comportement de Mia face à la crise que franchissait son couple, Victoria ne termina pas sa phrase, ce qui l’intrigua et l’invita à poursuivre. Il voulait connaître le fond de sa pensée. Il réprima un petit rire tout en acquiesçant à son propre constat « Oui, vous la jugez ». Est-ce qu’elle avait tort pour autant ?! « Oui… » et rétorqua « Mia, enfin le lieutenant Miller n’est pas entièrement en tort. Je ne l’ai pas repoussé. Au contraire, j’ai joué avec elle ». Elle n’était pas innocente, mais pas plus coupable que lui pour autant. Après tout, elle n’avait rien à perdre et tout à gagner. « Elle ne m’a jamais embrassé ou poussé le jeu aussi loin. Elle sait que je suis marié. On joue seulement à la frontière ». Ce n’était peut-être pas l’idée du siècle, mais pendant ces derniers mois, ça lui avait fait du bien. Mais si son couple ne parvenait pas à remonter la pente, c’était peut-être aussi parce qu’il se complaisait dans cette situation du chat et de la souris avec Mia, et de dormir sur le canapé en rentrant chez lui. Ça le déculpabilisait de son comportement de séducteur. Son mariage battait de l’aile, sa femme ne le désirait plus. Alors il avait le droit de flirter avec sa collègue. C’était un raisonnement stupide, mais jusqu’alors, il n’avait pas compris qu’il faisait souffrir sa femme, même en ne franchissant pas la limite de la fidélité. Un sourire étira les lèvres de Jacob au commentaire de Victoria « Oui, c’est mieux » et acquiesça, avant qu’elle ne lui demande s’il l’aimait toujours. Il ne savait plus. « Si je ne l’aime plus, je devrais divorcer et ça prouvera que je n’ai pas été à la hauteur…que j’ai échoué ». L’idée n’était pas séduisante.

Donc, lorsqu’il rentra le soir même à son domicile après que Victoria l’ait rassuré sur le fait qu’elle pouvait passer la nuit seule, il rejoignit sa femme, lui confia qu’elle lui manquait et firent l’amour. Cela faisait des mois qu’ils ne s’étaient pas touchés, qu’ils ne s’étaient pas étreints. Pour Jacob, c’était la promesse d’une vie différente à compter de maintenant. Il allait fournir les efforts nécessaires pour sauver son mariage. Entre temps, Victoria ne lui envoya pas le moindre message pour lui faire part de son état de santé. Donc à l’issue du second jour sans réponse, il débarqua jusqu’à chez elle et il ne lui fallut pas davantage de temps pour comprendre qu’elle n’allait pas bien « Vous me mentez » et elle finit par abdiquer en lui confiant la vérité. Elle n’allait pas bien. Il entra dans la maison, prenant le soin de refermer derrière lui la porte, et fit quelques pas en sa direction « Vous n’auriez pas abusé. Je me suis inquiété pour vous » et c’était la vérité. Un regard pour l’appartement désordonné, et combla l’espace entre eux pour venir poser sa main contre son front « Un peu ? ». Il était sceptique face au choix du mot employé par cette dernière. Il baissa sa main, restant interdit face à la révélation qui suivit « Je… Je suis désolé de l’apprendre… ». Sans vraiment savoir pourquoi, Jacob la serra dans ses bras « Je suis désolé » murmura-t-il.

Charly
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Charly
Sam 16 Sep - 21:45
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Victoria Ruiz
J'ai 33 ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis femme de ménage et nounou, histoire de joidnre les deux bouts et je m'en sors comme je peux. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt mal.

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« -si j’étais à sa place, ça me ferait du mal… » avait soufflé Victoria en lui jetant un coup d’œil. D’un certain côté, elle était heureuse de lui apporter un regard neuf sur tout ça. Elle comprenait le côté grisant, l’envie de jouer, ça ressemblait à des débuts d’histoire. Sauf qu’en agissant ainsi, il montrait à sa femme qu’elle n’était plus désirable. Et forcement, c’était douloureux pour cette dernière. Elle évoqua ensuite le lieutenant Miller, avouant haut et fort qu’elle portait un nouveau justement. « -bien sur… mais à la fin de ce genre de chose, il y a toujours quelqu’un qui souffre. Pour le moment, c’est votre femme. Ensuite vous parce que vous êtes entre les deux. Et jamais votre coéquipière se mettait à avoir des vrais sentiments pour vous ? » c’était peut-être déjà le cas… Vic n’avait été témoin que d’un caresse sur un bras. Mais ils passaient le plus claire de leur temps ensemble. Ils s’appréciaient. « -peut-être qu’elle voudra plus, qu’elle imagine que vous allez quitter votre femme pour elle… chose que vous ne ferez peut-être jamais. » ce n’était que des hypothèses. D’ailleurs, la jeune femme ne savait pas vraiment pourquoi elle voulait ouvrir les yeux de Reyes.

Lorsqu’il évoqua le divorce, elle sourit. « -vous devez vous poser les bonnes questions. Rester dans un mariage sans amour… c’est moche. C’est douloureux aussi. » elle ajouta avec un léger sourire : « -et là c’est votre égo qui parle. » échoué… est ce que c’était possible de laisser une place à ce mot dans une histoire d’amour ? Elle se demanda si ça faisait longtemps qu’il était marié. Mais ne posa pas la question. Cette conversation pouvait durer des heures et elle était épuisée. Vic avait besoin de repos. Pourtant le reste de la nuit fut agitée. Elle s’était tordue sur elle-même dans ses draps, jusqu’à ce que son corps expulse ce début de grossesse.

C’était dans un piteuse état qu’elle avait ouvert la porte à Reyes. « -vous n’auriez pas dû… » souffla Vic même si finalement elle était presque contente qu’il soit là. Impossible pour elle d’aller à l’hôpital. Il pourrait peut-être l’aider autrement… Elle le laissa poser sa main sur son front. Un simple regard. D’accord, pas qu’un peu… Après un verre d’eau, elle lâcha son info. Avec ce renseignement, il pourrait peut-être lui dire pourquoi elle se trouvait dans un tel état. « -non… faites pas ça sinon je… » mais il venait de le serrer contre lui et ce fut plus fort qu’elle. Vic se mit à pleurer. « -c’était… c’était peut-être la dernière chose qui me restait de lui… » souffla-t-elle étranglée entre deux sanglots. « -et je l’ai perdu aussi… » elle pleura durant quelques minutes, avant de se mordre les lèvres. « -pardon… je suis désolée… vous… » il n’était pas là pour la consoler. Elle ne dit rien de plus. Pas tout de suite… et puis elle reprit : « -en même temps… qu’est ce que j’aurai pu lui offrir à ce môme… » une vie misère. Elle avait déjà du mal à s’en sortir seule… Alors avec une grossesse… Elle renifla avant de prendre une mouchoir. « -ça… enfin j’en ai déjà fait une mais… mais c’était différent. Je n’ai pas fini dans un tel état… » elle savait que quelque chose clochait. « -je suis désolée, j’ai besoin de m’allonger. » elle avait bien du mal à tenir sur ses jambes. Elle soupira une fois sur le canapé. "-vous avez des enfants?" demanda-t-elle alors

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