"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Mer 24 Juil - 22:26
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Une fois encore, Angelica l’avait reçu sans ménagement et s’était conformée à ses demandes silencieuses. Chaque coup de rein était plus abrupte que le précédent, et le politicien jugea pertinent de l’informer qu’il n’en était qu’à ses prémices, redoublant de violence par la suite. La jeune femme avait continué de subir les assauts de sa queue sans jamais faillir. Chaque coup de butoir était si intense que l’influenceuse en perdit ses mots, se cantonna à seulement hurler son plaisir à chaque fois qu’il allait et venait en elle sans la moindre retenue. L’orgasme fut fulgurant, autant pour l’un que pour l’autre, et c’était entièrement repu qu’Edward se laissa glisser sur la couverture. Sa peau luisait de sueur sous la lueur des flammes dansant derrière eux, pendant que sa poitrine se soulevait à chaque respiration haletante. Après quelques instants, Edward se glissa jusqu’entre les jambes de son amante qui l’avait si bien accueillit aujourd’hui. Elle était parvenue à endurer ces dix orgasmes sans se dédire, et cette nuit, elle était pleinement comblée par le plaisir qu’il était parvenu à lui donner tout le long de la journée. Un sourire étira tendrement ses lèvres quand elle prononça le mot de sécurité, quelque peu pantelante. Il déposa ses lèvres sur son bas ventre avec douceur et souffla un « Je voulais que tu sois pleinement comblée après ce soir » et dessina des formes du bout de ses doigts sur son ventre plat. Il releva lentement ses prunelles azurées sur son visage « Tout ce que tu voudras la mia luce ». Un petit rire sous cape lui échappa, tandis qu’il remonta jusqu’à ses lèvres pour y déposer les siennes avec tendresse « Cela faisait quelques jours que je voulais t’offrir une telle nuit » et dégagea une mèche de cheveux de son front « Mais ça a été extraordinaire, parce que c’était toi mon amour ». À la demande que formula Angelica, il acquiesça d’un signe de tête presque imperceptible, et se saisit d’une couverture rigoureusement pliée à leurs côtés. D’un geste, Edward la déplia et recouvrit leurs deux corps nus, la serrant aussitôt dans ses bras de nouveau allongé. Sa bouche contre sa chevelure rousse, il resta silencieux quelques minutes, profitant seulement du calme qu’offrait la nature, ainsi que de cette nouvelle accalmie.
« Reste ici, je reviens » et embrassa son front, avant de se redresser pour se rendre jusqu’au chalet. Dans son élan jusqu’à la chambre, Edward opéra un détour dans la cuisine pour se saisir de deux bouteilles d’eau fraiche, et récupéra le vêtement qu’il désirait dans sa valise, enfilant également un boxer dans la précipitation. Il revint d’un pas empressé jusqu’à Angelica, ne désirant pas la laissée seule et nue plus longtemps que nécessaire. Elle avait froid. Il se délesta des deux bouteilles d’eau à proximité de la jeune femme, puis lui tendit le sweat-shirt de son université « Tiens. Il a mon parfum. Tu devrais aimer » et se glissa de nouveau dans le lit de fortune. Appuyé sur l’un de ses coudes, il débouchonna l’une des bouteilles qu’il tendit à l’influenceuse sans mot dire, et avala de longues gorgées de la sienne. Il se glissa ensuite entièrement sous le morceau de tissu, son bras venant rapidement enveloppé la silhouette d’Angelica pour la blottir tout contre lui « J’aimerais qu’on ait une cheminée dans la maison, et une grande cuisine ouverte sur le salon pour qu’on puisse longuement discuter pendant que je préparerais le dîner » commença-t-il en fixant la voie lactée se dessinant au-dessus de leurs têtes « On pourrait aussi avoir une balançoire dans le jardin » et sentit peu à peu ses paupières se fermer « Je te veux toi … toute ma vie… » et se laissa bercer par les bras de Morphée.
Quand Edward ouvrit les yeux au petit matin, il constata qu’Angelica dormait toujours profondément dans ses bras. Il s’autorisa donc quelques instants pour seulement savourer sa présence et remercier le Ciel de l’avoir dressé sur sa route. Son cœur lui appartiendrait à tout jamais, il le savait. Elle lui était destinée. Après un coup d’œil à la montre qu’il gardait au poignet en tout temps et en toute heure, le politicien se saisit de son portable et commanda un taxi par le biais de l’application. Dans une lenteur extrême, il s’extirpa des draps de sa moitié et du lit de fortune, pour se glisser par la suite sous la douche. La chaleur de l’eau fut appréciable après la soirée qu’ils venaient de vivre l’un et l’autre. Jamais il n’aurait pensé un jour se donner ainsi à une femme, des heures durant. La soirée de sexe avait été dès plus délectable et il chérissait tout autant le souvenir immuable qu’elle avait gravé dans son esprit. La sonnerie de notification retentissant dans la salle de bain l’informa de la présence du taxi devant l’entrée du chalet. À l’issue d’une petite heure d’absence, Edward s’affaira en cuisine, préparant toute sorte de mets, qu’il disposa par la suite sur un plateau, et après un nouvel aller-retour, il disposa le tout dans l’herbe fraiche et humide de ce début de journée. Sans geste brusque, le quadragénaire se glissa aux côtés d’Angelica qui dormait toujours à poing fermé, et vint caresser son visage du bout de ses doigts « La mia luce… Réveille-toi mon amour » et lui adressa un doux sourire en constatant qu’elle ouvrait peu à peu les yeux « Tu es si belle » souffla-t-il. Il désigna le plateau des yeux « Le petit-déjeuner est prêt ».
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Charly
Mer 24 Juil - 22:47
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Stop… enfin chocolat puisque c’était le mot qu’Edward avait décidé d’employer lorsqu’elle en aurait assez. Angie se sentait totalement comblée, elle était un peu comme dans un état second. Son corps répondant difficilement à son cerveau. Comblée mais totalement épuisée par ce qu’ils venaient de faire. « -c’est le cas… » avait elle soufflé. Comment ne pas l’être après qu’il lui ai procuré autant de plaisir ? Elle avait soif et surtout la fatigue lui tombait dessus petit à petit. Elle sourit en l’écoutant. C’était totalement réussit. « -parce que c’était nous… » corrigea la belle rousse. Elle se nicha contre lui, appréciant la couverture et la présence du corps chaud d’Edward contre le sien. Lentement, elle se sentait glisser vers le sommeil. Mais Edward bougea de nouveau et elle fronça les sourcils en se demandant ce qu’il allait faire. Elle ne bougea pas pour autant, incapable de lever le petit doigt.
Elle cligna des paupières lorsqu’il fut de retour, et plissa les yeux pour voir le pull qu’il lui tendait. Elle sourit avant de se redresser lentement pour l’enfiler. « -j’aime aussi ton odeur d’après l’amour… » souffla Angie avant de s’allonger de nouveau, blottit contre lui. « -si tu veux… » marmonna Angie qui parvenait difficilement à lutter. Elle n’entendit pas la suite, plongeant dans un sommeil lourd, bien mérité, et réparateur. Pas un seul bruit ne la réveilla, pas même les mouvements d’Edward au matin. Il l’avait épuisé, elle avait besoin de récupérer. Elle n’entendit pas le bruit du taxi, le visage pratiquement sous la couverture.
Lorsque la voix d’Edward lui parvint, elle gémit, comme si elle n’avait pas encore assez dormi. En vérité, elle détestait être réveillé. Mais elle finit par ouvrir les yeux, non sans difficulté. Il était habillé… et il avait préparé le petit déjeuné. Elle fronça légèrement les sourcils. « -depuis combien de temps es-tu debout ? » demanda Angie avant de s’étirer de façon féline et de se redresser, remontant les genoux sous son menton. « -excusez-moi… bonjour… » elle tendit ses lèvres et l’embrassa avec douceur. Elle regarda le plateau. « -tu es… tu as allé en ville ? » il y avait des viennoiseries fraiches sur le plateau. Elle tendit une main pour prendre sa tasse de thé. Son corps était légèrement endolorit. Et par la nuit passée à dormir à même le sol, et par leur activité nocturne. Elle glissa une main dans ses cheveux en bataille, coude sur le genou, couvrant Edward d’un regard amoureux. « -tu as bien dormi ? »
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Jeu 25 Juil - 13:18
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Tout en arpentant le petit chemin de pierres menant jusqu’au feu, qui s’était estompé au cours de la nuit, Edward se remémora cette nuit hors du temps qu’ils avaient passé dans les bras de l’un et l’autre. Quelques heures de parfaite extase, d’harmonie des corps, témoignant de l’alchimie qui les unissait depuis le début de leur union. Cette osmose le confortait dans l’idée qu’elle lui était destinée, qu’elle était et resterait le plus beau présent que lui avait offert la Vie. Sans un bruit, Edward déposa le plateau du petit-déjeuner sur l’herbe verdoyante, et vint prendre place sur les couvertures sans empressement, afin de ne pas l’extraire des bras de Morphée brusquement. D’un geste délicat, il caressa son visage et ne put réprimer le sourire qui étira ses lèvres quand elle balaya les politesses pour l’interroger. Il osa un coup d’œil sur la montre enserrant son poignet « Un peu plus de deux heures maintenant » et ne perdit pas un soupçon du spectacle qu’elle lui offrit en s’étirant avec tant de grâce. Elle était si belle. Appuyé sur son coude, Edward se pencha pour rencontrer ses lèvres dans un doux baiser, et souffla « Bonjour » en retour au sien. Un simple « Humhum » pour réponse à sa question, continuant de la contempler amoureuse, un sourire amoureux sur les lèvres « Je suis amoureux de toi » déclara-t-il soudainement, comme un cheveu tombant sur la soupe. Il tendit le bras pour se saisir de sa tasse de café et la porta à ses lèvres « Oui. Et toi ? ». Angelica s’était rapidement endormie dans ses bras dans la nuit, éreinté par leurs ébats de la veille. La journée avait été particulièrement éprouvante. Sexuellement. Bien qu’aucun d’eux s’en plaignit. Ils avaient même vocation à réitérer aujourd’hui.
En pensant à cela, Edward cala sa tasse de café dans son autre main et tendit de nouveau le bras pour se saisir du sac kraft qui trônait sur le rebord du plateau, à proximité des viennoiseries encore chaude de la boulangerie. La teinte rosée que prit soudainement ses joues, jusqu’à ses oreilles, témoignait du contenu dudit sac duquel il sortit deux flacons de lubrifiant intime, s’étant autorisée une petite lubie en choisissant un parfumé aux fruits rouges. Sans oser croiser le regard de sa moitié, il continua son exploration du petit sac en papier. Il en extirpa un premier foulard de satin noir, puis un autre rouge, ainsi qu’une bouteille de chantilly. Il délaissa le contenant sur le côté et releva ses prunelles azurées sur Angelica « On peut aussi faire une randonnée dans le courant de l’après-midi ». Sous-entendant que si elle ne se sentait pas prête ou pas disposée à recevoir ses assauts toute la journée durant, il avait d’autres occupations en réserve. « On peut aussi attendre ce soir ou demain, tu sais… J’ai été particulièrement gourmand hier et … Tu étais si fatiguée cette nuit » déclara-t-il tout en venant caresser son genoux avec douceur.
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Jeu 25 Juil - 16:25
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Sept heures de sommeil pour être parfaite… Après la nuit qu’ils venaient de passer, et malgré le fait qu’il était déjà tard dans la matinée, Angie avait bien du mal à ouvrir les yeux ce matin. Elle faisait partie de ces personnes qui adorent passer du temps sous la couette. Cependant, Edward venait de la réveiller avec une grande douceur et elle ne pouvait que sourire en entendant sa voix chaude. Même si elle ne prit pas la peine de lui dire bonjour en s’interrogeant rapidement. Depuis combien de temps était-il debout ? Elle ouvrit de grands yeux avant de cligner parce qu’ils étaient encore plein de sommeil. « -deux heures… tu aurai dû me réveiller plus tôt… » puis elle marmonna : « -non, je dis ça pour être polie… »- avant d’ajouter « - merci de m’avoir laissé dormir… j’en avais besoin. » puis de s’excuser et d’enfin lui dire bonjour. Hum… ses lèvres… elle sourit béatement, avant de poser à nouveau une question. Il était déjà allé en ville. Elle était restée seule ici, au milieu des bois, à dormir profondément… Bien… il n’y avait donc pas d’ours au alentours. Enfin… vu les cris qu’elle avait poussé durant une bonne partie de la nuit, la plus part des animaux avaient dû fuir, comprenant que le mâle dominant du domaine, c’était Edward.
Elle laissa passer un petit gémissement adorable alors qu’il déclarait solennellement être amoureux. Comment ne pas regarder avec des yeux transpirant d’amour. « -moi aussi… complètement amoureuse… » précisa Angie avant de prendre sa tasse de thé et d’en boire une gorgée. « -oui… même si mon corps a besoin d’une douche chaude et de quelques étirements pour se remettre de notre folle nuit d’amour… » elle lui sourit à ses mots avant d’ajouter : « -et d’avoir dormi à même le sol… » avec un léger rire. Elle prit une nouvelle gorgée, avant de regarder le sac que venait de déplacer Edward. Un léger regard plein d’interrogation, puis elle cru comprendre en le voyant rougir peu à peu. Cela la fit sourire. Elle regarda les deux tubes, sourit un peu plus. « -humhum… » elle l’imaginait sans mal rougir de la même façon à la caisse… Elle haussa les sourcils en voyant le premier ruban, puis le second, avant de rire en levant la tête vers le ciel. Elle le couva ensuite du regard, la tête toujours légèrement penchée sur le côté. « -non. » répondit Angie. Le paysage avait beau être superbe, elle voulait garder la moindre de ses forces pour ce qu’ils avaient prévu. « -je préfère de loin un matelas… » lui chuchota la jeune femme avec un sourire taquin.
Elle reprit une gorgée de thé avant de déposer sa tasse sur le plateau, et de prendre une viennoiserie et rire joyeusement. « -laisse moi encore quelques heures de repos d’accord ? On pourrait peut-être juste profiter du jacuzzi de la terrasse… et ensuite… » elle haussa deux fois les sourcils, son sourire témoignant des idées qu’elle avait en tête. « -on est pas obligé d’explorer les trois idées dans la journée… et en garder pour demain… » elle leva une main pour caresser la joue d’Edward et ajouta : « -et ne t’en fais pas pour ma fatigue. Je vais très bien, si c’est ce qui t’inquiète. » elle approcha ses lèvres pour l’embrasser avec douceur. « -mange… toi aussi tu dois prendre des forces… » ajouta Angie en lui mettant un morceau de croissant dans la bouche, en riant.
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Jeu 25 Juil - 19:36
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Bien que transit d’amour pour la femme qui s’éveillait lentement devant lui, Edward appréciait néanmoins l’accalmie qu’offrait la solitude au petit matin. C’était un moment qu’il s’accordait avec lui-même, au cours duquel il raisonnait sur la journée écoulée et celle qui s’amorçait. Ce jour ne faisait pas exception. Par ailleurs, Angelica affectionnait probablement autant la chaleur des couvertures que celle de ses bras. En conséquence, il ne fut aucunement convaincu par ses dires, et continuait d’arborer un sourire épris à l’attention de la jolie rousse qui se ravisa aussitôt « Je sais » et reprit « Tu avais besoin de dormir et j’aime être seul pour déguster mon café ». C’était ancré dans ses habitudes depuis toujours. Leur union nouvelle ne pouvait rectifier chacune de ses habitudes de solitaire. Il en appréciait certaine et voulait les maintenir en place. Celle-ci en faisait partie. De surcroît, leur nuit d’amour nécessitait du repos, et plus encore pour Angelica qui n’avait pas été particulièrement ménagée au cours de la journée d’hier. La couvant tendrement du regard, il lui avoua inopinément, et presque avec solennité, qu’il était amoureux d’elle. Ce n’était plus un secret d’État depuis quelques jours maintenant, et pourtant, il aimait le lui dire. Comme s’il craignait qu’elle ne l’oublie au détour d’une rue. Complètement amoureuse… Ces paroles résonnèrent en lui comme le plus doux des sons, gonflant son cœur d’amour pour elle, et se pencha pour déposer ses lèvres sur les siennes, afin de sceller ces quelques mots.
Tout en baissant les yeux sur la tasse de café qu’il maintenait fermement entre ses doigts, Edward laissa échapper un petit rire sous cape « Je pourrais t’offrir un massage. C’est le moins que je puisse faire. Après tout, c’est en partie ma faute » rétorqua le politicien en lui adressant un regard rieur. Puisqu’ils évoquaient la nuit passée, il tendit sa main libre jusqu’au sachet en papier, extirpant de ce dernier, un par un, les articles qu’il avait acquis au cours de son escapade matinale en ville. La teinte rosée de ses joues s’était étendue jusqu’à ses oreilles. La découverte de ces accessoires extirpa un joli rire de la gorge d’Angelica qui fut amusée de constater que son petit-ami avait de la suite dans les idées en ce qui concernait leur vie sexuelle. Toutefois, ils n’étaient pas contraint de les utiliser à compter d’aujourd’hui. Il avait conscience que le corps de l’influenceuse avait été éprouvée au cours de la nuit dernière, et qu’elle avait besoin de repos. Une randonnée dans les montagnes environnantes lui semblait être une idée pertinente, qu’elle déclina aussitôt. De nouveau, son visage prit une teinte rosée au murmure de son amante « Il y en a plusieurs ici » souffla-t-il en réponse.
Le politicien délaissa sa tasse de café sur le plateau dès qu’il en eut avalé l’entièreté du contenu, et se focalisa de nouveau sur Angelica qui formula une suggestion plus séduisante encore que la randonnée. Il émit un petit rire silencieux devant son sous-entendu pour le moins explicite « Le jacuzzi me semble un très bon programme » répondit-il avec douceur, et finit par froncer les sourcils, soudainement intrigué « Trois idées ? ». Il n’était plus certain de ce qu’ils avaient prévu pour aujourd’hui. Bientôt, il lui faudrait acquérir un agenda pour organiser leurs fantasmes au cours de la semaine. Edward inclina légèrement la tête pour blottir davantage sa joue dans sa main, appréciant toujours autant ce simple geste à son attention « Oui, ça m’inquiète ». Il n’allait pas prétendre le contraire « J’aime aussi l’idée de regarder des films toute la journée, avec toi blottie dans mes bras. Ça me rend tout aussi heureux la mia luce » et précisa « Ta présence me suffit ». Il lui saisit la main posée actuellement sur sa joue et la porta à ses lèvres, embrassant sa peau. Il ouvrit la bouche ensuite pour saisir le morceau de croissant « Merci ». D’un geste, il se saisit du croissant, enfournant un nouveau morceau dans sa bouche « Je réfléchissais à toi, à moi. À nous deux. J’ignore encore tellement de choses à ton égard Angie » et reprit un morceau de croissant, et se versa une nouvelle tasse de café, qu’il porta aussitôt à ses lèvres « J’ignore ce que tu aimes faire de ton temps libre, ton plat préféré, la couleur que tu affectionnes le plus, quel pays tu aimerais visiter. Parle-moi de toi. S’il te plaît ».
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Jeu 25 Juil - 21:44
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Mais pourquoi est ce qu’elle avait dit ça ? Sans doute parce qu’elle avait encore l’esprit embrumée. « -non mais je le sais en plus, c’est pas comme si ça faisait pas des mois que ça fonctionnait comme ça ! » renchérit Angie en grimaçant. Pourquoi changer leur habitude pour un weekend ? C’était absurde. Et puis, oui, ça lui avait fait du bien de dormir. Vraiment, même si elle fut forcée de reconnaitre qu’elle n’avait plus seize ans et que le feu de camp c’était sympa, le sol dur, beaucoup moins. Elle avait sombré rapidement dans le sommeil, et elle était convaincue qu’elle était incapable de marché lorsqu’ils s’étaient enfin allongée sur cette couverture pour dormir. « -hé c’est vrai que ça serait une bonne idée ! » s’exclama la jolie rousse avec enthousiasme. « -et ça va t’y peux rien si le sol de la forêt n’est pas confortable. » elle savait parfaitement qu’il ne voulait pas parler de ça. Mais ce qui s’était passé ici, durant la nuit, était la résultat d’envies partagées.
Mais clairement, elle n’avait pas envie d’aller faire une randonnée. Là elle voulait prendre encore un peu de temps pour se réveiller, une douche ou peut-être même un bain, histoire de relaxer son corps. Puis elle voulait passer le reste de la journée avec Edward qui semblait avoir eut de la suite dans les idées directement au réveil. « -va pour le jacuzzi alors… » sourit la jeune femme. « -hum… » médita Angie quelques secondes en regardant les différentes choses devant elle. « -oui… une… » elle montra la lubrifiant. « -deux… » elle indiqua les rubans. « -trois… » la chantilly. « -quoi que deux et trois peuvent parfaitement se marier. » ajouta Angie, avant de prendre une gorgée de son thé comme si de rien n’était. Cependant, elle prit le temps de rassurer Edward. Elle allait bien. Elle lui sourit avec douceur : « -très bien… alors on arrête les plannings. Je vais déjà commencer par une douche et on verra suivant nos envies… » elle ajouta : « -et tu as tout un tas d’épisode de la série de la dernière fois à rattraper ! » elle avait faim, alors elle prit une viennoiserie et en porta un morceau aux lèvres d’Edward.
« -ou là… ça fait peur quand tu commences en disant des choses comme ça. » railla la jeune femme avant de manger elle aussi. « -et alors ? » demanda la jolie rousse : « -tu n’aimes pas les femmes mystérieuses ? » elle se remit à rire, d’excellente humeur, comme presque tous les matins. « -alors dans le désordre : la pizza chèvre miel même si tu vas sans doute me dire que c’est un sacrilège pour tes origines. » elle reprit un morceau de croissant et ajouta : « -j’aime beaucoup l’ocre ou le doré. » elle refléchit ensuite à voix haute : « -pour le pays… hum… » elle se pinça les lèvres, les yeux au ciel : « -j’aimerais beaucoup visiter l’Ecosse, l’Islande… j’adore la culture de ces pays… et je ne crains pas la plus. » elle lui sourit : « -et quand à mon temps libre, je lis beaucoup. Je fais pas mal de sport, et pendant que je fais du sport, j’écoute des podcast ou des livres audio. J’aime regarder la télé en me mettant du vernis sur les doigts de pieds… Je suis une grande fan de musée d’art moderne aussi. » elle reprit du thé et ajouta : « -et toi ? »
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Ven 26 Juil - 11:46
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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La vie de solitaire avait laissé quelques vestiges, à compter par ses habitudes qui débutaient dès les premières heures du matin. Il appréciait profiter de l’accalmie du début de journée en dégustant son café jamaïcain tout en balayant du regard l’actualité relatée dans le New York Times. Aujourd’hui ne faisait pas exception. À défaut du journal papier, il s’était rabattu sur son équivalent numérique. Par conséquent, Edward n’aurait aucunement prit la peine de réveiller Angelica, même s’il n’avait pas fait le choix de se rendre en ville de si bonne heure. « Ce n’est rien » souffla-t-il avec douceur, alors que la jeune femme semblait dérangée d’avoir formulée une telle demande. Elle était encore empreinte de torpeur, et avait besoin de plus qu’une tasse de thé pour s’éveiller complètement. Ses cheveux étaient batailles, son visage portait encore les marques du lit de fortune, et malgré cela, il la trouvait belle. Il était amoureux de cette femme et il en serait ainsi jusqu’à son dernier souffle. C’était une évidence. Edward avait envie de construire sa vie à ses côtés, de prendre soin de cette femme qui lui apportait tant au quotidien. Aujourd’hui plus encore, après ce qu’avait enduré son corps meurtri, même si ça n’avait été que plaisir et osmose des corps « Je sais ». La fixant de ses prunelles azurées, il sourit « Les dix orgasmes dans une seule journée ont fortement contribué à des courbatures la mia luce » lui rappela-t-il à son bon souvenir. Toutefois, se détendre dans le jacuzzi était tout autant une alternative séduisante, bien que l’un n’empêchait pas l’autre. Il confirma d’un simple « Humhum » tout en continuant de la couver amoureusement du regard.
La teinte rosée parsema bien vite ses joues, jusqu’à ses oreilles, quand Edward prit la décision d’extirper les produits du sac, un par un. Pour autant, il fut quelque peu désorienté lorsqu’Angelica évoqua trois fantasmes. Tout aussi rougissant, il suivit du regard l’index de son amante désigner tour à tour les produits, et finit par se mordre la lèvre inférieure « Non » déclara-t-il tout en relevant ses yeux sur elle « Je veux te faire l’amour trois fois. Une fois pour chaque idée ». Edward aimait l’alchimie de leurs deux corps, comme s’ils étaient voués à être liés dans l’intimité. Il aimait partager ce moment avec elle, l’entendre hurler son plaisir sous ses coups de reins, sentir ses mains sur sa peau, la découvrir toujours plus. Il ne ferait l’impasse sur aucune opportunité de lui faire l’amour. Seulement, pour le moment, il avait également conscience que le corps de l’influenceuse n’avait pas été épargné au cours de la journée passée, et son bien-être était sa priorité. Leurs fantasmes pourraient attendre si Angelica ne se sentait pas encore prête à l’accueillir de nouveau. Son plaisir n’avait aucune saveur s’il n’était pas pleinement partagée avec elle. Se blottir l’un contre l’autre dans le canapé ou dans le lit conjugal afin d’épuiser le catalogue de streaming lui convenait tout autant. Il voulait seulement passer ces trois jours avec elle, peu importe la manière. « Oui » répondit-il simplement « Nous ne sommes pas en manque d’occupation. Prends le temps de réfléchir la mia luce » et caressa ses cheveux du bout des doigts, avant qu’il n’ouvre la bouche pour prendre le morceau de croissant tendu par cette dernière.
« Pourquoi ça ? » l’interrogea-t-il tout en ressassant mot pour mot la phrase qu’il venait de prononcer. Il émit un petit rire sous cape avant de lui répondre « Non », et poursuivit d’un « Je veux te connaître ». Tout en continuant de découper morceau par morceau son croissant, enfournant chacun d’eux dans sa bouche à geste régulier, Edward prêta une oreille attentive à Angelica qui se plia au jeu du question/réponse qu’il venait d’initier « C’est un sacrilège » confirma-t-il, tout en portant son café à ses lèvres. « Pourquoi ces pays ? Que lis-tu ? Qu’écoute-tu comme podcast ? ». Il ne mentait pas quand il disait vouloir la connaître. Le politicien aimait l’écouter parler, mais plus encore, apprendre à savoir quelle femme elle était. C’étaient tous ces détails qui le faisait l’aimer un peu plus chaque jour. « Ma pizza préférée est la Marinara. Véritable héritage de la culture italienne » souligna-t-il pour taquiner sa petite-amie «Ma couleur préférée est le noir, le blanc et le vert canard. J’aimerais visiter le Costa Rica, le Japon et le Vietnam ». Il se mit à réfléchir sur ses passions et centre d’intérêts « J’aime faire du sport, du piano et de la photographie, lire également et me rendre dans les musées d’histoire naturelle » et précisa « J’écoute de la musique relativement rarement et jamais de podcast ». Ce qu’elle avait pu constater d’elle-même au cours des quelques mois passés au penthouse. Il aimait le calme. « Tu aurais aimé avoir des frères et des sœurs ? ».
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Charly
Ven 26 Juil - 14:41
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie gloussa un : « -dix… » avant de fermer les yeux avec force. Incroyable… Et pourtant… c’était bel et bien arrivée. Il avait raison, elle n’était pas contre un massage. Ni contre se prélasser dans le jacuzzi. Même si dans son esprit, ces deux activités pouvaient être le début de jolis dérapages… Mais clairement, ça plaisait beaucoup plus que la randonnée. Edward avait gardé en tête certains fantasmes évoqués durant la soirée, tout comme l’idée d’aller chercher du lubrifiant. Angie n’allait pas revenir sur sa proposition. Elle était prête à s’offrir ainsi. Il lui fallait seulement encore quelques heures de repos, une douche également…
Comment ne pas sourire, à la limite de rire, en l’entendant affirmer qu’il lui ferait trois fois l’amour. « -nous avons toutes la journée et toute la nuit pour ça… » souffla Angie en le dévorant du regard, tout en lui souriant avec douceur. Ils allaient se laisser porter par le moment. Elle n’avait pas envie de faire un planning détaillé, même si dans son esprit les différentes activités ne se classaient pas comme elles avaient été présentés en sortant du sachet. Elle avait envie de commencer avec les rubans. Pour le douceur. Elle savait parfaitement qu’Edward était conscient de ce qu’il lui avait fait enduré durant la nuit. Et elle savait également qu’il prendrait soin de son corps avec une extrême douceur aujourd’hui. Elle avait adoré leur nuit, elle avait aimé s’offrir à lui ainsi, encore et encore. Elle avait aimé la douceur du début, puis la violence de leur dernier ébat. Mais elle n’était pas certaine de parvenir à encaisser de nouveau cela aujourd’hui sans finir par avoir mal.
« -et bien parce que généralement quand on annonce réfléchir sur le couple, cela laisse penser qu’un truc cloche… » avait répondu Angie. Angie se mit à rire avec lui. « -j’avais compris… » il avait raison, malgré leurs sentiments, ils se connaissaient encore assez peu. Alors tout en déjeunant, elle répondit à ses questions, une à une. Un nouveau rire lorsqu’il approfondit ses questions, toujours de façon enchainée. « -alors pourquoi ces pays… parce que j’aime les mystères et les légendes… les fées, les chevaliers, les fantômes… mais aussi les grands espaces de nature. » elle prit le temps d’avaler un morceau de croissant et reprit : « -je lis pas mal de romans feelgood. J’adore ça. » il était au courant qu’elle était une grande fan du travail d’Adam, cela lui donnait une petite idée. « -mais aussi du développement personnel. Et les podcast sont dans le même esprit. Assez féministe. » cela collait avec son activité personnelle, l’aidait à toujours évoluer.
Elle lui retourna les questions et l’écouta avec attention, non sans commenter : « -c’est quoi ? Une pizza de base ? » oui, elle se moquait et elle savait que ça le ferait réagir. Pour les couleurs, cela ne l’étonna pas vraiment. Pour ce qui était des voyages, elle pu constater qu’ils avaient des gouts bien différents. Elle sourit en écoutant la suite. Pourquoi ces pays ? Et tu n’aimes pas la musique ? » elle savait qu’il aimait le calme. Mais de là, à ne jamais écouter de musique… « -hum… » elle grimaça : « -je crois que je ne me suis jamais posé la question. » elle réfléchit quelques secondes en buvant le fond de sa tasse de thé et répondit : « -je ne sais pas… peut-être que je me serais sentie moins seule par moment. Ou bien cela m’aurait créé une angoisse de plus. J’aurai voulu le ou la protéger des tensions entre mes parents… » elle posa sa tasse vide et ajouta : « -le fait d’être fille unique m’a forgé et c’est grâce à cela que je suis capable d’avancer dans la vie, de prendre des décisions seules… » un léger haussement d’épaules. « -puis qu’on parle de sœur, quelle relation tu avais avec Iris lorsque vous étiez enfants ? » elle se souvenait parfaitement de ce qu’il lui avait rapporter, qu’Iris lui avait dit qu’elle lui rendait son frère.
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Ven 26 Juil - 15:25
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Tout en arborant un sourire conquérant, satisfait de leur prouesse de la veille, Edward porta lentement sa tasse à ses lèvres après avoir confirmé d’un « Humhum ». Cela ne signifiait pas pour autant qu’il était rassasié. Tout au contraire, le politicien était constamment avide de son corps, se plaisant à en découvrir chaque recoin, chaque manière de la faire gémir un peu plus encore. Donc quand Angelica lui proposa de fusionner deux de leurs fantasmes, il déclina poliment. Il voulait explorer pleinement chacune de leurs idées, qu’ils la savourent pleinement. « Nous avons toute la vie aussi » précisa-t-il ensuite. Edward ne souhaitait pas qu’elle imagine d’ores et déjà que leur retour à New York signait le glas de leur vie sexuelle, ou même encore de leur relation telle qu’ils la vivaient aujourd’hui. Il était aucunement nécessaire de s’évader à des milliers de kilomètres pour donner vie au moindre leur fantasme. Il avait notamment conscience que le corps d’Angelica n’était pas infaillible, et qu’il avait lui aussi besoin d’une certaine accalmie. La sentir se pelotonner dans le creux de ses bras lui convenait tout autant qu’une nouvelle journée d’étreinte charnelle. Le plus important à ses yeux, c’était qu’elle passe chaque seconde à ses côtés, quel qu’en soit la manière. Par conséquent, l’idée de se prélasser dans le jacuzzi quelques heures, puis de la masser tout en visionnant leur série, lui convenait parfaitement. Cette alternative le séduisait tout autant.
Dans l’attente de rejoindre le bain à remous incrusté dans le bois de la terrasse à quelques mètres d’eux deux, Edward désirait profiter de ce moment d’accalmie pour découvrir davantage les intérêts de l’influenceuse. Cette matinée de solitude lui avait permis de réfléchir à leur relation, et il avait fait l’étrange constat qu’il ignorait pratiquement tout de cette femme avec qui il vivait au quotidien depuis plusieurs mois déjà. Toutefois, il se montra quelque peu maladroit dans son entrée en matière et Angelica se permit de le lui faire remarquer « Oh… » laissa-t-il échapper « Je n’ai pas prévu de te quitter la mia luce » la rassura-t-il avec tendresse, se penchant pour embrasser son genou nu devant lui. C’était ce qui était le plus proche de son visage à cet instant. Ses réponses furent aussi successives que ses questions, et lui permit de prendre conscience que leurs centre d’intérêts n’étaient pas en corrélation. Il aimait cette divergence de passe-temps et de goûts. Probablement que parfois, ça serait pesant. Mais pour le moment, il était toujours aussi séduit par cette femme devant lui. « À l’instar du Seigneur des Anneaux ? » proposa-t-il en énumérant le seul titre de film qu’il avait en mémoire. Il se frotta les doigts pour ôter les dernières miettes de croissant sur ses doigts et attira la tasse de café à ses lèvres. « Ce que peut écrire Adam ». Plus Angelica se confiait, et plus il prenait conscience qu’il ne s’était jamais intéressé au développement personnel, à la lecture de ce genre, jusqu’alors « Humhum. Je vois ».
Aussitôt la question d’Angie posée que le politicien leva les yeux au ciel, faussement offusqué de son ignorance, arborant un sourire amusé « Oui. Tu comprendras le jour où tu la goûteras pour la première fois ». Edward était convaincu qu’elle apprécierait de découvrir les différentes pizzas que l’Italie avait a proposé lors de leur prochaine escapade. « Parce que leur culture est opposée à la nôtre. Je trouve ça intéressant » Le Costa Rica disposait d’une biodiversité unique et de l’une des énergies les plus vertes au monde. Quant au Vietnam et au Japon, c’étaient la rencontre de paysages uniques au monde et une culture diamétralement opposée à celle de l’occident, entre modernité et tradition. Edward aspirait un jour à visiter ces lieux. « Et j’aime le calme » finit-il par répondre en ce qui concernait la musique. Aussitôt, le politicien renchérit avec une nouvelle question, plus personnelle cette fois-ci. Toujours avec la même attention, il s’autorisa un nouveau café, ne la quittant que brièvement du regard. « La vie n’est peut-être pas si mal faite tout fin de compte » et finit par sourire « Complice. J’étais son meilleur ami. Je l’ai plus d’une fois couverte auprès de nos parents quand elle s’éclipsait de la maison pour se rendre dans des soirées étudiantes. J’étais celui qui venait la récupérer au beau milieu de la nuit pour qu’elle ne prenne jamais le volant ivre… Ironique, n’est-ce pas » quand on connaissait les circonstances de son propre accident de voiture qui avait coûté la vie à Tommy « Puis tu connais la suite » et camoufla son visage derrière sa tasse le temps d’une gorgée « Est-ce que le fait qu'on soit si opposé t'inquiète pour l'avenir ? ».
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Charly
Ven 26 Juil - 16:28
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Elle avait souri. De ce petit sourire qui lui faisait plisser les yeux et le nez. Qui confirmait qu’elle était d’accord avec lui et qu’elle trouvait sa réponse adorable. Oui, ils avaient toute la vie pour profiter l’un de l’autre. Et en même temps, la vie était courte… Même s’il avait décidé d’abandonner la politique, les semaines qui allaient arrivées ne seraient pas de tout repos. Ici, ils n’avaient pas d’emploi du temps à respecter, de femme de ménage qui débarquait quand il ne fallait pas, de téléphone qui sonnait… il n’y avait qu’eux. Et leurs fantasmes… Alors même si ils avaient toute la vie, Angie était bien décidée à de nouveau se retrouver nue durant les deux jours qui restaient à profiter à nouveau des talents d’Edward au lit. Ou ailleurs d’ailleurs. Elle aimait regarder la télé, elle voulait qu’ils continuent cette série ensemble, mais ils pouvaient le faire chez eux… sans que cela ne choque personne ou que les voisins appellent les flics ou les pompiers parce qu’ils les avaient entendu hurler toute la nuit.
Un nouveau rire : « -après la nuit qu’on vient de passer, j’espère bien ! » ça ne lui avait pas effleuré l’esprit. C’était seulement la tournure de phrase qui était étrange. Edward voulait mieux la connaitre. C’était logique et légitime et elle se préta sans souci au jeu des questions réponses. « -hum… je pensais plus Roi Arthur, Table ronde, korrigans et leprechauns. Mais oui j’aime aussi les histoires d’elfes et de nains. » elle s’était réfugiée dans ces histoires merveilleuses en étant gamine. Cela lui permettait de s’évader. « -oui. » avant de lui retourner les questions. « -ma culture italienne est toute à faire mon amour… » souffla Angie avec un sourire taquin. « -hum… j’aime bien cette vision des choses… » commenta la jeune femme. Oui, elle trouvait l’argument d’Edward pertinent. « -je le savais… » articula la jolie rousse à voix basse au sujet du calme qu’il appréciait, la taquinant toujours avec amour.
Angie sourit lorsqu’il répondit au sujet de sa relation avec sa sœur, avant de commenter en évitant de trop plonger dans le sous-entendu morbide : « -vous vous êtes éloignés après l’accident. Je comprends que tu puisses lui manquer » elle trouvait cela dommage, mais c’était aussi compréhensible vu le traumatisme que cela avait causé chez Edward. Iris tenait toujours autant à son frère. « -heum… et bien… » ok question surprise ! Elle ne l’avait pas vu venir et n’avait donc pas de réponse automatique. « -j’ai envie de te dire que cela ne m’a pas créé d’angoisse là tout de suite en entendant tout cela. Donc non. J’aurai même trouvé cela étrange finalement qu’on ait des points communs sur ses sujets. Nous sommes opposés sur bien des choses alors c’est assez logique. » oh elle détestait les grandes questions de bon matin. « -être en couple de signifie pas nécessairement tout faire ensemble. On a besoin l’un comme l’autre de nos moments solitaires. » un petit haussement d’épaules et elle ajouta : « -donc je dirai que non. Et toi ? Et t’as pas le droit de copier ma réponse ! » en le pointant du doigts sourire aux lèvres.
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